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Prélude / Re : Le prix de l'innocence [Valipunchée !]
« le: vendredi 02 février 2018, 18:09:28 »Merci ^^
Prélude / Re : Le prix de l'innocence [Valipunchée !]
« le: vendredi 02 février 2018, 09:05:30 »Et désolée pour ton petit déjeuner, ceci dit j'aimerais bien utiliser le traumatisme effectivement (on verra comment...)
En espérant que les rp ne seront pas aussi gore, parce qu'après avoir cherché les images, j'étais dans un moins bel état que toi avec tes Princes de Lu :|
Prélude / Le prix de l'innocence [Valipunchée !]
« le: jeudi 01 février 2018, 18:38:39 »Son corps est assez quelconque. Ses épaules sont joliment découpées, elles dominent une poitrine onctueuse qui n'alourdit pas maladroitement la silhouette de la jeune femme. Ses seins sont fermes et pointent avec insolence. Son dos est délicat, on y voit les muscles ténus qui la maintiennent droite. Ses jambes sont relativement fines sans dénoter du reste du corps.
En règle général Ayame porte des robes assez longues qui lui tombent jusqu'au milieux des mollets. Parfois elle s'habille d'un pantalon et d'une chemise ample. Elle est à l'aise dans la simplicité. Les étoffes qu'elle choisit sont donc souvent unies et d'une légèreté sans égale.
L'histoire d'Ayame commence au sein d'une famille d'exploitants agricoles d'une région isolée du monde, dans une vaste ferme. Son père employait une cinquantaine de personnes à longueur d'année pour l'aider aux champs. La propriété familiale était immense. Ayame fut la première enfant du jeune couple que formait son père Hideo et sa mère Misaki, puis vint sa sœur deux années après elle. Enfin, 3 ans après la naissance d'Ayame un frère vint compléter la famille.
Lorsqu'elle eut quatre ans, Ayame vit son jeune frère d'un an mourir d'une maladie que personne n'avait su guérir.
Cet évènement fut un choc surtout pour les parents des 2 sœurs qui décidèrent de sur-protéger leurs deux enfants restant. Ils les empêchèrent de quitter la ferme, refusant de leur donner une éducation, souhaitant les maintenir dans l'innocence la plus pure.
Pour autant l'enfance d'Ayame ne fut ni triste ni prostrée. Elle avait un immense domaine dans lequel jouer, avec certains des enfants des employés de son père. Ayame et sa sœur, Sahori, étaient incroyablement proches. Leurs parents adoraient les voir jouer ensemble. Puis ayant grandies un peu elle avaient participé progressivement à certaines tâches dans la ferme. Mais c'était pour elles une vie douce, faite de jeu, dans laquelle le travail à la ferme était agréable. Elles n'avaient à vrai dire rien connu d'autre.
A partir de sa dixième année, Ayame s'était souvent prise à rêver, allongée sans les champs familiaux des étoiles qui constellaient le ciel nocturne. La pureté des nuits d'été semblait lui ouvrir la voie vers une infinité de monde.
A 15 ans Ayame était devenue une jolie jeune fille, Sahori aussi prenait le même chemin. Par certains aspects même elle semblait la plus mûre des deux enfants. Brune et de la même taille que sa sœur, malgré la différence d'âge, elle avait développer un goût pour les arts martiaux et avait obtenu de son père après l'avoir harcelé plusieurs mois durant qu'il lui permette de s'entrainer au maniement des armes. Hideo avait fait venir un maître d'arme dans la propriété qui avait entrainé et équipé Sahori depuis sa neuvième année. A 13 ans la sœur cadette avait un véritable attirail, une épée qu'Ayame trouvait bien trop lourde, d'ailleurs elle ne comprenait pas le goût de sa sœur pour les armes, mais aussi une armure en plaques de métal finement découpée.
Ayame devait avouer qu'une fois en armure, sa sœur été resplendissante. Sahori, du haut de ses 13 années, était devenue experte dans la manipulation de son épée. Mais le vieux maître d'arme lui avait bien montré qu'elle devrait encore attendre avant d'avoir le potentiel physique pour se battre vraiment. Quoiqu'il en soit Sahori se voyait déjà en aventurière, allant de par le monde, découvrir ce que ses parents lui avaient caché depuis toujours.
Alors qu'Ayame connaissait une adolescence tranquille, contente de son sort, et contente d'aider sa famille, Sahori elle tout en restant très proche de sa sœur s'était progressivement éloignée de ses parents. Une distance était née du fait qu'ils les cachent du reste du monde. Clairement la jeune fille se sentait à l'étroit dans la grande ferme. Elle n'était pas née fermière, mais plutôt fière amazone.
Un jour du printemps de l'année qui menait Ayame vers ses 16 ans, Ayame était parti dans un des champs les plus éloigné de la ferme familiale. Là bas elle trouvait toujours, depuis des années un repos sans pareil, au pied des arbres qui faisaient la limite de la propriété. Elle était partie de bon matin, sachant que la journée serait calme et qu'on n'aurait pas besoin d'elle. Elle avait marché une longue heure avant d'arriver au pied d'un chêne massif. Elle s'était installée, et avait commencer à se perdre dans ses pensées. Son monde était étroit, il se limitait à une trentaine de connaissances, principalement sa sœur, ses parents, et quelques anciens employés qui faisaient pour elle comme partie de sa famille. Elle pensait à Sahori, à ses rêves de combats, d'aventures. Ayame regardait le ciel, et elle savait que ce n'était pas fait pour elle, contrairement à sa sœur. En quelque sorte elle enviait un peu Sahori, sans complètement la comprendre pour autant.
La matinée était devenue une fin d'après-midi. Le soleil commençait à être bas sur l'horizon. Ayame se redressa abandonnant ses pensées au pied du chêne. Elle regarda vers sa ferme. Indistincte, cachée derrière l'horizon on devinait quand même une lueur chaleureuse quoi qu’inhabituelle, qui émanait de l'endroit où devait se trouver les bâtisses de sa famille. Elle se mit en route. Pourtant bientôt quelque chose était devenu étrange. La lueur était de plus en plus visible, alors que le jour n'avait pas encore décliné. Et une menaçante fumée montait en panache dans le ciel.
L'inquiétude s'était emparée d'Ayame. Elle pressa le pas. Sa robe d'été en lin se soulevait un peu à chaque pas. N'y tenant plus elle se mit à courir. Elle parcouru la distance en courant jusqu'à pouvoir voir distinctement la ferme. Le feu rongeait presque tous les bâtiments. Mais une chose encore plus terrible émanait du lieu. Il régnait un calme sinistre, aucune agitation, rien...
La panique étreignit le corps d'Ayame, elle sentait un air glacial lui mordre la peau en toute part. Un bâtiment ne s'était pas embrasé, par chance s'était la maison qu'ils habitaient. Elle se précipita à toute vitesse vers elle. Sur le chemin elle remarqua des traces de sang, puis en s'approchant du complexe de bâtisses, elle vit des corps affreusement mutilés (NSFW, gore).
Prise de nausées elle alla dans sa maison encore intacte. L'intérieur était dévasté. Le désordre était total.
Elle alla jusqu'à la chambre de ses parents, ouvrant la porte. Sa stupeur fut total, reconnaissant le corps d'Hideo, son père, démembré, inerte et couvert de linges sanglants (NSFW, gore).
Totalement désorientée, elle s'empressa de sortir de la pièce voulant éloigner cette vision d'horreur. Elle fonça vers une sortie qui donnait sur une petite cour pavée. Il y avait là des bruits de métaux qu'on entre choque. Débouchant sur la cour l'horreur atteint un nouveau sommet. Sa mère était allongée sur les pavés, la tête obscènement posé à côté de son corps nu, baignant dans une marre de sang, et d'autres fluides indistincts pour Ayame (NSFW, gore).
Mais pire, sa sœur venait de pousser un hurlement de tous les diables. Tournant la tête Ayame vit sa sœur dans une armure incomplète, comme si elle n'avait pas eut le temps de s'équiper totalement, se faire empaler de part en part par une longue lance. L'extrémité pointue de la tige en métal sortant par la bouche ensanglantée de sa sœur (NSFW, gore).
Deux créatures en armure se tenaient à proximité du corps de Sahori. Ils regardèrent Ayame avec un des yeux carnassiers. Prêts à lui fondre dessus pour lui faire subir le même sort que sa mère, ou peut être celui de sa sœur. Ayame était prise d'une douleur sans nom, une rage, mêlée de peur.
Les flammes du brasier voisin vinrent lécher puis embraser totalement la maison. Ayame se retrouva bientôt entourée d'un foyer infernal, comme une colonne de feu qui émanait de son corps. Ses vêtements étaient incinérés, et elle vit de nouveau assaillant, monstrueux se joindre aux deux premiers. Ils étaient couvert de sang. Soudain un bruit de métal frappant du métal se fit entendre. Une silhouette commença un ballet macabre déchiquetant progressivement plusieurs des monstres amassés à côté de Sahori.
Un de ceux qui l'avaient tué se jeta vers Ayame, sa lance en avant. A ce moment tout devint confus. Une immense explosion de flammes entoura Ayame, son corps irradiait une chaleur démentielle. Le combattant qui l'attaquait fut annihilé et réduit en cendres. Au même moment Ayame s'effondra dans un long cri de douleur, puis devint muette, perdant connaissance.
Elle s'éveilla au milieu d'un bois qu'elle ne connaissait pas. Il faisait jour. Elle était à côté d'un feu de camp. Un cheval était attaché à un arbre à une vingtaine de mètre de là. Un homme en armure légère était assis à l'opposé du feu de camp.
Elle avait l'impression d'avoir fait un horrible cauchemar. Mais bien vite l'homme lui expliqua qu'il n'en était rien. Il lui expliqua ce qui s'était produit, la plongeant dans un désespoir sans fin. A nouveau, c'était comme si cette émotion l'avait submergé et plongé dans une fureur capable d'allumer un incendie. Des flammes apparurent autour d'elle, la couvrant intégralement. Elle s'évanouit à nouveau.
Lorsqu'elle ouvrit les yeux à nouveau Elle avait un collier étrange au cou, et l'homme qui disait s'appeler Hannibal était toujours là.
Il lui expliqua à nouveau la situation, lui disant qu'il l'avait sauvé, sans rien pouvoir faire pour sa famille ni aucun des employés de l'exploitation. Tous avaient péris.
La rage revint, mais rien n'arriva, le collier lui dit l'homme endiguait les pouvoirs naissants de la jeune fille.
Progressivement il devint pour elle comme un tuteur, montrant à la jeune femme le monde qu'elle ignorait. La sortant de l'innocence dans laquelle ses parents avaient voulu la faire vivre. Prétextant des excuses incroyables pour abuser de son corps innocent, sans qu'elle ne comprit ce qu'il en était.
Finalement il lui avait révélé sa capacité à contrôler une magie élémentaire se basant sur la maîtrise des émotions, pour générer du vent, du feu de l'eau ou de la terre. Il avait accepté de l'emmener avec lui dans ses voyages pour la former. Et au fil du temps elle était tombée amoureuse de celui qui un temps avait abusé d'elle, mais malgré tout était son sauveur et aussi son maître.
Après plus de 7 ans de voyages et d'entrainement, loin du monde habité, elle avait acquis une maîtrise sans pareil des quatre éléments. Le feu restant la dominante de son pouvoir. C'est ainsi qu'Ayame avait maintenant 22 ans. Elle était une jeune femme sans attache, sauf peut-être Hannibal, son maître, et amant. Elle éprouvait pour lui un amour sans borne que leur relation étrange avait fait naitre. Elle n'était plus joyeuse, comme elle avait pu l'être jusqu'à ses 15 ans. Mais elle avait reprit le rêve de sa sœur à son compte. Elle vivrait pour elles deux une vie faite d'aventures, de combats, de découvertes. Espérant ainsi chasser à jamais les images maudites de la fin de sa famille et de tout ce qu'elle avait.
Autre :
Ayame Murayama vient d'un endroit indéterminé sur Terra. C'est une humanoïde qui a éveillé un pouvoir magique très puissant à la suite d'un traumatisme qui a définitivement changer son existence. A l'origine totalement innocente, cette expérience l'a fait entrer dans le monde des adultes dans tous les sens du terme.
Elle maîtrise 4 éléments par la concentration de sa volonté, le feu, l'eau, l'air et la terre, mais le feu est son élément de prédilection.
Elle ne sait pas se battre autrement qu'avec sa magie. Elle est bonne cavalière.
Jusqu'à ses 15 ans Ayame était vierge. Par la suite Hannibal a profité de son innocence. Elle n'a eut depuis ses 15 ans que des relations hétérosexuelles avec Hannibal, mais elle ne s'est jamais posé la question de son orientation sexuelle, ne comprenant ce qu'était un acte sexuel qu'assez tard.