Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Le village des lamias

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Les terres sauvages / Re : Amour interdit [Cirillia]
« le: jeudi 24 septembre 2015, 15:23:05 »
Lorsque je me suis enfuie de la ferme, mon instinct bestial me disait de tuer les témoins pour ne pas être traquée. Il ne fut contré que par mon instinct maternel, mes deux nouvelles filles ne me pardonneraient jamais le meurtre de leurs proches. Car oui, je considérais à présent ces deux petites merveilles comme mes filles. Je vais les éduquer, les protéger des bêtes sauvages et leur donner tout l'amour qu'elles méritent. Nous vivrons toutes les trois, les unes pour les autres et j'en ferais deux adorables sauvageonnes. J'étais en plein fantasme, toute mon attention dirigée vers ces deux jolies bosses qui déformaient ma queue. Lorsqu'elles se sont réveillées, elles ont commencé à remuer, probablement effrayées par leur nouvel environnement. Leurs mouvements à l'intérieur de mon corps me provoquaient de violents orgasmes, me forçant à m'arrêter régulièrement pour me masturber et leur parler. Je m'adressais à elles à travers la paroi, posant mes mains sur les deux jolies bosses avec une infinie tendresse, contrastant avec mon apparence.

"Courage mes chéries, maman va trouver un bel endroit où nous pourrons vivre toutes les trois, pour toujours. Aaaaah ! ♥ Maman vous aime tellement ..."

Nous avons parcouru une grande distance en quelques jours, à la recherche d'un paradis naturel. J'ai pris soin de remonter ou descendre plusieurs fois des cours d'eau, afin de tromper les chiens et leurs maîtres, pensant que cela suffirait à empêcher toute traque. Mais l'excitation provoquée par mes deux trésors déclenche, de temps en temps, de puissantes éjaculations féminines, arrosant ainsi copieusement ma piste. Sous le coup de l'excitation, mon esprit est également embrouillé, me poussant à commettre des erreurs grossières. En particulier ces arbres, le long du chemin, que j'ai griffé et mordu jusqu'à en retirer toute l'écorce, seul moyen pour moi de garder un lien avec la réalité. Je n'étais pas habituée à garder des êtres vivants aussi longtemps en moi, les clients du village qui souhaitaient être avalés ne l'étaient que pour quelques minutes la plupart du temps. Là, cela faisait déjà plusieurs jours, je suais à grosses gouttes, je tremblais, je gémissais. Démunie face au plaisir colossal que mon corps pouvait me procurer, comme si j'avais vécu jusque-là sous anesthésie.

Finalement, nous sommes entrées dans une épaisse forêt où je me sentais à nouveau dans mon élément. Les arbres sont suffisamment proches les uns des autres pour que je puisse passer d'arbre en arbre sans problème et il y a de nombreux cours d'eau, idéal pour chasser et masquer ses traces, tout ce dont j'ai besoin. Mes deux petits anges sont endormis, j'en profite pour m'allonger sur des galets chauffés par le soleil, commençant à pousser pour les faire sortir. Je me hâte, car si une créature arrive maintenant, je ne pourrai pas les défendre correctement. Elles sont déposées avec délicatesse sur les galets, recouvertes d'une pellicule gluante et odorante que je nettoie avec l'eau de la rivière. Je ne peux retenir mes doigts, caressant leurs adorables poitrines, imaginant déjà ces deux sœurs s'étreignant lors d'ébats incestueux.

Pendant ce temps, à des kilomètres d'ici :

La mère biologique des deux innocentes avaient les traits tirés, épuisée par une longue route et des nerfs mis à rude épreuve. Vêtue d'une longue robe bleue et d'un châle cachant ses cheveux roux, cette petite dame d'une quarantaine d'années faisait dix ans de plus. Elle répondit cordialement à la chasseuse, avec un léger accent campagnard, réalisant que la hâte lui avait fait oublier la plus élémentaire des politesses.

"Je m'appelle Ingrid madame."

Pudique, la femme préféra se taire le temps d'arriver dans un endroit plus approprié pour discuter, pressant le pas en direction de l'auberge, comme si elle voulait vider son sac au plus vite. Elle se dirigea directement vers une table isolée, attirant l'attention d'une serveuse d'un petit signe de la main.
"Bonjour mesdames. Qu'est-ce que ce sera ?"

"Une eau de feu pour moi, s'il vous plaît. Commandez ce que vous voulez Cirilla, je vous l'offre."

L'eau de feu est un alcool local, qui tire son nom de la sensation de brûlure que vous ressentez lorsqu'il descend dans votre gorge, idéal pour se donner du courage. Également réputé pour procurer des ivresses à peu de frais. La serveuse revient quelques instants après, déposant les commandes sur la table avec hâte, avant de s'éclipser pour éponger le vomi d'un habitué. La petite dame vida son verre cul sec et le reposa en grimaçant, entamant son histoire à la suite.

"Un monstre a tué mes deux petites alors qu'elles soignaient nos animaux. Quand nous sommes arrivés, mon mari et moi, nous n'avons trouvé que leurs vêtements, du sang partout et un de nos chevaux taillé en pièces … Mon mari a tenté de s'y attaquer avec sa fourche, mais cette bestiole lui a brisé les côtes avant de s'enfuir. Une sorte de femme-serpent, avec une queue de serpent à la place des jambes et des crocs à venin. Je veux vous engager pour retrouver cette chose et la tuer. Votre prix sera le mien, cette bourse est à vous et si vous exigez plus, je ferais ce qu'il faudra pour vous payer. Mais vengez mes filles, s'il vous plaît, vengez mes filles."

Les mains tremblantes, la femme attendait la réponse de Cirilla, craignant un refus de sa part. Elle fixait la table sans piper mot, sa dignité l'empêchant de fondre en larmes.


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Les terres sauvages / Amour interdit [Cirillia]
« le: jeudi 11 décembre 2014, 02:15:00 »
Je m’appelle Neen, enfin, depuis que je suis une lamia en tout cas. Je me rappelle de beaucoup de choses de ma vie d'humaine mais, impossible de me rappeler de mon nom ou de me souvenir précisément de mes proches, mon passé est flou depuis ma transformation. Par contre, la transformation en elle-même, je m'en souviendrais toute ma vie. On m'a emmenée dans cette grotte et là-bas un monstre à trois têtes à planté ses crocs dans mon corps, m'injectant cette saloperie. Il y avait une autre fille avec moi, même sort tragique pour elle. J'ai eu l'impression qu'on déchirait mon corps de l'intérieur, puis qu'on ressoudait mon corps au chalumeau. J'avais beau crier, personne ne m'entendait dans cette grotte. Au fur et à mesure que la transformation avançait, j'ai senti mon corps et mon esprit changer radicalement, interdisant tout retour en arrière. Je me suis sentie plus agressive, plus forte, moins intelligente, plus rapide, moins inhibée, en fait, je suis devenue une lamia à part entière et pas que physiquement. Lorsqu'on m'a emmenée revoir le monstre à trois têtes, j'avais la ferme intention de me servir de ce nouveau corps pour lui faire payer tout le mal qu'il m'avait fait. Mais, lorsqu'il m'a ordonné de me prosterner à ses pieds et de lécher ses testicules, j'ai éprouvée une envie irrépressible de me soumettre et d'exhausser ses souhaits, sans raison. Je l'ai servi pendant plus d'un an, incapable de résister et accroc à sa présence. Au sein du village j'étais chargée d'un scénario pour les touristes, jouer la méchante lamia qui se fait capturer et violer. Hasard de la génétique, mes cheveux violets me donnent des airs de sorcière disait-il, ça met les clients dans l'ambiance, tu as une tête de méchante, c'est écrit sur ton visage. Ah ah, je t'emmerde gros porc ! Humiliation après humiliation, viol après viol, mon esprit s'est endurcis, la situation est devenue tellement inacceptable que peu à peu j'arrivais à contrer l'influence que cette ordure avait sur moi. Dès que j'ai pu fuir je l'ai fait sans me retourner, quittant avec joie cet Enfer au décor de carte postale.

Je n'ai aucun repère à l'extérieur, car je ne suis jamais sortie de Nhirel, même en tant qu'humaine. Je ne sais pas où je vais, je divague, je découvre, je dois apprendre à chasser ma nourriture, à éviter les ennemis potentiels. Plus l'influence que ce monstre a encore sur moi diminue, plus mon nouvel instinct sauvage prend le dessus, ce corps est vraiment incroyable comparé à mon ancien corps, il est si puissant, si pratique et mon instinct est si complet. Les lamias sont de redoutables machines à tuer, lors de certaines parties de chasse je m'effraie moi-même en constatant mon efficacité avec aussi peu d'expérience. Cependant cette période de découverte ne dure pas, je quitte la forêt, mon environnement de prédilection pour me retrouver dans une sorte de plaine où je me sens moins à l'aise. Mon instinct me hurle de retourner dans cette forêt, que c'est ma place mais, mes restes de raison humaine l'emportent encore sur l'instinct de la bête, je dois m'éloigner le plus possible de l'endroit d'où je viens. En plaine je suis beaucoup moins efficace, je ne peux pas me cacher et mon corps massif effraie les animaux. C'est alors que je découvre ces énorme maisons en bois, j'en ai déjà vu à Nhirel, avec des terranides vaches dedans, ils appellent ça des fermes je crois. Poussée par la faim, je finis par y entrer pour tuer un cheval qui s'y trouve. Ma queue s'abat lourdement sur la nuque de l'animal qui meurt sur le coup, sans un cri, rapide et propre. Je me cache dans son box ensanglanté et je commence à le dévorer, petit à petit la lamia en moi prend le dessus, je mange comme un animal, déchirant la chair avec mes puissants crocs. Ma gorge, ma poitrine, mes mains, mes cuisses, mon ventre sont couverts du sang de l'animal, me donnant des allures de boucher bestial.

Puis la porte du bâtiment s'ouvre et j'entends deux rythmes de marche différents. Deux personnes viennent d'entrer, je m'immobilise et mon cœur ralenti considérablement, comme ma respiration. Ma langue bifide sort de ma bouche pour analyser les odeurs, me confirmant qu'il y a bien deux personnes, humaines, surement des femelles. Elles viennent probablement s'occuper des animaux et finiront par me trouver à côté du cheval mort et entamé. À ce moment mon instinct me hurle de leur sauter dessus pour les tuer avant d'être découverte, profitant ainsi de l'effet de surprise. J'attends qu'elles s'approchent et lorsque je suis sûre de pouvoir tuer les deux d'un coup, je sors du box pour me dresser dans leurs dos. Elles n'auront même pas le temps de se retour... Je croyais qu'elles seraient de dos mais, elles étaient en train de tirer une sorte de grosse mangeoire et me faisaient face. J'ai pu voir leur visage se décomposer et blanchir à cause de la peur, moi je me suis arrêtée parce que j'admirais leur beauté, subjuguée par ces deux petites[hentai]. Personne n'a osé bouger ou faire le moindre bruit pendant de longues secondes, elles parce qu'elles avaient peur et qu'elles constataient que je n'attaquais pas et moi parce que je les admirais, charmée. C'est à ce moment là que j'ai découvert une autre part de mes instincts. Nous les lamias nous aimons posséder et je veux posséder ces deux jolies fermières, hors de question que je les laisse ici. Finalement je bondis sur la plus proche, enfonçant mes crocs dans son avant-bras avant de lui injecter un puissant sédatif tandis que j'attrape la seconde dans ma queue. La première s'effondre dans mes bras pendant que l'autre panique, pensant que je l'ai tuée :

"NON ! SŒURETTE ! AAAAH !"

Je saute sur la seconde avant de lui réserver le même sort. Mes deux adorables petites choses sont à ma merci maintenant, je dois les garder bien au chaud et prendre soin d'elles. Je les déshabille, puis je les fait rentrer l'une après l'autre dans ma poche caudale. Ma queue se retrouve ainsi enflée en deux endroits à cause de ces deux adorables petits corps en moi, mon corps ainsi satisfait me récompense en me gratifiant d'une joie intense. Elles sont à moi, rien qu'à moi ! Lorsque je sors finalement à l'air libre, je croise un homme qui voit le sang sur mon corps et les vêtements des jeunes-filles posés sur le sol. Il brandit une fourche et tente de me blesser avec, je la lui arrache des mains sans problème, lui je lui renvoie son arme dans les côtes, voilà qui le calme bien. Une femme est également présente plus loin, assistant à la scène, insensible à leurs pleurs je m'éloigne, maintenant elles sont à moi !

Quelques jours plus tard, dans une ville de l'Empire d'Ashnard :

Une femme au regard vide cherche Cirillia la tueuse de dragons, des passants lui indiquent divers lieux qu'elle fréquente, sans résultat. Elle passera quelques heures à chercher cette tueuse avec la vague description physique qu'on lui en a faite. Finalement, elle croise une personne qui ressemble à ce qu'on lui a décrit, en pleine rue. Espérant enfin tomber sur la femme qu'elle cherche, elle se met à avancer vers elle. Elle n'est pas richement vêtue mais, sa bourse parait bien pleine. Les chasseurs réputés ont l'habitude de ces scènes, Terra est un monde où les drames sont nombreux. Surement une femme qui a perdu toute sa famille et qui a prit les économies de toute une vie avec elle pour que justice soit faite. Ce n'est pas si rare que ça dans le coin. Peu assurée elle demande d'une voix faible :

"Excusez-moi, vous êtes bien Cirillia la chasseuse de dragons ? J'ai un travail à vous proposer, un travail bien payé."

On n'obtient pas justice avec une bourse vide, c'est la première leçon à retenir quand on vit par ici.

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Prélude / Re : Un village tout à fait normal.
« le: mercredi 10 décembre 2014, 20:05:43 »
Oups, merci pour la validation mais, j'ai édité en même temps du coup je n'ai plus la balise.  x')

4
Prélude / Re : Re : Un village tout à fait normal.
« le: mercredi 10 décembre 2014, 19:22:29 »
Recoucou.  o/

Attention à tes liens Gelbooru, le lien direct vers les images ne marche pas pour ceux qui se contentent de regarder x)

Ceux qui se contente de regarder ? Pas compris.

*N'approche pas du village, ayant une peur bleu des serpents, lamia comprit.*

Ne t'inquiète pas, elles peuvent aussi s'échapper et venir te chercher.  :3

Et j'i envie de dire : Rebienvenue Inuko ^w^

Pas dur à deviner ça.  :3

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Prélude / Un village tout à fait normal.
« le: mercredi 10 décembre 2014, 18:52:36 »
Prénoms : Acoalt, Izel, Nahui, Nelli, Ollin, Quetzal, Teotl, Xalaquia, etc.
Âge : 16 ans et plus
Sexe : Femelles
Race : Lamias
Orientation sexuelle : Pansexuelles

À lire en complément : Sarah Kerrigan - Royaume de Nhirel

Galerie d'images (hentai et vore) :

- Le monstre
- Transformation en lamia phase n°1
- Transformation en lamia phase n°2
- Lamia hybride
- Lamia complète
- Reine lamia
- À l'intérieur d'une poche caudale


Description physique : Celui qui est nommé le monstre dans l'histoire est une sorte d'hydre-lamia. Un gigantesque lamia à trois têtes de serpent, muni de deux paires de bras et de deux imposants sexes. Les lamias hybrides sont celles dont le haut du corps ressemble à ceux des humaines ou des elfes. Seule leur queue de serpent est recouverte d'écailles. Les lamias complètes sont celles qui ont leur corps intégralement recouvert d'écailles. La reine lamia mesure plus de quatorze mètres de long, les formiens la convoite car sa poche caudale de plus de dix mètres de long en fait une véritable usine à pondre des œufs. Toutes les lamias sans exception ont : une queue de serpent de taille variable, des crocs rétractables capables d'injecter leurs nombreux venins, une langue bifide mesurant entre dix et vingt centimètres hors bouche et une poche caudale pour emprisonner leurs proies.

Leur queue de serpent est extrêmement musclée, elle est capable de broyer les os de gros animaux sans difficulté. À l'intérieur de cette queue se trouve un long organe appelé poche caudale. Lors de la fécondation, le sperme des mâles coule depuis son vagin dans cette poche et c'est ici que les œufs de lamias grandiront. Notez qu'elles ne peuvent être fécondées que par le monstre, par un lamia mâle (rares) ou par les formiens (ou similaire). Mais cette poche caudale a également une autre utilité, un peu avant le bout de leur queue se trouve une large fente, dissimulée par leurs écailles. Lorsqu'elle s'ouvre et se dilate au maximum, elle devient suffisamment large pour laisser rentrer un être humain adulte. Ainsi elles peuvent endormir leur proie, l'aspirer à l'intérieur et la maintenir prisonnière. À l'intérieur un liquide gluant sert de lubrifiant et de nourriture, de l'air est injecté pour permettre aux proies de respirer et de nombreux micro-organismes sont là pour guérir et tuer les virus, bactéries, etc. Ainsi un être humain peut survivre plusieurs mois, voire plusieurs années dans cette poche sans manquer de rien, hormis de la lumière du jour. L'intérieur de cette poche est aussi sensible que son sexe tout en étant extrêmement solide, oubliez toute tentative d'évasion. Le plus rapide pour en sortir est de la faire jouir en la caressant de l'intérieur, ainsi elle vous libérera peut-être pour vous remercier à sa façon.


Caractère : Puisque nous parlons d'un groupe entier je n'entrerais pas dans les détails, je décrirais seulement leur comportement collectif. À l'état naturel les lamias sont des terranides redoutables, aussi fortes que violentes. Elles adorent se battre, que ce soit entre elles ou avec d'autres races. Concernant ce village il est un peu particulier, car sous l'emprise du monstre. Toutes les lamias du village sont à ses ordres, elles ne peuvent pas aller contre sa volonté quoi qu'elles fassent. Ce dernier leur ordonne de ne pas faire de vagues et d'obéir aux succubes, elles doivent combler les touristes comme tous les autres esclaves au service du royaume. Les lamias du village n'ont jamais entendu parler des formiens, le monstre ne les évoque jamais, il se contente d'envoyer les œufs de reines clonées à la fourmilière le plus discrètement possible. À l'inverse, les reines lamias qui se retrouvent dans la fourmilière n'ont jamais entendu parler de l'extérieur, elles ne savent rien du village ou du monstre. Elles pensent être nées dans la fourmilière et servent Kerrigan sans se poser de questions.

Ces femmes-serpents sont particulièrement appréciées des touristes à cause de leur instinct maternel sur-développé et de leur tendance à tout faire avec passion. Particulièrement possessives, elles ont besoin d'esclaves à leur service qu'elles peuvent enfermer, violer, câliner à volonté. Ça leur permet d'encaisser le coup lorsque les touristes repartent et les abandonnent, même si elles ont tendance à se servir des autres esclaves comme souffre-douleurs pour évacuer leur frustration. Leur rareté fait qu'elles ont droit à un traitement de faveur, les succubes tolèrent ainsi quelques écarts de leur part, pourvue qu'elles continuent à satisfaire leurs clients.

Il arrive parfois que l'une d'entre elles se libère de l'influence du monstre. Son instinct naturel reprend alors le dessus et elle redevient une créature solitaire, ne comptant que sur sa propre force et souhaitant régner sur son propre harem d'esclaves à son service. Ces dernières s'échappent et ne reviennent jamais, comme elles sont peu nombreuses et qu'elles sont devenues inutiles de toute façon, personne ne s'en inquiète. Mais si elles sont capturées par la garde de Nhirel, ce sera direction l'arène pour être emprisonnées et exhibées devant le public lors de féroces combats de gladiateurs. Enfin bon, elles aiment se battre de toute façon, c'est plutôt une mauvaise nouvelle pour les autres.


Histoire : Sarah Kerrigan est une reine annexienne de la Fourmilière. Son soucis constant est de se reproduire, de conquérir, de corrompre, de faire triompher la nuée formienne. En surface, la puissante artillerie tekhanne verrouille le champ de bataille avec une efficacité redoutable. Si bien que peu à peu cette guerre s'est déplacée vers le sous-sol. Des kilomètres et des kilomètres de galeries ont été creusés, tant par un camp que par l'autre. Une guerre cachée, enfouie, qui fait rage sous une surface devenue déserte. Inévitablement des formiens échappent à la vigilance des tekhannes et parviennent à sortir du périmètre. Et qui est mieux placé qu'une ancienne tekhanne, comme Sarah, pour passer les défenses de ses ex-alliées ? Elle est unique en son genre, elle comprend les tactiques tekhannes, elle sait que la stratégie formienne habituelle a été étudiée et contrée. Il lui faut de nouvelles idées, de nouvelles stratégies pour l'emporter et le hasard fait parfois bien les choses.

Lors d'une de ses sorties, elle a pu rencontrer une créature atypique. Un monstre génétiquement modifié, autrefois il avait été un lamia, ces terranides réputés pour être particulièrement dangereux. Il avait joué avec une science qui le dépassait totalement, il était mourant, affaibli, rongé par de terribles tares génétiques. Sers-moi et je te guérirais, lui dit-elle. Comment refuser telle offre dans sa situation ? Bien sûr elle ne fait pas cela gratuitement, elle avait déjà une ébauche de plan en tête. Ce monstre inconscient qui avait voulu jouer avec le vivant allait lui être très utile. Les erreurs qu'il avait faites étaient des erreurs de débutant, faciles à réparer sans laisser de traces de technologie formienne. La vie du monstre fut sauvée, ses crocs déversant maintenant un venin qui modifie radicalement l'ADN de ses victimes. Le contrat entre la reine annexienne et le monstre fut le suivant : Capture des humaines, transforme les en lamias, sélectionne les plus dociles, les plus prolifiques et fait les se reproduire. Ensuite, tu créeras un village entier de ces créatures, tu leur enseigneras que leurs Déesse s'appelle Sarah Kerrigan et qu'elles doivent la servir en offrant leurs ventres. En échange je t'offre la belle vie, plus de tares génétiques gênantes, un harem personnel de charmante lamias parfaitement soumises et faisant office de gardes du corps. Sert-moi et cette vie de rêve est à toi monstre. Bien entendu il accepta. Le monstre en question n'est pas très intelligent, l'idée qu'il pourrait trahir Kerrigan une fois guérit ne lui traverse même pas l'esprit. C'est un être mentalement faible, il se laisse facilement séduire et a besoin de quelqu'un de plus compétent au-dessus de lui. Il fait un pion idéal, nul besoin de menaces ou de garanties avec lui, il suffit de lui donner ce qu'il désire pour le manipuler tout en douceur.

Sarah et son petit monstre trouve facilement l'endroit idéal pour fonder ce village qui servira de réserve de ventres. Au sud d'Ashnard se trouve un royaume de succubes nommé Nhirel, spécialisé dans le tourisme sexuel. Un village de lamias dociles pour satisfaire les touristes et les plonger dans un fantasme de jungle impitoyable. Voilà qui devrait beaucoup plaire aux succubes et qui passera inaperçu auprès de ces emmerdeuses de tekhannes. Le monstre est très bien reçu, son idée et ses capacités intéressent fortement les succubes qui s'appliquent déjà à créer des scénarios tordus pour plaire aux touristes. Un touriste mis dans la peau d'une proie, dominé par de superbes femmes-serpents ou bien mis dans la peau d'un chasseur qui réussit l'exploit d'en capturer une et de la dresser, chose quasi-impossible en réalité. Voilà des scénarios qui raviront tous ces touristes fortunés de la capitale Ashnardienne. On lui fournit des esclaves pour faire ses expériences génétiques, on lui laisse suffisamment de temps pour obtenir des résultats et ils sont prodigieux. Il crée très facilement des lamias hybrides et, avec un peu plus de difficultés, des lamias complètes, pendant qu'en secret il met au point le modèle demandé par Kerrigan. Ce que l'annexienne veut, ce sont ces créatures rares et convoitées que sont les reines lamias. Elles sont capables de pondre des centaines d’œufs à chaque fois grâce à leur gigantesque poche caudale et ont une endurance hors du commun. Sur Terra ce sont probablement les êtres les plus compatibles avec les formiens qui existent.

Le monstre vit depuis dans une grotte somptueusement aménagée, entouré de ces femelles dociles qui exhaussent ses quatre volontés. Quel intérêt aurait-il à obéir aux formiens ? Aucun ! Et c'est pour cela qu'il est le candidat idéal pour Kerrigan. Personne ne soupçonnera jamais cet imbécile. Après de longs tâtonnements et de nombreux échecs, il réussira finalement à créer une reine lamia. Cette reine est celle du village, elle est là pour satisfaire les touristes. En secret le monstre la clone et envoie directement les œufs de reines par un réseau de galeries creusé par les sbires de l'annexienne. La Fourmilière a ses reines lamias tant désirées, Nhirel a son village pour touristes et le monstre a sa vie de rêve. Pendant ce temps les tekhannes dorment et ne voient rien. Si jamais elles découvrent quelque chose, le monstre n'aura qu'à jouer la victime et faire semblant de collaborer avec elles. Kerrigan sait qu'il ne la trahira pas, c'est un être médiocre, il a besoin d'elle, il a besoin d'une maîtresse à servir.

Situation de départ : Très expérimentées.

Comment avez vous connu le forum : DC d'Inuko

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Non, mais je vais aller me chercher un yaourt au frigo.

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