Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Mathusalem

Pages: [1]
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Le quartier de la Toussaint / Princesse de la nuit (Mathusalem vs Erine)
« le: mercredi 20 mai 2015, 08:17:44 »
Mathusalem était à l'aise, dans son large fauteuil, face à sa galerie d'écrans. La boîte de nuit commençait à se remplir, et son personnel dévoué se pliait en quatre pour satisfaire toute la clientèle. Il fallait bien ça pour remonter la pente, pour sortir du gouffre dans lequel les Yakuzas avaient plongé le clan il y a quelques mois. Mais Mathusalem avait tout pour être à l'aise : les affaires étaient florissantes, son réseau prenait de l'ampleur, la réputation de l'établissement était florissante...et la jeune femme qui était à genoux entre ses cuisses se débrouillait très bien !

Il ne se souvenait même pas de son prénom. Il l'avait repérée dans une meute de femmes excitées venues fêter un enterrement de vie de jeune fille, et l'avait séduite. Enfin, séduite... Quand il avait commencé à lui parler des photos érotiques qu'elle envoyait, elle s'était mise à blêmir. Bien sûr, il les avait acquises illégalement, en fouillant dans ses affaires laissées à la consigne, mais elle n'avait plus haussé le ton lorsqu'il l'avait menacée de les projeter sur les écrans géants intérieurs ET extérieurs de la boîte. Tout à coup, cette femme était redevenue une jeune fille craintive et il l'avait convaincue de trouver un arrangement avec lui, notamment en venant entre ses cuisses le faire jouir. Elle avait hésité, puis s'était pliée aux conditions. Il avait fait en sorte que son sexe lui paraisse raisonnable puis, peu à peu, il l'avait fait grandir en perdant de son ventre. Pendant qu'elle le suçait, il avait avalé son petit composé habituel et s'était bien gardé de la prévenir quand il avait joui, la forçant à avaler. Elle s'était dégagée, pleine de colère, souillée, l'avait insulté un moment, puis la drogue avait fait son effet. Et quand il lui avait demandé de le nettoyer avec sa langue, elle avait accepté en maugréant. Puis, il lui avait dit qu'il était prêt à jouir encore, et son appétit de sperme l'avait dominée...

Aujourd'hui, elle avait été absente toute la journée. Etait-elle une mariée, une témoin, une amie ? Elle manquerait à la fête, en tous cas. Mathusalem avait pu s'amuser avec elle. Elle n'avait pas dit grand-chose, mais elle avait su se montrer très expressive lorsqu'il l'avait prise encore et encore, quand il avait dépucelé son anus ou lorsqu'elle s'était fait jouir devant lui, pour son plaisir. Mais Mathusalem se lassait vite. Il vit alors entrer dans la boîte une ravissante blonde au port impérial et à la tenue rose plutôt sexy. Elle semblait facilement mépriser son personnel, et Mathusalem n'en conçut pas de la colère, mais un désir pervers. Il se ferait un plaisir de rabaisser cette petite blondinette. La soirée allait être plaisante ! Il déchargea sur sa soumise inconnue et appuya sur un bouton.


"Otto ? Veux-tu bien venir me débarrasser ? Je pense que je vais descendre..."

2
La petite Lili se détendait et souriait depuis qu'il avait fait briller l'espoir du carré VIP. Elle se présenta, toute pimpante, et Mathusalem se demanda comment on pouvait être aussi lubrique à cet âge sans avoir un peu de sang de démon. Elle suintait de masochisme, de soumission et de plaisirs violents. Mathusalem sentait qu'il allait bien s'amuser...


"Ici, on m'appelle le Boss, petite Lili. Je suis le grand patron de ces lieux et je peux faire de toi la reine de la nuit, si tu y es prête... Mais d'abord..."


Il se décala, appuya sur un bouton.

"Otto, envoie-moi Monica avec du champagne et de quoi...accompagner."

"Tout de suite, Boss."

Puis, il revint à Lili.

"Et si nous commencions un peu la soirée avec quelques bulles ? Tu aimes le champagne ?"

Il n'attendait pas de réponse, il savait que le seul prix du champagne ferait briller les yeux de la jeune fille. Otto ouvrit la porte et Monica entra, portant un seau à champagne et un plateau de quelques petits délices, comprenant de la tapenade d'olive noire, du foie gras d'oie, du hummus et du caviar d'aubergine. La femme était habillée de façon très sexy : un body au bas pincé et au haut bustier noir, mettant son abondante poitrine presque trop en valeur, et une jupette blanche plutôt courte. Mathusalem se ravit de l'odeur de sexe qui l'entourait et perçut le petit ronronnement du jouet qu'il lui avait offert.

"Bonsoir, Monica. Tout va bien ? Et ton mari ?"


"Tout va très bien, je suis aux anges... Et il vient de prendre l'avion, je ne le supportais plus, il était intenable depuis que je suis à vos ordres..."


"Mais le jeu en vaut la chandelle, non ?"

"Oh oui ! J'ai hâte de pouvoir vous montrer à nouveau comme je suis dévouée..."

Monica était devenue une de ses petites esclaves peu de temps avant. Il lui avait fait découvrir des plaisirs qu'elle ignorait en se cantonnant à un rôle de bonne petite épouse, jusqu'à une soirée entre filles dans la boîte de nuit. Il l'avait très vite repérée et avait invité Monica et ses deux amies dans son carré VIP. Elle avait tenté vainement de résister, mais il n'avait pas fallu bien longtemps pour que, selon son bon plaisir, elles s'embrassent entre elles à pleine bouche, puis viennent s'offrir à lui. Il leur avait fait découvrir des plaisirs qu'elles ignoraient. Depuis, ses deux amies s'étaient installées ensemble et Mathusalem passait les voir de temps à autres, et Monica était restée. Elle était devenue totalement accro au goût du Boss et à la sodomie, et elle avait expliquée à son mari qu'elle appartenait de corps à un autre. Le mari l'avait battue, Mathusalem avait envoyé Otto faire le travail, puis il avait obligé le mari à le regarder, lui, faire hurler de plaisir sa femme pendant une nuit entière, la lui rendant à bout de souffle, couverte de sperme, intimement béante et encore bouillante de désir. Elle était si excitée qu'elle avait tentée de faire l'amour à son mari, mais celui-ci n'était plus capable de lui donner le plaisir qu'elle trouvait entre les bras de Mathusalem. Depuis, la situation était devenue compliquée...surtout pour la mari.

Mathusalem la gratifia discrètement d'une tape sur les fesses, bien calculée pour faire vibrer un peu plus le plug anal enfoncé en elle, et Monica rougit de plaisir.

"Allez, laisse-nous, Monica..."

Il la regarda partir et revint sur Lili, qui suivait Monica des yeux, un peu jalouse de l'opulente poitrine.

"Revenons à nous, Lili. Ne me dîtes-pas que vous êtes venue pour rester seule ? Vous attendez des amies ? Un compagnon ? Vous n'êtes pas seule, j'espère, ce serait un crime."

Mathusalem se leva et commença à déboucher le champagne.

3
La petite maligne ! Elle pensait s'en tirer ainsi ! Avec un certain amusement, le Boss vit la petite Lili s'emparer vivement de son sac à main, mais il maintint la fausse carte d'identité hors de portée. Il se contentait de l'empêchait d'atteindre la carte d'identité, à mois qu'elle ne veuille l'enjamber...


"Allons, allons, mademoiselle, calmez-vous... Vous comprenez bien que je ne peux pas vous rendre ce FAUX, c'est très dangereux, vous savez. Et je ne peux pas vous laisser partir et l'utiliser pour aller ailleurs, pour user de libertés qui ne sont pas encore les vôtres. Je ne doute pas de votre sens moral ni de votre sens citoyen, mais la tentation est grande, et vous pourriez malencontreusement vous laisser tenter par un autre établissement et vous y introduire ILLEGALEMENT, ce qui ferait de moi votre complice...et ça, je ne le veux pas, vous me comprenez, je pense..."


La jeune femme était dépitée, partagée entre une colère frustrée et une tristesse amplifiée par l'attitude posée du Boss. Celui-ci se leva de toute sa masse, la dominant du bout de la table.

"Allons, hauts les coeurs, chère Lili, si c'est bien votre vrai prénom... Je me sens d'humeur magnanime ce soir. Il existe pour moi une manière de vous faire rester parmi nous et que vous puissiez profiter de mon établissement malgré votre jeune âge, c'est de vous inviter moi-même et de vous maintenir dans mon coin VIP, où personne ne viendra pour vous interroger sur votre âge.

Mathusalem vit un sourire renaître sur le visage de Lili. Il venait de lui offrir un espoir en or.


"Bien sûr, on ne rentre pas dans le carré VIP comme ça. Nous nous connaissons à peine, et il faudra y mettre du vôtre..."

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Les alentours de la ville / Re : le nouveau parrain en ville [PV Mathusalem]
« le: mercredi 29 avril 2015, 03:52:30 »
Mathusalem était assis dans son grand fauteuil, sous sa forme naturelle démoniaque, reposé et profitant de l'ignoble et séduisant plaisir d'un cigare, le genre d'invention humaine dont il se délectait. Le cigare était comme lui : imposant, toxique, addictif et symbole de richesse. Devant lui, un central de sécurité doté des mêmes écrans que le PC sécurité de la boîte de nuit, situé juste en-dessous, diffusait les images captées par les caméras officielles, ainsi que quelques-unes moins officielles qui donnaient dans des angles indécents : depuis le dessous de certaines banquettes observant directement sous certaines jupes ou plongeant dans les toilettes... Mathusalem soignait ses désirs pervers et aimait profiter de son pouvoir pour les assouvir.

Ce soir, il avait remarqué une proie splendide pour lui. Il l'avait repérée dès le début, dès son entrée. D'ailleurs, le videur avait un instant tiqué, mais il l'avait laissée passer - il en paierait le prix plus tard. En attendant, elle était trop jeune pour entrer et sa carte d'identité était à coup sûr une fausse. Elle était déjà prête à danser, il la suivit par les caméras. Elle commença à se dandiner dès qu'elle eut déposé son sac à main à la consigne. Sa robe blanche était magnifique, un bel écrin pour une jolie jeune fille, qu'il allait s'empresser de souiller...

Il appuya sur quelques touches et se pencha sur le micro devant lui.

"Otto, tu m'amènes la jeune fille qui vient d'entrer. Robe blanche, cheveux noirs. Elle vient vers toi."

Il changea d'une pression l'interlocuteur.

"Anna, ma douce, fais-moi monter le sac à main qui vient de t'être remis par une petite donzelle aux cheveux noirs et robe blanche, à la bouille de gamine, tu seras gentille."

Sur les caméras, Mathusalem vit Otto aborder la jeune fille, puis la guider vers une porte de sécurité. Le sac à main arriverait plus vite qu'elle, Mathusalem avait fait installer un monte-plat spécial de la consigne, car il aimait pouvoir fouiller librement dans les affaires de certaines personnes. On frappa à la porte et en un instant, Mathusalem prit son apparence du Boss, dans un beau costume blanc.

"Entre, Roméo."

Le jeune Roméo entra, portant le petit sac à main, et le déposa auprès du Boss.

"Voilà, Boss."

"Merci, Roméo... Au fait, on m'a dit que ta cousine cherchait du travail."

"Euh...oui, Boss."

"Tu devrais me l'envoyer, je lui trouverai sûrement une fonction ici."

"Oh, merci, Boss... Je lui dirai de passer dès que possible. Je vous remercie, Boss."


"C'est rien, c'est ça, la famille. Et puis, ça pourrait lui faire un joli cadeau de mariage. Et je sais que tu l'aimes beaucoup."


"Oh, pour sûr, Boss. Merci, Boss."

Roméo partit et le Boss sourit. Roméo transpirait de tous les pores de sa peau son désir pour sa cousine, une bien belle fille selon les photos, qui venait de se marier avec un petit banquier du secteur. Mathusalem se ferai un plaisir de s'occuper de la jeune mariée, puis de la laisser à Roméo pour satisfaire ses volontés perverses. C'est ainsi qu'on asservissait ses employés : en satisfaisant leurs instincts les plus bas. Il ouvrit la pochette de soirée. Il n'y avait pas grand-chose : de la monnaie, un peu de maquillage dont un rouge à lèvres qui n'en était pas un mais un petit vibromasseur, des mouchoirs, et la fameuse carte d'identité. Le faux était bon, mais Mathusalem avait de l'expérience. Il regarda les indicatifs et eut un petit rire nerveux, en voyant que le code de la carte était destiné à un homme et non à une femme. Il remit tout dans la pochette et posa celle-ci sur la table. Il allait bien profiter de cette soirée avec cette Lili Ivanes...si le nom était exact. 

On frappa à la porte à nouveau et Mathusalem jeta un regard sur la caméra devant son bureau. La jeune femme, escortée par Otto, attendait devant la porte, visiblement mal à l'aise. Otto était parfait dans ce rôle, il savait être aussi froid que la glace. Sa femme le lui reprochait souvent, avant qu'elle ne découvre que son homme aimait la regarder se faire prendre par d'autres hommes. Depuis que le Boss avait couvert sa femme de sperme devant lui, leur couple était en plein essor, Otto se contentant d'un rôle de voyeur et sa femme explorant ses penchants pour les jeunes hommes bien montés et les petites perverses...

"Entre, Otto, et fais entrer mademoiselle Ivanes."

Otto entra et invita la jeune fille à le suivre. Puis, il s'éclipsa, non sans un regard sur le Boss, dont il connaissait sûrement les projets. Le Boss se leva et vint faire le baise-main à la jeune fille, un peu surprise, et il en profita pour humer ses pensées superficielles. Oh, quel doux parfum que celui de la fausse fille sage, se délectant des beaux calibres dans tous ses trous, s'avouant à peine son penchant pour le masochisme et recourant bien souvent à des caresses intimes pendant de longues heures dans son lit, à jouer avec ses parures de métal...
Le Boss retourna à son fauteuil.

"Tout d'abord, je tiens à vous remercier, comme tout client de mon établissement, pour l'avoir choisi. Une jolie fille comme vous est toujours un ravissement pour les yeux, et ce qui ravit ma clientèle m'apporte toujours plus de clientèle."

Il ouvrit devant Lili la pochette de soirée et en tira la carte d'identité.

"Mais là, je lis que vous êtres majeur sur cette carte d'identité, qui est un faux manifeste. Et je ne peux tolérer qu'une jeune fille mineure s'introduise dans mon établissement, sans quoi je pourrais avoir des problèmes avec les autorités. Honnêtement, je n'aime pas les policiers, et je pense que vous n'avez pas envie de les voir vous non plus pour répondre d'un usage de faux et d'une usurpation d'identité, je me trompe ? Alors, nous allons devoir trouver un terrain d'entente, entre nous, pour éviter que les autorités ne vous embêtent, vous comprenez..."

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Prélude / Re : Le Boss est là[Maelidé!]
« le: vendredi 24 avril 2015, 16:34:45 »
Merci à tous et toutes ! Maintenant, place au pouvoir !

6
Prélude / Re : Le Boss est là
« le: vendredi 24 avril 2015, 10:01:48 »
Merci !  ;)

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Prélude / Re : Le Boss est là
« le: vendredi 24 avril 2015, 08:41:43 »
Oui, c'est l'idée  ;D

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Prélude / Le Boss est là[Maelidé!]
« le: vendredi 24 avril 2015, 07:46:32 »
Identité : Mathusalem, appelé par les humains « Le Boss »
Âge : immémorial, mais il aime apparaître sous les traits d’un homme de 40 ans
Sexe : masculin
Race : démon polymorphe
Sexualité : hétérosexuel dominateur, pervers et violent

Physique : Mathusalem apparaît très rarement sous sa vraie forme démoniaque. Il lui préfère celle du « Boss », un personnage qu’il s’est inventé et qu’il utilise la plupart du temps. Le Boss est un quarantenaire de deux mètres de haut, à la carrure massive et à la bedaine bien présente, frôlant parfois l’obésité. Selon les jours, ce ventre proéminent est plus ou moins discret, de même que sa musculature est plus ou moins saillante. Il est chauve, au visage carré, et son visage est toujours marqué par un sourire sadique, à moins qu’il ne soit en train de fumer un cigare. Le Boss porte très souvent des costumes qui semblent taillés sur mesure, mais on l’a vu également porter un simple marcel et un jogging, comme un uniforme de soldat. Mais, la plupart du temps, c’est le costume, digne d’un vrai parrain de la Mafia.
Une fois nu, son corps, grâce à son pouvoir, est difficile à décrire, car il peut le modifier à volonté, tant que la masse reste la même. Ainsi, lorsqu’il s’attaque à une femme, son ventre disparaît pour gonfler sa musculature et surtout son membre, qui peut prendre une taille très conséquente ou prendre une forme plus adaptée à la situation. S’il doit combattre, il est capable de modifier ses bras pour en faire de redoutables masses. Il aime aussi laisser tomber ses masses de chair pour en faire des tentacules vils et pernicieux, ou se décomposer en un slime repoussant.

Caractère : Mathusalem est un démon calculateur et fin psychologue. Dirigeant un syndicat du crime, il sait que, pour terroriser ses « clients », il doit appuyer là où cela fait mal. Il est facile d’enlever la femme d’un mauvais payeur, mais cela marchera une fois, pas deux. Par contre, si la femme devient un objet sexuel, totalement dévoué à son maître, le mauvais payeur perdra son courage et sa femme sera son premier espion. Il en est de même pour les filles, les sœurs, les mères... Bien entendu, le Boss n’est pas exempt de colère et il s’est imposé aussi par sa capacité à montrer à ses hommes qui est le plus fort. Mais il préfère voir dans les yeux de ses hommes la crainte qu’il ne touche aux différentes femmes de leur existence. On ne conteste pas l'autorité du Boss sans s'exposer à de graves conséquences, généralement dégradantes, surtout lorsqu'on cache de vicieux petits secrets.

Histoire : Mathusalem est apparu il y a quelques années et s’est très vite imposé dans le milieu du crime organisé. Il a commencé par prendre la tête d’un gang, puis d’un quartier et dispose maintenant d’un vaste réseau parallèle, trafiquant drogues, prostituées, jeux clandestins, « protection forcée », racket, trafics d’influence et extorsions. Chaque jour, Mathusalem étend les tentacules de la corruption sur la ville, de façon à en faire un foyer favorable pour ses confrères et consoeurs attendant de pouvoir sortir des Abysses. Il a eu fort à faire avec la concurrence : Triades, Yakuzas, Mafia... Il a même failli tout perdre, mais s’est très vite rétabli et il devient de plus en plus une force dominante.
Son apparition en ville ne doit rien au hasard, car il a été invoqué par le vieux parrain mafieux local, dont les efforts d'implantation se heurtait à la résistance des Yakuzas, bien installés chez eux, et des Triades chinoises qui, comme les Cho'song coréens, s'étaient mêlées au monde du crime local depuis des siècles. Mais, pour les Européens, c'était une autre paire de manches... Le vieux Biaggi a bien tenté d'asservir le démon, il a fini par se faire sauter le caisson après avoir assisté à l'orgie durant laquelle sa fille et sa femme s'étaient offertes au démon jusqu'à ce qu'elles s'écroulent, exténuées. D'ailleurs, la femme de Biaggi ne s'en était jamais remise et avait suivi dans la mort son mari de quelques jours. La fille Biaggi, dont on disait qu'elle ne quittait pas le dessous du bureau de l'autoproclamé "Boss", acheva de légitimer Mathusalem à la tête de la famille Biaggi. Il fut considéré comme une menace mineure par les autres syndicats du crime, jusqu'à ce qu'il parvienne à unifier sous son autorité les Vesponi et les Mariani : le parrain Vesponi fut assassiné par ses trois femmes, toutes devenues les loyales servantes du Boss, et l'affaire termina en bain de sang dans les appartements familiaux ; le parrain Mariani fut pris d'une maladie soudaine et ses filles s'entredéchirèrent jusqu'à ce que la survivante laisse les rênes à son amant...le Boss lui-même (mais la partie était pliée, il était l'amant des quatre filles de Mariani).  Prenant conscience du danger, les Yakuzas mirent très vite fin à l'expansion du pouvoir de Mathusalem par une violente attaque sur ses points de contrôle, et ils l'ont condamné un temps à la discrétion. Mais Mathusalem a très vite reconstitué ses troupes et s'apprête à nouveau à faire régner sa mafia sur la ville, et à frapper en plein coeur les Yakuzas, les Triades et même la police...

Pouvoirs : Mathusalem est un démon polymorphe : il peut modifier son métabolisme et sa forme à volonté, mais reste presque toujours sous forme humanoïde. Son métabolisme modifié lui permet d’être d’une endurance hors du commun, d’être immunisé contre les tentatives d’empoisonnement à son égard et de pouvoir synthétiser les drogues qu’il avale, ce qui lui permet parfois de rendre accroc ses esclaves aux fluides de son corps. Le reste de son pouvoir tient à son fantastique réseau d’information, à son excellente mémoire et à sa capacité à faire jaillir de chacun la perversité de son esprit par un pouvoir de fouille mentale.

Et pour les curieux, oui, j’ai déjà un autre compte...

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