Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Grëtta Frau Strasse

Pages: [1] 2
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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: lundi 13 novembre 2017, 19:13:18 »
Le regard haineux de cette jeune princesse avait quelque chose de terriblement excitant, aux yeux de Grëtta. Oui, plus elle la haïssait, plus elle s’en réjouissait. La haine aveuglait les gens et les empêchaient de voir correctement ... Alice ne sera pas une exception. Néanmoins, elle n’était pas contre un peu plus de résilience de sa part car, mine de rien, Grëtta aurait bien envie de réellement s’envoyer en l’air avec. Mais, chaque chose avait son temps. Elle retira ses doigts de sa bouche puis tapota doucement sa joue, un sourire satisfait aux lèvres. « C’est très bien, petite princesse. Je pense que maintenant tu as réellement compris les enjeux, on peut passer à l’étape suivante. » Déclara-t-elle sans plus, tout simplement. Qu’était-ce donc l’étape suivante ? Profiter de la position de faiblesse d’Alice pour amorcer son avenir. Son devenir au sein d’Herzeleid.

La rendre folle. Et pour cela, il n’y avait pas beaucoup de moyen à Herzeleid ; le sexe, et la violence. Alice s’apprêtait – de force – à devoir vivre avec cela quotidiennement. Grëtta avait un petit programme pour elle, et il était temps de le commencer. Néanmoins elle ne souhaitait pas s’encombrer des réticences et relents renégats d’Alice, et de ce fait, elle saisit un petit appareil muni de deux broches, puis s’approcha à nouveau de sa prisonnière. Elle lui sourit de manière sadique, puis colla les broches contre son cou. « Bonne nuit, mon amie ! » Dit-elle, avant d’activer l’appareil de force. Il ne s’agissait ni plus ni moins d’un taser ayant pour but d’assommer la victime. Grëtta n’hésita guère à en faire usage pour endormir de force Alice, afin qu’elle ne se débatte pas. Afin qu’elle se réveille directement prête pour la suite du programme.

Le corps inerte de la princesse tomba mais, Grëtta la rattrapa puis la porta à bout de bras. Elle s’adressa aux gardes devant la lourde porte de cette sale, leur ordonnant de préparer la cellule. Ce n’était ni plus ni moins qu’une sorte de salle capitonnée, bien qu’il ne s’agissait pas tout à fait d’une prison. C’était une salle meublée, de manière assez ordinaire, mais où tout rappelait Herzeleid. Les couleurs, les matériaux, et même l’odeur. L’idée de Grëtta était de plonger Alice, de gré ou de force, dans l’esprit Herzelois. De lui faire faire ce qu’une Herzeloise doit faire ... Quitte à lui forcer la main. La forcer à se conduire comme une de celles qu’elle déteste autant. La première pierre fondatrice, Alice la verrait quand elle se réveillerait. Grëtta avait pris le soin de la faire s’allonger dans son lit, mais habillée différemment. Ses vieux haillons déchirés, reliquats d’une robe délicate et purement Sylvandine furent détruit et à la place, la militaire veilla à lui faire porter une tenue comme elle apprendrait à les aimer.

Sa nouvelle tenue - sans couvre-chef - était un uniforme Herzelois typique, qui avait la particularité d’être indéchirable – une qualité intrinsèque au latex. De plus, il n’y avait étrangement pas d’attache ni d’ouverture ... En d’autres termes, elle ne pourrait l’enlever. La tenue était particulièrement moulante et serrante, étudiée pour qu’Alice manque constamment d’air, suffisamment pour qu’elle ne suffoque, mais trop peu pour qu’elle réfléchisse à 100% de ses capacités. Chaque mouvement, chaque respiration et chaque pas ferait crisser doucement sa tenue. A cela, s’ajoutait une longue paire de bas en latex noir, enrobant et serrant ses fines jambes intégralement. Pour finir, une paire de hauts-talons l’attendait au pied de son lit. Le tableau aurait pu être parfait et s’arrêter là ... Mais, Grëtta n’était pas assez folle pour laisser Alice sans protection.

En effet, la dernière pièce du puzzle sera un collier en cuir particulièrement rigide et solide, qui possédait un anneau. Pour qu’on y attache une corde ou une laisse. De quoi maintenir Alice sous contrôle ... En attendant, Grëtta était là à côté, attendant qu’elle se réveille, la regardant, l’admirant avec insistance.

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: dimanche 22 octobre 2017, 14:57:18 »
Folle à lier ? Elle ? Ô que oui ! Mais Grëtta n’était pas une exception à la règle car tout le monde à Herzeleid pouvait être qualifié de fou. Alors qu’en fait, c’étaient bien les autres qui l’étaient. Car une nation avait une philosophie de vie très différente alors elle était folle ? C’était une attitude typiquement Sylvandin, cela. Grëtta reconnaissait bien l’arrogance et le mépris de ces gens envers ceux qui ne répondaient pas à leurs standards. Mais aujourd’hui, ces standards n’étaient plus ! Ces beaux Sylvandins venaient de se faire extraire de la surface du globe, par la plus puissante et féroce armée jamais mise au point. La victoire d’Herzeleid était triomphante et la princesse Korvander allait en faire les frais. Pour cela, Grëtta avait d’abord pensé à la torturer physiquement, via des moyens conventionnels. Electrodes, pinces, etc.

Mais elle s’était rendu compte que la fierté mal placée d’Alice allait l’empêcher de persévérer sur cette voie. Il fallait un moyen où la princesse, peu importe ce qu’elle ferait, ne pourrait rejeter les sensations. Mine de rien la douleur était la sensation la plus facilement digérable. Non, il fallait autre chose ... Le plaisir. Il fallait qu’elle excite son corps et ses sens, qu’elle l’oblige à se sentir humiliée, bafouée, déshonorée. Pour cela, si elle jouissait entre les mains de l’ennemi et, qui plus était, entre les mains de Grëtta, ça serait un bon départ. Ce fut pour cette raison que la soldate avait sèchement sodomiser la princesse dans un premier temps, afin de bien la préparer, puis qu’ensuite elle avait déferlé sur elle, entre ses cuisses, jusqu’à la faire jouir.

Alterner entre douceur et cruauté, c’était une stratégie qui marchait. Grëtta le savait et l’appliquait pleinement alors qu’elle sentait enfin la délicieuse mouille de la princesse couler contre son visage. Ses couinements et sa petite voix cristalline s’élevèrent alors que ses muscles se crispèrent, et tout cela, dans la plus grande satisfaction de l’Herzeloise. Il était dur pour la militaire de prendre au sérieux cette femme ... Même quand elle s’énervait, son aspect demeurait charmant, inoffensif, mignon. Il faudrait briser cela à un moment ou un autre mais, en attendant, Grëtta comptait bien profiter de cela. Ainsi, la militaire finit de lécher copieusement la mouille sur les pourtours de sa féminité, terminant en un beau et langoureux baiser dessus. Elle fit papillonner ses lèvres sur l’intérieur de ses cuisses, donnant de savoureux coups de langue avant de finalement se redresser.

« Gut, gut ! Tu ferai une épouse d’exception pour notre Reine ... Hahaha, ce n’est qu’une question de temps, petite princesse. Tu ne pourras pas lutter contre ton propre corps bien longtemps. » Lui déclara-t-elle, d’une voix douce mais persuadée. Grëtta la fixa puis, de sa main gantée de latex, caressa lentement sa joue. Elle glissa sur sa fine peau nacrée, décalant son pouce pour venir effleurer les lèvres de la princesse. La jeune femme avait senti le fétiche d’Alice pour ce genre de matière, tel que le cuir et le latex. Et, tout naturellement, elle comptait copieusement en profiter. Elle approcha son visage, ses lèvres effleurant celles d’Alice, sans pour autant prendre le risque de complètement l’embrasser. « Tu es une perverse, une petite vicieuse, Alice. Tu recèles de vices en toi, mais tu refuses de les faire sortir, de les vivre au plein jour. Ce n’est pas la philosophie d’Herzeleid et, crois-moi, que tu vas t’adapter. » Dit-elle, caressant du bout de ses doigts sa petite joue. Espérant profiter de l’état d’Alice, qui venait de jouir et donc de se soulager, la militaire tenta une approche risquée en venant caresser ses lèvres de son index ganté, avant de doucement, lentement, l’introduire pour qu'elle racle les derniers reliquats de mouille dessus.

« Lèches. » Ordonna-t-elle d’une voix ferme, mais sensuelle. Et pendant qu’Alice ferait ce que bon lui semblait de faire avec cet index, Grëtta lui précisa quelque chose. « Plus tu seras sage et coopérative, plus on te laissera les mains libres. Plus tu seras docile et obéissante, plus je serai douce et ... Attentive. Sinon, je redeviendrai ta bourrelle, et je tuerai un à un les derniers représentants de ton chien de peuple, avant de m’attaquer à tes derniers dragons. As-tu compris ... Mein lieber ? » Lui dit-elle, d’une voix feutrée.

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: samedi 30 septembre 2017, 20:14:16 »
Le fait que la princesse se refusait de jouir était anticipable. Grëtta s’attendait à tout genre de réaction, d’auto-défense dans ces circonstances. Alice ressentait du plaisir mais refusait de l’accepter. Elle combattait son propre corps et ses émotions et ça, c’était quelque chose que Grëtta adorait ; car c’était une preuve que lentement mais surement, Alice succombait. Elle avait noté que la sodomie avait particulièrement bien marché, mais que les caresses et les baisers sur son cou aussi. L’Herzeloise comptait joindre l’utile à l’agréable, c’est-à-dire briser la volonté d’Alice tout en profitant de son corps. Lui montrer que se soumettre à Herzeleid ce n’était pas seulement se mettre à adorer souffrir, à adorer détruire et saccager le monde, mais aussi à goûter à des plaisirs et des pulsions charnelles des plus sauvages et fortes qu’elles soient. Le culte de la luxure, en quelques sortes.

Grëtta avait très fortement envie de l’embrasser et de lui rouler des pelles mais, même dans son état actuel, elle ne lui faisait pas confiance. La douleur était encore un peu trop présente pour se risquer à se faire mordre de nouveau. Après avoir copieusement jouit et rempli l’anus d’Alice de sa délicieuse crème, la militaire, continua de jouer de son sein et de sa féminité. Tout en continuant également de couvrir son cou et son épaule de délicates attentions, contrastant avec toute la sauvagerie et la brutalité dont elle avait fait preuve jusqu’à présent. « Herzeleid a tant à t’offrir, Alice ... Imagines seulement un monde de luxure, de plaisir ... Un monde où tu pourras laisser libre court à ton for intérieur, sans te soucier de ces notions idiotes que sont le bien et le mal ... C’est ça, Herzeleid, contrairement à ce que tu peux croire. » Dit-elle, tout en sachant pertinemment que ça n’allait pas spécialement convaincre Alice.

Mais c’était dans sa politique de matraquage. Après tout, l’objectif était bien de corrompre cette femme, d’en faire une pure et fière Herzeloise, qui se retourna sans pitié contre celles et ceux qui furent les siens autrefois. Et surtout, celle qui tuera de ses propres mains son mari, qui était toujours en cavale à l’heure où sa femme se faisait sodomiser par Grëtta. « Tu penses que je suis un monstre ? C’est parceque tu ne veux voir qu’un seul côté de la pièce, chérie ... Mais, j’ai tout mon temps pour te montrer la réalité, la vraie. » Déclara-t-elle, avant de s’écarter. Puis, elle força Alice à se remettre debout avant de la saisir fermement, pour la soulever. Curieusement, Grëtta ne prenait pas de mesure pour l’étouffer ou la contraindre physiquement ... Juste elle se contentait de la soulever, pour la poser sur l’établi à côté. Alice assise dessus, Grëtta se mit à genoux devant de manière à avoir son visage pile poil devant son sexe.

Fermement et avec poigne, elle posa ses mains sur les douces cuisses de la princesse pour prendre appui – et les forcer à s’écarter – puis fourra tendrement son visage, se mettant à lécher docilement la féminité d’Alice. Grëtta pressa très tendrement sa langue contre la perle intime de la princesse, la provoquant de toute part, avant de se remettre à lécher à pleine langue sa petite fente luisante de mouille. Puis, finalement, après un regard jeté à Alice, l’Herzeloise fourra onctueusement sa langue et se mit à remuer en Alice. Visiblement la militaire comptait offrir un puissant et terriblement langoureux cunnilingus à sa prisonnière ... « Jouit, petite princesse ... Jouit, abandonnes-toi, arrêtes de lutter ... » Dit-elle entre deux coups de langue.

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: samedi 09 septembre 2017, 14:22:05 »
Plus Alice se débattait et contestait son traitement, plus Grëtta prenait un malin plaisir à le lui infliger. Après la fellation, l’heure était venue à la sodomie ! La militaire comptait bien prendre sauvagement la jeune princesse par derrière, pour plein de raisons différentes. D’une car c’était extrêmement jouissif. De deux, cela n’allait qu’aggraver la situation d’Alice qui était déjà bien souillée rien qu’en étant entre les deux de Grëtta. La lieutenante n’en avait que faire de ses réclamations, de ses cris ou de son désir de mourir. Jamais elle n’allait commettre l’erreur de la tuer, ça serait trop facile. Et d’autre part, ce n’était pas ce que voulait sa Reine. Alice devait obéir, se soumettre, devenir l’une des leurs. De gré ou de force. Grëtta n’avait pas totalement exclu l’idée, en dernier recours, de lui trifouiller la cervelle à coup de courant électrique.

C’était des méthodes efficaces et ayant faites leurs preuves mais, pas sans douleur ni séquelles. À utiliser qu’en cas de grande nécessité. Mais heureusement pour Alice, celle-ci n’avait pas encore franchi la limite. Elle en était encore au stade où elle se faisait malmener, torturer et violer afin de briser son esprit. De son côté, Grëtta l’enculait toute joyeusement, rentrant et sortant sa puissante queue de ses entrailles sans perte de rythme. « Hmmm ... Haaaa quel cul ! Mein Kaiserin sera très contente de pouvoir ... Haaaaan ... De pouvoir t’enculer à son tour ! » Déclara-t-elle avec un sourire carnassier, assénant une belle gifle aux fesses toutes rouges de la princesse. Néanmoins la soldate voyait bien qu’Alice luttait contre son propre corps. Que ce soit ses ongles qui se plantaient dans le sol, ou son corps qui se crispait, luttant contre le plaisir forcé de cette sodomie.

Pour le moment elle la prenait en levrette, mais elle finit par désirer autre chose. Elle finit par vouloir empêcher Alice de trouver le moindre répit, et pour cela, elle adopta une toute autre position. Continuant de la sodomiser sèchement, Grëtta tira sur les bras d’Alice pour la faire se redresser. Les deux femmes furent donc à genoux, avec l’Herzeloise collée dans le dos de la Princesse, ses seins frottant ses omoplates. La militaire lécha langoureusement le délicat cou de la noble, puis la retint en position en venant passer ses bras devant. Plus précisément, elle vint poser fermement une main sur l’un de ses seins, puis une autre main au niveau de son sexe. De concert, la lieutenante se mit à pincer son jeune téton, et à doigter tendrement sa féminité.

En d’autres termes, Alice était prise de partout ! De son intimité jusqu’au cou, en passant par ses petites fesses et ses seins. Grëtta mordilla la peau de son épaule et continua de lécher, sans jamais trop approcher de son visage, afin de ne pas la laisser lui cracher dessus ou la mordre. Après un déluge de coups de butoir, de claquement de testicules contre ses fesses, Grëtta râla un grand coup puis serra des dents alors qu’elle se mit à jouir. Sa trique expulsa une très généreuse salve blanche, un petit torrent de foutre qui vint onctueusement fourrer les entrailles d’Alice ! Et pendant qu’elle était en train de jouir, en train de profiter de son orgasme, elle continua de la sodomiser de toutes ses forces tout en doigtant sa féminité. « Haaaaa ! Oui, OUIII !!! » Couina-t-elle alors, un sourire satisfait aux lèvres.

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: dimanche 20 août 2017, 15:07:30 »
Tel un déjeuner bien copieux, la violente réaction de la princesse déchue rassasia Grëtta. Elle sentit un plaisir inouïe et malsain à la voir lui hurler dessus, à voir ses yeux s’embuer et sa gorge se nouer alors qu’elle cracha toute sa haine envers Grëtta. L’Herzeloise était satisfaite, réellement. Elle laissa néanmoins Alice parler et se défouler, la regardant d’un air amusé. Elle avait posé son pistolet sur une étagère et là, elle restait silencieuse, occupée à essuyer le sang impur de sa victime sur sa verge. Les sangles retenant Alice étaient solides, mais quand bien même parvenait-elle à s’en défaire ... Grëtta n’aurait nul doute quant à sa capacité à maitriser cette petite furie. Elle la laissa vociférer dans le vide, mais elle finit par reprendre la parole à un moment donné. « Tu seras morte, une balle dans la gueule bien avant d’avoir posé tes mains sur mon cou. Tu es faible, Alice. Tu ne peux rien faire, et tu n’as plus tes hommes de pailles pour faire le sale boulot à ta place. Si tu étais capable de faire quoique ce soit, tu aurai sauvé ton royaume, mais ce n’est pas le cas. Rends-toi à l’évidence ! » Déclara-t-elle.

Néanmoins, la militaire avait noté qu’il serait une bien mauvaise idée de fourrer sa trique une nouvelle fois dans la bouche d’Alice. Elle ne comptait plus le faire de sitôt, mais avait en revanche de bien meilleures idées. Grëtta s’approcha de sa proie puis la dévisagea, prenant toutes les précautions nécessaires pour pas se faire mordre. « Je n’arrêterai de tuer tes gens que lorsque tu te soumettras ... Et je vais te faire un petit aveu ; nous n’avons pas que des gens. » Lui déclara-t-elle, un air vicieux dans la voix. Elle n’allait pas tout lui révéler mais, Herzeleid était parvenu à capturer quelques dragons ! Ces précieuses créatures si chères et si valeureuses aux yeux de la princesse. Néanmoins et pour le moment, elle n’allait pas lui révéler cela. Grëtta soupira puis, l’air de rien, passa des fers aux mains et chevilles d’Alice, avant de la détacher de ses sangles.

Prenant toutes les précautions nécessaires, la militaire la fit extraire de la table mais la poussa aussitôt au sol, posant le bout de sa botte en latex sur son cou. Grëtta reluqua son corps et plus particulièrement ses fesses, vu qu’Alice était couchée sur le ventre, à même le sol. La militaire était bien décidée à abuser de son corps jusqu’au bout avant de passer à autre chose, et elle recommença donc en forçant la princesse à se cambrer. Elle agrippa fermement ses hanches et les soulevèrent de force, approchant finalement son juteux membre de sa raie. « Ça va faire très mal, petite catin. Mais je suis sûre qu’une bonne déchirure anale va te calmer ! » Lui déclara-t-elle, frottant tendrement son membre. Faisant fi de toutes ses réclamations, Grëtta se pourlécha les lèvres puis appuya fortement, enfonçant son énorme membre dans ses parois très étroites, ce qui procura autant de douleur que de plaisir à la militaire.

« Hmpf, putain t’es étroite ! » Déclara-t-elle-même, alors qu’un râle s’échappa de ses lèvres au moment où elle termina sa course, ayant enfoncé la totalité de sa matraque.

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: mercredi 02 août 2017, 15:56:24 »
Taper sur la conscience d’Alice s’avérait donc un bon moyen de pression. Mais Grëtta ne se faisait pas d’illusions ; elle ne pourrait pas exploiter cette faille à son bon vouloir. Viendra surement un moment où la princesse parviendra à faire fi de tout ceci tant que cela signifierait préserver sa dignité. Mais si ce moment arrive, alors Grëtta en sera bien ravie car cela signifierait que la petite princesse se voulant noble et vertueuse, aura justement bien perdu virtuosité. Un premier pas dans la déchéance, en quelques sortes. Et si la lieutenante désirait néanmoins que ce moyen de pression reste efficace le plus longtemps que possible, elle allait devoir montrer qu’elle peut tuer sans problème.

Pour le moment, elle ne fit que menacer et cela fonctionna. Le vilain mensonge que lui sortit Alice faillit bien la faire rire, mais seul une grimace satisfaite orna son visage. « Bien. » Dit-elle simplement, repoussant le prisonnier en le jetant comme un sac, à l’autre bout de la pièce. « Toi, tu n’as pas intérêt à bouger pendant que ta reine va me baiser la gorge. Profite du spectacle, sinon ... Ça sera sa cervelle au sol que tu admireras. » Dit-elle, sachant que le prisonnier n’était pas forcément au courant que la princesse ne devait pas mourir. Ceci étant à présent dit, elle braqua son pistolet sur la tête d’Alice, pendant qu’elle ramena de nouveau sa queue. Cette fois-ci elle n’avait pas intérêt à mordre ou à faire quoique ce soit.

Elle en avait le droit, bien entendu. Mais elle devrait subir les conséquences de son acte. Grëtta colla de nouveau sa trique contre ses lèvres puis, finit par introduire sa queue à l’intérieur. « Hmmm ... » Gémit-elle doucement, le pistolet toujours sur sa tête afin de maintenir l’autre prisonnier en joug. Grëtta ne sous-estimait la témérité des Sylvandins, elle prenait donc toute les précautions nécessaires. Enfin, la princesse lui pompait bien la queue et qu’est-ce que ça faisait un bien fou ! Un fourreau royal pour le membre veineux de la militaire qui ondula du bassin pour faire aller et venir sa trique. « Hmmm oui, ça c’est une bonne gorge à pipe ! » Déclara-t-elle, enfonçant alors bien son membre, en entier. Oui, elle désirait étouffer un peu Alice pour la faire souffrir, afin qu’elle prenne rien d’autres comme sensation à part la douleur, pendant que Grëtta, elle, prenait bien du plaisir.

Ainsi donc la militaire explorait la gorge de la princesse, pendant de longues et nombreuses minutes, à couiner et gémir alors que sa verge était de plus en plus lourde et douloureuses. Elle se pinça son propre sein de sa main libre, offrant donc un spectacle des plus appréciables au prisonnier. Même si ce dernier devait être bien trop terrorisé ou affaibli pour ne serait-ce que bander. Au bout d’un certain temps, alors que Grëtta sentait son membre bien luisant et chauffé, elle se mit à jouir. Pressant la tête d’Alice contre elle, son nez touchant son pubis, Grëtta jouit dans sa gorge directement. « Haaaaa !!! » Couina-t-elle alors qu’elle cracha de belles salves de foutre, remplissant l’estomac de la princesse. Elle jouit si généreusement qu’elle retira subitement sa queue, toujours en train de cracher de la semence, et termina le reste à même le visage d’Alice. « Ahhhh oui ... Hmmm ... » Marmonna-t-elle alors qu’elle jouit ses dernières cartouches à la figure de la princesse, directement, maculant son visage.

Quand ce fut terminé, Grëtta retira son sexe et admira alors le spectacle. « Oh, tu es si mignonne comme ça ... Là, avec mon foutre sur ta face ... » Déclara-t-elle, l’air conquérante. Elle tourna ensuite sa tête vers le bucheron puis s’approcha, finissant par braquer son arme vers lui. « T’as aimé ? T’as apprécié ? Je l’espère car, c’était la dernière chose que t’auras vu dans ta chienne de vie. » Dit-elle soudainement, pressant la détente sans aucune hésitation. Grëtta, faisant fi des réclamations de la princesse, vida son chargeur sur l’homme, le trouant surtout au niveau de la tête. Le sang macula le mur derrière lui, alors que son corps mutilé tomba lourdement au sol. La militaire eut un grand sourire satisfait sur le visage, puis revint à Alice, posant son pistolet sur une table à côté. « Tu vois, sale petite pute, c’est ça qui t’arriveras à chaque fois que tu me désobéis. Tu finiras humiliée, trahie et sera forcée de voir tes propres sujets mourir devant tes yeux. » Dit-elle sans demander son reste.

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: dimanche 30 juillet 2017, 01:47:08 »
La militaire commençait enfin à prendre un peu de plaisir dans toute cette histoire, quand elle se mit finalement à enfoncer de force sa trique dans la fine bouche d’Alice. Le précédent baiser avait permis de mettre en situation et Grëtta s’étonnait encore de la façon dont la princesse l’avait laissé faire. Sans doute la surprise, ou bien un plaisir inavoué. En tout cas, la lieutenante avait bien aimé la texture de ses lèvres et reviendrait surement à la charge plus tard. Pour le moment, elle désirait soulager sa douloureuse trique dans sa gorge, de force, afin que les choses soient plus intéressantes ! Elle tirait un certain plaisir à forcer Alice à faire ce genre de choses, elle, la princesse qui se voulait pure et intègre.

Mais elle était bien décidée à mettre des bâtons dans la roue à Grëtta. Elle ne pouvait pas simplement la laisser prendre du plaisir, non. La jeune femme décida de se rebeller, encore une fois, en serrant d’un seul coup ses dents, mordant le membre de la lieutenante. Celle-ci poussa un cri de manière subite et eut soudainement très mal. Et, de la même manière que cet acte lâche fut donné – par instinct – Grëtta réagit de même quand malgré elle son poing partit brutalement se loger dans la face d’Alice, juste après qu’elle put extirper sa trique encore plus douloureuse, désormais. « SALOPE ! » Lui hurla-t-elle dessus, bien plus énervée de se voir refuser sa gâterie que par la douleur. Son membre était si dur et dense qu’au final, la douleur était bien superficielle. Mais pour cet affront, elle n’allait pas épargner Alice sur ce coup.

« Tu viens de commettre une grave erreur, grosse pute ... » Lui dit-elle, ne mesurant plus vraiment ses mots. Elle accourra près de la radio à proximité. Elle saisit précipitamment l’appareil pour communiquer puis, en gueulant, trahissant sa colère, ordonna qu’on lui amène quelqu’un. « N’IMPORTE QUEL DE CES COUILLONS SUFFIRA ! DE SUITE !!! » Gueula-t-elle, raccrochant violemment. Alice pouvait se réjouir de sa réaction, même si à cause d’elle, quelqu’un allait probablement mourir. Grëtta renfila ses gants et ses bottes. La lourde porte s’ouvrit, et deux gardes entrèrent, tenant fermement entre eux un homme, pâle et affaibli physiquement. Ils le jetèrent sans aucune considération, le laissant entre les mains de Grëtta. Elle fit signe, et ils partirent en refermant la porte derrière eux. La militaire agrippa l’homme par les cheveux puis le tira, le jetant à côté de la table où était attachée Alice.

Elle tira en arrière pour faire relever son visage, afin que la princesse puisse bien le voir. Faisant fi des gémissements du prisonniers, ou du fait qu’il était en train de mourir par famine, la militaire décida de passer aux choses sérieuses. Peu importait si cela allait marcher, elle désirait juste nuire et faire du mal à Alice, pour ce coup. Elle savait l’importance qu’elle accordait à son peuple, et cela tombait à pic car, Herzeleid avait fait des prisonniers pour une fois. Grëtta saisit son pistolet et colla le bout sur le crâne du malheureux, regardant alors Alice. « Il a bien la gueule des gens de ton pays celui-là, non ? Ou devrai-je dire, de la nouvelle province d’Herzeleid. Excuse-toi de suite, IMPLORE MON PUTAIN DE PARDON, ou je lui trou la cervelle, à cette petite merde. Il ne vivra que si sa Reine le décide ... Fait donc très attention à ce que tu vas dire. » Déclara-t-elle, prête à tirer et tuer ce bonhomme qui n’avait rien demandé, jusqu’au jour où la guerre avait éclaté devant sa porte, à Sylvandell. La pression dut certainement être un peu trop forte pour le monsieur, puisqu’une désagréable odeur d’urine commença à s’échapper de lui ...

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: samedi 29 juillet 2017, 15:42:01 »
Voir la princesse se débattre vainement, pensant que sa dignité ou sa colère allait la sauver, était si pitoyable mais misérable, aux yeux de Grëtta. Elle ne voyait là qu’une faible s’accrochant à la dernière branche pourrie et cassante qu’il restait à son arbre. La vérité étant que, il n’y avait plus d’arbre, il n’y avait plus rien. L’empire Sylvandell avait été réduit en cendre ; sa famille avait été massacré ; tous ses sujets furent soit tués, soit asservis ; et même si son mari était toujours en cavale, il allait connaitre un bien funeste sort une fois qu’Herzeleid lui aura mis la main dessus. Ainsi donc, voyant Alice se débattre et lui dire qu’elle ne sera jamais son jouet, et qu’en plus, elle faisait ça pour que la reine Liddell fasse torturer Grëtta pour son échec, elle ne put s’empêcher d’éclater de rire. Un rire compulsif, maladif, qui vira dangereusement au rire d’une folle.

Contre toute attente elle arrêta les électrodes. Elle se retourna vers Alice puis, lui sourit vicieusement. « Ma pauvre ... Tu ne sais rien et maintenant, tu tentes de me menacer ? Pauvre conne, mein Kaiserin s’en bats bien les couilles de te voir soumise ou pas. Je dirai même que je te fais une fleur en te permettant de te soumettre ; sa Majesté aurait bien aimé te voir saine d’esprit pour te forcer à faire tout ce que son esprit torturé lui dicterait de faire. Te voir lui servir de paillasson tout en pleurant toutes les larmes de ton corps, te voir fourrer ton visage entre ses fesses et lui lécher le cul tout en sachant que tu ne peux rien faire ... C’est ça, qu’elle désire ! » Lui répliqua-t-elle. Grëtta s’approcha puis, retira les électrodes une à une, sauf celles présentes sur ses tempes. L’idée de stimuler son cerveau pour lui imprimer des messages, ou pour tout simplement la manipuler, séduisait fortement Grëtta, qui avait alors une magnifique inspiration soudaine.

D’un air tout à fait naturel, elle se remit à parler. « Tout compte fait, je vais te violer. Mon pantalon commence à être trop étroit. Mais on va faire ça à ma manière ... » Dit-elle, alors qu’elle desserra certaines manettes pour faire tourner la table à l’horizontal, permettant ainsi à Alice d’être en position allongée. Pour sûr, Grëtta allait belle et bien la violer mais, allait aussi se servir des électrodes sur ses tempes pour stimuler certaines parties de son cerveau. Principalement les parties s’occupant du désir, des sensations de plaisir, etc. Grëtta désirait qu’Alice, malgré toute sa colère et sa dignité, ressente du plaisir à se faire violer ! C’était une première étape afin de briser l’image qu’elle avait d’elle-même. Une fois la table mise en bonne position, Grëtta ne perdit pas plus de temps. Elle retira rapidement tous ses vêtements, les jetant à l’autre bout de la salle. Ainsi nue, son énorme queue se dressa et tirait fièrement vers le plafond, accompagnée de lourds testicules pleins à craquer.

« Au final, que tu te soumettes ou pas, je m’en contrefiche ... Je vais bien m’amuser avec toi, et c’est tout ce qui compte ! » Lui déclara-t-elle. Grëtta s’approcha et fit des derniers ajustements à ses électrodes cérébraux. Son visage s’approcha dangereusement du sien, jusqu’à sentir son souffle se mêler au sien. « Un tel minois ... Quel gâchis. » Dit-elle, avant de subitement plaquer ses lèvres et fourrer sa langue de force dans la bouche d’Alice. Elle sentit beaucoup de résistance mais, ayant simplement plus de poigne, Grëtta parvint à introduire sa langue, et se mit ainsi à chercher celle d’Alice. Pendant ce temps, sa main empoigna fermement l’un de ses seins, qu’elle se mit à malaxer, à pincer le téton entre son pouce et son index. Les électrodes commencèrent alors à envoyer de petits stimulus à certaines parties de son cerveau, de manière très subtile, pour le moment.

Elle finit par rompre le baiser, brisant un beau filet de bave entre leurs lèvres. « Hmm ... Melendil devait bien prendre son pied quand il te baisait ! Et dire que maintenant, il est tout seul, à se demander si sa femme est en vie ou pas ... Il sera bien déçu d’apprendre tout ce qu’elle a enduré rien que pour lui, quand on lui mettra la main dessus. » Dit-elle, léchant alors la joue d’Alice, à pleine langue. Elle se remit debout, à côté d’une Alice toujours allongée et attachée à la table. Néanmoins, pouvant encore bouger sa tête, Grëtta en profita pour approcher son gros enfin de son visage. D’une main elle le tenait, et de l’autre, elle saisit avec rage la mâchoire d’Alice pour la forcer à tourner la tête vers son membre. « Suces. » Dit-elle fermement, ne lui laissant d’ailleurs pas le choix ... La militaire à coller le bout de son sexe contre les fines et douces lèvres de la princesse, frottant bien comme il faut. Si elle n’ouvrait pas d’elle-même, alors, elle allait devoir forcer ...

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: samedi 22 juillet 2017, 16:16:56 »
La réaction de la princesse était tout à fait normale voire même, prévue. Il aurait été très étonnant voire alarmant de la voir succomber du premier coup. Grëtta n’était encore qu’au tout début du processus, et voir Alice se débattre autant lui donnait le sourire ; plus ça allait durer, plus elle allait pouvoir se défouler sur son corps. Elle n’avait pas encore envie de lui fourrer de force sa queue dans sa bouche voire ailleurs, mais ça viendrait. Surement une fois qu’Alice sera bien fatiguée mentalement. En attendant, l’Herzeloise la regarda se débattre et l’insulter, jusqu’à ce qu’elle finisse par lui cracher à la figure. Grëtta se figea, puis porta sa main gantée à son visage, essuyant du bout de son index le mince filet de salive.

Elle le regarda ensuite, puis secoua sa main pour s’en débarrasser. Ses sourcils se froncèrent légèrement alors qu’elle porta sa main à la joue d’Alice, essuyant le sillon de larme coulant à son œil. « Je t’offre des larmes, tu m’offres du crachat. Je vois que je vais devoir m’adapter ... » Dit-elle, avec son fort accent. Grëtta prit inspiration puis, brutalement, cracha à la figure d’Alice. Elle n’y était pas allée de main morte, en plus. « La salope ici c’est toi, tu PIGES ?!  Regarde-toi un peu, regardes ta décadence, regardes comment tu as lâchement laissé les autres se sacrifier pour toi ! Regarde comment ton égoïsme n’a servi à rien ! Tous ceux que t’aimais son MORT, à l’exception de ton putain de mari. » Lui exclama-t-elle, avant de lui asséner une belle gifle sur la joue.

Grëtta n’était pas énervée, loin de là. Mais elle laissant volontiers parler ses émotions afin d’être plus efficace et cruelle envers Alice. Se montrer quelque colérique allait lui permettre de la torturer d’avantage, selon elle. Grëtta saisit subitement le levier régulant l’arrivée de courant puis le poussa un peu plus, intensifiait alors l’effet des électrodes sur les seins et le sexe d’Alice. L’idée de la torturer et de lui cuire le cerveau grâce à des électrodes séduisait grandement Grëtta ; si elle y parvenait alors elle ferait d’Alice une fière servante d’Herzeleid, avec par-dessus tout un mot secret, gravé dans sa mémoire, qui la rendrait toute docile quand nécessaire. C’était un procédé extrêmement douloureux et laborieux mais, si la lieutenante y était forcée, elle le ferait. La militaire regarda Alice gémir de douleur à cause de ses électrodes, qui à force, étaient censées lui procurer du plaisir vu leurs emplacements.

Il y avait aussi la technique de la privation sensorielle, mais ça, c’était beaucoup trop long et doux. Il fallait quelque chose de rapide, cruel et très douloureux. « Tant que tu n’auras pas prononcé 'Hail Herzeleid', je n’arrêterai pas tes électrodes. Pire, chaque minute qui passe j’augmente le courant. Au bout de cinq minutes ... J’active l’électrode cérébrale. » Déclara-t-elle, sérieuse, le regard dur. « Trois mots à prononcer, ce n’est pas grand-chose. » Dit-elle alors, gardant sa main gantée sur le levier, regardant Alice au fond des yeux, de son regard rouge sang, trahissant de sa nature démoniaque.

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: dimanche 09 juillet 2017, 13:51:07 »
Qu’est-ce qu’elle était bien touchante cette petite ... Elle ne voulait pas qu’on fasse de mal à son pauvre mari qui était à l’heure actuelle, en train d’être persécuté au travers tout le pays. Et là, il y avait l’ex-princesse, de là où elle était, qui demandait à l’épargner. Grëtta eut un rictus peu rassurant aux lèvres. « Penses-tu être en position de négocier quoique ce soit ? » Répliqua-t-elle, approchant une petite table à roulette, où gisait bon nombre d’outils dessus. Grëtta se déplaça ensuite, vers une sorte de levier qui semblait réguler une commande ... Celle du casque que portait Alice. Il ne s’agissait ni plus ni moins d’une arrivée de courant électrique, qui allait faire très mal, selon le niveau que Grëtta allait choisir. « On a quelques projets pour cet idiot de Melendil ... Celui de le tuer, par exemple. » Déclara-t-elle, commençant à actionner le levier.

Le courant allait venir progressivement dans le casque d’Alice. Grëtta avait mis juste assez de jus pour lui provoquer un mal de tête permanent, ce qui l’aiderait à mieux briser son esprit. Laissant le levier ainsi, elle repartit vers Alice, puis se saisit d’une pince crocodile. « Et si je le libérais, que crois-tu que ça changera ? Rien. Tu es foutue, et ton mari l’est encore plus. » Dit-elle, venant ensuite attacher la pince au premier téton de la princesse. Elle saisit une deuxième pince, puis en fit de même avec le second téton d’Alice. Cette dernière se retrouva donc la poitrine branchée à une batterie, dont Grëtta avait bien entendu la commande pour réguler le courant. Comme pour le casque, elle décida de mettre un peu de courant pour provoquer une douleur de fond, permanente, à la pauvre princesse.

« Même si ... Aller, je peux te le dire. Tu vas nous servir, en fait. On va s’occuper de toi, petite garce. On va faire de toi quelqu’un, et crois-moi qu’après cela, tu donneras ta vie pour notre chère Reine daigne te laisser lui lécher les pieds. Mais ça, tu ne t’en rendras compte qu’après. » Dit-elle, continuant de ramener d’autres pinces. Sans aucune gêne elle porta sa main vers l’intimité d’Alice, écartant ses fines lèvres pour libérer son petit bouton. Bien entendu Grëtta faisait tout pour la stimuler, pour agiter ses doigts pendant qu’elle cherchait sa perle. Quand elle fut libre, elle amena une pince plus petite et plus adaptée puis l’agrippa à celle-ci. Le courant ne tarda guère à venir, mais il s’agissait d’un circuit différent des autres ; la densité du courant était faite non pas pour faire mal ou endolorir, mais pour stimuler.

« Es-tu prête à servir Herzeleid ? » Dit-elle alors d’une voix volontairement provocante, sachant pertinemment la réponse qu’Alice allait lui fournir. Mais au moins, ça lui servirait d’excuse vite-fait pour lui faire tout ce qu’elle prévoyait de lui faire !

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: dimanche 25 juin 2017, 14:51:06 »
Quelle petite garce insolente et insignifiante faisait cette princesse pourrie gâtée, pensa alors Grëtta en la voyant répliquer ainsi. Elle allait se faire un grand plaisir de lui briser la nuque au moindre faux pas de trop … Mais, ses ordres étaient clairs, la concernant. Malheureusement elle ne devait pas la tuer, ni la mutiler de façon incapacitante, ou amochant. C’étaient les directives de sa reine, qui avait de très beaux projets pour cette petite. La lieutenante sourit en coin face à la réaction de la princesse déchue, qui se fit embarquée immédiatement après par les soldats en armure, qui ne la ménagèrent guère. La prenant par les bras ils la trainèrent vers le zeppelin, puis l’assommèrent d’un violent coup à la tête, suivit d’une bonne décharge électrique incapacitante, provenant d’un des gants à tesla des deux soldats. « Gut, gut. Mettez le cap vers le grub, on a une nouvelle invitée. » Déclara-t-elle donc.

Le zeppelin mit donc le cap vers cet endroit, appelé le Grub, mot Herzelois signifiant mine. La jeune Alice Korvander n’allait pas tarder à comprendre pourquoi, même si le nom était légèrement trompeur. Cet endroit était l’un des principaux repaires de Grëtta, qui s’en servait comme chambre de torture, où elle faisait habituellement parler les prisonniers, les espions ou, plus simplement, s’amusait à expérimenter toute sorte de chose. Alice Korvander allait donc être emmenée là-bas, où une véritable descente aux enfers allait commencer pour elle. Le zeppelin mit un peu de temps à parvenir à l’endroit gardé secret, mais heureusement, la captive ne se réveilla pas. Grëtta veilla personnellement à ce qu’elle soit acheminée à bon port, alors qu’elle termina son voyage dans une grande cellule.

L’endroit était bâtie au fond d’une ancienne mine de charbon. Il faisait chaud, c’était sombre et lugubre. La crasse était omniprésente, autant par la poussière que par les traces de sangs maculant les murs et le sol rocheux. Des lampes anciennes éclairaient faiblement les pièces, dont celle où était Alice. Cette dernière se réveillerait attachée à une table, pieds, poings et gorge liées par des sangles en métal rouillé. La table était en position vertical, la princesse était donc debout, en quelques sortes. Une fois qu’elle était bien en place, Grëtta s’avança dans la pièce ressemblant plus à une infirmerie désaffectée qu’autre chose, puis asséna une puissante gifle à Alice pour la réveiller. « Debout ! » Dit-elle fermement, les yeux froncés. Le sommeil de la princesse fut court et peu réparateur, et cela allait quelque part arranger les affaires de la lieutenante.

« Tu es très mal barrée, petite insolente. Ton sang bâtard fait de toi une impure, bonne à exterminer … En temps normal. Mais vois-tu, j’ai des ordres et … Eh bien, tu dois te faire purifier. Une chance, non ? » Déclara Grëtta, l’air sarcastique. Les choses sérieuses allaient commencer sous peu, tout dépendrait des réponses et des réactions de l’ancienne princesse. « Nous avons tué ta famille. Ton royaume est en cendre, tes armées, tes dragons, réduits en état de charpie. Et ton mari … Cette petite bite n’en a plus pour très longtemps. Il ne te reste plus rien, sauf … Si tu te soumets à nous. » Poursuit-t-elle, enlevant son long manteau pour rester uniquement dans son uniforme en latex. Que ce soit pour outrer Alice ou simplement car la situation l’excitait, Grëtta présentait déjà un barreau solide, qui déformait merveilleusement bien son pantalon. « Tu vois ça ? Dans pas longtemps, tu vas me la pomper. Tu me boufferas la bite et me lécheras les couilles jusqu’à ce que ta langue soit aussi sèche que ton anus, après que je t’aurai enculé pendant des heures. De gré, ou de force. Tu saisi ? » Finit-elle, indiquant son entrejambe, avant de tourner des talons.

Ses fesses bien bombées et moulées roulèrent avec ses hanches alors qu’elle s’avança vers une table à roulette, qu’elle saisit pour ramener avec elle, près de sa victime. Dessus, plusieurs outils chirurgicaux mais aussi, des fioles, des seringues, des marteaux, des pinces et même une batterie. Grëtta avança ses mains pour mettre sur le crâne de la prisonnière une espèce de tenaille en métal, qui se posa sur son front, le recouvrant. La tenaille était reliée à des câbles, partant vers le plafond … « C’est toi qui choisit, hündin. » Finit-elle.

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One Shot / Re : Bad Ending [Grëtta Frau Strasse]
« le: jeudi 15 juin 2017, 21:17:18 »
Plus rien ne serait comme avant. Le visage de ces terres serait changé à jamais, maintenant que le feu de la guerre avait complètement ravagé et détruit la région entière. Plus que cela, cette guerre avait été gagnée, marquant la fin d’une ère, mais le début d’une autre. Une ombre de chaos et de corruption s’avançait sur le monde, se rependant comme une traînée de poudre – à canon. Herzeleid la puissante, Herzeleid la féroce, avait triomphé de ses plus farouches ennemis au terme d’une lutte sans répit ni pitié contre les belliqueux Ashnardien, dans un premier temps. La guerre avait fini par éclater ouvertement, déclenchant alors un affrontement terrible entre les deux royaumes, sous l’initiative d’Herzeleid et de sa folle reine. La grande Alice Liddell, par sa Grâce et sa Malfaisance, avait préparé l’avènement de son royaume depuis tant de temps, dans l’ombre.

Si bien que personne n’avait vu venir l’essaim. Une armée démentielle et sans commune mesure, qui sortit dès lors des murs du royaume pour s’abattre avec rage contre les ennemis d’Herzeleid, à savoir Ashnard, et par extension, ces insectes de Sylvandell. Les tueries s’étaient multipliées et des lourdes pertes furent assénées dans tous les camps … Mais ni la magie Ashnardienne, ni les légendaires dragons de Sylvandell ne purent finalement vaincre contre leur envahisseur venu tout droit du royaume de la folie. Herzeleid marquait l’Histoire avec grand H au moment où elle acheva cette guerre, au moment où elle en devint la grande gagnante, faisant agenouiller ses vieux rivaux à ses pieds. Ce fut à terme de tapis de bombes, de véritable incendie de forêt à coup de napalm aéroporté par les Zeppelins Herzeleois que la victoire était venue.

Des pertes, s’il y en avait eu beaucoup, devinrent bien rapidement négligeable aux yeux des Hauts-Dignitaires quand le goût et la satisfaction de la victoire vint à eux. Parmi ces personnes, il y avait la Lieutenante Strasse, qui avait vaillamment combattue et dirigé des escadrons entiers, ayant causé nombre de dégâts et pertes autant humaines que matérielles chez ses ennemis. Herzeleid pouvait compter sur de bons soldats comme cette femme, mais aussi sur l’appui précieux de puissantes personnes de ce monde … Comme le Roi Cramoisi, et son plus fidèle acolyte ; le magicien Randall Flagg. Tous ces éléments, avec la hargne des troupes Herzeloises, avaient donc permit au royaume de vaincre. Grëtta marchait, victorieuse, dans le dernier bastion de Sylvandell. Bastion qui venait de tomber, et où les troupes d’Herzeleid étaient déjà postées, en train de tuer, violer ou piller tout ce qu’ils trouvaient.

Mais, ce bastion était particulier car … Une personnalité de marque s’y trouvait. La Princesse en chair et en os, Alice Korvander, était là ; et elle venait d’être faite captive, en attendant l’arrivée de la gradée pour décider de son sort. Mais, à vrai dire, Grëtta savait déjà exactement ce qu’elle allait faire. Compte-tenu du passif de cette femme vis-à-vis de sa reine vénérée, Grëtta avait explicitement tenu à venir en personne recueillir la princesse. Elle allait, à terme, en faire une offrande à la reine Liddell, mais avant de la lui présenter, de la lui offrir, il fallait la préparer. Un cadeau, ça s’emballait, après tout, même si la comparaison était faible. Mais toujours était-il que Grëtta avançait, ses lourdes bottes à hauts talons claquant au sol, annonçant son arrivée avec grand bruit. Des soldats en armures lourdes s’écartèrent pour la laisser passer, avant qu’elle ne finisse devant la jeune Alice Korvander.

Dès lors, la jeune femme aux vêtements déchirés et aux joues rouges de larmes séchées, pensa qu’elle pouvait ouvrir ses petites lèvres pour insulter Grëtta. A ses mots, la lieutenante leva furtivement sa main et lui asséna une gifle du revers de sa main aussi douloureuse qu’audible. « Halt's maul, petite catin ! On ne parle pas comme ça à ses nouveaux Maîtres ! » Gueula Grëtta, de son fort accent Herzelois et de sa grande voix. Les choses sérieuses allaient bientôt commencer en compagnie de cette charmante princesse, qui n’en avait plus pour longtemps avec la sainteté d’esprit. Grëtta lui saisit brutalement le menton, levant de force la tête de la femme. « Tu es Alice Korvandërr, et tu es à présent mon petit jouet. Mais je ne suis pas la seule à avoir envie de faire mumuse avec une petite hündin comme toi. Il y a une de tes vieilles amies qui meurt d’envie de te revoir .. » Poursuit-elle, avant de lâcher son menton aussi brutalement qu’elle l’avait pris. « Aller, embarquez-là, direction les geôles. Mes geôles. » Ordonna-t-elle fermement, fronçant du regard.

Grëtta, ayant carte blanche, allait pouvoir faire déferler tout son vice et son mal sur cette pauvre princesse … Qui n’allait pas longtemps en rester une.

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Dictature d'Ashnard / Re : Un contrat juteux [PV : Twilight Sparkle]
« le: dimanche 26 mars 2017, 22:27:01 »
Impossible de décrire le bien fou que ressentait précisément Grëtta à ce moment, alors qu’elle se faisait enculer puissamment. Un mélange de douleur, de plaisir, de soumission, et bien d’autres. La sensation de se faire traiter comme une vulgaire esclave, comme une poupée de chiffon bonne à se faire fourrer couplée à la sensation de servir une puissance supérieure, une entité, une créature fabuleuse et vénérable était l’une des sensations les plus douces et agréables qu’il soit pour Grëtta. Chaque coup de trique, chaque claquement de testicules contre les siennes, chaque soupir était un pur délice qui rendait la lieutenante toujours plus folle et euphorique, la poussant à hurler sa douleur et son plaisir, à jouir, à colorer le sol de la forêt en blanc à force de cracher du foutre en même temps qu’elle se faisait sodomiser. Et pourtant avec tout ceci, Grëtta parvenait encore à ressentir du plaisir en crescendo ; preuve que miss Sparkle, sa Maitresse, était une créature exceptionnelle parvenant à lui faire atteindre des sommets en matière de plaisir sexuel.

Tel une poupée entre ses mains, la lieutenante se faisait tringler encore et encore, jusqu’à ce qu’elle sente son corps se faire envelopper d’une étrange énergie. Trop euphorique pour y prêter attention, elle sentit néanmoins sa tenue se mettre à changer. Le haut de son uniforme militaire se transforma, devenant beaucoup plus serré … Et s’ouvrant au niveau de sa poitrine pour créer un grand décolleté en forme de cœur. La partie arrière – dans son dos – s’ouvrit aussi, suivit de son pantalon qui se métamorphosa en minijupe moulante. Dû à ce qu’elle se prenait dans l’arrière-train, sa nouvelle minijupe était repliée sur ses généreuses fesses, qui remuaient tendrement à chaque coup de trique. Grëtta, tellement emportée par le plaisir et par cette délicieuse queue qui défonçait ses entrailles, parvint à jouir rien qu’en sentant ses vêtements changer. La simple idée de se voir métamorphoser par sa Maitresse, de se voir remodeler selon ses goûts lui mettait une trique monstrueuse, qui lui faisait cracher une belle cartouche de foutre au sol.

Ses vêtements finirent de changer quand ses bottes devinrent des hautes-bottes à talons, et qu’une élégante paire de porte-jarretelle vint soutenir ses jambes galbées. Le clou du spectacle fut bien évidemment son collier, signe évident et parfait de sa soumission envers Sparkle. Grëtta était en transe, les yeux révulsés et la salive coulant au sol. Ses fesses étaient rouge sang et son anneau était très élargi, et rouge aussi. La lieutenante couina de douleur en sentant Sparkle agripper ses cheveux, afin de mieux assouvir sa soif de domination sur sa personne. Puis le moment final survint ; sa Maitresse planta l’intégralité de sa queue équine en elle, arrachant un immense râle douloureux à Grëtta qui sentit une énorme giclée de foutre couler brutalement en elle, finissant de remplir son bide qui devint rond, très rond. La militaire fut également frappée d’un grand orgasme qui la fit jouir copieusement, sa trique se mettant, tout comme celle de Sparkle, à cracher de grandes giclées blanches au sol. Tout ceci se termina quand l’Alicorne libéra sa servante, qui en tomba au sol.

Extenuée, reprenant lourdement son souffle, Grëtta avait les yeux rêveurs, la bouche ouverte et de la salive qui coulait. Jamais on ne l’avait prise ainsi, jamais elle n’avait ressenti un pareil plaisir et bonheur … C’était tout simplement irréaliste. « Haaaaa … » Gémit-elle, se reprenant doucement. Elle sentit Sparkle se pencher et caresser son ventre gonflé par le sperme présent dans ses entrailles. Quelques petits allers retours, puis la créature se retira, laissant échapper un petit filet blanc de l’anus de Grëtta. Vint alors un petit silence, durant lequel la jeune femme savourait l’après coup ; la douleur de cette sodomie, le plaisir de se sentir pleine à craquer, le plaisir de sentir sa rondelle bien écartée … Mais elle devait répondre à une question qui lui fut posée. « Hmmm … Haaaaan scheiße, c’était foutrement bon … » Murmura Grëtta, finissant par se retourner. Elle finit par s’asseoir sur ses fesses, faisant face à sa Maitresse en lui souriant vicieusement. « J’ai envie de tout te faire, ma précieuse Princesse. Si je m’écoutais je repartirais te pomper la queue et les couilles, puis j’irai à nouveau te manger l’anneau … Ou bien, vu la taille de ta queue, j’irai bien planter la mienne dedans. Mais le temps est précieux ! » Déclara-t-elle.

Sparkle venait de parler d’objets, et immédiatement dans l’esprit de Grëtta, quelque chose se débloqua. À présent dévouée à cette femme, sa mission, son ordre, son but dans la vie était de la servir et de l’aider. Quoi de mieux que de tenter de lui faire gagner en puissance ? Plus de magie devrait certainement intéresser Sparkle, et Grëtta songea alors à vieille légende qu’elle connaissait. « Je ne suis qu’une guerrière, ma Princesse, mais je m’y connais un peu en magie. Tu cherches du pouvoir, de la puissance, je le sens en toi. Et j’ai peut-être ce qu’il te faut … Ce n’est qu’une légende mais, il existerait aux quatre coins du monde des objets, des reliques ayant appartenu à de grands Démons. Ceux-ci, en fin de vie, auraient transférer toute leur puissance dans ces objets, dans l’espoir que des malheureux les trouverai, et les ouvrirai … » Déclara-t-elle, en premier. Un petit silence, puis elle poursuivit.

« Et prendrai alors possession de leur corps et de leur âme, renaissant de leurs cendres. Toutefois, la légende dit qu’il existerait un moyen de s’emparer uniquement de leur puissance, sans se faire posséder ou voler son corps à jamais. Je pense que si tu parvenais à t’emparer de la magie contenue dans chacun de ces artefacts … Tu deviendras plus puissante, plus forte que tout ce que tu n’as jamais pu espérer, ma Princesse ! » Déclara-t-elle fièrement. Grëtta se releva, et en s'avançant, sentit sa tenue crisser à chacun de ses mouvements, l'excitant encore plus qu'elle ne l'était. Cette nouvelle tenue lui allait à ravir et était beaucoup plus en accord avec son nouveau rang ... Elle adorait sentir ses fesses se faire mouler ainsi, sentir son cou serré dans ce collier ou encore s'afficher fièrement comme une esclave soumise. Puis elle se lova contre sa Maitresse, ne résistant finalement pas à l’envie de langoureusement l’embrasser. Fermant ses paupières, la lieutenante plaqua ses lèvres contre les siennes et enfonça tendrement sa langue, désireuse de partager un baiser avec Sparkle. Et pendant qu’elle savourait le miellé et la saveur exquise de ses lèvres et salive, elle saisit sa propre trique et l’orienta, l’air de rien, vers le bout plat de celle de Sparkle, frottant sa chaude cerise contre. Elle décolla nerveusement ses lèvres des siennes, puis d’une voix vicieuse s’adressa à elle, insistant sur la caresse de sa cerise contre son bout plat. « Mais j’ai envie de te faire des choses que personne ne t’as faite, ma Princesse ! » Déclara-t-elle, laissant alors le choix à Sparkle.

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Dictature d'Ashnard / Re : Un contrat juteux [PV : Twilight Sparkle]
« le: jeudi 23 mars 2017, 14:32:28 »
Grëtta était, pour le dire, extrêmement heureuse. Certes elle était complètement et profondément ensorcelée et ce bonheur était provoqué à cause de ça, mais elle l’était. La fière lieutenante des armées Herzeloise était désormais une petite chienne au service d’une étrange créature, qui fut assez puissante pour la plier à sa volonté. Cela ne voulait dire qu’une chose ; que cette femme était digne de la servitude de Grëtta. En d’autres termes, si elle était parvenue à corrompre l’Herzeloise, c’était qu’en fin de compte, elle en valait le coup. Dans l’esprit de la jeune femme à la chevelure sombre, Sparkle était … Tout. Sa Maitresse, sa Déité, sa supérieure. Absolument tout. Pour elle, Grëtta était désormais prête à mourir en boucle, à l’infini, s’il le fallait. Un tel niveau de dévotion et d’adoration conduisait immanquablement à un puissant désir, qui d’une part était canalisé dans la monstrueuse et ô combien douloureuse trique pendant entre les cuisses de Grëtta, et d’autre part, canalisé dans cette profonde fellation.

La lieutenante venait donc de formuler le souhait de se recevoir le précieux nectar de Sparkle à la figure, mais celle-ci en fit autrement. Du moins, sur l’instant ; elle récupéra son gros mandrin et l’enfonça à nouveau dans la gorge de Grëtta, qui en gémit puissamment. C’était reparti pour un nouveau round, pendant lequel Sparkle fourra encore et encore sa gorge, offrant à sa servante le plus délicieux et onctueux des plats qui existait. Sa queue. Sa trique lourde et chaude, pulvérisant sa gorge, s’enfonçant dans son estomac au plus profond d’elle, lui arrachant un plaisir jamais atteint jusque-là ! Un plaisir qui la faisait bander très, très douloureusement. Mais finalement Sparkle, la sublime et majestueuse Alicorne finit par jouir, gratifiant Grëtta de son délicieux foutre. Elle jouit en plusieurs coups, remplissant une première fois son estomac directement. Grëtta faillit jouir abondamment ce coup-ci, tellement son plaisir fut immense. Son corps ressenti un bien fou – couplé avec cette douleur lancinante à la gorge – quand son estomac se gava de foutre, finissant même par gonfler en surface. Déjà que Grëtta avait le ventre légèrement rond à cause de la première fois, là elle ressemblait de plus en plus à une femme enceinte.

Le second coup fut à nouveau dans son estomac, le suivant dans son œsophage et le dernier … Directement sa bouche. « HMMMMMMMM !!! » Grogna-t-elle de délice, sentant le délicieux nectar sur ses papilles. Ses joues se gonflèrent presque au point de craquer tellement y avait-il de foutre. Mais elle parvint à tout avaler, avec grand appétit, ne faisant que remplir d’avantage son petit estomac. Mais l’apothéose de tout ceci survint quand Sparkle retira sa queue et jouit copieusement une dernière fois, propulsant son foutre à la figure de Grëtta. L’Herzeloise râla de bonheur en sentant son visage se faire arroser généreusement, jusqu’à complètement l’obstruer. Du foutre coula de son menton sur sa poitrine et ses épaules, alors qu’elle passa ses mains sur son faciès, récoltant un peu de semence pour ensuite lécher ses doigts. Mais ce n’était pas finit ! Sa Maitresse avait un vorace appétit et lui ordonna dès lors de lui tendre son cul ; une bonne sodomie attendait Grëtta, qui en souriant de manière carnassière, obéit. « Hmmm, tu ne vas pas être déçue, mein Königin … J'ai pour réputation d'avoir un cul très accueillant ! » Dit-elle, se mettant en position.

Elle sentit ses épaules poussées et plaquées au sol, faisant ainsi que son buste était à plat, et ses fesses bombées vers le ciel. Une position qui n’allait pas faciliter la vie à Sparkle mais qui allait lui donner une puissance de coup phénoménale. Grëtta sentit le bout plat de sa queue frotter contre sa raie. Ses fesses étaient toujours cachées par son pantalon en latex, certes très moulant, mais cachées. Néanmoins avec cette position le tissu était très, très tendu et on aurait dit que son pantalon allait craquer ! Les fesses de Grëtta étaient si généreuses et charnues qu’elles avaient du mal à se faire comprimer dedans. Mais quand Sparkle s’enfonça, elle pulvérisa le latex qui craque complètement au même moment qu’elle enfonça son énorme matraque de chair en elle. La douleur éclata dans son corps, et lui procura une violente montée de plaisir qui la fit cracher toute une cartouche sur le champs … « HAAAAAAANNN !!! » Hurla Grëtta, enfonçant nerveusement ses doigts dans le sol. Cette position donnait beaucoup de puissance à Sparkle, qui dès lors sodomisa rapidement et fortement le cul de Grëtta. Sa trique s’enfonçait totalement en elle, écartelant la pauvre militaire qui si elle n’était pas une démone, aurait décédé d’hémorragie interne.

Son anus était extrêmement ouvert et devait engloutir toute la queue de Sparkle, qui avait une taille inhumaine. Malgré son essence maléfique, Grëtta souffrait énormément jusqu’à en verser quelques larmes … Mais cette douleur n’était que plaisir, pour elle. C’était ça, la sodomie aussi. Sparkle la martyrisa ainsi pendant un moment, mais finit par changer de position, adoptant une plus conventionnelle. Elle fit déchirer le haut de l’uniforme de Grëtta grâce à ses pouvoirs, et dès lors, sa poitrine se balança effectivement au rythme de son corps qui bougeait à cause des coups de trique. Mais sa poitrine n’était pas la seule à se balloter ainsi ; son juteux service trois-pièces aussi, le faisait. Son uniforme déchiré était en quelques sortes le symbole de sa nouvelle vie, de la nouvelle personne qu’elle était désormais. Herzeleid était de son passé dorénavant et son futur … Etait aux côtés de cette femme, dorénavant. Et son futur serait pavé de sodomies, de fellations, et d’adoration. Grëtta avait la voix qui cassait à force de hurler sa douleur et son plaisir, mais elle ne pouvait pas s’empêcher.

Sa queue cracha de nombreuses salves de foutre qui vinrent éclabousser le col et le colorer en blanc. Et malgré ses cartouches, elle bandait toujours aussi férocement ! « OUI, OU-OUIII ! HMMMM ENCO-ENCOOOOOOOORE !!! » Grogna Grëtta, entre deux jouissances.

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Dictature d'Ashnard / Re : Un contrat juteux [PV : Twilight Sparkle]
« le: lundi 20 mars 2017, 21:50:07 »
Grëtta était toute gourmande, voire avide de cette queue qu’elle pompait si allègrement. Non seulement elle satisfaisait sa maitresse, sa Reine, sa Princesse, mais aussi elle se satisfaisait elle-même ; manger une telle trique était d’un délice sans fin. On pouvait réellement parler de manger car vu la taille du mandrin et vu comment la lieutenante l’aspirait en elle, c’était très similaire. Grëtta ronronnait et râlait de plaisir à mesure qu’elle se soulageait sa faim sur cette queue, la gobant encore et encore, lentement, la fourrant chaudement dans sa bouche et gorge. Pour le moment l’espèce de Terranide ne semblait pas guider les opérations, laissant à sa nouvelle dévote le soin d’honorer sa queue comme bon lui semblait. Grëtta ne comptait pas la décevoir, ô que non ! La démone dans l’âme continuait sa prodigieuse fellation, et effectua même quelques gorges profondes ci et là, pour rappeler à miss Sparkle qu’elle était bonne amante.

Mais, au bout d’un moment, Grëtta sentit sa Princesse s’échauffer. La lieutenante ne put la retenir dans sa démarche, qui consista à saisir fermement la tête de la jeune femme par les tempes, puis de fourrer brutalement son énorme morceau de chair en elle, lui coupant le souffle immédiatement. « HMM ! » Grogna Grëtta, à moitié étouffée par cette délicieuse et juteuse, mais étouffante queue. La militaire repositionna ses mains sur les fesses de sa Maitresse, se mettant à les malaxer voire les pincer nerveusement, écartant chacune l’une de l’autre, et ainsi de suite. Mais la pauvre femme avait le souffle coupé et même si sa gorge avait doublé de volume face au passage de cette queue, il n’y avait pas d’espace pour laisser passer l’air. Mais dans sa grande bonté, la vénérable Alicorne retira un moment sa queue, laissant le soin à Grëtta de reprendre son souffle. Ce fut de courte durée cela dit … Juste le temps pour que la militaire prenne des stocks.

Puis, Sparkle se défoula pleinement et se mit à baiser brutalement la gorge de Grëtta, aussi rapidement que puissamment. La lieutenante couina de pur plaisir mais aussi de douleur, ses yeux se révulsant et versant quelques petites larmes, de joie. Elle était totalement à la merci de cette femme, de son appétit sexuel et de sa cruauté. Grëtta se défoulait sur sa croupe, en se mettant même à la griffer mais, son repas était bien trop copieux pour qu’elle puisse se concentrer réellement. La lieutenante se mit à bander sévèrement, sa queue se redressant aussi brutalement que cette sodomie orale … A force elle aurait presque pu jouir rien qu’en se voyant étouffée par cette queue équine ! Mais le manque d’air commença à la faire faillir, l’assommant petit à petit. De terribles bruitages s’échappaient du frottement de cette trique contre la paroi de sa gorge et de sa bouche, mais aussi du claquement de peau entre les lourdes et juteuses couilles de Sparkle qui frappaient son menton.

Grëtta se laissait faire avec dévotion mais se défoulait encore et toujours sur les fesses de sa Maitresse, jusqu’à ce que celle-ci ne s’arrête subitement, retirant sa queue. En vérité elle avait gracié Grëtta car elle l’avait empêché de s’évanouir par manque d’air, juste au dernier moment. Quand sa voie respiratoire fut libérée, la militaire reprit de grandes bouffées d’oxygène. Et … La seule chose à quoi elle pensait c’était de manger à nouveau cette trique, encore et encore. Se faire baiser la gorge jusqu’au bout de la nuit, remplir son estomac du foutre de Sparkle jusqu’à ce qu’il soit aussi rond que celui d’une femme enceinte ! En bref ; satisfaire inlassablement sa douce Princesse. Grëtta était à ses pieds, reprenant lourdement son souffle, alors qu’elle sentit Sparkle lui prendre sa casquette, et lui poser une question. Grëtta leva son regard, qui malgré tout ce qui s’était passé, ne voulait dire qu’une chose ; encore, j’en veux encore ….

La queue de Sparkle étalée sur son visage, la lieutenante sortit sa langue et la lécha avidement. Elle la racla, avec grand appétit, tel une affamée, avant de plonger son visage et venir lécher également ses lourdes bourses, se mettant même à les suçoter. « Hmmm ... Gut ... GUT !!! » Rugit-elle, visiblement en train de se régaler. Ce petit jeu ne dura que très peu de temps car Sparkle lui avait après tout posé une question ! Grëtta frotta nerveusement son visage contre sa trique, avant de lever à nouveau son regard plein de conviction et de désir. « Ta queue est le plus délicieux repas qu’il m’ai été donné de manger, Maitresse ! Je t’implorerai chaque jour de me laisser la dévorer, puis de remplir mon bide avec ton foutre ! » Déclara-t-elle, pleine de conviction. Elle passa un large coup de langue, à nouveau, sur le membre équin de Sparkle, avec de donner sa réponse. « Mais pour cette première fois, tu vas me pisser ton foutre à la GUEULE ! » Déclara-t-elle, d’une voix toujours aussi convaincue.

Grëtta était prête à se faire doucher, et on ne pouvait pas dire qu’elle était épuisée ou rassasiée de tout ceci … « Et j’aurai une petite surprise pour toi après, ma Princesse. » Finit-elle par dire, la voix et le regard fort bien malicieux.

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