Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ephemeraë Mayfly

Pages: [1] 2
1
Mars n'avait pas besoin d'être brisée. Elle l'était déjà, profondément, mentalement, physiquement. Elle était déjà une poupée prête pour Helel. Elle avait même été amenée à lui dans cette idée. Ils étaient fait pour se rencontrer, la justicière paumée et le mâle mauvais. Ils étaient fait pour l'une appartenir à l'un, et l'un contrôler l'autre. Elle le sentait au plus profond de son bas-ventre, son souffle devenant de plus en plus rauque, ses sens de plus en plus à l'affut. Elle ne désirait plus que ça, dans une obsession malsaine et cruelle, lui appartenir et souffrir sous sa main à lui. Ouais, elle était une pute, mais une pute qui comptait bien le surprendre, le surpasser dans l'art de la douleur. Il savait la donner ? Elle savait la recevoir. La douleur pour les unir tout deux, comme un anneau, dangereux et mortel. Avec la souffrance, on avait peu de limites, le désir d'aller toujours plus loin, de ressentir toujours plus, de quémander encore ... Toutes les tentations étaient réalisables, avec la douleur.

Elle tomba au sol, l'oeil ensanglanté, le visage endolori, mais un gout de victoire dans les dents, le menton dégoulinant de sang. C'était délicieux. Et même quand elle se retrouva avec une semelle sur la joue, l'odeur du mâle emplissant la pièce, elle ne pouvait que laisser entendre des gémissements aigu, tout autant d'excitation que de douleur. Maintenue au sol, elle se laissait faire, apparemment bien docile. Elle gardait ce sourire malgré la douleur qu'elle pouvait ressentir encore ... Elle était enivrante, cette douleur, tout autant que la douce sensation de la queue en érection du mâle, quand il lui avait forcé la tête contre son entrejambe. C'était comme une putain de drogue que Mars voulait gouter à nouveau, son poing, sa rage, son plaisir malsain. Elle tira doucement la langue pour glisser son piercing sur le cuir de la chaussure, léchant légèrement du bout de sa langue, en esquissant un sourire. Le crachat ne lui tira qu'un frisson.

Elle se releva, avec un petit mouvement de dégout, et vint faire couler la salive étalée sur sa joue, sur son index, qu'elle vint ensuite suçoter en le fixant, comme provocante, comme pour lui prouver en direct que sa violence, sa cruauté et son sadisme ne lui faisait pour l'instant ni chaud, ni froid. Elle jouait autant que lui, et semblait adorer ce jeu là. La gorge emprisonnée, le corps cambré en arrière, la douce masochiste émit un gémissement aigu, tandis qu'il la déshabillait totalement, dévoilant son corps encré et percé, mettant à nue cette peau douce qui frémissait comme celle d'une pucelle au contact des mains rugueuses du démon. Elle émit un gémissement tendre alors qu'il pincait son téton, tirant dessus, maltraitant la chaire déjà trouée. Elle se mordillait la lèvre inférieure, l'oxygène et le sang commençant doucement à manquer alors qu'il la retenait comme une pendue, lui retirant les derniers espoirs d'une escapade sans conséquence ... Mars cherchait les conséquences. Elle rougit un peu et finit par mordre dans le vent, comme pour essayer de trouver un peu de liberté, alors qu'il touchait ses seins, prenait possession de son corps, lui tirant des grognements intenses de plaisir et de désir.

Son corps se cambra quand la main attrapa ses fesses, les claques sur sa peau de plus en plus douloureuses que le souffle lui manquait. La panique commençait doucement à l'envahir, les sensations plus fortes, plus intenses, plus brutales, le corps plus brulant ... L'approche silencieuses d'une mort bien cruelle par asphyxie l'excitait au possible, et son corps ne faisait que réagir doublement aux provocations physiques d'Helel, ses fesses rougissant après avoir doucement ondulées suite aux brutales fessées. Elle eut un geignement rauque, comme si elle cherchait à lui répondre, les yeux se fermant légèrement, son corps se raidissant.Il l'aurait maltraité un peu plus, poussée à bout, qu'elle en aurait peut-être une orgasme, dat bitch. Elle s'écrasa au sol, trempée d'excitation, se retenant les mains par terrer pour retrouver son souffle. La gifla lui cria un léger cri de surprise alors que son visage se tuméfier légèrement, la marque de la main du Démon laissant sa pommette rougie et sa lèvre blessée. Elle vint étouffer délicatement contre l'entrejambe du colosse, respirant le parfum de luxure alors qu'elle esquissait un sourire. Lentement, elle posa ses deux mains au sol pour rester un peu à quatre pattes, sa fesse rougie et marquée. Elle glissa ses dents sur la ceinture qu'elle tira avec assez d'agilité pour la retirer, et vint faire frotter sa langue et son nez rond contre les abdos de l'homme pour y mordiller l'élastique de son caleçon. Chacun de ses mouvements de tête faisait frotter ses lourds seins percés à l'entrejambe durci et éveillé de cet amant sauvage. Elle prenait un malin plaisir à prendre son temps, gobant le bouton entre ses lèvres pour le suçoter dans un long gémissement avant de le retirer lui aussi, et d'attraper la fermeture éclair entre ses dents, et tirait vers le sol, enfouissant par la même occasion ce minois provocant dans son bas. Elle laissait une marque ensanglantée sur les abdominaux du Démon, une douce marque du passage de son visage blessé.

" - Putain de queue ... " Souffla-t-elle finalement alors qu'elle mordait dans le tissu du sous-vêtement, sans les dents, pour gober le membre à travers le caleçon, pour découvrir l'objet sans le révéler encore. Elle s'en prit finalement au caleçon, qu'elle su décaler et baisser, en frottant allégrement ses deux orbes de chair aux testicules de son amant, jouant avec ses épaules pour rendre le contact plus long, plus dansant. Finalement, une fois libéré, elle ne prit pas trop de temps pour réfléchir. Mars goba le gland entre ses deux lèvres pulpeuses et légèrement saignantes, pour mêler le sang au stupre. " - Humpf ..." Elle s'approcha pour tirer sa langue, la glissant de tout son long sur le membre qui s'enfonçait peu à peu dans sa bouche, se frottant à ses joues, se créant un chemin dans sa gorge, tandis qu'elle se cambrait assez en arrière pour le recevoir, pas en entier mais au trois quart entre ses dents. Il fouillait déjà sa gorge alors qu'elle refermait ses lèvres, pour presser la chaire, commençant de larges mouvements sur la hampe de plaisir, laissant par instant ses dents y faire un tour, frottant délicatement contre le chibre durci. Elle jouait avec ce membre, sa langue s'enroulant par instant autour de l'épais vit alors qu'elle accélérait progressivement son rythme, pour enfoncer les derniers millimètres entre ses lèvres, dans un gémissement sourd. Elle contracta très légèrement les muscles de sa gorge autour du gland qui la torturait, avant de relâcher la pression, et attaquer des mouvements plus amples, plus passionnés. Elle n'avait clairement pas l'habitude d'un membre si massif, mais n'en jouait que mieux, relâchant par instant le gland turgescent de salive pour venir lécher les testicules du jeune homme. Sa langue se délectait de son corps, et elle revenait ensuite sucer la queue de Helel, le dévorant comme une sucette de grande marque dont elle ne voulait se lasser.

Elle le laissait aussi reprendre les commandes par instants, mais se permit de se remettre un peu plus droite pour faire bouger ses lourds seins et les emprisonner entre ses deux mains, les rendant plus gourmands encore. Elle y glissa la queue bien trempée de salive, les deux boutons d'acier frottant contre la chaleur indécente du membre alors qu'elle venait enfoncer le sexe du Démon dans sa bouche, profondément, à l'orée de sa gorge, à chaque va et vient entre ses seins brûlants, rougis par les mains de l'homme. Qu'il la marque, encore et encore, brutalement, longuement, violemment, elle ne désirait que ça. Cette queue la rendait folle, elle en avait envie, toujours plus, toujours plus loin entre ses lèvres brûlantes et tremblantes de désir.

" - Etouffe moi encore avec ton vit ... Putain, j'ai jamais été aussi excitée."
Elle avait l'honnêteté de le reconnaître, et se réjouissait de chaque centimètres de cette peau brûlante contre ses joues, pressant ses lèvres autour, pressant aussi l'intérieur de ses joues pour qu'il puisse gouter sa bouche.

2
" - Vous faîtes ce que vous voulez, nous on bouge. On bouge, George. RIGHT NOW !"

Pas besoin d'intimider Frida pour qu'elle se bouge le cul quand elle voyait un monstre pareil lui apparaître devant les yeux. Il était dangereux, ça se voyait. Et elle, le danger quand il ne sentait pas le mort et le décomposé, elle n'aimait pas du tout ça. Frida n'avait pas confiance dans les humains, encore moins que dans les morts. Nan, c'était vrai, ça, les morts, on savait qu'ils voulait votre cul, votre cerveau... Les morts, ils pouvaient vouloir vous tuer, vous harceler, vous violer, vous torturer, vous bruler ... Vous manger, vous baiser, vous dévorez, vous écartelez, vous rapper ... Bref, ils pouvaient en faire des choses. Et Frida avait envie de rester vivante, en bonne santé. En voyant le jeune .. L'homme étrange devant elle, avec son couteau de cuisine et son regard noir, elle se décida juste à se casser.

Elle attrapa sa bête par le cou pour l'attirer vers elle alors qu'elle grognait lentement. Non, non non ... Rien n'allait. Entre les fous dehors et les fous dedans, ça faisait vraiment beaucoup de folie et de connerie en même temps pour elle. Beaucoup trop. Elle déguerpit en vitesse, fronçant les sourcils en se retournant vers la bête de muscles qui ne semblaient pas vraiment luire par son intelligence ou son esprit. Elle atterrit sur George et les deux gonzesses qui ne semblaient pas encore avoir bougé. Ok, ils n'allaient pas se les coltiner en vrai, ces deux là. Elle allait pas supporter d'en avoir deux, des idiotes qui ne savaient pas se battre. Elle attrapa le bras de George en regardant le pug qui grognait en la voyant. Ce chien ne l'aimait toujours pas ! Elle lui enleva brutalement son casque pour le regarder droit dans les yeux alors qu'elle montrait les deux femmes d'un coup d'épaule soudain. " - George... George, j'aime pas ça, honey. Ni cette nana, la blondasse là, regarde comme elle mate mon Tigre, sérieux c'est encore une fucking tarée de .. "

Elle s'arrêta brutalement. Une des entrées du Mall venait de tomber en éclat, brutalement. Frida se tourna sur-elle-même pour regarder par le balcon de l'étage, dans un grognement. Elle se laissa tomber au sol, grognant lentement alors que le tigre s'énervait de plus en plus. Non, putain, non... Des cris, des hurlements, des pétardements de moto, des rires .... Ils étaient là. Ils étaient entré. Elle entendit brutalement un coup de feu. Ok, ils savaient qu'ils étaient là aussi... " - Et vous ! HE LES LOULOUS ! Vous avez 5 minutes pour déguerpir, et on va venir vous chercher. Vous savez, cache-cache ... Et quand on vous aura trouvé, on va pouvoir s'amuser longuement ... HEIN LES MECS ?" Des rires gras se font entendre et Frida eut un grognement intense alors qu'elle restait à terre, attrapant le poignet de George. Elle avait peur, ça se sentait. Elle avait peur de ses gens, et de leurs idées tarées qui semblaient très décidés. Elle eut un petit soupir et jeta un regard à son ami, avant de brutalement écraser ses lèvres sur les siennes, avec un regard farouche. "Les étages."

Elle attrapa son arme, siffla sa bête, et resta à quatre pattes, devant George, délaissant les deux jeunes femmes. Si elles suivaient, tant mieux. Sinon, tant pis pour elles. Frida voulait sauver sa peau. Descendre serait mortel, il fallait qu'ils montent et qu'ils aillent se cacher dans une des boutiques. Arrivant enfin aux escaliers, elle se remit debout en rougissant légèrement, le souffle haletant. " Ils sont nombreux... Et ils sont plus qu'effrayants. Submarine ? Viens avec moi, chéri." Elle enroula une laisse autour de la gorge de l'animal, c'était le moment où jamais pour l'avoir à ses côtés. Frida se mit à gravir les escaliers, courant rapidement pour monter. Un étage, deux.. Trois. Elle défonça la porte dans un craquement et donna un coup de pied à un zombi qui s'approchait pour le faire tomber. L groupe de survivants au rez de chaussé leva les yeux alors que Frida apparaissait rapidement devant eux, ordonnant à George de rester hors de leur portée. " - Elle est en haut ! MONTEZ MONTEZ !" Elle revint vers George et lui fit signe de descendre. Ils chercheraient déjà un étage trop haut. Glissant à quatre pattes une fois arrivé à l'entre-étage, elle souffla doucement. Maintenant, il allait falloir trouver un lieu pour 'survivre' et où se cacher. Elle regarda autour d'elle. Toute sortes de magasins... " - George ? On va où ?"

3
Surveiller ses pas. Les mots de l'homme résonnaient encore dans l'oreille de la belle. Il trainait avec lui un terrible charisme, une sorte de rage luxuriante qui la faisait frémir. Ce n'était pas juste sa carrure, même s'il semblait taillé dans la pierre ou le marbre brut, non c'était autre chose ... Ses yeux. Voilà ce qui avait immobilisé Mars quand elle lui était rentrée dedans. Ses yeux... Deux boutons rouges, écarlates et ensanglantés, qui brillaient d'une excitation primaire. Ses yeux la fixaient, la dévoraient du regard. Ou non, ce n'était pas exactement ça, c'était quelque chose de plus sauvage, de plus profond, de plus animal. Mars avait sentit un frisson lui parcourir le dos, remonter le long de sa colonne pour la faire frémir entièrement. Ce n'était pas une sensation désagréable, c'était quelque chose de plus bestial, comme si juste avec ce regard, il pouvait faire naître en elle toutes sortes de désirs et d'envies enfouis au plus profond de son être. Alors non, ce n'était pas désagréable, mais par contre c'était dérangeant. Elle se sentait seulement hors de contrôle, dangereusement hors de contrôle quand elle croisait son regard de sang. Il pouvait briser toutes ses

Mais justement ... C'était ça qui lui plaisait. C'était la raison précise pour laquelle elle l'avait de nouveau suivit après lui être rentrée dedans. Elle était attirée par cet homme, encore plus que par son aura brûlante, mauvaise. Elle était attirée par ses yeux et les mouvements de ses lèvres, un peu haineuses, un peu méprisantes. Rien que de sentir qu'avec un regard, il pouvait la harponner, ça l'excitait.

Il y a toujours quelque chose de plus brûlant quand on imagine dans quoi on va se foutre, quand on fantasme sur une rencontre de plus en plus sauvage. Ouais, elle le suivait plus par excitation et désir que par réelle envie de faire la justicière, pour le coup. Elle ressentait comme une étrange attirance, une attraction primaire pour ce corps deux fois plus large que le sien. Un peu comme un fragile pantin, Mars se faisait mener en bateau par le mâle, attirée dans ses filets. Si elle avait été une espèce en danger, on aurait même pu dire qu'il la braconnait après lui avoir laissé sentir un bout de viande particulièrement intéressant et comme un chaton des rues affamé elle aurait suivi l’appât jusque dans le piège à chat. Et le piège l'attendait, portes grandes ouvertes. Elle y plongea dans toute son innocente connerie après avoir croisé le regard du mâle. Un appel à la luxure auquel la jeune justicière répondait, précipitamment. Elle s'y vautrait avec complaisance. La luxure avait tout autant été inventée pour ce démon là, que pour elle.

Elle restait immobile, sa langue glissant lentement sur ses lèvres charnues alors qu'elle fixait la scène. Mpf. Mars était hétérosexuelle par manque d'expérience et de mémoire, c'était aussi le cas des nanas kidnappées. Elle eut un nouveau frémissement, peut-être plus intense encore, quand la voix de l'homme s'éleva. Une pure menace, qui coulait rauque et grave dans la pièce, qui s’immisçait dans tout le corps de la jeune femme. Elle restait silencieuse, ne tournant même pas la tête pour l'instant, l'écoutant seulement se rapprocher, comme un animal de sa proie. Elle était sa proie. Attendait-il qu'elle se débatte ? Qu'elle morde, qu'elle grogne, qu'elle crie ? Rien de tout cela. Mars attendait, calmement. Sa langue claqua à son palet, avant qu'elle ne se détourne légèrement pour le dévisager. Les idées n'étaient déjà plus claires dans son cerveau, et elle mordilla sa lèvre inférieure avant d'esquisser un sourire joueur. Elle avait envie de réagir.. Mais elle attendait.

Elle attendait de connaître ce qu'il attendait d'elle. Elle ne jeta qu'un regard à la jeune femme qui tomba au sol sous la gifle, ne réagissant même pas. Non, elle se foutait de tous ses idéaux de justice, de fierté, d'aide ... Là, maintenant, il n'y avait que cet homme, au torse taillé par les années. La veuve, l'orphelin ? Elle les aurait écrasé, pour se faufiler contre lui. Mécaniquement, elle releva la tête vers lui, ses cheveux se perdant dans la capuche de son sweat alors qu'elle le laissait prendre possession de sa gorge, lui prouver sa toute puissance physique. Le souffle légèrement haletant, les yeux perdus dans les deux globes ensanglantés de cet inconnu, la bouche entrouverte sur sa langue langoureusement posée sur sa lèvre ... Mars soupira. Un souffle chaud alors qu'elle se relevait doucement, pour se mettre sur les genoux, devant lui. Un couinement surpris lui échappa quand il la gifla, rougissant ses pommettes. Elle releva le menton, juste assez pour dessiner sur son visage de poupée un sourire conquis.

" - 'Suis déjà une pute, pas b'soin d'toi pour faire le boulot." Elle n'avait pas particulièrement besoin de prouver ses dires, mais étant libérée de sa poigne étouffante, elle glissa lentement sa langue de la ceinture du jeune homme au milieu de son torse, s'étirant par la même occasion alors qu'elle léchait sa peau, avant d'y apposer un baiser à l'arrière gout légèrement plus agressif, ses dents cherchant à mordiller Helel. Sourire toujours aux lèvres, Mars siffla, a voix colorée par une excitation certaine. " - Je ne veux plus être une simple pute, n'importe quelle pute.." Elle accompagna ses mots d'un mouvement de langue à l'orée de son pantalon, sans venir outrepasser les frontières qu'il semblait avoir érigé pour l'instant. ".. Je veux être ta pute." Se laissant aller un peu en arrière, elle glissa ses mains sous son sweat pour le retirer, dévoilant son corset de dentelle, comme une invitation pure et dure au sexe. Elle enleva les premières attaches, dévoilant l'ourlet de ses seins, l'ombre floue de ses tétons, avant de brutalement, et sauvagement, venir mordre la hanche de l'inconnu.

Elle sentit quelques goutes de sang couler dans sa bouche, alors même qu'elle ne bougeait pas, prête à se faire envoyer la tête sur le sol carrelé ou marbré. Mais la provocation n'était pas gratuite. Elle n'était pas non plus un maigre relent d'instinct de survie, ni même une menace quelconque. Elle grogna, les dents encore ancrées dans la peau de Helel. " - Fais moi souffrir. Fais moi-même regretter d'être née ... Et je t'appartiendrais." Une promesse qu'elle n'aurait même pas eu besoin de faire puisque c'était l'objectif du démon. Mais si elle avait pu, Mars aurait pariée sur le temps de dressage dont il aurait besoin pour la mettre totalement à genoux. Deux heures ? Trois ? Un jour ? Elle esquissa un de ses sourires vulgaires dont elle avait le secret alors que les quelques goutes écarlates glissait de son menton à sa poitrine, se frottant entre ses deux seins pour se perdre sur son ventre.

The game had begun.

4
Prélude / Re : Joe le trashy, y va tout partouuuut ♫ [valimenstrué !]
« le: mercredi 06 avril 2016, 11:22:46 »
Viens là toi ♥

(Je veux plus t'entendre dire que c'est pas bien. Plus du tout. Putain elle est so perfect, cette fiche ♥)

5
One Shot / For no one can give you courage, in a world of compromise {Pv}
« le: mardi 05 avril 2016, 17:52:27 »
Adventures through dreams
Full of strange warning signs
Epiphanies of cherry trees
There's endless things to find
As this mysterious melody plays in me in my mind

Lentement, très lentement, un soleil embrumé se levait. La ville s'offrait au regard d'une étrange silhouette, créature paumée sur les toits de cette ville aux allures de Capitale Américaine. Posée sur un Building de verre, le menton entre les mains, Mars fixait le levé du jour, curieuse, découvrant les premières lumières sur les formes endormies de Plutar, une de ces nombreuses villes nées en quelques jours, sorties du ventre brûlant de la terre par la force de la science et des innovations humaines. La jeune femme releva finalement le nez quand le soleil fut totalement levé, faisant lentement claquer sa langue à son palet. Elle descendit rapidement les escaliers, pour entrer dans le bâtiment. Malgré une apparence de bureaux, l'immeuble de verre et d'acier était un fameux club, The Sailor's Paradise. Le Sailor, une sorte de club et bar de jour, où l'ambiance ne refroidissait jamais, où les strip-teaseuse n'arrêtaient jamais de danser, où les consommations coulaient, coulaient toujours. Elle aimait l'ambiance de cet endroit, glauque et lourde, luxuriante et brûlante. Elle glissa sa langue sur ses lèvres alors qu'elle se déshabillait pour enfiler ses habits personnels. Elle avait une joue un peu rougie par un coup qu'elle avait du prendre pendant une bagarre dans un coin sombre dans le club.

Âgée de 22 ans, mineure quand elle avait été embauchée au Sailor, elle était serveuse et parfois bar-maid. Naturellement violente et provocante, d'une méchanceté aussi étonnante que contraire à son besoin de justice, Mars était une pitbull à la gueule d'ange. Si on entendait éclater une bagarre dans le club, on était certain d'y retrouver Mars à regarder la scène avec un sourire, pariant sur un échec ou sur une réussite. C'était un de ses péchés mignons, elle aimait parier sur tout, sur n'importe quoi. Boissons, argent, infos, corps, jeux ... Une fois, elle avait finit par parier sur la capacité de la tabasser. Simplement. Et elle avait gagné. Il l'avait tabassé à la sortie du club. Ils avaient finit ensemble. Mars avait des soucis avec ce genre de relations. Elle avait été attirée par la douleur. Parfois, elle entendait dire qu'elle n'était qu'une enfant gâtée... Non. Une enfant qui n'avait pas su comment grandir. Voilà ce qu'elle était. On ne lui avait rien dit, on l'avait foutu dans l'âge adulte sans l'aider et elle s'était raccrochée au sexe et a la douleur. Une vraie passion pour la douleur, une obsession pour la souffrance. Elle était masochiste. La vraie douleur, les cris d'extases mêlés très étroitement à des cris de panique et de douleur, de souffrance totale. Mars était extrême, elle était de celle qui seraient capables de s'étrangler totalement durant l'amour pour ressentir le frisson de la mort en même temps que l'orgasme. Elle avait été prise sous l'aile d'une jeune strip-teaseuse dans le club, après avoir payé un lourd prix pour des menaces à la sortie de la boite. Le tribu ? Une jambe jusqu'au genou. La blessure s'était rapidement infectée, et  sa jambe avait dû être amputée et remplacée par une superbe jambe en acier technologiquement très avancée, tatouée, avec une sorte de défense intégrée. Elle avait un flux électrique, comme un taser, provoqué par le dynamisme de la marche. Après tout, elle se rappelait encore de ce film où une mère maquerelle portait une sorte de fusil intégré à sa fausse jambe.

Elle trouvait ça classe. Mars était fatale dans son genre. Pour elle même et pour les autres. Son corps d'ailleurs valait le coup d'oeil. Elle finit de se déshabiller, regardant son corps dans le miroir. Elle finit par enfiler son short, et un large sweat au dessus de son corset en dentelle. Tatouée visiblement, c’était sous les vêtements que ça devenait vraiment intéressant. Musclée, le corps fuselé, elle était déjà totalement bonnasse avec un cul à se damner... Tatoué. Des fesses rondes et fermes a souhait, bien en harmonie avec ce corps parfaitement sculpté, avec ses tatouages colorés, violents, qui étaient encrés sur la peau de son cul. Une œuvre d'art, ses fesses étant tatouées, et son dos... Il avait été percé comme un corset et elle y avait fait glisser un ruban, qu'elle pouvait changer selon son humeur. Une sorte de poupée en porcelaine humaine. Sur le devant, ses seins étaient lourds, percés par des petites barres d'acier classiques avec des petites boules au bout. Son bas ventre était la continuité du tatouage de ses fesses et de ses reins, son intimité glabre et ses jambes nues de tatouage. Cette femme était sublime pour peu qu'on aime un peu... L'extrême. Elle attrapa un petit sac à dos, et une cigarette au bec, une bière dans la main, elle sortit doucement de l'établissement pour se poster devant l'entrée. Il devait être..  7h du matin. Elle attendait patiemment qu'un des clients sortent.
 
But there could be rainbows
And pots of gold
Or maybe just roach infested ruins of old
There could be sunshine
Endless treasures to hold
Or maybe just rickety old furniture
Covered in sticky sticky mold

Enfin patiemment ... Elle jeta sa bière dans la vitre d'un HLM de luxe, sachant pertinemment que le verre des baies vitrées ne flancherait pas puisque c'était un de ces nouveaux matériaux réputés pour être incassables. Elle glissa sa main dans la poche centrale de son sweat, en soufflant en hauteur. Bon sang, il ne comptait pas sortir une bonne fois pour toute ?! Elle entendit le pas trainant d'un déchet alcoolisé qui s'était fait jeté du club par la sortie des employés, derrière elle, et se tourna pour faire face au jeune homme. Pas en bon état, le mec. "Hé, connard, file moi du feu." Elle esquissa un sourire alors qu'elle relevait légèrement la capuche de son sweat, en le fixant. Il ouvrit de grands yeux, puis une grande bouche, comme s'il humait l'air en essayant de respirer. Le cerveau ralentit par l'alcool ingéré à trop grande échelle, il ne réagit finalement pas et eut un hoquet en se penchant en avant, ses yeux se plissant. Dans cet état lamentable, seuls les instincts ressortaient ... "Tu veux quoi ? M'chauffer ? J'prefere que tu m'brules au fer blanc, j'aime quand ça marque. Tu sais, genre des initiales qui brûlent la peau." Elle lui dit un fuck majestueux et vint le pousser contre le mur alors qu'il tentait vaguement de la peloter, ce qui lui tira un rire. Elle attrapa le briquet de l'inconnu, et le relacha, le laissant sombrer sur le bitume froid. " - Déchet de merde ..." Siffla-t-elle.

Elle se rassit sur ses talons, crapotant une nouvelle cigarette. La silhouette sortit enfin de l'établissement ce qui tira un sourire à la jeune femme. Il était louche. Ok, tout le monde était louche dans cette putain de ville de dégénérés, mais lui encore plus que les autres. Mars avait le nez pour ça, c'était dans sa nature d'attirer les mecs louches, et d'être attirée par eux. Au moins, elle était honnête avec elle-même, elle avait un sacré instinct de merde et un karma de pute. Elle le trouvait assez louche pour lui dédier sa prochaine journée de super-héroïne. C'était un peu con, elle avait la plupart des horaires de nuit et devait combattre le crime de jour. Les cheveux attachés, elle portait une capuche pour cacher son identité. Son sweat noir avec des toiles d'araignées était devenu sa marque de fabrique, pour certains crimes mineurs qu'elle avait su arrêter. Mars aimait ce passe-temps auquel elle dédiait ses journées, son énergie et son argent. Le super-héroïsme. C'était tout une manière de vivre ! C'était ... Protéger la veuve et l'orphelin. Bon, la plupart du temps, l'activité justicière de Mars se réduisait à un cassage de nez de voleur de sac à main, mais même comme ça, elle était heureuse. Sauf qu'elle sentait qu'elle avait fleuré un gros poisson, avec celui-là. Il puait le mal à dix kilomètres à la ronde. Ou alors il était juste putain de séduisant. A choisir, elle n'avait pas encore décidé.

Elle le suivait de loin, la cigarette toujours pendue à sa lèvre alors qu'elle pianotait sur son téléphone pour se donner une contenance. Une si belle contenance qu'elle entra brutalement dans ce qui ressemblait à un torse. Oh. Elle releva son nez, l'air de rien, alors qu'un long frisson la parcourait. C'était un dos. Ou un torse. Un truc encore non-identifié. Elle recula d'un pas. Un torse, au final. Elle n'entrouvrit même pas les lèvres, le fixant droit dans les yeux comme pour lui demander des explications. Il faudrait qu'elle pense à continuer sa route, cela dit... Ca devenait suspect. " Humpf ..." Elle finit par remarquer qu'elle y avait perdu sa cigarette et en sortit une nouvelle en faisant claquer la pierre du briquet dans un mouvement nerveux. Niveau filature, elle était vraiment pas douée. Faudrait clairement qu'elle réessaie ... Elle disparut dans une rue, sans essayer autre chose pour cette journée.

C'est quelques jours plus tard que Mars arriva à le suivre sans se faire repérer comme la première des idiotes. Pas mal fière, elle finit par entrer dans le bâtiment, une sorte d'immeuble tout à fait banal. Elle laissa tomba sa capuche sur ses épaules, tâtonnant dans le noir en glissant contre le mur. Il y avait une sorte de ... Lumière. Chaude et ocre. Elle avança doucement vers la source lumineuse et sentit son pied se prendre dans quelque chose, ou quelqu'un, ou encore une chose non-identifiée et se sentit tomber en avant, brutalement ... Longuement. Très longuement. Tombant en avant, elle se rattrapa brutalement à quelque chose, avant de se fracasser le cul contre une surface froid. " - Putain de bordel !" Elle hoqueta doucement, sous le choc, alors qu'elle réouvrait les yeux ... Ow. Ow, ow, ow. C'était quoi, ça ?! Elle avait devant elle... Des femmes. Nues ou frêlement habillées, dans des positions équivoques. C'était un peu étonnant, comme première vision. Elle recula, cherchant de nouveau la lumière ocre pour repartir par là où elle venait d'arriver, pas vraiment conquise par cette image. Elle fronça les sourcils. Pourquoi ces nanas ressemblaient plus que parfaitement à toutes les femmes portées disparues depuis quelques semaines ? Elle s'était penchée sur le sujet pendant une dizaine de jours avant d'abandonner. C'était en dessus de ses capacités.

Mais du coup, elles étaient là. Genre ... Là. Là. Ok... Elles étaient là. Elle avait du mal à réagir, le souffle un peu étouffé. " - Vous allez ... Bien ?" La question paraissait totalement conne, dans cette situation précise mais c'était tout ce qui lui était venue à l'esprit. Elle avait un peu du mal à capter là. Vraiment du mal.

6
A Las Vegas, les flics étaient partout. Incompétents, mais partout. C'était une fourmilière de flics en civil, en uniforme, en costume, en gilet pare-balles. Ils étaient un peu comme des parasites qui vous faisaient chier au quotidien, vous piquaient comme des puces et vous sucaient le sang comme des fucking connards. Les flics et vous ? Une grande histoire de sexe et de corruption. Vous aviez bien servi au Dealeur pour corrompre les flics déjà véreux qui ne demandaient que du cul et de la luxure pour se taire à jamais. De toute façon, deux solutions s'offraient à eux : soit ils acceptaient de se faire la pute du Dealeur (means you, anyway), soit ils finissaient par se la fermer avec la tête dans une bassine d'eau gelée à tenter de respirer par les trous de balles dans leurs crânes. Certains incorruptibles finissaient trois pieds sous terre avec leur queue entre les dents (Don't fuck with us, you fucking cop ! Mais les autres finissaient avec leur queue entre vos dents à vous, avant de se taper des putes du réseau du Dealeur. Alors ouais, les flics vous les connaissiez, et le plus souvent, de près, de très près, très intimement. Plus lâches que ces mecs, ça n'existaient pas. La plupart auraient eu la chance et le pouvoir de trucider le Dealeur une dizaine de fois, s'ils en avaient eu le courage, mais voilà, ils crevaient la peur. Ils en auraient vomit leurs tripes et il suffisait d'un regard noir pour que toute tentative de rébellion envers l'autorité mafieuse et brutale du Dealeur, soit matée. Non, décidément, c'était beaucoup trop simple.

Vaguement, vous sentiez un truc qui se passait autour de vous, mais c'était pas très clair. Vous ressentiez des choses, un peu vagues, un peu floues mais bordel, vous êtes incapable de dire ce qui fut le plus perturbant. Vous réouvrez brutalement les yeux, en essayant d'inspirer, comme si le souffle vous manquait, prêt à étouffer avant de sentir trois choses justes perturbantes. Les lèvres de Vaas sur les vôtres, le parfum d'une drogue inconnue qu'on venait de vous injecter, et l'écho un peu flou d'un putain de "I love you" by Vaas. Et ça, c'était le pire. Vous restiez là, haletante, le regard dans le vide alors que vous sentiez votre bras un peu bandé, remarquant la déchirure dans sa chemise. Ok. C'était de nouveau trop pour vous là. Ok, ce mec était fou, certes, mais là, ça faisait trop de folie vous concernant brutalement et directement. Genre, vous aviez pas entendu un "Je t'aime" depuis quoi ... Deux ans ? Le Dealeur le susurrait pour vous faire enrager de temps en temps, parce qu'il savait que ça vous rendait totalement paumée. Ouais, vous étiez pas trop habituée à des putains de déclarations, totally fucked up. Finissant par grogner, vous baissez les yeux pour attraper votre veste, en papillonnant des cils. Hanlala. Cette vie était devenue trop compliquée pour votre âge. Vous allez prendre votre retraite et ne plus jamais entendre Vaas vous dire qu'il vous aime parce que vous l'avez sucé so well. Vous restez silencieuse alors que vous claquez votre langue à votre palet, en vous relevant, un peu chancelante. Vous vous appuyez une seconde sur l'épaule du mercenaire indonésien et lui lancez une petite grimace qui se veut sympathique.

" - Ouais. On bouge." Vous ne parlez même pas du fait que putain, il a l'air de savoir que vous êtes une nana. Enfin, ça ne vous a pas encore effleuré, et pourtant, lui a l'air de s'en être convaincu sans y avoir même réfléchi. L'instinct sans doute. Vous attrapez le drap, tirant brutalement dessus pour le déchirer de part en part et le jeter par le trou fait par le cocktail molotov vers l'étage d'en bas, comme si vous alliez vous en servir pour descendre. " Mais t'es con ou ?" Vous l'attrapez par la chemise alors qu'il faisait mine de vouloir descendre par là, et le tirait vers la fenêtre, finissant de la fracasser d'un coup de coude. Vous vous accrochez pour sortir, regardant les trois étages en bas avec un frisson, vous accrochant à un tuyau avec un petit soupir. Vous ne comptez juste pas descendre, ça serait trop dangereux, mais vous regardez un peu sur les côtés. Il y a un toit qui vous tend les bras, deux batiments à droite. Il suffit ... Il suffit de traverser le batiment que vous venez de fracasser de gauche à droite et sauter sur le toit, et vous barrer par les escaliers de secours. Retrouver la voiture, et vous prendre des mois de vacances. Vous jetez un regard à Vaas, en passant votre langue sur vos lèvres, glissant lentement contre une seconde fenêtre, en vous collant bien au mur, la souplesse naturelle de votre corps s'aidant de votre force acquise par le parkour. " Tu suis, darling ?" Vous inspirez. C'est légèrement stressant, mais faudrait aller beaucoup plus vite. Un regard autour de vous et vous accélérez, difficilement, votre tête continuant de tourner un peu. Les flics sont entrés dans la pièce que vous venez de quitter et un rire nerveux, quoique silencieux, vous échappe. C'était moins une.

" - Ils sont en bas ! Descendez, descendez ! La fenêtre ! Regardez la fenêtre.
- Fuck."
[/color]Vous vous attrapez brutalement à l'avant bras de Vaas, pour vous pendre en vous tenant de l'autre main au bord du mur, et donnez un grand coup dans la fenêtre en dessous de vous, à l'étage inférieur, avant de remonter à la force des abdos.
" - Non, non ! Ils sont en dessous ! Descendez, putain !"
 
Vous souriez en coin, remontant difficilement, aidée par Vaas, avant de finir votre épisode escalade en roulant sur le toit, dans un long soupir. Putain, ce bordel. Vous restez au sol, pour l'instant, les flics semblant patrouiller, un peu sur leurs gardes. Votre visage à quelques centimètres de celui de Vaas, vous tirez la langue, pour brutalement attraper ses lèvres dans un baiser passionné, sauvage, vos dents mordillant la peau alors que votre souffle est brûlant. Vous le regardez droit dans les yeux, en haussant un sourcil joueur. La lèvre inférieure de Vaas entre vos dents, vous mordez un peu plus pour le faire saigner, léchant les petites gouttelettes en souriant. " - Ne me dis plus jamais je t'aime. Ca me stresse, ces conneries." Vous soupirez un peu, alors que vous tournez sur le dos, semblant doucement aller mieux. Il a mieux arrêté le sang que vous et la balle ayant déjà été enlevée, vous pouvez un peu respirer mieux. Vous regardez le ciel, toujours gris, la pluie continuant de tomber, brumeuse. Haletante, vous finissez par vous relever doucement avant de saisir la silhouette d'un policier. "Ils sont encore là, these balls heads..." Lentement, vous tournez la tête vers Vaas, en glissant le doigt sur la piqure de la seringue en passant votre langue sur vos lèvres, un peu excitée encore. Décidément, l'adrénaline c'était plus qu'actif sur le sexe. "C'était quoi, ta drogue ? Putain de fort."

Un silence. Puis, la bouche ouverte pour boire les goutes d'eau alors que vous refermez les yeux, vous sifflez. Vous l'observez du coin de l'oeil, avec une petite rougeur aux joues. "J'aurai pensé que tu préférais me voir morte. D'ailleurs, je suis une nana. Si t'étais pas certain."

Oh pauvre chérie. Vous avez été touchée par le fait qu'il vous maintienne en vie ? C'est mignon.

Et pathétique.

7
One Shot / Re : Should I stay or should I go? - [PV]
« le: lundi 04 avril 2016, 11:21:29 »
" - Submarine ? Hmpfr." La forme humaine grogna. Elle n'avait plus parlé à un être humain depuis le début de l'Apocalypse Zombie ... Oh ça devait bien faire dix mois ? Frida Fucking Suzie comme on la surnommait, était une superbe américaine, à la peau mate, vivant près de Washington. Elle avait longtemps vécu près de la mer, où elle était connue pour être une famous surfeuse. Elle avait quitté sa plage et sa mer pour les beaux yeux d'un citadin, mais était restée une vraie sauvage, au fond, une de ses femmes indomptables qui jouait avec le feu. C'était d'ailleurs ce qu'elle avait fait pendant deux ans dans la ville en bordure, cracheuse de feu le soir, et garde forestier la journée. Elle avait choisit de prendre "soin" de la forêt, à sa manière, en harcelant tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un braconnier. Finalement, l'Apocalypse Zombie n'avait pas changé grand chose à sa vie, ayant quitté son fiancé quelques mois auparavant pour se cloitrer entre quatre arbres, et essayer de se retrouver, de se ressourcer, comme la sportive sauvage et increvable qu'elle était. A Hard Life, for a Hard woman. En survie dans la forêt, elle s'était mise à chasser au lieu de protéger, et avait bien vécu la fin de la civilisation, puisqu'elle l’exécrait, de toute façon. Elle s'était trouvé des armes, en avait créé une à son effigie, sauvage et brutale, dangereuse et mortelle, et avait finie par sécuriser par des hordes de zombies les abords de la forêt. Chaque partie non boisée était remplies de hordes plus ou moins apprivoisées, bloquées entre des treillis et des troncs d'arbres. Elle dormait, elle, dans un arbre en hauteur, dans une cabane un peu étrange, à peine aménagée, où elle montait grâce à ses talents d'acrobates. En bas ? Un Tigre, guère vivant, en décomposition la plus totale, qu'elle avait apprivoisé, dompté et qui lui obéissait malgré un cerveau un peu foutu par le shitty virus.

Submarine grognait, semblant clairement énervé par une présence étrangère dans la forêt. La chasseresse sauta au sol, attrapant son arme. Elle avait fini en maillot, un maillot une pièce qui s'était déchiré un peu n'importe comment. Elle était d'un parfum ... Animal. Clairement. Elle faisait d'ailleurs un peu peur, dans son genre. Elle caressa le haut du crâne moisi de son animal de compagnie, alors qu'elle se laissait aller accroupie, pour glisser la main dans la boue. Sa langue glissa sur ses lèvres alors qu'elle esquissait un sourire un peu fou, grognant de plus belle. Parler ? Elle ne savait plus. Elle sifflait pour faire obéir son tigre, grognait pour converser avec les zombies, claquait des doigts pour les faire aller là où elle le désirait. Elle mordit dans l'air, suivant l'animal énervé, qui sentait la chaire fraiche. Au passage, elle regarda ses pièges et déchira la patte d'un lapin mort pour poser l'animal sur son épaule, laissant la patte pour attirer des animaux un peu plus gros. Un cadavre sur une épaule, le sang de l'animal se mêlant à la boue et aux entrailles de zombies qui habillaient la jeune femme, elle esquissa un sourire sauvage et brutal. Le bruit de la civilisation. Une voiture qui ronflait, une musique qui hurlait au loin. On s'approchait.

La bête était bien intelligente. What a luck, to have it ! Frida attrapa une chaine qu'elle laissait trainer dans les environs, avec une sorte de lourd collier en fer, chaine créée pour les animaux de traits. Elle enroula la chaine autour de son poignet, laissant trainer le collier qui crissa lentement. Elle s'accroupit dans les fourrés, pour voir apparaître à l'orée de la forêt une silhouette masculine, bloquée et sécurisée dans une armure high-tech. Ca ferait autant sa perte que sa victoire. Il suffisait de savoir jouer avec pour que l'armure soit lourde et dérangeante et non pas un allié. Le tigre grogna brutalement, et avant que la belle n'ai le temps de l'attraper, il sauta sur le pug qui trainait dans les passages ... Pour jouer avec. Sérieusement. Un Tigre, aussi puissant, déjà crevé, qui venait jouer avec un putain DE PUG ?! Frida eut un grognement de mécontentement et serra de plus en plus fort sa chaine en claquant sa langue à son palet. Elle se leva de sa cachette improvisée, ses iris flamboyant mitraillant le jeune homme qui arrivait sur ses terres. "Pars." Sa voix était rauque et ressemblait plutôt à un grognement, à une sorte de cri qu'à une parole. Elle le fixait, son arme dans une main. Elle siffla le tigre qui délaissa son compagnon de jeu pour venir se frotter à elle, montrant les crocs. "PARS." Elle sentait l'odeur des provisions. Ce mec n'était pas là pour venir camper. Il chercher à avoir plus de nourritures, plus d'eau, plus de médicaments... Il était là pour des ressources. Il était donc un ennemi potentiel. " - Go away. Now."

8
La question ne se posait même plus. Tant que vous suciez, quelque soit votre sexe, vous suciez. Et putain que c'était bon ! Vous hésitiez un peu sur la raison d'un tel bonheur, mais godness ... Ouais. C'était vraiment bandant. 'Fin excitant. Enfin, bref, vous preniez autant votre pied que le fou qui en profitait au dessus de vous, et ce malgré la douleur lancinante dans votre bras, et les putains de sirènes de flics qui semblaient se rapprocher sans jamais vraiment vous atteindre. Les flics, le métier d'incompétents par excellence. Ici, ils ne servaient qu'à venir voir que oui, il y avait des morts et que oui, c'était très triste. Mais c'était tout. Arrêter des mafieux ? Ils n'avaient pas dû le faire depuis ... some ten years, at least ? Un sourire se dessina sur vos lèvres alors que vous l'entendiez. Pour vous, la fellation, c'était le signe du pouvoir. Un mouvement de mâchoire et cette queue partait en steak haché. Le pouvoir, il était là, pouvoir faire autant de mal que de bien, pouvoir faire hurler de douleur ou gémir de plaisir, tout ça avec des lèvres ou des dents. La virilité d'un homme à porté de main, toute son estime, toute sa confiance en lui, vous la contrôliez, là, maintenant, tout de suite. C'était une sensation envahissante, qui vous rendait encore plus .. Hystérique. Ouais, c'était le mot. Vous finissez par grogner lentement alors que votre langue parcourt le membre, langoureusement, dévorant ce chibre puissant qui s'offrait à vous, comme une fucking offrande face à votre faim sexuelle. Vous suivait lentement le mouvement des mains de l'homme, alors que vous fermez un peu les yeux, accélérant vos mouvements de va et vient sur le membre, dans de lourds soupirs brûlants. Mpf... Vous en profitez, avant de relever votre nez rond, d'un coup, dans un grognement de surprise. Ow, vous avez l'impression de flotter. C'est violent quand même, la dose d'alcool et de drogue que vous devez avoir dans le sang, pour que l'excitation vous provoque des tels effets ... Vous accélérez un peu, votre main glissant doucement pour venir attraper la fesse droite de son Boss, pressant lentement alors que vous laissez le membre s'enfonçait encore plus dans votre gorge, vous obligeant à vous cambrer en arrière dans un grognement intense.

" - T'veux pas jouir, sweetie ? Les flics arrivent."

Vous grognez un peu et accélérez encore, avant de brutalement ressentir l'orgasme du jeune homme dans votre bouche, la semence s'étalant dans votre bouche sans aucune pitié alors que vous étouffez légèrement, toussotant, Vaas vous obligeant à garder son membre entre vos lippes tremblantes. Vous hoquetez un peu, avec de petits gémissements alors que lentement, vous êtes obligée de swallow le liquide en grognant, relevant les yeux vers Vaas avec un regard coléreux. Vous finissez par mordiller la chaire pour qu'il retire sa queue de votre bouche, crachant le reste sur le côté, un filet de bave glissant le long de votre menton, mêlé à du sperme, alors que vous baissez les yeux, sifflant.

" - You bitch... Je dois vraiment passer à l'infirmerie, là ... C'est pas que j'ai un putain de trou dans le bras mais je commence à douiller." Passant lentement votre bras sur vos lèvres pour retirer les dernières traces de votre blow job. Vous vous reculez un peu, et lui lancez un long regard, attendant qu'il se retire d'au dessus de vous pour vous donner l'occasion de vous relever. Vous glissez sur le côté, dans un putain de cri aigu. " AND FUCK !" Vous attrapez malgré tout votre manteau de cuir et tentez de vous remettre debout. Vos yeux se ferment, doucement alors que geignement aigu vous échappe, un grognement de plus en plus fort. Vous sentez votre tête qui tourne, votre tête qui tourne encore ... Vos doigts se crispent brutalement sur le drap, alors qu'une grimace se dessine sur votre visage. Ca tourne, ça tourne... Encore... Et le souffle s'accélère, et les objets deviennent flous, et la douleur s'accentuent, encore, encore.. Et ça tourne. Vous tombez sur le côté, brutalement, dans une perte de connaissance tout à fait ridicule mais surtout soudaine, votre tête tapant contre le côté du lit. Votre bras a continué de saigner, et là où vous vous étiez allongée pour sucer Vaas, une grande tâche andrinople s'étale. Votre souffle est haletant avant que tout ne s'arrête brusquement. Puis, une seconde et quelques plus tard, votre halètement reprend, sans que vous ne repreniez conscience. Dans cette position, votre salive commence doucement mais surement à vous étouffer. Votre tête est lourde, votre corps est douloureux, votre esprit est en loque.

Nan, décidément, nan. That was not a good idea. L'arrière gout âcre de la semence continue de vous empoisonner la gorge, alors que votre est parcouru d'un putain de soubresaut, un spasme qui pour autant ne vous fait pas reprendre conscience. Les taches sanglantes, écarlates, qui ont giclées sur votre peau apparaissent brutalement comme agressive, tant votre peau s'est blanchie sous la perte assez soudaine de sang. La montée de l'excitation, sans doute ? Ou la descente d'adrénaline. Vos lèvres pourpres, encore tremblantes et humides sont restées entrouvertes, dévoilant le bout de votre langue qui caresse vos dents. Etalée ainsi sur le lit, le corps fragilisé par l'attaque et les blessures, inconsciente, il y a quelque chose de terriblement sexy dans la scène. Peut-être est-ce la féminité qui se ressent dans la vulnérabilité de votre position, ou la douceur de vos traits quand vous ne les tirez pas.

En tout cas, les flics, eux, se rapprochent alors que vous continuez de fondre sur le matelas, la tache de sang sous votre épaule s'agrandissant lentement, comme un poison qui prendrait lentement plus de place, plus de pouvoir, en s'étalant encore et encore. Votre souffle qui a repris est lourd, un peu sifflant. L'ensemble est pitoyable et flaibard, une preuve que l'autodestruction fonctionne. Quand votre corps n'est plus apte à supporter des douleurs et des blessures qui ne vous auraient pas gênés avant, c'est la preuve flamboyante que vous êtes bien arrivée à vous détruire, lentement, de l'intérieur. I've tried to kill myself, twice. But, both times, I didn't have the courage. You know, I just felt like I was not able to do it. I couldn't pull the trigger. I couln't just look at myself in the mirror and do it. It was impossible. Every fucking times, I was not able to kill myself, although I could kill anybody else. Even my mother, even my daughter. But I'm a coward. I can't do it. I'm a fucking coward, I'm a FUCKING COWARD. Just like my Mum, just like my Bro', just like my lover. I'll die a coward, as I live one. I'll die old. I'll die ill. And even whan I'll suffer from my age, I'll not avec the fucking courage to do it. I'm not brave. I'm not even human. I'm just ... Some stupid ... Thing. A physical body, unable of his own actions, who has to obey.

Such a waste of life, such a waste. I'm not proud. I'm not brave. I'm not useful.

9
La scène était apocalyptique. Ca vous rappelait vaguement quelque chose. Un autre bordel du genre. D'ailleurs, ça c'était passé dans un casino. Vous vous rappelez encore Le Dealeur qui vous avez amené dans ce casino. Putain de beau casino, bling-bling possible, qui puait l'alcool et la drogue, le sexe et la pisse. C'était un paradis pour vous. C'était malsain, glauque, l'argent coulait à flot, l'alcool aussi et la drogue circulait entre les tables, tout autant que les putes. Vous aviez bien aimé le premier soir, même si vous aviez perdu à peu près tout l'argent du Dealeur. La nuit avait été longue, la journée encore plus alors qu'il en avait profité pour vous punir. Comme s'il avait besoin d'une putain de raison pour vous baiser, hein ? Nan, par contre pour sortir le shibari et des choses plus ... Violentes, ouais. Il aimait bien rendre ça plus excitant avec une très bonne raison pour vous attacher au lit et vous assouplir de force. Une fois, alors qu'il était bourré, il vous avez cassé la jambe. Cette fois-là, vous aviez sentit une onde de douleur si intense se mêler au plaisir que vous en aviez jouit immédiatement. La douleur était devenue indécente, et le plaisir incontrôlable. Ou peut-être l'inverse ... Anyway, au bout de quelques soirs Le Dealeur avait pris un grand plaisir à vous expliquer pourquoi il vous menait là, et vous aviez mit ce fusil à pompe dans les mains avec un grand sourire, glissant un doigt dans votre pantalon pour l'enfoncer en vous, sans que vous ne réagissiez, trop dégoutée par ce qu'il vous demandait. Vous vous plaisiez dans cet endroit, il le savait. Il le faisait purement et simplement exprès. Vous aviez tout défoncé, avec son aide. Un à un les serveurs étaient tombés, une à une les barmans s'étaient fait exploser le ventre, les croupiers avaient fuit avant de se prendre des volées de balles dans les jambes et dans le dos. Le sang s'était répandu dans chaque parcelle de l'établissement, le massacre était total. Puis ça avait été le tour du mobilier. D'abord les machines à sous, qu'il vous avez fait fracassé à coup de pieds jusqu'à ce que vous en pleuriez de rage et d'épuisement. Puis les roulettes, puis les tables de Poker ... Il avait finit par vous mettre à genoux devant les jetons, comme un condamné devant sa potence, en vous faisait ouvrir grand la bouche, pour y enfoncer les jetons, un à un, jusqu'à ce que vous en étouffiez. La rage, la colère ... And Hope. Ouais.

Il vous avez sauvé. En tout cas, il vous avez sauvé pour quelques mois de votre addiction. Le dégout avait fait place à l'envie de perdre du temps dans les casinos, et ce traumatisme avait été une bonne psychanalyse d'après lui. Vous en étiez pas certaine, mais vous vous rappeliez encore la scène terrible de ce casino, that so lovely casino, massacré par votre amant et vous, les éclats de verres se mêlant au sang, l'alcool se mêlant aux boyaux, et les sirènes des flics qui se rapprochaient alors qu'il continuait inlassablement d'essayer de vous faire bouffer des jetons, pour que vous les vomissiez et ne puissiez plus les voir sans vomir. Il voulait vous traumatiser, il voulait que le réflexe conditionné soit tel que vous ne puissiez plus vous approcher d'un casino sans en avoir le ventre retourné, l'esprit lourd et la rage à l'estomac. Malheureusement, la volonté, votre volonté, avait été plus forte. Even against the greatest ennemy, you'll never abandon.   Faire face à vos peurs ? Non. Vous préfériez perdre votre jeunesse dans la drogue et la luxure, l'addiction et les jeux. Et c'était comme ça que vous aviez finit par atterrir dans des conneries de ce genre. From Hell Paradise to Hellish Lands Ici ? C'était pire. Ici, vous auriez pu être dégoutée d'exactement tout ... Du sexe, excessivement dégueulasse. De la drogue, excessivement commode à trouver et à prendre... Et de l'alcool. Bon sang, entre les liqueurs japonaises et la vodka allemande, sérieusement ? Vous auriez pu vous nourrir exclusivement d'alcool, encore et encore, jusqu'à devenir vous même de l'alcool, bien lourd. On vous aurait mit une flamme à côté, vous auriez pu explosé, quelques jours auparavant. Et le lendemain ? Plus qu'une gueule de bois. Ca allait que Vaas c'était réveillé pour vous obliger à bouger votre cul, sinon vous auriez finit comme une putain de momie, momifiée de l'intérieur.

Vous ne l'écoutiez pas. Vos yeux étaient dans le vide, vous repreniez difficilement votre souffle. C'était plus de votre âge, these stupids fights. Vous finissez par relever la tête quand la voix de Vaas se rapproche. Putain, cette voix. Un accent étrange, une voix étrange. Pas vraiment grave, pas vraiment aigue non plus, mais avec une sorte de ... Folie dans l'accent. Bien sûr qu'il en avait bandé. Vous étiez un peu dans les vapes, en vérité. Mal à la tête, mal au bras qui avait certes arrêté de saigner mais qui lançait bien et mal au torse. Ca faisait un peu beaucoup. Vaas ? Même pas une coupure ! Lucky Bastard... Vous vous étiez sacrifié pour lui, limite. Ah, il vous le paiera. Tout se paierait un ...

" - OH BASTARD ! Don't touch me ! Vaas ! Recule. RECULE FOR FUCK SAKE !" Vous vous époumonez sous la surprise avant de le sentir sur vous, votre corps au milieu des balles, dans le matelas troué et en morceau. Votre visage a quelques centimètres du sien ... Il n'y a rien de sensuel, dans ses mouvements. Il y a l'excitation de la bataille, la sueur de la mort, la violence de la folie. Et Dieu, vous, ça vous excite dix fois plus qu'un baiser perdu dans les épaules ou qu'une douce caresse. Il vous turn on sans aucun soucis, en quelques secondes alors que votre corps souple se perd entre ses bras, se cambrant dans un gémissement aigu. La fièvre vous monte à la tête, votre voix se tord en un grognement puissant alors que votre bras blessé s'enfonce dans les restes de mousse, se calant sans que cela soit douloureux. Ok... Let's do it. Votre corps ondule doucement et vos dents attrapent sans aucune tendre la lèvre inférieure de Vaas, pour la mordiller, avant de la suçoter, langoureusement, votre langue venant brutalement se frayer un chemin entre ses lippes tremblantes encore de rage. Un sourire en coin se forme sur vos lèvres et vous soufflez, dans un son rauque. "- Laisse moi croire en tes capacités sexuelles, encore un peu et sucer cette queue, tu veux, honey ?

Une manière comme une autre de garder pour vous votre redoutable secret. Puis, vous êtes hungry et la bosse que dévoile le pantalon de Vaas n'aide strictement en rien, vous avez envie de gouter à son chibre puissant que vous pouvez imaginer, vous avez envie de venir lécher ce phallus là, de le dévorer même, entre vos lèvres pulpeuses et charnues qui ne demandent qu'à être remplies. Vous entrouvrez la bouche pour laisser échapper votre langue qui vient se perdre, furieuse dans la gorge de Vaas, votre souffle brûlant. De votre bras valide, vous défaites simplement sa ceinture pour vous saisir de son membre sans plus de procès, vos mains fines pressant légèrement la chaire, alors que vous attendez qu'il bouge pour pouvoir vous glisser le long de son torse et venir plaquer vos lèvres sur le gland. Votre langue entourera le gland, avant que vous n'enfonciez de vous même le chibre dans votre bouche, laissant le gland découvrir le début de votre gorge dans un gémissement de plaisir. Oh putain. That has a been a fucking long time ... Vous esquissez un sourire avant que votre langue ne viennent entourer le membre, alors que vous commencez de larges va et viens sur le membre. Vous n'auriez pas votre bande, et vous n'essayeriez pas de garder votre genre secret, vous auriez déballé vos seins pour pressez cette queue entre vos deux bonnets 95B. Mais décidément, vous devez faire croire que vous n'êtes qu'un homme adorant la queue. Les yeux fermés, prête à subir les attaques de Vaas que vous ne connaissez que trop bien pour profiter seulement d'une fellation, vous accentuez vos mouvement en glissant une main sous la queue, caressant lentement les testicules de l'homme de votre main, dans un gémissement encore plus intense. Oh l'odeur du sexe ... Such a tease...

10
" - J'ai une queue à portée de mains depuis des mois. Si j'étais en manque, j'aurai pris le soin de m'en servir, Georgette." Sauvage, Frida siffla pour que Sub ne s'éloigne pas trop. Elle n'aimait pas cet endroit, décidément. Elle n'avait pas confiance dans ce silence. Et d'ailleurs, elle avait bien raison. Elle eut un mouvement nerveux de sa lèvre supérieure alors qu'elle entendait différents bruits à l'extérieur du mall. " - What the fuck ? Ils sont en train de trucider la horde !" En fait, c'était plutôt logique s'ils étaient normalement constitué de tuer la horde de zombie qui trainait autour du mall. Même si c'était des zombies apprivoisés, ils restaient des zombies, donc des choses cannibales qui désiraient tuer tout ce qui état vivant et ressemblait à de la nourriture. Mpf. Mais ça la gonflait ! Elle donna un brutal coup de pied dans une tête de zombie qui alla s'écraser contre le coin d'un meuble. Submarine s'énervait de plus en plus, semblant ne plus savoir où donner de la tête. Le Mall et l'extérieur du Mall était soumis à la présence des humains et la pauvre bête perdait pied. Frida grogna et se releva pour poser la pointe de sa lance sur le torse de George et le faire reculer lentement. On ne savait jamais ce qu'elle avait en tête. Peut-être comptait-elle le tuer ? D'un coup ? Hé, on parlait d'une sauvage qui avait plus de relations avec les bêtes et les arbres qu'avec des humains depuis quelques années, déjà. Elle lui fit un soudain petit signe de tête, pour lui montrer la silhouette plantureuse qui se déplaçait vers eux, et ensuite sauta sur Submarine qui était en train de fouiller dans un Magasin de vêtement. "Reste là, salopiaud de cleb." Elle renifla un peu, papillonnant des cils. Putain ce bordel de merde. Elle entendait le bruit, les cris, les rires, les grognements, les hurlements des humains. Ils étaient plus sauvages que les bêtes. Elle plissa les yeux alors qu'elle se relevait, tirant Submarine en soupirant. C'était quoi ce bordel. Pourquoi dès qu'ils allaient quelque part, personne ne pouvait rester tranquille ? Sérieusement, c'était trop demander ? Elle siffla doucement, passant le bout de sa langue entre ses lèvres avant d'éclater de rire. La gamine avait l'air terrifiée. Qu'est-ce qu'elle foutait là, la lycéenne ?

" - T'as vu ça ? Deux femmes pour le prix d'une. Attrape la blondasse. Toi, bouge ton cul. On dégage, y'a un truc louche qui s'passe dehors." Elle parlait bien à Tara, qui s'étalait par terre avec un tigre grognant à son encontre, un tigre qui semblait plus que décidé à venir lui mordiller les os. La délicate sauvage eut la douce attention de lui tendre le bout de son arme pour l'aider à se mettre debout et lui attrapa le bras sans aucune douceur alors qu'elle grognait un peu. Les cris devenaient de plus en plus aigus, de plus en plus intenses. Il se passait quoi, comme bordel, là ? Elle jeta un regard à George et lui lança finalement un sifflet en os qu'elle avait créé quelques jours auparavant, en soupirant longuement, relachant la pauvre lycéenne. "La blonde pue la mort. Fais gaffe à ton cul, darling." Elle se rapprocha de lui, pour le prendre à part, zieutant Aya d'un air peu avenant, claquant sa lèvre à son palet. "Pas confiance. Je vais voir ce qui s'passe dehors, tu gardes celles-là. T'as dit que je devais m'humaniser ? Si elles sont normales, on les garde avec ta p'tiote. Je te prends une poupée gonflable ?" Elle lui lança un grand sourire alors qu'elle perdait ses lèvres dans sa gorge, après avoir mordillé lentement son oreille. Se faisait-elle du soucis ? C'était une sorte de marque de protection. La blonde avait l'air chaude du cul. Frida n'avait pas envie de se battre pour sa possession, Gorge et elle resteraient ensembles, qu'il soit consentant ou non. Elle lui remit son masque en place et posa un baiser sur le museau dégarni de Submarine en l'attirant vers elle. Il restait auprès de la blonde. Elle grogna. "Sub' ? Tu veux baiser de la femelle ou quoi ? Hé ! Sub', viens là." L'animal donna un large coup de langue à la jambe de la blonde avant de daigner se tourner vers sa maîtresse. Bon sang.

Frida tourna finalement les talons, en rajoutant. "Siffle si t'as besoin, sugar. Je serais une obéissante minette et je viendrais auprès de mon maître ~" Un rire rauque lui échappa légèrement alors qu'elle s'éloignait.

En cas d'Apocalypse Zombie, la première règle est de ne jamais se séparer. Retenez ça, les enfants. Frida fit sauter le cadenas d'une boucherie, qui semblait avoir des fenêtres. La jeune femme sentit sa bête se contracter un peu, grognant nerveusement. Elle lui ordonna de rester à la porte, pour que le problème soit réglé, et finit par entasser des chaises pour arriver à atteindre une fenêtre sale qu'elle ouvrit pour regarder à l'extérieur. Ce bordel. Ce massacre. Cette violence. Elle se pencha légèrement en avant pour mieux voir la troupe violente de bikers de zombies qui finissait d'achever sa horde. Ils semblaient avoir remarqué que les zombies avaient été rendus inoffensifs et elle eut une moue. Ils allaient sans doute entrer dans le Mall. Ils devaient déguerpir avant que ça ne dégénère. Ces gens faisaient peur. Frida soupira, continuant de les observer en faisant jouer son arme dans sa main, avant de frissonner. Faisait froid, putain. Elle tourna la tête. ... Pourquoi la porte de la chambre froide était ouverte ? Elle avait manqué un ennemi ? " - Submarine ?" Le tigre grogna à ses pieds. Fuck, fuck, fuck...

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Tous dans ce bled avait une relation au sexe putain d'étrange. Non pas que ça vous gênait que ça baise tout le temps, partout, que le lycée soit un repère de détraqués sexuels, mais putain, Las Vegas s'était calme à côté de ce trou. Même niveau mafia, pour une ville assez petite, il y avait de quoi survivre 100 ans au dos des différentes mafia. Vous en restiez purement étonnée, dans le bon sens du terme, in fact. C'était un bon changement, vous auriez toujours du boulot ici, pour tuer des gens. Enfin, si vous restiez vivante. Et ça, c'était pas sûr parce que fuck, he was such a motherfucker, this fucking man ! Always there, when you wanted him to be far from you. He was just exasparating and you wanted to take a knife and cut that neck from the right ear to the left one ! And then to make him eat his own testicles ... 'Cause that would be great to watch. L'Anglais revenait toujours quand on vous énervait et vous aviez eu du mal à l'engueuler en Japonais, tellement les insultes s'accumulaient à la frontière de vos lèvres charnues. Mais vous deviez garder votre calme avant de vouloir réellement et totalement l'achever. Pour l'instant, c'était lui qui pouvait vous achever quand il voulait, et votre bras vous lancait grave. Shit, that hurts as hell. Ca faisait un bail que vous vous étiez plus pris de balle. D'habitude, ils n'ont pas le temps ou alors ils ne savent pas viser. Mais vous étiez prêt à parier que cette balle venait de l'arme de l'aut'con. Vous auriez du gardé la balle pour vérifier. C'connard de merde vous le paierait. Vous vous tournez brutalement en arrière quand vous entendez une porte s'ouvrir. Oh fuck she is hot ! La Russe était canon et un sourire se dessine sur vos lèvres alors que l'autre lui crache tout son amour de manière très imagé. Celle là, vous la voulez bien et vous l’achèverez après l'avoir baisée. Enfin baisée ... Vous sortez de vos pensées pour faire face à ce carnage de sang, de balles, de violence. Putain, ça c'est beau. Excitant au possible, vous ne pouvez vous empêcher de gémir légèrement en glissant un doigt dans la plaie d'un des cadavres pour faire saigner encore plus son cadavre. Mais pas vraiment le temps de se toucher dans le sang, ils vont pas tarder. Vous finissez par le regarder, en haussant un sourcil. Putain, comment pouvait-il être aussi con, just like a fucking child ! Sauter, ouais, puis voler aussi ? Avec des ailes d'anges et une kalach pour trucider la ville entière ? Abruti !

Vous alliez répondre qu'on appelait faire ça du parkour et que l'appart de dessous devait se vider, et qu'il vous serait aisé de glisser le long d'un tuyau pour rentrer par une autre fenêtre et disparaitre comme des fantomes, mais Monsieur n'est pas décidé. Il a le diable au corps et l'excitation du mec est pire que la votre. Votre drogue se réveille d'ailleurs de nouveau et votre coeur bondit brutalement contre vos côtes, pour essayer d'aller faire un tour. De toute manière, il sortira pas par là. Well, what must be done, have to be done ... Vous jetez un regard à Vaas, la fièvre montant à vos joues, à votre front, l'envie de fumer aussi, vos doigts tremblent, votre bras continue de vous labourer l'esprit, tout se mélange, tout s'accélère, les cris de rage et de douleur deviennent des bruits de fonds, vous attrapez une arme abandonnée par un des Russes. La musique rajoute de la merde à la situation et vous vous êtes aussi paumée qu'enragée, énervée que perdue, la frustration sexuelle de ces quelques semaines à vous branler le soir explosant avec les effets de votre piqure. La tête tourne, la scène est floutée, les flammes jaillissent, la pute tombe trouée par les balles. Fuck, she was cute. Et vous réagissez enfin à cette putain d'envie qu'il a de vous prendre le cul. Ouais, vous avez une relation à l'anal assez ... Extrême. Assez intense. Assez particulière. C'était tout ce que vous détestiez, mais c'était en même temps le truc qui vous excitez le plus. Sans doute le côté mec qui ressortait, à force de vouloir jouer les travestis, votre chatte avait un peu disparue avec vos seins et votre féminité. Vous finissez par exploser l'ampoule qui éclaire ce massacre pour foutre la pièce dans la lumière sombre de l'orage qui tonne à l'extérieur. Votre coeur continue de faire les cents pas dans votre torse, vos seins vous font mal, les cris résonnent dans votre esprit... Putain, de bordel de merde. C'est pas le moment pour un fucking badtrip ! Et pourtant ça y ressemble, alors que tout se stoppe. Les Russes sont explosés, certains sautant dans l'air, immobilisés par les tours que vous joue votre cerveau, Vaas et son air de dément est bloqué, avec cette langue pendant. Vous n'auriez qu'à vous mettre à genoux pour le sucer. Ca ne vous étonnerait pas qu'il bande vu l'excitation qui est montée dans la pièce. En baissant les yeux, vous êtes nue, nue avec une putain de queue bien épaisse un peu comme celle que vous voudriez ressentir en vous. Et vous voilà qui le prend par derrière et vous voilà qui ressentez votre propre pénétration en Vaas dans votre chatte trempée. Luxure, stupre, sang, violence, drogue, brûlure, mal, mal, mal, chaud...

" - RAAAAAAAH !" Vous revenez à vous dans un cri rauque qui s'arrache à votre gorge tatouée alors que vous haletez, la tête lourde, le souffle court. Putain de connerie. Manquait vraiment plus que ça. Vaas était en extase et vous devez lui donner un coup derrière les genoux pour qu'il se mette enfin à couvert alors que le matelas se fait défoncer par les balles. Un sourire se dessine sur vos lèvres, un sourire un peu vague, un peu joueur alors que votre langue passe sur vos lèvres. " - Faudra que tu m'défonces contre un mur apparemment, darling." Un rire cristallin, si différent du rauque de votre voix s'échappe, nerveux et tremblant, alors que vous passez la main dans vos cheveux, pour détacher la queue de cheval, laissant la coupe mi longue venir envahir votre cou. Votre gorge frissonne sous la caresse de vos cheveux, et un grognement se fait entendre. Vous vous gérez pas là. Vous êtes en manque, en manque d'alcool, en manque de drogue, en manque de sexe. Vous filez un chargeur plein à Vaas, alors que les Russes hésitent encore à entrer, se demandant combien se trouvent dans l'appartement défoncé. Vous allumez tranquillement une cigarette, attrapant un de vos couteaux pour couper le bras d'un russe mort, et tirer dessus pour le détacher du corps. Le bras est tout simplement lancé sur les russes, alors que vous vous relevez pour tirer dans le tas, sifflant pour montrer la droite de l'appartement à Vaas. "Bitch, prend ce côté." Et soudain, la solution vous apparaît. Tomber.

Tomber, tomber, tomber ! Le frigo, les bouteilles, le sol. Vous roulez au sol, attrapant le corps de la pute pour qu'il serve plus ou moins de bouclier humain, continuant de tirer dans le tas, laissant Vaas gérer ça comme il peut, comme il veut, that's his fucking problem, anyway. Vous attrapez la dernière bouteille de vodka encore en vie et déchirait simplement votre haut déjà bien brûlé, zieutant une nouvelle fois votre torse aux abdos dessinés, brûlé sur presque sa totalité. Connard. Vous sortez votre briquet, et visez simplement les pieds des russes. Mieux que de les brûler, avec un peu de chance, le sol déjà un peu mort pourrait finir de s'écrouler ? Puis de toute façon, c'est toujours plus efficace quand on brûle du bas, et non du haut. Ouais, vous avez tenté les deux sur certains de vos contrats, et c'est comme pour Vaas, à force de tenter, vous connaissez les réactions ! Dans un grognement, vous jetez donc finalement la bouteille, qui tire des cris aux Russes. " - Not even Bad, Vaas !" Bon, ça ne marchera pas et vous évitez de près une balle qui frole votre joue. Hé ! Not the face, fucker !

Et putain ça fonctionne. Ces cons sautent sur les flammes pour les faire s'arrêter, et le sol déjà bien foutue finit son parcours à l'étage d'au dessous, happant avec lui certains meubles et une bonne partie des Russes, comme dans un trou noir. Vous vous éclatez de nouveau de rire. Ca c'était comique. Vous glissez sur le sol et finissez par soupirer, tirant sur les derniers vivants en bas, par le trou, alors que Vaas finit ceux en haut. C'était putain d'épique, en vrai. Vous haletez, encore rouge de votre badtrip, de votre excitation et vous relevez votre lèvre supérieure d'un air mal à l'aise. Fuck, such an horny slut. Sans doute pendant votre badtrip, mais vous sentez que vous avez putain de mouiller. Peut-être aussi l'adrénaline ? Ca faisait un sacré bout de temps que vous aviez pas ressentit un tel apaisement de votre rage. Vous réattachez vos cheveux. Quelle connerie, vous auriez presque pu crier que vous étiez une nana dans cet état second. Mpf. Vous donnez un coup dans un cadavre en revenant vers le lit où vous aviez laissé votre manteau en cuir, toujours en Chemise déchirée, le torse brûlé, la bande qui cache vos seins plus visible que jamais. Vous n'en avez rien à carrer, en vrai, un peu inconsciente après ce massacre. Vous tirez un coup de pistolet dans la chaine Hifi, exaspérée.

" - Putain. J'ai cru que j'y passais cette fois. Les prochains plans foireux, pense à quelqu'un d'autre, please, bitch. J'ai pris assez cher pour deux trois fois, là." Vous vous baissez pour attraper votre veste, remarquant le manque de dague. Ah, fuck, faudrait aller chercher les couteaux envoyés un peu partout. Soupir. Un peu de vodka aurait été la bienvenue là. Mal à la tête, sa mère. " - Putain de musique russe de merde."

12
L'ordre de post les enfants ! Eph' (means me), Solace, Kamiyu , Mimi-09 and finally Ariman. Enjoy ♥


Fuck that bullshit, grogna soudainement une sauvage amazone. Wait no ! Enduite de sang, entrailles, et organes en décomposition, Frida Fucking Suzie Handsona ressemblait plutôt à une sorte de déchet de l'Apocalypse qu'à une humaine, ou une amazone. Ses cheveux, tressés en grosses dreadlocks bien sales et ses habits en pièce, d'ailleurs déjà réduits à de la lingerie, lui donnaient un air de fille sauvage qu'on avait oublié d'éduquer après l'avoir abandonné dans une forêt. C'était un peu ce qu'était devenu Frida après l'Apocalypse Zombie. Cette merde était arrivée un peu trop rapidement pour elle, et elle avait finalement fuit une ville à la frontière de Washington quand la terrible épidémie avait fait rage. Les morts se levaient des tombes, les vivants se faisaient bouffer, mordre et toute personne dont le cerveau n'avait pas été endommagé revenait pour dévorer des humains. C'était le gros bordel. Frida en avait déduit que la civilisation n'était pas du tout la meilleure solution. L'épidémie avait déjà bien un an ... Et les survivants s'étaient regroupés en des camps dans divers lieux du pays, mais impossible d'avoir confiance dans les gens qu'on rencontrait. Quand ils ne voulaient pas vous tuer par peur que vous soyez infecté, ils voulaient vous tuer pour vos armes, parfois ils voulaient juste vous violer (frustration when you catch us ...), et d'autres fois parce que killing was their new way of fucking life. L'épidémie avait fait naître les pires vices chez les survivants. Après des semaines à sécuriser un bout de foret, seule et en tout autonomie, Frida avait compris que seul l'odeur de la vie attirait les zombies. Sentir la mort à plein nez les rendaient calmes et doux comme des agneaux. Elle s'était tranquillement endormie dans une carcasse de vache, The Atom Heart Mother of the day et avait ensuite passé la journée à tuer des zombies en étant dans la horde. Elle puait la mort à dix kilomètres à la ronde mais elle était sécure. Et finalement, elle avait rencontré ce mec. En fait, pas rencontré. La foret était pas loin d'un labo' totalement fucked up et Frida avait pris l'habitude d'aller s'y ravitailler... Un matin, plus rien. On avait tout volé. Et la personne avait le malheur de se diriger vers sa foret. Les bords de la foret étaient gardés par une horde de zombie que Frida traversait dans ses nouveaux habits de morte, mais le con était en train de les massacrer. La rencontre avait été assez brutale, et quand tous les deux s'étaient retrouvés dans des états pas très beaux à voir, ils avaient conclus qu'ils pourraient peut-être cohabiter. Il avait les ressources, elle avait la technique pour survivre et apprivoiser des zombards. Depuis, ils faisaient chemin ensemble, direction Washington. 

Et c'était dans ses conditions, avec Submarine, le tigre totalement décédé que Frida avait dompter, que le couple un peu étrange se trouvait à l'orée d'un gros gros gros centre commercial, un mall abandonné et sans doute remplie de zombies prêt à bouffer tout ce qui existait.


Frida s'étira un peu, armée d'une étrange lance/fourche qui faisait bien mal, et une arme à feu à la taille. Elle fit signe à Gerogie de s'arrêter, dans un grognement. Elle était éduquée, mais dans ce pays de fou, elle avait lentement repris des habitudes de sauvage après 6 mois dans une forêt à cohabiter avec des morts-vivants. La discutions ? Pas son truc. Elle tuait même ce qui était humain, si la tête ne lui revenait pas. Il valait mieux avoir le coeur bien accroché avec elle, parce que niveau gentillesse, c'était pas ça non plus. Elle avait une voix rauque très grave et ne parlait que peu, semblant toujours dans son monde. La vie sauvage l'avait lentement changée et elle se mit accroupie sifflant Submarine qui grognait derrière la horde de zombies que George et elle amenaient partout avec eux. George attirait les zombies, ce con, et Frida les dompter un peu comme une dresseuse dans les cirques. Les zombards étaient pour la plupart manchot et sans mâchoire, et ceux qui gardaient leurs attributs dangereux étaient regroupé au centre de la horde pour les lacher sur des ennemis humains si les rencontres n'étaient pas bonnes. Elle grogna un peu.

" - On s'ra pas seul. Y'a des gens ici... Georgette ? Tu négocies. Le Mall serait parfait pour être tranquilles une fois pour toute, ok ? S'il y a pas des tarés comme les autres groupes de survivants, je veux bien qu'on reste un peu ici." Mademoiselle Frida donnait son autorisation pour s'arrêter enfin sérieusement quelque part. C'était pas mal. Elle renifla un peu et entra dans le mall, bloquant sa horde dehors alors que Submarine piétinait à côté d'elle. L'animal était dans un état avancé de décomposition à certains endroits, mais il était plutôt pas mal. Le mall était sombre, aéré par des trous par endroits mais les différentes boutiques étaient encore totalement utilisables pour y vivre, et les denrées plus que nombreuses. Le problème serait de dénicher les habitants humains et morts et voir ce qu'on pourrait faire avec. " - Oh shit. Look that, Georgette." Ils étaient entré par le premier étage, mais le mall s'étendait sur 8 ou 9 étages en hauteur et les deux derniers étaient tout simplement remplis de zombies. Frida esquissa un sourire alors qu'elle éclata de rire. - Ready ?" Elle s'époumona, soudainement, dans un cri rauque qui devint rapidement aigu. Les zombies passèrent pour une grande partie par dessus les étages, s'écrasant au sol dans des bruits tout à fait délicieux. C'était magique, une pluie de zombards !

C'était tout aussi magique d'attirer les êtres humains comme ça. Frida se tourna sur elle même, alors que Submarine se mit à grogner. Ils n'étaient décidément pas seuls ... L'animal sentait la présence humaine, vivante, attirée par elle. Un sourire dangereux se dessina sur les lèvres de la sauvage dompteuse qui acheva un zombie sans jambes qui ne s'étaient pas totalement éclaté en morceau. " - T'crois qu'y'a un putain de sexshop ?" fut finalement la seule réaction qu'on put tirer d'elle alors que Sub' s'énervait de plus en plus, tenu par la gorge par Frida.

So ! Vous pouvez vivre dans le mall, et ne pas apprécier la visite de nouveaux, vous pouvez errer à l'extérieur et tenter votre chance aussi ! Vous pouvez faire parti d'un groupe de PNJ, aussi, si ça vous tente ! Bref faîtes vos conneries, vous êtes libres comme l'air ♥ Le mall peut déjà être remplie de gens si ça vous chante, j'ai laissé ouvert pour que ça soit vous qui lanciez les idées au fur et à mesure ~ Prenez juste en compte l'idée du voisin d'avant même si l'Apocalypse Zombie c'est le bordel !

13
La pute vous avez marqué. Pas que vous aviez été choqué, il aurait fallu que les entrailles au sol pour que ça vous choque, and even like that, vous étiez sans doute au même niveau de perversité, luxure glauque. Non, ce qui vous avez marqué c'était votre dégout pour les Japonaises. Plus vous les vous fréquentiez, plus elles vous déplaisaient. Pas toutes bien sûr, mais votre préférence pour les putes européennes se développait de plus en plus. I mean, elles sont vulgaires aussi, elles font poupées aussi ... Mais non. Vous n'adhériez pas du tout au style des Asiatiques. Ca commençait d'ailleurs à devenir lourd dans cette ville, même si l'Empire des Yazuka et son trafic d'humains permettait à la city de se ravitailler en belles petites blondes ou rousses aux yeux bleus et verts noisettes. Ca vous avez manqué putain. D'ailleurs, dans votre réputation, vous trainiez le sillon de préférez la chaire européenne. Quand vous aviez droit à une pute, on vous envoyait une belle pin up blonde au lieu des japonaises aux allures de collégiennes. C'était d'ailleurs toujours des moments amusants, quand vous étiez payée en prostituée. Toujours aussi amusant de voir qu'on vous envoyait une putain de canon que vous ne pouviez pas vous taper. Bien sûr vous profitiez, mais c'était seulement dans un sens. C'était même frustrant de toucher de telles femmes, de les gouter, de les sentir jouir sous votre langue curieuse et chaude, de les voir rougir de votre certaine patience et connaissance du corps féminin. " Tu fais des cunnis comme une lesbienne, L'Américain. C'est étrange." Et au final, vous finissiez sur un siège défoncé à la regarder se toucher avec un sourire en coin. Il fallait entendre qu'elle dégage pour pouvoir enfin vous touchez. Votre travestissement n'avait jamais été aussi encombrant. Laissez entrevoir une telle faiblesse, aux Russes ou aux Yazukas ? Never. Tant pis pour votre vie sexuelle réduite à zéro depuis plusieurs semaines et votre frustration montante, l'abus de drogue que cet endroit vous provoquez ... Mais vous étiez tellement dans la merde qu'un faux pas de ce genre pourrait vous valoir votre vie.

Non. Aucune confiance. Etre une femme dans ce monde de brute n'avait rien de positif. Les femmes étaient des putes or they weren't. Elles étaient en train de sucer des queues, ou elles n'avaient pas à donner leur avis. Les seuls femmes avec du pouvoir étaient déjà des Yazukas, ou héritières de familles comme les Russes. Il aurait fallu qu'on vous mette à nue de force pour qu'on entende de votre bouche que vous étiez une femme. Eph' avait disparu en quittant Las Vegas, définitivement. Vous avez décidé qu'ici, dans cette mafia, dans cette luxure, dans l'odeur venimeuse de la perversité, vous n'alliez être plus qu'un homme. La faiblesse de votre sexe a disparu avec votre double féminin totalement émancipé et abandonné aux USA. That's for the best. Parfois vous en doutiez. Mais tant pis. C'était une décision prise, et vous ne comptiez pas revenir dessus. Finalement, dans vos pensées pour le moins inquiétantes, d'ailleurs votre lèvre inférieure tremblait au souvenir des USA, vous finissez par écouter Vaas déblatérer. Vous faire peur ? Il vous inquiétait sans vous effrayer. Il vous en touchait une sans faire balancer l'autre. Ou dans votre cas, il vous presser un sein sans faire pointer le deuxième. Un sourcil haussé, votre clope au bec qui se consume en des volutes de fumée au parfum doré de cannabis, vos yeux perdus dans l'horizon brumeux de ce matin gris, vous l'écoutez, d'une oreille. Un sourire en coin se dessine sur vos lèvres et vous retenez une flopée de réaction. Oh man, vous la suceriez bien cette queue là. Vous étiez en train de réveiller la bête en lui et vous vous laissez pousser contre la portière en fixant vos yeux gris acier dans ceux de l'Indonésien. Vous l'imaginez de ce coin de la terre. Il a une peau bronzée et hâlée qui lui donne un vieil air de surfeur. Le sourire toujours aux lèvres, sachant qu'il va exploser d'une minute à l'autre, d'une seconde à l'autre, vous inspirez un coup et écrasez la cigarette au sol. Autant ne pas la gâcher.

Instable. C'était le mot pour décrire le phénomène. Ce mec était un putain d'instable. Et même vous, vous deviez le reconnaître. Pourtant niveau problèmes mentaux, problèmes d'identité et instabilité, vous étiez plutôt bien placé dans le palmarès. Mais Vaas ? Niveau au dessus. La seule parole que vous fera tiquer, c'est sa supériorité. Votre boss. Il allait le sentir penser, votre boss, quand il crèverait lentement. Juste un coup, et dix longues minutes où le sang semble s'évaporer par une toute petite blessure, sans discontinuer, une fontaine de péchés, un exécutoire de madness. Il y a toujours quelque chose d’enivrant dans la mort. Il y a quelque chose de jouissif dans l'agonie. C'est un péché mignon bien cruel, mais voir quelqu'un succomber à vos blessures en râlant de douleur, ça vous excite as hell. Enfin, là n'était pas le propos et vous vous ramassez au sol. Ca y est, le loup a mordu, il range les crocs. Vous n'avez pas réagit à ses cris. Il vaut mieux laisser l'indifférence le calmer, plutôt que de l'exciter en réponses, grognements, agressivité. Pour avoir tenté deux trois fois l'expérience, c'est la solution la moins emmerdante.

" - Mm. Don't even touch me, Darling." C'est la seule chose que vous avez instauré comme ... "règle." Qu'il ne vous touche pas. Il peut le faire avec qui il veut, sauf avec vous. C'est une mesure de sécurité, pour lui, pour vous, pour votre liberté, votre indépendance. Vous vous mettez des barrières pour ne pas retomber dans votre propre travers, la soumission sexuelle. Alors que vous retirez sa main qui doit encore plus adoré se balader que cela vous énerve, vous finissez par vous relever en essuyant le sang qui coule de votre lèvre supérieure, d'un coup de langue d'abord, dans un délicieux bruit de sucion, avant d'utiliser un mouchoir. Vous vous étirez en arrière, votre dos craque, votre cambrure s'accentue. Un nouveau sourire. Niveau plan foireux, il est doué, mais pour l'infiltration ? Putain ce mec est un batard de rentre dedans. " Il sera vraiment temps que tu m'encules, old man, mon cul revient décidément trop dans ta bouche." Vous allumez une nouvelle cigarette en lui jetant un regard, long et calculateur. Il va vous faire chier avec ses armes à feu, une fois de plus. Décidément, tous des lâches.

Finalement, vous détachez simplement votre veste en cuir pour l'ouvrir sur votre armada personnelle tandis que votre regard se fait plus lointain. Plus froid. In game again, guys. Let the game begins. Vous attrapez son pistolet, en le tournant vers le sol. "Dernier recours, seulement. Je veux pas me faire de nouveaux orifices pour que tu m'baises. T'assomes, tu mords, tu fais ce que tu veux, you bitch, mais tu te sers de ça que si on est coincé. Et ne refais pas une crise, sweety, c'est ça où ils vont préférez mettre feu aux réserves. Don't think I'm that a noobie." Vous êtes presque certaine qu'il ne vous écoutera pas. What a tiring fucking cunt.

La porte s'ouvre sans trop de soucis. Discrets, pas un bruit. Le premier garde est tranquillement égorgé par vos soins et vous prenez le temps de lui voler son arme à feu. Autant en avoir une, l'autre fou derrière vous ne restera sans doute pas calme. Vous mettez la sécurité de l'arme et l'enfoncez dans la poche arrière de votre pantalon. Wait, that feels like a dick. So fucking in need of sexual assaults. Vous mordillez votre lèvre et finissez par faire signe à Vaas de se ramener. Vous montez les étages en vérifiant les portes fermées à clef, que vous bloquez d'une chaise ou d'un quelconque objet permettant de ralentir une sortie. Vous avez l'habitude de ce genre de mission, c'était un peu votre quotidien à Vegas, de bloquer des cons dans une baraque et d'ensuite aller les trucider pièce par pièce, quand le dealeur au coin de la rue commençait à prendre trop d'importance. Enfin, vers le 3ème étage, des bruits de voix en Russe se font entendre. De temps en temps du Japonais et de l'Anglais. Un frisson terrible vous parcourt. Vous reconnaissez sa voix ... Fuck it ... Votre cher Russe est là, avec votre dette dans la tronche et la raison de votre infiltration aussi. Certes, les ordres ont été donné de plus haut et vous êtes certaine que même une fois mort, les Russes continueront de vous donner des ordres, sans soucis. Mais il faudrait pas qu'il laisse échapper un truc à Vaas. Sinon votre cul, votre cervelle et votre chatte sont de la bouille dans les minutes qui suivent. Vous le saviez que c'était la merde, cette idée. Vous réfléchissez rapidement et soufflez, d'une voix encore plus rauque que d'habitude.

" - I can handle that. Tu restes dehors, et tu achèves à la machette ceux qui essaient de sortir. Pas d'armes à feu. Ne rentre pas. Let me do that my way, and it'll be over in ten minutes. Ou moins." Il ne va pas aimer votre ton, ni ce regard sombre que vous lui lancez, mais il a suivit votre plan, qu'il vous laisse décider de la suite des évènements. Ce genre de conneries, c'est votre dada. Ca fera passer la frustration sexuelle. Vous vous levez, ouvrez la porte, et la refermez derrière vous. Les Russes vous braquent avant que le petit big boss lvl secrétaire hoche la tête. " - La pute Américaine." Ah merde, ils sont nombreux. 5 dans cette pièce,  et 4 ou 5 dans une troisième pièce attenante à l'appartement séparée par une sorte de baie vitrée crade. " - Exactly."
" - Comment il nous a trouvé, Viko ?
- Putain bonne question. Comment tu nous a trouvé ?
- L'odeur de connerie ambiante, sans doute."


Ils vous ont en joue de nouveau mais vous levez les bras d'un air tout à fait innocent. Le silence est lourd. La tension monte quand le dénommé Viko à qui vous devez tout ce bordel, se rapproche. Votre coeur s'emballe, l'adrénaline fonce dans vos veines, la drogue fait enfin effet, tout devient rapide, saccadé, brutal, violent, un sourire fend vos lèvres. Les armes à vos hanches sont tirées de leur fourreaux, s'enfoncent dans le torse des deux hommes à côté de vous, les autres n'ont pas le temps de tirer que Viko a le crane transpercé, de part en part. Vous glissez sous la table que vous flip back pour les coups de feu qui s'enchainent. 3 sur la droite, 4 sur la gauche. Merde, vous l'avez mal calculé. Putain ... Vous arrêtez de réfléchir un instant alors que Viko tient votre menton entre deux de ses doigts en enfonçant le canon de son arme dans votre bouche. Vous restez calme, il finit par renoncer à l'intimidation et dégage votre visage au sol. Il se met sur vous, vous plaquant par terre. Vous esquissez un sourire en lui laissant le temps de vous retirez votre blouson rempli d'armes, votre langue se glissant lentement sur vos lèvres. Les armes ne sont plus braquées sur vous. So simple, sweety. Why are you so stupid ?

" - Allez finir de compter les lots. Tout de suite." Décidément, dans le coin, ils ont un problème avec le sexe et l'androgynie. Ils devraient savoir calmer leur pulsions, ça les sauverait. Fuck it, c'est même trop simple, quoi. C'est offert sur un plateau d'argent. Il approche les lèvres des votres, vous attrapez les siennes dans un langoureux baiser, qui se transforme en une morsure cruelle, alors que vous l'attirez vers vous. Sorry. Ils oublient toujours que vous contrôlez le jeu. Vous enfoncer votre stylet dans sa gorge, le sang coulant sur votre chemise impeccable, brûlant, bien étincelant. Il grogne, il râle, mais ses lèvres sont toujours en votre emprise et il ne peut proférer un cri qui alerterez ses hommes dans la pièce d'à côté. Il succombe, au bout d'une longue minute, emplissant votre torse de sang. Vous le repoussez au sol, et la main sur votre visage taché d'andrinople. L'odeur est comme un stupre amère, le gout de sa vie parfume encore vos lèvres. Vous vous faufilez dans l'ombre. Le temps nuageux est devenu menaçant. Quelle chance. Vous espérez juste que Vaas va encore se tenir tranquille, le temps que vous vous débarrassiez des merdeux. Si vous fermez la porte vitrée ils sont 10 dans une pièce. Entre les balles perdues et ceux qui vont fuir comme des couards, il en reste peut-être cinq. Vous attrapez votre manteau. C'est plus que faisable. Les sotcks sont tranquilles, le bordel est sans bruit, on alerte pas ceux qui sont dans le reste du bâtiments s'ils exis...

Coups de feu. Vous vous reculez dans un sursaut et les Yazukas débarquent. Echange de coups de feu. Vous filez entre les hommes, achevant l'un à l'arme blanche, essayant d'atteindre les stocks. Putain de con de MERDE DE BORDEL ! La coop' c'est pas pour vous. Vous êtes une solitaire, vous, celle qui gère ces conneries seule. Pas avec un putain de crazy bastard. Un des gars a eu la même idée que vous. La drogue prend votre coeur d'assaut, assez brutalement et vous avez un hoquet quand une balle perdue transperce le tendon de votre avant bras. FUCK THAT ! Vous essayer de le viser pour qu'il arrête d'appeler à l'aide et d'essayer de foutre le feu à tout ce qu'il trouve... Ca plus les balles qui s'enfoncent un peu partout, l'appart va finir par exploser. Vous l'achevez brutalement en sautant sur lui et le papier en feu qu'il tient, les flammes brûlant sauvagement votre ventre, venant dévorer votre haut plein de sang alors que vous vous acharnez sur la gorge de l'homme, avant de frotter votre peau avec un tissu sale, pour arrêter l'avancée gourmande de la brûlure.

- PUTAIN DE BORDEL DE MERDE ! What the fuck is wrong with you, asshole ?! Qu'est-ce que tu as dans la tête ? Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans fucking let me handle that MY WAY ? My way, my rules. Putain mais ... " Vous enfoncez les doigts dans votre plaie à vif après l'avoir entaillé pour retirer la balle dans un grognement sourd. Putain de douleur de merde. " Mais bordel." Le calme retombe déjà. Vous essayez de vous contrôlez. Alors que vous lancez la balle dans un coin perdu, vous regardez votre torse. Merveilleux. Fuck, fuck, fuck. Et c'est à ce moment précis, qu'un truc vous choque. Pourquoi vous avez pu pensé un instant qu'il resterait tranquillement à attendre que vous finissiez de le faire à la discrète ? Pourquoi cette idée vous a même traversé l'esprit. Ah oui, c'est vrai. Parce que le Russe mort par terre était votre patron. Mais même. Etre aussi conne, for real. Vous inspirez et finissez par vous relevez après avoir plus ou moins cautérisé la plaie et pansé tout ça. Vous auriez pu le faire en rentrant mais vous êtes certaine que le bâtiment regorge de Russes, ou en tout cas les environs et que ça aura suffit à les attirer. " - Fuck that shit. Prends ce que tu veux et on décolle. I'm sick of this." Vous enfilez votre blouson en cuir par dessus votre torse nu et bandé. " - Tu le sais aussi bien que moi, ils vont pas ... VAAS BOUGE TON CUL !"

Plus rapide que prévu, mais la dague finit son envol dans le crane du Russe qui attendait patiemment pour tirer sur le taré. Disciplinés, c'est déjà ça. Ou choqué par le carnage ? Vous ouvrez la fenêtre en grognant de douleur et zieutez la sortie. " - Fenêtre. Je te suis." Les couloirs doivent se remplir de Russes. - A part si t'as une meilleure solution, shitty solution I mean ?"

Sauter dans le tas, vous l'imaginez bien. Votre instinct de survie est pas trop pour, là. Certes vous pouvez courir, vous avez des armes à feu... Mais... Mais c'est sa faute, qu'il gère ses conneries, bon sang de merde !


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Le coin du chalant / Re : The Walking OneShot
« le: mardi 29 mars 2016, 20:03:48 »
Nous sommes 3 pour l'instant ! Si encore une ou deux personnes veulent se rajouter, plus on est, plus c'est le bordel et plus y'a des zombies ♥

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Le coin du chalant / The Walking OneShot
« le: mardi 29 mars 2016, 16:51:12 »
Ceci est une demande One-Shot inspirée ... Bah inspirée par des zombies. Et the Walking Dead du coup.


Les zombies, ces horribles humains morts ou mordus qui vivent avec la seule envie de vous bouffer, vous et vos amis les survivants !

L'idée serait de faire un rp tout à fait fou avec des zombies partout, des survivants, et des survivants qui veulent moins de survivants pour avoir plus de denrées, un gros bordel sous fond d'apocalypse et de villes qui sont dévastées. Le scénario précis est à créer avec le ou les intéressés. Les personnages peuvent être divers, de maîtres de zombies (oui, ok, ce personnage c'est le mien, mais vous avez saisi l'idée !), aux paumés de la vie qui comprennent toujours pas que les zombies c'est méchant, aux tueurs en série qui ne savent plus où donner de la tête, aux putain de samourais qui se battent pour la veuve et l'orphelin.

J'ai toujours rêvé de voir des zombies couler de partout. C'est un rêve avec du sang, de la cervelle et de la violence. Et ça c'est bien.

Pour avoir une idée du bousin ~

La flemme est en moi pour redimensionner la miss. Boobies.

Demoiselle Nidalee Frida serait/sera une dompteuse/dresseuse de Zombies. Ouais parce que c'est classe et que .. Et que j'ai envie. Armée et purement solitaire, elle ressemble à Michonne est arrivée à dresser un Tigre en décomposition en s'enduisant de fluides de Zombies. Elle se fait souvent suivre par une horde que le Tigre comme un Chien de Berger, arrive assez bien à gérer.


Je m'appesantirais sur le sujet, si des gens sont intéressés. Sinon je vais me hype toute seule. Et c'est triste. Ca sera donc du Rp Aventure/Violent/Apocalypse et H au possible. Très possibilement même. Du sexe dans des entrailles de zombies en décomposition tout cela avec des gémissements de morts, c'est pas trop mortel ? Aha. Aha.

Ici ou MP sur Sue L. Stuart pour me donner des nouvelles si vous êtes intéressés.

BOAAAWR. { Zombie's shout.

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