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Messages - Annabelle Dunkel

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: mercredi 27 juillet 2016, 16:09:10 »
Annabelle observa silencieusement la représentation en compagnie de Barbara, suivant du regard le récit poétique de Dante, son regard glissant lentement sur chaque protagoniste avec supériorité, un regard froid et fier, accusateur et juge. Cet alors qu'une phrase vint à retentir dans l'esprit tordu d'Annabelle, une phrase qui l'a fit légèrement sourire d'ailleurs.

« O chrétiens orgueilleux, tristes infortunés qui, dans l’aveuglement de votre esprit, avez confiance en votre progression illusoire. Ne comprenez-vous pas que l’homme est né larve pour former l’angélique papillon qui vole libre et nu vers la justice ? »


L'Orgueil… Le plus infamant et grave de tout les péchés. Le seul, l'unique… Annabelle était l'Orgueil personnifiée, accusatrices, supérieur, froide et accablante d'arrogance. Mais tous ça, Annabelle le dissimulait, comme un tas d'autre choses dans sa vie, au file du temps, la femme c'était tissée une confortable toile, un monde qui était un faux-reflet, un masque de gentillesse et de normalité avec lequel elle chassait et attrapait ses victimes, avant de les enserrer dans sa soie tranchante et meurtrière. Cette Barbara… Annabelle sentait quelque chose de très « intéressante » au fond d'elle, une chose que la sinistre veuve noire comptait bien faire sortir… Mais elle devait être prudente car derrière ses petite lunette et son fauteuil, cette femme semblait au moins aussi bien « armée » qu'Annabelle. Peut être avait elle aussi des connaissance dans la police ou ailleurs, peut être était elle en lien avec des profiler… Tout ceci, Annabelle en prenait compte car, c'est bien connue, le tissage d'une toile est loin d'être aisé.
Finalement, après deux bonnes heures, la représentation prit fin, les lumière ce rallumèrent doucement et Annabelle ce racla brièvement la gorge avant de ce tourner vers Barbara.

« Cela vous a t-il plut ? »

Annabelle afficha un énième sourire, sourire qui, comme toujours se voulait sobre et sympathique à la fois. Ce sourire, Annabelle l'avait travaillé au fil des années, comme tout chez elle, comme cette vie, son costume de professeur de musique intègre et courtoise mais… Au fond, elle le savait, Annabelle savait qu'elle n'était pas comme les autres… Elle était différente, mieux même ! Enfaîte, pour Annabelle, les autres êtres humains était bien trop différent d'elle pour pouvoir espérer ce hisser à son niveau… Elle les méprisait… Tous.

Puis, suite à sa question, Annabelle vint à glisser un autre furtif regard à Stéphanie. Pour on ne sais qu'elle sinistre raison, Annabelle vint à voir pousser en elle étrange sensation d'attraction... Morbide. Cette jeune fille, aussi insignifiante pouvait elle être avait froissée Annabelle... Pourquoi ? Et bien... L'histoire nous à démontrée à bien des reprise que l'esprit des psychopathes était tellement tordue qu'il ne valait mieux pas toujours chercher à savoir "pourquoi". C'est... Ainsi.



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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: lundi 17 août 2015, 19:51:42 »
Annabelle laissât donc Barbara s'asseoir en hochant poliment la tête quand cette dernière vint à la remercier. Visiblement, cette tendre rousse, bien qu'étant une « habituée » des tueurs en série ne semblait pas douter une seconde de ce qu'était réellement Annabelle et, au fond, c'était plus que compréhensible, la femme faisait tout pour cacher au mieux ses plus sombres facettes et, d'ailleurs, même ci la jeune Stéphanie l'horripilait profondément, Annabelle ce devais de ne pas être trop distante avec elle et rester courtoise… Une toile, pour être solide et efficace ce devait d'être tissée avec soin, chaque élément, chaque petite brindille, aussi futile soit elle ce devait d'être soigneusement choisie.

Barbara demanda ensuite un service à Stéphanie, restant alors seule avec Annabelle, cette dernière s'étant entre temps assise à  gauche de Barbara, celle-ci venant alors à ce retourner vers notre charmante musicienne afin de lui poser une question.

« Alors, dites-moi... À part enseigner la musique à de jeunes personnes fortunées et vous renseigner sur les tueurs en série, y-a-t-il d’autres centres d’intérêts dans votre vie ? »L'interresée souria légèrement en fermant les yeux puis, calmement, elle lui répondit en ce retournant à son tour.
« Oui, outre la musique j'aime aussi la peinture, la littérature, L'histoire et la théologie... Peu. »
la femme marquat une légère pose dans ses propos puis, enchaina.
« Mais… L'une de mes plus grande passions reste la cuisine… Je met un point d'honneur à préparer moi même tout mes repas. De plus, que ce soit les viandes, les légumes ou les poissons, je veille à choisir avec soins chaque pièce, chaque note qui compose l'archestration de ma cuisine car, après tout, nous sommes ce que nous mangeons. »

C'était là un précepte qu'Annabelle suivait à la lettre, au sens propre, comme en sens figuré. Annabelle vint alors à ce tourner vers Barbara, un léger sourire au lèvre et clotura ses propos par cette phrase :
« Je serais d'ailleurs ravie de vous inviter à diner vous et Stéphanie… Vraiment. »
Peut après, Stéphanie revint à s'asseoir auprès de Barbara et, dans la foulé, l'Opéra vint à être plongé dans le noir, ne laissant seulement quelque fine lumière diffuse ici et là.

Cet alors que sur la scène, un homme apparut, seulement éclairée par un rait de lumière, là encore pas trop forte. Cet homme, c'était Dante et, alors qu'il était sur une coline, il vint à chanter ces mots en Latin :

« Au milieu de la course de notre vie, je perdis le véritable chemin, et je m’égarai dans une forêt obscure : ah ! il serait trop pénible de dire combien cette forêt, dont le souvenir renouvelle ma crainte, était âpre, touffue et sauvage. Ses horreurs ne sont pas moins amères que les atteintes de la mort. Pour expliquer l’appui secourable que j’y rencontrai, se dit ai que l’autre spectacle s’offrit à mes yeux. Je ne puis pas bien retracer comment j’entrai dans cette forêt, tant j’étais accablé de terreur, quand abandonnai la bonne voie. Mais à peine fus-je arrivé au pied d’une colline »

et voilà…Une fois toute cette tirade chantée à haute voix, une musique vint à retentir, signant enfin, le début du spectacle.

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: jeudi 13 août 2015, 19:47:49 »
« J’en serais ravie... Mais je préfère que Stéphanie m’accompagne. »
« Je n'y vois aucune objection. »

La femme garda son sourire, malgré le fait que cette irritante demoiselle blonde aller devoir l'accompagner elle et barbara dans la loge. Dieu que cette Stéphanie pouvait « repousser » notre aimable Annabelle… Regardait là… Tellement idiote qu'elle en était rendue à se goinfrer de petit four comme une misérable, une véritable mouche, un cafard… Un parasite… Oui, voilà le terme exacte qu'Annabelle vint à trouver pour désigner cette gamine… Un parasite. Et ce ne son pas les explications de Barbara qui aller faire changer la donne, Stéphanie avait beau avoir eu un passif difficile, elle n'en était pas moins qu'un insipide petite sotte bonne à manger.

« Bien… hâtons nous alors, la séance ne vas pas tarder. »

Petit à petit, le grand hall vint à ce vider, les gens ce dirigeant alors vers l’amphithéâtre. Annabelle, suivit d'autres personnes privilégiés prit en compagnie de Barbara et de Stéphanie un passage menant à des escaliers, escaliers à coté duquel il y avait bien évidement un ascenseur Qu'Annabelle vint à ouvrir, laissant rentrer les deux jeunes femme avant de refermer la marche et les portes derrière elles. L’habitacle était là encore riche et luxueux, les mur de la cage étant recouvert par du velours rouge tendis que les armatures de ladite cage était quant à elles recouvertes de dorures.
Mais nos trois femmes ne purent pas vraiment prendre le temps d'admirer le décors car, bien vite, l'ascenseur vint à les emmener à l'étage menant au loges.

Le petit cortèges, menée par Annabelle vint ensuite à arriver devant une porte simple mais là encore richement ornée, porte qu'Annabelle ouvrit grace à une clés qu'elle sortit de son sac , cette loge étant un cadeau  que le propriétaire de l'Opéra avait fait à Annabelle. Une fois la porte ouverte, Annabelle laissa respectueusement passer Barbara et Stéphanie, avant de refermer derrière.
Respectueusement, Annabelle vint ensuite à poser sa main amicale sur l'épaule de Barbara, avant de lui dire.

« Désirez vous prendre place dans l'un des sièges ? Ce sont d'antique Voltaires d'origine, datant de la fin la fin du XIXe  siècle. »

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: jeudi 23 juillet 2015, 22:52:00 »
Après avoir gentiment éconduit la jeune blondes, Barbara vint une nouvelle fois apporter une réponse assez détaillée sur la question d'Annabelle… Sans toutefois montrer un quelconque signe de gène ou quoi que ce soit lors de la mention sur la Duchesse. Toutefois pour un obscure raison, Annabelle présentait que cette femme cachait quelque chose mais  elle décida d'en rester là… Enfin, jusqu'à ce que ce soit Barbara qui vienne à lui poser une question.

« Mais... Et vous ? »
« Hm ? »
« Pourquoi une telle fascination pour les tueurs en série ? »

Annabelle, en réponse à cela, émit un léger rire avant de légèrement baisser la tête en direction de son verre et ce, tout en passant son index sur le rebord dudit contenant.
Une Fascination… était ce ça que Barbara voyait au fond d'Annabelle ? En voilà une hypothèse qu'elle était intéressante… Une fascination… En y repensant bien, il était vrai qu'Annabelle ressentait une certaine passion envers ses comparses mais son instinct de prédation était plus fort, si elle venait un jour à voir la Duchesse, la femme en se verrait sûrement la tuer, comme la Duchesse chercherait à la tuer elle aussi d'ailleurs car, c'est bien connue, les araignées, quelque soit leur espèce, s’entre-tue.
Oui… Annabelle ne voyait pas les autres tueurs comme des « mouche » mais comme d'autre prédateurs, mais Annabelle, elle, ce voyait comme le sommet de cette prédation, rien ni personne ne pouvait l'égaler, dans on esprit, rien en ce monde ne pouvait la battre, elle ce voyais intouchable, comme dieu lui même.

La femme répondit donc assez rapidement à Barbara, en gardant toujours le même délicat sourire au bout des lèvres.

"Hmmm… Je ne… Je ne dirais pas que je suis fascinée par les tueurs. J'ai disont… Toujours était une femme très curieuse, sur plein de sujet et plus particulièrement la psychanalyse et l'étude de l'esprit humain, ce sont eux toujours qui m'ont toujours fascinés, oui... mais pas les tueurs en séries."

La femme marquât alors un léger temps d'arrêt, puis, calmement elle reprit.

« Savoir ce que nous somme, ce pourquoi nous faisons ce nous faisons, ce que l'on pense, ce que l'on ressent… L'esprit humain est si vaste, c'est vraiment un sujet passionnant. Jai… J'ai voulut être psychiatre, malheureusement, mon amour des arts et de la musique m'ont bien vite rappelés à eux, je n'ais donc pas pus compléter ma formation… J'en garde toutefois d'excellent souvenirs. »
« Et pour en revenir brièvement aux tueurs, je ne vais pas nier… Je m'interresse à eux. Mais c'est plus par curiosité que par fascination et disons que… Mon passé ma confronté à la démence… Et que cette dernière ma prit un être… Assez proche. »

Quelque secondes de battement filèrent, avant qu'Annabelle ne ce mette a regarder l'une des horloges qui trônait dans le salon. Puis, avec toujours un aimable sourire, la femme vint à faire un autre proposition à Barbara.

« Hum ! Mademoiselle Gordon ? J'aimerais beaucoup voir cette Pièce en votre compagnie, il s'avèrent que ce soir ma loge est vide, qu'en dite vous ? »

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: lundi 13 juillet 2015, 16:47:44 »
« Alors, dites-moi, demanda Barbara à Annabelle, comment avez-vous trouvé ma conférence ? Je dois vous avouer que je n’ai pas l’habitude de parler face à tant de gens. J’espère que je n’ai pas été trop ridicule... »

Gardant toujours un léger sourire au bout de ses lèvres, Annabelle vint alors à répondre à Barbara. Le ton était calme, posé, un brin amicale, ne laissant rien transparaître, rien d'autre que ce qu'Annabelle voulait que l'on vois d'elle.

« Ridicule ? Rassurez vous,vous ne l'avez pas était... Vos réponses étaient très pertinentes et détaillées. Je vous ais attentivement écoutée durant toute la séance. »

Sur ce point, la tueuse ne mentait pas. Elle avait effectivement écoutée la jeune femme durant toute la conférence, prenant bonne note de ses avis, ressentis et expériences. Annabelle trouvait cette Barbara très intéressante… Oui… Cette barbara cachait quelque chose, Annabelle le présentait et c'était peut être cela qui l'attirait au fond.  Quand la rousse avait parlée de La Duchesse, elle avait eu  au fond des yeux un sentiment de confusion, une infime parcelle de doute et d'amertume, quelque chose de furtif, de discret, mais qu'Annabelle avait sue déceler. Annabelle avait un bon pouvoir d'analyse, quand elle le voulait, la femme était capable de lire au fond de n'importe qui comme dans un livre ouvert. Aucun geste, aucune mimique ne lui échappait et c'est d'ailleurs en cela qu'Annabelle, par moment, pouvait être effrayante.

« J'ai était très touchée par votre récit Mme Gordon… Vraiment… Et puis, vos analyses sur les différent tueurs dont vous avez parlé était toutes très détaillée, comme pour cette Harleen Quinzel par exemple.»

Annabelle voulait voir quelque chose… Elle essaya donc d'amener le sujet sur le table afin d'entrevoir ce sentiment diffus qui c'était incrusté au fond des yeux de la rousse durant la conférence.

« J'ai lut quelque part que la Duchesse avait, comme Harleen quinzel, un certain retard émotionnelle. Je… Me souviens d'ailleurs vaguement d'un phrase qui avait était dite durant une conférence portant sur la Duchesse et qui était, je cite : « Cette femme, au-delà d'être une sinistre tueuse, est avant tout une gamine, une enfant en constante recherche d'affections. » Et en ce sens, elle me fait un peu penser à cet Mme Quinzel… Et aussi à Ed Gein, un tueur qui souffrait lui aussi d'une profonde immaturité émotionnelle. Qu'en pensez vous ?

Annabelle, en ne quittant pas barbara des yeux vint à reprendre une autre gorgée de champagne, attendant avec impatience la réactions de la jeune femme.

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: dimanche 05 juillet 2015, 22:15:03 »
Annabelle était une femme influente, son métier, son raffinement, sa culture générale, son élégance, tout ceci lui avait permis de ce forger une réputation forte ainsi qu'une belle place au sein du gratins de la société à Seikusu. Policiers, mafieux, bourgeois, banquiers, juges, avocats, Annabelle c'était au fil du temps fait un paquets de très bonnes relations cet dernière ne faisant que la renforcer d'avantage. De plus, les opinions qu'avaient ces personnes sur le cas d'Annabelle était toujours très bon, la femme prenant constamment un soin tout particulier à faire bonne figure. Personne ici bas savait quel monstre elle était et personne ne le serait jamais… C'était une Bundy, une Gacy une Lecter et ce au féminin, ce qui la rendait encore plus insoupçonnable. Au yeux de tous, Annabelle n'était qu'une humble professeur de musique, une charmante et gracieuse femme pleine de bon goût et de raffinement.
Dans l'intimité, évidement, les choses était bien différentes mais… Là encore, Annabelle était calculatrices, manipulatrices et très minutieuse, ses meurtres était de véritable œuvres d'art et un enfer pour la police. Rien… Aucune trace, aucune emprunte… Annabelle ce moquait d'eux, elle les narguait, ce jouet d'eux comme elle ce jouet de tout le monde ici. Elle ce sentait comme une déesse intouchable, une magnifique louve dans une bergerie, une être supérieur à tous… Elle n'était pas leur égal… Elle ce sentait au dessus d'eux, tous simplement.

Tout en parlant à Mr. Amate, Annabelle jeter de temps à autre quelques œillades discrètes à cette Mme Gordon, avant de finalement voir la personne qui l'avait accoster repartir, laissant la femme de nouveau seule… Enfin, pas vraiment, puisque visiblement, elle avait amenée avec elle une jeune blonde étrangement vêtue. Finalement, le banquier grassouillé qui répugnait Annabelle vint a la laisser enfin tranquille, la saluant cette fois d'un simple signe de main… Avant d'aller rejoindre le buffet. Doublant ainsi la colère intérieur d'Annabelle et le dégoût qu'elle avait pour lui. Mais une fois encore, notre sinistre tueuse n'en fit rien, elle ce contenta d'un hochement de tête polis, avant de ce retourner vers Barbara.

L'espace de quelque seconde, Annabelle vint à réfléchir au fait d’accoster ou non cette jeune femme mais… Bien vite, sa curiosité revint au galop. Cet ainsi que lentement, d'un pas calme et feutré, Annabelle s’approchât alors de son objectif.

« Hmm Bonsoir Mademoiselle Gordon... » Commençât elle a dire en saluant poliment son interlocutrice « Je me présente, Annabelle Dunkel. Nous nous sommes « rencontrées » lors de votre conférence à Tokyo… Mais peut être n'avait vous pas souvenir de moi, ce qui serait compréhensible, vous devez voir tellement de monde lors de ce genre d'événements. Enfin… Je me permet de dire « rencontrée », disons plutôt que l'ont c'est vaguement regardée. »

Le regard d'Annabelle vint ensuite à lentement dévier vers Stéphanie, qu'elle saluât plus simplement d'un hochement de tête, toujours aussi respectueux cependant… Quoi que là, le respect n'était bien qu'en surface, car pour être franc… Annabelle trouvas la tenue de la jeune blonde inapproprié, irritante et hors cadre… Mais une fois encore, elle n'en laissa rien paraître.
« Et… A qui ais je l'honneur ? » Lâchât elle alors, toujours un sourire au bouts des lèvres en regardant Stéphanie d'un air amical.

Sinistre, froide, méticuleuse et calculatrice, Annabelle était l'incarnation de la monstruosité la plus total, loin devant la terrible Duchesse qui, bien que bouchère, avait au moins une once de sentiment au fond de son cœur pourri. Annabelle, elle, elle n'avait rien… Juste un gros bloc de glace. Pour elle, les autres n'était rien, les autres n'était que des pions, des jeux, des insectes… Elle, elle était tout, tout ce que les autres ne serait jamais.
Cette barbara attirait son attention, certes, elle l’intriguait et ce pour une raison inconnue mais… Qu'en était il vraiment de ce « sentiment » ? Une chose est sur, si la belle Batgirl venait à grimper dans la toile de la Veuve noire, chacun de ses pas devra être minutieusement contrôlé, car l'incartade n'était pas permise… Et il en était de même pour les connaissance de Barbara.

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: jeudi 02 juillet 2015, 17:37:44 »
Barbara émit une fois encore un avis très précis sur la question de la jeune policière, un avis qu'Annabelle écoutât attentivement. Cette femme… Cette barbara, là… Pour une obscure raison, Annabelle pressentait en elle une double identité… Comme elle… Oui, cette belle rousse avait ce petit quelque chose au fond des yeux qui attirait Annabelle, chose qui était rarement de bonne augure d'ailleurs car, en général, quand le sinistre Veuve jetait son dévolue sur quelqu'un, là personne en question finissait par en payer de sa vie.
Suite à la tirade de cette Mademoiselle Gordon, d'autre psychiatres virent à parler, les questions ce succédèrent encore, certaines plus intéressante que d'autre et, finalement, au bout d'une bonne heure, la séance vint à ce clôturer, Annabelle ce levât alors de son siège, en levant une dernière fois les yeux vers cette Barbara, leur regard vint alors à ce croiser l'espace d'une seconde. Annabelle émit un mince sourire plutôt neutre, en saluant discrètement la femme d'un hochement de tête respectueux, puis elle suivie les autres personnes vers la sortie.



Seikusu, trois semaine plus tard, Opéra de la mains blanche. 20H30

Ce soir, Annabelle avait était conviée à l'Opéra de la Main Blanche par son propriétaire. La dite représentation portant sur l'enfer de Dante.(un sujet et une histoire qu'Annabelle aimait particulièrement) La femme était vêtue d'une magnifique robe noire très proche des robes que portait les femme durant les années 30, une belle et somptueuse robe de velours accompagnée par de longs fait de la même matière. Comme à son habitude donc, Annabelle était très élégante.
La femme fit quelque pas dans le salon, balayant du regard toutes ces personnes, avant d'être interpellée par l'un des serveur qui portait un plateau d'argent surmonté de plusieurs flûte de champagne.

« Champagne Madame ? »
« Volontiers. » Dit elle alors en prenant une flûte en hochant ensuite la tête respectueusement en signe de remerciement.

Ensuite, la femme reprit sa route, foulant d'un pas gracile le sol couvert de luxueux tapis. Tout ici transpirait le luxe, cet Opéra était tenue par une riche famille Italienne immigrée au japon depuis la fin de la seconde guerre mondial. Annabelle connaissait d'ailleurs le-dit gérant de ce luxueux Opéra, ce dernier ayant lui même envoyé l’invitation à la belle. Annabelle prit un gorgée de champagne, avant d'être une fois encore interpellée par quelqu'un, sauf que cette fois ce n'était non pas un serveur, mais le père de l'une de ses élèves.

Bonsoir Mme Dunkel !
Ho ! Bonsoir Mr. Amate Lui répondit alors Annabelle, voyant ensuite l'épouse du-dit homme se rapprocher.
Alors, comment ce passe les cours de Mazari ? elle me dit que du bien de vous, vous savez.

Annabelle s'humecta brièvement les lèvres avant d'esquisser un sourire faussement amicale.
Et bien… Oui… Mazari progresse, légèrement certes… Mais elle progresse.

C'était faux, rien que d'en parler Annabelle en avait de le poil qui s'hérissaient ! Elle haïssait cette gamine, elle haïssait cet homme trapus et rabougrie qui lui servait de père et… Nan… Ce n'était même pas de la haine, c'était plus fort que ça… C'était du mépris. Annabelle méprisait cette famille de bourgeois sans valeur, cet homme ne l'avait même pas salué de manière courtoise alors même qu'il était japonais, c'était un cafard et cette grande femme là, cette sinistre vipère au visage en pointe… Nan… En y repensant il n'y avait rien à haïr en eux, Annabelle les regardait tout simplement comme… Comme on peut regarder un insecte… Elle ne ressentait rien pour eux et en ce qui concernait leur fille, Annabelle la voyait comme une appétissante petite mouche, un futur repas autour duquel elle était en réalité entrain de tisser une toile, toile dans laquelle elle finirait par tomber… au grand damne de ces deux insupportables parents.

* Je couperait les oreilles de votre sinistre progéniture… Et je vous les enverrez en guise de compensation pour toutes les heures de souffrance auditive qu'elle ma fait subir. *

Et bien entendue, la Veuve noire viderais au préalable la pauvre jeune fille de ses organes les plus « fins ». Annabelle savait que cette petite enfant gatée n'avait pas vraiment de liberté et que, par conséquent, son corps était encore pur de toutes les saloperies que la plupart des jeunes absorbes aujourd’hui, le tabac, l'alcool et autres drogues… Nan, tous ça n'avait jamais était en contacte avec Mazari et par conséquent, Annabelle savait que les poumons, les reins, le foie et le cœur de la jeune fille étaient encore neutre et seins. Pour le reste, Annabelle aviserais car Masari était un peut maigrichonne, ses bras était fin, cependant elle avait un jolie fessier qui transpirait non pas la mauvaise graisse, mais le bon muscle, un muscle tendre tandis que ses tripes, elles, servirait à faire des cordes de violons.
Annabelle, toujours en souriant d'un air faussement bon, vint alors en plen milieux de la conversation à légèrement balayer du regard les autres personnes ce trouvant derrière le couple et, parmi une foule de personnes élégamment vêtue, elle aperçues une femme rousse en fauteuil roulant. Sans rien dire, ni même changer d'expression, elle reconnue la belle femme cultivée qu'elle avait rencontrée quelque semaine plus tôt lors de la conférence portant sur les serial killer.

« Euh… Mme Dunkel, puis je vous demander un service ? » Lachat alors l'homme avant de légèrement s'éponger le front avec un petite carré de tissue.
« Hm ? Je vous écoute Mr.Amate »
« C'est que… C'est un peu gênant… Hum ! Alors voilà, moi et ma femme nous rencontrons dernièrement quelque petits soucis financiers et… Euh… »
« Oui ? »
Voilà, nous aimerions que notre fille continue sa progression chez vous, cependant vos cours son onéreux et… C'était pour savoir si par hasard vous pourriez pas nous faire crédit… Voir cadeaux de quelque séances, Qu'en dite vous ?

Quel culot… Annabelle était tout bonnement entrain de bouillir sur place ! Mais… Encore une fois elle n'en montrait rien, la femme, toujours aussi calme hocha de la tête en ce raclant légèrement la gorge, avec toujours un air un brin amicale sur les lèvres.

Je vois… Et bien écoutait, je peut voir ce que je peu faire, d'accord.
Je vous en remercie du fond du cœur mademoiselle Dunkel, merci !
Voyons, c'est naturelle, votre fille est son apprentissage mon son précieux.

Sans le savoir, ce gros lard hideux et puant venait d’avancer la mort de sa propre fille.

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: lundi 16 mars 2015, 22:33:41 »
« Il n’existe aucun cas typique en matière de psychopathie. Je n’ai pas assez d’éléments d’informations sur cette personne pour pouvoir émettre un avis... Et je n’ai pas pour habitude de dire des choses stupides ou infondées. »

En entendant cette brève tirade, Annabelle ne put ce retenir d'esquisser un mince sourire. Cette Barbara était visiblement une femme très intéressante, son comportement était noble, respectueux et sérieux, à mille lieux de celui de cette petite journaliste qui avait prit la parole précédemment… Dieu qu'Annabelle aimerait lui dévorer le foie… A elle et à tous ses compères… Les journalistes n'étant pour Annabelle que de sombre idiots, hypocrites, hautains et stupides, d’agaçantes petites mouches venant sur les scènes de crimes et les conférences, dans le seul but de « retourner la merde ».

« Je hais les petites mouches… » s'eut elle dit alors intérieurement.

Cet alord que la jeune policière au cheveux bleu vint à reprendre la parole, reprenant le cas de Ted Bundy.

« Hum… Comme vous avez pus  le dire plus tôt, Ted Bundy n'a pas subit de traumatisme durant son enfance, toutefois, lors de sa dernière interview, l'homme parla longuement de son rapport avec la pornographie… Pensait vous que cette dernière est aussi eu une influence sur sa psyché ou bien était ce juste un mensonge ? »

La question de la jeune femme amenât dans l’amphithéâtre quelque rire vaguement étouffés, tendis que Toshijo, lui, se posa un main sur le front en soupirant brièvement.

Sérieusement ? Vous pensait que la pornographie peut être un déclencheur ? Arrêtez donc, je vous en prit ! S'exclamat alors un homme dans le fond de la pièce.
Fermez la vous… Lâchât alors toshijo, désireux de défendre son équipière. C'est tout à fait plausible… Les gens ne réagisse pas forcement pareille à certaine choses, je pense que la pornographie, sans pour autant être la cause principale du malaise de Bundy n'en reste pas moins un catalyseur…

Le regard du profiler déviât ensuite vers Barbara. L'homme remit calmement ses lunettes en place, avant de reprendre.

« Qu'en pensez vous Mme Gordon ? N'est je pas raison ? »

Toshijo  était fier et n'aimez pas quand certains psychiatres trop sur d'eux ramenait leur fraise de telle sortes, surtout face à sa collègue.

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: dimanche 22 février 2015, 11:55:05 »
Avec le temps, Annabelle c'était forgée une très bonne réputation au seins du milieu criminologique, s'entourant de bons nombre de psychiatres, juges, avocats, de policiers et de commissaire ces derniers lui ouvrant parfois... et très souvent même les portes du secret de l’instruction. Annabelle étant une professeur de musique très reconnue dans son milieu, il n'était pas rare qu'elle assiste à des concerto et à des opéras, là où toute la "haute" de Seikusu ce retrouve plus où moins, offrant ainsi à la femme, un très vaste carnet de contacts et un cercle d'amitié tout aussi grand.
La femme écoutât donc attentivement Mme Gordon d'une oreille attentive, les mains jointes sur ses jambes.Cette femme semblait connaitre cet Arlequin fou sur le bout des doigts et, c'était là quelque chose de fascinant ! Annabelle aimait connaitre, comprendre, apprendre et s'enrichir l'esprit sur tous ce qui, de prêt ou de loin, concernait la criminologie. La plupart des psychopathes de ce mondes n'avait plus de secret pour elle, Gacy, Bundy, Gein, Fish et bien d'autres... Elle savait leur passif et ce qu'ils avaient subis et fait subirent.


De son coté, en entendant l'histoire de cette Mme quinzel, Toshijo, en vint  à la conclusion que cette psychopathe faisait partis d'une caste assez peu rependus de tueurs. Les tueurs "émotifs". Des malades qui, bien qu'étant conscient de leurs actes, le faisait par une sorte d'"amour" ou par besoin d'affections, affections qu'ils trouvaient en tuant d'autres personnes, soi pour plaire à quelqu'un, comme cette "pauvre" Harley ou, comme la duchesse, pour ressentir un semblant d'affections l'espace de quelques minutes... avant que ses pulsions de ressorte trop. La population japonaise voyait la Duchesse comme un monstre, une folle froide qui tuait sans ressentir aucune émotions. Cependant, la plupart des personnes dans cette salles savaient plus ou moins que Lucrezia était un cas très "nuancés" en plus d'être une femme violente au pulsions sexuelles morbides, ce qui, dans le milieu de meurtre en série était très rare, Lucrezia était habitée par une tristesse sans fin, un manque affectif profond et un besoin constant d'amour et de reconnaissance. Toshijo et beaucoup d'autres personnes, voyant alors Lucrezia une gamine, une gamine qui, quand elle ne revêt pas son costume de tueuse sordide, pleure durant des heures dans son coin, ce lamentant sur son sort et sur la mort de sa mère. D'ailleurs, la nymphomanie extrême de la Duchesse était en partie due à ce besoin d'affection... Et aussi surement au viols subis durant son enfance. Toutefois, malgré ses constatations, les spécialistes ignoraient quel était précisément, son point de rupture et de quoi souffrait réellement la Duchesse, tant son cas était unique.

Finalement, après un long monologue sur cette Mme Quinzel, Barbara vint à faire une parenthèse sur la justice et sur les justiciers, disant alors qu'il était un "mal" nécessaire au bon fonctionnement d'une justice décadente et malheureusement gangrenée par le crime, une gangrène qui était parfois "voulue" et parfaitement connue des force de polices, à Seikusu comme dans beaucoup d'autres villes dans le monde, la corruption et les flics ripoux étant bel et bien existant. Narinko Mayura, la femme au cheveux bleu qui avait d'ailleurs prit la parole plus tôt, était intimement du même avis que Barbara, pour elle, ses justiciers, bien qu'étant  de simple citoyens, était des gens bon et même bien meilleurs que certain policier, car, mine de rien, pour l'heure, Narinko n'avais pas relevée une seule infractions grave de la part de ses justiciers, aucune bavure et aucun meurtres, en règles générale, les malfrat étaient seulement assommés ou, n'avait dans le pire des cas, que des fractures, alors que des fois, la police elle, ce voyait être confronté à des bavure grave, tel que des homicides dont les origines était parfois très très obscure.

Bien entendue, la réponse de Barbara amena une fois de plus une vague de protestations dans l’amphithéâtre, de la part des policiers plus particulièrement et... Encore une fois, le professeur Takashi tenta de calmer le débats.

Du calme ! de calme !...

L'homme soupira discrètement, lançant un bref regard à barbara... puis...

Hmmm... d'accord. j'ai ma réponse... clôtura Annabelle en hochant poliment de la tête.
Hm !... Mme Gordon. S'exclama Alors une journaliste, un petit carnet à la mains. Que pensait vous de la Veuve noire ? Quel est votre avis sur cet énigmatique tueur au mode opératoire aussi fantasque qu'osé ? Pensait vous que la police doit s'attendre à plus d'audace encore de sa part ?

Toshijo jeta une bref œillade à la jeune femme, avant de soupirer en ce frottant le front.... foutue journalistes.
De son coté, en entendant la demande émanant de la journaliste, Annabelle tendis l'oreille, tout en gardant un air neutre. Attendant de voir ce que cette femme aller dire sur cette Veuve noire...

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 22 février 2015, 09:47:54 »
et puis walker ça fait très américain  ;D

09h47

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: samedi 21 février 2015, 11:33:19 »
Toshijo écouta attentivement son interlocutrice qui, semble-t'il, ne manquait pas de culot. Au Japon la peine de morts était la seule réponse "valable" et envisageable pour des monstres comme ce Joker ou quelque psychopathe que ce soit. Mais au fond, la société Japonaise avait elle vraiment raison d'être aussi radicale envers ces tueurs ? Pour Toshijo, oui... Cela ne faisait aucun doute, la justice ce devait d'être intransigeante envers les tueurs en séries de la trempe de Lucrezia. Son cas demeurait un véritable fiasco juridique qui, encore à l'heure actuelle faisait polémique, ce qui renforçait bien évidemment les avis pour la peine de mort dans la société japonaise.
Il est vrai qu'encore à l'heure actuel les chercheurs et spécialistes cherchaient en vain des réponses au pourquoi du comment une personne à priorie "saine" peut à ce point devenir une bête sinistre capable des pire atrocités. Cependant, Toshijo savait plus ou moins que cela tenait de l'utopie, l'esprit humain étant si complexe qu'il est impossible de savoir concrètement comment un tueur né. Evidemment, il y a des signes avant coureur, comme le fait qu'un enfant dissèque ou torture de pauvres animaux mais... Cela n'est encore à l'heure actuelle pas assez suffisant pour savoir ce qui ce passe dans leur tête.

Les comprendre... Vous savez... Comprendre ce genre de malade est difficile Mme. Gordon, tout simplement parce qu’il n'y a pas grand chose a comprendre...
L'homme se frotta brièvement le front puis...
Vous parliez du joker en début de séance... pourrait ont avoir votre avis sur la femme qui l'accompagne ? Cette, Harley Quinn... Quel est votre diagnostique sur cette femme qui, bien qu'en étant une psychiatre de renoms, à préférée suivre un fou et commettre des crimes odieux.

Le jeune homme ce tut alors quelque secondes, avant de reprendre, toujours aussi calmement.

Vous êtes originaire des état-unis nan ? Vous connaissez surement cette femme et... J'aimerais beaucoup comprendre pourquoi elle est devenue ainsi, alors, qu'à priori, elle semblait être promise à un grand avenir au sein du milieu psychiatrique et, je ne parle pas en tant que "patiente". Il y a quelque mois de cela, Harley quinn a était aperçue braquant une banque accompagnée par une mystérieuse femme au cheveux vert et qui ressemblait étrangement à votre criminel clownesque... étrange nan ?

Le ton était très légèrement sarcastique et, toujours aussi froid, Toshijo vint encore à prendre la parole.

Dite moi... Cette femme et ce joker... Ils viennent de la même ville que vous n'est ce pas ? Gotham city... Comme vous et cette femme, il y as aussi nombre de justicier et, plus précisément, des justicières qui sont venue à seikusu... comme ci notre bien aimée petite ville attirer tout les rebuts de votre satané ville... Car je n'ais pas cité le Pingouin ou encore cette Pamela Isley qui, celons les dire, ce serait assagie. Je sais que je m'écarte un peu du sujet mais... Que pensait vous de ses hommes et de ses femmes qui mettent en danger leur propre vie afin de capturer de dangereux psychopathes qui, d'une manière ou d'une autre, finiront par s'échapper et recommencerons leurs actes abjectes.

Cette phrase eut alors pour effet de faire parler toute l’assemblé, créant alors un brouhaha dans amphithéâtre, brouhaha bien vite stoppé par le professeur Takashi Shihiro.

Calmez vous, calmez vous, je demande le calme !...
Bon... Mr. Sankyuu, votre intervention est certes très intéressante mais... comme vous l'avais si justement constaté, elle s'écarte du sujet de base.


Moi je trouve cela très interressant... Lâchât alors une femme vêtue d'un tailleur ce trouvant au premier rang.
Ces... soit disant "justiciers", sont eux aussi au cœur du débats. Savoir que les autorité policières ont "besoins" ou plutôt, ce font "doubler" par des soit disant "super-héros" et quelque chose qui, en tant que citoyenne, m'interpelle. Est e que je peut à l'heure actuelle me sentir en sécurité ? La police est elle assez compétente ? Que je sache, La Duchesse à mis bien du temps avant d'être arrêtée et, jusqu'à preuve du contraire, son cadavre n'a toujours pas était retrouvé, sans compter que, ce dernier mois, trois des dizaines meurtres répertoriés à seikusu portaient son modus operandi et sa signature.

Annabelle, regarda brièvement Barbara, avant d'entendre derrière elle, plusieurs personnes ce remettre à parler en même temps, créant une fois de plus un brouhaha.
Le ton était doucement entrain de monter dans amphithéâtre. Encore une fois le professeur Takashi tachât de calmer le jeu, avant de ce mettre à s'essuyer le front à l'aide d'un petit mouchoir qu'il avait consentement dans l'une de ses poche.

Bon... Mme Gordon... Quel est votre avis sur tous ceci ? Brièvement, faite nous part de votre points de vue sur ses justiciers.

Bien que le débat ais légèrement dévié, Takashi comptait bien vite mettre fin au sujet sensible que représentait ces justicier masqués qui hantait seikusu la nuit.

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: dimanche 04 janvier 2015, 20:09:57 »
Suite à l'intervention de la femme au cheveux bleuâtres, cette Mme Gordon se remise à parler. Elle exprima une fois encore son point de vue vis à vis de différents tueurs et plus particulièrement de Ted bundy. Ce tueur ressemblait étrangement à Annabelle, du fait de son "masque" de normalité et de sa vie social très intégrée. Ted était un homme charismatique, charmant et hors de tout soupçons, toutefois, il c'était créer en parallèle, une vie faite de meurtres sordides et d'atrocités innommable, au même titre qu'une dizaine d'autres tueurs en série... Comme Annabelle... Annabelle qui, de son regard froid et un brin supérieur, observait la scène avec intérêt. Après sa longue tirade sur Théodore Bundy, Barbara vint à poser une autre question à l'assemblé.
« Pensez-vous qu’il soit possible de guérir un tueur en série ? »
Cette simple question fit réagir bon nombre de personne dans la salle car, là encore, elle était sujette à de vive controverse.
Peut on réellement soigner la sociopathie ? Pour Annabelle, la réponse était limpide... Les psychopathe étaient condamnés à revivre leurs fantasmes et leurs désirs à l'infinie, et ceux, malgré toute la bonne volonté du monde. Les tueurs en séries sont des êtres froids et monstrueux... Elle ? Elle avait beau être une tueuse cruelle et narcissique, elle se voyait plus comme une déesse, une créature supérieur, dominant les autres, comme une araignée perchée sur sa toile. Le femme étaient consciente de sa folie et, elle savait pertinemment qu'elle ne pourrait jamais cesser de tuer et puis, il suffisait de voir comment la Duchesse, une fois de retour de l'asile, c'était mise à devenir plus bouchère que ce cher Jack l'éventreur. Nan... Les tueurs psychopathe ne cesserons jamais leur méfait, ils y éprouve bien trop de plaisir, de jouissance ! Lucrezia, Ted bundy, Edmund Kemper, John.W.Gacy et bien d'autres, sont des monstres condamnés à vivre avec leurs sinistres fantasmes mortifères, mêlant les plus atroce paraphilie et dérangement psychiatrique humains.

"Je ne me sens coupable de rien... Je plains ceux qui se sentent coupables... Je suis un salopard sans pitié" Lâchât une jeune un jeune homme, vêtue d'un costume noir et portant sur le nez des lunettes à monture en plastique noir. Voilà les mots de Ted Bundy... Voilà le genre de phrase que peut sortir un monstre comme il en existe tant d'autre dans ce monde.

Le jeune homme, qui ce trouvait d'ailleurs à peine à quelque mètres de la femme au cheveux bleu, remit du bout de son index, sa paire de lunette en place, avant de reprendre sur un ton calme et quelque peut monocorde.

Quand on entend ce genre d'ignominies, je vous assure qu'il n'est pas très difficile de comprendre à quel degrés de folie a à faire la personne en face de vous... Sérieusement, ceux qui pense que ce genre de psychopathe peuvent être soignés, sont bien idiot ou alors ils sont aussi fous que ces tueurs qui défraye la chronique. Encore une fois, nous allons revenir à la Duchesse... Elle a commis sept meurtres durant la période où elle travaillait encore, soit, avant son arrestation... Une fois cette dernière mise dans un Asile, elle c'est enfuit... Et, en plus de ce remettre à tuer, elle l'à fait de manière plus atroce et violente que ses sept première victimes... Franchement, quand on vois ce genre de choses, il n'y a aucun doute sur le "non retour" de l'esprit de ses tueurs insipide et dégueulasse, que la presse s’empresse de glorifier à chaque nouvelle victime.

L'homme marquât une pose, avant de finalement reprendre.

Edmund Kemper l'a lui même dit... S'il ne c'était pas rendu à la police... il aurait recommencé... encore et encore... Les tueurs psychopathes ne peuvent tout simplement pas s'arrêter de tuer, ce n'est pas une maladie... Mais juste une malformation psychiatrique, une déformation des sentiment et de la perception des choses, qui ne peut malheureusement pas être soigné.... Vous savez Mme Gordon... J'ai rencontré plus d'une vingtaine de cas et je vous assure qu'aucun d'eux ne peut être soignés... Leurs pulsions et fantasme sont bien trop fort, c'est comme avec les toxicomane accro au drogues dures, à l’exceptions prêt qu'il n'existe aucune méthode de sevrage et aucun traitement à cette "dépendance" morbide et cruelle.

Le jeune homme ce prénommait Toshijo Sankyuu, un talentueux profiler ayant travaillé sur pas mal d'affaires au japon, tel que l'affaire concernant  la Duchesse ou encore cette insaisissable tueuse à la tronçonneuse, surnommée "Chainsaw" ou "Cops Killer". Dernièrement, il était en charge de l'affaire portant sur la Veuve noire, un ou une tueuse cannibale, particulièrement narcissique. L'affaite piétinait et il était venue à cette conférence, afin de d'y trouver des réponse, susceptible de faire avancer l'affaire.

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Les alentours de la ville / Re : Japan Psycho [Annabelle Dunkel]
« le: dimanche 21 décembre 2014, 15:26:23 »
"...Qu’est-ce qui peut motiver une personne à vouloir ainsi faire souffrir les autres ? "

Annabelle étais venus à cette conférence, comme à tant d'autre auparavant afin d'assouvir son éternelle fascination envers ses "gens" qui défraye la chronique, ces tueurs de sang froid, ses monstre infâme portant sur eux le masque de cet homme, cette femme, ce voisin ou encore de ce collègue de travaille que vous apprécier tant. Annabelle avait eu vent de la venue de cette Barbara Gordon, une victime d'un homme assez connue aux Amériques, un certain "joker" une bête de foire répandant le chaos au grès de ses envies. La femme se présentât à l'auditorium, faisant ensuite part de son histoire e, l’illustrant de photos d'archive la représentant pendant son agression. Une fois son petit discours terminé, la femme vint à poser une question à son auditoire : Qu'est-ce qui peut motiver une personne à vouloir ainsi répandre la souffrance ?

Il n'y avait malheureusement aucune réponse concrète à cette question... Les facteurs étant si vaste et la psyché de chaque être humain étant tellement différente d'un individus à l'autre, qu'il n'y avait pas vraiment de réponse fiable à donner. Toutefois, le débat était ouvert. Dans un premier temps, plusieurs réponses et questions furent émises de part et d'autre. Il y avait dans la salle, plusieurs psychiatres, policiers, juge et quelque particuliers, tel qu'Annabelle. Cette dernièr e écoutât attentivement les échanges portant sur le Joker et encore sur Tsutomu Miyazaki dont Le cannibalisme fut à plusieurs reprise évoquée. Toutefois, comme on aurais put s'y attendre, aucune vrai réponse n'a put être mis en place.

Hum... Permettait à mon humble personne d'émettre une hypothèse, Mme Gordon. Dit alors une femme, en levant légèrement sa main droite.
Je pense ne pas être la seule à penser que l'enfance est formatrice... Une enfance tortueuse et bien souvent la "base" d'un esprit malade. Nous ne savons malheureusement que peut de chose de l'enfance de Tsutomu et je ne parle même pas de celle de ce "joker... Toutefois, nous connaissons celle d'autres tueurs monstrueux, telle que John Wayne Gacy, Edmund Kemper ou encore celle de Lucrezia H.P.Nietzshe, dont le cas est encore à l'heure actuelle sujet à controverse, du fait de la barbarie de ses actes... N'est je pas raison ?

Le Duchesse... Comment dans l'esprit d'une aussi jolie jeune femme, il pouvait y avoir autant de cruauté et de barbarie. Une barbarie sale et libidineuse, dont seul les tueurs masculins étaient jusqu'à lors capable de ressentir. Cet en ça que Lucrezia était d'ailleurs si singulière... Le fait qu'elle soit capable de ressentir une irrépressible envie de sexe et de meurtre morbide, alors même qu'il était dit que les femmes était incapable de tuer pour de telle raisons, ou du moins, avec autant de violence. Lucrezia faisant alors office d’exceptions, confirment la règle, cependant, encore à l'heure actuelle, personne ne savait de quoi souffrait réellement cette tueuse dont les médias et la police tachait difficilement d'étouffer les dernier meurtres, afin de ne pas perdre la face devant la population... Car, après tout, ne devait elle pas être morte ?

La maltraitance, le rejet, la solitude...L'enfance est formatrice, il suffit qu'il y ais une "alchimie malsaine" entre plusieurs composantes, pour donner naissance à un tueur sériel, cependant, chaque tueurs à ses motivations et son propre esprit... Comme chaque personne dans cet amphithéâtre d'ailleurs, alors... D'un cotés, il y cet hypothèse qu'une enfance dure soit la "base" de ce mal et de l'autre cotés, il y a cette océans de possibilités qui fait qu'il est impossible de savoir concrètement qu'est ce qui, un beau jour, donne naissance à un monstrueux violeur d'enfant ou à un fou psychotique en recherche de chaos. Je ne vous parle même pas de tous ce qui peut venir ensuite, au fil du temps... Que ce soit les drogues, un accident impliquant un traumatisme physique à la tête ou un traumatisme psychique... L'esprit humains est ci vaste qu'en fin de compte, chercher la véritable cause de la naissance de tout ses monstres, revient à chercher une aiguilles dans une motte de foins... Après, ce n'est que mon humble avis... Je ne suis nullement psychiatre.

Un léger silence s'installa alors dans l’amphithéâtre, la femme semblait avoir trouvé une réponse... Sans en avoir réellement trouvée une... Au fond, rien en ce monde ne pouvait clairement définir ce qui poussait un être humains à devenir un monstre froid et violent... Pas même les tueurs. Annabelle, qui ce trouvait au premier rang, avait attentivement écoutées les dire de cette femme, attendant le bon moment pour parler à son tour, même ci, la plupart du temps, elle venait ici en temps que simple auditrice, ce contentant simplement d'écouter.

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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: dimanche 21 décembre 2014, 11:21:13 »
https://www.youtube.com/watch?v=w5LZ8YErl2M

quel clip... Étrange ?

Bref ! Cette musique déchire et je sent que je vais adorer cet album <3

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Prélude / Re : Along came a Black Widow... [Koya]
« le: lundi 01 décembre 2014, 19:59:47 »
toi... reste loin de moi avec ta tronçonneuse, sinon, je me sentirais dans l'obligation de te corriger d'une manière que tu n'aimerais pas connaitre.

mais merci quand même pour la bienvenue.

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