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Dictature d'Ashnard / Re : Apprivoisement [Shayna]
« le: lundi 18 septembre 2017, 13:32:41 »
Il n'y avait rien de plus colérique qu'une Terranide sauvage à qui on enlevait sa liberté, pour la mettre en cage, surtout quand il s'agissait d'une race de prédateurs. C'était son pelage unique ainsi que sa bonne santé qui en avait fait la cible de ce safari, des jours durant des humains l'avaient traquée...mais elle s'était défendue. A moitié panthère, elle n'était toutefois pas qu'une bête, mais une Terranide, avec toutes les capacités de réflexion et d'adaptation que ça impliquait, couplé à un instinct de prédatrice et des armes naturelles pour tuer. Et elle avait tuée, plusieurs de ses traqueurs avaient perdu la vie en se frottant ses crocs et ses griffes, elle les avait tué de rage, ce qui était une première pour elle. Cette Terranide n'avait jamais vraiment éprouvé ce qui pouvait s'apparenter à de la haine, car elle n'éprouvait rien à l'égard des proies qu'elle tuait pour se nourrir...mais là, elle avait tué pour se défendre. Cela n'avait toutefois pas été suffisant, un de ses traqueurs avait réussi à la toucher avec une seringue emplie d'un produit, qui l'avait progressivement fait tomber dans un profond sommeil.
Quand elle s'était réveillée, elle s'était trouvée en cage...et s'était donc réveillée furieuse, rugissant et grognant sans arrêt, ne manquant jamais d'essayer de tuer quiconque osait s'approcher trop près d'elle, un autre de ses traqueurs avait d'ailleurs perdu sa jambe en s'approchant bien trop prêt. Elle avait alors saisi sa jambe à travers les grilles de sa cage, et avant que le somnifère qu'on lui injecta ne fasse effet, elle avait eu le temps de rogner cette jambe jusqu'au tibia.
Là, elle émergeait de nouveau. Sa cage était couverte d'un tissu noir qui bloquait sa vision, mais pas son odorat. Elle sentait des odeurs qui, encore une fois, ne lui étaient pas familères, pas naturelles, et encore une fois l'odeur de deux inconnus.
Graaaaaaaaah....
Elle se redressa sur ses pattes, alors qu'elle commença à respirer lourdement et à grogner. Le collier qu'on lui forçait à porter, et qu'elle ne pouvait pas retirer malgré ses efforts, la gênait et l'énervait. Le fait d'être entourée d'odeurs qu'elle ne connaissait pas, l'effrayait. Le fait d'être en cage, la rendait folle de rage. Ainsi, quand le tissu fut retiré, et qu'elle fit une silouhette humaine proche de sa cage.
GRAAAAAAAOUW !!! RWAAAAAAARRRR !!!!
La Terranide fonça en direction des barreaux de sa cage, les heurtant avec une force qui la fit trembler. Toutes griffes dehors, elle tendait ses pattes pour tenter de donner des coups de griffes en direction de cette humaine, tout en claquant de façon menaçante sa mâchoire.
RAAAAAWRRR !!!! GRWAAAAAAAARRRRR !!!!!
Se rendant vite compte qu'elle ne pourrait pas atteindre l'humaine, la Terranide commença alors faire des tours dans sa cage, en heurtant les barreaux ainsi que le toit fermé. Tout, elle essayait tout pour trouver une faille, en donnant de furieux coups de pattes et de tête. Elle voulait sortir, elle voulait sortir et tuer, rien d'autre ne comptait pour elle. Sortir, et tuer.
Elle tenta pendant de longues minutes de forcer une sortie de sa cage, mais elle se rendit vite compte que ce qui la retenait était très solide. Alors elle se reposa sur ses quatre pattes, essoufflée, elle entreprit de faire des tours dans sa petite cage. Elle regardait d'un air mauvais les deux femmes présentes dans la salle, la gueule toujours ouverte pour montrer ses crocs.
Grrrrrrrrr...Rrrrrrrrrr....Rrrrrrrrrrrr...
Elle grognait, en permanence, et c'était loin de ce que un Terranide Neko pouvait faire. Ses grognements étaient si "lourds" qu'ils se réverbaient dans le parquet au alentours immédiats d'elle, quand à ses rugissements de tout à l'heure, nul doute qu'ils avaient du être entendu dans une bonne partie du Harem.
Le message était clair. Approche moi, et je te bouffe.
Quand elle s'était réveillée, elle s'était trouvée en cage...et s'était donc réveillée furieuse, rugissant et grognant sans arrêt, ne manquant jamais d'essayer de tuer quiconque osait s'approcher trop près d'elle, un autre de ses traqueurs avait d'ailleurs perdu sa jambe en s'approchant bien trop prêt. Elle avait alors saisi sa jambe à travers les grilles de sa cage, et avant que le somnifère qu'on lui injecta ne fasse effet, elle avait eu le temps de rogner cette jambe jusqu'au tibia.
Là, elle émergeait de nouveau. Sa cage était couverte d'un tissu noir qui bloquait sa vision, mais pas son odorat. Elle sentait des odeurs qui, encore une fois, ne lui étaient pas familères, pas naturelles, et encore une fois l'odeur de deux inconnus.
Graaaaaaaaah....
Elle se redressa sur ses pattes, alors qu'elle commença à respirer lourdement et à grogner. Le collier qu'on lui forçait à porter, et qu'elle ne pouvait pas retirer malgré ses efforts, la gênait et l'énervait. Le fait d'être entourée d'odeurs qu'elle ne connaissait pas, l'effrayait. Le fait d'être en cage, la rendait folle de rage. Ainsi, quand le tissu fut retiré, et qu'elle fit une silouhette humaine proche de sa cage.
GRAAAAAAAOUW !!! RWAAAAAAARRRR !!!!
La Terranide fonça en direction des barreaux de sa cage, les heurtant avec une force qui la fit trembler. Toutes griffes dehors, elle tendait ses pattes pour tenter de donner des coups de griffes en direction de cette humaine, tout en claquant de façon menaçante sa mâchoire.
RAAAAAWRRR !!!! GRWAAAAAAAARRRRR !!!!!
Se rendant vite compte qu'elle ne pourrait pas atteindre l'humaine, la Terranide commença alors faire des tours dans sa cage, en heurtant les barreaux ainsi que le toit fermé. Tout, elle essayait tout pour trouver une faille, en donnant de furieux coups de pattes et de tête. Elle voulait sortir, elle voulait sortir et tuer, rien d'autre ne comptait pour elle. Sortir, et tuer.
Elle tenta pendant de longues minutes de forcer une sortie de sa cage, mais elle se rendit vite compte que ce qui la retenait était très solide. Alors elle se reposa sur ses quatre pattes, essoufflée, elle entreprit de faire des tours dans sa petite cage. Elle regardait d'un air mauvais les deux femmes présentes dans la salle, la gueule toujours ouverte pour montrer ses crocs.
Grrrrrrrrr...Rrrrrrrrrr....Rrrrrrrrrrrr...
Elle grognait, en permanence, et c'était loin de ce que un Terranide Neko pouvait faire. Ses grognements étaient si "lourds" qu'ils se réverbaient dans le parquet au alentours immédiats d'elle, quand à ses rugissements de tout à l'heure, nul doute qu'ils avaient du être entendu dans une bonne partie du Harem.
Le message était clair. Approche moi, et je te bouffe.
