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« le: jeudi 11 octobre 2018, 17:00:24 »
Depuis qu'elle avait intégrée Mishima, Aiko était vraiment épanouie. Et si le corps enseignant et administratif de l'établissement était bien entendu au courant de ses origines, ce n'était pas le cas de la majorité des élèves. En effet, peu d'entre eux s’intéressaient vraiment à la vie politique du pays, préférant se concentrer sur leurs devoirs et leurs passions respectives. En fait, à bien y réfléchir, il n'y avait vraiment que les membre du club d'histoire national (oui, ce club existe vraiment) qui avaient faillit s’évanouir lorsqu'elle s'était présentée lors de son premier jour.
Et pourtant, la présence d'une princesse impériale au sein de l'établissement avait provoqué quelques petites modifications dans le quotidiens des élèves. En outre, la sécurité de l'établissement avait été renforcé et les élèves avaient reçus une carte scolaire intégrant une puce électronique, afin de s'assurer qu'ils étaient bel et bien inscrits à ce lycée. Pour ne pas inquiété ces derniers, on leur avait dit que cette organisation avait été mise en place pour leur propre sécurité, en raison de l'augmentation du nombre de disparitions en ville et d'attentats. En réalité, ces derniers étaient toujours stables et n'était dû qu'à la présence d'Aiko dans l'enceinte du lycée, le temps de son cursus scolaire.
Ainsi, la princesse s'était faite quelques amis qui pour la plupart ignoraient donc ses origines ou pensaient qu'elle était juste issue d'une famille fortunée. En cours, les enseignants avaient juste pour ordre de l’appeler avec le suffixe "San" et de réserver le "Hime" seulement lors d'entretiens privés, pour éviter aux élèves de se poser trop de questions. Enfin, cet ordre venait surtout du conseil d'administration de Mishima, et plus haut, de ses parents eux mêmes. Quoi qu'il en soi, Aiko s'était donc plutôt bien intégrée à la vie scolaire du lycée... Peut être trop même...
Car Aiko avait prise une certaine habitude, quelques semaines après son arrivée à Mishima. Perverse comme elle l'était devenue au fil des années, elle avait en effet commencée à pratiquer l’exhibitionnisme dans l’établissement. Elle attendait généralement la fin de la journée, lorsque les élèves quittaient l'établissement pour rentrer chez eux ou au dortoirs, avant de commencer à se déshabiller dans sa salle, comme elle le fit ce même soir, la veille du weekend.
Comme à chaque fois, Aiko se doigta quelques minutes, avant de se masturber doucement sur le coin de son pupitre. Cette situation l'excitait toujours terriblement. Faire des choses salles, souiller la table sur laquelle elle travaillait, cela la rendait vraiment toute chose. Et après son orgasme, c'est l'intimité toute dégoulinante de mouille qu'elle sortie de sa salle de classe, marchant tranquillement dans les couloirs, passant près des salles vides... Pour la jeune fille, il n'y avait rien de plus excitant.
Toutefois, après vingt bonnes minutes à traverser la moitié du lycée, Aiko fini par arriver près d'une salle de classe qui, contrairement aux autres, n'était pas vide. La porte était à peine entrouverte et, s'approchant doucement, la princesse s’accroupit devant, se caressant l'intimité en observant ce qui se déroulait à l’intérieur: une activité ô combien plaisante, qui affirmait à elle seule les rumeurs qui courraient sur Mishima...