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Messages - Maluxia Luna

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Gymnase en plein air et piscine / Re : Plouf ! ça mouille ! [Lexi]
« le: dimanche 04 septembre 2016, 22:09:07 »


Elle me rejoignit sans attendre ce qui me fit étirer un large sourire amusé. Je la laissai venir jusqu'à moi, puis à me guider jusqu'au petit bassin dans nos pieds touchèrent le fond et que mon dos se retrouva plaqué contre le rebord. Je me laissai portée par ses caresses, notamment quand ses mains glissèrent dans mes cheveux. Remontant avec délicatesse j'allais m'en saisir pour la poser sur ma joue, la choyant avec affection avant de lui mordiller le bout des doigts avec désir. Mes dents se refermèrent ensuite sur ma lèvre inférieur de sorte à lui présenter ce sourire et ce regard plein d'appétence. Tandis qu'elle m'attirait contre elle, j'allais promener mes mains dans son dos, la gratifiant de caresses et d'attentions tandis que dans le même temps nos langues entrelacées entamaient leur ballet sensuel. Mes doigts suivirent les courbes de ses hanches jusqu'à remonter sur sa poitrine, effleurait son cou puis m’emparai de ses joues avec douceur et fermeté de sorte à intensifier notre baiser. Je me laissai progressivement portée par l'excitation que généraient ses frissons à chacun de ses faits et gestes. La savoir si proche de moi, sa poitrine collée contre la mienne, ma jambe enlacée autour de sa taille. Tout ceci était si grisant. Il ne restait plus qu'une main main posée sur sa joue, la tenant toujours avec fermeté tandis que l'autre allait et venait le long de son échine.

Nous nagions dans le silence le plus total. L'imposant dôme ne répercutant que les clapotis de l'eau et parfois le soufflé saccadé de nos respirations. J'envoyais mes lèvres se promener dans le cou de ma bien aimée, gratifiant ce dernier de coup de langue et de petite morsures. Lexi en fit alors de même, mais n'hésita pas à retirer la première lanière de mon maillot. Lentement, très lentement, ces baiser et morsures descendirent jusqu'à mon sein, propageant moult frissons qui glissèrent sur tout mon corps. Ma respiration s’alourdit un peu plus tandis que je laissai échapper un léger soupir de plaisir. Mes doigts s’immiscèrent à leur tour dans sa chevelure, pressant délicatement sur sa tête pour l'inciter à insister sur cette zone érogène. Et naturellement elle ne se priva pas pour jouer avec, léchant et mordillant la pointe tantôt avec sensualité, tantôt avec appétences, tantôt avec fougue. Je me retrouvais alors encore davantage plaquée contre le repos tout en continuant de promener mes doigts dans sa chevelure tandis que je la tenais de mon autre main par la hanche. Elle remonta alors pour m'embrasser bloquant mes râles de plaisir.

Ce baiser plein de fougue cessa progressivement de sorte à ce que nos lèvres ne finissent plus que part se caresser. Mon cœur tambourinait si fortement dans ma poitrine que je pouvais presque l'entendre pulser. Mon corps tout entier, embrasé qu'il fut, profitait d'autant de la fraîcheur de l'eau  qui contractait ma peau et ne faisait qu'accentuer le plaisir reçu à chacune de ses attentions. Je laissai courir mon index le long de sa joue avant de me saisir cette fois-ci de sa lèvre inférieur avec les dents. Entre temps elle fit glisser mon haut que j'envoyais valser hors du bassin. Ce faisant, après lui avoir adressé un regard brûlant plein de promesse, je me cambrai, posant mes deux mains sur le rebords, de sorte à lui exhiber mon corps , avec ce cou qu'elle n'avait plus qu'à morde et cette poitrine à demi immergées qu'elle n'avait plus saisir et malaxer. Je la désirai tellement, mais plus que tout, je voulais qu'elle me dévore comme bon lui semble. J'étais a elle toute entière et c'était donc à elle d'en disposer.

Je la laissai me goûter sous toutes les postures et les aspects, allant jusqu'à passer mes jambes autours de sa taille tandis qu'elle plongeait son visage dans ma poitrine et dans mon cou. Prise par cette frénésie ainsi que tous les frissons brûlants qui me parcouraient, je ne tardai pas laisser échapper quelque petit gémissement à l'écho décuplé par la voûte. C'était assez faiblement perceptible et je savais Lexi aux premières loges pour en profiter. Toutes ces exclamations qui m'échappaient contre mon gré lui étaient entièrement dédiée. Elles étaient les témoins du plaisirs qu'elle me procurait, mais je savais que tout ceci n'était rien comparé à ce qui devrait suivre. Mais pas tout de suite. Je voulais encore profiter de cet instant de complicité avec elle avant de passer à un autre. La serrant contre-moi posant ma tête sur son épaule j’essayai de calmer ma respiration. Mes bras alors placées autour de sa nuque glissèrent pour faire habilement sauter l'armature de son maillot. Seul le petit clips me trahit ma tentative avant que ma belle ne se sente soudainement allégée. Cette partie de son maillot subit le même sort que le mien en passant par dessus bord. J'allais la saisir une nouvelle fois par les hanches pour l'attirer un peu plus brutalement contre moi, renforçant ainsi le contact de nos peaux. Nous étions toutes deux presque entièrement nues et mon regard la dévorait avec amour.

-Je t'aime...

Cela avait sonné comme un murmure qui là encore lui était entièrement dédié.

Lexi avait toujours été un petit peu plus grande que moi, pourtant cela ne m'empêcha de me redresser pour l'embrasser passionnément.

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Gymnase en plein air et piscine / Re : Plouf ! ça mouille ! [Lexi]
« le: mardi 16 août 2016, 11:43:16 »
Un sourire espiègle souligna mes lèvres au moment où Lexi fit son choix. Les vestiaires des hommes évidemment.

-Perverse… Arguais-je avec amusement d’un ton qui se voulait à la fois moqueur et complice.

J’avais spécifiquement attendue cette réponse pour lui lancer cette réplique. Aussi lui emboitais-je le pas jusque dans le vestiaire des mâles totalement vide. Hors à peine eussé-je le temps de franchir le seuil que Lexi se rua sur-moi pour me plaquer contre des casiers qui résonnèrent d’un son métallique jusqu’au haut plafond de l’édifice. Un frémissement d’excitation me parcouru le corps à l’idée et à la sensation qu’elle me tenait dos à mur. Ses lèvres se lièrent aux miennes dans une succession d’échanges langoureux. Sa main glissa lentement sous mon haut pour passer sur mon sein. Je profitai  de cet instant pour m’appuyer davantage contre elle de sorte à l’inciter à insister sur cette partie de moi le tout en me mordant la lèvre inférieur. Elle fit voler mon haut tout en renouvelant cette danse qu’effectuait nos langues collées l’une contre l’autre. Au moment de me retirer mon short quelques fourmillements de chaleur glissaient déjà dans le creux de mes reins. J’expirai lentement, ma respiration s’était alourdie et quand elle s’écarta pour me tourner le dos, je restai un instant là, adossée contre les casiers à la dévorer d’un regard pétillant. J’allais me positionner derrière elle pour mieux l’enlacer de mes bras tout en plaquant ma poitrine contre son dos séparé par de trop nombreux amas de tissu à mon goût.

-Et toi donc… si tu savais comme j’ai envie de te dévorer là maintenant…

Murmurais-je dans le creux de son oreille tandis que mes mains glissaient sur son corps à la douce peau diaphane. Dans le même temps je la gratifiai de baisers comme de morsures dans le cou et la nuque. Mes doigts glissèrent alors sous le short de ma belle, sans avoir préalablement retiré le haut, jusqu’à s’engouffrer lentement entre ses cuisses sans jamais atteindre son intimité, me contentant simplement de la frôler à plusieurs reprises. Je finis par lui ôter son vêtement avant de remonter mes mains le long de sa croupe pour cette fois-ci disparaître sous son débardeur. Mes dents pressèrent délicatement son lob puis remontèrent progressivement de long de son oreille, la gratifiant parfois de me petits coups de langue. Mes mains caressèrent son ventre, un doigt glissa sur son nombril, jusqu’à que je prenne le chemin menant à sa poitrine que j’empoignai avec un mélange de fermeté et de douceur. Plaquée contre elle, je pouvais sentir le contact de ses fesses contre ma féminité. Ce fut pourquoi je me mis à onduler du bassin pour accentuer le frottement. C’était comme si nous dansions et je l’incitai à lever les bras vers le plafond pour finir par lui retirer son haut. J’empoignai alors ses hanches pour l’inviter à me suivre dans ce tango sensuel. Le menton posé contre son épaule, je laissai planer quelques soupirs de satisfaction à mesure que l’intensité montait entre nous. Mes yeux jusqu’alors fermés pour mieux profiter de toutes ces sensations s’ouvrirent lentement.

-Mais pas tout de suite… Tout vient à point à qui sait attendre. Navrée ma chérie ! Dis-je en m’écartant brusquement d’elle.

Le ton de ma voix trahissait mon état d’esprit. Autant dire que je n’étais pas, mais absolument pas navrée. Au contraire je m’amusai comme jamais. Et le fait de la savoir consumée par la frustration était des plus grisants. Dans l’optique d’ajouter une pierre à l’édifice je passai devant elle tout en ondulant du bassin. Qu’elle puisse admirer ce corps qu’elle ne pouvait encore avoir.

-Je reviens dans deux minutes. Le temps d’aller brancher le groupe électrogène.

Je lui adressai un signe de main tout en tournant la tête de sorte à lui adresser mon plus beau sourire espiègle. Je faisais la maline, mais dans le fond  j’étais certainement aussi frustrée qu’elle d’avoir arrêté. Heureusement ce ne fut pas long, je trouvais le tableau dans un placard derrière le guichet d’accueil. Cela me permit de rétablir seulement et uniquement l’éclairage à l’intérieur du bassin principal. Après tout, ne serait-il pas mieux de voir ce que nous ferons ? Suite à cela je la rejoignais dans la douche collective, prenant bien soin de mettre assez d’écart entre elle et moi pour ne pas être tentée de reprendre ici même. Après une poignée de secondes nous nous retrouvâmes finalement devant le bassin principal qui était assez immense et avec une voûte étonnamment haute si bien que l’écho de nos mots n’avait aucun mal à se répercuter dans tout le bâtiment. Delà, nous pouvions aviser de l’éclairage en profondeur qui diffusait une lumière tamisée dans l’eau.

Trottant de manière modérée je fus la première à m’y jeter, joignant mes bras devant moi dans un plongeon parfait qui me fit rapidement atteindre le fond du bassin. La fraicheur m’envahit et quelques mouvements de brasse me suffirent pour remonter à la surface. Mon attention se reporta aussitôt sur Lexi à qui j’adressai un regard provocateur.

Qu’elle vienne me chercher si elle l’ose.

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Gymnase en plein air et piscine / Plouf ! ça mouille ! [Lexi]
« le: lundi 08 août 2016, 18:08:40 »
La nuit était pleine à l'image de la lune qui culminait au milieu du firmament. D'elle émanait cette aura d'argent et conférait à tout paysage nocturne, pour peu qu'il soit naturel, une certaine poésie funèbre. On disait qu'elle était le symbole de la femme ce que je ne pouvais que plussoyer. Malgré ma nature chaleureuse je n'appréciais pas spécialement le jour et son soleil ardent. Non, j'étais une  femme de la nuit aimant à me bercer au travers de chevauchées nocturnes. Si l'astre lunaire possédait sa propre représentation la nuit n'était pas non plus en reste.

Foyer de tous les vices ce n'était qu'une fois son cœur atteint que l'on pouvait s'adonner à tous les plaisirs de l'existence, sans retenue ni gène, loin des nombreux regards indiscrets du jour. En somme, s'il l'on souhaitait faire quelque chose d'interdit, il fallait s'y prendre après le coucher du soleil. Minuit n'étant pas une belle heure pour cela ? A mon sens elle représente la parfaite jonction entre ces deux mondes passé ce cap où l'on sombre dans son infinie noirceur. Aussi était-ce en le goût de l'interdit en bouche que nous arrivâmes devant la piscine municipale. Quand je disais nous je faisais naturellement mention de moi et de ma compagne de toujours nommée Lexi. Nous nous retrouvâmes devant l'entrée à l'heure promise en tenue relative en cette fraîcheur d'été. Un sac sur l'épaule, j'adressai un regard à la fois complice et mesquin à ma dulcinée.

-Prête à aller faire trempette ? Fis-je sans dissimuler mon amusement.

La rue était totalement déserte. Quelques voitures vides garées ici et là bordaient le parking sur lequel les lampadaires projetaient leurs éclats fantomatique. Tout était on ne peut plus calme si l'on faisait exception du murmure lointain des véhicules circulants sur la route nationale, du bruissement des feuilles poussés par le vent et du champ des criquets lové dans les hautes herbes. Si notre programme n'avait pas déjà été pré-établi sans doute n'aurais-je pas hésité à commencer à m'amuser maintenant. Seulement nous ne devions pas nous épuiser à la tâche alors que de nombreuses promesses se trouvaient de l'autre côté de cette porte que je m'apprêtai à crocheter.

-Tiens moi cela et éclair le trou de la serrure.Dis-je en tendant une petite lampe torche à Lexi.

Posant un genou à terre je m'empressai de sortir mon nécessaire de crochetage commandé et reçu quelques jours plus tôt. Je m'étais déjà exercée sur les serrures de la demeure familiale. Forte de ma maigre expérience procurée par l'essai et la magie d'internet le cliquetis de la victoire ne tarda pas à retentir.

-Facile...

Au-delà de la fierté personnelle j'étais surtout galvanisée par l'idée de toutes ces promesses avenir, excitée que je fus en trépignant d'impatience à l'image d'une petite fille s'apprêtant à recevoir son cadeau de noël. La seule différence étant que j'étais une grande fille s'apprêtant à recevoir un cadeau de grande. Ce faisant j'achevai d'ouvrir la porte et aussitôt l'odeur de chlore nous parvint aux narines. Par défaut l'air était beaucoup plus chaud et lourd qu'en extérieur. Reprenant mon sac,  je passai en première pour franchir les marches mena jusqu'à l'accueil vide. A partir de là deux chemins s'offraient à nous. Alors que ma belle me rejoignait je lui fis volteface, adoptant de faux airs théâtraux.

-Le choix est votre ma chère !! Vestiaire des hommes ou des femmes ?

Fis-je en désignant l'un comme l'autre avec provocation, les lèvres souriantes et le regard empli d'une certaine appétence. Dans un sens ma question était un peu rhétorique puisque je connaissais déjà la réponse.

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Prélude / Maluxia Luna [valilouvée]
« le: jeudi 28 juillet 2016, 12:15:23 »
Identité : Luna
Âge : 18 ans
Sexe : Féminin
Race : Humain
Sexualité : Bisexuelle

Physique :
Physiquement Luna se trouve encore entre deux âges. Présentant à la fois des formes d'une adolescente et d'une futur jeune femme. Ses courbes dessine une cambrure fluette à la poitrine discrète. Ayant toujours délaissée l’exercice elle est assez peu musclée sans pour autant paraître maigrichonne. S'évertuant à toujours éviter le soleil sa peau est pâle à généralement tendance à se mâtifier de peur. Étonnant cette dernière est dénuée de toute imperfection. Cette nature totalement épurée intime à la caresse et à la précaution. Couplé à sa carrure il se dégage d'elle cette aura de fragilité dont il faut prendre soin avec la plus grande des délicatesses. L'ironie étant qu'il suffit de la regarder dans les yeux pour comprendre le paradoxe qui anime ses pupilles. D'un bleu azuré il en exulte une certaine ardeur de vie dans laquelle l'innocence semble avoir été consumée. Cette naturellement ensorcelant est soutenu par de fine lèvre généralement étiré à un sourire espiègles qui lui donne toujours cette impression d'avoir quelque chose en tête. Son visage quant-à lui est encadré par une épaisse chevelure d'or lui arrivant en dessous des épaules. Toujours impeccablement coiffée et habillée on ne la verra que rarement sans son maquillage, qui, bien que souvent discret réussi toujours à la mettre en valeur.

Caractère :
Manipulatrice, vicieuse, espiègle, joueuse, capricieuse, calculatrice sont autant de terme qui la définissent au mieux. Elle donne l'impression d'être une femme aimant toujours tout contrôlé ce qui est effectivement le cas dans un sens. En effet elle n'accorde sa confiance quand de rare individu. Ce n'est qu'en présence de ces privilégiées qu'elle s'accorde à leur laisser un peu de leste. Le reste du temps elle fera toujours en sorte d'avoir un coup d'avance sur tout ce qui l'entoure. Elle est du genre à prendre la vie comme jeu, ou plutôt comme un fruit dans lequel il faut croquer à pleine dent. Il n'y a pas de lendemain, seulement une succession d'expérience vécue au jour le jour. Elle aime s'amuser et ne prend guère les autres aux sérieux, pour peu qu'il lui arriver de leur accorder une quelconque forme d'intérêt.

Histoire :
La vie de Luna est celui d'une jeune femme de dix-huit ans on ne peut plus classique. Elle va à l'école comme toute fille de son âge. Et à grandi dans une commune bourgeoise au cœur de Tokyo dont son père en est le maire. Elle n'a jamais connu sa mère. Cette dernière ayant divorcé peu de temps après sa naissance pour partir vivre à Londre. Autant dire que la demoiselle ne maqua jamais de rien si ce ne fut d'amour parental. Occupé par son travail son père ne s'est jamais réellement occupé d'elle ayant été essentiellement élevée par une nurse. Elle fut pour ainsi dire pourrit gâté. Cette enfance a fait d'elle ce qu'elle est aujourd'hui. Devenue aussi populaire que capricieuse une fois entrée en école supérieur, elle ne maquant pas de s'attirer la haine des uns et l’admiration des autres. Naturellement douée de part son éducation bourgeoise dans l'art de la parole et des charmes. Elle sut user de ses atouts pour se créer son petit cercle de connaissance. Chacun ayant été sélectionné de manière à ce qu'elle ait un absolu contrôle dessus. Son désir étant que tout ce petit monde gravite autour d'elle. Et elle y parvint sans mal. Brillante et adulée par ses professeurs, il n'y avait nul ombre au tableau. Seulement, cette constance placide qu'elle avait elle-même créé finit par se retourner contre-elle. A force de tout vouloir contrôler plus rien ne pouvait la surprendre et l'ennui finit par la gagner jusqu'au jour où elle fit la rencontre d'une certaine Lexi. Elle venait d'arriver dans on école. Et ce fut pour ainsi dire le coup de foudre au premier regard. Luna en tomba éperdument amoureuse malgré-elle. Car en dépit de tous ses efforts il y avait quelque chose qu'elle ne parvenait toujours pas à contrôler : ses sentiments. Hors, comme la soudaineté s'associait aisément au caprice, la demoiselle voulue aussitôt s'approprier cette merveille. Ce quelle chercha à faire sans tarder. Seulement cette petite Lexi n'était pas comme toutes les autres jeunes filles de son âge. Elle était plus... Particulière, réservé et distante. Pis encore elle ne succomba pas aux charmes de Luna dans un premier temps. Elle parvint tout de même à se lier d'amitié avec elle pour lui faire part de son expérience de la vie. Malheureusement cet amour irrationnel continua d'être à sens uniques et ce malgré la complicité naissante entre les deux étudiantes.

Autre :
Luna est parfaitement humaine et ne possède donc aucune capacité particulière à ce niveau-là. Elle est cependant très intelligente et possède également un don pour se faufiler discrètement un peu partout sans se faire repérer , et ce à force de sortir de chez elle en cachette le soir.

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