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« le: mardi 04 avril 2017, 15:35:44 »
Identité : Pipper Shore, Catwoman, Tigresse (seulement par son dieu)
Âge : 25 ans
Sexe : femme
Race : Avatar
Sexualité : Hétéro et vierge
- Allons Josh ! Tu sais très bien que je dois faire ce voyage !
Celle qui venait de parler était une jeune femme au physique de journaliste typique. De courts cheveux bruns, de petites lunettes à monture noire protégeant de jolis petits yeux bleu. Habituellement, on aurait pu y voir les étoiles de la curiosité qu'elle arbore mais dans le cas présent, on y lisait surtout de la détermination.
Sa petite main délicate aux ongles manucurés et aux doigts fins s'écrasa de tout son plat sur le bureau de son patron. Dans cette position, son supérieur avait une vision plongeante dans le décolleté de la gamine qui tentait de faire valoir ses droits. Il eut bien du mal à se concentrer à ce moment. Il faut dire que sa nouvelle recrue était tout à fait séduisante dans ce petit chemisier blanc à moitié ouvert. Il pouvait très bien voir sa généreuse poitrine se soumettre aux lois de la gravité tandis que les autres courbes de son corps se lisaient parfaitement dans ses vêtements un peu serrant, la mini-jupe noire n'aidant pas à la rendre moins sexy.
- Laisse-moi y aller. Je te donnerai une actu qui fera vendre beaucoup plus de journaux que tu n'en a vendu le mois dernier.
Ses yeux bleu ne quittaient pas ceux de son patron qui, lui, lorgnait légèrement plus bas que le menton de la jeune femme insistante. Il se reprit alors et releva le regard vers ce visage fermé qui le fixait depuis le début de leur entretien.
- Si tu n'y arrives pas, comment comptes-tu me dédommager des frais?
A cette simple question, Pipper se redressa, surprise et bafouilla. Elle n'avait jamais envisagé de rater. Elle était certaine de réussir à lui envoyer un article qui attirerait le public, qui lui donnerait l'autorité nécessaire pour couvrir des infos beaucoup plus importantes que la rubrique potins du journal.
- Qu... Euh... Je réussirai, je le sens.
- On ne bâtit pas un empire sur des sentiments. On veut des faits. Qui me dit que tu trouveras une info digne de ce nom là-bas. Plus importante encore que ce qu'un ancien pourrait couvrir?
- Moi, je te le dis. J'ai un contact là-bas, il me renseignera sur les choses importantes. Et puis, moi, je n'aurai pas besoin des services d'un interprète.
Elle croisa les bras, fière de sa prétendue victoire. Ce qui fit remonter ses seins et détourner légèrement le regard de son patron avant qu'il ne se reprenne, une fois de plus.
- C'est d'accord, tu iras.
La jeune fille ne put s'empêcher de crier de joie et alla prendre son patron dans ses bras, emportée par la joie. Après avoir réalisé ce qu'elle venait de faire, elle recula, baissa la tête et rougit avant de s'excuser. Elle se dirigea aussitôt vers la sortie du bureau quand la voix de l'autorité retentit à nouveau.
- Si je n'ai pas cette une incroyable, tu le payeras de ton corps.
Pipper se raidit alors. Tout son entrain était parti d'un coup et, tandis qu'elle assimilait l'information, son patron reluqua son petit cul rebondi et ses jambes galbées mises en valeur grâce aux petits talons aiguilles qu'elle portait.
Finalement, la jeune reporter réalisa la mise du pari et sourit avant de se retourner une nouvelle fois.
- Ca marche boss. Mais ne rêvez pas, je vais réussir.
Elle lui lança un dernier clin d'oeil, accompagné d'un grand sourire et s'en alla préparer ses affaires.
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Une semaine plus tard, Pipper était à l'aéroport, attendant sagement son avion.
Elle avait sorti son calepin et relisait ses notes. Elle y avait tout écrit, elle aimait avoir une trace écrite de ce qu'elle avait fait mais, surtout, l'enjeu. Elle avait toujours avancé dans la vie en faisant des paris, c'était sa façon de se motiver, de se donner à fond dans tout ce qu'elle entreprenait. Celui avec son récent patron était l'un des plus risqué à ses yeux. D'autant plus qu'elle n'avait absolument aucune idée de ce qu'elle allait faire une fois sur place. Son contact n'était qu'un mensonge parmi tant d'autres. En relisant ce pari, c'est à ça qu'elle pensait, sa vie n'était qu'un succession de paris et de mensonges. Elle n'avait jamais été capable d'honnêteté totale, elle ne parvenait jamais à se motiver si elle n'avait rien à perdre en cas d'échec, elle n'était même pas capable de s'attacher à qui que ce soit. Elle s'était uniquement attaché à son stylo et son carnet. Ainsi qu'à la musique. Elle passait énormément de temps à écouter divers morceaux. Si bien, qu'elle connaissait la durée exact de chaque musique et planifiait ses tâches en fonction des chansons qu'elle écoutait en fond.
- Seikusu... Enfin une véritable chance de faire mes preuves.
En elle, l'excitation se mêlait au stress, c'était une sensation qu'elle connaissait bien mais là, c'était carrément un autre niveau. Elle sortit son lecteur et se plongea dans son monde musical. Encore 12h32 à patienter et elle serait dans une ville à l'autre bout du monde.
Tout ce qu'elle avait chois comme morceaux étaient là pour calmer ses ardeurs. Ce qu'elle n'avait jamais dit à son patron, c'est qu'elle voulait faire le voyage pour se trouver elle-même. Jamais elle ne s'était sentie chez elle aux États-Unis, peut-être que le Japon lui apporterait plus et qu'elle découvrirait enfin pourquoi elle était née dans ce monde, dans cette époque.
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Elle n'avait jamais vraiment eu de chance dans la vie. Un jour, à l'orphelinat, la directrice lui avait dit qu'on l'avait déposée devant la porte une nuit et qu'elle avait été trouvée après qu'on ait appelé. Personne n'avait parlé au téléphone et plus personne n'était dans la rue quand la porte fut ouverte. Elle avait alors grandit dans cet orphelinat jusqu'à ce qu'un premier couple l'adopte. Elle avait alors 6 ans et pour elle, c'était un moment étrange. Elle n'avait connu que les chambres communes, elle avait vu des tas d'enfants partir pour ne jamais revenir et on lui avait raconté qu'ils étaient plus heureux loin d'ici. Alors, elle se laissa guider au dehors, se retournant pour voir une dernière fois sa "maison" s'éloigner petit à petit.
Sa première famille d'accueil était gentille avec la petite Pipper et elle apprit plusieurs langues. C'était pour la succession, l'héritage de l'entreprise disait le père. C'était, bien sûr, sans compter l'envie de la mère. Elle tua le mari, enferma la petite avec pour seul ami, une peluche qui représentait un chat. Pipper l'appela Lisha et s'y était attachée, elle lui parlait pour se réconforter dans l'obscurité de cette cave. Lorsque la meurtrière fut arrêtée, Pipper retourna à l'orphelinat. A 11 ans, on l'adopta à nouveau mais la jeune fille ne voulait plus partir, elle se sentait plus en sécurité là où elle était et c'est dans les larmes qu'elle fut séparée de Lisha ainsi que de l'orphelinat, elle sentait que c'était la dernière fois qu'elle voyait cet endroit.
Une fois dans sa nouvelle famille, Pipper compensa la perte de sa peluche par une curiosité infaillible. Elle apprit beaucoup de choses d'elle-même, évitant au possible le contact de sa nouvelle famille. Cette partie de sa vie fut l'une des plus dures. Lorsque les parents en eurent marre de la voir renfermée, ils la forcèrent à rester avec eux. Comme elle ne parlait toujours pas ni ne les regardait, les punitions s'enchainèrent. Au début, elle fut privée de livres ensuite, elle fut battue et obligée de regarder aux infos son orphelinat brûler, entendre parler des morts mais elle resta de glace. Pour elle, c'était mérité, elle n'y était plus attachée. On l'avait envoyée en enfer, on l'avait ressortie et elle était à nouveau en enfer, tout ça par leur faute. Tout ce qu'elle regrettait était la perte de Lisha mais n'en montra rien. Son air glacial ne plut pas au père qui la cogna tellement fort qu'elle fut envoyée à l'hôpital. On l'enleva alors du couple pour l'envoyer dans une nouvelle famille d'accueil.
Cette fois, sa famille était gentille mais Pipper ne leur faisait pas confiance. Elle restait plongée dans les livres et trouva un vieil appareil photo. Elle l'attrapa, fit plusieurs photos, les fit sortir et les brûlait ensuite. Son troisième père lui apprit alors à prendre de meilleures photos et lui donnait le goût de la photographie. Pipper, quand à elle, restait enfermée dans son mutisme et ne communiquait plus que par écrit, dans différentes langues. Si bien que le couple pensait qu'elle était muette.
C'est lors de son 17eme anniversaire qu'elle prononça ses premiers mots depuis des années.
- Je veux être journaliste.
La phrase était tombée comme ça, sans prévenir et figea les parents.
Après plusieurs minutes de long silence, les parents sourirent et acceptèrent sans broncher.
L'année d'après, elle fut envoyée à l'université de journalisme et se prit un petit appartement. Il n'avait rien de particulier, n'était même pas très confortable mais elle avait vécu bien pire et celui là lui allait très bien, d'autant plus qu'il n'était pas très cher.
Elle passa la plupart de ses études à parier sur des résultats plus élevés que ceux de ses partenaires de cours, comme elle les appelait et finit par devenir la première de classe. Bien sûr, certains garçons louchaient sur elle mais elle n'y prêtait pas attention. Elle voulait seulement continuer ses études et obtenir son diplôme pour partir loin de tous ces souvenirs pourris. Pendant ses 3 années d'étude, elle intégra un petit bureau local pour y faire ses armes et ce boulot lui permettait également de financer ses cours.
Une fois son diplôme en poche, elle déménagea naturellement vers Los Angeles et y dégota son premier vrai emploi, celui pour lequel elle avait réussi à atterrir en pays inconnu, le Japon.
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Une fois arrivée, un autochtone l'attendait pour l'amener à son hôtel. Comme elle s'y attendait, le patron n'avait pas fais de frais exorbitants. Elle n'avait qu'une petite chambre dans laquelle se trouvait le lit bien fait, une salle de bain ne contenant qu'une douche et un évier. Elle n'avait même pas la télévision. Dans le coin, près de la fenêtre, se trouvait un fauteuil idéalement placé pour des lectures paisibles alors que de l'autre coté se trouvait une table et sa chaise. Elle avait déjà décidé d'en faire son coin de rédaction... Bien qu'elle n'avait pas vraiment le choix, à vrai dire.
- Allez ma jolie, un peu de repos. Demain sera ta journée.
Elle posa ses valises, ne prit pas la peine de les défaire et s'affala sur son lit qu'elle trouva, au demeurant, très confortable. Il ne lui fallut pas cinq minutes pour s'endormir. Ce sommeil était étrange, agité et elle se réveilla en nage au beau milieu de la nuit. Elle se dirigea instinctivement vers la salle de bain et se rinça le visage avant de remarquer qu'elle était toujours habillée. Elle se blâma et se déshabilla avant de retourner se coucher. Encore une fois, elle sombra bien vite et retomba dans un sommeil agité.
Le matin suivant, elle se leva de bonne heure, épuisée sans savoir pourquoi, sans se souvenir de quoi elle pouvait bien avoir rêvé. Elle dessina Lisha dans son esprit et une larme coula le long de sa joue droite.
- Pourquoi je revois ça moi, ça fait 20 ans... Tu es une grande fille maintenant, reprends toi.
Elle s'habilla en vitesse et descendit les 3 étages la séparant du rez-de-chaussée pour aller prendre le petit déjeuner. Au buffet, il y avait de tout. Des mets typiques mais aussi du pain, des confitures, des pâtisseries françaises, vraiment tout pour les touristes. Elle prit une chose qu'elle ne savait nommer. Ça se composait de divers légumes, de riz, d'un oeuf cru dont on lui avait dit qu'il fallait le mélanger avec ses baguettes et du poisson. Ainsi, elle était parée pour sa journée et sortit de l'hôtel non sans retourner dans sa chambre chercher son appareil photo et son carnet. Avec ça, elle se sentait prête à affronter la journée.
Elle tourna pendant des heures, profitant de l'occasion pour faire un peu de tourisme sans voir le temps passer. Bientôt, la nuit commença à tomber et il était temps pour elle de rentrer à l'hôtel. Sur le retour, elle s'arrêta devant un chat. Elle était complètement figée, les yeux grands ouverts. Elle était là, devant elle, assise sur le trottoir à la regarder dans les yeux, la Lisha de son enfance. Sauf que celle-ci était bien en vie. Les deux êtres se regardèrent intensément avant que la plus féline des deux ne miaule. L'humaine reprit conscience et comprit bien vite que ce chat avait faim.
- Ne bouge pas, je vais aller te chercher un poisson.
Elle fit rapidement demi-tour, s'arrêta devant une épicerie qui s'apprêtait à fermer et entra pour acheter du poisson. Au moment de faire son choix, deux autres personnes entrèrent et braquèrent le vendeur. Lentement, elle passait la tête au bout du rayon pour voir ce qu'il se passait. Les deux hommes étaient armés mais ils ne l'avaient pas vue. Le vendeur les divertit alors et lui fit un signe discret pour lui dire de s'échapper. Ni une ni deux, elle courut vers l'entrée et tenta de sortir mais l'un des deux l'attrapa par les cheveux et l'envoya valser violemment contre le comptoir. Dans le choc, sa nuque se plia violemment et elle sombra dans le noir le plus complet.
Elle n'entendait plus rien, ne voyait plus rien, ne sentait plus rien d'autre que le froid l'enveloppant. Il ne lui restait que sa conscience et pensa au chat qui devait encore attendre son poisson, ainsi qu'à son pari, désormais perdu.
Elle n'était pas stupide, elle savait que c'était la mort qui l'accueillait et ne put s'empêcher de s'en vouloir.
- J'ai encore tant à faire... Alors c'était ça, le destin qui m'attendait en venant ici, la mort. Pour une fois, mon instinct m'a trompée...
Elle laissa alors divaguer son esprit. Elle avait tant côtoyé la mort, depuis sa jeunesse et là, c'était elle qui en faisait les frais, c'était fini pour elle et ne pouvait plus se rattacher à quoi que ce soit. Une dernière fois Lisha se dessina devant ses yeux.
- Non!
- Qu... Quoi?
- Tu n'as pas fini ici, ce n'est que le début. Si tu veux vivre, tu devras devenir ma championne.
- Mais qui-êtes vous?
- Je suis celui que tu appelles Lisha, je suis le chat qui t'a suivie tout au long de ta vie, je suis celui qui va te rendre la vie. Devient sauvage, devient la tigresse que j'ai vu. Devient le bras armé de Lisha.
- Mais je suis faible, je suis morte sans rien pouvoir faire.
Elle venait de hurler sur la peluche parlante face à elle, elle pleurait également. Elle savait que la peluche avait raison, qu'elle était plus forte que ce qu'elle ne le montrait et ne voulait se convaincre. Elle avait survécu à tant que choses, traversé tant d'épreuves, toujours avec une volonté impassible.
- Alors revient et répare.
- Mon corps est mort.
- Je t'en donne un nouveau. Ne me déçois pas, Tigresse.
L'obscurité disparut peu à peu, elle se voyait gisant au sol, elle voyait les braqueurs menacer le vendeur qui avait tenté de lui sauver la vie et sentit en elle le sentiment de vengeance, la dette qu'elle devait à cet homme innocent.
- Arrêtez et rendez-vous.
Elle avait parlé naturellement mais ne reconnaissait pas sa voix. Lorsque le brigand qui l'avait brisée tourna son arme sur elle, Pipper réagit plus vite et brisa le bras du bandit qui se tordait de douleur au sol. Aussi vite qu'elle avait bougé la première fois, elle sauta sur le deuxième et lui griffa le visage avant qu'il n'ait eu le temps de heurter le sol. Avec le choc, son doigt appuya sur la gâchette mais la balle atterrit simplement dans une bouteille d'alcool posée derrière le comptoir. Pipper ramassa les deux armes et les donna au propriétaire avant d'attacher les bandits. Lorsqu'elle eut fini, elle se baissa sur son propre cadavre et reprit la clé de sa chambre ainsi que le poisson qu'elle paya.
- Donnez lui des funérailles dignes, s'il vous plait.
En ressortant, elle retrouva le chat et lui donna le poisson.
- Mange mon petit.
- Merci, Tigresse. Maintenant va et n'oublie pas.
- Hmpf alors c'était toi... Merci pour cette nouvelle chance, Lisha.
- Je serai là quand tu en auras besoin.
Pipper rentra alors à l'hôtel et se dirigea directement vers sa chambre. Elle avait besoin de repos mais elle savait qu'elle n'avait qu'un jour, tout au plus à rester là. Les forces de l'ordre remonteraient bien vite à son lieu de résidence pour l'identifier. Après s'être rincée le visage, elle jeta un oeil au miroir. Elle y vit enfin son nouveau corps. Au début, elle était sous le choc mais elle se souvint assez vite de ce que Lisha lui avait dit. "Je vais t'en donner un nouveau" Ce n'était pas une image. Elle avait désormais bien changé, plus personne ne pourrait la reconnaitre avec cette nouvelle apparence.
Ses courts cheveux bruns étaient devenus beaucoup plus long, lui arrivant désormais au milieu du dos. Son visage était plus fin, elle possédait un tatouage sur l'épaule gauche, sans doute la marque de Lisha. Son corps était grand, élancé et largement mis en valeur par les vêtements qu'elle portait. En effet, elle portait des lunettes rouges sur le front, un top noir à large décolleté et sans manches. Ainsi, ses épaules et son ventre étaient largement visibles. Sur ses bras, elle portait des manchettes noire allant de ses poignets et montant un peu plus haut que les coudes. A son poignet droit pendaient 3 bracelets d'or, rappelant le jaune de son foulard noué autour du cou. Pour terminer son costume, elle portait un pantalon moulant noir ainsi que des petites chaussures souples et plates.
Elle n'était plus du tout la même mais ce qu'elle voyait ne lui déplaisait pas. Il ne manquait, cependant, qu'une seule chose.
Elle retourna fouiller dans ses valises et en ressortit son lecteur de musiques qu'elle fourra dans une poche et posa ses écouteurs noirs dont la finition en pointe donnait une impression d'oreilles de chat.
Au final, son instinct ne l'avait pas trompée. C'était son jour, sa naissance et elle ne savait pas du tout à quoi s'attendre pour l'avenir. Tout ce qu'elle savait, c'était que son dieu la surveillerait toujours de près ou de loin.
Autre :
Elle possède 9 vies et en est à la deuxième. C'est une information qu'elle ignore totalement. A chaque vie passée, ses compétences se renforcent
Sa vitesse, ses réflexes et ses sens sont extrêmement développés depuis qu'elle a son nouveau corps.
Ses ongles ainsi que ses canines peuvent s'allonger pour la rendre encore plus sauvage et lui donner une véritable apparence féline.
Tout comme les chats, elle peut se faufiler dans des endroits serrés, normalement impossibles pour les humains normaux.
Son corps possède des propriétés régénératrices au dessus de la moyenne.
Elle peut voir dans l'obscurité.
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