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Messages - Silvia Del Casario

Pages: [1] 2
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Dictature d'Ashnard / Re : La maison de la bête [PV Silvia Del Casario]
« le: jeudi 01 septembre 2016, 07:52:30 »
Silvia vint à esquiver à une dizaine de mètre avant le mur de l'arène, mais cela fut très douloureux, alors que la créature continuait sa route pour s'emplafonner contre l'obstacle. La guerrière ne fit pas attention au fait que le compteur de mort s'était incrémenté de deux, par son action. Elle respirait profondément, de la vapeur sortant de sa bouche. son corps était mit à rude épreuve, surchauffait. son corps n'avait aucun apport d'eau et c'est ce qui rendait ce combat de plus en plus difficile pour elle, qui allait devoir songer à s'économiser, reprenant peu à peu la raison. Elle eut tout juste le temps de voir l'Ogre charger sur elle et donne un coup, ne pouvant permettre qu'une parade de justesse, perdant l'équilibre dans cette parade, si bien que le second coup vint à la mettre à terre. 

La blonde se trouvait clairement dans une situation où elle ne pouvait plus attaquer, à chaque tentative, elle se faisait devancer, devant bloquer avec son arme, son corps tout entier encaissant l'attaque, ses mains venant à perdre de plus en plus d'endurance. Elle n'avait pas encore fait attention à l'érection du monstre, n'ayant aucune connaissance sur les Ogres, elle ne se basait sur les adversaires de l'arène de son Maître. Elle offrait cependant une assez longue résistance, malgré le fait qu'elle reste au sol, ne pouvant se relever sous les coups. Le dernier vint à faire lâcher l'arme de la blond, qui se mit sur le ventre et tendait sa main vers l'arme pour la récupérer, elle n'était qu'à quelques centimètre de la récupérer, mais les lois de l'arène en avait décidé autrement.

2
One Shot / Re : Le prix de l'affront[PV]
« le: jeudi 01 septembre 2016, 07:42:29 »
La vampire se délectait du sang de la reine, sentant sa Soif décroître, petit à petit. Elle ne réagit pas quand les mains de la personne royale saisit son visage, par l'arrière, sans doute était-elle trop confiante de sa force. Mais aussi puissante pouvait-elle être, rien ne pouvait contrer le loi de la gravité. La reine avait profité de la posture déséquilibrée de la chasseresse, pour donner l'impulsion, qui la fut plonger dans l'eau, retirant les crocs de sa peau, non sans blesser la reine au passage. Camelia perdit rapidement pied, l'eau n'infligeant guère de mal à la jeune vampire, mais la faiblesse de l'eau bénite causant un sacré malaise à la présence de l'eau. La vampire gigotait, étant bien trop jeune pour savoir qu'elle ne pouvait se noyer, les vampire n'ayant pas besoin de respirer, comme un savant l'avait démontré par une expérience avec une salle saturé d'un gaz empoisonné.

La vile créature put enfin se défaire de l'emprise de la reine, respirant à grande goulée l'air, sa cape venant à tomber et dévoiler son visage, ainsi que ses canines, ayant un peu gardé du rouge écarlate du sang de Lonara. Elle vint à jeter un regard sur tout les gardes, ils étaient tout équipé pour découper son corps, le transpercer. La créature réagissait comme un animal, venant à pousser un espèce de feulement. Elle voulu imposer sa volonté pour obliger les gardes à retourner les armes contre sa proie, mais elle était bien trop jeune et inexpérimentée pour pouvoir hypnotisée ds personnes ayant un mental fort.  Elle ne fuyait pas, désirant boire jusqu'à la dernière goutte le sang royal, une simple gorgée avait suffit à la rendre comme accroc au sang de Lonara.  Elle vint à faire ou mouvement circulaire, projetant de l'eau tout autour d'elle.

La puissance déployée était surprenante, aucune trace que la vampire convertissait le sang précédemment bu en énergie, si ce n'est par la puissance visible sur le coup. Elle profita que l'eau aspergeait le visage des garde pour sauter sur le moins bien protégé, venant à se mettre derrière et planter ses crocs pour aspirer rapidement le sang jusqu'à ce que la victime en meurt, tombant mollement au sol, laissant Camelia arborer un visage avec les lèvres et le menton imbibé de sang. La quantité de sang n'était pas suffisant pour la créature, regardant toujours la reine, comme une un félin regardait une souris. La situation devenant de plus en plus difficile, elle fit un choix totalement idiot. Sa motivation ? Boire le sang de la reine. 

Elle vint à charger de nouveau, mais cette fois ce fut la reine qui était ciblée, aucune feinte, aucune intelligence dans cette agression, elle était droite, la vampire voulant simplement abreuver sa Soif, comme une bête souhaitait combler une faim qui lui tiraillait les entrailles.

Elle n'avait rien à voir avec les vampires "nobles", ceux qui avaient gardé une certaine humanité pour se fondre dans la masse. Camelia cédait totalement à ses instincts, étant bien plus proche de ses vampires dégénérés, misant tout sur leurs puissances en tant qu'être de la nuit.  Autant dire que ce genre de vampire, à défaut d'avoir une bonne intelligence, restaient des adversaires redoutables, pouvant sacrifier aisément un bras ou une jambe pour attraper une proie, même si charger vers la reine avec les autres gardes autour était terriblement débile.

3
One Shot / Re : Le prix de l'affront[PV]
« le: samedi 27 août 2016, 00:40:44 »
La ville paisible d'Ancaria venait accueillir, il y a une semaine, une étrangère. Une jolie brune, ayant les cheveux qui tombent au niveau des épaules. une tenue prouvant une certaine richesse était dissimulée sous une cape de voyageur, pouvant permettre de faire passer l'étrangère comme une femme de basse classe. La femme se nommait Camelia Roserine et était issue d'une famille marchande. Elle était humaine , il y a de cela un mois, ayant fait la terrible rencontre d'un vampire, qui vint à la transformer en un de ses camarades de la nuit. Si elle ne fut pas consciente de sa nouvelle vie, elle fut très rapidement sous l'emprise de la Soif, cette envie de vouloir du sang, toujours plus de sang. 

Ne pouvant lutter contre cette pulsion, faute d'un vampire pour la cadrer, elle vint rapidement à ne plus exister que pour assouvir sa pulsion sanguinaire.  Avant d'entrer d'entrer dans la cité, Camelia avait saigner un troupeau entier, laissant les paysan suspecter qu'une meute venait de s'abattre sur le pâturage et qu'il n'y avait pas grand chose à faire.  Le soucis était que la vampire n'avait aucune notion d'économie, dépensant sans cesse l'énergie du sang acquit pour se cacher des humains, des humaines dans le cas de cette patrie refusant toute présence masculine. Cela faisait donc une semaine, qu'elle n'avait pas bu une goutte de sang, étant assoiffée, désirant ardemment se délecter du liquide vermeille.  Elle avait tout les symptômes d'une personnes en manque, ayant du mal à respirer, ses doigts s'agitant de manière frénétique. Ses derniers se mirent à se figer, quand Camelia passe près des thermes, sentant une odeur excise, une odeur encore plus forte et savoureuse que les autres humains qui passaient à côté d'elle.

Elle vint à passer par l'entrer, demandant à passer. Elle fit usage, de façon inconsciente de la capacité d'hypnose, la femme ne pouvant que céder à ce pouvoir amplifié par sa soif. Camelia ne prit pas le temps de défaire ses vêtements, elle avait trop soif, elle devait étancher sa Soif dans le sang de cette odeur si enivrante. Elle n'eut aucune difficulté à trouver l'endroit à la reine prenait du bon temps, venant à petit pas et venant étouffer tout cris de sa main ganté, alors qu'elle forçait pour libérer le cou, plongeant ses crocs dans la peau royale et venant se délecter lentement du sang  de Lonara. L’agression était rapide, la force vampirique étant reconnaissable, ainsi que la morsure ,quand on en était la victime.

Camelia n’avait jamais goûté à un sang royal et était tombée, chaque fois, sur des femmes qui se laissait faire, faute de pouvoir offrir de la résistance. La jeune vampire commit donc une très grave erreur en abaissant sa garde, comme le ferait toute bête se satisfaisant de sa proie. 

4
Dictature d'Ashnard / Re : La maison de la bête [PV Silvia Del Casario]
« le: mercredi 24 août 2016, 19:43:21 »
Silvia ne reculait que par petit bond, comme le ferait un félin, atterrissant souplement, on pouvait sentir toute la tension sur son corps, l'aura qu'elle dégageait était bestiale, aucune haine, si ce n'est une réponse à une situation agressive où sa vie était menacée. Là où le corps du Secutor baignait dans flammes, chaque mouvements de la guerrière laissait des gouttelettes de sueurs. Plus la blonde sentait son corps avoir un peu mal devant cette tension excessive, plus elle devenait une bête, oubliant la douleur des gestes rapides pour esquiver les assauts de son agresseur.  L'ouïe de l'humaine perçu l'arrivée de la grosse bête et ses yeux se mirent à luire d'une certaine intelligence, alors que ses lèvres se courbèrent pour dessiner un sourire carnassier. Elle remplit ses poumons et poussa un autre cris, mais moins humain. On aurait presque hésité entre un cris de ralliement ou d'agonie.

La créature géante semblait avoir perçu le cris et se diriger vers la blonde, un de ses bras levé pour frapper. C'est là que Silvia fit preuve de fourberie.

Elle vint à se ruer vers le Secutor, prenant des appuis pour monter sur ses épaules et sauter dans son dos. Le Secutor, aveuglé par sa férocité ou simplement stupéfait par cette attaque qui semblait suicide, ne put éviter l'attaque du monstre, qui vint à le trancher en deux. Ce qui n'était pas étonnant vu la masse de la bestiole dont la taille et la gravité pouvait suffire à faire beaucoup de dégât. L'humaine continuait de courir, serrant des dents, se mordant la lèvres inférieur à sang pour fuir, car la bestiole allai très certainement la suivre, elle qui était blessée, semblait faible par rapport aux autres et donc une proie de choix.

L'humaine n'avait pas le temps de penser à autre chose que survivre, être la dernière chose debout. L'odeur du sang, le bruit des combats acharné, les fracas de l'immenses créatures, tout cela faisait muter la guerrière pour devenir plus mortelle et pousse son corps jusqu'à sa limite. Sa peau était rouge sous la chaleurs des flammes lors du contact avec le Secutor, son corps demandait de l'eau au vue de la quantité de sueur émise. Silvia était une proie, certes, mais une très belle proie.

5
Dictature d'Ashnard / Re : La maison de la bête [PV Silvia Del Casario]
« le: samedi 13 août 2016, 22:04:25 »
La combattante, de part son manque d'armure pouvait voltiger dans ce ballet de lame. Rose pourpre sentait son corps se réchauffer, commencer à transpirer sous l'effort, mais ce premier adversaire était redoutable. Etant la plus faible du duo en terme de protection il était naturel qu'elle soit la cible prioritaire, elle serrait des dents en sentant la dague érafler son épaule, elle devait trouver vite un moyen de se soigner, ce n'était qu'une petite blessure, mais cela pouvait devenir dangereux si elle devait continuer à "danser" aussi énergiquement.  C'est alors qu'elle put porter le coup de grâce, tranchant proprement la tête de l'assassin, son regard fut attiré par la lame qui était reflétée par une source de lumière quelconque. Son esprit n'eut pas le temps de prendre conscience d'avoir fauché une vie qu'il tirait la sonnette d'alarme pour sa propre survie. Silvia du sa survie à une attaque qui surprit les deux bretteurs, une explosion de flamme, par réflexe son corps se mit à s relever, découvrant alors une chose horrible, son arme, une partie d'elle était au sol.

Elle ressentit une vive douleur, son esprit se mit à s'embrouiller, ses yeux montrait un état de panique. Sans faire nullement attention à une possible attaque elle se jette sur son arme, ne gémissant pas sous la chaleur de la lame qui avait emmagasinée une partie de l'attaque de flamme. Sans chercher à réfléchir, elle se jette sur le Secutor et plantait son arme où elle le pouvait. Si Augustus avait été présent il aurait certainement parié à présent sur sa petite fleur qui était dans un état de panique tel, qu'elle arracherait la vie à la première menace qui se présente, tout du moins le temps que le choc émotionnel d'avoir perdu son arme reste. Cet état presque de transe pouvait durer aussi bien une bonne heure que disparaître au bout de quelque secondes.

Si le robot avait analysé les techniques de Silvia, il pouvait tout aussi bien recommencer son analyse. Dans l'état où l'humaine était, la moindre faille était exploitée, ses sens étant maximisés pour être la prédatrice et non la proie, il n'y avait plus aucune  notion d'économie, chaque coups que Sivlia portait étaient là pour tuer à coup sûr, seul sont état rendait assez ridicule les nombreux coup mortel porté sur le Secutor.  Elle vint à montrer d’ailleurs que sa lame pouvait fendre les flammes, dévoilant la puissance cachée de ses muscles. Bien évidement, elle épuisait considérablement ses ressource, le corps ne pouvant tenir sur la longueur une sollicitation tant mentale que physique.

6
Prélude / Re : The White Queen
« le: jeudi 11 août 2016, 18:05:20 »
*Fait un salut respectueux envers cette femme, préférant son côté art-martial, que son côté pouvoir.*

[Bienvenue belle mutante.]

7
Prélude / Re : Akemi, jeune mage amnésique
« le: mercredi 10 août 2016, 21:09:14 »
Je vous salut magicienne, bien que je n'apprécie guère les magiciens.

[Bienvenue petit poney]

8
Dictature d'Ashnard / Re : La maison de la bête [PV Silvia Del Casario]
« le: mercredi 10 août 2016, 02:08:28 »
Silvia observait cette économie, mais pour elle il pouvait y avoir plusieurs explication que la lourdeur de l'armure, l'économie pure et simple dans une série de combats qui promettait de se renforcer en difficulté au fur et à mesure que les corps tomberaient au sol. Elle entendit le bruit de deux lames s'entrechoquant, observant du coin de l'oeil un poignard de lancé, une arme rare en combat, mais existante. Elle ne s'était pas trompée sur le fait que l'assassin était du genre à profiter des faiblesses d'autrui. Elle avait bien vu la bosse, sachant pertinemment ce qui risquait d'arriver si elle se trouvait sous son emprise. Cet instant d'inattention fut payé par un coup qui vint à frapper la Rose pourpre. Elle n'avait put parer le coup, mais serrait des dents pour éviter de montrer un instant de faiblesse.

Son arme devint bouclier, parant le couteau. Silvia ne vint pas à prendre la petite lame, n'étant doué qu'avec sa lame qui l'avait servit pendant plusieurs années. Elle ne fut pas immobile plus longtemps. Prenant une profonde inspiration avant de charger vers l'assassin. Légère et puissante, elle vint à se caler sur les attaques du secutor.  Elle eut l'opportunité de parer un coup dangereux vers le secutor. Le motif de ce geste était de montrer qu'elle et le secutor avaient un adversaire commun, l'assassin. Silvia sentait que l'homme qui l'avait frappé avait un esprit de combattant et méritait de ce fait d'être le second à tomber sous sa lame et préférerait être tranché par lui que se faire violer par l'assassin.

Elle n'avait pas été très attentive à la personne morte, son attention étant surtout concentrée sur l'assassin, le secutor et toute personne à moins de cinq mètres. Elle savait que s'il fallait occire l'assassin rapidement, il fallait aussi prendre garde à ne pas se faire prendre par surprise dans ses angles morts. Silvia observait le secutor, essayant de mettre ses coups peu après, afin d'obliger l'assassin à s'épuiser pour éviter la touche. Elle formait un bon duo, même si cela ne durerait qu'un temps. 

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Dictature d'Ashnard / Re : La maison de la bête [PV Silvia Del Casario]
« le: mercredi 10 août 2016, 00:50:58 »
La Rose pourpre ne portait pas pas beaucoup d'attention à l'écran électronique, non elle avait bien plus important à observer, comme tout ses adversaires, même sans le tableau récapitulatif des participants, elle avait calculée dix-huit participant, elle incluse. Elle put aussi remarquer qu'elle était la seule femelle et l'une des seules personnes en tenue d'Eve. Mais même cette constatation n'avait pas de quoi effrayer la combattante, elle était là pour lutter et survivre, rien de plus, comme elle le faisait tout le temps. Regards d'envie de meutre, regard pervers, les yeux semblaient river sur l'humaine, ce qui était un peu normal au vu de la situation. La blonde entendit le corps et vint immédiatement à avancer d'un pas déterminé, afin de provoquer l'affrontement. Mieux valait prendre les reines de cette batailles, plutôt que de subir. Bien l'en fut car deux adversaires se mirent à vouloir la combattre. Elle détaillait très rapidement ses adversaire.

Le fait de porter une armure était un plus pour encaisser, notamment les coups de sa lame, mais rendait les attaques perforantes plus efficace, du fait de la mobilité qui s'en trouvait réduire par le poids.  L'autre adversaire était dangereux car il avait cette mobilité la Rose pourpre ne pouvait que se méfier de ses lames, suspectant du poison ou pire, une très fine pellicule de cuivre. Elle avait la faiblesse de l'armure, n'en ayant pas et aussi du nombre de lame. Sa situation n'étant pas merveilleuse, elle vint à prendre une profonde inspiration et pousse un cris de guerre en guise d'avertissement. si la blonde semblait frêle, la puissance de son cri n'en fut que plus étonnant, peu de gens pouvant suspecter la puissance vocale de l'humaine. La Rose pourpre n'attendit pas les effets de son cris et prit une impulsion, attaquant l'adversaire en armure, elle ne fit que deux tentatives pour planter sa lame au niveau du cou, afin de la trancher. Pourquoi lui et pourquoi deux attaques ?  Tout simplement car il serait le moins agile, mais le plus dangereux en terme de capacité à prendre les coups, quand au nombre, c'était parce qu'elle ne pouvait donner que deux coups rapide avant de devoir reprendre une posture plus défensssive, dans le cas à l'assassin viendrait à tenter sa chance en voulant la planter dans le dos.

De ce premier escarmouche, elle pourrait au moins juger de l'expérience de la personne dissimulée sous l'armure, ainsi que de la perfidie de l'autre.

10
Dictature d'Ashnard / Re : La maison de la bête [PV Silvia Del Casario]
« le: lundi 08 août 2016, 21:15:53 »
Silvia vint à garder le ruban et se mit à écouter les propos d'Ariman. Elle ne se faisait pas d'illusion sur le fait que l'odeur de la bataille planait en ce lieu, même si cela n'allait pas être précisément ici que le sang allait gicler. Elle mémorisait le nom de cette arène, n'ayant que peu de notion en latin, elle ne put traduire le nom de l'arène, ce qui ne l'aurait pas été d'une grande aide. L'Oblirator parlait d'une des "plus terrifiantes arènes". Le fait que le combat soit à mort ne changeait pas grand chose pour la Rose pourpre, qui savait que dans cette demeure la défaite serait la mort pure et simple. Elle cachait un léger frisson à la nuque, elle allait combattre des monstres, cela pouvait désigner des fous du sang, tout comme de vrai monstre, comme des manticores, cette seconde catégories avaient généralement une pensée simple, mais là était justement le piège, car tout être simple pouvait, sans le vouloir devenir imprévisible.

La combattante ne se sentie pas zélée par le dit privilège, son esprit état déjà focalisé sur le fait qu'il fallait réussir à survivre. Ce que qu'elle avait comprit, l'arène serait un Combat des Rois, une technique qui consiste à mettre un certain nombre de combattant et de les laisser se battre, la règle étant qu'il n'y avait qu'un seul vainqueur. Silvia n'était pas dérangée d'être nue, au moins n'aurait-elle pas de restriction de mouvement avec le tissu, ce qui rendrait une erreur de mouvement plus facilement récupérable. Elle vint à marcher vers l’ascenseur, le bruit des ses pieds nus venant engendrer un faible écho dans la pièce. Vint le sermon sur le fait qu'elle finirait inutile. La combattante en avait conscience, elle ne rougit pas quand on vint à parler de son corps charmant, elle savait que c'est par sa beauté qu'elle avait évité la mort jusqu'à maintenant, ainsi que son talent de combattante. 

Les portes se mirent à se fermer dans le silence. Rose préparait son corps au combat, découvrant la fameuse arène lorsque les portes s'ouvrirent. 

11
Prélude / Re : Des jumelles danseuses
« le: lundi 08 août 2016, 05:10:22 »
*Salut respectueusement les danseuses, saluant au passage leurs talents pour autre chose que le combat.*

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Dictature d'Ashnard / Re : La maison de la bête [PV Silvia Del Casario]
« le: lundi 08 août 2016, 04:07:12 »
La combattante n'eut aucune réaction face au rire d'Ariman, elle n'avait pas à commenter de quelque manière que ce soit les réaction de son maître. Elle vint à hocher de la tête en entendant son nom de guerrière et le raccourcit en Rose, pour montrer qu'elle avait comprit que ses deux appellations seront sa dénomination, sous son pouvoir. La question sur le nombre de tuer fit osciller l'âme de Silvia, même sous son masque elle ne préférait pas y penser, mais il fallait répondre, prenant une minute pour lister toute les personnes mortes sous sa lame, restant droite et froide, malgré le sang qui imbibait ses mains, si ce n'est son corps et son âme.

- 50 mort avec l'approbation de la foule, 30 inévitables et 20 hors de l'arène par nécessité. La liste aurait pu être plus élevée du fait que je combats au moins une fois tout les deux jours et que le maître Augustus préfère garder des combattants humiliés dans la défaite que de perdre de bon combattant.


Silvia devait avouer que bon nombre de fois elle avait eu la vie sauve grâce à un bon spectacle, les spectateur préférant largement un viol que la perte d'une jolie fleur dans l'arène. La Rose pourpre se mit à suivre l'imposant Ariman, ses talons venant jouer une douce symphonie avec les pas de l'Oblirator. La combattante enregistrait la cartographie des lieux, dans le cas où on demande sa présence auprès d'Augustus, son regard se portait sur le moindre détail, chaque statues, colonnes, pavé étaient mémorisée le temps d'être auprès de l'esclavagiste.  L'immense pièce vide vint à faire penser à une arène, c'était un lieu propice au combat, elle sentait cette pièce comme prévu à cet effet.  Quand l'ordre vint à être donné, Silvia vint à défaire sa robe et la poser derrière le trône, tout comme ses talons. Elle ne gardait sur elle que le ruban tenant sa natte enroulé derrière sa tête et son arme.

- Dois-je aussi défaire mes cheveux ?

Elle attendait la réponse pour retirer le ruban ou non, comptant garder son arme avec elle, étant une chose dont on ne pouvait la séparer et dont elle avait la sensation que l'utilité ne saurait tarder.

13
Dictature d'Ashnard / Re : La maison de la bête [PV Silvia Del Casario]
« le: lundi 08 août 2016, 01:11:56 »
Le maître de Silvia appréciait beaucoup Ariman, qu'il considérait comme un client fort intelligent et qui était à chaque fois, une personne ne crachant pas sur l'argent, tant que le produit était de qualité. Il fut surprit devant la demande de location de la blonde, prenant quelque minutes pour réfléchir. Il n'était pas dans les habitudes de la maison de faire une location, mais Augustus était piqué au vif par cette demande, faisant naître une certaine curiosité. bien évidement la somme demandé fut un peu plus élevé que chez un autre esclavagiste, par mesure de précaution et aussi pour "faire un prix" par la suite si Ariman venait à louer régulièrement Silvia. Le paiement ne se fit pas en pièce, Augustus appelant du doigt un scribe qui circulait, ce dernier était normalement attelé aux paris de l'arène, mais faisais l'affaire pour rédiger une lettre de créance, Augustus et Ariman purent avoir un exemplaire, afin que tout deux puissent avoir une trace de la transaction. Augustus n'aurait qu'à aller à l'ambassade pour se faire payer sous dizaine de jours. L'esclavagiste ne désirait pas se balader avec de l'argent en dehors de cette demeure. Le maître de silvia vint à accepter volontiers un serviteur, le geste était purement politique, Augustus n'était pas assez bête pour ne pas savoir se défendre de lui-même, cachant cependant cette facette de lui afin d'être sous-estimé, par ses rares concurrents.  Il salua Ariman avant de venir près de l'arène, afin de miser judicieusement lors des combats, certains riches donateurs suivant son oeil avisé.

Silvia n'eut aucune expression particulière devant Ariman, elle connaissait des esclave-combattant dont la laideur et l'inhumanité apparente se rapprochait de lui. Elle avait le regard dure, froid, comme elle l'était dans les combats d'arène. Face à la demande, comprenant qu'il était momentanément son nouveau maître, elle répondu d'un ton neutre.

- Rose pourpre c'est ainsi que l'on me nomme. Vous pouvez me donner un autre nom le temps que je reste sous votre gouvernance. 


Les propos de la blonde étaient respectueux mais le ton et l'attitude rendait ce respect plus proche d'un soldat suivant les ordre du chef que d'une vraie esclave. Là était une des originalités des esclaves d'Augustus, ils étaient entraîner à suivre les ordres pour protéger son maître, plus que d'être la potiche servant juste de défouloir sexuel.

14
Dictature d'Ashnard / Re : La maison de la bête [PV Silvia Del Casario]
« le: dimanche 07 août 2016, 21:51:00 »
La Rose pourpre avait passé près d'une semaine intensive, non pas à se battre, mais à apprendre quelques règles de bienséance. L'éducation ne fut pas bien difficile, car hormis des techniques de combats et de présentations aux public, elle n'avait pas grand chose en mémoire, si ce n'est quelques bride de son passé, qu'elle cachait par crainte que l'on vienne à les effacer.  Ce fut au bout de cette semaine, qu'lle se fit convoquer par le Maître, ce dernier vint à dire avec franchise.

- Je t'ai choisi car il me faut une compagne pour une réunion. Je t'interdis d'adresser la parole à quiconque sans y avoir été inviter. Je t'ai laissé des vêtement, enfile les devants moi.  

L'humaine vint à s'exécuter, on ne pouvait dire non au Maître et elle ne désirait pas perdre les maigres avantages qu'elle avait acquit le long de ses nombreux combat. Elle vint à se mettre nue et enfila une longue robe rouge. Elle put constater qu'il n'y avait que des talons, rouge eux aussi, elle vint à les enfiler et se tourner vers le Maître. Ce dernier se lève et vint inspecter la blonde sous tout les angles, la touchant, la pinçant, la testant.

- Tu n'as pas demandé pour les dessous, c'est bien, très bien même. Tu devras rester ainsi pendant toute la réunion. Considère que tu seras dans une arène, prête à trancher le premier venu qui viendrait à me blesser.  Par contre ne te défends que si ta vie est en danger. Si une personne désire te frapper ou autre chose, tu devras te soumettre à sa volonté, sauf ordre contraire de ma part.


Ce fut donc accompagné de sa "compagne" que le Maître vint à aller dans la maison de la bête. Il n'y allait pas pour voir les nombreuses créatures, immonde selon lui, se battre dans l'arène. Il ne pouvait nier l'efficacité de guerriers, mais leurs trop grandes soifs de combats aurait nuit à son sens esthétique des combats. Il souhaitait des combattant prêt à tuer, mais surtout apte à stopper leurs gestes quand on l'ordonnait. Sa contribution dans cette maison ? L'envoi de certain de ses guerriers en guide d'ultime punition ou encore de l'exhibition de joli spécimen, comme il allait le faire avec Silvia. Le voyage se fit dans une charrette en bois noire comme le charbon, avec des dorures, le Maître ne cachait pas sa richesse et vint, au bout de trois heures de voyages, arriver à la fameuse maison de la bête, tendant l'invitation et disant que Silvia était un simple produit, ce qui aux yeux des autres allaient certainement être le cas. La blonde suivait de près son maître, son arme sur la hanche droite. Il n'était pas rare qu'Augustus Maximilien amène des produits armé, afin de permettre des exhibitions ou simplement offrir aux amateurs d'armes des produits de qualité à regarder.

Le maître de Silvia vint vers Ariman, nullement intimidé par la stature de la créature.

- Bien le bonjour cher Ariman. Je constate que vous n'aimez guère ce ... spectacle, puis-je vous en proposer un autre qui saurait vous divertir un peu.

Augustus se mit à faire un geste, Silvia venant s'avancer un peu.

- Je vous présente Rose pourpre, elle est encore bien jeune, mais vous pourriez certainement trouver y trouver une utilité. Je veux bien vous la laisser, tant que vous me la ramener en un seul morceau.

La dernière phrase était plus sous la forme d'une boutade, même si Augustus n'avait pas pour réputation de fermer l'oeil sur les personnes amputant ses produits d'un membre

15
- Bienvenue ! Bienvenue pour de 100 ème tournois d'Osiris !  Installez-vous, le spectacle d'introduction va bientôt commencer !

L'arène avait subit d'importante modification, quelques mois avant le tournois, de nombreuses guildes furent appelées, notamment dans le cadre de la construction. L'arène avait jailli de sa cachette, étant un magnifique Colisée. Les cellules furent dispersé dans les sous-sol de l'infrastructure, les esclaves ayant trouvés grâce aux yeux du Maître de l'arène avaient des cellules plus spacieuse. La pierre était de qualité, tout comme les places des spectateurs, ayant des coussins pour les plus délicats. De nombreuses cuisines avaient été aménagés, comme il y avait eu un lourd recrutement de cuisiniers. Des sommes faramineuses avaient été investit pour acheter des esclaves féminin de grande beauté, ainsi qu'engager des gardes de la guilde des assassins pour prévenir à tout débordement. une garnison entière de gardes impériaux avaient été loué pour permettre d'endiguer une possible rébellion. La nourriture de qualité avait été transporté par des bateaux pour permettre un approvisionnement de mets délicieux en masse.

Dans tout Ashnard le tournois était le sujet de conversation, que cela soit les esclaves ayant des qualités aux combats et physiques, le Maître de l'arène qui était un véritable tombeur ou encore la prime de ce tournois, qui s'élevait à 50 pièces de platine. Les motifs étaient nombreux pour venir observer ce tournois.

Pour les personne désirant participer au tournois, une somme minimum était demandé, 5 pièces d'argent. Autant dire que cette somme était assez facile à obtenir, ce qui posait problème était surtout le contrat à signer en même temps, stipulant qu'aucun contrat d'assassinat ou décret impérial ne pourra être fait si le participant venait à mourir. Pour les habitués, ils savaient que le possesseur des esclave voulait des combats intéressants et que le risque de mourir obligeait les combattants à se donner à fond. Il ne désirait pas voir ses faux combats comme il pouvait en observer dans d'autres arènes. Les participants devaient par la suite suivre des druidesse qui vérifieraient leurs états et marquerait des détails, comme les armes emmenés et les magies utilisable, le tout à l'abri des oreilles indiscrètes.

Une fois les inscriptions clôturées, la cérémonie d'ouverture pouvait commencer.  Le Maître de l'arène se mit à se lever de son trône rouge et jaune, dans un style très romain. Il vint à faire quelques mouvement de l'index, lançant un simple sort d'amplification de voix.

- Bienvenue pour le centième tournois d'Osiris. Je me nomme Augustus Maximilien, chanceux possesseur de cette arène qui vous offrir plaisir et sensation forte. De mignonnes esclaves en robe blanches seront là pour vous servir. Les esclaves rouge circuleront pour prendre les paris qui se clôtureront une minute avant l'entrée des combattant . Il vous sera demandé de ne pas voler ou entraver le travail des esclaves sous peine de sanction.

La dernière recommandation était bien plus qu'une menace, les gardes et les assassins avaient comme ordre de se débarrasser de tout gêneur, il s'agissait d'un lieu qui avaient tout de même des règles à respecter.

Quatre grillages, située à chaque point cardinaux, se soulevèrent dans un bruit qui fit frémir les spectateur qui se turent tous. 

- Nous ouvrons le tournois avec une exhibition de quatre de nos combattants. Venant de la porte Ouest, nous avons Akarim, le plus vieux de nos combattant encore en vie. 


De la dite porte jaillit un homme qui avait les traits du temps sur son visage, sa chevelure et sa barbe étant blanche. Son corps n'était pas décrépit, on pouvait sentir tout la puissance et l'expérience dans ses gestes. Il portait une armure en cuire, avec des épaulières et des genouillères en fer, sa cape blanche volant sous le léger courant d'air circulant sur la zone de bataille, qui était un banc de sable encore blanc de toute souillures. Le vieux combattant avait une rame assez atypique, une épée émoussée où jaillissait des effluves magiques, une arme enchantée, ce qui n'était pas interdit. Il vint tranquillement vers le centre de l'arène et attendit la prochaine annonce.

- De la porte Nord nous avons Azuka, un de nos rares combattants montés.
 

Quelques seconde après la phrase, des bruit de sabots se firent entendre et un bel étalon brun surgit à toute vitesse, monté par une homme équipé d'une armure japonaise en cuir, avec des protections en plaque de fer, il portait un simple katana à la hanche. Le combattant se mit à faire deux tours, montrant la vitesse de sa monture, sans trop tirer dessus, avant de le faire trotter et se mettre à côté, faisant cambrer sa monture qui salut le Maître.  L'homme sur la monture ne fit pas de salut, attendant, comme son prédécesseur le bon moment.

- Il plait beaucoup aux demoiselles et il participera à ce spectacle, Tranche Herbe !

Un joli adolescent à la chevelure d'un brun très clair vint à passer la porte Est, causant un déchaînement chez certaines femmes qui se mirent à l'appeler. Il portait une tenue militaire, mais ce qui attirait surtout le regard était une simple dague. On pouvait très aisément soupçonner qu'il avait un atout dans sa manche et que la fourberie serait son style.  Comme pour répondre à cette question silencieuse, il vint à se téléporter à côté du cheval qui ne bronchait pas.

- Et enfin ! Beaucoup l'attende. Elle est aussi belle qu'une fleur mais possède des épines mortelles. La Rose pourpre !

De la porte Sud vint à apparaître une magnifique blonde, avec une robe rouge avec des dorures, laissant voir un sous-vêtement blanc sous le tissus semi-transparent blanc qui couvrait le devant de sa tenue.  Elle portait des bottes de combats, avec une fine pellicule d'or. Tout était fait pour la rendre noble et sublimer sa beauté. Mais cette tenue était aussi faite pour donner un aspect d'allumeuse, le dos étant partiellement découvert et laissant voir la début de la raie des fesses. Cette fois ce fut les hommes qui étaient en effervescence, mais al combattante rejoignit les trois autres combattant.

- Pour cette exhibition nous ne laisseront par les spectateurs décider du sort du perdant. Il s'agit d'une simple exhibition, il faut savoir ménager vos futurs adversaires.

Le Maître vint à s'asseoir et les combattants levèrent ensemble leurs armes en criant.

- Que nos lames ravissent vos oreilles !  Que notre sang émerveille vos yeux ! Que notre mort attisent vos applaudissements !


Un sont de cors se fit entendre et les combattants se placèrent pour combattre. Pour des personnes expérimenté, on pouvait voir que ce combat était tout de même d'un bon niveau. Les coups étaient là pour tuer. L'expérience des combats, la vivacité de la monture, l'agilité assassine ou encore des réflexes de parades permirent d'éviter que les coups n'assènent de grave blessures. Le combat se fini au bout de dix minutes, le vieux avait gagné, la seule femme du groupe avait terminé deuxième, le combattant monté avait dû rapidement courber l'échine pour ne pas blesser sa monture. Les combattants reprirent la place de leurs cellules, recevant des soins magiques pour récupérer rapidement, ils reçurent des boules noires riches en vitamine, efficace bien qu'ayant un goût infecte. Silvia ne plissait pas du front, elle était, comme les autres, habitué à cette mixture, pouvant enchaîner les combats les uns après les autres.

Pour l'esclave combattante, ce tournois n'était rien d'autre que des combats contre d'autres personnes, elle finirait par s'écrouler le soir totalement fatigué, le corps paralysé par les combats, dormant à peine six heures avant de recommencer une journée de combat. Ce mode de vie avait au moins une qualité, elle avait les compétences pour se défendre. Le vieux vint à passer devant sa cellule.

- Ton premier adversaire sera  dans dix minutes, tâche de ne pas perdre trop vite.

Il repartit, laissant Silvia fermer les yeux et se ressourcer. Elle ne devait pas perdre, se faire violer par des étrangers était certainement pire que par des personnes qu'elle connaissait, le réconfort de connaître sans doute la dite personne.

Les combats s'enchaînèrent. Silvia n'eut aucune défaite, enfilant une tenue propre et intacte avant chaque combat. Le Maître n'avait pas lésiner sur les tenues de rechanges, sachant pertinemment que ses esclaves doivent avoir une apparence soignée.  La combattante se mit à prendre quelques minutes pour rester silencieuse quand elle entendit que le combattant monté était mort, ayant rejoint le destin de sa monture. Si beaucoup ne portaient que peut d'intérêt aux autres, une petite partie prenaient le temps de rendre hommage aux esclave mort l'arme à la main.  La jeune femme eut un sursaut en voyant le vieux poser une main sur sa tête.

- Alors petite brindille, toujours là ? Ne perds pas trop de temps à penser aux morts, sinon tu vas les rejoindre trop tôt. Allez c'est ton tour, offre un jolie combat au Maître et tu pourras certainement demander à dresser une tombe dans une cellule libre.

Silvia vint à se redresser, enfilant son masque de force, changeant du tout au tout. Elle vint à enfiler sa tenue, prenant en toute fin son arme. Elle attendit que l'on annonce son nom de combattante et que les grilles s'ouvrent pour entrer dans l'arène, sous l'acclamation de la foule.  Elle vint à tendre sa main droite, tenant l'arme, vers le ciel, comme désirant pourfendre cette mer lointaine, avant de saisir l'arme à deux mains et se mettre en posture de combat. L'épée était légèrement inclinée vers le ciel, une posture assez proche des chevalier, mais là s'arrêtait la ressemblant, son épée ondulée, sa tenue et sa façon d'être était différente. Elle ne comptait pas attaquer la première, devant en savoir un peu plus sur le style de cet homme. L'esclave sentait qu'il était différent, elle ne savait pas en quoi,d d'où une plus grande méfiance.

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