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« le: jeudi 19 juillet 2018, 10:02:40 »
« Mon seul regret est que tu ne sois pas vierge, Sœur Alix », je me demande comment il sait ça.
« Oh Maître, cela ne signifie pas que j'aie déjà été bien baisée ». En lui répondant cela, je ne peux m'empêcher de baisser les yeux sur son pieu de chair. Tout ce que j'ai connu avant ça, c'était de la gnognotte, aucun doute. Vu comme il bande, je me passe la langue sur les lèvres avec gourmandise. J'ai hâte que vienne mon tour, même si Soeur Maria commence à m'énerver de jouer sa débauchée sous son visage de mijaurée. Elle cachait bien son jeu, celle-là, aussi !
« Je baise toujours les cadettes en premier... », et toc pour Soeur Maria. Tu l'as dans la cul, ma petite chérie, enfin si on peut dire, car c'est oi qui l'aurait en premier, et je vais même m'en charger avec grand soin, pour qu'il n te reste rien. Mais, en regardant les yeux enamourés de Soeur Maria, finalement aussi brillants que ceux de Soeur Carmilla, je me dis que ce Diablotin doit quand même avoir l'endurance d'en honorer plusieurs à la suite.
Mais je serai la première ! Alors, avec des yeux où je veux mettre toute la braise qu'il y a aussi dans son regard, je le fixe : « Je jure d'être vôtre, Maître, de vous appartenir jusqu'à ce que le soleil se lève, de faire tout ce que vous m'ordonnerez, de lever pour vous toutes mes barrières, d'être la digne dépravée de vos plus perverses idées ». Je suis fière de moi, et je ne doute pas que ça va en irriter plus d'une. Mais c'est une course à la queue, et, vu le morceau de choix, à chacun ses arguments et sa persuasion.
D'ailleurs, ça y va de la surenchère ! Soeur Jeanne est prête à bien plus qu'une nuit. Soeur Louise n'en dit rien, mais n'en veut pas moins. Et Soeur Maria veut se faire engrosser. Elle m'énerve de plus en plus, à mettre en avant son ancienneté, son expérience ! Elle oublie que Soeur Carmilla a beaucoup d'avance sur elle... et que c'est moi qui y passerai la première.
D'ailleurs, Soeur Carmilla s'est approchée de moi, et la suite est limpide : « Alastar va te baiser bien fort, ma chérie... Alors, grimpe sur l’autel, ma belle, allonge-toi dessus, et demande à notre Maître qu’il te baise... »
Je regarde Soeur Maria de mon plus provocant regard de garce, avant de fixer Soeur Carmilla dans les yeux : « Oui, Soeur Carmilla, je veux que notre Maître soit fier et comblé de baiser la cadette. Je saurai être digne de la confiance que vous m'avez donnée.
Et je monte sur l'autel, comme demandé. Je jette au loin les stupides chaussures plates, et je déboutonne au plus vite la robe de bure, balancée aussi à terre. J'ai l'avantage sur les autres nonnes d'avoir réussi à cacher dans ma valise de jolis dessous de ma vie d'avant.
Dont ce soutien-gorge noir, paré de fine dentelle sur les bonnets, au point que mes tétons font plus que se deviner. Sans quitter Alastar des yeux, je le dégraffe, le laissant choir, fière d'exhiber ma poitrine que la jeunesse rend arrogante et dressée.
Deux doigts, un de chaque côté, me suffisent à faire glisser le string au bas de mes jambes, sans détourner mes yeux d'Alastar, et je balance le frêle tissu du pied dans sa direction, aussi loin que je peux.
Nue, debout sur l'autel, je ne vais pas m'en arrêter là. Je m'allonge, jambes repliées, de telle manière que mon entrejambes soit dans l'axe de vision d'Alastar. Puis, saisissant les petites lèvres, je les masse bien, les étire même, sentant comme le trouble est déjà là.
« Je suis à vous, Maître », lui dis-je, simplement.