Barbara émit une fois encore un avis très précis sur la question de la jeune policière, un avis qu'Annabelle écoutât attentivement. Cette femme… Cette barbara, là… Pour une obscure raison, Annabelle pressentait en elle une double identité… Comme elle… Oui, cette belle rousse avait ce petit quelque chose au fond des yeux qui attirait Annabelle, chose qui était rarement de bonne augure d'ailleurs car, en général, quand le sinistre Veuve jetait son dévolue sur quelqu'un, là personne en question finissait par en payer de sa vie.
Suite à la tirade de cette Mademoiselle Gordon, d'autre psychiatres virent à parler, les questions ce succédèrent encore, certaines plus intéressante que d'autre et, finalement, au bout d'une bonne heure, la séance vint à ce clôturer, Annabelle ce levât alors de son siège, en levant une dernière fois les yeux vers cette Barbara, leur regard vint alors à ce croiser l'espace d'une seconde. Annabelle émit un mince sourire plutôt neutre, en saluant discrètement la femme d'un hochement de tête respectueux, puis elle suivie les autres personnes vers la sortie.
Seikusu, trois semaine plus tard, Opéra de la mains blanche. 20H30Ce soir, Annabelle avait était conviée à l'Opéra de la Main Blanche par son propriétaire. La dite représentation portant sur l'enfer de Dante.(un sujet et une histoire qu'Annabelle aimait particulièrement) La femme était vêtue d'une magnifique
robe noire très proche des robes que portait les femme durant les années 30, une belle et somptueuse robe de velours accompagnée par de longs fait de la même matière. Comme à son habitude donc, Annabelle était très élégante.
La femme fit quelque pas dans le salon, balayant du regard toutes ces personnes, avant d'être interpellée par l'un des serveur qui portait un plateau d'argent surmonté de plusieurs flûte de champagne.
« Champagne Madame ? »« Volontiers. » Dit elle alors en prenant une flûte en hochant ensuite la tête respectueusement en signe de remerciement.
Ensuite, la femme reprit sa route, foulant d'un pas gracile le sol couvert de luxueux tapis. Tout ici transpirait le luxe, cet Opéra était tenue par une riche famille Italienne immigrée au japon depuis la fin de la seconde guerre mondial. Annabelle connaissait d'ailleurs le-dit gérant de ce luxueux Opéra, ce dernier ayant lui même envoyé l’invitation à la belle. Annabelle prit un gorgée de champagne, avant d'être une fois encore interpellée par quelqu'un, sauf que cette fois ce n'était non pas un serveur, mais le père de l'une de ses élèves.
Bonsoir Mme Dunkel !Ho ! Bonsoir Mr. Amate Lui répondit alors Annabelle, voyant ensuite l'épouse du-dit homme se rapprocher.
Alors, comment ce passe les cours de Mazari ? elle me dit que du bien de vous, vous savez.Annabelle s'humecta brièvement les lèvres avant d'esquisser un sourire faussement amicale.
Et bien… Oui… Mazari progresse, légèrement certes… Mais elle progresse.C'était faux, rien que d'en parler Annabelle en avait de le poil qui s'hérissaient ! Elle haïssait cette gamine, elle haïssait cet homme trapus et rabougrie qui lui servait de père et… Nan… Ce n'était même pas de la haine, c'était plus fort que ça… C'était du mépris. Annabelle méprisait cette famille de bourgeois sans valeur, cet homme ne l'avait même pas salué de manière courtoise alors même qu'il était japonais, c'était un cafard et cette grande femme là, cette sinistre vipère au visage en pointe… Nan… En y repensant il n'y avait rien à haïr en eux, Annabelle les regardait tout simplement comme… Comme on peut regarder un insecte… Elle ne ressentait rien pour eux et en ce qui concernait leur fille, Annabelle la voyait comme une appétissante petite mouche, un futur repas autour duquel elle était en réalité entrain de tisser une toile, toile dans laquelle elle finirait par tomber… au grand damne de ces deux insupportables parents.
* Je couperait les oreilles de votre sinistre progéniture… Et je vous les enverrez en guise de compensation pour toutes les heures de souffrance auditive qu'elle ma fait subir. *Et bien entendue, la Veuve noire viderais au préalable la pauvre jeune fille de ses organes les plus « fins ». Annabelle savait que cette petite enfant gatée n'avait pas vraiment de liberté et que, par conséquent, son corps était encore pur de toutes les saloperies que la plupart des jeunes absorbes aujourd’hui, le tabac, l'alcool et autres drogues… Nan, tous ça n'avait jamais était en contacte avec Mazari et par conséquent, Annabelle savait que les poumons, les reins, le foie et le cœur de la jeune fille étaient encore neutre et seins. Pour le reste, Annabelle aviserais car Masari était un peut maigrichonne, ses bras était fin, cependant elle avait un jolie fessier qui transpirait non pas la mauvaise graisse, mais le bon muscle, un muscle tendre tandis que ses tripes, elles, servirait à faire des cordes de violons.
Annabelle, toujours en souriant d'un air faussement bon, vint alors en plen milieux de la conversation à légèrement balayer du regard les autres personnes ce trouvant derrière le couple et, parmi une foule de personnes élégamment vêtue, elle aperçues une femme rousse en fauteuil roulant. Sans rien dire, ni même changer d'expression, elle reconnue la belle femme cultivée qu'elle avait rencontrée quelque semaine plus tôt lors de la conférence portant sur les serial killer.
« Euh… Mme Dunkel, puis je vous demander un service ? » Lachat alors l'homme avant de légèrement s'éponger le front avec un petite carré de tissue.
« Hm ? Je vous écoute Mr.Amate »« C'est que… C'est un peu gênant… Hum ! Alors voilà, moi et ma femme nous rencontrons dernièrement quelque petits soucis financiers et… Euh… »« Oui ? »Voilà, nous aimerions que notre fille continue sa progression chez vous, cependant vos cours son onéreux et… C'était pour savoir si par hasard vous pourriez pas nous faire crédit… Voir cadeaux de quelque séances, Qu'en dite vous ?Quel culot… Annabelle était tout bonnement entrain de bouillir sur place ! Mais… Encore une fois elle n'en montrait rien, la femme, toujours aussi calme hocha de la tête en ce raclant légèrement la gorge, avec toujours un air un brin amicale sur les lèvres.
Je vois… Et bien écoutait, je peut voir ce que je peu faire, d'accord.Je vous en remercie du fond du cœur mademoiselle Dunkel, merci !Voyons, c'est naturelle, votre fille est son apprentissage mon son précieux.Sans le savoir, ce gros lard hideux et puant venait d’avancer la mort de sa propre fille.