Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les terres sauvages / Re : Tu vas avoir de la compagnie [PV]
« le: mercredi 13 janvier 2016, 06:03:11 »
Le canim ne dormit jamais vraiment, et ne laissait personne l’approcher, et aucune personne en présence ne voulait risquer de perdre une main à l’approcher trop près. Car oui, c’était le risque, perdre une main car il l’aurait arrachée d’un vulgaire coup de crocs, tout simplement ! Il restait souvent éveiller à gronder, quand bien même c’était la créature marine qui approchait… n’allez pas croire qu’il pensait toujours à tout le monde comme des dangers, c’était juste que dans la langue canim, il y avait pas moins de 23 mots pour parler d’ennemis, et s’il en allait ainsi, c’était parce que le peuple aux attributs animaux était bien plus belliqueux que ce que l’on pourrait penser.

Guerrier par nature, il n’était pas un bon pêcheur, aussi, mes rares fois où il tenta de pêcher, ce ne fut pas un grand succès. Il était donc résolu à devoir attendre qu’o lui apporte à manger, comme un vulgaire animal !  Il essayait de toujours avoir l’entrée de l’enclos dans son champ de vision, mais ses oreilles montraient que même assoupi, il restait vraiment aux aguets… il fallait trouver un moyen de se nourrir et de s’échapper… il gronda une nouvelle fois de faim, jusqu’à ce qu’il entende la créature aqueuse remonter à l surface, en sursaut il se redressa et regarda dans sa direction alors qu’elle lui lançait un poisson. Il se saisit du poisson au vol et le déchira en deux avant de le gober, maigre repas, mais c’était déjà ça de pris…

Il émit un grondement de contentement et un mouvement d’oreilles. Voilà pour les remerciements… il se mit sur ses pattes arrières et commença à faire des tours sur lui-même, observant un peu ce qui se passait alentour, cherchant la faille. Il devait bien en avoir une, non ? Après tout, tout système avait une faille…. Et il prenait le temps d’observer le temps qu’il était blessé… c’était une bonne chose que de ne pas perdre de temps…

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Les terres sauvages / Re : Tu vas avoir de la compagnie [PV]
« le: dimanche 18 octobre 2015, 16:53:38 »
Il y avait de fortes chances que la scène touche à sa fin ! En fait ce n’était pas tant qu’il s’apprêtait à jouir qu’il sentait le corps de la sirène sous le sien, et qu’il se savait bien plus puissant qu’elle et qu’il se rendait compte qu’il risquait de finir par lui laisser des traces inaltérables de son passage, involontairement, aussi lâcha-t-iul son sein et cessa-t-il de la mordre, tachant même de la plaquer sur le sol sans lui planter les griffes dans les épaules… même si c’était moins bien, moins Canim…

Il essayait de se montrer un brin plus précautionneux. C’était moins de plaisir, mais d’un autre côté, c’était surtout de la copulation, surtout du plaisir. Aussi sacrifiait-il davantage cela pour la garder en un seul morceau, même si cela signifiait sacrifier une partie de son plaisir et rendre cet acte peut être plus articifiel ! Néanmoins, ce fut plus fort que lui, il lui saisit de nouveau la gorge en grondant, mais sans serrer, presque en apposant juste de part et d’autre de sa gorge alors qu’il redoublait d’intensité malgré la position un peu étrange. Il continuait à pilonner son intimité de sa verge bien tendue et bien veinée.

Il continua ainsi pendant quelques minutes avant d’émettre un puissant grondement très sourd faisant vibrer tant son propre corps que le corps de l’hybride avant de finalement, dans un ultime coup de rein, aller le plus loin possible en elle et d’y rester alors qu’il se laissait gagner par le soulagement de la libération de sa semence en elle, au fond de son intimité. Il ne demanda rien de plus, se retira, s’éloigna un peu d’elle et s’ébroua avant de rejoindre la partie perpétuellement émergée du bassin, non sans peine. Il s’installa en haut, sur son promontoire, alors qu’un bruit indiquait que le bassin recommençait peu à peu à se remplir.

L’accouplement était passé, son intérêt pour l’hybride redevenait purement instinctif. Danger ? Ou pas ? Réducteur peut-être, mais il était plus animal qu’humain ! Il s’installa sur le sol, et ferma les yeux pour s e reposer, la concentration pour ne pas la briser était lourde, aussi était-il particulièrement fatigué, et vidé. Il ferma les yeux, mais resta sur le qui-vive. En effet, si jamais elle remontait à la surface ou autre, lses oreilles la suivrait.

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Les terres sauvages / Re : Tu vas avoir de la compagnie [PV]
« le: samedi 17 octobre 2015, 21:13:59 »
L’accouplement était sauvage, difficile de qualifier les choses d’un autre nom. C’était dénué de cette grâce ou de cette beauté dont sont pourvus les comptes de fée, il s’agissait d’un simple acte primal, où le plaisir n’avait qu’une place secondaire. L’important était davantage la reproduction. Le plaisir n’était que le bonus, le fait que l’on recommençait après plus volontiers, tout simplement. Il regarda la sirène remuer un peu, et ne pouvais pas manquer de voir le sang le long de ses griffes, allant un peu dans sa fourrure… il y allait peut-être un peu fort… mais bon, c’était ainsi qu’il faisait les choses… et libre à elle de s’en défendre et de se débattre. De toute manière, c’était trop tard…

Et de toute manière, il sentait clairement qu’elle adorait ça. Entre l’humidité de son antre et ses grognements de plaisir, difficile de nier le plaisir, et même pour le Canim : il y avait une sorte de souffle rauque qui rappelait un grondement venant juste du fond de la gorge, un grondement de plaisir… il regarda ses pattes et les décala légèrement, remontant sur les côtés de sa poitrine. Chez les Canims, les mamelles des femelles n’étaient pas érogènes, aussi ne faisait-il attention à rien en la manière… il restait brutal, envoyant de brutaux coups de boutoir au fins-fonds de son intimité, se fichant du reste, savourant l’étroitesse de son corps chétif contre le sien… elle était petite, plus que lui en tout cas, et il le ressentait quant à la taille de ses parois vaginales, clairement. Oui elle restait chétive face à elle… ses cuisses étaient plus épaisses que les antérieurs de la femelle.

Emporté tant par le désir que le plaisir, il se pencha sur elle et referma sa mâchoire sur la nuque de la sirène. C’était un geste courant pendant l’acte chez les Canims. Il s’agissait à la fois d’une marque de possessivité et d’agressivité. Un signe que pendant cet ébat, elle était à lui, et en même temps un signe qui montrait clairement la vulnérabilité de la femelle. Il aurait pu serrer jusqu’à entendre un craquement, mais ce geste était étonnamment doux, c’est à peine s’il entailla la peau, alors que ses pattes griffues venaient s’emparer de ses épaules et redescendaient se saisir de ses bras, tirant dessus pour la cambrer plus que de raison alors qu’il continuait de se montrer violent avec son sexe brulant de désir. Il cessa un peu, se retirant d’elle, venant frotter sa verge contre la cuisse de la sirène. Il ne sembla pas vouloir reprendre et la lâcha, la forçant à se retourner pour qu’elle soit sur le dos alors qu’il saisissait ses cuisses pour les lui écarter et retourner en elle. Face à elle, venant ensuite saisir ses épaules pour les plaquer durement au sol, laissant loisir à sa colonne vertébrale d’encaisser les chocs répétés. Etait-elle fait pour les ébats Canims ? Peut-être pas vraiment….

Il se pencha sur elle pour venir lui mordre la gorge en grondant, pour ensuite saisir un sein entre ses dents et serrer, cherchant apparemment quelque chose. Oh, il ne comptait pas l’abimer vraiment… les blessures étaient plus ou moins involontaires…

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Les terres sauvages / Re : Tu vas avoir de la compagnie [PV]
« le: samedi 17 octobre 2015, 19:42:37 »
La sirène restait recroquevillée sur elle mais elle sentait de plus en plus la présence du fauve. Elle l'entendait aussi. Les griffes crissaient sur le carrelage, les pattes qui avançaient, les glissades aussi. En d'autres circonstances, elle aurait pu trouver ça amusant mais pas à cet instant. Il était face à elle, elle le sentait. L'odeur du mâle était bien plus forte mais elle ne bougea pas pour autant. Sans sa voix et sans eau, elle était énormément désavantagée. Elle ne pouvait compter que sur ses dents sauf qu'elle doutait lourdement que cela suffise. Lui possédait des crocs et il n'hésiterait pas à s'en servir si Nerri tentait quoique ce soit. Elle était donc à la merci de ce nouveau venu.

Elle avait une odeur bizarre, pas dérangeante, pas mauvaise, juste bizarre, pas humaine, pas non plus celle d’un poisson non plus… étrange… il grogna, mais sans méchanceté, un grognement qui relevait plus de la surprise et de la curiosité. Chez les Canims, le grondement n’était pas juste un son, mais toute une forme de langage, un grondement était nuancé par mille et une vibrations, et pouvait être interprété donc de mille et une manière, selon sa forme et sa puissance, selon son timbre aussi, mais pour un néophyte, aucun n’était différent d’un autre… il fallait une oreille plus que fine, surdéveloppée même, pour sentir les différences, et une sensibilité encore plus importante quant à comprendre leur sens.

Il ne prit pas gare au rire de la sirène, d’abord parce qu’il ne comprenait pas le rire et ensuite parce qu’il n’avait pas de sens. Il la sentit même jusqu’au bout des pieds palmés de la créature qui lui faisait face… et se sentir reniflée de la sorte ne semblait pas la gêner outre mesure ! en même temps, renifler autrui pour le connaitre, c’était normal, non ? Quoique les humains trouvaient ça étrange… il eut un reniflement un rien bizarre et après avoir reniflé de nouveau son intimité, il éternua. Puis il cessa.

Tête légèrement penchée sur le côté et langue pendante, il la regarda etenter de se redresser… elle ne savait pas se servir de ses jambes. Il s’agissait d’un chiot, ou du moins, il s’agissait de la manière d’un jeune chiot que cherchait à se redresser tant bien que mal sans y arriver. Peut-être fut-il un rien attendri par sa manière de faire, mais sans peur, il se pencha vers elle pour lui permettre de le renifler, ses oreilles bougent légèrement d’amusement devant son comportement de petit chiot à peine né… il se laissa presque entièrement faire, ne grondant que quand elle s’approcha de de son cou pour le renifler… oui, le cou, la gorge, il n’aimait pas qu’on y ait accès aussi facilement… mais bon, elle passa vite à autre chose, venant même renifler sa verge grossissante.

Il sentait ses chaleurs de manière plus prononcées et savait déjà qu’il allait chercher à s’accoupler avec elle. Pas parce qu’il en avait complètement envie, mais parce qu’il le fallait il le sentait… il regarda la pseudo-humaine-à-l’odeur-étrange se mouvoir, rampante, alors qu’elle  finissait par s’écrouler sur le ventre, cherchant à faire passer un message qu’il avait tout à fait compris. Il n’allait pas attendre et sans se gêner s’installa « sur elle », ou plutôt au-dessus d’elle pour finalement la saisir par les hanches, la soulevant pour la mettre à sa hauteur sans ménagement…

Difficile de prendre en compte la résistance de ce corps si fragile qu’il avait entre les pattes, ses griffes étaient acérées et il avait du mal avec la finesse : chez les Canims, la copulation était clairement un acte bestial et violent, et le sang était rarement absent, à cause des griffes et des crocs. Il n’avait jamais fait que comme ça, comment imaginer faire les choses autrement. Aussi, peut-être lui fit-il mal avec ses griffes, il n’en savait rien, alors qu’il amenait l’entrecuisse de la sirène à la rencontre de son visage, d’abord, pour renifler une dernière fois son intimité avant de la lécher quelques instants, guère longtemps néanmoins.

Puis il la lâcha et s’aplatit sur elle pour placer sa verge contre son intimité. Il ne s’embarrassa pas de frottements, et alors que ses pattes venaient bloquer la sirènes en la saisissant par les côtes (oubliant les branchies, après tout, quel être avait des branchies, sur terre ?), il entra en elle, sans douceur. A la manière Canim. A elle d’endurer, de supporter cela jusqu'au bout !

Parallèlement, on continuait de les asperger au jet d'eau régulier... ils tenaient un minimum à leurs cobayes, le temps de la copulation du moins !

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Les terres sauvages / Re : Tu vas avoir de la compagnie [PV]
« le: samedi 17 octobre 2015, 18:14:57 »
Niveau animation, ils étaient servis : un homme-loup claudiquant et un bassin plein avec quelque chose dedans qui remuait sans se montrer… de quoi être foutrement déçu… et bien tant mieux, Vorregg ne voulait pas leur faire le plaisir de le voir aller dans l’eau, même si ses rares tentatives à aller dans l’eau, limité au bout des pattes et aux éclaboussures, avaient bien vite donné à la pièce un fort relent de chien mouillé… autant vous dire que les observateurs devaient être ravis… il regardait l’eau, ne lui tournant jamais l’eau, grognant, laissant tomber sa bipédie pour une quadrupédie bien pratique… il avait ainsi la truffe ras le sol et pouvait mieux protéger sa gorge… plus encore s quoique ce soit sortait de l’eau, il pouvait vite happer avec sa gueule aux crocs acérés…

Une fois il vit quelque chose remonter et sortir de l’eau, il vit une tête humaine sans odeur humaine. Une hybride ? Peut-être… il avait alors émit un grondement très sourd, si sourd qu’il était peu audible, mais surtout, sensible, en effet, il s’agissait presque d’une vibration. Et il avait fait un pas claudiquant dans sa direction avant qu’elle replonge… il avait alors retiré sa patte de l’eau pour rester sur la terre ferme, à tourner en rond.

Jamais il ne se détourna de l’autre locataire des lieux !  Il se méfiait trop… il ne la voyait pas sous l’eau, et donc, il ne pouvait que surveiller, ses sens aux aguets. Il n’aimait pas ne pas connaitre et traitait l’inconnue comme un danger potentiellement mortel, aussi, même si à quelques instants il sembla dormir, il se contentait de se reposer, son nez et ses oreilles en alerte si jamais elle essayait de s’approcher… il n’aimait pas l’idée d’être à la merci d’une ennemie potentielle… mais au moins, c’était une ennemie qui frapperait depuis une zone précise… il aimait plus ces ennemis là que les autres….

Combien de temps s’écoula-t-il ? Bonne question, toujours est-il qu’il finit, à un moment, par entendre un bruit… pour son oreille de canidé, il s’agissait d’une sorte de vibration aigue désagréable qu’il n’arrivait pas à identifier. Il fut heureux de constater qu’elle venait de l’eau… il savait que l’eau en absorberait une bonne partie… il gronda plus d’une fois, à la fois curieux et inquiet et attendit. Il comprit au bout de quelques minutes : ils vidaient l’eau de la cage ! Il fut ravi de voir que ce bassin avait donc un fond, même si c’était profond ! et au fur et à mesure, grognant toujours, il se mit à descendre dans le bassin de plus en plus vide, au sol carrelé. Plusieurs fois il glissa à cause des restes d’eau, du carrelage, et de ses puissantes griffes. Plusieurs fois il se releva pour continuer à descendre, plus précautionneusement, la pente en utilisant les joints des carreaux comme freins.

Il fut bientôt en mesure de voir ce qui se cachait sous la surface… jusqu’à la taille il s’agissait d’une humaine et après… un poisson ? Etrangement sa faim se manifesta alors qu’il restait à distance, prudent… peut-être même entendit-elle son ventre gargouiller. Mais désormais, il y avait une odeur qui le rassurait… l’excitait, même un peu :  il s’agissait de l’odeur qu’il connaissait si bien et qu’on répandait vite sur son passage, celle de la peur ! Et si elle avait peur, elle n’était plus complètement un danger pour lui… il s’ébroua à portée. Et il fit mal. La preuve sans doute ? Un puissant jet d’eau leur parvint, les trempant tous les deux, achevant de le transformer en véritable chien mouillé…

Il la vit se recroqueviller avant de finalement s’approcher encore et bientôt il effleura sa truffe de sa peau. Elle avait la peau fraiche d’une humaine… il suivit les effluves et bientôt sa truffe renifla son entrejambe au travers de ses jambes qu’elle avait replié contre elle. Il reniflait son humidité, il reniflait ses chaleurs. Oui, elle était en chaleur. C’était évident. Et étrangement, il n’y était pas indifférent, même si elle était d’une espèce différente… d’ailleurs quand il se redressa peut-être vit elle la pointe de chair rosée sortir de parmi les poils… il lui fit un petit sourire qui passa par ses oreilles qui s’agitèrent, et il se remit à la renifler, se remettant à quatre pattes, la reniflant sous toutes les coutures… difficile de nier son désir naissant qui prenait peu à peu de l’ampleur au fur et à mesure qu’il la reniflait, venant même renifler et lécher, comme pour comprendre, les branchies des côtes de la sirène …

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Les terres sauvages / Re : Tu vas avoir de la compagnie [PV]
« le: samedi 17 octobre 2015, 10:24:12 »
La lourde cage en métal trembla lorsque le monstre se jeta contre les parois. Il n’avait plus d’arme, il n’avait plus que sa fourrure, tout le reste lui avait été enlevé, et en prime, il disposait désormais de deux magnifiques plaies de plus qui viendraient orner sa collection de cicatrices. Oh, il n’allait pas attraper froid, non, pas de soucis là-dessus ! il avait le poil épais ! Mais la masse de muscle qui roulait gracieusement dessous n’était pas assez importante pour définitivement ébranler la cage. Trop solide. Faite pour lui.

Il avait été capturé et il n’en était pas fier, même s’ils avaient perdu plus d’une douzaine d’hommes dans cette histoire, ces eaux-nues étaient si fragiles… cette ide lui réchauffait le cœur. Ils étaient des ennemis… ais pas des ennemis en qui on pouvait se fier… presque des amis, en somme… car les amis n’étaient que trop rarement honorables. Il soupira et regarda le convoi. Ils étaient encore une trentaine, et plusieurs tenaient encore une arbalète pointée vers lui. Sage précaution, il fallait le reconnaitre… quoique même s’il l’avait voulu, il n’aurait pas pu faire grand-chose, ils avaient usé d’un marteau pour lui briser l’antérieur gauche, sa patte d’épée. Salopards ! Fils d’asticots.

Ces puants lui étaient tombé dessus par surprise, comme s’ils connaissaient sa faiblesse, comme s’ils savaient que là où il était, son odorat serait trop troublé pour sentir leur odeur nauséabonde. Quelle horreur ! Il regarda la jeune femme et soupira avant de finalement se rouler en boule dans la cage, grondant si jamais qui ou quoique ce soit approchait de la cage, il ne comptait clairement pas se laisser apprivoiser !

*~*~*~*~*~*

Le fouet lui mordit les épaules alors que la cage s’ouvrait, il se tourna pour mordre, sur trois pattes, mais ils étaient hors de portée. Il fit un pas en avant alors que des lances lui piquaient les reins, jusqu’à ce qu’il rentre dans ce qui semblait-être un enclos. Le métal de la cage était un ajout récent, difficile de le nier, ça se voyait, et il voyait bien qu’il ne pouvait pas sortir. Nouveau coup de fouet il chercha à bondir pour mordre. Toujours hors de portée et la cage se ferma. Elle était grande, et était remplie à quatre-vingt pourcents d’eau… pouah, l’eau, c’était... humide ! Ses oreilles s’agitèrent et un effluve lui vint. Une femelle. Difficile de ne pas reconnaitre l’odeur du genre, mais l’odeur de la race... ça par contre, inconnue au bataillon. Il entendit un remous dans l’eau et gronda, son museau et ses oreilles pointant dans sa direction.  Tout cela ne sentait pas bon. Il ne savait pas identifier ce qu’il sentait… il gronda et regarda l’eau, le poil hérissé Il n’y entrerait pas de son propre chef ! Il préférait attendre, prêt à griffer ou à mordre ! Et il espéra que ce soit un des geôliers qui viendrait en premier…

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Prélude / Re : Vorregg canim exilé
« le: vendredi 09 octobre 2015, 23:59:08 »
Vous savez quoi ? J'abandonne, impossible de faire boire des ânes qui n'ont pas soif ! Dites que je suis un chat si vous voulez, je contredirais même plus.

Mais merci pour l'accueil, je suppose !

8
Prélude / Re : Vorregg canim exilé
« le: vendredi 09 octobre 2015, 23:43:26 »
Merci darth' !

Et, Alaska, c'est plus un anthropomorphe canin... un félin a un museau plus court, plus écrasé... mais me comparer à un chat est toujours plaisant.... ou juste insultant !  /PAN/ xD

9
Prélude / Vorregg canim exilé [Valisuccubisé]
« le: vendredi 09 octobre 2015, 23:22:02 »
Identité : Vorregg
Âge : 67 ans en années canims (éuivalent humain d’une trentaine d’années)
Sexe : Mâle
Race : Canim
Sexualité : Hétérosexuel

Physique :
Un monstre, voilà ce à quoi Vorregg fait penser. Outre sa taille très haute, pas loin des trois mètres. Il dispose de la carrure appropriée. Une carrure lourde et d’une puissante musculature. Il est un loup, enfin presque. Le plus simple serait de considérer cette bête comme un loup bipède, tout simplement, un loup bipède à la taille disproportionnée. C’est cela un canim. Couvert d’une lourde et épaisse fourrure, d’un ton brun avec la gorge blanche et une multitude de stries blanches dans le brun là où le poil a fini par repousser sur les nombreuses cicatrices.
Il dispose d’une paire d’yeux jaunes particulièrement aiguisés : en effet, les Canims ont, outre un sens de l’odorat très développé et une vision nocturne plus importante que celle des humains, ou même des terranides loups et chiens. Petit bémol : ses griffes sont non rétractables. Un défaut, certes, il ne reste qu’à faire avec. Il dispose aussi d’une longue touffe de poil  qu’il natte et qui retomber sur son épaule. C’est une marque de rang. Lui, il a le rang des guerriers, même si la race est une race belliqueuse, et que tous ont une formation guerrière plus que minimale, il fait partie de la caste des guerriers : les soldats de métier, les Canims d’arme d’élite.
Pour le côté vestimentaire, il se vêtit généralement d’une cape de couleur sang séché. De plus, il dispose d’une armure légère, de fines plaques d’un métal tirant entre l’écarlate et l’or,  serti de petites pierres d’un rouge sanglant. C’est une tenue assez courante pour sa caste. Il dispose aussi d’une solide lame d’un acier spécial de sa meute.

Caractère :
Les Canims sont une race très structurée, très hiérarchisée, divisée en trois castes, celles des ouvriers et bâtisseurs, les plus nombreux, la caste des guerrier de métier, celle des ritualistes. Ce sont ces deux dernières qui dirigent, malgré leur minorité, toute la société canim. Lui, il fait partie de la caste des guerriers. Son travail est la protection des ouvriers contre les autres meutes. Ces soldats sont faits pour protéger les leurs de tout intrus, aussi sont-ils des tueurs nés et violents, dont l’agressivité est la marque de fabrique. Ils sont des combattants, des êtres belliqueux qui règlent la majeure partie de leurs problèmes par la force.
Mais n’allez pas croire que ce sont des sales bêtes stupides. Ils sont de violentes créatures, mais ils ne sont pas bêtes, loin de là, ils ont simplement leur propre forme d’intelligence : une intelligence plus animale qu’humaine mais qui donne naissance à de redoutables stratèges, capable de vaincre une armée adversaire à l’aide d’une dizaine de meutes bien organisées. C’est son cas. Car Vorregg était un chef de guerre, un meneur de Canims.
Cette capacité à être un stratège lui donne la faculté de comprendre certaines choses et des concepts qui échappent à beaucoup de ses congénères. Par exemple, il est devenu tordu et vicieux, capable même de penser comme un humain.
Il n’est pas eugéniste, mais il est de ceux qui pensent que les Canims sont une race de loin supérieure aux autres, et s’il ne prône pas l’esclavage, il prône le service des races inférieures sous le joug canim.


Histoire :
Que dire des Canims ? Il s’agit d’une société belliqueuse qui n’aime, d’un point de vu extérieur, que deux choses : la conquête et le combat. Deux choses essentielles à leurs yeux, mais leur société est toujours très complexe. Ainsi, les chiots à peine nés sont séparés de leurs parents pour être élevés en commun pendant les premières années, juste histoire d’être formé par tous les sujets. Connaître la société Canim. Une fois les cinq premières années passées à grandir ainsi, ils retournent dans leur meute respective pour suivre un entrainement militaire pendant treize ans. Durant ces treize années, ils se consacrent à l’art de la guerre, c’est la formation standard. Et donc à l’âge de dix-huit ans, il rejoint la caste de ses parents et commence la formation suivante qui dure dix-huit nouvelles années avant qu’ils ne soient au point. L’âge étant différent chez eux que chez les humains, on peut dire que c’est au cours des dernières années qu’ils deviennent adultes.
C’est là que l’histoire devient intéressante. Particulièrement doué, notre jeune Vorregg se mit à montrer des aptitudes plus qu’excellentes, entre autres au seul jeu de stratégie toléré parmi eux : le Ludus, une sorte de jeu d’échec en trois dimensions, constitué de deux plateaux superposés. On le confia donc à l’un de ses pairs qui commença à le former pour devenir un stratège. Si ses exploits guerriers le permettaient.
Autant vous dire qu’il chercha par tous les moyens à s’illustrer, prenant un grand renom dans les batailles, unissant peu à peu les clans sous sa bannière, jusqu’à la terrible de bataille  du col du vautour, désormais nommé col du sang, où les clans Canims affrontèrent une armée ennemie… tout était bien préparé, les balistes étaient chargées, les soldats en place, les ouvriers conscrits en première ligne bref, tout était parfait, et l’ennemi s’avançait vers eux. Les conditions étaient idéales. Mais il perdit les faveurs des ritualistes au mauvais moment. Les tenant toujours pour quantité négligeable, il avait bêtement sous-estimé leur potentiel de nuisance….
Sans les ritualistes, sans la confiance donc du peuple, il fut défait et dut renoncer à tout : son rôle, son rang, sa caste, et accepter d’être banni. Mourir est honorable, et il aurait préféré de loin ça au bannissement. Car il ne pouvait se donner la mort, par principe… alors il devait vivre en tant qu’exilé, solitaire, alors que les meutes Canims étaient décimées au point de presque se faire éteindre….
Vous savez ce que c’est que la vie d’exil ? Loin des siens ? Loin des êtres qui forment votre famille ? C’est terriblement destructeur. Surtout quand on se retrouve à devoir faire, pour survivre, des travaux simples comme le garde du corps, le mercenaire, l’homme de main… des métiers indignes d’êtres comme lui… une vie de déchéance complète, aussi longtemps qu’il put tenir…
Et malheureusement, il n’était pas le seul. Avec la guerre qui s’accentuait, il y avait de plus en plus de réfugiés… pour le peu qui survivaient ; Aussi, il n’était pas rare pour lui de croiser ces fameux semblables, forcés de vivre comme lui. Ils devenaient peu à peu une race en voie de disparition… toujours honteux, il préféra s’isoler dans les terres sauvages pour éviter d’avoir à les croiser. La solitude plutôt que la honte.
Bien sur vivre seul là bas comporte des risques : on a bien essayé de le capturer comme esclave mais jusqu’à présent, il a toujours réussi à s’en échapper…

Autre :
Il est un fin stratège
Il dispose d'une force colossale par rapport à un humain
Il est presque nyctalope
Il a une ouie et un odorat surdéveloppé
C'est un maître d'armes
Il est plus ou moins un vagabond à l'heure actuelle

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