Les terres sauvages / Sabot(s)age [Scally and Co']
« le: mercredi 26 avril 2017, 20:43:26 »Une fois les marchandises à bord, l’heure de partir sonna. Tous les membres de l’équipage montèrent à bord et elles purent enfin partir. Sur le point de prendre le large, elles purent assister à une scène plutôt comique. Une femme qui avait tout la bourgeoise coincé et prétentieuse était en train de passer un savon à des majordomes qui se tenaient la tête basse. La voix de la femme était stridente et tous les passants se retournaient sous les insultes qu’elle versait. Là où la capitaine eu envie de descendre pour la remettre à sa place c’est quand elle sous-entendu le marché noir d’esclave. Mais fort heureusement le navire était déjà loin et la ville commença à disparaitre au loin.
Une fois l’horizon dégagé, les filles reprenaient leur activités réceptives jusqu’à l’heure du diner. Comme toujours Sandra avait préparé un véritable festin. Si les arrêts de ravitaillement étaient aussi fréquents c’est que les membres de cet équipage avaient des appétits d’ogre, sans faire de vilains jeux de mots avec Amy. Mais la louve savait tout de même bien dosé les quantités pour tenir le plus longtemps possible. Et connaître le nombre de personne dans le navire était une bonne chose pour cela.
La nuit tomba doucement. Et les demoiselles commençaient chacune leur tour à aller se coucher. Bien sûr, elles n’y allaient pas toujours seules. Par exemple, quand Qhala et Kamy partaient en même temps, étant les deux les plus perverses, les autres savaient très bien que le « se coucher » ne voulaient pas forcément dire « aller dormir ». Quoiqu’il en soit, une fois la nuit noir tombée, tout le monde dors. Et quand les chats ne sont pas là, les souris dansent.
Le lendemain matin, un bruit s’ébruita dans le navire. Alors que, comme à son habitude, la cuisinière c’était levée de bonne heure pour préparer le petit déjeuner, elle remarqua qu’il manquait des vivre dans le garde-manger. De plus, d’étrange trace de main dessinée par du sang étaient repérer dans le bateau. Alors les spéculations commencèrent. Alors que les plus rationnelles pensèrent à un passager clandestin, d’autre s’amusait à effrayer les plus sensibles avec des histoires de fantômes et d’esprits vengeurs. Mais le temps d’en informer tout le monde il était trop tard pour commencer des recherches sérieuses. La journée était déjà passée. Elles décidèrent donc de reporter cela au lendemain, postant une vigile en haut du mât. Eleonor se plaça donc à son poste tandis que les autres filles allèrent se couchées.
La nouvelle nuit se fut calme dans ses débuts. Le calme plat de la mer était comme une berceuse et la navigatrice trouva peu à peu le sommeil. Plus personne ne surveilla le navire. Et quand les chats ne sont pas là, les souris dansent, encore une fois. Mais cette nuit-là, Amélia eu une envie de se lever, par simple hasard comme cela lui arrive par moment. Elle aime se rendre sur le pont et observer l’océan, elle se perd dans ses pensées. Mais cette nuit elle ne se retrouva pas seule.
La doctoresse entendit du bruit. Interpeller, elle se dirigea vers sa source. C’était en direction du garde-manger. Etrange, peut être allait elle trouvé le voleur de nourriture de la veille. Elle avança sur la pointe des pieds à la porte unique de la réserve. Et alors qu’elle bloqua la seule issue, elle vit une petite silhouette.
Hey !
Elle interpella l’inconnue qui se servait dans les réserves. Quand la personne se retourna, Amélia pu enfin voir qui était ce petit chapardeur. Et quelle surprise ! Une petite créature, pas haute mais bien remarquable. Déjà, au-dessus de sa petite frimousse humaine, très jolie, se dressait une énorme paire de cornes. Enorme qualifiât aussi la paire de sein de cette petite chose que l’ursidé ne put s’empêcher de regarder. Ensuite, ses jambes étrangement poilues se finissaient par deux sabots. C’était une satyre ! Mais, en tant que docteur du navire, elle remarqua les poignets de cette petite créature, ensanglantée. C’est ce qui avait laissé les marques de ses mains. Puis, défaut professionnel
Tes mains, elles sont toutes abimées. Laisse-moi voir ça si tu veux