Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Frankie Stein

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Frankie Stein

Pages: [1]
1
Le temple Shinto / Re : La plus folles des deux... (PV:Frankie Stein)
« le: mardi 04 avril 2017, 23:21:41 »
Ivy était plutôt du genre retors, il fallait lui reconnaître ça. Même vaincue et complètement dominée, une queue massive coulissant dans l'étreinte de ses gros seins moelleux et un gland suintant le pré-foutre frappant contre sa gorge et caressant son menton, elle ne lâchait rien. Elle s'était résignée à se faire baiser jusqu'à l'os par Frankie mais n'en était pas pour autant à implorer pour son sort ou à se plaindre de ce dernier. Stein aurait dû s'en foutre et se contenter de fourrer tous les trous de la comtesse avant de la laisser purulente de foutre sur le dallage du temple Shintô, mais la situation la chiffonnait étrangement. Ivy lui plaisait assez, en vérité. Elle aurait la satisfaction de se vider en elle, mais ensuite la belle décolorée reprendrait sa route et probablement ne croiserait-elle plus jamais la cyborg qui regrettait sûrement de ne pas pouvoir l'enfiler de nouveau.

Sous l'effet de ses pensées, le rythme pourtant frénétique de la branlette espagnole à laquelle Frankie s'adonnait entre les deux pastèques généreuses d'Ivy se calma sensiblement et bientôt le gland ne parut s'extraire des deux collines blanches que paresseusement. On ne pouvait briser et dompter la comtesse par la seule force brute et c'était frustrant pour Frankie qui ne connaissait quasiment que ça.
Cependant, peut-être qu'en l'aidant à s'assouvir, en la faisant aller dans le sens d'une soumission plus "douce", la cyborg obtiendrait un résultat plus satisfaisant ? Ivy put la voir hésiter et s'interroger, puis soudainement arrêter de se branler entre ses deux belles pastèques sensuelles, la verge pourtant aussi cataclysmiquement dressée.


- Tu as sûrement, je ne te briserai jamais, confessa t'elle. Mais je peux peut-être t'assouvir...

Elle afficha un sourire sur ses lèvres pulpeuses et s'agenouilla devant Ivy, passant une main derrière sa nuque avant d'approcher son visage du sien. Son autre main, elle, s'était d'abord déposée sur l'un des seins de la comtesse pour le saisir au mieux dans sa paume (chose impossible au vu du volume à couvrir) et entama une palpation étonnamment délicate. La chair roulait entre les doigts mouvants de Frankie, qui caressaient la forme et la soupesaient avec fermeté quand ils n'allaient pas triturer le téton érigé d'Ivy. Attentive, Stein scrutait les réactions de sa victime. Ivy préférait-elle être pincée, caressée, massée ?
Son front contre celui de la comtesse, elle prodiguait à sa poitrine des seins sensuels et tendres auxquels se mêlaient ça et là de justes doses de puissance, afin de la stimuler pleinement.


- Tu as des seins magnifique, comtesse... On doit te le dire souvent, non ? De belles mamelles pleines et moelleuses... j'adore...


Elle ne mentait pas, même si son ton mielleux était un peu exagéré. Frankie continuait ses caresses attentives, avant que sa main ne se mette à descendre sur le ventre d'Ivy puis sa cuisse, remontant délicatement au creux de l'aine. Ses doigts effleurèrent alors le cuir qui couvrait l'intimité humide de la bretteuse, flattant cette dernière avec délicatesse après avoir écarté l'étoffe superflue. Sa phalange habile glissa sur les lèvres enflées par l'envie, puis ouvrit légèrement la démarcation entre les deux ourlets intimes en passant lentement dessus, récoltant sans mal des premières gouttes de nectar secret.

- Tu es moite, Ivy... ta tête me dit non, mais ton corps réclame. Depuis combien de temps tu n'as pas senti la chaleur d'une queue dans tes entrailles ? Tu aimes ça et ça te manque, n'est-ce pas ? Je le sais, je le sens. Et j'ai, moi, envie de me glisser dans la moiteur d'une chatte... on peut trouver à s'arranger, plutôt que de s'affronter.

Et, continuant ses attouchements sapphiques, Frankie vint appliquer ses lèvres sur celles d'Ivy pour lui proposer un baiser brûlant.

2
One Shot / Re : Rad-lovestory [PV un fan Mystérieux <3]
« le: jeudi 30 mars 2017, 11:48:30 »
Sa main forte sur le sein rond et gélatineux de Pétrola, Akkaï jouait avec la forme avec une sorte d'étonnement enfantin. Cette gelée sensuelle était ferme au toucher mais ses doigts poussaient la presser durement pour la faire se déformer plus qu'aucun sein de chair ne pourrait jamais le faire. Et il suffisait de relâcher la pression pour que le bon gros melon radioactif reprenne instantanément sa forme initiale dans un petit mouvement presque comique, qui fait sursauter la mamelle comme une sorte de balle en caoutchouc. Etrange, amusant, terriblement excitant... La nettoyeuse ne savait pas trop quel qualificatif allait le mieux à cette chose mais sa pine avait déjà choisi son camp. Entre les doigts curieux de Pétrolette s'érigaient les volumineux centimètres d'une queue chevaline qui trahissait par son épaississement rapide toute l'envie qui secouait Akkaï.

Toute occupée à son tripotage qu'elle était -Akkaï avait à présent les deux mains au travail et les seins de Pétrola souffraient doucement sous les assauts de sa conquête- la nettoyeuse n'avait pas vu que la slimette avait été tentée d'ouvrir sa combinaison étanche par réflexe. L'anecdote la tira de son jeu mammaire un moment, lui faisant réaliser qu'elle ne pourrait absolument pas baiser Pétrola dans ces conditions. Triste déception, que la boule de gelée dissipa vite en montrant un local qui n'avait d'intérêt que de laisser derrière la tekhane les émanations nocives. Pour le reste, ça ressemblait à une sorte d'arrière-rue peu ragoûtante. Au moins était-elle étanche !

- Pas Crr-crr, répéta bêtement Akkaï avant de se reprendre. Allons dans ta chambre à coucher alors, ma jolie. J'ai hâte de tremper ma viande dans ta sauce à la gelée.

Emboîtant le pas à Pétrola qui avait relâché le compteur qui pendouillait à la ceinture de la nettoyeuse en rebondissant contre l'aspérité monstrueuse de sa queue dans la combi', Akkaï eut tout le loisir de contempler ce cul monstrueuse que la créature offrait à la vue et ne se fit pas prier pour lui coller une main au train pour lui malaxer une fesse.
Les quelques pas ainsi accomplis, les deux comparses se retrouvèrent face à une porte close qu'il revenait apparemment à Akkaï d'ouvrir. Elle saisit alors sa carte et la montra à Pétrola avec un sourire victorieux.

- Avec ça, j'ai le droit de me faufiler dans le moindre petit trou dans les égouts, trésor.


Akkaï saisit alors le bras de Pétrola, la forçant à se retourner pour la plaquer face contre la porte close. La nettoyeuse veilla à ce que les nichons de la goo s'écrasent fort sur le métal alors qu'elle-même se retrouvait contre le fion rebondi de la gélée, qui put apprécier la forme cylindrique de l'énorme pine encore prisonnière qui se calait entre la démarcation de ses fesses tandis qu'Akkaï tendait le bras pour approcher son Multi-pass du lecteur dédié.

- Touuuus les petits trous
, répéta-t-elle alors que la porte s'ouvrait dans un chuintement. On va vite commencer l'exploration, d'ailleurs.

Pétrola et Akkaï se retrouvèrent vite dans la pièce que la nettoyeuse s'empressa de refermer hermétiquement. Terriblement excitée mais pas moins prudente, la nettoyeuse fit jouer son compteur pour s'assurer que les radiations ne passaient pas. Une fois certaine que la zone était safe, elle ne perdit pas de temps pour se dévêtir.
En quelques mouvements, la tenue étanche était oubliée dans un coin et Akkaï libre de montrer son corps à Pétrola : un ensemble musculaire puissant et entretenu, orné par une paire de seins généreux et un chibre bandé et dressé plus haut que son nombril, toutes veines dehors. Détaillant Pétrola, Akkaï se mordit la lèvre et attrapa son membre d'une main ferme pour le branler doucement.

- Qu'est-ce que tu attends pour venir participer ? Je vais pas poireauter comme ça des heures, trésor !

3
Le temple Shinto / Re : La plus folles des deux... (PV:Frankie Stein)
« le: jeudi 30 mars 2017, 11:18:30 »
Le crachat s'étala sur le bas-ventre de Frankie et s'y dilua en sillons léger qui roulèrent sur sa peau morte avant de disparaître. La cyborg n'avait rien raté du moment, s'amusant d'un sourire en coin de la résistance de la comtesse. Ivy était fière, très fière... Et la situation n'en était donc que plus terrible pour elle. Malgré tout, la bretteuse trouvait le courage de se livrer à une nouvelle provocation, un nouveau refus d'accepter la position dans laquelle Frankie la plaçait. Ce qui n'était pas pour déplaire à C9, mais pas pour les raisons qu'aurait pu imaginer la Comtesse violentée. Si sa résistance avait un intérêt pour le côté sexuel (elle lutterait et serait bien plus étroite au début, un délice pour Frankie), c'était tout autre chose qui séduisait Stein. En rapport avec son propre passé tourmenté.
Contre toute attente, Frankie ne fit pas oeuvre de représailles et ôta même son chibre turgescent du visage d'Ivy et en vint à s'accroupir devant elle, lui tenant toutefois toujours la crinière d'une main ferme et dirigiste.


- Tu ne peux pas me tuer, Comtesse. Ni maintenant, ni dans mille ans. Et tu veux savoir pourquoi ?

D'un coup sec sur ses cheveux qu'elle tenait, la cyborg lui fit lever la tête et plaquer son oreille contre sa poitrine. Non pas pour lui faire tester la fermeté de ses seins, mais pour bien autre chose... Au bout de quelques secondes, Ivy put se rendre compte que malgré l'excitation palpable de Frankie -dont le chibre dur frottait contre sa cuisse, la salissant de sa propre salive- aucun battement de coeur ne résonnait dans sa cage thoracique. Rien, nul signe de vie.
Après un temps, Stein lui ôta la tête de son reposoir.


- Quand à la violence que tu fantasmes certainement de m'infliger, sache que tu ne feras rien qu'on ne m'ait déjà fait subir. Je pourrais te faire encore plus de mal, ma chérie. Te briser les membres pour ne pas que tu puisses bouger pendant que je bourre chaque putain de trou de ta carcasse jusqu'à ce que tu en vomisses du foutre, par exemple. Ça n'me poserai pas de problème. Mais je dois dire que je respecte ton entêtement, ta volonté de te battre. Alors pour ça, je vais te laisser le choix : soit tu écartes les cuisses comme une grande en redemandant encore de te faire fourrer par ma queue, soit on fait ça à ma manière.

Pour illustrer son propos, Frankie relâcha les cheveux de sa victime et vint coller son chibre démesuré entre les deux collines blanches et charnelles d'Ivy qu'elle vint saisir à pleines mains pour les écraser confortablement autour de ses épais centimètres afin de s'y branler durement, le gland luisant de pré-foutre frottant la gorge de la comtesse et butant sur son menton.

- Dernière chance, ma poulette. Tu as jusqu'à ce que je gicle sur ta jolie petite gueule. Après, ce sera fin du décompte. J'en ai marre de faire durer le plaisir quand je sens ta chatte puer l'envie.

4
Le temple Shinto / Re : La plus folles des deux... (PV:Frankie Stein)
« le: mercredi 29 mars 2017, 10:11:52 »
Frankie était un mec, par bien des côtés. Elle avait toujours été un garçon manqué qui se laissait fatalement entraîner par l'excitation sexuelle dès que celle-çi pointait le bout de son nez et faisait en sorte de toujours pouvoir s'assouvir. Lorsqu'elle était jeune et encore parfaitement humaine, combien de frasques n'avait-elle pas fait ? Combien de fois avait-elle été coffrée par les flics pour exhibition et attentat à la pudeur ? Elle ne connaissait que peu de limites et son passage en cyborg n'avait rien changé. Au contraire, qu'on lui ai conféré une queue (et un morceau de roi, comme pouvait en témoigner Ivy qui découvrait que sa tortionnaire était montée comme un putain de cheval) avait amplifié ses désirs et ses accès de luxure. Comme avec la comtesse, elle partait au quart de tour, sans plus de limites...

Ivy, coincée dos au mur et assise sur le sol à parfaite hauteur pour servir de suceuse contrainte à Frankie, se retrouvait maintenant la gorge encombrée par le braquemard qui y avait largement enflé. Sans vergogne ni considération pour sa victime, Stein lui baisait la bouche et la gorge. Son dard épais fouissait et s'enfonçait comme un bélier inarrêtable et le gland dépassait la luette de la belle comtesse étouffée par la viande mâle qui lui ravageait la bouche. Frankie sentait bien qu'elle se débattait mais sa prise sur la tête d'Ivy était ferme et sèche, la rappelant à l'ordre durement lorsque la comtesse protestait silencieusement. Elle lui tira les cheveux plusieurs fois, puis réalisa qu'il fallait la laisser un peu respirer.
La cyborg grogna en amorçant un retrait, ses reins entraînant le pieu veiné vers l'arrière et libérant lentement Ivy. La queue en vint à être tout à fait extraite et avec elle de long et visqueux filets de bave qui liaient la pine à la bouche qu'elle venait de baiser.
Frankie tira sur les cheveux d'Ivy pour lui faire relever la tête, la regardant alors que le membre tendu vint à reposer sur le beau visage au mascara coulé par les larmes.


- Haaarm... tu as une sacrée gorge de bouffe-bite, Ivy... Elle te plaît, cette grosse pine ? Je vais la vider dans ton œsophage... pour commencer. Tu sais, si tu résiste, ça va être encore plus excitant pour moi ! [color=greyElle sourit sinistrement.[/color] Vide moi de ton plein gré et peut-être que je ne te bourrerai pas le cul avec ce monstre.... Peut-être.

5
Le temple Shinto / Re : La plus folles des deux... (PV:Frankie Stein)
« le: mardi 28 mars 2017, 15:57:28 »
Pour Frankie, l'affrontement contre Ivy n'avait même pas eu assez d'intérêt pour être qualifié de combat. Peut-être que si la belle bretteuse n'avait pas porté un assaut aussi direct et inconsidéré en guise d'ouverture, le duel aurait prit une autre tournure ? La comtesse aurait été capable de se défendre, de mieux se servir de son bras défensif... Bref, elle n'aurait pas été autant malmenée qu'à cet instant. Son estomac avait été maltraité -assez pour que la comtesse aux seins dénudés de force soit contrainte de vomir- et elle s'était vite retrouvée acculée au premier pilier venue, livrée aux frasques d'une Frankie que l'excitation croissante rendant davantage impatiente. L'idée de baiser bien violemment cette bourgeoise prétentieuse électrisait Frankie, qui restait toutefois sur ses gardes. Tant que la chienne n'était pas dressée, elle pouvait encore montrer les crocs.
Enfin pour le moment, elle montrait surtout ses bons gros seins que Frankie comptait bien s'approprier sous peu. Est-ce que Ivy faisait exprès de faire reposer ses mamelles sur son bras en écharpe, pour l'aguicher ? Peut-être. Au fond, cette traînée avait probablement envie de se faire sauter !


- Oh ? Tu as une sorte de super pouvoir ? Cool !

Le halo verdâtre l'avait surpris, elle devait bien l'admettre. Dans les faits, vu l'état dans lequel elle avait foutu la comtesse, Frankie doutait que cela puisse amener une nouvelle issue à leur petit match. Néanmoins, par curiosité, la cyborg laissa faire l'humaine. Et Ivy chargea bille en tête dans un dernier sursaut d’orgueil. Une nouvelle erreur, finalement.
Stein la laissa venir jusqu'au tout dernier moment, puis s'écarta de son chemin en un éclair en se décalant d'un pas. Un simple pas, accompli à l'instant idéal. La charge de la Comtesse ne trouva que le vide là où se trouvait encore Frankie une fraction de seconde plus tôt, et la belle fut instantanément contrée.


Un crochet du poing la faucha en pleine course dès l'esquive de Frankie effectuée. La cyborg concentra assez de sa force surhumaine pour être en mesure de stopper l'assaut en pleine course, cassant Ivy en deux en utilisant sa propre force. Frankie laissa Ivy reculer en hoquetant, l'estomac au bord des lèvres, avant de lui balancer un terrible coup de poing à la figure pour l'envoyer se vautrer contre un mur. La guerrière roula-boula dans un coin du temple et la cyborg approcha d'elle à pas lents tout en ouvrant son petit shorty élimé pour en sortir un impressionnant membre masculin que l'excitation avait pour moitié déjà raidit.
Elle vint saisir Ivy par les cheveux, lui collant le visage contre la queue qui pendait entre ses cuisses, la corolle du gland flirtant avec les lèvres de la comtesse.


- Je vais enfin pouvoir te baiser, sale petite pute. Tu vas en redemander, j'en suis sûre. Allez, on commence ? Je suis pressée de me vider, moi.

Et, sans lui laisser le choix de la réponse, Frankie lui pinça le nez pour l'empêcher de respirer. Forcée à ouvrir la bouche, Ivy se retrouva bientôt avec la queue de Stein qui lui emplissait le palais, repoussant sa langue pour se frayer un chemin vers l'orée de sa gorge. Ses centimètres se gorgèrent rapidement de davantage de sang, filant à Frankie une érection toujours plus importante, annonce du calvaire qu'allait vivre Ivy.

6
Le temple Shinto / Re : La plus folles des deux... (PV:Frankie Stein)
« le: vendredi 10 mars 2017, 10:49:01 »
Aaaaaaaah, elle résistait ! Super ! Frankie n'aurait pas aimé découvrir qu'Ivy avait plus de vent dans les propos que certaines de plastique dans les seins. Ce qui était excitant chez la comtesse, au-delà de ses formes et de sa tenue provocante, c'était ce caractère imbuvable. C'était le meilleur à détruire, finalement. Baiser, Stein pouvait le faire à l'envi. Mais soumettre ce genre de garce sûre d'elle, combien de fois est-ce qu'elle en aurait l'occasion ? Se mordillant la lèvre, C9 se promit de la faire couiner fort dès qu'elle lui aurait mit la main au collier. Néanmoins, la cyborg avait un réel besoin de l'information qu'elle voulait extirper à la bretteuse. Il ne faudrait pas trop l'abîmer, qu'elle soit en mesure de répondre.
Avant ou après l'orgasme, ça... Ça dépendrait d'elle.

Une provocation, un coup d'épée bien ajusté. La comtesse ouvrit le bal habilement en désarmant Frankie dont le fusil glissa sur le sol poussiéreux pour s'arrêter au pied d'un des piliers défoncés par la colère d'Ivy, laissant la cyborg une seconde surprise. Juste assez pour que la décolorée profite de l'ouverture pour ajuster à son adversaire une puissante poussée de l'épaule, qui malheureusement pour elle se heurta à la nature semi-mécanique de Stein. Elle recula d'un pas ou deux en poussant un sifflet admiratif ; tous les humains n'étaient pas capables de la déplacer ainsi. Cependant, vu la grimace de douleur de la comtesse, elle payait cher son audace et son ignorance de la nature réel de Frankie.


- Mais par les enfers, tu n'es pas humaine... J'ai l'impression que ton corps est en acier... Comment est ce possible impie ?
- Tu le sauras si tu me fais jouir, comtesse. Je pourrai te proposer de me sucer jusqu'à l'os dès maintenant, mais j'ai l'impression qu'une bonne petite fessée te calmera un peu. Tu es prête ? Elle afficha un sourire provocant. C'est parti !


D'un pas vif, Frankie se déporta sur le côté pour anticiper un mouvement de l'épée-serpent et se rapprocha d'Ivy. Sa vitesse n'était pas humaine, vu la façon dont elle était arrivée sur la bretteuse ! Elle lui saisit les cheveux, lui faisant relever la tête avant de lui arracher le cuir blanc qui compressait ses seins, relâchant la poitrine ferme de la comtesse à l'air libre. Se léchant les lèvres d'envie, la cyborg ne perdit toutefois pas son temps et en profita pour balancer un crochet de son poing libre en plein estomac. Frankie relâcha la crinière d'Ivy au même moment, pour venir lui coller une gifle retentissante dans la foulée et l'envoyer dos à un pilier.

- Round one, Frankie Wins !
Elle leva les poings en l'air comme une championne de boxe, saluant une foule imaginaire avant de se remettre en garde. Rrrrrrrrrouuuuuund two, FIGHT !

Effectuant quelques jabs dans le vent, Frankie acheva en se ruant vers Ivy. Quelques coups bien balancés devraient achever la petite comtesse prétentieuse...

7
Le temple Shinto / Re : La plus folles des deux... (PV:Frankie Stein)
« le: vendredi 24 février 2017, 09:49:43 »
Pas mal crétin, ça, de rétracter ainsi son arme. Frankie comprit vite l'intérêt de l'arme ennemie ainsi que le potentiel au combat qu'elle pouvait avoir. Une épée-serpent... Pas le genre de jouet qu'on voit souvent et qui réclame un maniement particulièrement complexe et entraîné pour être efficace, en plus de permettre de se battre à courte et à mi distance. Si la femme savait manipuler cela, il ne fallait pas la prendre trop par-dessus la jambe. Néanmoins, la "Comtesse" avait commis l'erreur de ne pas faire revenir son arme à sa forme de glaive avant. C9 en connaissait maintenant la taille et pouvait donc estimer son champ d'action en espérant ne pas trop se tromper. Quant à la forme d'épée, il n'y avait sûrement rien que la cyborg n'avait déjà eu le loisir de combattre auparavant. Mais, si elle venait bien de Terra, mieux vaudrait faire preuve de prudence quand même. Qui sait ce qu'elle pouvait réserver ?

- Ohoh, c'était du sarcasme ça, non ? Dis donc, c'est drôle de vouloir me tâcler sur ma capacité à réfléchir et enregistrer alors que tu as filé ton nom à ton épée pour pas trop galérer à t'en souvenir ! Trouver quelque chose d'original c'était trop dur pour des deux neurones et demie, Comtesse ?

Elle avait lâché le mot clairement comme une moquerie et pas une marque de respect. Frankie avait continé d'avancer jusqu'à se stopper, fusil à pompe sur l'épaule et regard vicieux braqué sur le décolleté d'Ivy. Avec une certaine satisfaction, la cyborg avait vu que l'épéiste s'était reculée d'un pas. Elle se méfiait, et elle avait clairement raison de le faire.


- Moi, c'est Frankie. Frankie Stein, pour te servir !

Joueuse, la dénommée fit une révérence exagérée qui offrit le loisir à Ivy d'avoir une vue prenante sur les seins gonflés de la cyborg, qui ballottaient dans son haut malmené par la taille de bonnet. Frankie se redressa et posa le canon de fusil sur le sol, mettant les deux mains sur la crosse. Un peu comme un noble se serait servi de son épée pour en faire une canne improvisée, exhibant son arme à l'adversaire en guise d'avertissement.

- Ma petite Ivy, tu vas me dire d'où tu viens, presto. Je me fous de ton titre, de ta richesse probable, de ton petit ton de pétasse bourgeoise hautaine. Je veux juste savoir d'où tu viens. Tu as peut-être une information qui m'intéresse et je veux m'en assurer. Ensuite, on baisera. Elle afficha un sourire malicieux. A vrai dire, que tu sois d'accord ou pas, on baisera. Enfin, je te baiserai. Je te laisse encore la possibilité de choisir si tu veux être consentante ou pas, parce que je ne suis pas encore assez excitée pour ne pas être trop méchante.

D'un mouvement de poignet, la cyborg récupéra son arme en main et en fit jouer la pompe dans un Clac-clac caractéristique, ses lèvres s'étendant davantage.


- Par contre, ça ne va pas durer ! Navrée, mais tu es beaucoup trop bonne pour que je fasse durer le plaisir. Alors, chou, tu veux te la jouer comment ? Façon Roméo et Juliette, ou plutôt Irréversible ?

8
One Shot / Re : Rad-lovestory [PV un fan Mystérieux <3]
« le: jeudi 23 février 2017, 09:57:59 »
Akkaï resta sur le pas de la pièce, complètement médusée. Derrière le plexiglas doublé qui dévoilait son visage pour moitié masqué afin de protéger ses poumons d'éventuelles émanations toxiques libérées alors que sa combinaison de travail se retrouvait privée de son étanchéité, la slime pouvait surtout aperçevoir ses grands yeux bleus qui clignaient rapidement. Difficile de croire qu'il existait dans ce merdier radioactif une forme de vie qui barbotait dans les pires détritus industriels imaginables. Si Akkaï avait eu, elle, l'idée de faire trempette là-dedans pour passer le temps, il lui serait probablement poussé deux bites sur le front... Et elle, cette...slime, cette gelée animée, faisait la pupute naïve comme d'autres pétasses de la surface le faisaient au sauna.
Surréaliste.

Elle se présenta comme se nommant Pétrola, et Akkaï répondit en bégayant un peu, lui donnant son prénom tout en observant la scène et les formes de la chose verdâtre. Okay, pour un résidu de dépotoir chimique, Pétrola était foutrement baisable. Akkaï entretenait depuis sa jeunesse un fantasme étrange envers les slimes et la créature généreuse face à elle se trouvait être l'incarnation de ces scénarios improbables. Mais... Pouvait-on enfoncer une queue là-dedans sans que la viande bandée ne se mette à fondre ?
La nettoyeuse frissonna à l'idée, mais les gros seins remuants de Pétrola lui firent bien vite oublier les images catastrophiques qui lui étaient venues en tête.

- Me... Baigner ? Dans cette merde ? fit Akkaï en désignant le bain aux couleurs de moisissures et aux émanations méphitiques. Avec toi ?

Cette saloperie de nana était une créature mutante des égoûts ! Le boulot d'Akkaï était donc de lui vider sa réserve d'essence à la gueule pour la faire fondre et ne plus en entendre parler, mais elle ne parvenait pas à s'y résoudre. Déjà parce que Pétrola irait foutrement bien au bout de sa queue, mais aussi parce qu'une flamme dans cet environnement enverrait rôtir la nettoyeuse dans la seconde et l'explosion enverrait le building de Miranda Forge plus ou moins sur la lune dans la foulée.
Incapable de savoir quoi dire ou faire, Akkaï ne bougea pas. La slime ne parut pas s'en émouvoir une seconde et continua son petit bonhomme de chemin, se foutant au bord du bassin comme un mannequin au bord de la mer pour une putain de séance photo.

Akkaï regard Pétrola, puis le bassin radioactif, puis Pétrola, puis son lance-flammes, puis sa combinaison.
....Merde, mais pourquoi elle commençait à se dire que l'idée de traverser cette flotte verdâtre ne la tuerait pas, grâce à sa combinaison ? Il y avait quoi, vingt pas à faire pour aller coller une bonne main au panier à ce tas de gelée ondulant qui commençait à lui coller une trique de tous les diables ? Vingt pas, ce n'était pas grand-chose...

La nettoyeuse s'humecta les lèvres nerveusement. C'était une personne raisonnable en temps normal, mais qui avait tendance à faire des conneries une fois qu'elle était saisie par l'excitation sexuelle comme c'était le cas maintenant.

- Il n'y a pas que l'eau de la mare qui soit super bonne, fit-elle comme pour justifier ce qu'elle avait en tête.

Et puis merde ! Pourquoi ne pas traverser ce merdier pour aller déglinguer le pot de yaourt aux allures de pin-up de luxe ? Pétrola coulerait à merveille le long de sa bite de cheval et Akkaï mourrait d'envie d'aller lui tapoter le cul et les nichons pour les voir remuer sous l'onde de choc.
Akkaï avança un pied vers la mare, y plongeant le bout. Tout semblait aller bien. Bon. Elle se lança après une longue inspiration, se trouvant complètement conne de se retrouver à faire ça, et pénétra dans la mare en espérant que sa combinaison était bel et bien étanche.

L'"eau'" lui arrivait à la taille et la progression n'était pas si difficile. C'est un peu comme avancée dans de la vase, finalement. Avançant à pas prudents, Akkaï traversa donc la petite étendue radioactive pour rejoindre la berge où se trouvait perchée Pétrola. Finalement face à la slime, la nettoyeuse se surprit à trouver la mare agréablement tiède, comme la slime l'avait annoncé.

- Et... maintenant ?, dit-elle. On fait quoi ?

Question stupide. Si l'environnement autour d'elles avait été différent, Pétrola aurait finit fit la gueule collée sur la viande d'Akkaï pour que cette dernière puisse lui faire étaler son vert à lèvres au fil de ses centimètres, comme un marqueur sur la queue pour mesurer ce qu'elle était capable d'encaisser sans perdre le souffle pour de bon. Mais là, les choses étaient différentes.
Akkaï plongea la main sous l'eau, pour ajuster dans sa combinaison sa pine qui, en durcissant de plus en plus, commençant à la gêner... Et se retrouva plus ou moins à se caresser en matant Pétrola, avant de lui attraper un sein pour le presser entre ses doigts gantés sans autre forme de présentation.

9
Le temple Shinto / Re : La plus folles des deux... (PV:Frankie Stein)
« le: dimanche 19 février 2017, 13:53:47 »
- Qui est là ? Montrez vous !!!
- Wohoo ! Calme toi, pétasse. On est dans une sorte d'église ici, tu sais ? S'tu fous la merde, tu seras punie par le p'tit Jésus aux yeux bridés ♪


Frankie Stein s'avança depuis le pas de la porte qu'elle avait atteint alors que la comtesse s'était déchaînée. Elle n'avait pas escompté pénétrer dans le temple, mais les bruits de saccage et les hurlements rageurs l'avaient finalement attirée jusque là. Et la cyborg était arrivée comme une fleur, découvrant une étrangère dans une tenue plutôt... provocante, qui mettait parfaitement en valeur ses formes. C9 détailla l'humaine avant de se lécher les lèvres d'appétit, son fusil à pompe chargé négligemment posé sur l'épaule. Menace muette ou simple confort de posture ? Impossible à dire malgré la détente apparente de l'américaine, dont les seins tendaient férocement son haut grisâtre délavé et déchiré.
Elle observa ensuite le fouet dentelé de segments tranchants, se promettant de se méfier de l'arme tandis qu'elle serait avec sa propriétaire. Vu les dégâts sur les murs, celle avec les cheveux blancs savait se servir de son arsenal.

La cyborg fit quelques pas en accentuant volontairement le déhanché ravageur que son shorty un poil trop petit lui conférait, et s'arrêta à une distance raisonnablement prudente de la comtesse.

- J'vais te dire, je ne t'avais pas vue entrer. Mais tu fous un tel bordel que j'ai pas pu m'empêcher de venir voir qui était là. Et regarde ce que je trouve ! Le prochain fourreau pour mon énorme pine ! La vie est quand même bien faite, tu ne crois pas ?

A bien y réfléchir, la tenue de l'inconnue furieuse était aussi sexy qu'étrange. Même pour un pays parfois exubérant comme le Japon. Et puis, qui se battait avec une sorte de fouet, de nos jours ? L'allure de l'inconnue intrigua Frankie, qui plissa les yeux.

- Tu es qui, toi ? Et surtout, tu viens d'où ?

Dans les faits, la mécanisée se moquait bien de l'identité de la femme. Néanmoins, si son style témoignait d'un passage de sa part sur Terra, c'était une autre affaire. Frankie cherchait un moyen d'accéder à ce plan afin de faire ses propres affaires et n'avait pour le moment aucune piste concrète. Si la fille au fouet avait des informations, nul doute que Stein la ferait cracher. En s'amusant au passage autant que possible, parce qu'on ne partait pas sans déglinguer un cul pareil.
Pour sûr, pas une des deux ne repartirait intacte de cette confrontation !

10
One Shot / Re : Rad-lovestory [PV un fan Mystérieux <3]
« le: dimanche 19 février 2017, 13:33:55 »
"On raconte qu'il y a des mutos dans cette partie des égouts", grésilla une voix dans l'oreillette. "Tu vois, tout le sperme de Tekhos perdus pendant les branlettes dans les douches où sur les chiottes se serait mélangé aux produits chimiques qu'on nettoie pour créer Foutronium, le dieu des gelées chimiques !"

Sous le casque de sa combinaison intégrale et hermétique, le nettoyeur T-203, Akkaï Fukkmeister, secoua la tête en souriant. Sa partenaire de nettoyage du jour, Zira, était une gamine adepte des légendes urbaines de Tekhos. Forcément, travailler au nettoyage des boyaux des égoûts alors qu'ils étaient encrassés de produits chimiques était du pain béni pour elle. Une fois, elle avait cherché le fameux Roi-Crok, un alligator prétendument gigantesque à deux têtes. Et une autre fois encore, elle avait été certaine d'avoir trouvé la trace d'une colonie de chenilles mutants qui avaient des bites en lieu et place de patte. Bref, Zira avait de l'imagination à revendre et des histoires plein son escarcelles.

Akkaï était plus mesurée, toutefois. Nettoyeuse expérimentée qui faisait ce métier depuis plus de vingt ans, elle connaissait le réseau comme sa poche et savait qu'il existait certaines créatures un peu débiles qui vivaient là sous l'influence des produits chimiques. Mais rien de ce qu'imaginait sa co-équipière ! "Foutronium"... C'était n'importe quoi, mais l'idée amusait beaucoup Akkaï. A quoi ressemblerait cette divinité des Gélées, si elle existait ? Elle s'amusa à l'imaginer, jusqu'à ce que le travail la rappelle.

Le travail d'Akkaï était pénible, peut-être l'un des plus chiants de tout Tekhos. Il s'agissait de descendre dans les égoûts de la ville équipé de la plus laide de toutes les combinaisons de protection du monde, qui coupait toute vision sur le corps... et surtout avec un lance-flammes à plasma des plus violents pour aller libérer les bouches les plus encombrées des accumulations malsains issues et usines et autres laboratoires. On risquait l'explosion fatale chaque jour, sans compter l'embrasement de l'air et autres fins douloureuses du genre. Pour peu qu'on survivait, on se retrouvait avec la carrure d'athlètes d'Akkaï, à force de soulever un flingue presque aussi gros qu'elle et de courir pour éviter les émanation les plus redoutables.
M'enfin, curieusement, Akkaï appréciait son boulot. La paie était bonne, l'équipe sympa et les égoûts un domaine qu'elle aimait. On y était tranquille, on y faisait parfois des découvertes.

- On se sépare là, fit-elle dans son micro. On se rejoint dans deux heures au point prévu, okay ? Je vais m'occuper de la zone dont s'est plainte la GWC, voir si ça dépend bien de nous. Sois prudente !

Zira opina et le travail continua, entraînant Akkaï plus avant dans le dédales des salles souterraines. Son lance-plasma crachait ses flammes comme un dragon motivé par la rôtisserie et rien ne fut à signaler jusqu'à l'arrivée au point indiqué par la GeoWeapon, qui prétendait avoir des remontées que même les plombiers ne pouvaient pas endiguer.
Et effectivement, la salle en question était pleine de bidons percés et à moitié fondus. Le sol était un marécage de substances toxiques à laquelle sa combinaison semblait encore étanche, fort heureusement. Mais il faudrait des jours à toute une équipe pour s'occuper de ça ! Akkaï observa l'endroit pour trouver où commencer, quand son regard capta un mouvement. Avait-elle rêvé ? Non ! Incroyable !

Il y avait bien quelque chose qui avait le cul (et un sacré bon cul, bordel de merde) posé sur un bidon comme d'autres sur une chaise, qui remuait sa... gélée dans une tenue plus qu'échancrée. Une petite slime-bonnasse, qui évoluait dans cet enfer toxique comme une mannequin sur son parcours de présentation. Akkaï en vint à essuyer sa visière pour être sûre de ne pas délirer, puis détailla la Goo non sans ressentir un certain appétit qui éveilla bien vite le mât chevalin qui courait pour le moment sagement sur sa cuisse.

- ....F-Foutronium, la déesse de la Gélée ? Elle n'arrivait même pas à croire qu'elle disait ça à voix haute. Tu es... merde, meuf, tu es qui ?

11
Prélude / Re : Frankie s'en va en guerre ♫ [Violidée ~♥]
« le: vendredi 17 février 2017, 22:18:03 »
MmmMmMMMmh.... non.
Je vais plutôt t'appeler Sucemoi, c'est plus concis. Et une fois que tu auras répondu à ton nom, on t'entendra moins la ramener ♥

12
Prélude / Re : Frankie s'en va en guerre ♫ [Violidée ~♥]
« le: vendredi 17 février 2017, 21:51:48 »
Détendez vous, les pétasses, y'en aura pour tout le monde ♥

13
Prélude / Frankie s'en va en guerre ♫ [Violidée ~♥]
« le: vendredi 17 février 2017, 21:38:49 »


- Où est Gero ?

Pas de réponse de la part de l'homme en blouse blanche.
La gifle l'envoya contre le mur si fort qu'il en tomba à terre. Il sentit qu'on lui saisissait le col pour le traîner sur quelques mètres avant qu'une poigne d'acier ne le fasse se retourner sur le dos, avant qu'un pied chaussé d'une vieille DocMarten's déglinguée posée sur son buste le maintienne dans cette position grâce à une pression inattendue.
L'homme grimaça sous la douleur, mais la gueule béante du fusil à pompe qu'on lui colla sous le nez parvint sans mal à lui faire oublier la gêne.

- Où. est. Gero ?

Tremblant, le scientifique avala sa saliver bruyamment et remonta son regard fuyant le long de la jambe agréablement fuselée qui le maintenait à terre. Au fil d'interminables centimètres qui annonçaient la courbe flatteuse d'un cul ferme et rebondi cintré dans un shorty de sport échancré, l'homme découvrit une peau grisâtre mordue par de fines cicatrices. Il n'ignorait pas d'où elles provenaient. Les multiples opérations qu'avait subies la fille, qui en avait tiré certes quelques bénéfices... au prix d'une partie de sa peau.

Ses yeux de fouine apeurée s'arrêtèrent sur les hanches délicieusement larges  et le ventre plat où se dessinaient les courbes discrètes mais présentes des abdominaux. Un régal... en d'autres circonstances. Comme cette lourde poitrine arrogante et ferme qui tendait insolemment son top une taille trop petite, de façon très certainement calculée.

La vue privilégiée dont il disposait sous cet angle amorça une érection chez le scientifique et la femme sembla s'amuser à laisser faire, venant même frotter le renflement mâle du bout de son fusil en affichant un sourire mutin. Le manège dura quelques secondes -assez pour faire bander le bougre avec allégresse dans son pauvre pantalon de flanelle marronnasse- et s'acheva lorsque le fusil appuya durement sur sa queue. Cela en devint vite douloureux et il cria en réclamant pitié.

- Je dois répéter ma question ?
- J...Je ne sais pas où est le docteur !
- Tu mens, Graham. Tu es son assistant sur le sol américain, je le sais. Tu l'as aidé pour la mise au point des numéros 10 et 11. Et tu voudras me faire croire qu'il t'aurait planté là sans te dire où il allait ?
- C'est pourtant vrai, bredouilla l'homme. Il m'a laissé un cahier des charges et c'est tout ! Je ne l'ai pas vu depuis 6 mois ! Je ne sais rien, je le jure !

Pour faire bonne figure, Graham fit l'effort de regarder son tortionnaire dans les yeux. Son regard put englober tout le visage : des lignes fines de ses traits, à l'ourlet pulpeux des lèvres qui promettaient silencieusement des pipes mémorables en passant par le regard aiguisé et réhaussé de khôl noir délavé. Il nota les mèches de cheveux noirs coupées grossièrement dans une coupe courte.
Graham avala sa salive.

La femme le considéra une seconde et ses lèvres s'étendirent dans un léger sourire en coin. Le canon du fusil cessa sa pression pour revenir sur le buste de l'homme avant que l'arme ne soit épaulée à la façon d'un fusil mitrailleur.

Elle déposa son oeil dans la mire et se mit à mimer le bruit d'une arme automatique à la façon d'un gosse dans la cour de récré, remontant doucement le pompe le long du torse puis du bras gauche que Graham avait laissé étendu.

- Dumdumdumdumdumdumdumdummmm...

BLAM !
La détonation claqua violemment dans l'air, amplifiée par la hauteur sous plafond du laboratoire. Graham hurla à s'en déchirer la gorge, sa main répandue sur le sol en une gerbe large rougeâtre  dans laquelle barbotaient morceaux de chair et esquilles d'os.
La femme ôta son pied de sa cage thoracique, le laissant se rouler de douleur sur son moignon tandis qu'il gueulait la bave aux lèvres.

Elle vint s'accroupir pour l'observer dans son manège, puis l'attrapa sèchement par les cheveux après un soupir las pour lui fracasser la gueule sur le sol carrelé du labo.

- Ne fais pas ta chieuse, Graham. Des membres, ça se remet. On fait de super prothèses mécaniques de nos jours ! T'en sais quelque chose, hein, fils de pute ? Elle cracha de dédain. Dis moi ce que je veux savoir, ou j'éclate toutes tes ratiches sur le sol. Et je vais pas me priver ; la brutalité ça me colle une gaule d'enfer.

Elle arma le bras qui tenait la crinière grasse du scientifique et lui claqua la face une nouvelle fois sur l'exemple, relevant ensuite sa tête ensanglantée pour contempler son visage au nez fracassé et aux dents de devant cassées. Graham ne beuglait plus ; la douleur avait saturé ses nerfs et il en était étrangement réduit à pleurnicher. Dans un éclair de lucidité et sous la menace d'un troisième impact, il hoqueta en balbutiant quelques mots.

- O-o-okay, gémit-il piteusement. L'est au Japon pour rendre opérationnels 17 et 18 !
- Les derniers numéros sont prêts ?
- B...bientôt. Graham toussa du sang, tâchant le visage de la fille.
- Il va en faire quoi ?
- Chais pas... il... il a marmonné qu'ils seraient indispensables pour le cadeau de la Reine... je te jure que je ne sais rien de plus, Frankie ! Pitié... pitié !

Le scientifique se remit à chouiner lamentablement, faisant tiquer la femme d'agacement. La prise qu'elle avait sur mes cheveux de Graham gagna en force, si bien que ce dernier sentit très nettement l'arrachement de son cuir chevelu.

- Donne moi le nom de la ville.
- Hein ?
- Au Japon. Elle est grande, cette putain d'île.
- Seikusu... je t'en prie, Frankie, je ne sais rien de plus ! Je te le jure !
- Ah ouais ? Rien de rien ?
- RIEN, FRANKIE, RIEN !

Le hurlement de Graham se tût dès lors que sa gueule d'académicien rencontra le sol une nouvelle fois. Puis encore une. Et encore une. Et une dernière. A la fin, Frankie ne releva pas un faciès humain mais une sorte de bouillie poisseuse de sang où se retrouvait la blancheur de deux ou trois dents miraculeusement intactes qui semblaient surnager dans la viande ornée d'un oeil exorbité.

La femme relâcha le cadavre qui s'étala à terre dans un bruit sourd. Elle s'agenouilla alors, sortant de son shorty un chibre puissamment bandé qu'elle astiqua vigoureusement au-dessus du corps inerte de Graham. Elle ne lui avait pas menti ; ce genre de moment lui filait toujours une trique monstrueuse qu'elle assouvissait sans gêne.

Une fois les burnes vides (ou ce qui, dans ce corps, faisait office de couilles), Frankie avala la salive qui perlait à la commissure de ses lèvres et poussa un gémissement de contentement avant de ranger son dard. Une queue bien mâle d'acteur porno greffé sur un corps de femme comme le sien... un des cadeaux laissés par le docteur Gero à l'issue de leur rencontre en Roumanie, trois ans auparavant.
...A vrai dire, ce serait le seul de la panoplie pour lequel elle ne lui ferait pas payer le prix fort.

Assouvie pour un temps, Frankie se releva et se mit à piller tout ce qu'elle pouvait dans le laboratoire de Graham. Son disque dur et quelques dossiers, ainsi que des pièces détachées. Une fois refilées aux bonnes personnes, elle en tirerait un joli paquet d'oseille et en profiterait pour se payer un voyage clandestin jusque chez les bridés. Et puis, il n'était pas impossible qu'elle en aie besoin à un moment où a un autre pour son usage personnel.

Après tout, elle allait au Japon pour livrer à ce cher docteur G son interprétation du concept d'expédition punitive, et n'était pas assez conne pour penser que ça se ferait sans casse.
Surtout pas avec les troupes de Gero.


--------------------------------------- IF YOU SEEK AMY



Francesca "Frankie" Stein avait toujours été une fille un peu barrée. Toute petite déjà elle préférait les matches de catch à My Little Pony et collait aux garçons de son quartier des mandales de routier dès que ces derniers osaient lui rappeler qu'elle "n'était qu'une fille". Véritable petite terreur qu'on emmerdait jamais sans que ça ne prête à conséquence, Stein passait pour un petit monstre déterminé et très imaginatif quand il s'agissait de faire chier son entourage et de se lancer dans des situations périlleuses -une escalade dangereuse, une tentative de conduire la bagnole de son père, une bombe d'aérosol dans le barbecue et autres bagarres avec les plus âgés pour ne citer que quelques exploits du cru.

Si son comportement et son surnom masculin avaient tendance à faire oublier qu'il s'agissait d'une fille, Frankie laissa béer de nombreuses bouches au terme d'un été durant lequel la puberté la frappa comme un trente tonnes lancé à pleins tubes alors qu'elle entrait à peine dans sa quinzième année. Quand elle revint au collège, on refusa de croire que cette fille aux courbes prononcées et arrogantes était la détestable petite Stein -elle était bien trop baisable pour ça.

Pourtant, sous la chair provocante se trouvait bel et bien la survoltée Francesca, qui prit très vite conscience de son corps et de son pouvoir de séduction. Elle faisait tourner des têtes et durcir des queues à présent, révélation qui fut loin de la choquer. Très vite, Frankie entama l'exploration de la (bi)sexualité pour ne plus avoir qu'une idée en tête : se faire fourrer bien fort.

Stein avait les hormones en ébullition et un coup de main habile -au sens littéral du terme, comme en témoigneraient la plupart de ses camarades de l'époque, burnés ou pas, mais conservait la fierté qui avait fait d'elle ce petit caïd à la grande gueule. Ainsi, hors de question pour elle d'ouvrir les cuisses pour n'importe quel bandart. Celui qui aurait le privilège de la prendre le premier devrait s'en montrer digne... et les prétendants étaient peu nombreux.

Étonnamment, la frustration que l'attente engendra lui fut bénéfique. Frankie la dépensa en sport, ce qui contribua à continuer de forger avec soin le corps déjà redoutable que Mère Nature lui avait donné, mais elle parvint aussi à la dépenser par les études. Si on ne pouvait dire d'elle que cela en fit une élève modèle, au moins cela fit qu'elle se remplit la tête correctement tout en lui offrant des notes tout à fait convenables.

Mais le sujet de sa première fois ne la quittait pas. Ni le porno ni les masturbation qu'elle s'offrait, infligeait et recevait ne parvenait à la combler. Il lui fallait goûter à la queue et son sauveur n'arrivait toujours pas alors que les prétendants au titre s'agglutinaient autour de son superbe cul ferme. Une situation de plus en plus intenable pour cette affamée : pensez donc, toute cette viande à portée !

Lorsque le salut arriva, même Frankie ne le vit pas se pointer. Alors qu'elle flirtait un peu plus qu'à l'accoutumée avec un des membres de l'équipe de base-ball du lycée (Stein préférait ses mecs plus âgés) arriva en ville une nouvelle famille qui reprenait un des exploitations fermières à l'abandon. Deux enfants du même âge que Francesca, faux jumeaux venus de la grande ville pour suivre les ambitions agraires de leurs parents. Très vite, la fille plut à Frankie. La citadine lui ressemblait un peu et n'avait dans la poche pas plus la langue que les poings, ce qui lui attira les bonnes grâces de notre caïd qui se retrouvait  face à un reflet plaisant. Si les filles flirtèrent, ce fut pourtant le frère qui arrêta le choix de Stein.

Todd était, à l'arrivée des nouveaux en ville, le copain de Frankie. Joueur de base-ball loin d'être dénué de talent, sa notoriété s'était accrue quand il avait commencé à répandre la rumeur qu'il avait couché avec Stein. Bien sûr, il n'en était rien... et l'amourette de notre héroïne avec la nouvelle le discrédita rapidement. Pas facile d'avaler que votre copine vous plaque pour une autre fille ! Par vengeance, Todd se lança dans une campagne de calomnie puante, aidé par ses camarades du club. Si Frankie était visée, sa petite amie surtout était traînée dans la boue. Et si les amantes s'en moquaient, ce ne fut pas du goût du jumeau qu'on fasse passer sa soeur pour la dernière des salopes.

Un jour, sans rien dire, il pénétra les vestiaires de l'équipe de Todd après un match, batte en aluminium à la main. Et il régla son compte au baveux alors qu'il était sous la douche, rectifiant au passage quelques amis de Todd qui tentèrent de l'arrêter avant de se faire tomber dessus et d'être proprement tabassé à son tour. Mais peu importait ! L'image de sa soeur était lavée et surtout, tout le monde comprit à ce moment là qu'il valait mieux éviter de faire chier le petit crew de Frankie Stein.

Celle-ci fut séduite. Un mec qui ne se pissait pas dessus à l'idée de poser ses couille sur la table pour régler ses soucis, comment aurait-elle put résister ? En récompense de son haut-fait, Frankie lui accorda le droit d'accès à sa culotte -que le bougre ne manqua pas de saisir sur l'instant alors que les deux discutaient de l'histoire du vestiaire dans une grange. Frankie fut enfin assouvie et tissa des liens forts avec son amant, dont elle tomba curieusement aussi amoureuse que de la soeur de ce dernier.

Les jumeaux ne s'en plaignirent pas et entre les trois s'installa ainsi une curieuse relation triangulaire qui fit de longues années durant les gorges chaudes de leurs camarades de classe.



--------------------------------------- BREAKING BAD



Bon an mal an, l'étonnant trio d'amants tint bon la barre plusieurs années durant. Frankie était le point d'orgue de cette histoire étrange, parvenant à donner autant d'intérêt au frère qu'à sa soeur. Et elle recevait de leur part une stabilité que la jeune femme ne pouvait trouver ailleurs, puisque sa situation familiale avait toujours été des plus bancales. Ils multipliaient et diversifiaient les sorties à trois et touchèrent ensemble plusieurs domaines de loisir et d'occupation, quand ils ne se soutenaient pas dans la poursuites de leurs études... et à des moments d'une sexualité débridée.

Ils passèrent leurs diplômes ensemble et parvinrent à convaincre les parents des jumeaux afin qu'ils se portent garants pour l'obtention de leur premier logement en commun. Arrivés à une florissante vingtaine, les membres du trio décomplexé avaient enfin trouvé une stabilité et un rythme de vie qui semblait leur permettre de pouvoir évoluer dans ce qu'ils considéraient être le bon sens.
Tout du moins, jusqu'à ce que l'un d'eux ne décide d'embrasser une autre voie pour le moins inattendue.

Un beau jour, l'homme de la bande décida de tout plaquer. Pourquoi ? Il ne fut jamais capable de l'exprimer clairement, quand bien même les filles usèrent de tout leur arsenal pour lui tirer les vers du nez. La séduction, la morale, les disputes tonitruantes et même les insultes et les gifles n'y firent rien : il s'en alla pour un centre de recrutement de l'armée en laissant sa soeur et Frankie sur le carreau.

Si la jumelle sembla parvenir à se faire une relative raison, Francesca ne parvint absolument pas à l'avaler. Elle entretenait un lien fort avec "sa première fois" qu'elle chérissait d'une façon inattendue, même pour elle. Dès lors qu'elle réalisa qu'il l'avait larguée, Frankie se laissa sombrer dans un chagrin qu'elle décida de combattre à sa façon.

Stein se mit à faire la fête, à sortir plus que de raison. Sa consommation d'alcool et de stupéfiants fit un bond en avant, comme sa tendance à multiplier les coups d'un soir, qu'ils soient hommes ou femmes. Pour passer sa colère les jours où elle ne pouvait pas se mettre la tête à l'envers, Frankie se mit à apprendre à tirer ainsi qu'à boxer -frapper et tirer la soulageait.

Amputée d'un membre, la stabilité de l'étrange aventure amoureuse de Stein se mit très rapidement à battre de l'aile. Ses disputes avec la jumelle étaient de plus en plus fréquentes et violentes, l'une reprochant son manque de combativité et l'autre la descente dans les excès. Et quand sa copine la plaqua aussi après une insulte de trop un soir ou Frankie rentra complètement défoncée de plusieurs nuits de découchage, Stein décida qu'il était temps de changer d'air.

Réunissant tout l'argent qu'elle put, Frankie s'organisa un road-trip à l'étranger. Quittant l'Amérique sur un coup de tête, elle décida de faire le tour de l'Europe. Une année à voyager, faire la fête et baiser comme une folle avant de revenir au bercail pour entamer une nouvelle vie en oubliant sa double peine de coeur : voilà sommairement en quoi consistait le programme de Frankie.

Elle ignorait cependant à quel point son existence allait chavirer.



--------------------------------------- A ROMANIAN MOVIE



Portugal, Espagne, sud de la France, Allemagne puis Europe de l'Est... En six mois, Frankie ne chôma pas. Vagabonde moderne, la belle se liait à quelques étudiants en goguette ça et là le temps de quelques centaines ou milliers de kilomètres. De quoi passer du bon temps et de rapidement trouver des points de chute chez les amis des amis des amis. On la vit partout, surtout là où l'alcool n'était pas cher et les fêtes bruyantes. Noceuse plus que touriste, Stein écuma bars et soirées en dormant plus souvent le jour que la nuit et se faisait prendre en stop par des voyageurs qui n'avaient aucun mal à accepter à leur bord une américaine pulpeuse courtement vêtue et sexuellement explicite. Elle tomba sur quelques plans galère ici et là mais parvint toujours à s'en tirer ; on ne faisait pas chier Frankie Stein, après tout.
Son périple remuant lui apporta nombre d'amis éphémères et de relations à distances plus ou moins soutenues et la mena sans trop d'encombres sérieusement notables jusqu'aux portes de la Roumanie, point d'orgue de son road trip.

Quelque part dans Bucarest, Frankie se lia d'amitié avec un groupe d'anglais venu dans cette partie de l'Europe pour des raisons similaires à la sienne. Les copains entamaient dès la rentrée à venir de longues et pénibles études et la petite bande voulait profiter une dernière fois de l'existence insouciante qui avait été la sienne jusque là. Ils intégrèrent la volage Frankie sans mal et écumèrent quelques spots avant qu'on ne leur conseille une région plus reculée du pays, plan parfait pour des filles faciles et des plaisirs divers des plus abordables. L'idée trouva vite un écho et la petite bande n'hésita pas à prendre la route dans le van des anglais pour aller à la recherche de ce paradis perdu, qu'il trouva sans trop de mal.
Arrivés là, Frankie et ses amis purent constater qu'on ne leur avait pas menti : durant trois jours et trois nuits, l'américaine et ses comparses anglo-saxons eurent le plaisir de se livrer à une débauche absolue à moindre frais et ne s'épargnèrent rien. Jusqu'à la soirée de trop.

Deux filles avaient approché le groupe dès son arrivé dans la ville. Charmantes et plus qu'open, elles se fondirent dans l'unité des fêtards en sautant et se faisant sauter à tour de bras, mettant ainsi tout le monde en confiance quant à leur sujet.
Ce qui leur permit de droguer la bande de copains en déposant quelques substances dans leurs verres. Lorsqu'ils tombèrent sonnés par les somnifères ce soir là, les jeunes et Frankie furent cueuillis par les membres d'une étrange organisation qui mit un frein brutal à leurs expéditions débridées. Le groupe fut séparé et plongea dans l'horreur dès son réveil.

Quand Frankie ouvrit les yeux, ce fut pour se découvrir nue et attachée à une chaise dans ce qui semblait être une salle d'opération d'un hôpital désaffecté depuis longtemps. L'américaine n'eut pas longtemps à comprendre qu'elle se trouvait dans une salle de torture grâce aux instruments qui s'étalaient à côté d'elle. Prise de panique, elle ne put que se débattre vainement lorsque pénétra dans la pièce un homme masqué vêtu d'une tenue de cuir issue de quelques abattoirs, qui avança vers elle sans un mot malgré le torrent d'injures et de menaces que la belle Francesca faisait pleuvoir sur lui comme une hystérique irascible. Rien n'y fit toutefois et le tortionnaire se mit froidement à l'ouvrage en commençant par tester le tranchant de ses lames sur le corps sculptural de l'américaine.
Et le salaud prit son temps.
Des sillons profonds et marqués, d'autres plus courts et négligeables, des incisions, des prélèvements de chair parfois... L'immonde tortionnaire prit son temps pour éprouver ses instruments et laisser une empreinte anarchique et indélibile partout sur la peau d'une Frankie en état de choc, dont les nerfs vrillés par la douleur s'avérèrent capable de délivrer encore plus d'informations qu'elle ne l'aurait jamais pensé.

Tout le temps que durèrent les sévices, l'homme resta silencieux et fit en sorte de la garder éveillée, s'arrêtant pour lui laisser le temps de souffler avant de reprendre avec la même cruauté. Bien qu'elle termina souvent la bave aux lèvres après d'effroyables cris, Frankie ne sembla jamais s'avouer vraiment vaincue. Injures et menaces (certes bien moins probantes dans sa position et son état) continuèrent de fuser entre deux séances de sévices, ce qui finit par faire changer doucement les idées de l'homme au tablier de cuir.
Considérant avoir trouvé une perle d'endurance au cours de son jeu sadique, il fit le nécéssaire pour que son boss vienne rencontrer la jeune femme. Il n'eut qu'un coup de fil à passer et, quelques heures plus tard (durant lesquelles il modéra très largement sa torture par rapport à ce qui avait déjà était fait) débarqua dans la pièce de Frankie un homme d'âge avancée, à l'imposante pilosité faciale et au regard acéré.

- Docteur Gero, fit respectueusement le tortionnaire. Voilà la fille.
- Mh. Otez ce masque, Graham, vous êtes ridicule. Toujours vaillante après plusieurs heures de vos sévices, donc ?
- Oui, docteur. Je n'avais jamais vu une telle vivacité, une telle... férocité. Elle serait idéale, je pense, pour vos travaux.

Comme pour donner raison à Graham, Frankie releva la tête pour cracher un glaviot sanglant aux pieds des deux hommes, son "fils de pute" se perdant dans un vagissement de douleur. Gero haussa un sourcil, puis hocha pensivement la tête.

- Voyez vous ça. Peut-être avez vous eu le nez creux, Graham. Bien. Récupérez la et transférez là au laboratoire. Numéro de série 9. Début des modifications dès demain.

Gero attrapa le bas du visage de Frankie pour le lui faire relever, l'observant un instant. L'étrange docteur la trouva-t-elle séduisante, en dépit de ses blessures atroces et du sang qui engluait sa chair et ses cheveux ? Toujours est-il qui lui caressa brièvement la joue du pouce avant de se détourner d'elle pour rejoindre la sortie, accordant au passage de rapides félicitations à Graham pour sa trouvaille. L'homme s'en félicita, avant de faire le nécéssaire pour faire mener Frankie à sa prochaine destination.
En récompense, il ne demanderait qu'une chose à Gero : achever l'américaine lui-même avant le début des opérations ; il n'était de toutes façons pas nécéssaire qu'elle soit vivante pour ces dernières et leur succès.


*
*            *


Lorsque Frankie se réveilla, elle avait perdu toute notion d'espace et de temps. Lors de ses derniers souvenirs, elle mourrait, elle en était persuadé. Alors pourquoi se trouvait-elle debout dans ce qui avait tout du laboratoire d'un savant fou, certaine d'être bien vivante ? Avait-elle rêvé sa rencontre après Graham à l'issu du plus sévère bad trip qu'elle n'avait jamais vécu ? En s'inspectant rapidement, Stein s'aperçu que les sévices n'avaient rien d'un rêve. Les tortures de Graham avaient marqué à jamais sa peau et les plus importantes étaient devenues de grossières cicatrices. Et sa chair ! Sa chair avait prit une teinte terriblement cadavérique, gris-vert ! Ses mouvements étaient horriblement lourds, elle peinait à sentir son corps... Quelque chose, assurément, s'était passé.
Ce fut Gero en personne qui lui donna l'explication.

- Tu ne t'appartiens plus, jeune fille. Officiellement, tu es morte dans un accident de voiture il y a trois mois de cela. Maintenant, tu es ma création. Le nouvel échelon sur la perfection que je peaufine pour la Reine.
- La... la Reine ? Mais de quoi tu parles, vieil enculé ?!
- La Reine Noire, Majesté des Majestés. Elle est... Le docteur secoua la tête. Peu importe. Tu n'es plus qu'un cyborg, numéro Neuf. C9. Mon oeuvre.
- Cy-cyborg ? Te fous pas de moi, je suis humaine, putain de salopard !
- Plus maintenant. Graham, mon assistant, t'as tuée. Ensuite, j'ai mêlé les parties intéressantes de ton être aux mécaniques les plus avancées que j'ai mises jusque là au point. Tu n'es même plus vivante, C9. Tu n'as pas de coeur ; il a été remplacé par les batteries de ma conception. Tu fonctionneras encore cent bonnes années au moins avant qu'elles ne rendent l'âme. Tu m'obéiras, tu combattras pour moi et pour le plaisir de la Reine si cela est son souhait. Les données que tu me permettras de récolter serviront une oeuvre plus grande encore que toi. Non, plus grande que tout ce qui a été fait jusque là !
- JE NE SUIS PAS TON JOUET, ESPÈCE DE PUTE ! JE SUIS FRANKIE STEIN, T'ENTENDS ! FRANKIE STEIN !
- Possiblement. Après tout, tu n'as jamais porté ton nom plus à propos qu'aujourd'hui, je gage.

Frankie se jeta sur lui pour le prendre à la gorge, mais avant qu'elle ne s'en rende compte, son corps avait cessé de bouger contre sa volonté. Bloquée dans son mouvement, elle ne put que voir arriver Graham depuis un recoin du labo, armé d'une petite télécommande.

- Tu es sous contrôle, Frankie. Le docteur ne laisse pas ses jouets sans sécurité, ils sont bien trop dangereux pour ça, fit l'assistant. Maintenant, tu vas te contenter d'obéïr. Nous avons tes papiers, tu sais ? Tes proches pourraient bien recevoir des photos de nos séances en amoureux, si tu te mets en tête qu'il serait approprié de mener ta rébellion. Tu vas travailler pour l'Armée du Ruban Rouge, à présent. Et puis, ne fais pas la tête : je suis sûr que tes améliorations vont te plaire.

Quel choix avait-elle ? Frankie ne consentit jamais ouvertement à obéïr, mais y fut réduite. Gero et son assistant avaient les moyens de l'y contraindre et elle refusait de perdre trop de liberté, de toutes façons. Alors elle serait docile, le temps de trouver la faille à exploiter pour faire cracher leurs estomacs par la bouche à ces deux fils de pute. Patiente et attentive.

Conçue pour durer, C9 avait après tout bien assez de temps devant elle pour ruminer sa vengeance, qui serait explosive et implacable.
Il ne fallait pas faire chier Frankie Stein.





--------------------------------------- ALL HAIL RED RIBBON



Devenue l'arme de pointe de l'époque du docteur G, Frankie découvrit une vie qu'elle n'avait seulement jamais imaginée. Envoyée en mission aux quatre coins du monde, l'américaine se mêla aux actions armées du Ruban Rouge, l'organisation para-militaire internationale à la solde de Gero. Le RR avait part dans de nombreux conflits pour prélever des fonds qui servaient tant à l'énigmatique docteur qu'à son propre fonctionnement et devait faire face à certains impératifs logistiques qui requiéraient l'intervention de C9. Lourdement armée et modifiée, Stein se découvrit bien vite capable d'envoyer voler des chars d'assauts d'un seul punch ou de résister à des tirs de mitrailleuses. Gero l'avait dotée d'une puissance et d'une résistance plus qu'importantes, qui lui permettaient d'abattre les différents robots et autres mutants mercenaires qu'on envoya pour contre-carrer les commandos du Ruban Rouge.

Le RR versait aussi dans le kidnapping et autres affaires illégales ; c'était d'ailleurs l'une de ses branches qui avait capturé Frankie en Roumanie. Les recherches et essais de Gero nécessitaient un apport régulier en cobayes, qui pour autant ne finissaient pas toujours en cyborg. La plupart étaient disséqués et voyaient leurs morceaux dispersés, les autres servaient à la création de robots moins perfectionnés que Frankie mais bien plus faciles à produire. C9 dû d'ailleurs en affronter quelques uns lors de séances d'entraînements, afin de maîtriser les nouvelles prouesses de son corps refaçonné.
Une fois considérée comme pleinement opérationnelle par Graham, Frankie se vit également assigner une autre mission : capturer ou tuer des créatures pour elle jusque là surnaturelles comme les lycans et autres vampires, afin de compléter les banques de données de Gero et du RR. Elle découvrit aussi que Graham avait fait remplacer, par un goût sordide, son appareil génital féminin par une queue masculine montée sur pistons (si si...) afin que l'assistant du docteur puisse épancher sur elle d'étranges penchants sexuels pervers.
Définitivement, la fière Frankie Stein n'était plus qu'un produit. La constatation aussi douloureuse que régulière alimenta sa colère et acheva de lever de nombreuse inhibitions en elle, qui la menèrent à adopter un caractère violent et désaxé, ce qui l'aidait paradoxalement à assumer son rôle sans pour autant lui faire oublier ses idées revanchardes.

Frankie se fit donc docile, assez pour que Gero et Graham parlent de plus en plus librement en sa présence. Ils évoquaient leurs activités sur la mystérieuse Terra ainsi que l'avancement du "cadeau" ultime destiné à la Reine Noire -probablement une souveraine de cette Terre parallèle à laquelle les scientifiques faisaient souvent allusion et à qui Gero vouait un culte profond. C9 se garda bien de parler dans ces moments là, préférant garder en mémoire toutes les informations qu'on lui communiquait indirectement. Un jour, l'américaine s'en servirait pour détruite l'oeuvre de Gero... Pour elle, ça ne faisait aucun doute.
Il ne lui fallait plus que l'occasion de passer à l'action et de se débarrasser du contrôle télécommandé de ses maîtres, opportunité qu'elle guettait patiemment, comme une araignée immobile au centre de sa toile.


--------------------------------------- RAISING RENEGADES



- C8 est toujours dans la nature. Il a échappé au contrôle du docteur suite à un incident mais a préféré disparaître plutôt que de se rebeller. On avait perdu sa trace jusque là, mais on l'a retrouvé récemment en Alaska. Tu vas y aller, Frankie. Et l'exploser pour de bon.

Voilà, sommairement, ce qu'avait expliqué Graham avant de la foutre dans un transport clandestin de l'armée du Ruban Rouge à destination d'une ville paumée en Alaska. Elle serait épaulée par des hommes de Gero pour s'assurer qu'elle ne tente pas de s'enfuir à son tour, hommes qui auraient de quoi l'entraver à distance au moindre mouvement déplacé.
On lui demandait, d'une certaine façon, d'enterrer son frère ainé dans la famille cyborg. De la série C, Gero avait détruit les numéros 1 à 7 mais avait raté le 8 et attendu avant de la créer elle, le 9. Depuis, Frankie savait que le docteur s'était attelé à la confection de la suite de la série, satisfait des données collectées par sa dernière-née. Ils seraient des modèles améliorés, encore plus redoutables. Si jamais ses sucesseurs tenaient leurs promesses, Frankie savait que ses chances d'échapper au contrôle du docteur et d'assouvir sa vengeance fondraient comme neige au soleil et elle espérait que cette confrontation avec C8 lui donnerait la clé de sa liberté. Après tout, il était libre, lui...

Le Red Ribbon ne prit pas de gants une fois arrivé sur place. Profitant du côté très reculé de la ville dans laquelle s'était réfugiée leur cible, les soldats se livrèrent à une guerilla sans merci pour le faire sortir de sa cachette, n'hésitant pas pour se faire à multiplier les exactions tout en envoyant Frankie en première ligne afin de prévenir tout assaut. Malheureusement pour eux, ce fut de derrière que le massif et puissant C8 alla à leur rencontre. Dévastant sans mal les rangs du Ruban Rouge, le massif cyborg se retrouva bien vite face à C9 sur laquelle il se rua d'abord pour l'attaquer violemment.

Il leur fallut échanger de nombreux coups en dévastant plusieurs bâtiments avant que Frankie ne puisse s'expliquer avec lui, racontant à son prédécésseur ses plans de vengeance et son besoin d'aide de sa part. Un peu apaisé mais toujours méfiant, C8 lui expliqua qu'il savait comment annuler l'influence de la télécommande sur leurs systèmes : il suffisait pour cela d'encaisser un très puissant choc électrique qui détruirait les puces de contrôle tout en risquant toutefois d'endommager leurs parties mécaniques de façon irréversible.
Frankie n'hésita pas ; elle fit s'abattre un pylone électrique sur le sol pour en sectionner les câbles afin de s'infliger la décharge salvatrice sous les yeux d'un C8 médusé qui n'eut même pas le temps de l'arrêter.

L'électrocution eut toutefois l'effet escompté. Les survivants du commando RR ne purent activer la télécommande pour l'arrêter alors qu'elle les chargeaient et une Frankie encore fumante de son exploit insensé leur régla leurs comptes dans un déchaînement de violence libératrice.  
Une fois la compagnie liquidée, l'américaine eu tout le loisir de faire connaissance avec l'étonnant C8.

Le colosse, au contraire de ce qu'il avait laissé paraître aux premiers temps de leur tumultueuse rencontre, était un pacifiste convaincu. Un défaut irrémédiable dans la programmation de celui qui était purement mécaniques, au contraire de Frankie. Il avait subi une électrocution fortuite en affrontant un des éléments mutants du SHIELD et avait saisit l'opportunité de disparaître au bout du monde pour ne plus jamais avoir à faire avec le docteur Gero. Incapable de prendre les armes pour se venger du docteur, il avait joué les filles de l'air jusqu'à ce que le RR n'arrive en Alaska, pour le dénouement dont Frankie venait d'être actrice.
Si l'américaine lui proposa une alliance, C8 refusa catégoriquement.

- Toutefois, dit-il, je te servirai de soutien le cas échéant. Le Ruban Rouge et puissant, Frankie... Et même si il tombe sur Terre, la faction présente sur Terra pourra continuer d'agir. Les deux fonctionnent indépendamment l'une de l'autre. Tu auras donc besoin de te rendre là-bas si tu compte aller au bout de ta vendetta... Et tu auras besoin d'alliés, surtout si il continue la série C. Gero est un génie, numéro 9. On ne peut pas lui enlever ça. Toi aussi tu seras vite obsolète et confrontée à plus forte partie.
- Mouais. C'est bien beau ton blabla, mais t'es un putain de hippie écolo avec la gueule de Terminator. Comment compte tu me soutenir sans te battre ?
- Je connais des bases abandonnées par le Ruban Rouge. On pourrait en réhabiliter une ou deux pour te servir de point de repli, par exemple. Ce serait un début. Et puis, les ordinateurs qu'il reste dans ces planques pourraient aussi être utiles. Je connais quelqu'un qui pourrait les relancer et les exploiter.
- Tu t'occuperais de la logistique, en fait ?
- Exactement, opina C8. Pendant que tu porteras les premiers coups, je chercherai là où je pourrais pour savoir comment on va sur cette Terra.
- Ok. Deal.

L'accord fut scellé d'une poignée de main rapide. La nuit qui suivit, les deux cyborgs quittèrent le village dévasté d'Alaska pour rallier une des bases désaffectées dont C8 avait parlé, afin qu'ils puissent mettre leur programme au point. Pour aider Frankie, numéro 8 battit le rappel de quelques amis comme lui dissidents de l'armée de Gero. Lentement et dans le secret le plus absolu, ils s'organisèrent en une résistance clandestine contre le Ruban Rouge, établissant plans, réseaux et planques pour permettre à leur fer de lance de porter ses premières frappes.

La tâche de Frankie était titanesque et elle s'en rendit compte dès ses premières missions punitives. En plus du Ruban Rouge, de ses soldats et robots, elle avait à combattre les forces militaires régulières du pays concerné quand il ne s'agissait pas d'autres groupes criminels ou gouvernementaux. Plusieurs fois, Frankie eut maille à partir avec les agents de SHIELD et quelques héros auxquels elle parvint à échapper de justesse. Tout était contre elle et C9 ne put que se féliciter d'avoir accepté l'aide de C8, qui s'avéra un précieux allié prompt à lui prêter main forte dans les situations périlleuses dans laquelle son foutu caractère et sa propension à faire tout péter la foutait.

Sur sa route, Frankie croisa le chemin d'une espionne française désavouée par ses services suite à un complot destiné à l'écarter : Caroline Alva. Opposée au RR qui, elle en était certaine, était à l'origine de ses misères, Alva fut recrutée sans mal par Frankie et rejoignit le réseau d'informateurs tissé par C8  afin de fournir à l'organisation des cyborgs des nouvelles appuyées, en sous-main, par ses contacts dans les services de renseignements internationaux.
C'est ainsi que les compères apprirent la disparition mystérieuse de Gero (probablement sur Terra) et la localisation de celui qui lui était de première utilité dans son oeuvre sur Terre. Graham. La première cible significative de Frankie depuis sa révolte contre son créateur, son tortionnaire.

Le premier de la liste à tomber, la gueule défoncée sur le sol d'un laboratoire clandestin, quelque part dans les montagnes Rocheuses.
Certainement pas le dernier.

Parce qu'on ne le dira jamais assez, mais il ne fallait certainement pas commencer à faire chier Frankie Stein.





------------------------------------------------ [USEFULL STUFF] -----------------------------------------------



• Frankie Stein, ou C9, est une humaine ordinaire décédée lors de sévices corporels et réanimée sous la forme d'un cyborg. Son corps et à plus de 78% mécanique et propose ainsi quelques spécificités propres à son état :
     - Ses capacités physiques sont très élevées, ses membres mécaniques étant prévus pour délivrer une très forte puissance.
     - Elle ne possède plus vraiment d'organes vitaux à proprement parler, bien qu'on suppose que son cerveau soit tout à fait organique. Ainsi, il est compliqué de penser à l'arrêter ou à la faire souffrir sans déployer des moyens relativement conséquents. Cela dit, C9 n'est pas innarrêtable pour autant.
     - C9 est alimentée par deux batteries de conception pour l'heure inconnue et conçues pour durer une centaine d'années environs. Elles alimentent ses fonctions primaires et spéciales. Ces dernières les drainent drastiquement mais les batteries ont la particularité de se recharger avec le temps pour revenir à un niveau optimal -d'où l'aspect génial de leur conception. De plus, bien que Frankie l'ignore, elle est tout de même équipée d'un générateur de secours d'une durée de vie de 48H pour pallier à d'éventuels arrêts de ses batteries principales.
     - En tant que cyborg de combat, Frankie dispose d'équipements adaptés : son bras gauche par exemple est monté sur un système de pistons alimentés par ses batteries. Ses punchs peuvent être délivrés en batterie, ou concentré en un coup unique d'une puissance colossale. Fait amusant, son membre masculin est monté sur le même principe. #badass
Son bras gauche, lui, abrite une petite gatling. Impossible de savoir où sont stockées les cartouches, en revanche...
Pour finir, Frankie dispose de ce que d'aucuns qualifieraient de "technique spéciale" : une super-accumulation du plasma galvanique produit par ses batteries, qui lui permet de générer un dévastateur champ plasmique tout autour d'elle. Elle a baptisé ce dysfonctionnement (car à priori c'en est bien un et pas un réel armement) le Thunderfuck Orgy. Et ça claque sec.
     - L'un de ses yeux (le gauche) est une prothèse permettant plusieurs type de vision (X, thermique, nocturne) et offrant différentes informations pour la visée, ainsi que l'apparition d'une réticule dans le champ visuel.


XXX


• L'Armée du Ruban Rouge (ou Red Ribbon army, "RR") est une organisation paramilitaire apatride mise au point par le docteur Gero. Ses troupes compte des soldats très entraînés et bien équipés, souvent des renégats ou des déçus des armées régulières. Le RR oeuvre à la récupération de fonds et matériels afin de s'auto-financer et de financer les recherches de Gero, qui lui fait également ramener quelques cobayes pour diverses expériences.
Le Red Ribbon est aussi équipé en robots de combats pour les grosses opérations. Bien que l'organisation soit puissante, elle évite sciemment la confrontation directe avec des forces comme celles du SHIELD afin de pouvoir continuer de prospérer selon les désirs du docteur.

Présente sur Terre et sur Terra, l'armée du Ruban Rouge est commandée par deux généraux distincts pour chacune des planètes. Si tous deux répondent au docteur Gero en tant que boss final, les généraux sont parfaitement indépendants l'un de l'autre.
Le fonctionnement de la faction terranne est similaire à celui du fonctionnement terrien, la différence entre les deux résidant essentiellement dans la nature des forces avancées lors des conflits.


XXX


• Le docteur Gero est la tête du Ruban Rouge et un scientifique purement génial, au passé toutefois nébuleux.
Il est toujours à la recherche du perfectionnement de son "art", la création de combattants artificiels cybernétiques appartement à la "série C" (pour Cyborg).
En dehors de son indéniable talent, Gero semble être obnubilé par une "oeuvre finale" à destination d'une énigmatique Reine Noire, dont il parle avec le plus grand respect. Frankie estime qu'il s'agit là d'une souveraine de Terra, mais ne sait strictement rien de plus à ce sujet et ne s'en soucie pour le moment pas.

• Les Cyborgs vont pour l'heure jusqu'au numéro 18 -pour ce qu'en sait Frankie. Les numéros 1 à 7 ont été détruits depuis longtemps, tandis que le 8 se cache et gère la petite organisation qui soutient le combat de 9.
On ignore pour l'heure l'identité et le statut des numéros 10 à 17, ou si ils sont seulement encore en service.
Gero faisant évoluer ses créations à chaque numéro, on peut considérer Frankie Stein comme un modèle terriblement dépassé à l'heure actuelle.
Quant à l'oeuvre finale destinée à être offerte à l'énigmatique Reine, c'est le flou total. Seulement, on peut légitimement s'inquiéter à propos de cette chose dont Gero considère qu'elle transcendera l'ensemble de son oeuvre...

Pages: [1]