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Messages - Michael De Santa

Pages: [1] 2
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Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: lundi 21 janvier 2019, 01:16:50 »
Dans un coin de sa tête, Michaël était vaguement en train de se dire que quelque chose n’allait pas. Que tout ça était... Irréel. Ce manoir hanté, cette femme d’une beauté incroyable qui lui faisait spontanément l’amour... Oui, tout ça puait méchamment, mais il était incapable de lutter. Elle tapait dans le vif, là où ça faisait mal. Michaël était quelqu’un de très frustré, contenant sa colère, sa frustration, notamment à l’égard de sa femme, Amanda, qui le trompait régulièrement (ce dont il était intimement convaincu, et était une source de colère supplémentaire). L’homme ne pouvait pas tenir devant les talents de cette femme, devant sa belle bouche sur son sexe, et avait donc pris les choses en main, accélérant en elle, grognant sur place, sentant toute cette frustration remonter, atteignant un point de crispation. Sa queue devenait un membre tendu, un muscle rougeâtre et sanguinolent qui lui donnait l’impression d’être en fusion dans la bouche de cette femme.

Il grognait encore, prenant ses aises, son rythme... Quand, subitement, elle le repoussa, témoignant d’une puissance qu’il n’aurait jamais cru capable. Surpris, Michaël se retrouva étalé au milieu du canapé, sa queue bien tendue, douloureuse, recouverte de salive, avec l’envie furieuse, lancinante, de bondir de nouveau vers elle. Au lieu de ça, il la vit retirer rapidement, et sensuellement, son corset, dévoilant un corps hypnotique, aux formes parfaites, avec une peau très douce, qui donnait envie de la lécher et de l’embrasser partout. Aucun défaut, aucune imperfection, il ne voyait là qu’un corps aux formes parfaites, un véritable diamant de chair !

*Putain !*

Elle se rapprocha alors, et souleva ses lourds seins, puis enserra sa trique autour de ses mamelons, avant de le masturber. Michaël grogna à nouveau, et ferma les yeux, s’écrasant contre le dossier du canapé. Il était comme un damné en train de succomber, incapable de lutter contre cette femme, incapable d’avoir même envie de lutter. Comment lutter contre ça ? Contre elle ?

« Hmmm, bordel... »

Il ferma les yeux, ses mains se crispant sur les cheveux de la femme, de sa mystérieuse et belle hôte.

« Bon Dieu de putain de bordel, hmmm... !! »

À ce rythme-là, il n’allait pas tarder à jouir, et il se relâcherait en plein sur elle !

2
Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: lundi 17 décembre 2018, 00:41:35 »
Encore une fois, il se fit la comparaison qu’elle avait l’âge de sa propre fille... Mais il était alors dans l’incapacité de penser à quoi que ce soit d’autre qu’elle. Cette femme avait ôté toute autre pensée de son esprit, lui donnant l’impression d’être dans une parodie de film pornographique. C’était pourtant bine ce qui se passait. Il avait débarqué ici par effraction, et, au lieu d’appeler la police, la séduisante et célibataire propriétaire des lieux, châtelaine moderne délaissée, s’offrait à lui. Avec son membre tendu, son vit turgescent et assoiffé, l’ancien bandit était dans une situation délicate, difficile, car il n’arrivait tout simplement plus à se contrôler, à se retenir, ou à rester calme. Cette femme le rendait fou, elle hantait ses pensées, faisait dériver son esprit, et le mettait aux abois. Il succombait donc avec délice aux invitations de la jeune femme, serrant ses doigts sur sa soyeuse chevelure, et ne tarda guère à imposer son rythme.

« Hmmm... Là, oui... ! »

Michaël avait toujours été un brin autoritaire. Il y avait en lui une profonde violence, une rage insoupçonnée qui venait de son enfance. Il avait eu une enfance difficile, régulièrement battu par un père alcoolique, avec une mère soumise et écrasée qui acceptait toujours les exactions de son père. Cette enfance redoutable avait marqué Michaël, et, en matière sexuelle, bien qu’il n’ait jamais battu ses amantes, il devenait assez souvent très brutal, un véritable mâle préhistorique, comme s’il se vengeait inconsciemment de toutes les fois où sa mère n’avait pas été à la hauteur. Et, en le titillant comme ça, Illunia avait réveillé chez Michaël cette soif ancestrale. Une pulsion qui explosait en ce moment, le faisant grogner sur place.

D’ailleurs, Illunia ne tarda pas à enchaîner sur une gorge profonde, qui le fit se pincer les lèvres. Il serra ses doigts sur ses cheveux, et, quand la femme commença à retirer ses lèvres, il la poursuivit, enfonçant sa queue d’un coup sec. Il resta là, maintenant la pression, puis recula encore, et réitéra, donnant de multiples coups de reins, cherchant à maintenir sa queue en elle, afin de savourer pleinement la bouche de la jeune femme.

« Là, Illunia, ouais... »

Damn, que c’était bon ! Et, sans le réaliser, mais avec délice, Michaël s’enfonçait peu à peu dans le stupre, dans les vices infinies, avec un plaisir sans cesse renouvelé.

3
Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: mardi 11 décembre 2018, 00:58:41 »
L’état de Michaël ne s’améliorait pas. Cette femme était... Terrible. Une tentatrice qui insufflait en lui des émotions fortes, une sorte de vague incroyable qu’il n’avait pas ressenti depuis... Depuis bien trop longtemps. Là, face à elle, elle le manipulait comme un jouet. Tout ce qu’il avait envie était de la baiser, de la baiser furieusement, mais l’intensité même de ce désir le surprenait. Il n’avait pas ressenti ça depuis des années, et la succube en profitait. Michaël ne croyait pas aux démons, et voyait en cette femme une sorte de sorcière, qui avait peut-être utilisé des produits aphrodisiaques dans son manoir. Qui sait ? Il n’était de toute manière clairement pas en état de réfléchir sainement. Sa queue lui faisait très mal, et, quand la femme retira enfin son pantalon, il put constater combien sa verge avait grossi. Elle déformait son caleçon, et la femme, au lieu de retirer ce sous-vêtement, s’amusa à le masturber à travers son caleçon.

« Hmmm... »

Soupirant encore, Michaël ne pouvait que la laisser faire, contraint et forcé, jusqu’à ce que quelque chose ne se débloque en lui. Elle était là, cette femme, agenouillée devant lui, lui rappelant ce que sa propre femme ne lui faisait plus depuis longtemps, et qu’il aimait bien... Une fellation. Une sorte de fantasme typiquement masculin qui était en train de s’exprimer en ce moment. Soupirant lourdement, il comprenait que cette femme cherchait à le frustrer, à le faire sortir de ses gonds... Et elle y arrivait !

Les mains de Michaël se crispèrent brusquement sur les cheveux rosâtres de la femme, et il grogna alors, puis tira sur son caleçon, libérant enfin sa queue. Son sexe était bien tendu, prêt à craquer. Michaël s’était en réalité rarement retrouvé dans une telle situation, avec une telle trique entre les cuisses. Son membre l’élançait douloureusement, et il sentait contre son sexe le souffle des lèvres de la jeune femme. Michaël l’observa donc, et posa sa main sur son sexe, grondant sur place, avant de l’approcher du visage de la femme.

Sa queue heurta son nez, puis descendit encore, se rapprochant de ses lèvres.

« Prends ma queue en bouche, ma belle... Suce-moi ! »

Qu’elle le veuille ou non, il guidait de lui-même son membre turgescent, afin qu’elle puisse s’occuper de son vit endolori et assoiffé.

4
Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: lundi 03 décembre 2018, 01:04:24 »
Très clairement, Michaël n’en menait pas large. Cette femme était redoutable, et sa présence continuait à le perturber, à le troubler. Qu’est-ce qui se passait ici ? Michaël avait souvent entendu des rumeurs folles sur cette ville, notamment sur le lycée Mishima, qu’on accusait de quantité de choses délirantes. Et là, il avait chaud. Ses vêtements le serraient, et il grommelait doucement sur place, sa queue l’élançant douloureusement. Michaël buvait pour oublier sa frustration, pour accuser le fait qu’il n’arrivait plus à bander avec sa femme. Comme un vieux radeau à la dérive, il se faisait souvent l’esprit d’un individu à la dérive. Et cette femme, cette étrange créature avec sa queue caudale qui s’enroulait autour de sa cuisse... Elle continuait à se déplacer autour de lui, ses mains palpant son corps, descendant de plus en plus, jusqu’à aller sous le nombril. Des doigts fins et gracieux, qui caressaient sa peau, et qui heurtaient la boucle de sa ceinture, s’apprêtant à passer dessous.

« Dieu... » murmura-t-il.

Il avait la gorge sèche, totalement asséchée, et la femme lui indiqua alors qu’elle n’était pas une sorcière, mais une succube. Michaël frémit doucement, persuadé d’avoir été drogué, et prit cela au second degré. Elle s’était postée devant lui, ses seins frottaient son torse, il sentait le souffle de ses lèvres sucrées sur les siennes, un délicieux et irrésistible appel. Michaël trembla encore, frémissant sur place, son regard captant celui de la femme.

« Une succube... »

Diable, elle l’avait l’âge de sa fille ! Mais elle le faisait clairement bander comme un putain de taureau ! Michaël déglutit encore, et se pencha alors vers elle. Ses mains se posèrent presque instinctivement sur le corps de la femme, et ils cella ses lèvres aux siennes, partageant avec elle un délicieux baiser. Son membre en érection l’élançait très douloureusement, et les coups sourds et les gémissements qu’il entendait de cette maison de plaisir ne l’aidaient clairement pas à conserver son calme. Au lieu de ça, il sombrait tout doucement.

Les lèvres de cette femme étaient magnifiques, et chaque seconde passée à l’embrasser était comme un pas supplémentaire dans cette tornade rose de désir qui s’emparait de tout son corps.

Cette fille... Elle avait beau avoir l’âge de sa fille, elle était d’une beauté incroyable ! La logique commençait à se débrancher dans la tête de Michaël, au profit d’une queue de plus en plus grosse, et particulièrement douloureuse !

5
Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: lundi 26 novembre 2018, 00:41:54 »
Michaël n’en menait vraiment pas large. Cette étrange fille aux yeux vairons continuait à le troubler. Il avait la gorge sèche, et des frissons partout, ainsi qu’une étonnante et désagréable sensation... Une sensation qui lui rappelait la première fois qu’il avait vraiment été conquis par une femme, la première fois qu’il avait vraiment bandé. C’était la fois où il avait rencontré Amanda, à une autre époque, et à d’autres lieux. À cette époque, Michaël faisait affaire avec Trevor et d’autres membres de leur gang, comme Lester Crest ou Bradley Snider. Ils écumaient alors les différents États du pays en commettant des rapts et des vols. Ils s’étaient reposés à un club de strip-tease merdique avec un bordel au premier étage, et Michaël, une bouteille à la main, avait vu le show d’Amanda. Elle était alors déguisée en une superbe call girl, avec un short rouge moulant et brillant, qui lui donnait l’impression d’une rivière de perles. Tandis qu’elle faisait son show en dansant sur les notes de Boys Don’t Cry, psalmodiant de ses lèvres brillantes « I Wanna Be A Cow-Boy », il l’avait regardé danser, et avait bandé comme un taureau... Encore pire que l’époque où il était quaterback et où il s’était envoyé en l’air dans les vestiaires du gymnase avec Sherry, une pom-pom girl trop belle pour être honnête.

Des bruits de pas amenèrent Michaël à sortir de ses pensées. Revenant à la réalité, il vit une étrange femmeavec de longs cheveux bleus noués en de longues tresses descendre les marches. Elle portait un haut blanc fin, presque transparent, mettant en valeur sa superbe poitrine, et se rapprocha d’Hitsuko. Comme un automate, celui-ci la suivit

« Merde, mais c’est quoi ce merdier ? »

Semblant comme statufié, Michaël avait une respiration lourde et profonde, tandis que la femme se mit à lui tourner autour. Quand elle se glissa dans son dos, il frémit en sentant l’ourlet de ses seins contre son dos, et ses mains glissant sur son torse. Elle souleva d’une main son vêtement, et sentit son corps, musclé, poilu, mais avec un peu trop de graisse. Michaël ne s’entretenait plus comme avant, lui qui passait son temps à boire et à s’avachir dans son salon en regardant des films d’action.

Elle lui parla encore, et Michaël frémit à nouveau, avant de tourner la tête vers elle. Il avait beau avoir 45 ans, et cette gamine avait beau avoir l’âge de sa fille, elle l’excitait furieusement. D’une main, elle glissait sous son vêtement, remontant ainsi, et, de l’autre, se rapprochait de son sexe, qui devenait très serré dans son pantalon. Michaël grommela à nouveau, le souffle court, et réussit à la regarder de nouveau, capté par ses seins et par la forme pulpeuse et agréable de ses lèvres. Les sons s’échappant de sa bouche étaient onctueux, un véritable délice, continuant à perturber Michaël, qui sentait également sa queue caudale glisser sur ses cuisses.

Fugacement, il repensait à toutes ces histoires folkloriques circulant sur cette ville, et dont il n’avait jamais cru.

« Tu... Tu es une sorcière ou quoi... ?! »

Il entendait des soupirs venant d’en-haut, là où Hitoshi était parti. Michaël hésitait alors. Au fond de lui, une voix avait peur, lui soufflant que rien de tout cela n’était normal... Mais, dans son âme, une voix plus forte lui glissait de se laisser aller, de succomber à la tentation...

...Et de baiser cette nana !

6
Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: lundi 19 novembre 2018, 00:47:52 »
Michaël n’aimait pas ça, tant sur le principe que sur les modalités d’exécution. Il n’avait aucune arme à feu ! Un grand changement par rapport aux États-Unis, où il n’aurait jamais envisagé une telle opération sans sentir un pistolet contre sa cuisse. Seulement, les armes à feu étaient bien plus régulées au Japon qu’aux États-Unis. Il était extrêmement difficile de s’en procurer à Seikusu, sauf à se rapprocher de certains gros groupes, comme les Yakuzas ou la Mafia russe. Très peu pour Michaël, qui espérait que cette opération serait un coup sans lendemain. Hitoshi ouvrit donc la porte, et le duo pénétra dans une antichambre, un vestibule donnant directement sur un salon... Où Michaël écarquilla les yeux en voyant de la lumière, un fauteuil... Et une femme assise dessus.

*Merde ! Merde, merde, merde !*

C’était quoi ce bordel ?!

« Hein ?
 -  Hitoshi, putain... Tu t’es foutu de ma gueule ! »

Le Japonais semblait aussi surpris que Michaël. Ils s’étaient attendus à une maison poussiéreuse, voire éventuellement à tomber sur des squatteurs... Au lieu de ça, la maison semblait particulièrement propre, mais ce ne fut pas ça le pire. Michaël vit devant lui la femme se relever. Ne semblant nullement surprise de les voir, elle se redressa. Il haussa doucement les sourcils en voyant une sorte de queue caudale rouge glisser dans le dos de la femme, sans être davantage surpris. Au Japon, il existait quantité d’accessoires particuliers, des gadgets futuristes. Les Japonais adoraient ça, et il se disait donc que ce n’était qu’un gadget.

La femme était en revanche... Très bizarre. Un tel aplomb signifiait qu’elle n’avait pas spécialement peur de ce duo imprévu. Michaël regarda encore Hitoshi, persuadé que ce dernier lui avait joué une entourloupe... Mais le Japonais semblait aussi étonné que lui. Michaël regarda encore la femme. Elle était indéniablement très bien foutue, avec un look atypique qui ne le laissait pas indifférent. Puis l’homme entendit alors du bruit venant d’en haut, comme des espèces de hurlements diffus, et regarda encore la femme, qui leur avoua sans ombrages qu’une femme était en train de se faire « baiser ».

*Mais c’est quoi ce bordel ?*

Décontenancé, il l’observa encore, ressentant progressivement une sorte d’inexplicable attrait pour elle. Pour son malheur, il ne faisait pas l’amour aussi longtemps qu’il le voudrait. L’homme cligna donc des yeux à plusieurs reprises, faisant preuve d’un meilleur caractère qu’Hitoshi, qui était en train de succomber aux formes voluptueuses de cette femme.

« Merde... Vous êtes qui, bordel ?! » s’exclama-t-il, essayant autant que possible de ne pas croiser le regard de cette femme, au vu des pulsions qu’elle était en train de lui inspirer.

Ce cambriolage était en train de tourner au vrai désastre...

7
Les alentours de la ville / Cambriolage [Illunia]
« le: mardi 13 novembre 2018, 01:09:30 »
Michaël n’aimait pas ça. Clairement pas.
 
« C’est un coup facile, lui assura encore Hitoshi, sans aucun risque. Cette vieille maison est abandonnée.
 -  Pourquoi vouloir la voler, alors ? »
 
Hitoshi secoua doucement la tête, visiblement agacé par la lenteur d’esprit de son comparse. Son plan était imparable. Du moins, c’est ce qu’il estimait. L’homme avait une connaissance dans un cabinet d’avocat, une secrétaire juridique qui lui avait parlé d’un dossier particulier. Une indivision successorale qui traînait depuis des années suite au décès d’une femme. Les héritiers, qui vivaient tous à l’étranger, se battaient pour l’acquisition de cette mission. L’une des branches de la fratrie faisait volontairement durer la procédure, afin que le bien perde de sa valeur, mais, faute d’accord entre les héritiers, aucun partage n’avait eu lieu. D’après les informations d’Hitoshi, le manoir abritait encore des biens d’une bonne valeur marchande, la femme décédée ayant jadis été une collectionneuse assez riche.
 
Ce plan ne disait trop rien à Michaël, qui avait été abordé dans le bar où il avait l’habitude de traîner. Depuis qu’il avait quitté les États-Unis, l’homme avait raccroché, mis fin à sa vie de forban, de criminel endurci. Mais les factures continuaient à affluer. Sa fille lui coûtait une fortune, tout comme sa femme, qui enchaînait les professeurs particuliers, sans parler de son fils, qui réclamait sans cesse un équipement high tech de pointe… Tous ces évènements avaient amené Michaël à accepter cette mission, avec la promesse de toucher une part des bénéfices. Il avait fait preuve de ses talents au bar lors d’une rixe imprévue, quand des membres d’un clan rival à celui d’Hitoshi avaient attaqué le bar en voulant s’en prendre à Hitoshi. Depuis lors, Hitoshi avait compris que Michaël était un individu particulier, et lui avait donc proposé de travailler pour lui.
 
Ils se trouvaient donc là, tous les deux, dans une fourgonnette à l’orée de la ville. La nuit s’était abattue sur le Nippon, et le manoir ne tarda pas à apparaître. Un grillage antique l’entourait, et la végétation était abondante, légèrement en friches.
 
« C’est parfait, je te dis !  Il n’y a même plus de courant, rien ! La baraque est à l’état d’abandon ! Des montagnes d’or qui croupissent sous nos pieds !
 -  Que tu dis » objecta-t-il lentement.
 
Hitoshi soupira lentement, un sourire confiant sur les lèvres.
 
« Ne sois pas si défaitiste, mon ami. C’est toi qui viens du pays des opportunités, non ? »
 
Ils sortirent du véhicule, enfilant des cagoules et des gants. Débrouillard, Hitoshi avait ses rossignols, qu’il utilisa pour ouvrir le portail principal. Michaël regarda nerveusement autour de lui. Le coin était plutôt isolé, et aucune voiture ne passa par là.
 
« Allez, bébé, allez… Et, et… Là ! »
 
Dans un grincement ancestral, la grille s’ouvrit lentement, et le duo s’aventura dans le jardin, rejoignant la porte d’entrée.
 
« Bon… On trouve les bibelots, on les embarque dans le fourgon, et on se taille, okay ?
 -  Mmmhm… »
 
Cette situation ne lui plaisait toujours pas, tant elle était risquée.
 
« Finissons vite, et foutons le camp d’ici.
 -  Ouais, ouais… Cool, sérieux ! »
 
Hitoshi avait un look particulier. Il était rasé sur les côtés, et les cheveux restants sur son corps formaient de longues tresses filant au milieu de son dos. Enfin, des tatouages ornaient le haut de son crâne, dessinant de curieuses arabesques. Un look atypique, tandis qu’il crocheta la porte d’entrée.
 
Les deux hommes s’infiltrèrent ainsi dans la maison…

8
One Shot / Re : Une nuit à Seikusu [PV]
« le: dimanche 02 septembre 2018, 17:21:10 »
Michaël s’était relâché dans le corps de cette nana. Jouir lui permettait d’avoir les idées un peu plus claires. Il aurait dû repousser cette femme, ouvrir la porte, et lui dire de sortir. Elle devait à peine avoir l’âge de sa fille, et encore… Mais, plus Michaël y songeait, et plus il rejetait cette idée. Sa femme le trompait ouvertement. Leur histoire de rêve était devenue un lent cauchemar, un poison insidieux qui se répandait dans leurs veines, et contre lequel il ne pouvait rien faire. Michaël subissait depuis des années, devenant plus renfermé, plus agressif, plus instable, contenant en lui toute sa fureur, mais aussi, dans une certaine mesure, toute sa frustration. Le miracle avait voulu qu’il extériorise sa colère, de sorte qu’il n’avait encore jamais été jusqu’à battre sa femme ou ses enfants… Mais la tentation de gifler Amanda était parfois très forte. Et là… Là, oui, tandis que cette jeune adolescente frottait ses seins contre son visage, et qu’il massait fermement ses fesses, avec sa queue qui venait de copieusement juter en elle, Michaël se sentait revivre. Tifa simulait sans doute, mais il voyait la sincérité en elle. Elle avait conscience d’être tombée sur un bon coup, sur un client en manque, quelqu’un avec qui elle pouvait tisser une relation. Ce genre de lien était très important, et Michaël savait donc que la jeune femme ferait tout pour le conserver, pour l’entretenir, et pour qu’il revienne la voir. Pour ça, la solution était simple : lui faire preuve de tout son talent.

L’homme sourit doucement quand Tifa proposa de faire l’amour sur le capot, avant de rejeter cette idée. Le moins qu’on puisse dire, en effet, est qu’elle ne manquait pas d’idées.

« Ma foi, ça ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd, ça, bébé… »

Dans une certaine mesure, il se sentait revivre. Cet entrain, cette vigueur, le plaisir manifeste que cette jeune poupée semblait avoir en couchant avec une vieille épave comme lui… Et, mine de rien, tout ça était tout de même très gratifiant. Un homme restait toujours un homme, avec sa fierté et sa virilité masculine, même en dépassant la quarantaine. Elle proposa de le sucer ensuite, et Michaël, qui avait toujours la queue à l’air, sourit brièvement.

« J’ai quelques studios proches, ouais… Des logements pour étudiants, et l’un est vide. On y sera d’ici une dizaine de minutes, le temps pour toi de réveiller ma vigueur… »

Encore une chose qui n’était pas tombée dans le vide, surtout que sa douce main aux doigts fins s’amusait à le caresser. Michaël soupira en la sentant se rapprocher, ferma les yeux pendant quelques secondes, puis accéléra. Il mettait normalement dix minutes, mais, avec un visage entre ses cuisses… Tenant le volant d’une main, Michaël caressa le visage de Tifa avec l’autre, enfouissant ses doigts dans ses cheveux, et continua à rouler, agrippant le cerceau aussi bien qu’il le pouvait, tout en rejoignant progressivement son logement.

Michaël réussit à se contenir pendant le trajet, mais termina avec une belle érection en rejoignant le parking de la résidence. Il s’arrêta là, et invita Tifa à se relever. Toutefois, si le projet initial était de rejoindre le studio, Michaël avait une trop grosse trique pour y aller comme ça… Et ce d’autant que le parking n’était pas éclairé, et qu’il s’était garé dans un coin.

« Allez, bébé… »

Il sortit donc de la voiture, et, dès que Tifa en fit de même, la poussa doucement, venant la plaquer sur le capot encore chaud de la voiture, l’embrassant à nouveau. Les amortisseurs couinèrent lentement, sa queue trempée se frottant contre les cuisses de la femme, pendant qu’il fourrait sa langue dans sa bouche, s’unissant à elle, retrouvant l’envie, un désir frénétique qui venait le stimuler, glissant dans ses membres et dans sa chair.

« Retourne-toi… Que je te baise bien fort ! »

9
One Shot / Re : Une nuit à Seikusu [PV]
« le: dimanche 12 août 2018, 21:49:00 »
Michaël était en train de prendre son pied en réalisant que cette nana était probablement la plus belle fille qu’il ait jamais vu. Il savait qu’Amanda avait fait de la chirurgie esthétique, mais elle... Comment tout cela pouvait être naturel ? Seikusu était vraiment une ville incroyable pour déceler de telles perles ! Michaël ressentait envers elle une furieuse pointe de désir, et sentit encore Tifa danser sur lui, se cambrant en avant, plaquant son visage contre ses seins, enfermant sa figure sur sa poitrine, lui faisant respirer une profonde bouffée d’amour pur. Oh, cette sensation ! Michaël se frotta contre elle, sentant Tifa accélérer encore. Elle lui assura qu’elle avait 19 ans, et lui posa ensuite, entre plusieurs soupirs, une question très rhétorique.

« Pu-Putain ouais, bébé, hmmm... Et ça se limite pas qu’aux putes ! »

L’homme retrouvait en lui de la vigueur, de la force, et, pour une fois, celle-ci ne venait pas uniquement pour lui donner envie de casser la figure de quelqu’un. Il se tapait cette nana, et c’était... C’était bon, tout simplement. Foutrement et magnifiquement bon. Pour rien au monde, Michaël n’aurait souhaité être ailleurs. Là, sa queue se mouvait avec plaisir dans l’antre intime de Tifa, et il caressait ses hanches, revenant régulièrement pincer son cul, tout en la sentant danser plus frénétiquement sur lui. La Camaro se mit à grincer dans tous les sens, et, à l’extérieur, on pouvait voir les amortisseurs se mettre à l’épreuve, la voiture descendant et remontant, au fur et à mesure que, à l’intérieur, Tifa dansait sur lui.

La jeune prostituée mouillait, et ça, Michäel le sentait. Il s’était suffisamment habitué à baiser la chatte sèche de sa femme pour sentir la différence, pour sentir le liquide affluer autour de son sexe. Le brave homme soupira longuement, reculant sa tête pour la voir. La tête de Tifa frôlait régulièrement le plafond, et il sentait les mains de l’adolescente s’appuyer sur ses épaules, le griffant parfois involontairement, tandis qu’elle continuait à danser. Le spectacle visuel et sonore que Tifa offrait était indescriptible. C’était un concert époustouflant, de toute beauté, qui ne le laissait pas indifférent, loin de là.

De fait, Michaël était tellement sous le charme, il était tellement revigoré, que sa queue lui faisait mal, et avait bien durci... Jusqu’à se relâcher en elle. Au bout de plusieurs minutes, l’homme se mit à jouir, relâchant sa semence dans le corps de la femme, serrant alors avec ses deux mains le délicieux cul de la femme, et retournant régulièrement lécher et mordiller ses seins. Il jouit donc en blottissant sa tête contre la moelleuse poitrine de Tifa, s’abandonnant longuement dans son corps.

« Bordel, bébé... ! »

Michaël ferma les yeux pendant quelques secondes, s’adossant contre le dossier du fauteuil.

« Je crois que j’ai pas ressenti un tel pied depuis... Depuis bien trop longtemps. »

Tifa devait sans aucun doute sentir qu’elle avait ici une bonne carte à jouer pour faire de Michaël un client très régulier. L’homme avait joui en elle, et, en l’état, il ignorait totalement si c’était réciproque, et il savait que Tifa ne lui dirait pas la vérité. Il l’observa donc encore, et remonta sa main, venant caresser la joue de la femme.

« Tu vends du rêve, j’espère que tu le sais, ça... »

10
One Shot / Re : Une nuit à Seikusu [PV]
« le: dimanche 12 août 2018, 18:55:09 »
Cette scène avait de quoi exciter Michaël, car il s’agissait en réalité de l’un de ses fantasmes. Quand il avait acheté cette voiture, c’était à une époque où il espérait encore pouvoir sauver son mariage, ou, tout du moins, où il se croyait encore amoureux d’Amanda. Il voulait s’envoyer en l’air dans une voiture, comme ils avaient pris l’habitude de le faire il y a quelques années, sur un autre continent, dans une autre vie. À l’époque, Amanda l’aimait vraiment, ou, tout du moins, il le croyait. Il allait la voir au club, et il attendait patiemment qu’elle sorte de sa loge pour s’envoyer en l’air avec elle dans sa bagnole. C’était leur sorte de rituel, un rite qu’il avait voulu faire revivre en achetant cette Camaro... Mais pour rien. Ils faisaient l’amour de façon très classique, sans saveur, sans passion. Il ne savait même pas si elle jouissait, et il lui arrivait aussi de s’arrêter en plein mouvement, quand il n’avait pas tout simplement une panne sexuelle... À tel point qu’il s’était même demandé, parfois, s’il n’était pas devenu impuissant à force de picoler.

Mais là, les doutes étaient levés. Tifa avait réveillé une superbe trique, et Michaël frissonnait, en sentant quelque chose remonter en lui. Une joie qu’il n’avait pas ressenti depuis plusieurs années, maintenant, une énergie insoupçonnable, de celle qui vous donnait envie de renverser des montagnes, de franchir des océans à mains nues.

« Ouais, grimpe, bébé... »

Il avait encore laissé la clef sur le contact, et une douce musique était en train de remonter des enceintes. L’un des morceaux préférés de Michaël, à l’époque de son enfance, une musique romantique qu’il aimait écouter avec Amanda, et dont les accents mélancoliques se mélangeaient à des notes sensuelles, formant un doux accompagnement tandis que Tifa se mettait en position, une main sur son épaule, l’autre serrant sa grosse queue assoiffée pour la fourrer dans sa chatte : « Waiting For A Girl Like You », de Foreigner, un slow rock, tandis que Tifa s’enfonçait sur son verge.

Michaël grogna doucement, et posa ses mains moites sur les hanches nues de la femme, serrant sa peau, voyant ses gros seins remuer devant lui. Sa main se saisit de ses cheveux, et il l’embrassa. Elle pouvait sentir, outre son haleine d’alcool, sa soif, ses lèvres se pressant furieusement contre les siennes, goûtant à la saveur des siennes. Des lèvres fraîches, tendres, une haleine de Princesse, rien à voir avec l’haleine aseptisée et empoisonnée d’Amanda, une bouche qui lui rappela encore sa jeunesse, ces années perdues et jetées au loin... Sa queue sembla l’élancer encore plus douloureusement, gonflant dans le corps de cette femme, dans sa chatte étroite. Presque automatiquement, l’une de ses mains descendit, et pinça le cul de Tifa, malaxant l’une de ses fesses, tandis qu’elle continuait à danser sur lui, faisant doucement remuer les amortisseurs de la Camaro.

« Putain ouais, ce que t’es bonne, salope... »

Il serrait les dents en grognant, et laissa s’échapper un léger râle de plaisir, avant d’approcher son visage des seins de la femme, une grosse poitrine. Il ne se faisait aucune illusion là-dessus. Tous les clients de cette femme avaient déjà dû passer dessus, et elle n’eut d’ailleurs aucune difficulté à soulever son débardeur, faisant brièvement rebondir ses seins. Puis sa bouche s’y attaqua, et il lécha l’un des tétons, avant de le suçoter, fermant brièvement les yeux devant cette poitrine.

Michaël s’arrêta alors, et regarda la femme, subissant sa première surprise après quelques minutes avec cette étonnante prostituée :

« Ma parole, ils... Ils sont naturels ?! »

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One Shot / Re : Une nuit à Seikusu [PV]
« le: dimanche 12 août 2018, 14:54:17 »
La Chevrolet Camaro de Michaël se remarquait vite. Il avait d’autres voitures, mais avait pour habitude de sortir avec celle-ci. Boîte de vitesse automatique, radar de recul, limitateur de vitesse… La Chevrolet pouvait presque se conduire les yeux fermés. C’était un modèle avancé, avec une sorte de quasi pilotage automatique grâce au système GPS intégré, et à des capteurs et des détecteurs de mouvement permettant d’alerter le conducteur quand il se rapprochait trop près d’un obstacle, et d’adapter la vitesse de la voiture en fonction. Il était ainsi possible d’activer un mode de pilotage automatique pour limiter les risques, ce qui était parfait quand, comme Michaël, on avait trop bu.

Toujours est-il qu’il avait fait sa proposition à la nana, qui accepta donc, en lui garantissant qu’il ne penserait plus à ses problèmes. Michaël sourit légèrement. Il avait vaguement conscience que ce qu’il faisait était immoral, qu’il allait tromper Amanda… Mais, comme son mariage n’existait plus depuis longtemps, et qu’il avait cessé de croire aux contes de fées, pour quelle raison se priverait-il ? Il grimpa à l’intérieur de sa voiture, et, juste avant de démarrer, se rappela alors qu’il était préférable de décliner son identité :

« Je m’appelle Michaël, au fait. Dis-moi comment je dois t’appeler. »

Il n’était pas naïf au point de croire qu’une prostituée pouvait vraiment s’appeler Suzi, Candy, Tracy, ou ce genre de noms à la con. Tifa se présenta donc, et proposa de commencer directement. Michaël la regarda pendant quelques secondes… Pour prendre alors conscience qu’il était en train d’avoir une furieuse érection. Cette fille, avec ses seins monstrueux, sa minijupe, et son corps athlétique, avait tout pour plaire, sans parler de sa longue chevelure brune, de ses joues, de la forme globale de son visage. Michaël déglutit lentement, et se racla ensuite la gorge, puis démarra doucement le moteur.

« Pas sur le trottoir, beauté, mais… Tu peux commencer par soulager un peu ma queue. »

Elle n’avait qu’à se pencher vers lui pour déboutonner sa ceinture, et ainsi accéder à son sexe. Tandis qu’elle s’affairait, Michaël tentait de tenir le volant, et de se déplacer. L’écran de bord se mit en marche, avec une voix féminine qui se mit à résonner :

« Bonsoir Michaël, il est 00h57. Souhaitez-vous retourner chez vous ?
 -  Enclenche… Enclenche le pilotage automatique, pas de direction particulière.
 -  Pilotage automatique enclenché. »

Michaël ferma les yeux en sentant sa queue à l’air libre, et posa sa main sur les cheveux de Tifa, pour amener rapidement son visage près de son sexe, et s’assurer que ses lèvres s’attaquent bien à son chibre.

« Là, bon sang… »

Il tourna à gauche, et s’engagea sur un parking, où il se gara dans un coin, et s’arrêta. Sa queue se mettait à gonfler et à enfler sous les lèvres de sa partenaire, et il serra plus fortement encore ses cheveux, fermant encore les yeux.

« Grimpe sur moi, Tifa… Danse sur ma queue ! »

Oui, il y avait fort à parier que cette femme l’aiderait à tout oublier ce soir…

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One Shot / Re : Une nuit à Seikusu [PV]
« le: dimanche 12 août 2018, 12:07:06 »
Bien que bourré, Michaël était encore suffisamment conscient pour comprendre plusieurs choses. Cette nana devait avoir l’âge de sa fille, à peu de choses près. Et le fait est qu’elle était dans un coin un peu reculé. Soit son mac était un pur incompétent, soit elle n’en avait pas. La prostitution était une activité très importante au Japon, très bien organisée, avec un important réseau parallèle, mafieux, visant à prostituer les adolescentes, et même des gamines. Michaël savait qu’à Seikusu, les prostituées indépendantes devaient s’éloigner des zones d’attractivité centrale. Sinon, les macs et les Yakuzas leur tombaient dessus. Ils n’aimaient guère la compétition sauvage. Le fait de tomber sur une indépendante garantissait plusieurs choses. D’une part, il ne serait pas surveillé par un mac, et, d’autre part, il pouvait sortir des clous. Peut-être que cette gamine aimait vraiment ça, ou peut-être qu’elle avait besoin de fric pour payer son loyer. La dernière option l’arrangeait, car, de l’argent, Michaël en avait tout le tour du ventre. On avait beau dire que le crime ne payait pas, dans son cas, c’était inexact. Michaël avait amassé beaucoup d’argent à l’époque où il était un criminel aux États-Unis, et avait su faire fructifier son argent en le plaçant dans divers fonds d’investissement, en achetant quelques appartements à Seikusu pour se lancer dans la location, et ce genre de choses.

30 000 yen, ça faisait environ 270 dollars. Il hocha doucement la tête. Une heure… Il rentrerait chez lui en pleine nuit, et… En fait, Michaël n’avait pas envie de rentrer tout court. Et ils étaient proches d’un studio qu’il utilisait pour la location. Un meublé pour étudiant, mais actuellement vide, dans une sorte de cité étudiante privée.

« Et si je te veux pour toute la nuit, poupée ? » demanda-t-il.

Il sortit son porte-feuilles, et sortit plusieurs laisses de billet. Il y avait là-dedans un sacré paquet d’argent : 100 000 yen, soit plus de 900 dollars américains.

« Je t’en offre le double si tu arrives à me faire oublier cette nuit ma journée de merde, poupée. »

En tout, la jeune prostituée pouvait presque se faire 3 000 dollars en une nuit. Une somme mirobolante, surtout pour une jeune femme qui se contentait des miettes. Elle devait se farcir son lot de dockers, d’ouvriers, de chômeurs désabusés dépensant leurs dernières indemnités de licenciement pour s’offrir une pipe dans une ruelle. Les gens fortunés n’allaient pas voir des indépendantes, ils préféraient les filles des Yakuzas, s’assurant d’une meilleure fiabilité, et de ne pas tomber sur une entourloupe.

Tout en lui donnant les yens, Michaël déverrouilla la voiture, mais conserva dans sa main la liasse de 100 000 yens, attendant l’accord de la femme.

« Mais toute la nuit, okay ? Et je te fais ce que je veux. Enfin… Je vais pas te mutiler ou te battre, poupée, mais là, tu vois, j’ai eu une sacrée journée de merde, alors j’ai besoin de baiser comme jamais, et de me rappeler l’époque où j’avais pas de marmots, ni une putain de salope de femme qui me trompe avec un enfoiré de pédé d’enculé de merde de prof’ particulier, alors… Je veux juste te baiser dans tous les sens possibles, et me vider les couilles en toi toute la nuit. »

Le plus probable était sans doute qu’il finirait par dormir, mais il voulait l’avoir près d’elle, cette poupée. Comme il l’avait dit, elle lui rappellerait le bon vieux temps. Celui où il croyait encore à l’amour, et où le fait d’avoir de l’argent lui permettrait d’avoir une vie heureuse et épanouie.

Mais encore fallait-il qu’elle accepte…

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One Shot / Une nuit à Seikusu [PV]
« le: dimanche 12 août 2018, 00:17:08 »
Il observa le fond de son verre en étouffant un grognement, puis finit son verre de saké d’un trait, avant de lever la tête. Les pubs étaient fort heureusement assez fréquents à Seikusu. Ce soir, Michaël n’aurait pas supporté de se rendre dans un bar japonais et de risquer d’entendre de la J-Pop. Pas ce soir. Il finit le verre, et le reposa sèchement, avant de lever la tête vers le barman.

« Un autre », commanda-t-il.

Le barman le regarda silencieusement, et laissa planer plusieurs secondes, avant de finir par lui répondre :

« Tu es sûr ?
 -  Je suis venu à pied, putain, verse ! » s’agaça-t-il.

C’était un mensonge, mais, en ce moment, abîmer sa Chevrolet Camaro était le cadet de ses soucis. Michaël avait pourtant tout ce dont un homme pouvait rêver. De l’argent. Un travail. Une maison de luxe dans les beaux quartiers avec une saloperie de piscine, un grand jardin, une femme, et deux enfants. Sa fille était une nymphomane en manque qui, à l’heure actuelle, devait sûrement s’envoyer en l’air avec un mac, et son fils un pervers qui traînait sur Internet et passait son temps à surfer sur le Web pour rencontrer des dealers. Avec eux, Michaël avait de quoi raconter à son psychiatre, et son lot d’antidépresseurs à prendre… Mais tout ça n’était rien par rapport à sa femme, Amanda, une ancienne stripteaseuse et prostituée. Michaël avait cru pouvoir faire d’elle une parfaite épouse, mais elle passait son temps à dilapider son argent pour des cours particuliers avec des connards arrogants qui lui tapaient sur le système.

Tandis que le barman hésitait, Michaël continuait à ruminer sur la journée.

« Putain de bordel de merde d’enculé de Jaune… »

Il était rentré chez lui plus tôt que prévu, et avait surpris sa femme lors de son cours de yoga. Le professeur, un type musclé d’une vingtaine d’années, se livrait à une pose spéciale avec sa femme, vêtue d’un court bikini rose, en se glissant dans son dos, et en mimant une levrette, le tout sous une musique assourdissante qui sortait de sa chaîne Hifi. En voyant ça, Michaël avait ordonné au type de se calmer, et, devant le sourire arrogant de ce dernier, avait tenté de le frapper… Pour se retrouver dans la piscine, tandis que l’autre continuait à pérorer sur ses délires mystiques, et à emballer sa femme sous ses yeux.

Michaël était sorti de la piscine, et avait récupéré une batte de base-ball, avec laquelle il avait fracassé le crâne du professeur de yoga, l’envoyant se clouer au sol. Michaël l’avait ensuite traîné dans la maison, pensant initialement à l’attacher au capot de sa voiture pour lui faire un trip’ en pleine ville, mais Amanda l’avait stoppé en le giflant, lui hurlant à la figure qu’il n’était qu’un « sale connard irascible », jurant qu’elle allait demander le divorce. Finalement, Michaël était parti, probablement en la traitant de « salope », de « connasse », et très sûrement, comme à chaque fois, de « sale pute nympho’ ». Les souvenirs étaient à vrai dire assez confus. Il avait calmé sa rage en allant au club de boxe, se défonçant contre un punching ball, avant de finir par boire.

« Je regrette, Mike, mais, la dernière fois que tu as trop bu ici…
 -  Merde, je t’ai dit que j’étais désolé, Steve !
 -  Pas autant que moi et le mobilier que j’ai dû remplacer. Si l’autre avait porté plainte, je…
 -  Ce connard m’avait emmerdé !
 -  Peut-être, mais c’était pas une raison pour le balancer sur le billard et tenter de le violer avec l’une des queues de billard ! »

Michaël grommela sur place, et se redressa finalement, avant de sortir.

Dehors, il faisait maintenant nuit. L’air frais accueillit son visage, et Michaël s’avança lentement. Il ne savait plus où il avait garé sa Camaro, et il avait de toute manière besoin de marcher. Tout en marchant, l’homme s’approcha de plusieurs femmes en tenue affriolante, et les observa brièvement, voyant des tenues moulantes, des ganguros… Et s’arrêta brusquement en voyant une autre femme, qui se trouvait, comme par miracle, près de sa Camaro.

Une main appuyée sur un poteau, elle se penchait en avant, mettant en valeur son décolleté, de lourds seins difficilement retenus dans un minuscule débardeur blanc, avec une minijupe noire serrée. Son regard croisa celui de la femme. Michaël hésita plusieurs secondes, avant de se dire qu’Amanda devait sûrement être en train de se taper le connard de feng shui, et se rapprocha d’elle.

« Toi… Je veux te faire la totale, chérie. »

Tout simplement.

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One Shot / Re : Vice People [PV]
« le: mardi 26 juin 2018, 13:53:12 »
Tracey s’en sortait plutôt bien, posant honnêtement devant la caméra. Elle faisait elle-même partie de ce « club VIP », et savait donc comment les choses marchaient. Candy était aussi transparente que discrète sur Sux Island, car, si elle montrait beaucoup à ses invités, elle se débrouillait toujours pour que son île soit impossible à identifier. Tracey était sûre qu’elle devait avoir un bataillon d’avocats pour avoir obtenu de Google l’autorisation de ne pas référencer Sux Island sur Google Maps. De cette manière, son île restait très difficilement accessible, et Tracey était loin d’être au bout de ses surprises. Elle ignorait par exemple que, quand elle avait rejoint Sux Island, elle avait quitté le sol japonais. Preuve de l’influence notable de la Déesse du porno, Candy avait obtenu du gouvernement japonais une concession portant sur cette île, ce qui en faisait un micro-État, sur le modèle de la Principauté de Sealand, un très étonnant micro-État de cinq habitants situé au large de Suffolk, en Angleterre, sur une plateforme pétrolière, la Plateforme de Roughs. Tracey avait entendu parler de Sealand par le biais de son frère, qui lui avait raconté, une fois, que les hackers du service « The Pirate Bay » avaient tenté d’acheter Sealand.

Tout ça pour dire que Candy était très puissante, et ne tarda pas à commencer son casting, fourrant son pouce dans la bouche de Tracey. La belle blonde papillonna des yeux, et lécha son pouce, venant même le mordiller un peu, tout en sentant ses cuisses se réchauffer à l’idée d’être l’heureuse destinataire d’un « bukkake XXL », une énorme orgie de queues.

« Mmmh-hmmm... !! »

Elle s’en pinça doucement les lèvres, avant de se dandiner sur place, rougissant quand Candy zooma sur ses seins, les mettant bien en valeur, puis lui ordonna de se mettre sur le lit, et de cambrer son cul.

« À vos ordres... Maîtresse ! »

Toute excitée, joviale, elle se mit donc en position, à quatre pattes, et laissa ensuite Candy décrire ses fesses, soupirant, et même poussant un petit cri, quand la femme se mit à la fesser. De délicieuses claques qui s’abattirent sur son fessier, l’amenant à se mordiller doucement les lèvres. Elle remua son fessier, ondulant d’avant en arrière sous les yeux de la caméra, puis sentit ensuite la bouche de Candy sur ses fesses. Elle n’avait aucune obligation de l’appeler « Maîtresse », mais elle le faisait... Indistinctement, sans même avoir à y réfléchir. Tout ça lui semblait être juste naturel.

Candy léchait donc son fessier, et Tracey serra les doigts sur la couverture, sentant le désir croître doucement en elle. De fait, si elle était aussi perverse, ce n’était pas juste par provocation envers son père, ou pour combler uniquement un manque affectif. Il y avait aussi quelque chose en elle qui déréglait à ce niveau, une sorte de pulsion profonde qui l’amenait à aimer le sexe débridé. Elle aimait ça, tout simplement, et sentir les lèvres de Candy, ses dents mordillant la pointe de son cul, ne faisait que confirmer ce sentiment.

« Maî-Maîtresse... !! »

Toutefois, Candy s’en tint au programme, et appela alors John. Tracey se retourna alors, et se mordilla les lèvres en voyant le bel homme entrer. Il avait une très belle érection, dressant une verge monstrueuse, mais ne semblait guère perturbé outre mesure. Il embrassa Candy, qui s’amusa à caresser doucement sa belle queue, avant de se retourner vers Tracey. Pour elle, il n’y avait plus de retour en arrière possible. Dès l’instant où elle avait parlé devant la caméra, et où son casting était retransmis en live, elle faisait partie du clan. Il en allait aussi de la réputation de Candy Suxxx, et Tracey sourit donc.

Elle se redressa alors, et marcha sensuellement vers John, observant cet homme bien musclé, se pinçant sensuellement les lèvres, ayant tout d’un coup très faim... Mais elle n’oublia pas les instructions de sa Maîtresse, et embrassa rapidement l’homme sur les lèvres, se hissant sur la pointe des pieds.

« Salut, John... » commença-t-elle.

Tracey observa ensuite Candy, et lui sourit doucement.

« Oh, il est parfait, Maîtresse... Je vais adorer qu’il me défonce comme une truie... Mais, avant ça, je dois le préparer, non ? »

Elle se mit alors à genoux, et caressa le sexe de l’homme entre ses mains. Un membre chaud, assoiffé, qui pulsait doucement entre ses doigts. Elle soupira encore, et donna quelques baisers dessus, accompagnés ensuite de coups de langue, remontant sur sa tige.

« Si grosse, si dure... J’ai tellement hâte de la sentir en moi, John, ta grosse bite... »

Elle continua ensuite à la lécher doucement. Elle releva ensuite doucement son visage, frottant son nez et ses joues contre sa queue, tout en souriant malicieusement, une lueur pernicieuse dans les yeux.

« Je sais que je dois te sucer, mais... J’ai très envie que tu me motives, John... En me traitant de petite salope, par exemple... »

Candy allait sans aucun doute pouvoir réaliser qu’elle avait touché, avec cette femme, un sacré lot...

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One Shot / Re : Vice People [PV]
« le: samedi 23 juin 2018, 13:47:34 »
Candy était clairement à la hauteur de ce que Tracey avait imaginé. Non, en fait, elle était même encore mieux ! Belle, forte, pleine d’une assurance incroyable, le sexe était un domaine qu’elle maîtrisait totalement. Ici, sur Sux Island, elle avait l’impression d’être une païenne venant de rejoindre l’Élysée olympienne. La métaphore était forte, mais elle illustrait le sentiment que Tracey avait, celui d’avoir longtemps cherché, pendant des mois, si ce n’est des années, pour finalement trouver, à côté de Seikusu, une île parfaite. Oh, bien sûr, il y aurait des zones d’ombre à envisager, comme sa famille. Michaël la retrouvait toujours, et, même si Tracey avait expliqué à Candy qu’elle voulait se séparer de lui, fondamentalement, le fait qu’elle enchaînait les conneries et les relations difficiles avait toujours pour but inconscient de voir son père revenir vers elle, venant la récupérer, et lui montrant ainsi ce qu’il n’avait jamais pu réussir à faire : lui témoigner de l’affection et lui montrer qu’elle l’aimait. Mais, ici, les choses étaient différentes. Là, Tracey sentait qu’elle allait pouvoir s’installer durablement, que sa vie allait enfin prendre un sens. Alors, certes, elle devrait forcément en parler à son père avant qu’il ne débarque ici comme un pitbull enragé, mais, pour l’heure, elle voulait profiter de la situation actuelle.

Et la situation actuelle se passait avec Candy, qui, après lui avoir proposé de coucher avec John, se rapprocha encore d’elle. Si belle, si douce... Tracey se pinça encore les lèvres, et les entrouvrit, sentant les mains de Candy glisser sur son corps, puis la femme l’embrassa tendrement, sensuellement, et longuement. Tout à l’heure, elles s’étaient juste contentées de frotter leurs lèvres l’une à l’autre, mais là, Candy lui offrit un véritable baiser, long et appuyé, sa langue jouant contre la sienne, ses mains s’approchant de son aine et de ses seins.

« Hmmmm... »

Tracey soupira de plaisir, et posa sa main sur la nuque de Candy, caressant ses cheveux, et l’autre sur son épaule, la faisant glisser le long de la bretelle du soutien-gorge de Candy Suxxx. Ses doigts s’approchèrent de sa masse mammaire, et elle aussi caressa son sein, appuyant doucement dessus. Est-ce qu’ils étaient naturels ? Elle avait du mal à y croire, mais elle ne sentait pas non plus le silicone. Qu’est-ce que Candy avait bien pu faire ? Comment, à son âge, pouvait-elle être restée aussi belle et aussi somptueuse ? En vivant à Seikusu, Tracey avait souvent appris que le mysticisme était très présent dans la ville, et elle s’était souvent demandée s’il n’y avait pas, en effet, du surnaturel dans cette ville... Mais, pour l’heure, elle appréciait surtout les somptueuses lèvres de la femme. Candy l’embrassa assez longuement, et les minutes filèrent donc avec plaisir, les frissons de nervosité se diluant dans le corps de Tracey au profit de sensations plus maîtrisées et plus agréables : le plaisir. Il s’insinuait en elle, il se répandait dans son corps, au fur et à mesure que la femme l’embrassait.

Finalement, au bout d’un long moment, Candy rompit le contact, et Tracey lui sourit alors, devant bien admettre que, elle aussi, envisageait de recourir à la piscine pour lui faire furieusement l’amour. Commençant à prendre de l’assurance, elle répondit alors à Candy avec une certaine assurance, tout en déplaçant sa main de sa nuque pour caresser sa joue.

« Oh, mais je compte bien t’accrocher sur mon tableau de chasse, Candy... »

Candy se releva ensuite, et, main dans la main, les deux beautés filèrent dans la hacienda. La nervosité de Tracey avait diminué, au profit d’un plaisir fort, d’un désir puissant qui ne demandait qu’à s’exprimer. Oui, elle était prête à faire tout ce qui était en son pouvoir pour rester ici. Candy voulait qu’elle brille ? Tracey allait lui montrer de quoi elle était capable ! Le duo rejoignit une série de chambres. Tracey avait regardé beaucoup des films de Candy Suxxx, et reconnut donc certaines chambres, dont celles où elles s’installèrent. C’était là, sur ce grand lit, que deux couples s’étaient envoyés en l’air dans une vidéo, deux ganguros qui s’embrassaient entre elles tout en étant empalées sur les verges tendues de deux hommes... Entre autres choses.

Mettant en place une caméra, Candy commença donc le show. S’installant à côté d’elle, Tracey resta silencieuse, observant les lieux, ce luxe, cette opulence, cette luxure silencieuse... La star du porno lui délivra ses dernières instructions, et Tracey hocha doucement la tête, faisant signe qu’elle comprenait bien ce qu’on lui disait.

« Pas de soucis, Candy, j’ai déjà participé à des castings beaucoup moins intéressants que le tien ! »

Après tout, il ne fallait pas croire qu’elle était une jeune nymphette vierge qui n’avait encore jamais vu de sexe. Tracey avait déjà commencé à faire le tour des bouges seikusiens, et, après avoir suivi son éducation à Mishima, elle était déjà, de base, très bien avancée dans la perversion. Candy se mit donc à parler, avec un naturel fort. Il y avait en effet plusieurs streamings sur son site, et toujours quelques milliers de viewers en moyenne. Tracey avait déjà fait des trucs crades devant les caméras, mais sans jamais avoir une telle diffusion.

Trsè naturellement, Candy parla donc à ses fans, ses « followers », puis se retourna vers Tracey. Celle-ci, assise sur le rebord du lit, jambes croisées, lui sourit alors, avant de lui rendre la parole. Tracey observa alors l’objectif de la caméra.

« Eh bien... Salut à vous ! Je m’appelle Tracey, et j’ai grandi à Seikusu, tout en naissant aux États-Unis. Et, pour être entièrement honnête, dès que j’ai entendu parler de Candy Suxxx au lycée, je me suis toujours intéressée à toi. Tu... Tu es clairement un modèle pour moi. »

Elle oscillait entre regarder la caméra et Candy, avouant sans difficulté ce qu’elle pensait :

« Je n’ai aucune ambition particulière, je n’ai pas envie de devenir avocate, politicienne, ou quoi que ce soit d’autre. J’ai toujours eu un appétit précoce dans le sexe, et j’ai très vite compris que, sans être nympho’, j’avais envie de passer ma vie à m’éclater. Pour moi, être ici, c’est l’aboutissement d’un rêve, celui d’être avec mon idole, et j’espère bien que vous aimerez voir mon corps, petits pervers ! »

Tracey souffla alors un baiser en direction de la caméra, puis, profitant de cette transition, se redressa, afin de passer à la suite du programme de Candy : zoomer sur ses formes alléchantes... Sans se priver !

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