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« le: mercredi 08 juin 2016, 20:35:54 »
La prêtresse-purificatrice a du fuir son passé depuis assez bien longtemps, elle qui fut réputée pour ses victoires écrasante contre les montres du chaos de bas-niveau et de ses exploits chevaleresque, elle fut lamentablement battue par une créature des Enfers mais heureusement pour elle, elle eut le temps de psalmodier une incantation magique dans un parchemin runique qui avait pour but d'ouvrir un passage dimensionnel entre le monde des humains et celui du Néant (son usage est unique et il fallait l'utiliser qu'en situation d'urgence), une brèche s'ouvrit et elle en profita pour filer alors que le monstre qui l'avait prise d'assaut s'apprêtait a lui sa main griffue pour l'attraper mais elle fut plus rapide que lui et s'en tira sans trop de casse. Enjou avait atterrit dans un champs boisé, de l'herbe ras et grasse fraîchement tondue dont l'odeur en émana jusqu'à ses narines, elle s'approcha doucement et cru voir un grand manoir qui avait presque la forme d'un château, elle ne savait pas elle se trouvait mis a part que c'est bien dans le monde des humains dont elle fait partie mais à une époque différente (comme si elle avait un bond dans le temps d'environ cinq-cent ans dans le futur...) de la sienne ou elle vécut au temps du moyen-âge. La jeune femme put observer les personnes qui semblait étrangement occuper a leurs tâches ménagers et elle trouva que ces gens était bizarrement vêtu, les hommes en noir et blanc et les femmes en robes bleue et blanc, qu'est-ce que cela signifia ? Pourquoi les hommes et les femmes portaient-ils tous des tenues identique assortie a leur sexe ? La jeune femme n'en avait pas la moindre idée mais elle eut une idée et si ça se trouve ces gens moderne devait probablement travailler dans cet bâtisse et leur patron devait être un riche fortuné de société ou peu importe de quel milieux, il devait apparaître, Sakuya dissimula son arme blanche et ses parchemins sous terre et se présenta à un responsable extérieur qui la conduisit à une gouvernante assez stricte et après un rapide entretien (quelle réussit avec quelques bribes de mensonge monté de toute pièce), elle fut finalement engagé en tant que domestique au sein de la famille Lilianstar.
Les jours se succédèrent et Sakuya fut sacrément tourmentée par les caprices incessantes d'une des filles jumelles de la famille du nom de Pleione qui avait l'air d'une perverse dans le corps d'une petite fille et ne tint jamais en place, prenant parfois un malin plaisir a piquer ses tenues et sous-vêtement afin de l'obliger de sortir de la salle de bain sous une serviette (bien que la miss faisait du bonnet D, elle avait du mal a maintenir dissimuler les rebords de ses seins qui dépassait presque de la serviette) et surgir au moment inopportun pour faire mumuse avec son corps... Pourtant elle avait un bon nombre de ces "Maids" a son service mais bizarrement aucune d'eux ne semblait la calculer ou que tout simplement, qu'aucune d'elle ne paraissait attirante au regard de la terranyde, ce qui pourrait laisser penser que Pleione n'avait que de yeux pour la prêtresse-purificatrice ! Sakuya ne pouvait pas malheureusement lui en vouloir ni la rejeter car en la voyant, elle se souvint alors de sa jeune disciple Sayaka et cela lui remémora de triste souvenir étant donné qu'elle n'aurait sans doute plus la chance de la revoir maintenant qu'elle est piégé dans ce monde définitivement. Un jour la famille s'absenta et le personnel avait profiter de leur absence pour prendre librement congé et profiter de ce seul jour exceptionnelle pour souffler un peu et faire une pause dans cette journée, Sakuya avait elle aussi prévu de faire un tour dehors et de retourner dans les bois afin de voir si le passage était encore ouvert afin quelle puisse regagner son monde malgré tout le confort et la vie paisible quelle menait désormais dans sa nouvelle demeure. La jeune femme ôta son tablier et sa robe de service et le rangea dans son armoire, pfiouh ! Il était temps ! Elle avait du ml a se mouvoir parfois dans son uniforme quand elle devait se baisser ou s'accroupir dans son lieux de travail a cause de sa lourde poitrine qui limitait souvent ses mouvement et les gestes, elle rendossa son justaucorps d'un banc nacré couleur perle et ajusta ses paires de gants a manche longue en tirant jusque vers l'avant-bras enfila ses cuissardes blanche en cuir et se coiffa les cheveux.
Bon ! me voilà prête !
Alors quelle se prépara a sortir en filant en toute discrétion, elle crut remarquer une présence quelle n'aurait pas souhaiter avoir (du moins pas aujourd'hui)... La jeune femme se devait de dissiper toute les songes de la petite Pleione avant quelle ne se mette a douter de ses réels intention, et fit mine de jouer le jeu de la personne qui s'inquiétait à son sujet, elle fit de son mieux pour faire durer la comédie.
Ne vous en faites pas pour eux, ils rentreront bientôt et je suis là pour veiller sur vous en attendant leur retour
Enjou se demanda comment elle pouvoir se libérer et voici comme par hasard que le sens contraire de sa réflexion apparut quand la gamine désira se faire câliner, facile a dire qu'a faire et combien un nombre incommensurable de fois, la Munen s'était faite avoir par celle-ci et ses bêtises, on tire une leçon de ses erreurs passés pour ne pas les reproduire au tour suivant et miss Enjou avait apprit avec le temps a les anticiper mais si ce n'était qu'une marque de tendresse a donner, pourquoi jouer les rabat-joies a vouloir refuser sa requête, bien qu'hésitante, elle soupira en venant dans sa direction en tendant les bras mais sans quelle ne puisse remarquer le visage malicieux de la fille et se fit prendre les seins par Pleione qui pétrissait presque les tétons quand elle réfugia son visage au centre de sa poitrine sur le justaucorps, Sakuya couina de surprise et devint rouge pivoine.
KKKYYYYAAAAAAAHHHHH... Maîtresse Pleione... C.. C'est embarrassant... Je vous en prie... Je suis Sakuya... Hannn..
Malgré quelle se sentit terriblement gênée que sa maîtresse lui fasse subir sa scène habituelle et désirant éviter que ses collègues ne la voit dans une posture aussi délicate qu'outrageant, elle ne pu s’empêcher de la conduire dans sa chambre (vu qu'elle se trouvait de dos derrière sa salle commune justement), elle souleva sa maîtresse qui ne pesa pas si lourde que ça et du lutter pour ne pas défaillir sur chaque suçons reçut de ses seins, elle bascula sur le lit en rabattant la couette sur elles de la main gauche, et a présent, elle fut prête a confier les plaisirs sensuelles de Pleione, le temps qu'elle échafaudait un autre plan pour sa prochaine tentative de fuite.