Identité : Jonathan Silvercloud / Forge / Le Faiseur / Génésis.
Âge : 35 ans
Sexe :
Male à 300%
Race : Mutant
Sexualité : Hétérosexuel jusqu’à la muerté |
♦ Mon apparence ♦ :
La première chose qu'on pose mes yeux sur moi on remarque ma peau hâlée, ainsi que mes origines Amérindiennes visible à travers mon faciès angulaires aux traits doux, cadré par des cheveux fins et court noir corbeaux. Me donnant un air à la fois détendue et réfléchit, comme si je pensais constamment à autre chose. Un gabarit athlétique, haut de 1m90 pour 81 kilos. La logique vient de mes heures d'entretien physique hebdomadaires qu'il se consacre une fois durant le weekend. Quand je me déplace c'est toujours avec une démarche qui se veut détendue, comme quelqu'un qui ne se presse jamais et à tout le temps devant lui. Démarrant par des épaules charpentées, se terminant sur des bras et un buste musclés. Un cou soutenant ma tête sur un large abdomen taillé en V et couvert par de puissants muscles pectoraux fortement développés. Descendants sur deux jambes parfaitement harmonieuses qui lui donnaient une démarche lourde, sèche et assurée révélant un déterminisme inébranlable. Sans oublier une ceinture abdominale dessinée par une succession de creux réguliers, semblable à des blocs de pierre bruts empilés les uns sur les autres et offrait un magnifique eight packs facilement repérable sous des vêtements moulants. Ayant perdues ma main droite et ma jambe gauche durant ma période de soldat américain, je me suis conçue des prothèses cybernétiques dont le seule inconvénient assez chiant avec, c’est le fait de ne pas pouvoir passer les contrôles (d’objets métallique sur soi) dans les aéroports.
Un visage angulaire mais des plus séduisants, dépourvue de pilosités et autres défauts (grain de beauté, taches de naissance). Par ma bouche fine cachant une dentition blanchâtre parfaitement alignée et filtrant une belle voix masculine des plus charmantes, bien plus douce que grave et virile. Air qui me va comme un gant, notamment avec son bouc au milieu de mon menton large, sous ses lèvres fins mais charnue cachant une dentition témoignant un entretient loin d'être négligeable, et d'un nez aquilin qui me donne un petit côté charmeur. Même si mes sourcils en diagonales, de mes yeux brun d'aigles perçants dégageant la lueur d'une intelligence aiguisée pouvant facilement séduire de nombreuses demoiselles et postuler pour devenir mannequin sur toutes les couvertures des magazines de modes. Et mes joues légèrement creusées donnent aux gens l'impression d'être quelqu'un de sérieux et calme. Mais quand j’ouvre la bouche pour parler de ma voix grave, on sent dans la tonalité une grande confiance en soi. Bien qu'il se montre peu expressif par son air d'être constamment en plein introspection, il n'est pas rare qu'un sourire franc se dessine sur ses lèvres, qui peuvent laisser échapper un rire sincère quand son interlocuteur sort une phrase marrante où qu'une scène burlesque se déroule sous ses yeux d'observateurs.
Niveau vestimentaire, je porte fréquemment un T shirt noir sous une veste en cuir rouge foncée ouvert, pourvues de sangles noires. Un pantalon en coton jaune industriel avec une paire de chaussures marron.
♦ Mon Mojo ♦ :
Moi, je suis le genre de personne ayant horreur de se bousculer pour tel ou tels chose, préférant faire les choses à son propre rythme : c'est à dire calmement et sans prise de tête. Le contraire à tendance à m'agacé et je n'hésiterais pas une seconde à remettre la personne à sa place à coup de remontage de bretelles si cette dernière s'acharne sur moi en permanence d'aller plus vite que la musique. Évidemment, ceci est un cas extrême.
Sinon la plupart du temps, je suis d’habitude quelqu'un de droit dans ses bottes. Le pragmatisme n'est pas vraiment ma tasse de thé (ou de café dans son cas, étant donné que je suis un amateur de café), plus rêveur et idéaliste dans l'âme. He suis habité par une quelconque phobie, en dehors de voir sa technologie une nouvelle fois être utiliser par des personnes mal intentionnées. Territoriales sur les bords, j’ai tendance à ne pas aimer les personnes qui pénètre dans ma chambre, ou qu'on fouille mes affaires, sans mon autorisation. Lève-tard pur et dur, j’ai un sommeil exigeant que je respecte scrupuleusement sous peine de ne pas se réveiller la tête dans le guidon, avec une humeur maussade ayant tendance à me rendre un poil grincheux. Autant dire qu’il est vivement déconseiller de s’amuser à me réveiller, au risque de se prendre sur la figure le prochain projectile qui me tombe sous la main (pantoufle, babouche, sandale, tatane, réveil, sac, etc….) avec la mauvaise humeur d’un octogénaire aigrie et bourré d’arthrites.
Les questions comme " comment avez-vous perdues votre main et jambe droite " ne se gênera pas à y répondre sans que cela fasse resurgir d'anciens remords dans sa conscience. Pour lui le passé c'est le passé, que le plus important c'est de se tourner essentiellement sur le moment présent, surtout le présent qui a plus d'importance que l'avenir. Après faut pas s'étonner s'il se met à expliquer, sous demande, le fonctionnement détailler de tel ou tel invention dans un jargon technico-scientifique tellement compliqué que seul une personne calé en science pourrait comprendre, sans se perdre dès les premières secondes. Il n'est donc pas rare qu'on lui demande de traduire ses explications en français ou d'abréger. La deuxième est généralement la plus employé. Curieux de nature, c'est plus fort que lui de poser des questions sensibles pour certaines personnes aux passé troublée, ce qui à le mérite de le mettre dans des situations gênantes. C'est son plus gros défaut. Le fait d'avoir vécue une bonne partie de son enfance bercée dans les traditions chamanique de son Oncle, Jonathan respecte profondément l'environnement et le fait de voir quelqu'un jeter des ordures polluants dans la nature, comme si c'était une décharge publique, le met en rogne. Avec une manie maladive de ramasser les déchets qu'il trouve sur son chemin et les jeter dans une poubelle.
De nature doux et gentil qui n’hésiterais pas une seule seconde à sauver des vies innocentes d’une mort atroce et qui préfère neutraliser ses ennemies plutôt que de les tuer. Sauf s’ils ne m’en donnent pas la possibilité ou bien qu’il ne mérite pas de seconde chance si c’est une raclure de la pire espèce. Car oui, il peut m’arriver d’avoir un mépris total et absolue envers les personnes les plus monstrueuses sur le plan moral. Ce genre de personnes, à mes yeux elles méritent de mourir dans leurs chiasses par des morts aussi brutaux que leurs passions. Même en m’étant calmé je n’éprouverais pas le moindre remords ni regret de mon acte. Au contraire, ce sera comme me libérer d’un lourd fardeau.
Maintenant que nous avons traité sur les bons côtés de l'Amérindien, il est temps de présenter le revers de la médaille, car quoi qu'on puisse dire, je suis et reste avant tout un humain sur le plan psychologique.
Pour commencer, Je suis un curieux de nature qui ne peut résister à la tentation de connaître des choses que des personnes préfèrent garder pour eux et eux seule. Certes, ça a peut-être tendance à me mettre dans des situations peu enviable, mais cela ne m’empêche pas de continuer malgré tout. Croyez moi c’est plus fort que moi ! Quand un truc louche se passe, faut que je sache de quoi sa trame.
J’ai aussi tendance à s'emporter facilement quand quelque chose le tracasse, mais également quand on lui balance des insultes en toute gratuité et qu'on lui cherche les poux. Il n'est pas rare qu'il en vient soit aux mains, quand ce n'est pas à coup de réparties aussi cinglante que méprisante qui peuvent se montrer violentes.
C'est également quelqu'un qui peut se montrer rancunier quand un de ses proches les plus chères se trouve dans un état critique proche de la mort à cause de quelqu'un. Je peut même aller jusqu'à commettre l'impardonnable si ce proche mourrait dans d’atroce souffrance, mettant de côté provisoirement la règle d'or de tout X-men sur le meurtre, rien que pour la satisfaction d'avoir rendue justice, même si elle aura été faite dans le sang.
L’égoïsme vient s'ajouter elle aussi à ma liste. Bien qu'elle n'est pas courante chez moi. Notamment lorsqu'il a des projets ou objectifs importants en tête, me fichant éperdument que cela lui attire la suspicion de ses collègues.
En tout cas je dois avouer que la patience n’est pas vraiment ma tasse de thé. Dans le sens où je ne résiste pas à coller une trempe façon gentleman de la torgnole au guignol qui oserais m’insulté en toute gratuité. En revanche, je sais faire preuve d’une grande tolérance sur les croyances d’autrui et qu’il ne m’arrive jamais de faire le contraire. Sauf dans mes excès de colères pour une raison ou une autre. Dans ce cas je fais de mon mieux pour rebondir sur cette bourde et me rattraper. Et je sais me montrer plus patient que d’habitude auprès de la gente féminine en faisant des efforts. Si j’aime faire l’amour ? Bah oui, sans aucun doute !
Depuis l’émergence de mes pouvoirs, j’éprouve toujours une fierté exacerbée chaque fois que je contemple ses créations technologiques incroyablement avancées d'un œil triomphant, comme lors des moments où je les porte sur lui en mission et quand je les présente. La tonalité de ma voix et les traits de mon visage sont d'excellents indicateurs mettant à nue ce défaut. Mais cela provient surtout de l'idée que je puisse se montrer extrêmement polyvalent grâce à son génie technologique, me permettant de s'adapter à toutes les situations juste en concevant armes et gadgets adéquates. Pour moi c'est amplement justifiable sachant que n'importe qui aurait été du même avis.
♦ Ma Storyline ♦ :
Né un 25 décembre 1980 dans l’hôpital d'Annapolis, au milieu d'une journée grisâtre, j’ai eu pour parent un modeste couple Amérindien appartenant à une tribu Cheyenne situé dans une réserve du Maryland. Maria Silvercloud et Phil Whitestone La présence de voiture était rare mais présente, la famille Silvercloud auquel j’appartenais était l'une des rares familles à vivre dans une maison contemporaine dans la réserve.
C'est en 1987, alors âgée de 7 ans, que Jonathan débute son initiation d'apprentie chaman sous la direction de Nazé. Mon oncle, qui était le chaman de la tribu, dont la présence discrète de la vie moderne côtoyait la vie traditionnelle. Où j’ai dû apprendre à vivre traditionnellement, à connaître par cœurs les enseignements ancestraux de ses prédécesseurs ainsi que les danses et rites chamaniques censé être des prières destinées aux esprits animaux et aux anciens. Il n'était pas rare que certains enseignements durant toute une journée et qu’à la fin Jonathan se s’affalaient sur son lit tel une masse. C'était à la fois éprouvant et passionnant à la fois pour le jeune Jonathan, mais refuser son héritage chamanique était son plus grand désir et vivre tranquillement sa vie d'enfant, sans vivre ses cours chamaniques du week-end après l'école qui ne lui laissait aucun moment de répit. Choix qui fut très vite rejeté avec perte et fracas par son oncle, point de départ de toute une série de dispute houleuse et bruyante entre Jonathan et Nazé. Ce dernier était très conservateur sur les coutumes ancestrales, ayant toujours le dernier mot pour me faire comprendre que j’étais trop jeune pour comprendre l'importance capital de cet héritage. Et après chaque dispute, je boudais, grommelait dans son coin en faisant autre chose pour se calmer, quand ma mère n'était pas là pour me consoler entre ses bras maternels. Comme si cela ne suffisait pas, c'est à cette époque précise que je ressentais des migraines courtes mais infernales et répétitives une fois par mois, parfois deux. Même les plantes médicinales, réputé pour être efficace contre les douleurs crâniennes n'eurent aucun effets. Mes parents l'emmenèrent consulter un médecin généraliste à Annapolis pour diagnostiquer mes problèmes de maux de tête chroniques, mais ne sachant expliquer ce problème de santé anormal qui le dépassait il se contenta de me faire suivre un traitement médical à coup de pilules pour ne pas perdre la face. En réalité, ce n'était que le prélude de mon gêne mutant.
Et c'est l'année 1989 que ma vie va être bouleversée par un changement majeur qui marque l'éveil précoce de mon génome X. Un cas assez rare et étonnant de voir à son âge, sachant que la très grande majorité des jeunes mutants voit leur mutation apparaitre à l'aube de la puberté. Il fut activé le jour où le bus scolaire où je me trouvais s'était renversé sur le côté, lors d'un virage serré complètement givré par le froid glacial d’un Janvier hivernale, sur le chemin du retour à l'école après la visite d'un musée situé dans la capitale du pays. Heureusement, la caserne de pompier la plus proche n'était pas loin quand l'accident eu lieu. A part quelques blessés et des enfants traumatisés, il n'y eu aucun mort. je n'ai pas sentie le changement opéré chez moi à ce moment-là, mais ce n'est que dans les semaines qui ont suivi qu'il remarquait que ma migraine chronique venait de foutre le camp pour de bon, une satisfaction que je n'ai pas hésité à faire partager à ses parents, eux aussi content pour la nouvelle. Puis ce n'est qu' mois plus tard que je me suis mis à construire mes premières inventions dans ma chambre, alors que je ne savais pas quoi faire pour me divertir. Les inventions rétro-futuriste en question furent : une belle petite voiture téléguidé très avancée sur son temps, ainsi que des bottes mécanisées permettant de faire des sauts à rendre jaloux Super Mario et d’atterrir sans se briser les jambes. Tout ça à partir de composants mécaniques, électroniques et électriques désossé sur des appareils et machines électroménager défectueux dans la cave de la maison, à l'aide d'outils également conçu par mes soins. Mes créations n’étaient pas très belles, esthétiquement parlant, mais mes pouvoirs n'en étaient qu’au balbutiement. Mes parents ont vite remarqué ses inventions fantastiques dans ma chambre, que je montrais fièrement. On t'il vu en moi un mutant ? Pas vraiment. A cette époque, les mutants n'étaient pas encore connus de la presse médiatique et leurs existences étaient encore dans l'ordre des contes de fées et histoire inventé de toute pièce. A part mon oncle, Ma mère était fasciné et étonné à la fois de mes créations, mais pas au point d'être devenue un mutant. Seulement convaincue que j’étais particulièrement doué pour innover, rien d'autres. Malgré cela, mes inventions n’ont pas attiré l’attention du voisinage qui n’était pas très dense. Ajouté un oncle technophobe, une mère nullement ambitieuse et ce sont des technologies révolutionnaire qui n’auront jamais quitté le périmètre de la maison. Par un élan de haine viscérale pour la technologie, Nazé les à pulvériser à coups de masse sous mes yeux choqué et dont je ne pus rien faire, si ce n’est que de lui crier dessus.
Dans le milieu scolaire, j’étais devenue le n°1 de sa classe en obtenant sans cesse la note maximal partout, en particulier dans les mathématiques, sans le moindre effort mental. Si bien que j’avais sauté tellement de classe en si peu d'années que j’ai décrochaient mon bac en 1991 avec mention très bien, alors que je n’avais qu'à peine 12 ans. Ainsi qu'une réputation de surdoué, d'enfant prodige, de génie dans la presse local. Mon génie intellectuelle m’a fait ouvert les portes à la prestigieuse institution technologique du Massachussetts, le MIT, en 1993. Jonathan à 14 ans. Sur le coup, Nazé s'est montré indulgent en me laissant aller étudier là-bas, mais également parce que mon initiation chamanique était accomplie et qu'il ne restait plus qu'à attendre que je sois en âge pour le devenir. Jusqu'ici Jonathan j’étais tout fière de mes réussites, de la satisfaction exacerbé de ma mère et surtout pour voir enfin la fin de mon apprentissage chamanique que attendait depuis longtemps. Mais d'un côté je ressentais un malaise profond d'être un gamin au milieu de tous ces jeunes adultes, ayant au moins 10 ans de plus que moi, qui me fusillais en se demandant ce que je foutais ici. Comme ce fut le cas dans ma période collégienne et lycéenne, et c'est fort compréhensible. Par chance, j’ai eu pour camarade de chambre un adolescent de 16 ans, Marc Snow, avec qui je m’entendais bien. Allant jusqu’à partager nos secrets personnelles : leurs mutations. En plus d'être pourvue d'une compréhension avancée des technologies comme la mienne, il disposait d'un pouvoir de technomorphisme lui permettant d'assembler des composants technologie pour créer des appareils et machines complexes en très peu de temps. C'est à ce moment-là que j’entendis entendit parler de la mutation pour la première fois de ma vie, et d'apprendre que lui comme moi-même, en faisaient partie. Mais également l'avertissement de ne surtout pas dévoiler sa nature, si je ne voulais pas avoir d'ennuie. Ce qui n'a pas empêcher les étudiants de s'amuser à me chambrer en m'enfermant dans les casiers durant les moments de pauses, même si c'était assez rare comparer aux établissements précédents.
Les années passèrent, moi et Marc étions devenus meilleur amis et je ne cessais d'étonner ses profs et mon entourage de mes inventions révolutionnaire créer dans les laboratoires du département du génie électronique et informatique. Attisant la jalousie des uns et l'envie des autres, ce demandant sans cesse comment ce petit surdoué pouvait être aussi prodigieux à ce point-là, sans jamais faire la moindre erreur, l'institut m’a alors offert un programme scolaire beaucoup plus poussée et chargées pour mon cas comme celui de Max, qui lui aussi s'était fait remarquer par ses talents intellectuelle hors pairs, afin que l'enseignement leurs soit adapté. En seulement 6 années au MIT, je venais de décrocher mon 2ème doctorat en 1999, alors âgée de 19 ans. Puis j’ai passais mes derniers moments d'amitié avec Marc dans une fête d'enterrement de garçon avant de retourner chez mes parents dans la même année. Annonçant à Nazé que j’étais assez grand pour faire mes propres choix et choisir de refuser mon héritage chamanique, que j’avais vécue de bons moments dans son initiation mais que je ne se voyais pas vivre comme son oncle toute sa vie. Ce dernier la très mal perçue, mais ça je le voyais venir de loin, toutefois je m’en foutais royalement. J’étais plus le gamin qui n’avait pas d’autres choix que d’obéir à son oncle.
Puis c’est en 2003 que je me suis décidé d’aller m'engager dans l'armée par pur patriotisme chauvin, alors que la guerre en Irak était à ses débuts. Déjà arriver sur le terrain je fus promu lieutenant, en tant qu’ingénieur en chef dans le génie militaire, place très convoité à l’époque. D’ailleurs, la position confortable du poste. A peine 1 mois passé en Irak que je découvris avec horreur les affres de la guerre sale, les tortures de prisonniers agonisants sous les châtiments sadiques de leurs tortionnaires et les pertes civils affligeant. Des scènes qui m’ont laissé et laisse encore des séquelles psychologique lourdes.
6 mois plus tard, mon poste de commandement a été dévasté par des soldats Irakiens, avec des pertes colossales en ressource humaine. La situation du côté Américain était au plus mal. J’ai donc effectué une amélioration majeure à l'armement des bombardiers, afin de redresser la barre à leurs avantages et éliminer les bases Irakiennes qui les assaillaient de partout. Dans le même temps, j’ai participé à l'assaut nocturne des troupes au sol sur les bases ennemies qui furent détruite, faisant gagner une bataille à ma division. L'ironie dans cette histoire, c'est que j’ai perdit ma main et sa jambe droite par des dommages collatéraux causé par l'une des bombes que j’avais moi-même créé. J’ai donc était vite rapatrié aux Etats-Unis pour être opéré et ùe faire mettre des prothèses, mettant fin à mon chapitre militaire.
Quand la guerre du Golfe fut terminé en 2004, Jonathan à 24 ans ce jour-là. Je me reconvertis dans le civil en allant travailler à la Defense Advanced Research Projects Agency situer en Virginie, en tant que chef d'équipe scientifique dans la recherche militaire. Mon salaire mirobolant m’ont permis d'avoir les ressource matériels nécessaire pour développer mes propres prothèses cybernétiques chez moi, mille fois plus sophistiqué, qui remplacèrent les prothèses encombrantes et bas de gamme offert par l'hôpital. Ce fut une satisfaction intense. Au département, les informations sur les mutants étaient encore classé secret défense, avec interdiction de quitté les murs de l'établissement. Déjà, l'idée de concevoir des appareils et armes capable de les neutraliser titillait déjà l'esprit craintif des gens d'en haut. C'est dans cette logique que les hautes strates du gouvernement on exigeait de moi à construire les premiers colliers inhibiteurs dans l’urgence pour leurs comptent, afin de neutraliser des mutants trop dangereux pour être neutraliser par des moyens orthodoxes. Moi, je détestais cette idée et avait voulue refuser, mais j’avais peur qu'en faisant cela mes collègues ainsi que mon employeur me soupçonnait d'être un mutant, alors je me suis contentais d'obéir en ùe disant que c'était dans le but de protéger les citoyens de criminels non-humain. Ce qui était logique et me rassurait. Trois colliers inhibiteurs furent conçus, mais sans avoir eu des plans de fabrications pour permettre leurs constructions immédiates.
Puis en 2005, alors que j'ai 25 ans, on me demandait d'aller jusqu'à inventer une arme capable d'annihiler le génome X des mutants sans qu’ils en meurent. Une aberration sans non pour moi, si bien que mon sang a fait des loopings, me demandant pourquoi une telle extrémité à son employeur. Aucune réponse, si ce n'est de faire ce qu'on me demandait, point barre. j’ai fait mine d’obéir aux ordres, sauf que cette fois-ci ma curiosité était plus forte que moi. A l'aide d'un drone d'espionnage pas plus petit qu'un grain de riz, construit chez moi, j’écoutais une conversation téléphonique entre ùon supérieur et un homme en noir avec des lunettes de soleil teinté portant le nom de M, directeur d'une organisation top secrète mandaté par le gouvernement. Mes craintes s'avéraient exactes : on voulait éradiquer les mutants de la surface de la terre, sans aucun mort. Devant cette nouvelle. A la dernière heure de mon travail, j’ai camouflait mon sabotage en modifiant discrètement l'arme anti-mutant dans la minute qui suivit, de sorte à ce que cela passe inaperçu. Afin, que les futures tests de l’arme annonce l’échec prévue de l’arme, ne faisant que tirer des impulsions ionique purement inoffensif. Toujours en n’ayant pas rédigé les plans de l’arme. J’ai souhaitais faire pareille pour les colliers inhibiteurs, mais les plans étaient déjà entre les mains de M, sans parler de la libre circulation de ces mêmes colliers entre agences gouvernementales. Il était trop tard, le processus ne pouvait plus s’arrêter. J’ai ensuite posait ma lettre de démission le lendemain matin pour ensuite ne plus jamais remettre les pieds au département. Etant donné que le sabotage « camouflé » a fonctionné comme sur des roulettes, je n’ai eu aucun problème dans ma reconversion civil. Toutefois, le fait de connaître le secret sur le développement des dernières technologies militaires Américaine, technologies anti-mutant inclue (colliers inhibiteur), m’obligeait à ne pas révéler tous ce que j’avais vue au DARPA à qui que ce soit. Sous peine d’être condamner par une loi pénale draconienne qui me vaudrait la perpétuité, voir la mort, sans pouvoir être défendue par un avocat. Forcément j’ai acceptais ce contrat de confidentialité comme le prix à payer pour mon retour à la vie civil.
Peu de temps après, soit 2 semaines plus tard, je se fit remarquer par un homme chauve en fauteuil roulant venue à lui, expliquant qui il était, ce qu'il faisait et ce qu'il attendait de moi. Répondant au nom de Charles Xavier. Le projet à long terme et concordait aux intérêts de Jonathan et l'intéressait plus que tout. Au cours des 5 années qui suivirent, je fus entraînée en Salle des Dangers, à maîtriser de mieux en mieux ses capacités de création et de compréhension technologiques, mais également aux connaissances martial et linguistiques. Réussissant sa passation avec difficulté, je devins un X-men et reçu le nom de code : Forge.
C’est en 2015, alors âgée de 35 ans, après des années de service pour la cause X-men, que j’ai décidée de faire un break. Sans vouloir démissionner des X-mens. Charles n’a pas hésité à accepter. J’ai donc rejoint le pays du soleil levant pour démarrer ma période de repos. Parallèlement et dans le même temps, j’ai détecté des signatures énergétiques mystérieuses sur une île appeler Seikusu. Et ce que j’ai découvert m’a sidérer : c’étaient tous des portails conduisant tous à un monde parallèle aux milles merveilles. Pour sûr que je l’ai exploré !
Cela ne fait qu’a peine quelques mois que j’explore ce monde, mais je connais déjà les trois superpuissances que sont Tehkos, Nexus et Ashnard.
♦ Pouvoirs & talents ♦ :
Génie technologique intuitive : Mon génome X de l’amérindien à altérer l’ensemble de mon cerveaux et me conférer la capacité spécial d’inventer intuitivement n’importe quoi qui se rapproche de près comme de loin à de la technologie (mécanique, cybernétique, robotique, électronique, etc….) juste en l'imaginant. Seule l’informatique et la robotique « automatisé » sont des exceptions. Si à la base, un génie inventeur normal doit toujours travailler consciemment les principes théoriques et conceptuels de son invention, elle-même à travers une série d'étapes logiques, de tâtonnement. Mais dans mon cas particulier, tous ces paramètres ainsi que les connaissances scientifiques qui en découlent (les étapes de sa conception, les matériaux nécessaires, les algorithmes, les équations, les plans) sont déjà élaborées par mon pouvoir qui prend soin de tous ces facteurs pour lui. Par conséquent, je suis pleinement conscient de comment j’ai compris le cheminement méthodiques et analytique permettant de créer mon invention, sans passer par la case « réflexion ». Ainsi, Si quelqu'un me demande de construire quelque chose que je n'ai jamais construit avant, ou même pensé auparavant, son esprit crée immédiatement les "plans" pour cela. Si cette même personne énonce les besoins de l'appareil telles que l'énergie, l'efficacité, la taille, etc….. je sais comment faire une telle chose instantanément. En règle générale, je ne fait pratiquement aucune erreurs, aussi bien dans conception que la construction, tant que personne ne me fasse quitter ma « transe » en me perturbant (me faire sursauter, jouer de la musique mal joué à côté de moi….). Je peux innover de nouvelles applications scientifiques et je ne suis pas limité par les connaissances scientifiques de l’époque actuelle, ainsi que les technologiques existantes de l’époque actuelle (s’il me faut une technologie avancée, je n’aurais qu’à la créer). Avec ma technologie mutante incroyablement avancée, je peux peut aller jusqu’à pouvoir exploiter des sources d’énergies qui sorte totalement des lois de la physique, tels que les énergies psychiques, psionniques et extra-dimensionnelles et magiques.
Malgré tout ce potentiel. Cette capacité ne me donne pas le luxe d’innover de nouveaux matériaux (ex : tissus réactives, bio-métal). Ce qui ne m'empêche pas, en revanche, de créer des matériaux déjà existant (ex : vêtements en molécules instables). Mon génie technologique ne prend pas en compte tout ce qui touche à la biologie. Autre point important à préciser, je reste limité par les ressources matérielles qui me sont disponible à sa portée (je ne peux pas, par exemple, construire un véritable vaisseau spatial à la Star Wars avec des piles de cartons, des boites de conserves et du rouleau de scotchs). Et bien que j’ai l’habitude de travailler ses créations dans un atelier ou laboratoire, si j’ai les ressources matérielles à ma disposition (aussi bien sur soi que récemment créer), je peux concevoir sans soucie mes inventions « sur place » façon MacGyver.
Compréhension instinctive des technologies : Ma mutation n’affecte pas seulement mon génie, il mei donne également une compréhension intuitive très poussée sur le fonctionnement d’un appareil technologique sous ses yeux, de repérer toute les faiblesses structurelles possibles ou existante et déterminer les éléments composant l’appareil. Ainsi, je peut alors envisager une réparation, modification, amélioration ou reproduction de la machine que j'ai visionné avec les éléments déjà présent, ou avec d’autres à sa disposition. Cette capacité de compréhension me permet non seulement de comprendre les technologies contemporaines et futuristes, mais également extra-terrestre et venant de réalités alternatives. Bref, aucune technologie ne m'échappe. Ce pouvoir ne se limite nullement à la manipulation manuelle et visualisation en direct d’une machine pour comprendre son fonctionnement. Je peut tout aussi bien la connaître parfaitement avec des plans et schémas techniques de cette dernière. Connaître une machine/appareil à partir de photos peut donner le même qu’un contact directe, mais uniquement si ces dernières affiche aussi bien l’aspect extérieur ET intérieur de l’objet technologique. Donc, s’il n’y a qu’une seule photo avec une vue en perspective sur l’aspect général de l’objet technologique, je ne pourrais que déduire en fonction de son niveau de complexité. Cela ne devient plus possible à partir d’un scanner IRM.
Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, toutes les connaissances acquis par l’analyse de l’objet technologique ciblé, je les oublierais le lendemain matin comme un alcoolique qui se souvient plus de ce qu’il faisait hier soir. Mais il lui est possible de m’en souvenir instantanément en analysant une nouvelle fois la même machine durant une poignée de secondes. Ainsi, je peut se rappeler de toutes ses connaissances scientifiques et techniques que j'avait avant d’interrompre ses travaux sur une invention souhaitaient et ainsi reprendre où je me suis arrêter dernièrement.
Perception de l’énergie mécanique : Le fait d'avoir altérer mon cerveau à également développer chez moi une faculté de percevoir l'énergie mécanique présente dans les composants des systèmes mécaniques tels que l'énergie cinétique et l'énergie potentielle mécanique. En plus des autres énergies physiques qui en découlent tels que l’énergie potentielle de pesanteur, gravitationnelle, élastique et électrostatique, etc….
Toutes ces énergies sont visibles sous forme de couleurs nuancées pour chaque énergies, selon l’état de la machine et autres paramètres. Une mutation secondaire qui l’aide beaucoup dans travaux de fabrication et ses analyses. Bien sûr, ce n’est pas permanent, il m'est possible d’activer/désactiver cette vision comme bon me semble, aussi longtemps que je les souhaite. Cela ne m’épuise nullement.
– Il possède tout un arsenal technologique de sa propre conception qu’il porte sur lui dans ses aventures. Composés exclusivement d’armes et gadgets ultra futuriste. Toutes sans exceptions ont une double protection : un dispositif interne contre les EMP, l’autre un nano-détecteur d’empreinte ADN très pointue contre l’utilisation de ma technologie par autrui, sauf si la personne peut reproduire intégralement mon ADN. C’est en particulier cette dernière qui permet l’utilisation « exclusive » de mes armes et gadgets pour moi et moi seule. Autrement dit, personne d’autres que moi ne peut s’y équiper. Parmi elles se trouvent :
• Un sac miniaturiseur, capable de miniaturiser les objets qui entre dans le sac et permettre de transporter autant de choses qu’une colonne entière de camions.
• Un brouilleur télépathique en forme de kit blutooth ultra futuriste comme protection anti-télépathique.
• Un pistolet inhibiteur de pouvoirs (fonctionne uniquement sur les mutants et E.S.P.E.R).
• Un Blaster tirant des rayons à désintégration moléculaire avec la portée d’un Famas.
• Des nanobots médicaux, à même de régénérer mes blessures mais pas de reconstituer entièrement des membres perdues. De de toutes sortes de poisons et maladies qu’ils guérissent et d’effectuer une restructuration faciale.
• Une ceinture de camouflage thermo-optique (invisibilité), capable de me protéger de toutes formes d’attaques basées sur la lumière et de me rendre totalement indétectable de tous systèmes électroniques (caméras, capteurs, détecteurs, etc….).
• Un bracelet projecteur d’un bouclier énergétique ionique modulable soit en bouclier, ou bien en dome protecteur. Assez puissant pour encaisser n’importe quelles armes à feux et énergétiques. Des éclairs d’orages, des explosions de 3 MJ, des pressions de 3 Gp ainsi que des coups pouvant atteindre les 100 tonnes.
• Un synthétiseur vocale me permettant de prendre n’importe quel voix masculine comme féminine.
• Un téléporteur. Accompagnée de bracelets-annexeurs.
• Un neuralizeur, fonctionnant comme celui des MIB. Mais en plus d’être pourvue d’un « déneuralizeur » sur lui.
• Des lentilles de contacts interfaces. A l’intérieur c’est toute une vaste galaxie d’électroniques moléculaire. Pourvues de nanocapteurs bioneuronaux très sensibles, jouant le rôle d’actuateur d’impulsion neuronale et permettent ainsi d’effectuer une interface neurale directe ou BCI (Brain-Computer Interface) sur l’appareil. Le BCI est unidirectionnel. C’est-à-dire qu’il me permet de communiquer avec son ordinateur comme bon lui semble, sans recourir à un dispositif de saisie numérique classique (souris, clavier…). Il peut afficher tous les spectres visuels existant (vision nocturne, thermique, rayon X, infrarouges, ultraviolet...) en plus de bénéficier d’une vision télescopique permettant le grossissement de l’image de 20 x pour un champ visuel de 10 kilomètres. Ce n’est pas tout ! IL peut détecter les résonnances télépathiques, les molécules olfactives, les sources d’énergie non mystiques et d’analyser les circuits électroniques. Incluant la faculté de pouvoir réceptionner les ondes téléphoniques que je peux pour écouter les conversations d’autrui. Me connecter sur les réseaux intranet comme extranets sur pas moins de dix kilomètres et d’employer une forme de cyberpathie synthétique. Tout ça grâce à une multitude de capteurs et de détecteurs très sophistiqué, tous relié aux verres teintés à base de nanocristaux photoniques semi-conducteurs intégrant nanocaméras, une interface informatique HUD et un modem capable de se connecter aux réseaux informatiques par satellite et un projecteur holographiques 4D (longueur, hauteur, profondeur et sens du toucher).
• Un générateur de télépathie synthétique qui amplifie mes ondes mentales et me permettent de communique mentalement avec des personnes en pensant à eux, tout comme recevoir leurs pensées de surfaces.
• Une moto hypersonique. Capable de se transformer (façon Transformers) en exo-armure de combat.
• Des grenades EMP avec une portée chacune de cent mètres.
• Un adducteur holographique, permettant de projeter une autre apparence et fait office de déguisement. Cependant, il ne s'agit que d'une image, et une personne qui touche physiquement celle qui porte un adducteur holographique se rendra compte que quelque chose cloche.
• Une épée à lame rasoir en nanotubes de carbones. Rétractable et long comme un katana.
• Une main et une jambe cybernétique. Ces derniers sont composés d’un endosquelette faits dans un alliage de titane léger et souple, auquel sont tressées des Nanos muscles en polymères jouant le rôle de muscles artificiels. Ce type de prothèse cybernétique ne m’occasionne aucune gêne pour me déplacer, offre des jointures très flexibles ainsi qu’une mobilité qui n’ont rien à envier des membres organiques. Ces derniers sont constamment alimentés (batterie incluse) par l’energie bio-electrique produite naturellement de mon corps, sont équiper d’un système de maintenance interne automatisé qui les entretiennent quand c’est nécessaire, en plus d’être waterproof et d’être équiper d’une protection anti-EMP. En plus de cela, ils disposent de nano capteurs sensoriel sur toutes leurs surfaces, interconnectées aux nerfs, qui me redonne le sens du toucher par stimulus nerveux poussées. Néanmoins, les membres bioniques ne m’octroient pas de force surhumaine.
– j’ai également avec moi des outils et équipement de travail nécessaire à la conception de mes inventions. Je possède surtout des tournevis soniques, des « super » imprimantes 3D, un caisson nettoyeur ionique à l’échelle subatomique, teinturiseur, agenceur de matériaux à l’échelle nanométrique et appareil de soudage moléculaire. Bref, un laboratoire portatif.
– Je suis un hackeur de haut niveau, capable de piraté tous systèmes informatiques non gouvernementaux. L’informatique n’est pas une spécialité.
– A partir de hautes études à la prestigieuse institution technique du Massachusetts, j'ai acquis un doctorat en mathématique et en informatique. Ayant pour thèse l’Etude de la géométrie des systèmes dynamiques non-hamiltoniens intégrables. Pour les maths. Et l’Evolution cohérente des ressources termino-ontologiques et des annotations sémantiques pour l’informatique.
– Etant un X men ayant fait de nombreuses missions et fait la passation, je maitrise assez bien le FAMAS (en armes d'assaut) et le 454 Casull (comme arme de poing). Quant aux véhicules, je suis expertisé sur un hélicoptère de combat classe « Surion » et un véhicule poids lourds du style camion-citerne. En plus d'être un tireur d'élite qualifié. En condition théorique comme pratique, je peux tirer jusqu’à 100 mètres de distance avec une arme de poing et d’assaut pour une précision parfaite, mais uniquement en étant immobile ou avec un genou posé au sol. En mobilité, la distance se limite à 50 mètres (toujours avec les mêmes types d’armes) et la précision en est légèrement réduite, donc il n’est pas rare, voir souvent, que je rate ma cible.
– Comme si cela ne suffit pas, je suis également un excellent combattant au corps à corps qui excelle dans le karaté kyokushinkai, le Close Combat et le Ju-jitsu. Du moins, suffisamment pour mettre au tapis 4 personnes armées et entraîner et le chiffre peut facilement doubler si les personnes sont inexpérimentées et non-armée.
– Les missions effectuées en tant que X-men ainsi que les simulations en Salle Des Dangers m’ont permis d'affiner ses connaissances linguistiques sur le terrain. Actuellement, je sais lire, écrire et parler couramment l'Anglais, le Français, l'Espagnole, le Russe, le Portugais et le Japonais.
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