Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Roxie

Pages: [1] 2 3 ... 6
1
Vous nous quittez déjà ? / Re : Crotte de bique ><'
« le: dimanche 09 août 2015, 14:05:21 »
J'ai toujours craqué pour ce qui était mâle ! ♥ lol

2
Vous nous quittez déjà ? / Re : Crotte de bique ><'
« le: dimanche 09 août 2015, 14:02:32 »
Oh, ce serait pas bête, ça ! :D

3
Vous nous quittez déjà ? / Re : Crotte de bique ><'
« le: dimanche 09 août 2015, 13:59:02 »
C'est naze les complications IRL. Si je croise un génie, je fait le vœux de pouvoir rp à l'infini sans dormir ni manger ! Voilà ^^

Allez, promis je ferai tout mon possible pour répondre à tout le monde :D

Merci à vous tous, je vous n'aimeuh ♥

4
Prélude / Re : Le dieu démon aux ailes d'ébènes [Valisuccubisé]
« le: dimanche 09 août 2015, 13:52:57 »
Moi je ne connais pas du tout ce personnage, alors j'aime ! :D

Re bienvenue, alors ♥

5
Vous nous quittez déjà ? / Crotte de bique ><'
« le: dimanche 09 août 2015, 13:51:42 »
Oui, crotte de bique !

Je pensais pourvoir répondre à mes rps tranquillement cette semaine, mais j'ai plus de choses à faire que prévu :( Du coup je vais être un peu moins présente dans les jours qui viennent, mais ça devrait pas être trop long.
Je ferais de mon mieux pour répondre à mes topics petit à petit  ;D

Bisous tout le monde ! ♥

6
One Shot / Re : Pouvoir et ambition... [Privé]
« le: mardi 04 août 2015, 22:59:21 »

Diana faisait glisser ses mains sur la peau dure de l'homme. Elle la palpait, la faisait rouler entre ses doigts, délassant petit à petit ses muscles. Elle pouvait sans mal sentir toute la tension accumulée et malgré tout, elle était consciente de ne pouvoir lui offrir guère plus qu'un peu de répit. Il y a des souffrances bien plus graves et bien plus profondes que de simples tensions musculaires et tant que ces plaies béantes seraient ouvertes, la tension reviendrait. Diana n'était peut-être pas une érudite, mais elle connaissait plus ou moins l'histoire de cet homme. Bien sûr, il y avait sans doute une part de simples rumeurs parmi les informations dont elle disposait. Mais la majorité de ce qu'elle avait apprit lui suffisait à penser que cet homme avait payé assez cher sa soif de pouvoir. Comme beaucoup d'autres avant lui. Cela ne démotivait pourtant pas les suivant.
L'homme était abimé, il effrayait même pas mal de gens de part son histoire et son comportement un peu bourru. Pourtant, Diana ne paraissait pas impressionnée. Elle n'était pas du genre à trembler face à ce genre d'individu, aussi puissant et redoutable soit-il. Et ceci pour deux raisons. D'abord parce qu'elle était forte, courageuse et sûre d'elle, mais aussi parce qu'elle savait que ces hommes de pouvoir adoraient ça. Ils cherchaient les défis et tomber sur une femme capable de leur tenir tête les mettaient dans tous leurs états.

Elle n'en avait pas encore fait étal face à l'ancien centurion. Celui-ci savait parfaitement ce qu'il voulait et très vite, les massages de la jeune femme, son corps et son parfum eurent raison de lui, l'excitant de plus en plus chaque seconde. Elle pouvait le sentir, elle était une professionnelle habituée après tout. Et certains signes ne trompaient pas. Il s'empara d'abord de sa poitrine, deux monts de chers fermes et ronds qui rendraient fou n'importe quel homme. Il les observait tels des trésors, les soupesant, les admirant. Diana esquissa un discret sourire en coin, amusée, puis frissonna aux contact des mains caleuses du propriétaire des lieux. Elle avait toujours plus appréciée les hommes forts, puissants et dont les cicatrices étaient pour elle des preuves de bravoure. C'était toujours beaucoup plus grisant qu'un riche et vieux marchand ennuyeux.

Soudain, un bras musclé l'attira contre lui, plaquant sa poitrine contre le torse viril de l'homme, son visage très proche du sien. Si proche qu'elle put sentir son souffle chaud et excité, ainsi que son membre imposant en train de durcir et de se dresser contre sa propre intimité, au travers du tissu. La jeune femme aimait ces moments-là car c'était après tout, pour elle, sa manière de se sentir puissante. L'homme prit alors la paroles, annonçant des propos inattendus qui piquèrent la curiosité de la prostituée. Il désirait qu'elle agisse comme s'il était la dernière chose qui la séparait de la noblesse et non comme une simple putain de quartier. Diana afficha un large sourire. Elle ne se posait pas vraiment de question, car les désirs des hommes étaient parfois bien plus étranges que celui-là. Et l'idée lui plaisait. Elle approcha donc ses lèvres de son oreilles et murmura :

- On dit que la noblesse vient avant tout du cœur. Mais nous savons vous et moi, Dominus, que la noblesse s'aquière grâce à la force, le sang, la manipulation... et qui sait ? Peut-être même le sexe...

Une de ses mains vint se plaquer contre le torse de l'ancien centurion, se faufilant entre eux deux pour repousser doucement l'homme et l'obliger à s'allonger sur le dos. Elle le dominait ainsi, assise à califourchon au niveau de ses cuisses. Elle en profita pour lui ôter son pagne, sans le quitter des yeux une seconde, et saisit ainsi le membre viril d'une main, commençant à le masturber lentement, mais fermement. De son autre main, très habilement, elle défit le luxueux soutien-gorge enfilé pour l'occasion, libérant ainsi tout à fait ses deux seins qui semblaient tant plaire à son client.
Elle commença ainsi, le branlant avec application et allant même jusqu'à se pencher sur lui pour faire glisser ses seins contre sa peau et mordiller la lèvre inférieure et gourmande de son client.

7
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 30 juillet 2015, 16:15:55 »
J'adore ce nouveau kit moi aussi ! *_*

*repart aussi vite qu'elle est venue*

16h15

8
Prélude / Re : Une Sirène. Attention, pas celles qui ont une queue de poisson.
« le: mercredi 29 juillet 2015, 22:46:00 »
Bienvenue ! ^^

9
Prélude / Re : Hellhound [Valilouvée]
« le: mercredi 29 juillet 2015, 16:13:47 »
Bienvenue ! J'aime beaucoup ^^

10
One Shot / Re : Pouvoir et ambition... [Privé]
« le: mercredi 29 juillet 2015, 12:06:51 »

Diana était en train de rajuster ses effets personnels lorsqu'un jeune garçon, certainement un esclave de la maison, vint lui ouvrir la porte et lui demanda de se s'annoncer. Esquissant un doux sourire, elle lui confirma donc son identité et put ainsi pénétrer dans la demeure. La délicieuse créature qu'elle était observa et admira immédiatement la décoration luxueuse des lieux avec intérêt. Elle avait toujours apprécié les belles choses et regrettait parfois de ne pas être de sang noble. Comme cela devait être plaisant de se prélasser dans un lieux pareil. D'un geste machinal et habituel, elle dénoua sa cape de ses mains fines, laissant l'esclave s'en emparer et l'en débarrasser alors que son regard fixait toujours les fresques peintes sur les murs. Cependant, elle sentit le regard du jeune homme posé sur elle et se tourna donc vers lui avec un sourire amusé. Bien entendu, son charme fonctionnait toujours aussi bien, les hommes comme les femmes d'ailleurs. Et cet esclave, bien que beaucoup trop insignifiant pour avoir le droit de poser les mains sur elle, et tout juste un regard, n'échappait pas à l'envie. Il eut cependant la pudeur et l'intelligence de détourner le regard et de l'inviter à le suivre dans la demeure.

La démarche fluide et gracieuse, Diana le suivit, toujours aussi intriguée par la beauté pourtant froide et vide de la demeure. A l'image de son propriétaire, sans aucune doute. Le centurion n'était pas connu pour sa joie de vivre. Mais peu importe.
La jolie prostituée avait beau n'être qu'un objet de désir, ce qu'elle dégageait était si puissant, si éblouissant, que s'en était presque gênant, provoquant. Elle était, tout comme son nom, à l'image de la déesse de la chasse que l'on nommait Diane pour les romains ou Artemis pour les grecs. Une divinité que l'on représentait délicate, mais aux formes généreuses et gracieuses. Avec un caractère bien à elle, un tempérament combattif et assuré. Exactement comme notre demoiselle.

Bientôt, l'esclave s'arrêta devant une porte à laquelle il frappa, puis entra, avant d’annoncer que son Maître dormait et qu'elle devait attendre. Diana acquiesça et patienta sagement près de la porte, effleurant les fresques peintes aux mur du bout des doigts. Le jeune garçon finit par l'inviter à entrer, ce qu'elle fit.

Peu de personnes pouvaient se targuer de connaître Sematocle Augustus dans son intimité, si ce n'étaient ses serviteurs et quelques très rares prostituées. En fait, Diana n'avait connu que deux de ses chanceuses si on peut dire. L'une avait succombé d'une fièvre fulgurante il y a quelques temps, et l'autre avait été achetée par un riche marchand. Du coup, Diana ne s'était pas attendue à un homme aussi... brisé. L'esclave l'annonça, puis disparut sous l'ordre de son Maître.
Patiente, la jeune femme ne prononça aucun mot, se contentant de saluer respectueusement , puis de regarder le client avec retenue. Il fit craquer sa nuque, but de longues gorgées de vin, puis prit la parole pour se présenter et, choses étrange, s'excuser de l'avoir fait attendre après ce repos.

- Vous êtes tout excusé, Dominus, fit-elle sur un ton doux.

Il lui demanda alors si elle savait masser, l'empressant de s'approcher et de s'atteler à sa première tâche de la nuit. Son ton était brusque. Elle le voyait, pour le moment, gros un gros loup blessé qui montrait les crocs. Elle ne s'en formalisa donc pas, loin d'être effrayée et obéit immédiatement, effectuant quelques pas vers lui. Elle vit son regard sur ses hanches qu'elle avait sensuelle fait rouler tout en s'approchant, elle savait cependant qu'il se montrerait certainement avare de compliment pour l'heure. Certains hommes, très fiers et dominants, se contentaient de sauter les prostituées qu'ils avaient payé et les jetaient ensuite comme de vieux vêtements sales, sans un mot gentil, sans même une caresse plaisante.

Une fois assez près du Maître de maison, elle posa ses mains délicates sur les épaules larges et solides de l'ancien centurion, y décelant toute la tension accumulée et les efforts de l'entraînement. Ainsi, elle commença à le masser, délassant les nœuds et les muscles raidis. Elle était très proche de lui, si bien qu'il pouvait sans mal sentir son parfum envoûtant et deviner la douceur soyeuse de sa peau. Sans parler de sa poitrine ronde et pleine.

- Permettez-moi, Dominus...

D'un geste, elle souleva légèrement le tissu qui cachait la nudité de son intimité, sans pour autant dévoiler davantage que l'entièreté de ses jambes fuselées et de ses cuisses, s'installant alors à califourchon sur les genoux de son client, continuant ainsi à masser ses épaules lourdes et chaudes.
Elle ne poussa pas plus loin ses initiatives, préférant attendre les ordres de son client. Parfois il n'était pas toujours bon de prendre trop les choses en mains, surtout lorsqu'on ignorait encore les désirs et les envies secrètes des hommes en face de soi.

11
One Shot / Re : Kidnapping et torture plus ou moins douce PV
« le: mercredi 29 juillet 2015, 11:05:19 »

L 'ambiance était délicieusement tendue dans cette pièce glauque et sombre. N'importe quel type ordinaire aurait fait dans son caleçon en se retrouvant ainsi attaché dans une sale de torture désuète, sans savoir où il était exactement. Mais ce n'était pas le cas du Capitaine. C'était un homme entraîné, qui avait du vivre bien des expériences similaires ou pire encore et il n'était pas plus impressionné que cela. Aylin avait affaire à un dur à cuir et c'est ce qui lui plaisait. Elle aimait s'amuser avec ses victimes, parvenir à les briser, jouir de leurs supplices et de leurs larmes. Mais plus l'objectif était difficile à atteindre, plus il fallait se battre et dépasser ses limites, plus elle trouvait cela excitant. C'était une femme typiquement ashnardienne, de par son physique bien sûr, mais aussi et surtout par son caractère et sa rage, sa capacité si prompt à atteindre ses objectifs. Et cela faisait d'elle une guerrière redoutable et une femme incroyablement désirable, elle en était consciente et en jouait souvent. Comme à cet instant précis où elle charmait et menaçait le Capitaine en même temps.

Elle était consciente qu'il ne cracherait pas le morceau si facilement. D'ailleurs, cela aurait été
une grande déception pour elle. Un peu comme une tigresse, elle aimai jouer avec ses proies avant de les consommer. Alors lorsqu'il exprima le fait qu'elle agissait ainsi pour pouvoir assouvir ses pulsions, qu'il se présenta de nouveau et indiqua qu'il ne dirait rien de plus, Aylin esquissa un large sourire et souffla :

- Oh oui... et je vais prendre un malin plaisir à m'occuper de vous Capitaine.

Elle piqua du bout de son couteau, pas assez pour le blesser réellement, mais assez pour faire perler une goutte de sang. Puis elle se redressa et lui tourna le dos pour rendre prêt de l'une des tables. Lentement, elle défit ses gantelets pour enfiler des gants, enleva ses cuissardes, dévoilant ainsi ses longues jambes interminables, puis elle décrocha cape, la tassette légère de son armure, les spallières au niveau des épaules, et ne garda que son corset en cuir noir et or qui englobait parfaitement ses seins et galbait sensuellement son cul ferme sous le nez du capitaine.

Elle attrapa ensuite une dague, plus grande et plus aiguisée sur son couteau, et s'approcha de l'homme d'un pas volontairement félin et sensuel. Elle se pencha, lui offrant la vue de ses seins, et commença par déchirer un à un les vêtements de l'homme, arrachant et découpant sa tenue petit à petit, le dépouillant de tout ce qu'il avait sur lui, pour le laisser finalement nu comme un verre. Satisfaite, elle lorgna sur ses parties et arqua un sourcil.

- Hum... il faut bien avouer que la nature vous a gâté, Capitaine.

On aurait pu facilement croire qu'elle comptait s'en prendre à ce membre viril, mais il n'en était rien. Pas si vite ! Elle n'allait quand même pas se précipiter, il y avait tant de chose à faire pour s'amuser avant cela. Elle ricana et s'éloigna donc de nouveau , allant chercher un petit instrument sympathique avant de revenir vers lui et de l’installer de force. Il s'agissait de ce qu'on appelait une fourche de l'hérétique. Ainsi, mieux valait pour le Capitaine qu'il ne remue pas d'un pouce. Car bien qu'ancien, l'instrument était encore particulièrement bien aiguisé.
Ceci fait, elle se pencha sur lui pour échanger un baiser bien passionné, enfouissant sa langue dans sa bouche, sans trop appuyé pour ne pas empaler le pauvre homme. Cependant ça devait piquer un peu. Elle se détacha enfin au bout d'un moment, et le rebelle put soudain sentir la pointe de la dague  posée au niveau du creux de sa main, appuyant assez pour lui faire mal et faire couler un filet de sang.

- Votre langue délicieuse se délie t-elle, Capitaine ? Il vaudrait mieux pour votre main que ce soit le cas...

Elle sourit de plus belle, ses yeux brillants de perversité, son regard bleu plongé dans celui de l'homme qu'elle aguichait et faisait souffrir tout en même temps. Et c'était sacrément excitant !

12
One Shot / Re : La chimie ou l'achimie ? [Roxie]
« le: mercredi 29 juillet 2015, 09:41:08 »

Quel instant divin ! Iyona prenait tout simplement son pied à chevaucher ce garçon qui ne pouvait que subir, ou plutôt profiter, de ce traitement. Elle aimait particulièrement voir le visage de Senri se crisper sous le plaisir, trahissant à quel point il lui était difficile de se retenir. Son plaisir était après tout aussi important que le sien. Que ce soit dans une relation normale ou un peu plus pousser, il fallait être deux pour que le plaisir soit au summum. Sauf peut-être pour des individus complètement barrés, mais ça, c'était autre chose. Iyona se complaisait à donner du plaisir à ses partenaires et c'est ce qu'elle offrait à ce jeune homme, laissant ses envies la guider.
Il n'y a pas à dire, sentir un membre dur, dressé et palpitant d'envie était une sensation époustouflante. Ainsi, après plusieurs minutes, elle ne tarda pas à signaler à son soumis qu'il pouvait désormais jouir. Avait-elle eu un orgasme de son côté ? Difficile à dire, c'est vrai et elle prenait souvent un malin plaisir à laisser ses partenaires se poser la question. Parfois, il lui arrivait de le préciser, ou de leur suggérer, mais pour l'heure, elle ne dirait rien, elle n'en éprouvait pas le besoin.

Légèrement essoufflée par l'effort, Iyona souriait et regardait son petit soumis qui venait de jouir en elle. Elle pouvait encore sentir sa semence chaude en elle. Restant encore un peu dans cette position, elle caressa doucement la joue de Senri, apparemment satisfaite, avant que le jeune homme ne lui demande de continuer, de lui en montrer encore plus. Iyona élargit son sourire. Voilà qui était intéressant, il en voulait encore ! Et heureusement pour lui, elle avait assez de ressource de d'endurance pour répondre à ses attentes. Elle se pencha sur lui, lui offrant un baiser passionné, avant de lui souffler tout en lui griffant délicatement le torse d'un main :

- Tu n'es qu'un vilain petit gourmand, Senri. Mais soit... ta maîtresse a décidé que quelques heures supplémentaires ne te feraient pas de mal.

Elle se leva alors et commença par le détacher entièrement, lui enlevant le god, et l'invitant à se redresser. Il portait cependant toujours sa laisse et le ceinturon. Elle glissa sa main dans la sienne, et l'attira vers la petite pièce adjacente où elle avait disparue pour se changer tout à l'heure.
Celle-ci était très grande. Sur la gauche se trouvait un grand dressing, dont quelques mannequins exposant des petites tenues et lingeries très affriolantes. A gauche, une salle de bain rutilante avec une grande douche à l'italienne, une superbe baignoire dans laquelle pouvaient largement tenir trois personnes, un jacuzzi... elle donnait envie.

Iyona entraina le jeune homme jusque sous la douche, là, elle lui lia les mains en l'air, attaché au tuyau qui soutenait le pommeau de douche. De nouveau, elle attacha le bout de la laisse à son ceinturon, l'obligeant à regarder en l'air. Puis, elle alluma l'eau sans prévenir. D'abord glacée, l'eau se réchauffa rapidement pour devenir chaude et agréable. Cependant, ainsi positionné, Senri n'était pas dans la capacité d'ouvrir les yeux, car l'eau coulait directement à ce niveau là. Mais son visage restait assez dégagé pour le laisser respirer. Mieux valait éviter de noyer son petit élève.
La douche était assez grande, et trafiquée à sa manière, Iyona était également sous l'eau, un jet de douche étant installé au plafond, s'écoulant sur elle comme le ferait la pluie.

Elle resta un moment là, silencieuse, sans lui parler, caressant le corps du jeune homme un peu partout, le savonnant, s'appliquant, et alors qu'elle le rinçait, elle lui susurra à l'oreille en se collant à lui, plaquant ses seins contre son torse :

- Il fallait bien laver ce petit cochon, n'est-ce pas ? Et puis je trouve que cela délasse, ainsi nous n'en seront que plus performant. Oh, mais je crois avoir oublié un endroit très important...

Elle régla le débit de l'eau sur le minimum, puis s'installa à genoux pour commencer à sucer le sexe du jeune homme. Elle ne prit pas le temps de le lécher, elle l'engloutit immédiatement, entièrement, et joua avec sa langue, effectuant de nombreux vas et viens ni trop rapides, ni trop lents. Une mains caressait les testicules sensibles de son petit soumis, et l'autre venait caresser le bas de son dos, le griffant parfois au passage. Elle continua ainsi un peu moment, juste assez pour que le membre soit bien dressé comme elle les aimait. Puis elle se redressa et s'amusa à griffer puis embrasser tour à tour des parties différentes du corps du garçon. Aveuglé, il ne pouvait anticiper où elle allait déposer ses ongles et ses lèvres, il ne pouvait qu'essayer de le deviner, ce qui rendait le jeu encore plus amusant. Une fois lassée, elle l'embrassa avec vigueur sur la bouche, y glissant sa langue avec force et volonté pour jouer avec la sienne, collant son corps entièrement nu contre lui. Elle sentait ce chibre dur et excité contre son bas et ventre et elle en sourit, venant le branler d'une main alors qu'elle faisait durer le baiser.

Enfin, Senri se sentit le libérer, elle le détacha, lui tendit un flacon de gel douche, puis se tourna dos à lui, lui offrant volontairement le spectacle saisissant de son dos, de sa chute de rein et de son cul rebondit et ferme. Venant caler sa longue chevelure son sur son épaule, elle ordonna alors :

- Laves ta Maîtresse, Senri. Je veux que tu n'oublie aucune parcelle de ma peau...

Sa voix était sensuelle, mais impérative. Le jeu était doux et tendre, presque romantique, mais cela n'allait évidemment pas durer. Elle aimait enchaîner tour à tour douceur et hardeur.

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One Shot / Re : Pouvoir et ambition... [Privé]
« le: mardi 28 juillet 2015, 01:36:14 »
Les maisons closes, ou bordels, étaient nommés des Lupanars. Un établissement qui offrait donc les services de plusieurs prostituées. Bien entendu, suivant le standing de l'endroit, les filles n'étaient pas toutes de même qualité. Cependant le lupanar le plus prisé de Rome proposait sans aucun doute les plus belles et les plus robustes femmes qu'on ait jamais vu. Elles y étaient presque traitées comme des princesses et non comme de simples esclaves de pacotille. Elles n'étaient pas juste jolies, elles connaissaient aussi très bien leur métier. Les hommes et leurs envies n'avaient plus de secret pour elles. On appelait ces jeunes femmes des « lupas », des louves. Et cela leur allait comme un gant, il fallait bien l'avouer. Possiblement parce qu'elles criaient la nuit pour appeler leurs clients et pour d'autres raisons plus évidentes, ou plutôt en référence à la louve, évocatrice de la bestialité sexuelle.  

Cette maison de luxure si prisée, donc, se trouvait près de la caserne, car c'était en général l'armée qui s'offraient les services de ces demoiselles de petite vertu. La bougie à l'extérieure, près de l'entrée de l'établissement était allumée, signe que c'était ouvert. Et ce soir promettait d'être plutôt calme. Pourtant, on entendit du grabuge venant d'en bas. Cela ne pouvait signifier que deux choses. Soit des filles se battaient, ce qui arrivait régulièrement, soit un individu très important venait de passer les portes. Et ce fut heureusement la deuxième option qui se présenta à la patronne des lieux. Très vite dans les couloirs, on pouvait entendre le nom du célèbre ancien centurion Sematocle Augustus. Sauf qu'ici et ailleurs, on l'appelait le barbare du Colisée. Tout le monde le connaissait. Il faisait souvent appel à leur service, que ce soit pour lui ou pour ses gladiateurs. La réputation de cet homme et de son arène n'était plus à faire. Et en général, les filles étaient contente de ces clients.

La commande qu'il passa ce soir surprit un peu la patronne, qui avait pourtant une belle expérience dans le domaine, mais ne refusa évidemment pas sa demande. Il paya même d'avance. Elle lui promis alors de lui envoyer sa plus belle fille. Lorsque l'homme quitta les lieux, elle sourit, fixant avec envie la bourse pleine entre ses mains, puis appela la gouvernante des lieux.

- Renata ! Dis à Diana de se préparer. Il faut qu'elle soit parfaite, comme si elle allait baiser Apollon lui-même, tu m'entends ?

La femme hocha la tête et s'empressa de grimper les escaliers qui menaient aux chambres des filles. Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle trouva la plupart d'entre elles en train de jouer aux cartes, riant comme des poules dans un poulailler.

- Les filles, où est Diana ?
- Je suis là, Matrona. Qu'est-ce que tu veux ?

Elle l'appelait toujours « matrona », ce qui était en quelque sorte le titre qu'on donne a une mère, qui s'occupe de l'éducation de ses enfants à la maison. Et c'était bien son rôle, ici, en quelque sorte.
La jeune femme nommée Diana se leva donc de son lit où elle brossait sagement ses cheveux après une toilette. Au moins, elle serait rapidement prête.

- On a du travail pour toi, chez le barbare du Colisée. Faut que tu brille ma grande, et trainasse pas !

La Gouvernante disparut et toute les filles recommencèrent à bavasser, s'émerveillant de la chance que pouvait avoir Diana à servir un si important personnage. Tout le monde savait ici qu'elle était la plus belle et la plus appréciée de toutes les prostituées. Les soldats et les gladiateurs se l'arrachaient, mais la patronne était difficile en affaire et ne prêtait pas sa pouliche à n'importe qui.

C'est ainsi que Diana alla frapper à la porte de l’impressionnante demeure de l'ancien centurion. Elle n'était pas du tout nerveuse, car après tout, elle connaissait son travail. On l'avait vêtue de rouge aujourd'hui, alors que les prostituées ne portaient en général que du jaune. Signe qu'elle n'était pas de la même trempe que les autres filles.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Un retour de campagne mouvementé (PV)
« le: mardi 28 juillet 2015, 00:52:56 »

Roxie était  vierge et ainsi elle était plus sensible aux caresses et aux attentions. C'était sans doute la raison pour laquelle elle était un peu empressée et bien plus à fleur de peau qu'elle ne l'aurait du. D'un côté, c'était comme si elle voulait que tout se passe vite, comme si elle craignait quelque chose, sans doute la douleur du dépucelage. D'un autre côté, c'était aussi dans l'envie de découvrir cette sensation de pénétration, ce fameux bonheur ressentit lors de l'union de deux êtres.
Mais Arthur savait comment s'y prendre et savait que passer aux choses sérieuses tout de suite aurait été du gâchis et une erreur, car elle l'aurait sans doute regretté plus tard. Au lieu de répondre à sa demande, il continua de la caresser et sortit son sexe de son pantalon.

Lorsque le membre fut en contact avec ses mains, la jeune femme rougit de plus belle, mais ne put s'empêcher de le toucher, de le prendre en main et de le caresser un peu, découvrant alors ce membre si étrange et si convoité. C'était étrange, mais agréable.

Arthur commença alors à descendre le long de son corps, et lui enleva le dernier morceau de tissu qu'elle avait sur elle. Le souffle court, elle le laissa faire et l'aida un peu en soulevant ses fesses. Elle se demandait ce qu'il avait derrière la tête au juste. Elle comprit assez rapidement lorsqu'il approcha son visage entre ses cuisses pour jouer de sa langue avec son intimité. Roxie eut un hoquet de surprise et de plaisir, plaquant alors ses mains de nouveau libre sur sa bouche pour réprimer un petit cri de plaisir. La sensation fut si brusque et si puissante qu'elle s'était vraiment laisser surprendre. Son corps fut secoué d'un tremblement et le plaisir grimpa en flèche, la paralysant presque.
Respirant profondément, elle se calma un peu, profitant de ce traitement aussi gênant que délicieux.

Au bout d'un moment, il cessa et remonta le long de son cœur. Elle sentit son membre viril se presser légèrement contre son entrée interdite, alors elle retint un instant son souffle. Voilà, le moment fatidique allait arriver, elle allait perdre sa virginité et découvrir ce que c'était de faire l'amour. Cette idée la terrorisait autant qu'elle lui plaisait. Arthur la pénétra alors, tout doucement, la rassurant avec sa voix douce, avant d'entamer des vas et viens.
Lorsque l'hymen de la demoiselle se brisa, elle poussa un petit cri de douleur et se crispa, mais réussit sans trop de mal à oublier ce mauvais passage pour ne se concentrer que sur le plaisir. Et il était au rendez-vous. Plus il la pénétrait et plus le plaisir était intense.

Roxie laissait parfois échapper de petits gémissements entre deux soupirs, glissant ses mains dans le dos d'Arthur et écartant les cuisses pour lui faciliter le passage. C'était si bon ! Si prenant ! Elle comprenait pourquoi les gens aimaient tant cela. Et encore... elle n'avait pas vu grand chose.

- Hnnn... aaah... Arthur...

Elle ne pouvait s'empêcher de gémir, c'était plus fort qu'elle ! Pourtant elle essayait de se retenir, par gêne et parce qu'elle ne voulait surtout pas que des gens l'entendent.

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Prélude / Re : Ceridwen, Princesse Sidhe en "exil" [Smash]
« le: lundi 27 juillet 2015, 21:05:07 »
Ooooh j'adore ce kit ! *_* Et le personnage ! *_*

Bienvenue ^^ Ou re-bienvenue plutôt :)

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