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Messages - Mélonye Harubaal

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Dictature d'Ashnard / Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]
« le: mercredi 20 juin 2018, 16:40:16 »
Cette dite passion pour la sodomie, Mélonye pouvait la sentir pleinement à présent que sa reine doigtait son fondement par deux doigts. Rien qu’avec des doigts, Khaora parvenait à la faire craquer et lui faire ressentir des choses. Cela voulait soit signifier qu’elle était tellement sensible par ici que cela suffisait, soit que la reine était tout simplement très douée. Quoiqu’il en soit, couchée contre Rhian, le visage collé contre le sien, la courtisane se laissait aller et savourait pleinement le soin que l’on apportait à son parfait fessier. Les gifles que lui assénait Rhian dessus ne faisaient que l’exciter davantage, la faisant mordre sa lèvre avant de replonger, de force, ses lèvres contre celle de son amante.

Que dire de plus si ce n’était que la courtisane passait sans doute le plus beau moment dans sa vie ! Couchée entre les deux plus belles femmes du royaume, dont l’une était sa meilleure amie, elle ne pouvait mieux rêver. C’était après tout son fantasme de coucher avec Rhian et Khaora en même temps ... Cet aspect inceste était précisément la pointe de sel qui venait rehausser la saveur de ce fantasme, c’était ce que recherchait Mélonye au fond. Il avait suffi de voir à quel point cela l’avait excité de voir Rhian venir embrasser sa mère de telle sorte !

Le temps s’égraina et voilà que le trio continuait à se faire inlassablement l’amour. Une nuit de rêve pour Mélonye qui peinait encore à croire que sa meilleure amie venait de concrétiser l’un de ses plus grands fantasmes ! La courtisane, un peu essoufflée, avait fini par se placer sur le côté de Rhian, dos contre le lit, allongée. Sa peau basanée en sueur créait de délicieux reflets, signe d’une activité particulièrement physique. Ce fut avec un regard empli de désir et de tendresse qu’elle regarda Rhian, puis Khaora, avant de venir affectueusement déposer un baiser sur la joue de la princesse.

« Hm, je crois m’être un peu surestimée ... C’est que, je n’ai pas la même force que les deux des plus belles femmes du royaume réunies ... » Déclara-t-elle, un peu honteuse mais honnête. Cette nuit l’avait épuisé. Mais, elle restait quand même curieuse de la suite ... En tout cas, elle exigea une dernière faveur pour cette nuit et ça faisait parti de son fantasme. C’était assez simple en soi ; se reposer entre mère et fille ! A trois, donc. Cependant, quelque chose disait à Mélonye que ni Rhian ni Khaora ne désirait encore s’affaler et s’endormir ... Et pour être honnête, malgré sa petite fatigue, Mélonye n’en avait guère envie non plus.

La courtisane finit par se lover contre le côté de son amie, caressant sa jambe par la sienne. Leur douce peau se collant l’une à l’autre, se caressant mutuellement, la jeune femme sourit à pleine dent alors qu’elle vint nicher son visage dans le cou de Rhian. « J’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir ... Et toi, tu as beaucoup de chance d’avoir une mère aussi fantastique ! » Dit-elle. Par son attitude ou même sa voix, il était clair que Mélonye avait, au fond, quelque chose à dire. Mais, elle ne parvenait pas à délier sa langue.

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Dictature d'Ashnard / Re : Songeries romantiques [Mélonye Harubaal]
« le: mercredi 20 juin 2018, 16:40:03 »
Une Rhian flattée de voir sa courtisane tomber amoureuse d’elle ... Mélonye aimerait bien le voir. Elle ne savait pas si l’ange de l’amour était sincère et véridique ou juste influencé par ses propres désirs. Après tout, Cupidon ne voyait qu’amour et pour elle, ça devait être normal. Cependant, elle l’avait vu ; les Hommes adoraient se compliquer la vie et il fallait composer avec. La courtisane fut un peu froissée par la dureté de ses propos mais n’en fit nullement un drame. Elle avait peut-être raison au fond, mais est-ce que cela allait changer quelque chose ?

Mélonye fut aussi très contente d’apprendre que la belle Cupidon avait également un amour, ou plutôt, une amoureuse. Elle ne savait pas qui était cette Cyanée mais en tout cas, cela lui donna un petit sourire malicieux. L’amour personnifié avait lui-même des sentiments pour quelqu’un d’autre ! C’était si mignon et touchant. La courtisane aurait bien voulu jouer davantage sa grande curieuse et venir en demander plus sur cette étrange fille qui avait fait chavirer son cœur mais, elle était trop soucieuse sur sa propre relation avec Rhian pour cela.

Devait-elle réellement tout lui avouer ? Trouver le moment propice, puis se lancer ? Mélonye savait qu’au fond, elle allait devoir le faire un jour ou l’autre. Si elle ne faisait rien, personne n’allait le faire à sa place. Elle déglutit puis soupira, avant de se redresser. « Tu sais quoi Cupidon ... Je vais y réfléchir. Après tout, si je ne me lance pas ... Personne ne pourra le faire pour moi. Y’a toujours des risques à prendre, en amour ... Je suppose. » Finit-elle par dire. Mélonye offrit un beau sourire à Cupidon puis se pencha pour venir déposer un baiser sur sa douce joue. Un petit silence se fit avant que la courtisane retrouve son regard si spécial et si évocateur. Son regard si joueur et espiègle, trahissant toujours son envie de câlin, de tendresse ...

La courtisane se pencha à nouveau et vint embrasser le cou de son amante, puis le haut de son buste, avant de venir masser doucement sa tendre poitrine. « Mais en attendant, je veux continuer à te faire des câlins ! » Finit-elle par dire, d’un ton malicieux, alors qu’elle se pencha pour venir embrasser avec délicatesse l’un des doucereux mamelon de Cupidon.

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Dictature d'Ashnard / Re : Heureuse acquisition[PV : Narmacille]
« le: dimanche 29 avril 2018, 19:49:48 »
C’était la première fois que Mélonye acheter une esclave. Même si elle essayait, dans sa tête, de se convaincre qu’il n’y avait rien de mal à ça, elle ne pouvait s’empêcher de se sentir un tout petit peu coupable. Comme si, elle n’avait pas à satisfaire de la sorte ce petit plaisir personnel qu’était d’acquérir une vie humaine, juste pour l’amusement. Cependant pour les gens connaissant cette courtisane, il n’y aurait aucune surprise ; il n’était nullement dans ses intentions de traiter cette esclave en moins que rien, comme beaucoup d’acheteurs faisaient. D’une part, Mélonye était elle-même une servante ici, au Palais Royal et d’autre part, ce n’était pas dans cette optique qu’elle avait fait cette acquisition.

Elle désirait plutôt garnir les rangs du Harem. Mais de cela, l’esclave n’en savait pour le moment rien. On l’avait vite fait préparé et on lui avait demandé d’attendre à l’entrée des quartiers privés des courtisanes. Plus particulièrement, celui de Mélonye. Celle-ci finit donc par ouvrir les grandes portes, se révélant à la demoiselle qui avait sagement attendu ici. Elle se doutait de la surprise que cette dame pouvait ressentir en voyant le visage de son acheteur. Ce n’était ni un esclavagiste, ni une vieille pingre bourge ; juste une belle et quelque peu excentrique femme, qui s’avérait une courtisane de la Princesse de Papua.

« Je te souhaite la bienvenue au Palais Royal, Narmacille. » Dit-elle, en s’avançant vers l’intéressée. Mélonye lui sourit doucement, mais gardait un air assez félin et malicieux sur son visage, comme si elle cachait quelque chose. Elle approcha puis regarda de plus près la femme, avant de se déplacer lentement autour d’elle. « J’espère que tu apprécies les lieux. Il est très important que la décoration soit à ton gout car ... Tu t’apprêtes à intégrer un des plus prestigieux clubs de Papua. Le Harem Royal. » Déclara-t-elle, donnant l’information au passage à Narmacille sur l’endroit où elle se trouvait. Elle laissa passer un silence, laissant le temps à la jeune femme de comprendre ce qui se passait et surtout, comprendre les enjeux de la déclaration de Mélonye.

« Comme c’est moi, Mélonye, qui a fait ton acquisition, il me revient la tâche de tout faire pour faciliter ton intégration. Je suis, en quelques sortes, ta guide. Et peut-être même plus ... Qui sait ? » Dit-elle d’un ton espiègle, le visage s’étant approché de l’épaule de Narmacille. Inutile de dire que tous les dires et gestes de la courtisane étaient emprunt à une certaine sensualité, à une certaine volupté qui n’était pas innocente. Comme elle venait de le dire, il s’agissait ici d’un Harem, et elle était elle-même une courtisane. Mélonye ne pouvait s’empêcher d’apprécier le délicat et riche accoutrement de la jeune femme, qui avait été bien préparé. Sa robe verte semi-transparente, ses ornements, etc. Elle était ravissante ! Comme une courtisane se devait de l’être.

Finalement, elle revint devant elle puis prit doucement sa main dans la sienne, en la caressant légèrement au passage. « Si tu as des questions, n’hésites surtout pas. Ici tu n’es pas esclave ... Enfin, tout dépend de ta définition de la chose. La seule chose que tu n’as pas le droit c’est, bien sûr, partir sans mon accord. Je ne voudrais pas que mon or ait été vain ... » Dit-elle en gloussant doucement. Narmacille avait donc le loisir à cet instant de poser autant de questions qu’elle le voulait, avant de franchir les grandes portes du harem, afin que Mélonye commence la visite, et la guide au travers tout le programme qu’elle avait prévu pour elle. Cependant, juste avant que Narmacille puisse dire quelque chose, Mélonye leva subitement son index et le déposa sensuellement sur le bout des lèvres de la femme, lui intimant le silence. « J’allais oublier ; Sache que tes talents de soigneuse nous seront très utiles ... Ne crain rien, tu seras valorisée de ce côté-là. Mais, ça ne changera rien au fait que je devrai t’apprendre à être une courtisane, ma chère. » Déclara-t-elle, avec un clin d’œil complice, levant son index pour lui laisser la parole.

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Dictature d'Ashnard / Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]
« le: samedi 03 mars 2018, 16:18:03 »
Mélonye peinait un peu à réaliser ce qu’elle venait de faire. Alors que la journée elle avait fait part d’un de ses plus grands fantasmes à la princesse, en l’occurrence coucher avec elle et la reine en même temps, elle venait ... De l’expérimenter pour la première fois. Rhian avait exaucer son souhait, et mine de rien, cela marqua beaucoup la courtisane. C’était une preuve d’amitié inestimable, une preuve qu’elle avait une certaine valeur à ses yeux ... C’était quelque chose qui toucha beaucoup Mélonye, et si ce n’était pas pour le feu de l’action et tout le sexe qui s’en découlait, elle en aurait été émue. Mais comme dit, la courtisane était complètement écrasée sous une montagne de sexe et de stupre, coincée entre la plus fabuleuse des reines, et la plus belle des princesses.

Posée à sa droite, elle était en train de lécher sa joue, en tandem avec sa monarque, qui en faisait de même sur sa gauche. Les deux femmes léchaient, nettoyaient les joues de la belle princesse alors que finalement, Khaora décida de l’embrasser sur les lèvres. Tandis que mère et fille se livrèrent à un tendre et sensuel baiser, faisant beaucoup frémir Mélonye car ça faisait partie de son fantasme, cette même demoiselle s’écarta doucement pour mieux observer. Qu’est-ce qu’elles pouvaient être belles, ensembles ... Rhian et Khaora, une princesse et une reine, une mère et sa fille ... C’était beau, à ses yeux ! La courtisane ne pouvait être plus heureuse qu’à cet instant, où elle observait ce si beau tableau. Mais, son amie finit par libérer la reine, et vint alors quémander ses lèvres à elle.

Ainsi donc, les deux tourterelles s’adonnèrent à un long et passionné baiser. Progressivement, Mélonye se hissa au-dessus d’elle, puis se lova complètement contre son corps chaud et tendre. La courtisane plongea très sensuellement sa langue dans sa bouche, semblant ne pas vouloir quitter Rhian. Alors que cette dernière caressait et griffait ses belles fesses, Mélonye continua de l’embrasser. Ce baiser dura, encore et encore, et ne faisait que s’intensifier, qu’accroitre le plaisir qu’il apportait. Les deux amantes devaient faire belle figure devant la majestueuse reine qui se portait derrière, les observant silencieusement. La courtisane n’avait pas porté assez d’attention sur ce qu’elle avait dit en premier mais, en revanche, quand elle se mit à malaxer sa croupe, à venir provoquer sa petite rondelle ... Les choses changèrent.

« Hmm ma reine ! » Couina alors Mélonye, rouge comme une tomate, écoutant la proposition indécente de Khaora. Oui, elle avait furieusement envie qu’on vienne s’occuper de ses petites fesses. Mais ... De là à recevoir une telle attention de la part d’une reine ? C’était peut-être trop. Mais, Mélonye avait parfois la folie des grandeurs, et inutile de dire qu’elle en avait très, très envie. « O-Oui ma reine ! J-Je ... Hmm ... Je vous en prie ... » Finit-elle par gémir, toute rêveuse, finissant par retourner embrasser Rhian comme une droguée, plongeant férocement sa langue dans sa bouche. Mélonye bomba bien ses fesses également, présentant sa merveilleuse croupe sous le meilleur angle possible à sa reine !

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Dictature d'Ashnard / Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]
« le: dimanche 29 octobre 2017, 15:53:41 »
Mélonye s’était bien acharnée contre la suave poitrine de Rhian, tandis qu’elle pressait sa féminité contre ses lèvres. Oui, la courtisane s’était un peu laissée à quelques libertés, laissant le sexe, la luxure guider ses mouvements. Elle s’était donnée à cœur joie la tâche de forcer Rhian à lui lécher l’entrejambe jusqu’à la pousser à l’orgasme. Il n’y avait qu’elle – et sa mère – pour parvenir à un tel résultat rien qu’avec une langue. La courtisane était donc dans une belle transe où tout son corps frémit et vibra, au même moment que la princesse se mit également à jouir. Les mouilles coulèrent et, effectivement, le petit visage de Rhian se retrouva asperger du nectar de Mélonye. Il allait falloir nettoyer tout ça ! Mais, après que la tempête serait passée. Car l’orgasme de la jeune femme dura un peu plus longtemps que prévu.

Mais quand il se termina, la laissant toute essoufflée et rêveuse, la jeune femme libéra le visage de son amie. Les cheveux collés sur son front, la belle courtisane finit par se placer à côté de Rhian, s’allongeant gracieusement. Puis, la reine se redressa et, souriant à sa fille, lui indiqua qu’elle avait le visage tout trempé. Mais ce n’était pas de la sueur ; c’était la mouille de Mélonye, qui s’était peut-être un trop laissée aller. La femme sourit à son tour surtout en entendant la solution que proposa la reine pour nettoyer tout ça. Placée sur son flanc droit, et la reine sur son autre flanc, les deux femmes allaient s’en donner à cœur joie. Mélonye approcha son visage, puis en un geste très langoureux et soignée, déploya ses lèvres sur la joue de Rhian. Elle rougit doucement en sentant sa douce peau trempée mais, cela ne la freina guère dans son élan.

La courtisane profita alors de ce contact pour lancer sa langue et se mettre à lécher tendrement sa peau, raclant la mouille se trouvant dessus. Elle allait faire exactement ce que sa reine venait de suggérer ; laver Rhian à grands coups de langue ! Et la courtisane y prenait un certain plaisir. Sentir la peau douce et vanillée de la princesse contre ses papilles, avait quelque chose de très plaisant. Même si racler sa propre mouille était légèrement moins plaisant que de racler la mouille de Rhian, elle s’y donna à cœur joie et, petit à petit, nettoya ainsi le visage de son amie.

6
Dictature d'Ashnard / Heureuse acquisition[PV : Narmacille]
« le: lundi 25 septembre 2017, 20:59:26 »
Papua

En ce jour ensoleillé, alors au grand bazar de la capitale Papuanne, les affaires allaient de bon train. Les marchands gagnaient leur pain en vendant leurs biens, aussi bien ou mauvais étaient-ils. Ce marché était une véritable attraction à elle-seule, grâce à non seulement la quantité impressionnante de choses étant vendues ici, mais aussi à leur diversité. On y trouvait de tout ; des vivres, de l’habillements, etc. Mais, à Papua il y avait des choses, des pratiques qui si dans certains pays elles étaient interdites, ici, ne l’étaient pas. C’était le cas de l’esclavagisme par exemple. Comment parler du grand marché de Papua sans parler de sa foire aux esclaves, où les plus riches et opportuns vendeur d’humain venaient présenter leurs plus belles trouvailles.

Ce fut sous ce contexte que la journée d’une personne bien particulière prit un curieux tournant. De sortie aujourd’hui, l’une des courtisanes du harem royal vagabondait dans les ruelles du grand marché. Mélonye adorait faire le marché d’une manière général, car elle trouvait toujours des choses intéressantes à acheter. Mais aussi car, ça la faisait sortir et respirer l’air frais, ça faisait du bien. Loin d’elle l’idée de présenter le Palais royal comme une sorte de prison, car bien au contraire, les courtisanes du harem étaient très bien traitées ... Elles étaient presque des sortes de princesses à elles-seules, comparées à d’autre. Mélonye était simplement avide de changement, et sortir de temps à autre ne lui déplaisait guère.

Ainsi donc elle faisait le marché, mais, quand elle se promena non loin des étales à esclaves, elle ne put s’empêcher de jeter un regard. D’ordinaire, ça ne lui plaisait guère de voir ces pauvres femmes et hommes en être réduit à cet état, même si, elle savait que parfois ces mêmes gens tombaient sur de bons maitres, qui finissaient par leur rendre leur liberté. Curieuse, elle resta donc un moment à regarder le défilé des esclaves qui, pour la plupart, était ... Bien banal, malheureusement. Elle était donc sure et certaine de repartir comme elle était venue, jusqu’au moment où, une esclave fut présentée. L’attention de Mélonye fut alors captée quand son regard se posa sur le visage de la femme en question ... Et, on avait beau dire qu’il ne fallait pas juger sur le physique ou ne pas s’y référer mais, le visage était souvent le tout premier contact avec une personne.

Quand un visage nous plaisait, c’était déjà une bonne porte d’entrée. Pour le coup, quand Mélonye observa cette femme, un sourire naquit sur ses lèvres. Elle ne savait pas qui elle était, ni d’où elle venait, ni même si elle était du coin ... Mais pourtant, elle sentait quelque chose. Quand le propriétaire commença à la présenter et à la décrire, notamment sur ses capacités de guérisseuse ... Apparemment, cette femme – répondant au nom de Narmacille – aurait été une grande soigneuse dans son pays d’origine, avant qu’elle ne soit réduite à l’esclavage. Dans la tête à Mélonye, voilà comment se présentait les choses ; elle voyait une femme belle et intelligente, possédant autant du charme physique que des compétences très appréciées au Palais.

Il ne lui en fallu pas plus pour faire aussitôt une offre, et bien entendu, qu’elle ne se fasse contrer. Mais, après quelques échanges et une surenchère, la jeune courtisane finit par remporter sa mise ! Mélonye venait de faire l’acquisition, pour la première fois, d’une esclave ... Autant dire que ça procurait quelques frissons, mais, elle avait déjà une idée de quoi en faire. Par esprit de jeu et d’amusement, elle avait décidé de garder l’anonymat auprès de cette femme nommée Narmacille ; celle-ci ne devait donc pas connaitre son visage ni qui elle était. Néanmoins, sous les instructions de son acheteuse, on l’a conduit au Palais royal, dans le quartier privé de Mélonye, dans la vaste et confortable aile réservée aux courtisanes ; le Harem. Mélonye, de retour au palais, s’apprêtait donc à rejoindre Narmacille et à se révéler à elle ... Et à commencer à lui révéler la suite des évènements !

7
Dictature d'Ashnard / Re : Songeries romantiques [Mélonye Harubaal]
« le: samedi 23 septembre 2017, 16:06:52 »
Au fil de leur discussion, Mélonye comprit que Cupidon était belle et bien la représentante de l’amour. Même si elle n’avait pas dit quelque chose de spécial, il se dégageait d’elle cette impression, cette sensation très agréable. La courtisane resterait bien volontiers avec elle toute la nuit, là, couchée contre son corps chaud et tendre, à parler et échanger. Cupidon était d’excellente compagnie, tant d’un point de vue sexuel que personnel. Après leurs ébat, les deux femmes s’ouvraient à la discussion et Mélonye avait donc introduit son petit problème avec Rhian ... Elle l’aimait, profondément et sincèrement, mais ne pouvait pas avouer ça. Pour plusieurs raisons ; politiques, familiales, et personnelles. Rhian était une princesse et pas elle ; L’amour que lui portait Mélonye pouvait ne pas être réciproque ; etc ...

Et quand la courtisane expliqua ceci à Cupidon, cette dernière lui posa alors quelques questions, afin de l’aider à y voir plus clair. Mélonye, lovée contre elle, semblait pensive et réfléchit bien à sa réponse. Comment savoir si Rhian l’aimait en retour ? Selon Cupidon il pouvait y avoir plusieurs signes mais, le mieux, serait encore d’être franche avec l’intéressée. Mais pour répondre à ses questions, il ne vint nullement à l’esprit de Mélonye un souvenir où Rhian lui aurait parlé d’un amoureux. Ni d’un autre amant potentiel, autre qu’éventuelles petites aventures. « Rhian et moi on est les meilleures amies au monde ! Enfin, c’est comme ça que je le ressens ... On passe beaucoup de temps ensemble, et, on se confie pratiquement tout. Même si en tant que Princesse, elle ne peut pas tout dire et c’est normal. Mais, je pense être sa meilleure confidente ... » Répondit-elle alors.

On pouvait voir sur le visage de Mélonye, et même dans sa voix, une pointe de tristesse. Elle avait peur qu’au fond, Rhian ne ressente rien pour elle. Du moins, pas ce qu’elle désirerait qu’elle ressente. Elle ne pourrait guère lui en vouloir, c’était évident, mais ça serait une déception très dure à encaisser pour Mélonye. Et c’était au fond l’une des majeures raisons pour laquelle elle n’avait jamais décidé de venir lui en parler. « Je verrai mal Rhian se moquer de moi pour ça. Mais, j’ai juste ... Peur du rejet, en fait. Je ne sais pas comment ça sera au harem après, si jamais elle rejette mes sentiments. Sans doute que ça finira par passer mais, j’ai peur que quelque chose se brise définitivement ... » Avoua-t-elle, caressant et jouant avec une mèche de Cupidon.

Soupirant profondément, Mélonye décida alors de ne pas se laisser aller puis, releva son visage vers celui de Cupidon, reprenant ses airs de grande curieuse. « T’as déjà connu ça, Cupidon ? L’amour impossible ? Ça serait un comble pour une créature comme toi, qui est l’amour personnifiée ... Aller, tu dois certainement avoir connu une personne qui a fait chaviré ton petit cœur, non ? » Dit-elle en gloussant doucement, curieuse sur la vie affective de sa nouvelle amie. En attendant sa réponse, la courtisane, en manque de câlin, vint se serrer toute contre Cupidon, allongée sur son côté. Ses jambes très douces caressaient les siennes, goutant à leur tour à la douceur de celles-ci. Pendant que Cupidon parlerait, elle pourrait sentir la main de Mélonye glisser et caresser aléatoirement son corps, se promenant partout sur son buste et son ventre, lentement, au gré de ses envies.

8
Dictature d'Ashnard / Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]
« le: samedi 23 septembre 2017, 15:42:43 »
Satisfaite, Mélonye l’était. Il n’y avait pas plus tard que cela elle se souvenait d’une phrase de son amie. Cette phrase qui lui avait valu le traitement qu’elle percevait à l’heure actuelle. Ainsi donc ni la reine ni la courtisane n’étaient à la hauteur ? À présent voilà que Rhian était prise entre ces deux beautés sauvages, sévèrement stimulée de toute part. La reine était entre ses cuisses en train de lécher et apporter mille et une attention à son sexe et à sa douce perle. Tandis que Mélonye, l’impétueuse courtisane de Rhian, s’était assise sur son visage, incitant la somptueuse princesse à lécher et racler son sexe. Mélonye sentait son corps se crisper et se détendre à la fois, à mesure que la langue de son amie continuait de remuer tendrement en elle. De terribles et beaux frissons la parcouraient et lui faisait cligner des yeux, la faisait haleter et gémir de pur bonheur.

« Haaaaan ! » Couina-t-elle fortement, la bouche entrouverte, se sentant progressivement amenée sur le chemin de la libération. Rhian était si efficace et si experte avec sa langue qu’elle allait rapidement faire jouir sa pauvre courtisane. Mais cette dernière était déterminée à en faire de même envers la princesse et avait décidé de s’occuper de ses seins en parallèle. Posant ses mains dessus, elle s’était mise à pincer et masser ses délicieux et durs tétons, et décida même de narguer Rhian à son tour. « A-Alors, Princesse ? Hmmm ... On n’est pas ... Haaa ... Pas à la hauteur ? » Dit-elle la voix saccadée par les délices que procurait la langue de Rhian dans son antre féminine. Il n’y avait rien à dire de plus sur les talents et l’extrême habilité de Rhian en matière de cunnilingus ... Mélonye fondait comme neige au soleil, rougissant et gémissant de toute part.

Sa mouille inondait la bouche de son amante qui devait s’en régaler à chaque goutte. Plus ça durait, plus la courtisane se sentait partir, se sentait s’éloigner vers des monts de plaisir infini ; vers l’orgasme ! Ce fut au bout de longues et très plaisantes minutes que Mélonye finit par craquer. Sa voix s’éleva et son corps se raidit, alors qu’elle laissa sortir un long et profond soupir cristallin. L’orgasme la frappa de plein fouet. Rhian était parvenue à la faire atteindre le Nirvana rien qu’avec sa langue ! La courtisane était dans un autre monde, remplit de douceur et de plaisir infini. Un monde de pur bonheur, alors qu’elle jouissait, encore et encore. Sa cyprine coula doucement entre ses cuisses et gratifia sa meilleure amie. Il n’y avait que Rhian pour procurer de pareils orgasmes à Mélonye !

La courtisane s’était crispée sur les seins de la princesse pendant sa transe, pendant que des milliers de papillons virevoltaient dans son bas-ventre. Et tout ça, grâce à Rhian et Khaora ... Telle mère, telle fille !

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Dictature d'Ashnard / Re : Songeries romantiques [Mélonye Harubaal]
« le: samedi 15 juillet 2017, 15:16:05 »
Chercher l’amour en le fuyant, voilà donc comment Cupidon percevait les choses. L’image fit doucement glousser Mélonye, mais qui sur l’idée, ne pouvait qu’être d’accord. Oui, la société humaine était compliquée et oui, les gens s’embarrassaient de codes sociaux et moraux. C’était, en un sens, ce qui permettait à la société de fonctionner, sinon ça serait un peu comme dans la jungle. Néanmoins Mélonye ne comptait pas se lancer dans un débat sociologique ... Non en vérité elle fut fascinée par ce que lui dit la douce Cupidon au sujet de son monde. Ça devait être absolument fabuleux à voir, et les paysages devaient être à couper le souffle. Mélonye en rêvait doucement, s’imaginant plein de scènes et d’images dans sa tête.

Allongée contre le doucereux corps de Cupidon, elle oubliait le monde qui l’entourait. Être dans les bras de l’ange de l’amour avait quelque chose d’incroyablement réconfortant et apaisant. La courtisane le sentait et n’avait franchement pas envie de la quitter de sitôt. Elles avaient toute la nuit devant elle ! De toutes façons, ce n’était qu’une petite pause avant de reprendre les affaires, car Mélonye avait encore quelques petits projets pour cette délicieuse femme. Néanmoins quand Cupidon vint à lui dire qu’elle ne comprenait pas pourquoi l’amour entre deux personnes pouvaient se cacher ou ne pas s’exprimer, en prenant l’exemple d’elle et Rhian, Mélonye sourit. Sa main se mit à jouer avec l’une des mèches roses de Cupidon, s’amusant à l’enrouler, à jouer doucement avec.

« J’imagine que ça doit être perturbant, oui. Mais, pour te la faire simple ... Rhian appartiens à une autre sphère de la société que moi. Elle est une princesse, et doit se marier avec un autre noble, pour permettre la pérennité de sa famille, mais aussi pour tout un tas de raisons politiques. Et moi, je suis juste ... Sa courtisane. Jamais on accepterait qu’une princesse finisse ses jours avec une noble de seconde zone – car oui, je suis quand même la fille d’un Sultan ! » Dit-elle, expliquant comme elle pouvait la situation à Cupidon. Mais à vrai dire, elle ne savait même pas si Rhian l’aimait de cette façon en retour. Probablement pas, cela dit. Mélonye ne se faisait pas d’illusions ... Et c’était ce qui parfois la rendait un peu triste. Son idylle avec la seule personne qu’elle aimait sincèrement était impossible.

« Et puis, si ça se trouve, Rhian n’a pas les mêmes sentiments à mon égard. » Ajouta-t-elle, la mine un peu boudeuse.

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Dictature d'Ashnard / Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]
« le: samedi 01 juillet 2017, 17:38:52 »
Avoir la reine et la princesse dans son lit, en même temps, c’était quelque chose d’inespéré. C’était son plus grand fantasme et, par le plus grand des bonheurs, il était en train de se réaliser. Mélonye était comblée, heureuse, et ne comptait pas décevoir les nobles qui étaient dans son lit ce soir. D’ordinaire elle était très sûre et confiante quand seulement Rhian était là – c’était son amie après tout, elle était habituée – mais là, la reine était présente. Il ne fallait pas la décevoir, il fallait au contraire l’impressionner ! Tout ceci pour dire que Mélonye était aux anges et s’était mise dans le dos de sa princesse, pour mieux masser ses lourds seins.

Rhian ne tarda pas à gémir doucement de plaisir et tourna sa tête, afin de capter les lèvres de sa courtisane. Cette dernière sourit et embrassa tendrement la jeune femme, fourrant bien volontiers sa langue dans sa bouche, venant chercher cette saveur si unique et si savoureuse. Ses mains continuaient de peloter sa belle poitrine alors qu’un langoureux baiser se fit entre les deux femmes. Mélonye massait à mains pleines ses deux globes de chair, mais finit par rassembler ses pouces et ses index autour de ses petites pointes, se mettant à les pincer, à les rouler du bout de ses doigts pour faire frémir son amie.

Seulement, la reine Khaora ne resta pas longtemps les bras croisés. En effet, la noble femme se mit en place, descendant du lit pour s’asseoir au sol, contre le rebord du lit. De cette manière elle avait plein accès sur la féminité de sa fille, et ce fut d’ailleurs sa priorité. Mélonye sentit la belle princesse se mettre à rougir et gémir quand la reine s’occuper de son entrejambe. Un sourire naquit sur son visage en voyant celui de son amie se détendre et rougir de plaisir. Elle finit par s’allonger contre le lit, avec le visage d’une Mélonye pendu au-dessus, avec sa luxuriante chevelure tombant d’un côté et de l’autre. Mélonye se fit rapidement agripper par la princesse qui lui vola à nouveau un baiser, fourrant alors sa langue bien chaudement dans sa bouche. La courtisane participa activement, embrassant aussi tendrement qu’elle le pouvait sa princesse. Mais, ça aurait été mal connaitre Mélonye que de penser qu’elle allait simplement se contenter d’embrasser Rhian.

La courtisane se redressa puis profitant de la position de la princesse, se hissa au-dessus d’elle, avant de doucement lui présenter sa fine fleur féminine. « Tu aimes jouer avec ta langue, autant joindre l’utile à l’agréable, n’est-ce pas ? » Déclara Mélonye pour taquiner sa belle amie. Elle colla ainsi son sexe de manière à l’offrir à la délicate bouche de Rhian, mais en même temps, se pencha pour poser fermement ses mains sur sa poitrine. Mélonye se remit à la masser et à la provoquer, rien que pour procurer encore plus de plaisir à la pauvre princesse, qui était prise entre sa maman, et sa meilleure amie ... Car effectivement, Mélonye croyait fermement être LA meilleure amie de Rhian, en toute modestie.

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Dictature d'Ashnard / Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]
« le: lundi 01 mai 2017, 15:00:14 »
Effectivement, Mélonye n’avait pas vraiment envie que ces deux femmes partent trop vite. Que ce soit la reine ou la princesse, la courtisane les voulait toutes les deux ce soir ! Et idéalement passer la nuit avec elles, jusqu’au petit matin. Mélonye avait tout simplement envie de profiter de ce moment, de ce petit privilège d’avoir mère et fille en même temps, dans le même lit. Ce n’était pas tous les jours que ça arrivait, surtout quand c’était un fantasme. Après tout il fallait rappeler que tout ceci partait d’un fantasme que Mélonye avait confié à Rhian. Celui de faire l’amour à la reine et la fille en même temps ! C’était un peu résumé de manière simple mais l’idée était là. Néanmoins, les trois amantes se reposaient un peu, avec une courtisane lovée contre le corps de sa vénérable reine, dont la trique n’avait pas disparue contrairement à celle de Rhian.

Cette belle queue qui continuait de frotter contre ses cuisses, faisant frémir doucement Mélonye. Khaora finit par provoquer un peu sa fille en acquiesçant les dires de la féline courtisane. Oui, elles devaient à présent s’occuper de la princesse, même si celle-ci osa les narguer ! Pensait-elle vraiment s’en tirer aussi facilement ? Mélonye allait lui prouver le contraire. Du moins elle l’espérait … Elle ne se doutait pas que son amie avait en réalité encore un peu de mal à se faire à l’idée d’une relation incestueuse, malgré qu’à contrario, la reine semblait à l’aise dedans. Quoiqu’il en soit, Mélonye et Khaora allaient devoir s’occuper sérieusement de la princesse.  Et cette petite provocation n’allait pas la sauver. « Je crois bien, ma reine. » Répliqua la courtisane, se redressant. Elle se déplaça à quatre pattes telle une panthère noire, venant se déplacer derrière Rhian, se mettant dans son dos.

« Tu n’as pas idée de ce qu’on peut te faire Rhian … Tu pourrais être notre proie. » Lui dit alors la courtisane, en une susurre à l’oreille. Ses mains se posèrent sur ses épaules et, délicatement, elle commença à les caresser. Mélonye y allait doucement pour le moment, mais sans prévenir, elle glissa sensuellement ses mains vers son buste, et empoigna sa lourde poitrine. « À une contre deux, c’est toi qui ne fera pas le poids ! » Finit-elle par dire, taquinant la princesse. Ses mains empoignèrent donc les doucereux seins de Rhian, alors que ses petits doigts de fée titillèrent ses douces pointes rosées. La princesse était comme prisonnière entre les bras de Mélonye, qui ne comptait pas la relâcher si facilement. Sauf si la reine en décidait autrement … Après tout, elle avait encore une belle trique à soulager.

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Dictature d'Ashnard / Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]
« le: jeudi 23 mars 2017, 19:18:29 »
Mère et fille se démenaient pour bourrer le mieux que possible pauvre petite courtisane qu’était Mélonye. Bien qu’on ne pouvait pas réellement la plaindre ; cette situation elle en avait rêvé tant de fois ! C’était un grand fantasme pour elle, de se faire prendre aussi méchamment par la reine et la princesse en même temps. Un fantasme qui s’était concrétisé cette nuit-même ! Si ça ce n’était pas être choyée, qu’est-ce ça devait être alors … Mélonye baignait dans la joie et le plaisir, les joues aussi rouges que des tomates, à force de se faire sodomiser et prendre. Rhian derrière elle s’abandonnait à la joie de la sodomie, tandis que sa mère labourait la courtisane de toutes ses forces, finissant immanquablement par se vider en elle. Mélonye fut remplie de toute part, se sentant plus pleine que pleine … À vrai dire, jamais elle ne s’était sentie si remplie qu’à ce moment-là. Et cette sensation était tout simplement exquise !

Mais comme toute bonne chose avait une fin, les trois femmes finirent par jouir l’une après l’autre, après tant d’effort et de plaisir. Mélonye aussi connut un magnifique orgasme qui la saisit corps et âme, et se mit à mouiller. Un magnifique final qui la laissa à bout de souffle et surtout les yeux plein d’étoiles. D’épaisses couches de foutre vinrent à la fois remplir son anus, grâce à Rhian, mais aussi sa féminité par la grâce de la reine Khaora … Celle-ci se soulagea et son orgasme aussi, fut très délicieux à regarder et éprouver. Mais les trois femmes avaient fini de jouir et finirent donc par se laisser allonger dans le lit de la courtisane. Mélonye posa sa tête sur le buste de sa vénérable reine. Rhian se lova contre, et les trois amantes reprenaient doucement leur souffle, profitant de cet après-coup. Mélonye sourit à son amie, ne pouvant s’empêcher de venir doucement saisir et serrer sa main dans la sienne. « C’est toi qui étais fabuleuse, Rhian … » Déclara alors Mélonye, un doux sourire aux lèvres.

Mais elle se rappela que la monarque était là … La politesse voulait de la complimenter aussi ! « Et vous, ma reine, vous m’avez fait atteindre un ciel que personne ne m’avait jamais fait atteindre ! » Dit-elle, embrassant doucement la peau en sueur de Khaora. Mélonye se lova contre elle, ronronnant doucement tel un félin roucoulant contre la jambe de son maitre. Mais ses yeux étaient pour Rhian, qui venait de lui faire réaliser son plus grand fantasme, rien que pour lui faire plaisir … Mélonye lui était infiniment redevable et reconnaissante pour ce si beau geste. La courtisane nota toutefois ce que venait de dire la reine et lui sourit malicieusement, hissant son visage à hauteur de son oreille, pour lui murmurer quelque chose. « Vous pourriez rester pour la nuit, ma Reine … Mon lit est assez grand pour vous accueillir vous et votre fille … Et puis, avouez que dormir à plusieurs est plus agréable. » Lui murmura-t-elle d’une voix taquine.

« Même si, je n’ai pas encore sommeil, ma Reine … » Avoua-t-elle finalement, faisant comprendre qu’elle avait pour désir de continuer à faire plaisir à Khaora et Rhian. « On s’est occupé de vous, puis de moi … » Dit-elle, avant de regarder malicieusement Rhian. « Il en reste une, je crois. » Déclara-t-elle, un sourire taquin aux lèvres.

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Dictature d'Ashnard / Re : Songeries romantiques [Mélonye Harubaal]
« le: samedi 25 février 2017, 14:59:19 »
Mélonye ne savait pas si elle était en train de rêver ou si elle était réellement en compagnie d’une ange. Mais ce qui était sûr était qu’elle désirait profiter de ce moment jusqu’au dernier instant. Cupidon était si douce et gentille, il était impossible pour la courtisane de ne pas l’aimer et vouloir lui faire plein de câlins. Après avoir jouit et sentit le foutre de Cupidon fuser en elle, la courtisane s’était blottie contre son amante, lui offrant un doucereux baiser, alors qu’elle lui fit part de son désir de faire l’amour toute la nuit. Oui, Mélonye était insatiable mais c’était bien pour ça qu’elle était une courtisane. Et là, elle semblait réellement vouloir partager ce moment avec une personne si douce que Cupidon. Quand cette dernière lui expliqua ce qu’était une Furoluciole, la courtisane redressa son visage pour les observer. Effectivement … Ces petites créatures semblaient belles et bien magiques, puisque peu après, une silhouette se forma.

Rhian. Ces créatures avaient lu en Mélonye comme dans un livre ouvert, lui montrant ainsi la personne qu’elle aimait le plus, et qui comptait le plus aussi. Les joues de Mélonye s’empourprèrent, ayant toujours cette retenue envers la princesse, même si elle était au cœur de ses plus grands rêves et désirs. Mélonye sourit doucement, avant de revenir au visage de sa Cupidon. Elle s’allongea toute contre elle, nichant sa tête dans son cou. Elle désirait continuer de faire l’amour mais, un petit moment de tendresse et de repos entre deux était le bienvenu. Nue, et profitant de la chaleur de son corps, Mélonye promena doucement ses doigts le long de sa poitrine et de son bras. « Elles exaucent les vœux, tu dis ? … » Dit alors la courtisane, alors qu’un petit sourire ravi s’imprima sur ses lèvres. Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle tente sa chance, se mettant ainsi à penser à un souhait, un désir qui lui tenait réellement à cœur.

Elle aurait souhaité que Rhian la voit comme plus qu’une courtisane. Ô, elle savait que la princesse la voyait comme son amie, voire une très proche amie. Et si c’était réciproque et que Mélonye voyait aussi Rhian comme sa grande amie, la vérité était qu’elle ressentait des choses plus profondes que de l’amitié à son égard. Mélonye avait des sentiments, des vrais, pour la princesse. Et elle aurait souhaité que ce soit la même chose pour Rhian, mais la réalité faisait qu’une princesse ne pouvait ressentir de pareilles choses pour une simple courtisane. Rhian aspirait à un ou une noble, de même rang qu’elle … C’était pour cette raison que cette idylle était impossible. Mais l’espoir faisait vivre et la courtisane, du fond de son cœur, fit son petit vœu. Après cela, elle sentait encore la douce chaleur de Cupidon la bercer, alors qu’elle était contre son corps, se reposant. La courtisane continuait de la caresser, mais elle désira finalement parler un peu, avant de reprendre les ébats.

« Je suis curieuse à ton sujet, noble ange … Comment c’est, chez toi ? Vous êtes tous aussi beaux et gentils ? Vous avez tous de si grandes ailes ? » Demanda-t-elle en souriant, désirant en savoir plus sur Cupidon et son monde.

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Dictature d'Ashnard / Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]
« le: samedi 25 février 2017, 14:59:06 »
Mélonye satisfaisait son insatiable soif en pompant bien généreusement la queue de sa majesté. Mais aussi délicieux et jouissif cette activité était, elle ne pouvait pas durer. La courtisane pompait, encore et encore, accueillant avec appétit ce succulent morceau de chair dans sa gorge, qui se faisait déformer à chaque venue. Elle couinait et gémissait, tandis que son corps lui envoyait des milliers de vagues de plaisir, grâce à la prodigieuse sodomie que lui faisait la princesse. Rhian n’en démordait pas et continuait de perforer son anus, au plus grand bonheur de Mélonye qui était une sodomite dans l’âme … Ses gémissements étaient étouffés par la queue joufflue de la reine, mais on ne pouvait pas douter du bonheur fou qu’elle ressentait en ce moment, à se faire prendre par les deux plus belles et merveilleuses femmes au monde !

Mais comme dit, cette fellation ne pouvait durer. Ainsi la reine décida de se redresser, enlevant sa sucette à Mélonye qui semblait un peu frustrée de ne plus pouvoir y gouter. Mais, elle fut rapidement comblée à nouveau puisque la reine se mit en position pour s’enfoncer en elle, dans sa féminité … Prenant ainsi la courtisane en sandwich, entre elle et sa fille. « Haaaaaaan !!! » Couina fortement Mélonye qui se crispa complètement, son corps se faisant submerger de plaisir de toute part. Elle se faisait méchamment sodomiser d’un côté, et sèchement prendre de l’autre. Les coups de butoirs de la reine lui arrachait de violents spasmes de pur plaisir, alors que Rhian se démenait encore et toujours pour ouvrir sa rondelle, arrachant un plaisir encore plus puissant et audible à Mélonye.

« Ou-OUIII ! HAAAAAW !!! » Hurlait presque la courtisane, ne pouvant plus retenir aucun cri. C’était tout simplement trop bon, trop jouissif ! Son corps se faisait balancer entre Rhian et Khaora, prit avec toute leur hargne et leur force. L’anus de Mélonye se contracta fortement autour de la queue de Rhian, tellement le plaisir était puissant et saisissant. Elle se mit à mouiller, son nectar féminin se mettant à couler sur la trique de sa reine, et même au sol. Mélonye souleva ses cuisses pour venir les enrouler autour des hanches de sa majesté, afin de ne reposer uniquement que sur la force des bras de la mère et de la fille. Elles allaient rendre folle la pauvre courtisane qui n’en pouvait plus de couiner son plaisir. Elle mouillait, elle gémissait … Son corps se convulsait dans de grands spasmes de plaisirs, avant que finalement, il ne cède à une succession d’orgasmes.

Mélonye sentit son corps la trahir, alors qu’un puissant orgasme la déchira une première fois, la faisant mouiller copieusement. Sa voix ne put suivre le mouvement … Mais cela ne l’empêcha pas de jouir. Un premier orgasme la foudroya, provoqué par Rhian à force qu’elle sodomise aussi puissamment sa pauvre courtisane … Puis un deuxième, provoqué par Khaora, qui venait de faire éclater des centaines de milliers de papillons au ventre de Mélonye. Ces deux orgasmes furent suivis par de micro jouissances, jusqu’à ce que les deux nobles finissent par jouir à leur tour, fourrant Mélonye à raz-bord de leur crème. La courtisane sentit son estomac se remplir du foutre de Rhian, tandis qu’elle se sentit encore plus pleine quand Khaora aussi, la fourra généreusement de sa semence. À force, son petit ventre présenta même une fine bosse …

Mélonye assistait à la concrétisation de son plus grand fantasme, et ça … C’était un présent inestimable.

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Dictature d'Ashnard / Re : L'invitée surprise [PV : Kaipkyre Païxi]
« le: mercredi 15 février 2017, 15:57:38 »
Kaipkyre Païxi … Ca ne sonnait définitivement pas Ashnardien voire Papuan. Cette femme devait venir d’une autre contrée, sans doute éloignée d’ici. Ce qui rendait la situation plus délicate qu’elle ne l’était aux yeux de Mélonye. Apparemment la jeune demoiselle ne savait pas ce qui lui était arrivé, ou ne s’en rappelait plus, temporairement. La courtisane était néanmoins rassurée qu’elle aille mieux, ayant retrouvé ses belles couleurs. Kaipkyre n’était pas d’ici mais, elle n’en demeurait pas moins très belle fleur. Les personnes comme Mélonye, qui étaient sensibles à la Beauté avec un grand « B », remarquait vite ce genre de détails. La courtisane lui sourit agréablement et entendit ses questions, bien légitimes. Après tout maintenant qu’elle allait mieux, le temps des questions était désormais en vigueur.

Mélonye s’assit au bord du lit, à côté de sa patiente et la regarda amicalement. « Je vous ai retrouvé sur les berges de la ville la plus proche. Vous étiez seule et dans un sale état, au fond de votre barque … Je ne pouvais pas vous laisser ainsi, Kaipkyre. » Répondit-elle dans un premier temps. Elle attendit quelques secondes puis enchaina sur les autres questions qui lui furent posée. « Mon nom est Mélonye, et vous êtes au Harem Royal de sa Majesté, la reine Khaora. Enfin … Normalement c’est aussi le harem du roi mais, il est surtout fréquenté par sa Majesté et la princesse, Rhian. Je suis une de leurs courtisanes, tout simplement. Mais pour faire plus simple ; vous êtes à Papua, royaume au sein de l’empire d’Ashnard ! » Répondit-elle finalement, adressant un sourire à la jeune femme. Kaipkyre ne semblait pas être de la région voire du pays. C’était inquiétant car la pauvre, elle sera vite déboussolée en voyant le royaume, voire tout le monde de Terra.

Mais heureusement pour elle, Mélonye était là ! Et cette dernière comptait bien ne pas laisser Kaipkyre partir sur des mauvaises bases dans ce nouveau monde. Mais avant cela, elle devait en savoir plus sur elle, afin de mieux la cerner et de tout simplement sympathiser avec cette gente dame. « Je vous retourne les questions Kaipkyre ; d’où venez-vous ? Et qui êtes-vous, en fait ? Vous vous souvenez de la raison pour laquelle vous étiez dans une barque ? » Lui demanda-t-elle simplement. Alors qu’elle s’apprêtait à répondre, la courtisane se tourna un instant et saisit un fruit, qu’elle donna à Kaipkyre. Elle devait manger ! Et ce fruit était rempli de vitamines qui allaient la remettre d’aplomb, en plus d’être très délicieux.

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