Bip, Bip, Bip...
Le son évocateur du réveil qui se met à sonner, c'était le début d'une nouvelle journée. Sergeï se leva, se prépara un bon café, récupéra le journal, passa sous la douche et s'habilla. Il était fin prêt. Pour la première fois de sa vie, il était heureux de partir travailler. Il attrapa son téléphone et vérifia qu'il n'y avait rien. Sa "petite protégée" avait du s'endormir sans rien faire d'autre.
Il monta dans sa voiture et se rendit à l'école. Qui sait quel autre coup tordu, il avait en tête? Il travaillait une heure avant l'arrivée des élèves, il avait donc le temps de glisser un petit quelque chose dans le casier de la jeune fille. Il avait de la chance car sa routine habituelle l'amener à nettoyer le couloir menant au casier chaque matin. Il regarda s'il n'était pas regardé. Il n'y avait personne et l'école n'avait pas les moyens de se payer des caméras de sécurité.
Le "cadeau" qu'il avait déposé était de
la lingerie fine assez osée . Il attrapa ensuite son téléphone et envoya le message suivant:
" Bien dormi? Aujourd'hui, tu porteras l'objet de hier mais aussi une nouvelle surprise. Regarde, dans ton casier. N'oublies pas, tu restes ma pute...."Il restait sans aucun doute possessif. Plus le "jeu" évoluait et plus il devenait de plus en plus sadique envers cette jeune femme. C'était sans aucun doute le caractère du voyeurisme qui le frustrait. Finalement si la jeune femme avait peur, il n'empêchait qu'elle prenait son pied. Lui, il agissait mais il ne prenait qu'un plaisir sadique, il aurait aimé plus mais il devait faire en sorte avant tout que la jeune femme n'ai aucune résistance avant de se montrer. Elle devait être humiliée et rabaissée jusqu'à ce qu'elle admette d'elle même qu'obéir était tout ce qui lui restait.
Il n'avait aucun problème pour réfléchir de cette manière. Sergeï de par sa frustration de la société en était venue à se dire que pour avoir ce qu'il voulait, il lui fallait employait des moyens peu louable. Il continua à nettoyer le couloir en attendant que cette nouvelle journée démarre.
Durant la matinée, il allait exploiter à nouveau la télécommande dans l'école pour exciter cette jeune femme. Mais plus, la matinée passait et plus il en voulait plus. Il prit alors son téléphone pour demander une chambre dans un hôtel minable pour la soirée. Durant l'après-midi, tandis qu'il continuait à jouer entre les différents nveau de puissance pour l'exciter à nouveau sans la faire jouir. Il lui communiqua sur son téléphone:
Viens au 56 rue Stavinsky dans la chambre 36, il est temps que tu me rencontres.C'était brusque et direct toutefois avant d'aller dans cette chambre à la fin de la journée, il avait achetée un masque vénitien pour cacher son visage. Puis, il s'installa dans le fauteuil avec son masque. Il avait plein d'objet divers comme de multiples sex-toys et autre objet pouvant servir pour un penchant sadomasochiste. Il était temps de voir ce que la petite valait et si la torture effectuait mentalement durant les deux derniers jours avait porté ses fruits.