- Chargez !!!La cavalerie Asmienne se mit à se lancer dans une charge furieuse, la reine Asla en première ligne.
- Epée des Rois ! Symbole de la Victoire ! Apportez gloire et vaillance à vos vassaux ! L’épée de la princesse se mit à briller d’une lueur qui aveugla les monstres d’Ashnard, alors que le ciel vint à se dégager d’un coup, comme si un vent venait de souffler brièvement. La lumière émanant de la lame se mit à se diriger vers le ciel, avant de s’abattre sur les lignes ennemies, tranchant la cuirasse des rares dragons démoniaques comme de l’air. Cette attaque fit un énorme trou où la cavalerie se mit à s’infiltrer, venant à transpercer l’armée ashnardienne en deux, avant que la troupe montée ne se divise en deux pour effectuer une nouvelle charge
- Lancez la charge divine ! Les magiciens se mirent à invoquer un sort à grand échelle, venant à donner aux montures forces et vitesse. Le combat fini au bout d’une heure de lutte acharnée, étant une nouvelle victoire pour le royaume d’Asmien. La reine, avec les troupes encore en vie, se mirent à rentrer dans la capitale, sous les applaudissements du peuple, accueillant les guerriers couvert de sang. Asla était certainement celle qui était le plus écarlate, le regard droit et se retournant vers la salle où elle déposait ses vêtements maculées du sang de ses ennemies. Elle prit par la suite la direction des bains où l’alchimiste, une elfe d’un certain âge, l’attendait. Une fois la porte du bain refermé, Asla se mit à recracher du sang, ses jambes venant à céder.
- Respirez bien. Vous avez encore épuisée votre magie. Vous savez pourtant que vous n’avez pas la même puissance que la reine Asla.
La dirigeante se mit à utiliser les épaules robiuste de l’elfe pour se faire trainer vers le bain.
- Nous n’avons pas le choix … kof kof … Le peuple ne doit pas savoir que … kof kof .. la reine est morte. Nous serions perdus. L’elfe fit avaler une décoction et appliquait des sorts de régénération.
- Vous devriez vous ménager, sinon votre âme se brisera. La fausse reine vint à sourire.
- Nous ne pouvons laisser à nos ennemis voir une faiblesse. Je ne peux égaler notre reine, mais je dois la représenter du mieux que je peux, le temps de trouver une solution viable. L’alchimiste se mit à appliquer une lotion sur la cornée de l’œil droite, combinant cela avec un sortilège de vue.
- Mais en attendant vous vous affaiblissez, vous avez déjà perdu une partie de votre vue. Votre vénération envers notre défunte reine est admirable, mais devriez laisser un peu plus les troupes s’occuper de la défense de notre domaine. - Je ne peux pas laisser faire ç … kof kof … sa Majesté était toujours en première ligne. - Tâchez de vous reposer, c’est un ordre de votre médecin. Me suis-je faite bien comprendre, reine Asla ? L’usurpatrice se mit à sourire, fermant les yeux en sentant la main de l’elfe balayer la chevelure sur son front.
- Oui Tania, laissez-moi encore un peu de temps ici pour profiter de vos bienfaits. Celle que tous prenaient pour la tête du royaume se mit doucement à plonger dans un sommeil, dont elle savait aussi agitée que la mer lors d’une tempête, mais nécessaire à son rétablissement. Nul rêve paisible. Depuis la mort de la véritable reine Asla, la scène repassait chaque nuit, une scène d’épouvante où l’actuelle « reine » avait été l’une des rares personnes à subir. L’usurpatrice se rappelait de cet assaut surprise d’Ashnard, ayant profité de la nuit pour attaquer, souillant toute les règles du champ de bataille, définit par l’Ordre Immaculée. L’attaque surprise avait fait des ravages dans l’armée Asmienne et la reine fut touchée par une slave de flèches imprégnée d’un sort mortuaire, elle usa de ses immenses pouvoir pour ralentir l’effet du sort et soigner les soldats qui pouvaient encore l’être. Malgré les pertes immenses, Ashnard ne put conquérir le royaume, grâce à l’épée divine détenue par la famille. Le pouvoir de Dieu avait occis le malin.
La reine fut transportée dans ses appartements, suivit par le médecin royal et sa doublure, un homme efféminé habile avec l’unique sort qu’il maîtrisait pour avoir la même voix que la reine. Mais aussi puissante la dirigeante pouvait-elle être, elle avait épuisée sa magie pour sauver ses soldats et ne pouvait être secouru, malgré les nombreuses prières que la doublure vint à prononcer envers le dieu de l’Ordre Immaculée. La reine n’avait pas eu de descendance, la précédente reine étant morte alors qu’Asla était encore jeune, l’obligeant à porter un immense fardeau. Le médecin et la doublure savaient que la perte de la reine causerait le chaos et la déchéance du royaume. La doublure vint à proposer une idée folle, remplacer la reine, faire comme si elle avait survécu à ce sort. Si le médecin fut contre, tenant compte de la différence de force magique et de technique, il ne put refuser l’argumentaire de la doublure. Survivre à un tel sort tiendrait du miracle, de la providence divine, cela donnerait au royaume d’Asmien une aura plus grande et attirerait l’attention de l’Ordre Immaculée, rendant leurs attaques moins importante. Sous le regard de l’Ordre Immaculée, le royaume serait protégé partiellement et son rôle tiendrait dans le fait que la reine Asla était toujours prête à défendre son royaume. Ainsi le médecin passa une semaine à pratiquer magie et faire boire des décoctions nocives à la doublure, subissant mille souffrances à cause des transformations physique, de l’ouverture de ses canaux magiques pour utiliser l’épée divine, frôlant bien souvent la mort et la folie, pour en ressortir totalement transformée.
Le médecin vint à dissimuler aux autres la vérité, mais aussi le fait que la doublure ne pourrait plus utiliser une magie autre que celle conférée par l’épée divine. Elle avait sacrifiée son corps, son identité, sa magie et une partie de son espérance de vie contre l’apparence de la défunte reine. Mais un autre problème vint irrémédiablement à venir, le manque de connaissance dans les arts de la guerre. Si la doublure pouvait se débrouiller dans les arts du discours politique et religieux, il en était tout autrement pour manier des troupes, combattre à l’épée ou chevaucher. Le chevalier le plus proche de la véritable reine vint à s’en rendre compte et se permit de demander une audience, quémandant d’avoir une discussion privée avec la « reine ». S’en suivit ce qui semblait être une tentative de meurtre, mais le chevalier ne vint pas à finir son geste, constatant l’inexpérience de cette usurpatrice. La doublure fit usage de sa vénération envers la vraie dirigeante pour faire comprendre qu’elle était prêtre à porter tous les maux de la terre, si cela permettait de conserver le royaume stable. Le chevalier, tout d’abord dubitatif, fini par céder sous ce regard aussi ardent et inflexible que la personne qu’il servait.
Le chevalier se mit à former la nouvelle reine aux arts de l’épée, n’éprouvant aucun remord à faire morfler cette usurpatrice, afin qu’elle soit une reine aussi forte mentalement que physiquement. La doublure apprit toute la rudesse des combats et malgré les nombreuses blessures, elle continuait à demander au chevalier de continuer son enseignement. Elle n’avait pas l’expérience du combat et devait donc apprendre à son corps ce que cela faisait de sentir els coups, les taillades, mais aussi la sensation de se faire transpercer de part en part. Rien n’était de trop pour cette fausse reine, afin d’égaler celle qui avait dirigé ce fabuleux royaume.
Pendant près de cinq ans, aucun conflit ne vint à naître, grâce à la présence de l’Ordre Immaculée, qui avait détaché un bataillon de paladin, comme le voulait un traité. Pendant ses cinq années, la doublure été contrainte d’augmenter les taxes pour payer le tribut qu’exigeait l’ordre saint, le royaume ne touchant pas une pièce des cadeaux des nombreux pèlerins venant voir la » miraculée ». Dès que le bataillon religieux quitta le royaume, Ashnard tenta une invasion. Ce fut le premier combat de la doublure et les pertes furent importante. La cause était l’usage tardif de l’épée divine, elle avait douté pouvoir utiliser cette magie et cela avait coûté cher en vie humaine. Une fois de retour de son premier champ de bataille, elle vint à appeler le médecin et se laissa aller aux larmes de colère et d’impuissance, avant de tomber d’épuisement.
Elle devint plus dure envers elle-même, s’épuisant à maîtriser sa lame, s’épuisant à rester aussi forte que la vraie reine l’aurait été. Son premier véritable choix royal fut de comment endiguer une vague d’insurrection, Des soldats semblaient mécontent du fait que la reine n’entame pas une expédition punitive envers l’empire d’Ashnard, aidé par l’Ordre Immaculée pour motif d’être une nation hérétique. LA doublure avait déjà fait envoyé une demande auprès de l’Ordre saint, mettant en avant les preuves que l’empire maléfique en respectait pas les traités stipulant que les batailles entre nation signataire se font aux frontières ou à un endroit prêté par une nation neutre. Malgré cela l’Ordre Immaculée avait refusé d’aider la nation asmienne. La demande des insurgés était légitime, mais le royaume Asmien n’avait pas la puissance nécessaire pour envahir et détruire cet empire hostile. Elle voulut régler le soucis par des pourparlers, mais reçu, pendant la réunion, un carreau d’arbalète empoisonné, cet acte mit fin aux discutions et les chevaliers royaux vinrent à exterminer les insurgés jusqu’aux derniers.
La dirigeante mit deux semaines à se rétablir, le poison choisit étant celui d’un serpent noir, ne devant son salut qu’à la compétence du médecin royal. Dès lors l’usurpatrice vint à prendre différents poisons à petite dose, étant une recommandation du médecin pour mieux y résister. La doublure, une fois rétablie, se mit à ériger une stèle en mémoire des insurgés, venant à prendre la parole pour rendre hommage à leurs courages et au fait qu’ennemis ou alliés, ils étaient des habitants du royaume, méritant une sépulture malgré l’acte qu’ils ont commis. La dirigeante hérita d’un titre par le peuple, Asla la Miséricordieuse. Cet acte rendit le peuple davantage soudé autour de la reine et aucune autre insurrection ne vint le jour.
La doublure se mit à s’entrainer davantage, il ne fallait plus qu’un carreau d’arbalète ne la touche, elle avait été chanceuse que le tireur n’ai pas touché sa tête ou son cœur, elle devait se focaliser aussi bien sur la puissance que sur sa propre sauvegarde. Avec l’assistance du médecin, elle apprit à utiliser son épée divine, aussi bien pour faire l’attaque transmise à la famille royale que parer les flèches ou encore les sort magique élémentaire. Elle portait à présent deux masques, l’un étant pour le peuple et son rôle de Reine Asla, l’autre étant la doublure qui ne cessait de ses perfectionner pour essayer d’atteindre le niveau de la défunte reine. Force et faiblesse. Bonté et rudesse envers soi. Vie royale et expérience du bas-peuple. Le contraste était visible d’un masque sur l’autre. La reine actuelle était aussi radieuse que e soleil, alors que la doublure ne se sentait qu’être la pâle copie telle la lune.
Quand la doublure vint à se réveiller, elle était dans le lit royal, le médecin avait certainement prit soin de la porter et de l’habiller convenablement. La dirigeante sentit une piqure sur son œil gauche et un flou pendant quelques minutes, la faisant sourire. Elle avait bien trop forcée dans cette bataille, son œil gauche commençant à faiblir. Elle savait qu’avec quelqu’un de sang royal, l’épée divine pourrait réagir à la perfection, mais elle n’était pas issue de ce sang et donc l’épée demandait un tribut pour son utilisation. L’arme divine avait cependant choisi cette fausse reine comme remplaçante, sans doute avait-il reconnu cette dévotion sans limite aux aspirations royale et envers la dernière utilisatrice. Aussi le prix que cette usurpatrice payait était moindre, bien que présent. Elle savait aussi que l’arme divine ne trahirait pas son porteur, tant que son esprit serait porté vers le salut du royaume.
La fausse reine avait appris énormément de chose en lisant les ouvrages de la bibliothèque royale. Ce royaume était né en même temps qu’Ashanrd, par une des sœurs cachées du premier empereur, cette sœur se nommait Asmiendra Alisanef. Le royaume hérita d’une partie du premier prénom de la fondatrice, les princesses et les reines portant le prénom d’Asla, en mémoire à cette femme. Alors que le royaume d’Ashanrd sombrait dans la puissance et l’obscurité, le royaume d’Asmien vint à prier l’unique Dieu pour que le royaume malfaisant s’apaise, comme le désirait la fondatrice. Dieu, ne pouvant répondre aux attentes se mit à déléguer à un ange le but de donner à cette sœur aimante une arme qui servirait uniquement à défendre le royaume contre l’esprit malin ayant possédé son frère. Cette arme divine avait été conçue par dieu pour purifier le Mal et protéger les descendants de cette sœur croyante. L’ange envoyé fini par rester auprès de la fondatrice, donnant son sang afin que les générations suivantes puisse se souvenir du don que Dieu avait conféré et leurs rappeler le but de cette arme.
Le royaume ne fut pas aussi stable que l’actuelle dirigeante pensait, lisant des bouts de l’Histoire du royaume où les chevaliers avaient rasés presque tout le royaume pour contenir des cas de pestes ou encore éviter que le royaume ne soit renversé. Ce passé sombre avait été oublié de la population, mais la bibliothèque royale regorgeait de secret plus lourds les uns que les autres. Les princesses étaient mariée jeune, devant concevoir un héritier homme ou femme avant ses vingt ans. Si les rois et reines se succédaient rapidement, cela était la cause du sang d’ange en eux, qui s’évaporaient un peu plus à chaque utilisation de l’épée divine. Aussi la bénédiction divine était une malédiction. Selon l’usurpatrice, cela n’était qu’une épreuve divine, pour réaliser un vœu il faut savoir payer un prix, sans quoi il ne s’agit qu’un souhait orgueilleux que le Malin a réalisé pour ses propres desseins. La doublure savait que l’empereur d’Ashnard avait obtenu sa puissance sans rien donner en retour, preuve qu’il était de mèche avec le Mal. La dirigeante actuelle savait que son choix n’avait pas été guidé par des mains tentatrices, mais les mains du Seigneur, sachant que son choix de supporter ce lourd fardeau était juste.
Se levant de son lit, elle vint à défaire ses vêtements pour observer ce corps, identique en tout point à la défunte reine. Rien n’avait été mis de côté. Un corps faisant un mètre cinquante, pour un poids autour des quarante kilogrammes, une peau de porcelaine, dont le sang et les coups ne sauraient ternir. La reine avait des épaules et des hanches plus larges que la taille, formant un parfait sablier. Sa poitrine n’était pas des plus opulente, mais adaptée pour un corps de guerrières. Le tout était le mélange parfait entre un corps pour combattre et un autre pour enfanter. Les nombreuses chevauchées et les entrainements à l’épée ont rendus ses jambes et bras fins légèrement musclé. Bien évidemment, la force de ce corps n’était en rien égalable à celui d’un orc, ou toute autre monstruosité faite pour massacrer des peuplades humaines. Elle ne pouvait qu’admirer ce corps qu’elle avait acquis, voyant ce petit point noir sur sa fesse gauche. Avant la mort de la reine, la doublure n’avait aucune connaissance de ce signe distinctif, rappelant son inexpérience. Le plus douloureux pour l’usurpatrice a été se sentir sa chevelure pousser, jusqu’à atteindre ses hanches, se teignant d’un dégradé allant du violet profond au blanc immaculé. Ses yeux perdirent leurs couleurs pour devenir vbleu dont aucun pigment ne saurait égaler. La doublure avait énormément souffert pour porter cette couleur si particulière à la reine, signe du sang d’ange qui devait couler dans les veines royales. Le sang de cette fausse reine est quant à lui bien rouge, portant toute la saveur du sang de simple humain et non de demi-ange. La magie et l’alchimie du médecin royal avaient ses limites
Son caractère, son identité, cette doublure l’a enfoui au plus profond de son être, les cadenassant avec les chaines les plus résistantes, afin que jamais, son être n’apparaisse aux yeux du public. De cette fureur à cacher la supercherie, la dirigeante devint très dure avec elle-même ; blâmant en secret sa faiblesse, son imperfection par rapport à celle que l’usurpatrice tentait de copier et faire croire vivante aux yeux des autres. Même si Dieu est avec elle, jamais elle ne pourrait s’accorder le pardon à sa mort, ayant remplacé une personne chère aux yeux du peuple, devant mentir pour garder la belle et puissante reine qui n’est plus. Aussi la reine Asla vivante est une femme ayant un esprit inflexible, capable de se jeter dans une bataille perdue d’avance pour sauver le plus de soldat, dévouant son âme à la survie du royaume et faisant preuve d’une ferveur envers le dieu de l’Ordre Immaculée qui ferait trembler de rage les paladins de cet ordre saint. Aucun sacrifice personnel n’est de trop pour assurer la prospérité au peuple d’Asmien. La reine que tous vénèrent est une femme douée aux armes, d’un sens de la justice inébranlable et d’une bonté hors norme. Face aux ennemis, elle sera la première à entrer au contact et la dernière à se replier, donnant autant, si ce n’est plus, de valeurs à ses soldats
Sous cette apparente perfection se cache la rage d’égaler celle que l’usurpatrice vénérait presque davantage que Dieu. Se sachant faible, elle n’a d’autre choix que de lutter s’entrainer, dépasser toujours davantage ses limites pour avancer, être cette reine puissante et exemplaire, n’hésitant pas à demander au médecin royal de punir ses fautes ou de la punir quand sa recherche de la perfection va trop loin. Elle ne peut reculer devant le danger que représente Ashnard et passe son temps à étudier les stratégies de guerre pour trouver une solution à cette impasse, sachant qu’à tout moment l’arme divine peut décider de ne plus reconnaitre la fausse reine comme son porteur légitime. Emplit de doute et de peur, elle ne peut compter que sur l’exemple que la défunte reine avait laissé. Elle sait que le poids de guider un peuple est lourd, immensément lourd, si lourd que cela vient des fois à écraser son esprit et engendre des crises d’angoisse. Elle sait qu’elle n’est pas née avec les épaules endurcit pour être reine, mais fera tout pour porter ce poids aussi longtemps qu’elle pourra respirer, peu importe que ses épaules se brisent. Si elle doit en mourir, alors elle mourra en tant que la défunte reine et on en tant que simple doublure.
Parlons du Royaume d’Asmien. Dans Terra, il est aussi appelé le Royaume d’Obsidienne. La nation vit sur un plateau d’obsidienne, rendant les attaques par le bas et de magie terrestre impossible. Seuls les habitants natifs d’Asmien peuvent utiliser la magie, les générations permettant aux habitants d’utiliser une magie qui contourne la restriction des radiations de cette pierre noire. En dessous de cinq cent mètre d’altitude, il est impossible pour un étranger d’utiliser la magie. La culture se fait avec l’importation de terre, qui est rendu plus fertile avec un mélange secret, appliquant la jachère pour laisser la terre reprendre des forces. L’exportation de la nation se fait surtout avec de l’obsidienne blanchit, une pierre qui a perdu toute ses propriété anti-magique, mais reste d’une extrême robustesse, bien que fragilisé légèrement lors du processus de blanchiment.
Les seules personnes aptes à porter des armes sont les soldats et les chevaliers, la noblesse ayant le droit de faire usage de la magie offensive, hors cadre militaire
L’armée Asmienne se compose principalement d’unité montée, allant des chevaux aux dragons, la monture étant à l’appréciation de son monteur. Il n’y a pas de sexe privilégié dans l’armée, qui est constituée presque à moitié de chaque sexe. L’art magique est très varié et les anciens sont des enseignants stricts, permettant à la nouvelle génération de ne pas tomber aisément au combat et de sortir une palette de sortilège à faire pâlir d’envie certains magiciens d’Ashnard. Là où l’empire malfaisant à e nombre, Asmien possède la qualité et des unités valeureuses.
La diplomatie de la nation préfère la neutralité, bien que ne cachant pas son hostilité devant les assauts répétés de l’Empire d’Ashnard. Ce faisant, le commerce avec Nexus est plus important, notamment en jeune recrue pour l’armée du royaume de la Reine Elena Ivory, cela afin de protéger aussi les jeunes habitants d’Asmien, si le royaume devait être anéantis.
Le chevalier
Zanzif est un guerrier de premier ordre, son âge, bien qu’avancé, ne l’handicape en rien dans le combat. Son corps est maculé de cicatrices des nombreux combats qu’il a mené, connaissant très bien la défunte reine, il est l’un des conseillé de l’usurpatrice pour la mener vers son but et assurer le maintien d’Asmien. Il est aussi le maître d’arme de la fausse reine. Son estime envers la dirigeante actuelle ne se base que sur cette volonté à ressembler trait pour trait à la véritable reine Asla, étant le premier à trancher la tête de l’usurpatrice si elle venait à prendre un chemin ensanglanté que la reine n’aurait pas empruntée.
Médecin et alchimiste royal,
Tania est une elfe ayant plus de cent ans. Elle connait tous les secrets de la famille royal et est en charge de maintenir l’état de la doublure du mieux que son savoir le permet. Elle est aussi une bonne conseillère quand il s’agit du bien-être de la population. Elle a beaucoup de sympathie et de peine envers cet humain qui a tout sacrifié pour le bien de sa nation et perpétuer la mémoire de la reine, ne pouvant que pousser cette usurpatrice à devenir ce qu’elle souhaite quitte à devoir se montrer dure envers cette âme à la fois forte et si fragile.
L’épée divine, transmise de génération en génération consomme, normalement, du sang mi-ange mi-humain, pour libérer sa puissance mythique. Cela se traduit par une forte lumière qui n’éblouit que les ennemis de son porteur. L’épée draine l’essence divine dans l’air et la terre, sous la forme de particules dorée qui s’assemblent autour de la lame. Une fois que l’arme s’abat, l’énergie divine se libère dans une vague d’énergie magique qui détruit tout ce qui est nuisible à son porteur. Dans le cas de l’usurpatrice, une partie de l’âme est consommée, pour contrebalancer le manque de sang d’ange. La perte peut prendre différentes forme, une perte temporaire de la parole, un amenuisement des sens, une légère hémorragie interne. L’utilisation par un porteur illégitime conduit irrémédiablement à la perte d’un membre, voire la mort pure et simple. Seul, le Pontife de l’Ordre Immaculée pourrait l’utiliser sans craindre le jugement de son dieu.
Son usage dans la royauté d’Asmien est tout de même régit à des dogmes :
- Tu n’utiliseras point sa puissance sur un habitant qui a fauté
- Tu ne rengaineras que lorsque tu estimeras la menace, tienne ou écartée.
- Nul dieu païen ne pourras briser cette lame tant que ta dévotion tu démontreras.
- Tu ne brandiras point cette lame pour convoiter les terres d’autrui.
- Du peuple vaincu tu devras le respect, comme s’il s’agissait du tiens.
- Ta vie pour ton peuple, tu donneras.
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Nom : Andalouse
Prénom : Raphael
Race : Humain à 100 %
Ancien statut : Doublure de la Reine Asla
Sexe : Anciennement homme, il est à présent totalement une femme et part du principe qu'il doit agir, parler et penser comme s'il avait toujours été la reine.
Virginité : Intacte et n'a que les attouchements comme expérience.
Âge : 21 ans
Possède une excellente compétences dans le combat à l'épée et le combat à cheval.
Ne peut employer de magie autre que celle fournit par l'épée divine.
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