Identité : Seryana
Âge : pluri-centenaire (mais faut pas le dire)
Sexe : Femme
Race : Déesse locale (donc puissance limité)
Sexualité : Très ouverte et expérimenté et accepte tout ce qui rentre dans ses… Large critère du moment qu’il y a un appareil pénien.
Physique : (150 mots minimum)
Seryana est une grande femme, c’est le cas de le dire, un bon 1,90 m. Se voulant à cheval sur le physique, elle se veut être la plus belle des créatures de l’existence (si possible). Doté d’une longue et soyeuse chevelure dorée particulièrement fournie, qui même avec ses décorations et attaches, descende jusqu’en dessous de ses fesses. Sa peau rose/beige est douce, mais ferme. Ses courbes sont ce que l’on peut nommer de généreuse, sa poitrine opulente et lourde retombant parfaitement, ses hanches quant à elles délicieusement évasées, laissant admirer un postérieur tout aussi généreux et ferme à vue d’œil. Seryana possède de beaux yeux couleur violet lilas aux longs cils, ses lèvres brillantes et charnues sont ornées d’un anneau d’or au milieu de la lèvre inférieure. Quelques tatouages ornent sa peau, un au cou juste sous ses quelques chaînes d’or, ainsi qu’un autre à l’épaule droite.
Sa tenue, de manière générale, est très légère, il arrive parfois, voire même assez souvent de rester seins nus dans le temple qu’elle utilise comme domaine et lieu dédié à son culte dans la région ou elle s’est installée. Les cheveux souvent décorés et attachés en longues tresses dans le dos ou jetés sur l’épaule, une lourde ceinture d’or ornant son ventre, quelques lanières de cuir luxueux au bras, une jolie chaîne entourant aussi sa taille et quelques tissus de soie longeant ses cuisses pour se refermer autour de ses chevilles via des anneaux d’Or eux aussi, son intimité et son fessier masqués par ce qui semble être un vêtement de cuir et de soie servant juste à masquer son antre de passion.
Caractère : (150 mots minimum)
Sociable ? Ce pourrait être un terme potentiellement adapté, proche de l’individu aussi, mais au vu de, comment elle aime autrui, avouons-le, son amour se présentant surtout à travers l’acte charnel, sous toutes ses formes, que ce soit avec douceur ou sauvagerie, sa passion s'étend envers tout ce qui, a semble-t-il une épaisse troisième jambe. Calmes et séductrices sont probablement les premiers traits de caractère que l’on pourra noter à sa rencontre.
Cependant, cette sociabilité cache son visage plus, fière. Elle n’est guère dominante ou dangereuse, mais c’est sa nature à se considérer plus belle et plus délicieuse que n’importe quelle autre femelle à travers l’existence, qu’aucun être normalement constitué ne pouvait en préférer une autre qu’elle. Commençant à errer à travers les régions et pays avoisinants, Seryana, comprit très vite qu’elle obtenait facilement ce qu’elle voulait grâce à sa beauté, en fonction des gens bien sûr, mais les mâles semblaient être plus réceptifs à ses charmes
Histoire : (400 mots minimum)
Comment naît une déesse ? Nul ne le sait véritablement, si l’on en croit sur parole la déesse Seryana, de la passion et la beauté, elle est l’enfant légitime. Si aujourd’hui elle est une entité à part entière, fut un temps ou la déesse n’était que concept, une idée, tel un feu-follet dont la simple présence insufflait certaines émotions, désirs, passions et fougue à qui la traitait avec douceur, malaise et sensation de maladie à celui qui l’offensait. En ce temps, de nom, elle ne possédait guère.
Elle ne possédait pas non plus la parole à cette époque, une simple luciole que l’on ne pouvait tuer, dont la simple présence influait sur ce qui l’entourait. Avec le temps, alors qu’elle traînait aux alentours d’une petite bourgade de gens simples et que la pluie battait son plein, ce fut à sa grande surprise qu’elle fut accueillie par un jeune homme, celui-ci ne savait même pas qu’il recevait une des déesses mineures du pays, pourtant, il se montrait si bon et respectueux. Le jeune homme la voyait comme un simple esprit de la forêt, il la logea, lui donna à manger, à boire et un lieu où dormir.
Sans même s’en rendre compte, il permit à la déesse de rester bien plus longtemps que prévu, en échange elle le soignait de toute maladie, de son côté le mortel se mit à la prier comme un esprit moyen de la forêt, il ne fallut que quelques années pour que la déesse encore faible n’arrive à prendre une forme tangible, même si ce n’était que temporaire, elle pouvait enfin se contempler, mais avant même qu’elle ne puisse le penser, le mortel la désigna, comme la plus belle des créatures que ce monde ait porté à sa connaissance, cette nuit, elle offrit à l’homme une nuit dont il se souvint jusqu’à la fin de ses jours.
Le temps passant, celle qui à présent pouvait s’exprimer et se contempler s’offrit elle-même le nom de Seryana, déesse de la passion et de la beauté et que tous ceux qui respectaient sa beauté sans pareille, pourraient jouir de sa bonté. Plus le temps passa, plus de villages se mirent à considérer la nouvelle déesse venue comme une des plus bénéfiques, au-delà de son intérêt pour les mortels masculins, elle faisait en effet preuve de générosité envers ceux qui lui montrait le respect qui lui était dû. Celle-ci possédait un petit domaine à présent, cependant, la nouvelle déesse ne comptait pas se contenter de si peu, ce qu’elle convoitait, c’était le grand temple du royaume.
On dit qu’elle lutta pendant près d’un siècle contre les autres esprits et les quelques divinités mineures, elle se montra impitoyable, jouant parfois de ses charmes pour se faciliter la tâche. Ce sera sur une victoire qu’elle achèvera cette lutte et le temple et fit sienne le grand temple. Les restes des anciens cultes persistèrent à appeler à la méfiance et à tenir des assemblées à l’encontre de cette nouvelle déesse locale, rejetant sa tendance à appeler à la dépravation et rejeter les excès de discipline froide et ennuyeuse. Pour combler le tout, les offrandes qu’elle demandât, furent plus abordables, nourriture et boissons lui suffisait, les donations financières, ne l’intéressant que faiblement, l’on pouvait lui apporter de beaux vêtements et de beaux bijoux directement à la place.
Aujourd’hui encore, la belle Seryana lutte contre les quelques cultes survivants malgré les siècles, dont la seule volonté est de la déchoir de son statut, statut que la déesse protège farouchement contre ses opposants, mais elle ne craint le peu d’opposants qui restent, trop faibles et trop peu d’influence pour faire fléchir sa beauté inégalable. En ces terres domptées par une reine de beauté et de passion, soyez les bienvenus.
Autre :
- Seryana s’est imposée comme une sorte de divinité locale, elle possède une certaine influence qui nourrit ses pouvoirs, majoritairement, elle peut créer des nuages de poisons, très rarement mortels si l’on est d’une constitution normale. Ces nuages peuvent aussi apaiser la douleur, soigner certaines blessures, jusqu’à une certaine limite, des maladies.
- Divinité locale, mineure certes, mais tout de même très respectée et appréciée, probablement due à sa grande beauté et le fait qu’elle n’a guère de problème à ouvrir son antre à de simples mortels, elle a une certaine portée d’influence, ainsi que des oreilles disséminées à travers les bourgades environnantes, sans oublier certains riches individus aisément charmés par la belle Seryana.
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Je jouais Alsaka dragonne de la luxure, cependant, j’ai retrouvé mon compte et l’adresse mail qui y était liée et… Le concept du nouveau perso est assez similaire certes, mais afin de renouveler vu que j’ai… Disparu pendant une longue période, en espérant que, cela ne gêne pas que j'utilise le même compte pour remplacer l'ancien personnage.
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