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Le coin du chalant / à la recherche d'un rp sympa sur terre.
« le: vendredi 09 décembre 2016, 03:45:09 »Comme dit dans le titre cela se passe sur terre, après c'être fait gober/avaler par un trou noir digne d'un deus ex machina. J'arrive sur la terre où ? cela ce décidera en terme de rp, ce que préfèra mon ou ma partenaire de rp. Donc niveau du rp j'aimais juste au départ un rp ce qu'il y a plus de banal.
Me contacter en mp toute personne intérresser merci.
Prélude / La fille d'un héros parmis les hommes. [Violidée ~♥]
« le: jeudi 24 novembre 2016, 19:56:58 »Âge : 19ans et demi
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : à découvrir.
Physique :
Physique
Voilà la partie intéressante, mon physique. J'ai pour tout dire été gâtée par dame nature, en mesurant un mètre soixante dix huit (et oui, je ne suis pas petite). Mon Adn n'a pas été si tordue que cela on dirait. Je n'ai pas pris souvent le soleil et cela se voit avec ma peau claire. Ma chevelure que j'entretiens le plus possible m'arrive à mi dos, c'est une galère le matin quand tu dois démêler les nœuds ! Mon visage est plutôt fin, même si j'ai une petite cicatrice à mon sourcil gauche presque imperceptible. Mon nez est bien droit sans déformation. Mes yeux sont d'un marron foncé avec quelque tâches vertes vermillons, qui sont l'un des traits que ma mère m'ait légué. J'ai tendance à ne sourire que d'un côté, me donnant l'air de me moquer. Mes mains fines et douces sont une preuve de ma vie luxueuse et sans soucis. Je suis un poids plume, malheureusement, avec mes cinquante huit kilos, je n'ai pas de graisse vue que L'aînée Lyons ne m'a pas épargnée les entrainements quotidiens et même matinaux. Je n'ai pas de tatouages même si j'ai pu en faire une crise à mon père ... Quoi ? J'ai le droit à ma crise d'ado ? Ma poitrine de jeune femme n'est pas mon plus grand atout majeur. Non je ne suis pas plate, je fais un petit C, rien de glorieux non plus. Mais j'ai une tâche de naissance sur mon omoplate droite. Je porte souvent mon armure assistée T51 F quand je sors dehors, sinon les gens peuvent me voir quand j'ai prise une chambre dans le bar du coin en jean et chemise, en train de bricoler sur quelque chose, ou de tenter de créer une nouvelle drogue, et même de faire quelques objets rudimentaire de soins.
Caractère :
Mental
Ma mentalité, je ne suis pas du genre à vouloir sauver la veuve et l'orphelin, même si cela me prend parfois quand je juge mes chances plutôt favorables de m'en sortir dans l'affaire. Mais je ne travaillerais pas gratuitement non plus, car le monde marche seulement comme cela. Seuls les bons et généreux peuvent survivre ... en fait pas longtemps sans capsules. Je ne veux pas de la grande vie, mais assez pour mener ma vie. Je suis parfois mauvaise si je penses que la prime en vaux le coup, mais seulement à cette condition. Je n'aime pas la violence gratuite sans avoir un équilibre de la finalité. Je ne pense pas être non plus de mauvaise compagnie, j'aime rire et la compagnie des gens. Je suis plutôt neutre si on parle en terme de karma ... je peux vous regarder mourir avec un sourire car vous avez les tripes à l'air ou tout tenter pour vous sauver si à ce moment vous m'êtes sympathique. J'ai le sens de mes priorités, qui sont pas souvent en accord avec les gens. Mais cela je m'en fous ... Je ne cours pas après les capsules (argent ) non plus, même si je ne crache pas dessus clairement. Donc en somme je suis une personne de confiance pourrait-on presque dire. Je ne trahis pas non plus une personne qui m'ait embauché car avoir un code de conduite aide à sa renommée ... même si on peut déroger quand cela est nécessaire pour sa survie.
Histoire :
Je venais de m'asseoir en regardant mon armure à mes côtés, devant le feu de camp improvisé au milieu d'un endroit qui avait dû servir de cinéma plein air. L'endroit était lugubre, mais c'était le cabanon qui m'avait finalement fait rester là. Je soupirais en me souvenant de la raison de ma présence. Enfin... un flash back comme dans les films débiles que mon père se plaisait à revoir...
Ma naissance. Oui, il faut bien commencer quelque part. Ma mère était d'une fragilité qui lui fut fatale malgré toute la technologie avancée lors de mon arrivée au monde. Je pense que c'est cela qui tua quelque chose en mon père... enfin à ce moment là, je n'en savais rien. Je pensais juste à brailler. Oui, vous avez vu un bébé penser à la finalité de la vie dès sa naissance ? Moi non. Enfin, mon père se retira de tous pour vivre sa vie en paix. Car oui ma grand mère était morte aussi en le mettant au monde, ne voyez-vous pas l'ironie de la vie ? Moi légèrement. Passons au plus intéressant.
Je grandis en ne manquant de rien : j'avais de l'eau quand j'avais soif et à manger quand j'avais faim. Une vie luxueuse en somme. Mon père, lui, était devenu sombre et voulait le meilleur pour moi. Il n'était pas mauvais, seulement juste. Il me laissa tranquille jusqu'à l'âge de huit ans, où il trouva
qu'il fallait m'endurcir et devenir forte. Alors, il commença à m'entrainer physiquement et mentalement. Je ne dirais pas que physiquement il ait vraiment réussi car je suis plutôt fine, mais il ne faut pas se fier à la couverture d'un livre. Je me débrouille pas mal, mais mon point fort est de savoir bricoler et mon intelligence pour comprendre facilement. Si j'avais pu choisir un travail, j'aurais aimé être médecin, mais on ne choisit pas dans ce monde en perdition. J'appris à désamorcer la plupart des pièges ou mines, il faut avoir le sang froid pour ça. J'en ai assez pour dire que je t'aime pas alors que tu me pointes ton flingue sur moi. Mais ce n'est pas pour ça que je ne crèverais pas de trouille intérieurement. Je tiens tout de même à la vie bon sang !
Quand j'eu quinze ans, mon père fit sa première attaque, son cœur lui faisait faux pas. Mais il survécu, le laissant amputé d'une partie de lui : il ne fut plus que l'ombre de l'homme que je connaissais. C'est à ce moment là qu'un homme de la confrérie de l'acier vint nous dire que l'aîné Lyons voulait le voir. Ca me surprit car c'était un homme avec qui mon père a déjà discuté, et j'avais déjà vue plusieurs paladins venir à la maison. Il y avait aussi cette femme à la crinière remarquable et sa façon de bouger m'avait marqué. Mon père accepta en me disant que je devais découvrir certaines choses à propos de son passé, ce qui me fit peur un peu... et en même temps me rendit folle de joie à l'idée de pouvoir enfin aller à la capitale. Ce que je ne savais pas, je l'appris de la bouche des paladins.
Ils me parlaient de mon père comme étant le héros qui avait sauvé la capitale et ses terres désolées. Je ne pensais pas que mon père était ce genre d'homme, je me suis alors mise à les questionner davantage pour en savoir plus. Ils ne se firent pas prier ! Je dois avouer que je pensais que la moitié était juste exagérée pour le rendre encore plus glorieux. Je ne sais si ces histoires sont vraies ou non, mais j'y songerai plus tard.
Nous arrivions à la forteresse de la confrérie comme neuve depuis que l'enclave avait été finalement complétement rayé de la carte, avec la plupart des pillards tués ou mis en prison. La région prospérait de nouveau comme jamais et cela se voyait partout. Enfin, l'eau à profusion était
une source qui nous avait tous ralliés. Mais ce n'est pas là ce dont je vais parler, plutôt de ma rencontre avec la femme qui marquera ma vie à tout jamais. Elle avait vieillie depuis notre dernière rencontre, mais quand elle se présenta à moi en tant qu'aînée Lyons, ce fut un tournant dans ma vie. Son sourire et sa gentillesse... Mon père lui parla même avec un respect qu'il n'accordait à peu de personnes. Malgré son âge, elle avait gardé le même éclat que dans mon souvenir et sa démarche de lionne... enfin je m'égare. Je fus consignée sous la garde d'un paladin. Comme si j'avais besoin d'une baby-sitter ! Je ne sais pas de quoi ils ont parlé, mais mon père affichait une mine grave quand il vint de me revoir. Il me dit qu'ils avaient des soucis dans le nord avec des groupes de pillards qui se regroupaient et que les autres villes naissantes refusaient d'envoyer des hommes pour aller les disperser. Mon père allait devoir jouer des coudes et des discours pour les forcer et qu'il devrait sûrement y aller aussi.
Cela ne me gênait pas, mais si j'avais su qu'il ne reviendrait pas, j'aurais sûrement dit un mot gentil à ce moment là au lieu de juste de bouder comme une gamine que j'étais. C'est l'un de mes seuls regrets, de ne pas avoir dit au revoir à mon père... Cela ne se fit pas en quelques mois de rassembler des troupes, mais bien trois longues années avant que mon père ne réussisse enfin à faire l'impensable : réunir tout le monde sous la même bannière pour le bien commun. Ce temps là, je l'avais passé auprès de celle qui fut pour moi une mère, une mentor, tout comme l'avait été mon père. Elle m'apprit quelques rudiments avec les armes lasers, comment l'entretenir pour qu'elle ne t'explose pas dans les mains, ou éviter que la cartouche d'énergie se bloque quand tu la mets. Enfin, ce fut surtout l'armure dont tu sais qu'elle te protégera de tout ou presque, celle de mon père : une T51-F. Je l'entretenais en ayant appris comment faire pour qu'elle ne rouille pas. Mais j'eu du mal à m'intégrer aux autres qui venaient pour être des disciples. Être une fille de héros avait des avantages mais aussi des inconvénients, les personnes s'attendaient d'une certaine manière à ce que tu lui ressembles, à te conduire de manière si admirable.
Mais ce ne fut qu'à mes dix huit ans que je découvris ce qu'était l'amour. C'était une jeune recrue paladin. Ce mois là fut le plus long de ma vie et aussi le plus court car elle s'était portée volontaire pour l'assaut contre les pillards qui avaient eu le temps de se construire leurs petites villes de non loi.
On n'eu pas de nouvelles pendant de longues semaines. La peur me tenailla le ventre quand, un soir, je fis un rêve étrange où je tenais mon père ensanglanté. En regardant autour de moi, il n'y avait que des cadavres... Je hurlais de peur en me réveillant. L'ainée Lyons n'était pas là pour me rassurer car partie avec mon père. Plusieurs jours passèrent avant qu'on ne sache que L'aînée rentrait enfin avec ce qui restait. On avait gagné, je pouvais croire enfin mon père était un digne héros ! Mais comme dans toutes les histoires, les héros ne meurent jamais dans leur lit d'une mort calme. Mais faite dans le feu et le sang... L'aînée Lyons vint me voir et je remarquais son calme et son regard fatigué, mais ce fut ses premiers mots qui me marquèrent à tout jamais. Trois petit mot sans signification absolue qui prenait un sens ignoble à ce moment là. " Je suis désolée .... "
Je souris en lui demandant de quoi elle était désolée. Je remarquais derrière elle dans le cortège un cercueil tenu avec un respect non négligeable. Elle me tira à l'écart pour m'expliquer. Je vous passe les cris de souffrance et de pleurs de ma part. Mon père était mort ... pas par sa maladie cardiaque, mais d'une balle tirée par un salopard planqué alors qu'ils avaient gagné aux prix d'une centaine de vies. Les pillards était tous tués ou les rares survivants retrouvés avait été exécuté brièvement.
J'avais hérité de toutes les possessions de mon père, de la maison aussi, que je fis garder par un petit couple d'amis qui recherchaient une maison. Je finis par suffoquer dans cet endroit où les gens me regardaient tous en attendant de moi que je remplace mon père au pied levé, ou ceux qui me
regardaient avec tristesse d'avoir perdu leur héros. Et moi alors ? Je ne pouvais pas exprimer ma peine, sauf à l'aînée Lyons. Car ma jeune paladine était morte aussi pendant l'assaut avec vaillance, mais elle était morte pour la bonne cause. J'en avais rien à foutre de la bonne cause si elle me retirait tous ceux que j'aimais. Je finis au bout d'une année par dire à L'aînée Lyons mon envie de partir loin d'ici afin de pouvoir me construire ma vie à moi. Elle me comprit contre toute attente et me dit que je pourrais partir quand je le voudrais, même si elle ne me pressait pas du tout à le faire.
Ce fut trois mois de préparations discrètes et une bonne sacoche de capsule plus tard que je partis de la forteresse, ma deuxième maison. J'avais l'armure de mon père, mon arme devenue fétiche, accompagnée de mon pistolet 10mm que mon père m'avait donné lors de mes dix ans avec mon pip boy, une antiquité qui lui avait appartenue, mais qui lui avait sauvé plus d'une fois la vie. Un vestige que je pouvais quitter avec les regrets qui l'accompagnait. Je partais enfin à l'aventure... pas de la manière clinquante que plus jeune, que j'avais imaginé. Mais la vie était ainsi faite. Tant que je fus dans les terres désolées, je n'avais pas eu de mal à trouver de l'eau et de la nourriture même jusqu'aux confins des terres. Mais une fois franchies, je me retrouvais réellement seule et face à la flore et faune du coin. Je faisais quelques travaux de mercenariat qui me permettaient de maintenir ma bourse dans une certaine zone de confort. Je ne mourrais pas de faim ou de soif, mais je ne faisais plus trois repas par jour et je ne buvais plus que quand cela était nécessaire. Ce fut plusieurs mois d'errance pour arriver là. J'avais ouïe dire qu'une confrérie de l'acier était dans le coin, mais qu'elle n'était plus en contact avec eux depuis qu'ils s'étaient rebellés. Je ne savais rien du coin, donc je passais dans le sillage des caravanes que je pouvais voir en demandant souvent la direction du plus proche village où je vendaient mon savoir médical ou en bricolage pour réparer à ceux qui avaient des capsules à donner ... quand je fus absorber par une sorte de faille ...
Autre :
Mon bric à brac
Je n'ai pas de logement fixe en ces lieux, je suis plutôt vagabonde avec l'envie d'aller où je veux, surtout où il y a du travail qui m'intéresse et des primes payants bien. J'ai mon armure T51 F en bon état avec sa cellule d'énergie de rechange (car cela serait con de devoir l'abandonner si cela devait arriver) et mes affaires quand je ne suis dedans : jean et chemise avec un haut de rechange. J'ai mon fusil laser dont il me reste dix cellules énergétiques, dont une mise dans l'arme ; j'ai aussi mon 10 mm avec quatre chargeurs. Mon baluchon comporte une petite tente de l'armée pour se fondre dans l'environnement : elle est usée mais en bon état en somme, j'ai aussi tout l'attirail de la bonne petite campeuse. Ma pipe en bois ... oui j'ai une pipe en bois. Je fume que très .... très rarement vue qu'elle appartenait à mon père.