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Le parc et son sous-bois / Re : Un engagement pas banal [Alaïs] - [Yûko]

« le: vendredi 27 avril 2018, 11:27:33 »

Non seulement elle pouvait lui donner plus de précision, mais en plus, elle lui donna un dossier plutôt conséquent de ce qui leur était demandé. Une fois la serveuse repartie et sa bouteille de coca en main, Yûko pris le dossier pour y jeter un œil. Évidement, elle ne comprenait aucun des caractères utilisés, du fait qu'elle n'avait reçue aucune éducation. Mais vu la quantité de lignes et de points dans la liste, c'était effectivement une sacré grosse demande pour une simple vidéo amatrice. La jeune fille distingua ce qui semblait être cinq points primordiaux à devoir respecter, même si elle ne savait toujours pas de quoi il était question.

- C'est... Impressionnant. Je crois bien que c'est la première fois que j'ai un tel client... À mon avis, pour y mettre le prix sans participer, ce doit être un homme ou une femme avec une vie de famille plutôt complexe...

Probablement une personne mariée et peut être avec des enfants, qui a certains fantasmes impossible à réaliser avec sa moitié mais qui tient trop à elle pour la tromper. Au vu de l'argent dépensé, sans doute aussi du côté d'Alaïs, ce doit être une famille aisée. Dans ce cas de figure, deux jeunes ayant des activités sexuelles comme les leurs devraient donc lui permettre de réaliser ses fantasmes en différer. Yûko réfléchit brièvement avant de s'adresser de nouveau à sa future partenaire vidéaste.

- Tu as déjà fait ce genre de chose ? Ou tu préfèrerais qu'on s'entraîne un peu avant de se lancer ?

Ce serait aussi l'occasion pour elle de comprendre plus exactement de quoi il en retournait, sans avoir à lui avouer qu'elle ne savait pas lire.

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Le parc et son sous-bois / Re : Un engagement pas banal [Alaïs] - [Yûko]

« le: jeudi 26 avril 2018, 22:21:34 »

Nouvelle journée de travail pour Yûko. Comme cela lui arrivait régulièrement, la belle brune avait un nouveau client à satisfaire. Toutefois, il s'agissait cette fois-ci d'une demande un peu spéciale. Généralement, les hommes et les femmes qui souhaitaient coucher avec elle choisissaient les formules classiques, plus rarement les tarifs spéciaux, et encore plus les formules les plus chères. Il arrivait toutefois que cela puisse arriver, comme cela était le cas aujourd'hui, mais dans ce cas de figure, c'était bien la première fois qu'on lui faisait une telle demande.

La formule de l'esclave sexuelle entre une semaine et un mois, on la lui avait déjà faite une ou deux fois, la n'était pas la question. Mais c'était pas souvent que quelqu'un paye cette formule pour qu'elle devienne l'esclave temporaire d'une autre personne. Au début, la jeune fille avait imaginée un truc sordide, du genre qu'elle était le cadeau d'adieu pour un type en phase terminale. Jusqu'à ce que sa "tutrice" ne lui explique la demande plus en détail. En réalité, elle devait juste devenir la soumise d'une fille habituée à faire des show devant sa webcam, pour un de ses follower. C'était d'ailleurs celui-ci qui avait payé et Yûko ayant déjà encaissée l'argent, devait à présent satisfaire le client... Avec sa collègue actrice visiblement.

Yûko n'avait pas plus de détails, hormis qu'elle devrait obéir à certaines choses sur la vidéo, sans savoir à l'avance de quoi il s'agissait. Sa future partenaire lui avait par ailleurs envoyée un message de rendez-vous dans un café et c'était donc dans celui-ci qu'elle se rendait actuellement. Lorsqu'elle y arriva, Yûko la reconnue assez vite, assise sur la terrasse et elle la rejoignit donc en la saluant.

- Ohayo, Ala...ïs, c'est ça ? Il paraît qu'on dois travailler ensemble sur un projet de vidéo ?

Elle faisait exprès de rester vague sur le sujet, étant donné qu'elles étaient en public et ce n'était pas vraiment l'endroit idéal pour fin discuter ouvertement, inutile d'attirer l'attention. Elle vint donc s'assoir à sa table et commanda juste un coca.

- Est ce que tu pourrais m'en dire plus à ce sujet ? La commande était assez vague de mon côté...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre professionelle [PV Yûko]

« le: mardi 24 avril 2018, 18:13:35 »

- Et bien, l'endroit est bien visité.

- Hi hi ♥ J'y peux rien si j'aime me faire enc...Haaan ♥

Il se mît à lui lécher son fondement et Yûko ne pu que gémir tendrement en redressant son cul vers le haut, ses seins écrasés contre le carrelage. Okio nettoya son petit trou de fond en comble jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien à récolter, avant d'en faire de même avec la queue de l'homme. En se retournant, la jeune fille vit que le puit secret de son collègue était dans le même état, aussi ravagé que le sien et alla donc lui rendre la pareille, récoltant la douce crème blanche de sa langue gourmande, s'enfonçant profondément pour ne pas en laisser une goutte, avant d'aller se rhabiller. Avant de sortir des toilettes, elle tendis sa carte à l'homme.

- Si jamais tu veux qu'on se revois~

Elle accentua avec un clin d'œil avant de sortir à son tour, rejoignant le trap.

- Maintenant que la baise est faite et qu'on a plus ou moins l'esprit clair, on refait les présentations ? Je suis Zarachi Okio, ravie de te rencontrer. J'suis sur de pas me tromper, mais t'es une prostituée pas vrai ?

- En effet. J'm'appelle Yûko et j'me prostitue. Je travaille à mon propre compte, j'suis indépendante, mais je fais aussi partie d'une assos, qui me permet de rester indépendante justement. Si ça t'intéresse, j'peux te montrer ? Tu pourrais en faire partit toi aussi ?

L'association gérait le site internet des prestations, chacune des prostituées pouvant établir ses prix sans restrictions, mais gérait également les loyers des studios, ce qui était déjà mieux qu'une chambre de maison close ou un squat. Et pour celles qui avait des difficultés pour lire ou écrire, comme c'était le cas de Yûko, une personne physique leur était attitrée si elles le souhaitait.

- Tient, j't'invite chez moi si ça t'dis. Et on pourra toujours baiser entre nous si ça t'tente.

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One Shot / Re : An other world

« le: lundi 14 août 2017, 23:18:22 »

Yûko et son groupe traversa assez rapidement les égouts, si bien qu'il ne leur fallut qu'une petite demi heure pour rejoindre les coordonnées d'Akira, qui s'avéra être les sous-sol d'une ancienne entreprise. Pour la petite histoire, ce bâtiment produisait autrefois des logiciels éducatifs. Mais aujourd'hui, l'entreprise avait fermée et était à l'abandon depuis des années. Depuis que Florenza était au pouvoir, les jeunes n'allaient plus à l'école. D'ailleurs, les établissements scolaires avaient tous fermés. Les ados se faisaient enlevés pour leur beauté et finissaient esclaves. Les autres, qui n'étaient pas sélectionnés, étaient envoyés à l'usine et recevaient une formation sur place, payés une misère, avec tout juste de quoi survivre. Les loisirs comme la télévision ou l'ordinateur, étaient réservés aux riches touristes, tout comme les plats coûteux. Des produits de touts les jours n'étaient aujourd'hui réservés qu'aux grosses fortunes. Voilà comment un pays très développé avait fini plus pauvre qu'un pays du tiers monde. Comble de l'ironie, le bâtiment dans lequel le groupe se trouvait aujourd'hui, était désormais un centre de dressage. Heureusement pour elles, le sous-sol était condamné sur 5 niveaux depuis des années et le seul accès possible se faisait par les égouts.

Elles se rendirent jusqu'au 15e sous-sol, profondément enfouis sous terre et y retrouvèrent Akira, qui leur faisait signe. A coté d'elle, plusieurs dizaines de serveurs alignés en trois rangées. Assez pour traiter rapidement toutes sortes de données. Ils n'étaient toutefois plus actifs et la couche épaisse de poussière sur ces derniers risquait plus de les faire ramer qu'autre chose.

- Okay... Bon, au travail les filles, on doit les remettre en état avant l'aube. Yûko, dès qu'ils sont en état de marche, fait ce que tu as a faire. Avec un peu de chance, on arrivera à ouvrir une connexion avec l’extérieur.

Elles se mirent donc au travail: dépoussiérer les unités centrales et les serveurs, réparer ceux qui étaient défectueux, s'arranger pour refaire passer le courant sans pomper sur le centre au dessus, histoire de ne pas se faire remarquer trop vite. Elles mirent plusieurs heures avant de parvenir à tout remettre en marche, se payant même le luxe d’allumer les ampoules. Ce fut à ce moment là que Yûko reçu son appel.

- Qu'est ce qu'il y a ?

- C'est la cheffe.

Elle décrocha alors.

- Ecoute Yuko, je suis sur un très gros coup, je peux pas encore t'expliquer tout les détails mais c'est pour ça que j'étais absente. Si ça marche, on pourra faire passer tes infos à l'ONU, et s'en sera fini du blocus et de cette salope de Première Secrétaire. J'ai besoin de toi et de toute l'équipe pour y arriver. J'ai déjà appelé toutes nos sœurs de combat, on devrait être toutes là. Le briefing aura lieu à la planque de l'ancienne chapelle demain à 20 heures. Ne me fait pas faux bon, on y est presque, on sera bientôt libérées...

Avant même qu'elle puisse dire quoi que ce soit, Arina raccrocha. Perplexe, Yûko regarda son portable et pianota pour la géolocaliser. Son portable se trouvait dans une décharge non loin du Rachele'S Club.

- Alors ? Qu'est ce qu'elle a dit ?

- Elle est sur un gros coup pour nous permettre de contacter l'ONU. Elle nous donne rendez-vous demain à 20h à la chapelle.

- C'est génial !

Les filles laissèrent brièvement éclater leur joie avant de reprendre leur activité, dans une certaine euphorie. Euphorie que Yûko partageait à moitié. D'une part, Le portable d'Ariana était dans une zone trop proche du QG de l'ennemie et le numéro d'appel était masqué. Bon, peut être se faisait-elle des idées et qu'elle avait dû changer de moyen de communication. Toutefois, contacter l'ONU lui paraissait trop gros. Connexion trop longue, beaucoup de protections à craquer, les agents de Florenza auraient tout le temps de les localiser et de bloquer la connexion. Elle garda ses réflexion pour elle jusqu'à ce qu'une des filles du groupe n'intervienne.

- Du coup, à quoi ça sert de rester ici, si la cheffe a un moyen de contacter l’extérieur ?

- Contacter l'ONU va prendre un temps fou. Même si son plan peut marcher, il nous faut au moins un plan de diversion. On va finir de préparer le terrain ici et dès qu'on se connectera à l'ONU, on activera également la connexion ici, à distance, vers des destinations moins importantes. Je vais préparer les paquets de données compressées et, au signal, ils partirons vers différents gouvernements. Comme ça, si jamais on échoue, on sera sûres que l'info puisse être relayée.

- Pas mal comme plan, ça nous fait une belle roue de secours si jamais ça tourne mal.

Il leur fallut plus d'une demi-journée pour mettre leur idée en place, avec un signal d'envois que seule Yûko pourrait activer à distance, au cas où les choses tourneraient mal. Pour qu'au moins un pays soit averti. Pourtant, quand les filles prirent la direction de la chapelle, pour le rendez-vous de la soirée, Yûko ne les suivit pas tout de suite, préférant d'abord se rendre à une planque connue d'elle seule. Cette double connexion serait idéale pour mettre une de ses idées également en place... Ainsi, même si les deux autres tentatives devaient échouer pour une raison ou une autre, elle était certaine que celle-ci réussirait.

Le soir venu, Yûko était appuyée contre une table, avec les autres et écoutait le plan d'Arina. Toutefois, elle révélait peu de détails et restait très secrète. Cela ne lui ressemblait pas. Quelque chose de pas très net était en train de se tramer. Elle avait également remarquée que sa morphologie n'était pas la même... Et puis celle-ci vint rapidement à la prendre dans ses bras, très sensuelle, avant de la tirer par la main dans un endroit plus intime. Non, définitivement, il y'avait un problème.

- Ma chérie, je suis heureuse que tu ais pu venir. Viens dans mes quartiers, j'ai quelque chose d'important à te dire... Entre, je t'en prie, entre, j'ai de merveilleuses nouvelles à te donner !

- Ariana, tu es sûre que tout vas bien ? On dirait que tu n'as pas dormis depuis des jours... Tu ressemble presque à... une droguée...

En fait, c'est en prononçant ce terme qu'elle eu un déclic. Son comportement était anormal, tout comme sa physionomie. Et elle se souvenait également que son portable avait atterrie dans une décharge, pas bien loin du QG de la Première Secrétaire. Il ne fallait pas être Bac+5 pour faire le lien. Glissant sa main dans sa poche, elle activa la connexion vers plusieurs endroits du globe, les serveurs se mettant discrètement en marche, et activa l'envois de données partout dans le monde, maintenant qu'elle était certaine qu'il n'y aurait pas de connexion vers l'ONU. D'ailleurs, elle décida de gagner un peu de temps.

- Travailler à un moyen de nous connecter à l'ONU à du te demander beaucoup de concentration, il serait normal que tu te repose un peu avant l'opération. Même si je me demande encore comment tu compte t'y prendre pour que cette putain de salope de Florenza ne remarque rien à ce sujet.

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Prélude / Re : Anastasia Spencer - The Deathclaw [ValiWTFisée !]

« le: lundi 14 août 2017, 02:36:56 »

*Ne sait pas ce qu'est une Tekhane vu qu'elle ne connaît pas Terra*

'-'

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Prélude / Re : Anastasia Spencer - The Deathclaw [ValiWTFisée !]

« le: lundi 14 août 2017, 02:00:33 »

Ce n'est pas l'avis de la gente masculine :x

Ni de la grande majorité des lesbiennes normalement constituées ° ^ °

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Prélude / Re : Anastasia Spencer - The Deathclaw [ValiWTFisée !]

« le: lundi 14 août 2017, 01:25:20 »

*Regarde les corps déformés*

xqx

*Vomis*

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One Shot / Re : An other world

« le: dimanche 13 août 2017, 19:02:55 »

Yûko, loin de se douter de tout cela, rampait dans une conduite d'aération, relativement lentement, se faisant aussi discrète que possible, avant de réussir à atteindre l’extérieur, où l'attendaient certaines de ses amies. La jeune fille venait de réussir à récolter des informations sur ce centre ainsi que des photos particulièrement compromettantes pour décrédibiliser le gouvernement et la politique de cette Florenza. Des informations qui démontraient que ce centre de traitement n'était en fait qu'un immense élevage humain, dans lequel les nourrissons étaient placés en stase accélérée jusqu'à leurs 12 ans, puis étaient éduqués sexuellement et intensivement jusqu'à leur 15e année. Il fallait être un monstre sans aucune morale pour infliger de telles choses à des enfants.

Yûko Massamba était née il y a de cela 16 ans mais le régime dictatoriale que cette femme avait mis en place en prenant le pouvoir, durait à présent depuis une dizaine d'années. Alors qu'elle n'avait que 8 ans, sa mère l'avait cachée dans une cave qui communiquait avec les égouts et elle n'avait jamais su ce qui était arrivé par la suite, jusqu'à ce qu'elle lise dans un journal qu'une dangereuse terroriste n'ait été éliminée avec son mari à leur domicile. Élevée au sein d'un groupe de rebelles, elle avait appris à pirater le réseau informatique et à infiltrer les banques de données du régime sans jamais se faire remarquer, les agents de Rachele ne découvrant le piratage que plusieurs heures plus tard. Elle avait donc très vite gagnée en notoriété et participait à toutes les opérations d'infiltration importantes.

C'était durant un de ces piratage qu'elle était tombée par hasard sur le dossier de sa famille, sous le terme "Informations sensibles". Elle avait alors découvert que sa mère était une des femmes porteuses des usines et que son père lui, avait été tué "par erreur". La politique de la première ministre actuelle était d'éliminer tout les non japonais résidant sur le territoire, pour préserver la puretés de la "race esclave". Hors, il s'était avéré, plus tard, que son père décédé était en réalité le petit frère d'un homme très influent d’Afrique, qui avait les moyens d’anéantir tout ce que la femme avait mis en place. Yûko avait donc compris a quel point cette information pourrait mettre cette femme dans la merde, si jamais son oncle apprenait ce qui était arrivé à ses parents. Rachele Florenza ignorait toutefois son existence lors de l'assaut dans son appartement et tout ce qu'elle connaissait aujourd'hui, c'était son prénom et à la rigueur sa voix.

Aujourd'hui, Si Yûko ne posait pas des bombes près des centres de dressage, elle lançait des informations sur des fréquences radios piratées pour avertir la population, mais ne diffusait jamais au même endroit, pour éviter de se faire repérer. Elle et sa cellule devaient avoir une trentaine de cachettes réparties sur le territoire, mais seules la moitié étaient connues de leur cheffe Arina. Et une seule n'était connue que de Yûko. Il s'agissait de son dernier bastion, si jamais leur mouvement devait un jour tombé. C'était le dernier endroit au monde duquel elle pourrait émettre, mais ne préférait pas penser à une telle possibilité pour le moment.

Quittant sa conduite, elle sauta au sol et fut accueillit par ses amies.

- T'as réussi à récupérer les info ?

- Ouais, on a tout ce dont on a besoin

- Okay, alors on va au [45.6 - 89], Akira a réussi à dégoter un vieux serveur abandonné. Si on arrive à le remettre en marche, on essayera d'émettre de là bas.

- La cheffe est au courant ?

- J'ai essayée de la joindre toute la matinée, en vain. Elle doit être sur une grosse opé. On la préviendra à son retour à la base.

Yûko hocha la tête et suivit son groupe dans les égouts. Le seul endroit du territoire qui n'était pas surveillé de nuit, tant il y faisait sombre. Elles devaient toutefois se dépêcher d'atteindre leur objectif avant que le jour se lève.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre professionelle [PV Yûko]

« le: jeudi 10 août 2017, 16:05:23 »

Yûko était une prostituée, ayant accumulée pas mal d’expérience dans le métier. Si l’intérêt majeur était de pouvoir se faire sauter et baiser dans de nombreuses situation, elle se devait tout de même de procurer du plaisir à ses partenaires avant d'en prendre. Autrement dit, il était rare qu'elle jouisse avant ces derniers, une sorte de déformation professionnelle involontaire dirons nous. Il n'était donc pas étonnant qu'elle ne se soit pas encore lâchée, malgré le pied qu'elle prenait. Au bout de plusieurs minutes, l'homme leur ordonna de changer de position et ainsi, la belle brune se retrouva à quatre pattes sur le carrelage, son petit cul bombé vers Okio.

Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle ne sente sa bite s'enfoncer dans sa rondelle, la faisant longuement gémir de plaisir. Mais dans l'histoire, ce devait être Okio qui devait prendre un plaisir monstre, car il était autant stimulé par devant que par derrière... Jusqu'à ce qu'il se décide à jouer de nouveau avec ses seins, en plus de son clitoris, les titillant longuement et intensément.

- Haaaaa.... Ouu...Ouiiiiiii... Haaaaan ♥ C'est.... C'est booooooon.... Haaaaaa ♥♥

Une petite flaque de mouille se formait entre ses cuisses, celle-ci coulant le long de sa peau, rendant le sol un peu glissant. La jeune fille adorait se sentir si bien bourrée. Les yeux clos et la bouche entrouverte, sa langue dépassant légèrement, elle savourait chaque pénétration, chaque onde de plaisir qui l’électrisait. Elle savoura durant de très longues minutes, jusqu'à ce qu'Okio ne craque le premier et n'inonde son fondement.

- Haaaaa... HaaaaaaAAAAAAaAAAAaAAAAaaN !!! ♥♥♥

Sentir le foutre chaud abonder en elle, se déverser au plus profond de son corps, la fit elle aussi jouir d'extase, expulsant de nombreux jets de cyprine sur le carrelage, faisant de nombreuses éclaboussures facilement audibles. Si Okio avait jouis de la sorte, ce devait sans doute être parce que lui même s'était fait remplir le cul par l'homme. Néanmoins, les vas et viens continuèrent encore un moment, avant que la jeune fille ne s'affaisse sur le sol, respirant lourdement, un peu fatiguée mais heureuse. Le sexe d'Okio se retira de son fondement et le trop plein s'écoula de son petit puits ouvert...

- Hmmm... J'ai adorée cette petite séance... ♥

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre professionelle [PV Yûko]

« le: dimanche 23 juillet 2017, 16:07:30 »

Alors qu'elle lui avait demandée de se mettre en position pour qu'elle puisse s'occuper de sa croupe, Okio choisit en premier lieu de venir l'embrasser. Elle ne se fit toutefois pas prier et lui rendit son langoureux baisé, tournoyant goulûment sa langue avec la sienne, dans des bruits mouillés et sonores. Ce n'est qu'une fois que leurs lèvres se séparèrent, que la jeune fille eu une belle vue sur son cul, petit et rebondit, digne d'une vraie petite salope. Le massage de ses seins la fit bien évidement tendrement gémir de plaisir.

- C'est quoi vos p'tits noms mes jolies ? Demanda subitement l'homme.

- Okio mon beau... mmh !

- Moi c'est... Hmmmm ♥ C'est Yûko ♥ Haaaaa... ♥ Itadakimasu ♥

Une fois les présentations faites, elle approcha son visage de la belle croupe du femboy, une main sur chacune de ses hanches et plongea sa petite langue humide dans sa rondelle après l'avoir brièvement léchée autour, lui offrant ainsi un agréable cuni, ses gémissements étouffés dans la chair de son nouveau partenaire de jeux. Durant quelques minutes, Yûko ne fit ainsi que gémir et soupirer, son plaisir augmentant graduellement. Malgré le fait que l'homme bourrinait sauvagement son intimités, elle ne jouissait pas encore, preuve de son endurance de de son expérience dans le domaine. La prostituée finit par retirée sa langue du cul trempé de salive d'Okio et le pénétra ensuite de deux doigts, qu'elle fit aller et venir rapidement en lui.

- Hmmm... Haaaaa... Haaaaaa... Haaaaan.... J'adore ton p'tit cul.... Haaaaaa.... Okio ♥ Haaaaaaa.... Haaaaaa....

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre professionelle [PV Yûko]

« le: samedi 08 avril 2017, 20:26:15 »

Honnêtement, Yûko était assez surprise de constater que sa collègue était en réalité UN collègue mais, dans le fond, elle s'en fichait un peu. En bonne bisexuelle, elle appréciait autant les hommes que les femmes et dans le cas présent, ça pouvait même être intéressant, la jeune fille n'ayant jamais doigtée d'hommes, ces derniers ayant toujours refusés de subir ce genre de chose. Et celui-ci lui fit d'ailleurs remarquer à l'homme qu'il avait sucer que cela ne l'avait pas dérangé outre mesure.

- Ouais... bon, t'es bien baisable, c'est bizarre, mais j'peux faire avec. Mais je veux payer...

- Te fais pas chier, j'te fais ça gratuit, j'ai surtout envie d'une queue.

- Ah ouais ? Comme punition tu passera après elle. Quand à toit, tu te met sur le dos et écarte les cuises, ta chatte doit de démanger depuis tout à l'heure.

Yûko termina de se déshabiller et termina totalement nue dans les toilettes, avant de s'allonger à même le sol froid et humide en écartant ses cuisses au maximum, la chatte trempé et chaude comme la braise. La pénétration lui procura un énorme plaisir et elle en gémit longuement. Puis, les vas et viens s'enchaînèrent, lentement au début, le temps que son amant prennent ses marques, puis plus vite ensuite. Durant les minutes qui suivirent, elle gémit et soupira sensuellement de plaisir, sa fleur intime émettant des bruits terriblement pervers.

- Haaaaa... Haaaaaa.... Plus fort... Haaaaa.... Baise moi la chatte plus fort... Haaaaa.... Oui.... Putain oui.... Haaaa.... C'est boooon !!!! Haaaaaa !!!! Haaaaaa !!!!

Yûko était incroyablement chaude, submergée par de puissantes vagues de plaisir, tandis que ses lourds seins ballottaient au rythmes des hanches de son amant. Elle finit par se souvenir qu'ils étaient trois ici et elle interpella l'autre.

- Hey... Toi là, avec... haaaa... les cheveux violet... Viens là... Haaaa.... Je vais m'occuper de ton cul.... Haaaa....

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: jeudi 06 avril 2017, 03:31:32 »

Invasion de Pikachu °^°

http://youtu.be/gENjTs8VskQ

3h30

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Prélude / Re : Ah ben, vous êtes archnophobes? [Darthestar]

« le: mardi 04 avril 2017, 08:57:59 »

Bienvenue femme araignée '-'

*Est quand même bien contente d'être sur Terre*

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre professionelle [PV Yûko]

« le: lundi 03 avril 2017, 11:53:53 »

Tandis que le rythme de la pipe croissait dans la cabine d'a côté, Yûko elle, accéléra les mouvements de ses doigts en elle, imaginant très bien la scène, même si elle se représentait elle même en train de la vivre, en gros plan sur le sexe de l'homme, faute d'avoir vue les visages des deux protagonistes. Ses doigts remuaient donc de manière fluide et rapide entre ses chaires rouges et humide, son jus coulant hors de sa fleur pour tremper son shorty. Son bouton d'amour comme ses tétons, étaient durs et fortement érigés tant son plaisir était grand, se dessinant aisément au travers de son haut moulant, jusqu'à ce qu'elle ne jouisse longuement, des jets de cyprine s'écrasant de l'autre côté de la cabine, qui formèrent une petite flaque dans l'allée. Sa respiration était lourde et son souffle chaud, lorsque du mouvement à sa droite lui indiqua que leur petite affaire était terminée.

De ce qu'elle compris, ils allaient se rendre dans les toilettes publics pour la suite. Et comme prévu, ils la virent tout deux lorsqu'ils sortirent de leur cabine, bien que ce soit la pute qui l'a vit en premier. Yûko vit son sourire enjôleur et le lui rendit, s'élargissant lorsqu'elle vit la bosse plus bas. Soit c'était une jeune futanari, soit c'était un femboy très efféminé au vu de ce qu'elle avait pu entendre plus tôt. Même sa voix faisait d'avantage penser à une fille qu'à un garçon.

- Un plan à trois, ça vous dit ? Ou... ici avec le gérant, une petite orgie ?

- Je connais bien le gérant, c'est un gripe-sous qui voudra pas lâcher un Yen. Un plan à trois aux chiotes par contre, ça me botte bien.

La brunette avait parlée la main encore dans son bas, la chatte à l'air, nullement gênée. Le femboy avait sans doute aussi remarqué la belle flaque de mouille au sol. Yûko se releva et ferma sa braguette pour les rejoindre, toujours en état d'excitation avancée, et se colla directement contre le client, venant caresser la bosse dans son froc.

- Normalement, je devrais te faire payer mes services moi aussi, chéri~ mais on va dire que c'est jour de promo et qu'exceptionnellement, aujourd'hui, c'est gratuit pour toi~

Ainsi, Yûko et sa nouvelle collègue se rendirent à la caisse, payant leurs articles face à un gérant qui ne daigna même pas lever les yeux de son magasine, et elles se dirigèrent vers les toilettes public. Le lieu était un peu insalubre et couvert de tags. En vrai, les personnes normales évitaient généralement d'y entrer, ce qui laissait les groupes de baise libre de leurs mouvements, comme en attestaient les préservatifs et les traces de sperme séché présents. Ils n'eurent d'ailleurs pas a s'enfermer dans une cabine, pouvant directement verrouiller la porte principale. Toutefois, Yûko n'en fit rien, des fois que des gens viendraient les rejoindre, et retira son haut, libérant sa généreuse poitrine, ses tétons encore durs, et déboutonna son shorty, sans le retirer pour autant.

- Alors, comment on procède ? Tu te tape d'abord cette petite salope ou bien tu nous baise l'une sur l'autre ?

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Le quartier de la Toussaint / Re : On s'amuse avec les humains [Yûko]

« le: lundi 03 avril 2017, 11:08:17 »

Depuis quelques jours, Yûko avait une petite Kōhai sous son aile, un femboy très feminin qui apprenait le vrai métier de prostitution car, avant leur rencontre, cette prostituée amatrice ne se faisait payer que de 300 Yen, soit le prix d'une pomme. Autant dire qu'elle n'aurait pas été bien loin avec ça. Mais sa nouvelle Senpai lui avait fait découvrir tout les avantages du site sur lequel elle était inscrite et, depuis, sa Kōhaï touchait plus d'argent, mais s'amusait tout autant. A vrai dire, il y avait depuis quelques mois de plus en plus de femboy en ville. Au début, le phénomène avait été semblable aux Futanari. On les pointaient du doigt comme des anomalies, on cherchait à trouver un remède, on les rejetaient. Mais au fil du temps et Seikusu oblige, les Futanari comme les femboy étaient entrés dans la norme sexuelle de la ville et a présent, il n'était pas rare d'en croiser dans la rue.

Pourquoi parler de tout ça ? Et bien précisément parce que Yûko avait récemment reçue un mail, provenant vraisemblablement d'une riche personne, qui lui demandait grosso modo de s'occuper de son soumis, un femboy justement, au vu de la photo jointe avec, pendant qu'elle même était absente pour affaires. Toutefois, elle recevrait régulièrement des SMS pour la suite des opérations, qui seront justement filmées. Une sacrée perverse en somme. Elle avait néanmoins acceptée, car la femme lui promettait plus de 100 000 yen, plus des extraits, sans doute si elle allait au delà de ses espérances. Habituellement, un client lui aurait payé le quart de cette somme pour une seule soirée de ce genre. Autant dire qu'elle accepta sur le champ, mais elle dû fixer elle même une date, afin de respecter certains des critères.

Elle fixa donc la soirée deux jours plus tard, pour la simple raison qu'elle avait pas moins de cinq clients ce jour là. En fait, ils avaient cotisés pour une partie de gang-bang avec elle au centre de cette sauterie, en milieu d'après midi, dans un donjon SM. Autant dire qu'elle avait déjà sa tenue en latex sur elle, quand Yûko se rendit directement du donjon au lové hôtel, le corps souillé de sperme encore frais. Elle fit tourner et détourner des regards sur son passage, provoqua outrance et intérêt et elle eu l'occasion de filer sa carte de visite à une ou deux personnes, avant de finalement arriver à destination. Comme demandé dans le mail, elle frappa sept fois à la porte 111 avant d'entrer.

Le femboy roux était la, dans un cosplay en latex, plutôt original pour le coup et sagement assis sur le lit, devant deux grosse malles. Il fallait avouer qu'il (ou elle, s'il voulait être traitée comme une fille) était adorable et la brunette se mordilla la lèvre inférieure, d'envie. De son côté, le soumis vit donc une adolescente au Long cheveux bruns et aux seins généreux, vêtue d'une tenue de latex noir tout ce qu'il y a de plus simple, mais maculée de sperme des pieds au visage. S'approchant de lui après avoir refermée la porte, elle agrippa sa queue de cheval rousse et tirera dessus, pour le forcer à le regarder dans les yeux.

- Et bien petite pute, qu'est-ce que t'attend pour nettoyer ta Maîtresse ? Ne vois tu donc pas que que je suis souillée de ma journée ? Je ne devrai même pas avoir à le demander à une soumise digne de ce nom. Et avec ta petite langue de traînée, bien sûr.

Elle le relâcha en le poussant au sol et tendit son pied droit.

- Ah là là... Toute une éducation à refaire, je comprend pourquoi on t'a confiée à mes soins...

Yûko le traitait volontairement comme une fille et ce qu'importe son opinion. Elle s'était aussi placée de manière à ce que la scène soit parfaitement visible depuis la caméra, placée sur une commode pour le moment.