C'était une belle matinée d'été dans les terres sauvages, les lézards se laissaient griller au soleil et un vent chaud soufflait sur les plaines en faisant bruisser les herbes hautes. Ce calme et cette harmonie quasi-religieuse furent brutalement troublés par l'ouverture d'un portail anormalement instable. La fenêtre vers cet autre monde grésillait, saccadait, faisait parfois des bruits bizarres, aucun être vivant sain d'esprit ne passerait là-dedans. Et pourtant, une énorme créature s'en extrayait péniblement, se pliant en deux pour pouvoir passer sans toucher les bords. Le portail ne tint guère plus que le strict nécessaire pour lui permettre de traverser, disparaissant en produisant un claquement sec. À partir de maintenant elle était seule, loin de chez elle mais bon, ce n'est pas comme si la maison allait lui manquer. Au contraire, elle avait attendu ça toute sa vie, un monde nouveau à visiter, peut-être encore plus grand que l'archipel où elle est née. L'ogresse regarda tout autour d'elle, la végétation ne ressemblait à rien de ce qu'elle connaissait et ce soleil, ce temps était si rare là d'où elle venait, la plupart du temps les îles étaient plongées dans la brume ou la grisaille. Pourtant, les mêmes paysages se répétaient à l'infini, il n'y avait pas de constructions en vue, tout paraissait si vide par rapport aux îles de sa jeunesse. Il lui faudrait un moyen beaucoup plus rapide que ses jambes pour voyager, pourquoi ne pas fabriquer son propre portail par exemple ? Elle n'aura qu'à passer la porte jusqu'à tomber sur un endroit intéressant.
Persuadée d'être capable de reproduire le phénomène, elle se mit en quête de matériaux pour construire son propre portail. Bois, rochers, brindilles, cranes d'animaux sauvages, tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un des éléments du portail d'origine était bon à prendre. Elle assembla le tout, échoua une première fois, une seconde, tenta d'invoquer le portail en faisant des gestes bizarres, défonça le tout à grands coups de masse lorsque les nerfs lâchaient. Jusqu'à ce que le soleil soit déjà bien élevé dans le ciel. À ce moment-là elle dû se rendre à l'évidence, voici une tâche largement au-delà de ses compétences. Il lui fallait de l'aide, une créature plus intelligente saura peut-être comment faire, il suffisait juste de tomber dessus.
Elle se remit donc en route, espérant tomber sur un village au détour d'une colline, marchant durant de longues minutes. Après quelques temps d'errance, la chance se souvint d'elle et décida de lui sourire. La faisant tomber nez à nez avec un espèce de village, très discret, construit dans une cuvette où se trouvait également un petit lac, impossible de le voir de loin à cause du relief. Une véritable aubaine ! L'ogresse s'empressa d'explorer le lieu, les habitants ne semblait pas avoir peur d'elle, comme s'ils étaient habitués à voir débarquer tout et n'importe quoi chez eux.
Une adolescente vint même à sa rencontre, visiblement curieuse à son sujet malgré son appréhension face à une créature aussi grande. Elle l'observa un peu avant d'oser s'approcher et demander :
"Bonjour. Je peux vous aider ?"Oh mais, bien sûr qu'elle pouvait aider, elle pouvait servir d'otage pour forcer les villageois à l'aider, servir de sac à foutre et finir en casse-croute improvisé. Tout un programme. L'ogresse ne prit même pas la peine de répondre, pourquoi sympathiserait-elle avec la nourriture ? Elle se contenta d'attraper la jeune-fille par les cheveux et sortir son membre viril à l'air libre de l'autre main. Toujours sans dire un mot, elle força la mâchoire de la demoiselle à s'ouvrir et enfournant sa verge à l'intérieur, ne pouvant y rentrer qu'une partie. Elle conclut d'un simple, poétique et explicite :
"Tais-toi et suce ! Pour les autres, construisez-moi un portail efficace ou je détruirais complétement l'endroit et vous avec."Certains prirent des fourches et tentèrent d'intervenir, mais qu'auraient-ils pu faire face à une créature dont la peau ne peut pas être tranchée ou percée avec d'aussi maigres moyens ? Ils goutèrent juste à sa masse, broyés sous son poids sans rien pouvoir faire à part fuir. Irritée, l'ogresse reformula :
"ABRUTIS D'HUMAINS ! Qui va construire mon portail si je vous tue tous dès le départ ? HEIN ? Obéissez et ne faites pas d'histoires ! Pour les matériaux vous n'avez qu'à détruire vos maisons, ne perdez pas de temps à aller en chercher ailleurs !"Après cette démonstration de force, tout le monde fut beaucoup plus coopératif. Désormais, Abby pouvait se concentrer sur sa petite trouvaille, sa gorge était plutôt agréable, ça ne valait pas de la nourriture entrainée mais, c'était mieux que de se branler. Au début elle essayait de la mordre, c'était mignon d'une certaine façon, mais très vite elle fut plus occupée à gérer sa respiration qu'à combattre. Après quelques minutes de tendresse à sens unique, l'ogresse retourna la petite et la força à se mettre à quatre pattes, soulevant ses fesses pour qu'elles soient à bonne hauteur. Ça pleurait, ça gesticulait, ça criait, tandis que sa petite culotte était arrachée sans ménagement. Puis, l'épaisse queue de l'ogresse viola vigoureusement l'intimité de la jeune-fille, un filet de sang coulant le long de leurs cuisses, son hymen avait été rompu sans même que la créature ne le remarque. Quelques secondes après, l'utérus de l'adolescente se retrouvait plein à raz bord d'un sperme épais et odorant.
L'ogresse se releva, sa queue suivant le mouvement en sortant de l'orifice de sa jeune victime, rebondissant comme un ressort et déposant un peu de sperme sur son joli petit cul. Avec une indifférence totale, elle recommanda, tandis que l'adolescente pleurait :
"Mange bien pour que ton bébé grandisse vite et va me chercher une autre femelle à engrosser.""Q-quoi ? Un bébé ?"Elle resta prostrée, le regard dans le vide, psychologiquement brisée, tandis que la créature pestait :
"Tss, faut tout faire soi-même ici ..."