Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - JigSex

Pages: [1] 2
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Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: lundi 08 mai 2017, 22:44:19 »
Sa réponse semble claire : elle ne souhaite pas suivre mes conseils. Tant pis, sa technique ne semble pas inefficace de toutes façons. Elle se fait violence pour faire les bons mouvements. C’est parfait, elle progresse à vue d’œil. Je vois des larmes couler douloureusement sur son visage. Ça lui est donc si pénible que ça ? J’en suis encore plus excitée de ses efforts. D’autant qu’ils portent leurs fruits : Ateyu finit enfin par lui jouir dans la bouche une deuxième fois. Elle semblait s’y être moins préparé, au vue de sa réaction brutale. Je coupe aussitôt le chronomètre :

14:38

Elle semble en avoir reçu davantage dans la bouche cette fois-ci. On dirait même qu’elle en a avalé une partie. Quelle dommage qu’elle se force à vomir pour le recracher, ça n’est pas toxique pourtant… Voilà qu’elle recommence à le gifler et l’insulter en français. Je souris en pensant à la suite. Si elle pense se défouler maintenant, elle risque de l’apprécier.

Je… J’veux sortir d’ici… Putain, laisse-moi sortir, SALOPE ! Je veux plus jouer à tes jeux pervers de dingue, J’VEUX SORTIR !!

Je laisse quelques secondes de silence s’installer, savourant sa victoire, avant de prendre le micro pour lui répondre :

C’était sublime, Amélie. Aujourd’hui tu as su te surpasser, et comme promis, je vais te rendre ta liberté. Mais avant ça, j’ai un cadeau à te faire.

Je presse le bouton que j’attendais de presser depuis qu’elle est rentrée ici. Un morceau du carrelage se replie sur lui même non loin du centre de la salle, pour laisser sortir du sol une grande table. Celle-ci était recouverte d’ustensiles en tout genres : cordes, chaînes, lames, pinces et pointes de toutes tailles se confondaient en son centre. Sur les côtés, quelques outils moins communs : des pinces électriques reliées à des batteries à intensité réglables, des fioles avec écrit dans toutes les langues et symboles possible dessus qu’il s’agissait d’acide, Ainsi qu’une petite pilule blanche posé sur un présentoir rose, dans un coin de la table.

Ateyu semble bouger la tête, comme pour chercher à comprendre ce qui se passe. Moi qui lui avait dit qu’il aurait de toutes façons le droit de la violer à la fin, peu importe la façon dont ça se terminait… Il semblerait que la fin soit moins douce pour lui que ce qu’il s’était imaginé.

Tu vois la petite pilule à droite ? C’est un somnifère. Je ne peux pas te laisser remonter jusqu’à moi, donc je vais te demander de le prendre pour pouvoir t’emmener dans un lieu sûr à l’extérieur. Mais avant cela, voici mon cadeau : tu vois l’homme attaché en face de toi, que tu as brillamment sucé à plusieurs reprises, et qui désirais te violer ? Et bien je te l’offre ma puce… Régale-toi autant que tu veux avec ce que tu as à ta disposition.

"Ma puce"... Ça m'est venu comme ça. Mais peu importe, ce qui va suivre sera probablement bien plus excitant que tout ce à quoi j'ai pu assister jusqu'à maintenant. Ateyu, qui a tout entendu, gémit et semble vouloir se tordre dans tous les sens. Inutile, tes liens sont solides. Et encore, il n'a pas pu assister à l'exhibition des outils qu'Amélie a maintenant à disposition. Elle peut toujours retirer ses bandeaux, cela dit... Mais à elle de voir si elle préfère ou non qu'il puisse la voir faire ou s'exprimer. C'est son moment. Je ne compte même pas l'encourager ou la conseiller.

Je lâche le micro, et attend. Je tremble d’excitation tellement j'ai attendu ce moment. J’espère qu'elle va expulser toute sa rage envers ce qui lui est arrivé ce soir, et peut-être même dans sa vie, sur ce pervers qu'est Ateyu. Et à voir comme elle a semblé avoir détesté ce qu'elle a subi juste avant, je ne m'attend pas à être déçue.

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Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: samedi 06 mai 2017, 18:55:47 »
Je continue de regarder la scène. Elle hésite... C'est bien d'hésiter. Ça prouve qu'elle est toujours capable de penser. Mais elle ne peut continuer de le faire indéfiniment. L'horloge continue d'avancer, sans se soucier de ses hésitations, réduisant à chaque seconde ses chances de s'en sortir. Plus d'un quart du temps imparti est écoulé, et elle n'avait toujours pas commencé.

A voir son regard, je sais très bien ce qu'elle est en train de faire. Elle fait exactement la même chose que moi : elle essaie de se convaincre qu'elle n'a pas le choix. Je la laisse faire. Je vois mal ce que je pourrais dire qu'elle ne sait pas déjà qui pourrait l'encourager de toutes façons. Et d'ailleurs, son auto-persuasion semble fonctionner : elle recommence enfin à le masturber. C'est mou ça, elle n'arrivera à rien de la sorte. Et à voir comment réagis Ateyu, elle ne devrait pas tarder à le comprendre.

Elle hurle quelque chose. On dirait un mélange d'anglais et de français, mais c'était clairement des insultes. J'ai presque envie de l'encourager à recommencer. Après-tout, si ça peut la motiver... Ça à même l'air de plaire à certains d'ailleurs : ses coups et ses insultes venaient de rendre le sexe dont elle devait s'occuper bien dur et bien raide. Elle finit enfin par le prendre en bouche. Je pousse un soupir de soulagement quand je la vois se résoudre à le faire : Ateyu ne sait tout simplement pas résister à une fellation, je l'ai constaté moi-même à plusieurs reprises les jours précédents. Et c'est ce qu'il fallait absolument pour cette épreuve, le but n'étant absolument pas qu'elle puisse y échouer.

Quelques minutes passent... Elle semble si dégoûtée, si effrayée... C'est parfait. C'est exactement ce que j'espérais d'elle : qu'elle se force, sans y prendre du plaisir. Si elle ne se force pas, comment pourrait-elle progresser ? Le sexe dont elle s'occupe reste bien dur, il adore ça. Presque trop d'ailleurs : à ce rythme, il ne va pas tarder à se relâcher... C'est le but poursuivi, mais j'aurais bien aimé qu'elle se diversifie un peu dans ses techniques.

16:30

Ça lui ferait sûrement plaisir de réussir à la moitié du temps imparti restant, mais ça ne serait pas ce qu'il y a de mieux pour elle. Je prends le micro, voulant la pousser à s'ouvrir davantage.

C'est très bien Amélie... Continue comme ça, et je t'assure que tu sortiras victorieuse. Mais si tu veux accélérer encore les choses, je t'invite à regarder les bandeaux qu'il a sur les yeux et sur la bouche. Retirer l'un d'entre eux ou même les deux peut t'aider : le laisser te voir ou t'insulter ne l'aidera pas du tout à se retenir.

C'était la stricte vérité. Restait encore à savoir si elle en avait l'envie et la capacité. Après tout, elle n'en avait absolument pas besoin pour réussir, et je ne l'ai même pas caché.

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Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: lundi 01 mai 2017, 16:30:44 »
J'observe attentivement et silencieusement la scène. Elle semble terrorisée par la nouvelle... Comment ne pas l'être ? Elle hésite. Elle reste immobile, pensive... À quoi peut-elle bien penser ? Sans doute se demande-t-elle si elle peut me faire confiance... Ou si ça vaut vraiment le coup d'essayer ? Bien sûr que ça vaut le coup, c'est ça ou le viol voyons.

Elle regarde autour d'elle. Non, il n'y a rien qui puisse te sauver ici... La seule chose qui puisse te sauver est de suivre mes instructions. J'ai l'impression qu'Ateyu sourit sous son bâillon. Il est persuadé qu'il finira par la violer. Je reste persuadée du contraire... Je suis certaine que cette petite a plus de réserves qu'elle en à l'air. Bien que je commence à en douter un peu, à voir la façon si repoussée dont elle s'approche de lavi verge à nouveau... Elle vient de le faire, n'est-ce pas plus facile à présent ?

Putain...

Je regarde sur l'un de mes écrans qui affiche son visage en gros plan. Elle semble larmoyante... J'en ai presque de la peine pour elle. Peut-être a-t-elle besoin de plus d'encouragement ?

25:00

Il faut qu'elle commence... Si elle y met autant de coeur, elle n'arrivera jamais à le faire jouir en si peu de temps... Échouer ? La livrer nue à Ateyu ? Non... Je ne me le pardonnerai jamais... Elle ne peut pas échouer. Je reprends le micro et déglutit, avant de parler d'une voix douce malgré sa déformation :


Amélie, reste calme... Je sais que tu peux difficilement avoir confiance en moi, mais tu le dois, car c'est là ta seule option. Si tu échoues, les rôles seront échangés et ce type pourra faire ce qu'il veut de toi... Tu ne voudrais pas de ça tout de même ?

Je marque une pause. Je veux qu'elle visualise la scène... Qu'elle soit prête à tout pour l'éviter.

Maintenant courage ma chérie, je sais que tu en es capable, sinon je ne t'aurais pas fait venir ici. Je te promets que ce sera là ta dernière épreuve. Après, tu pourras retrouver ta liberté, et tu auras même droit à une belle récompense.

J'hésite un instant. Après tout ce qu'elle vient de vivre, peut-être penses-t-elle que sa récompense sera en fait une autre épreuve ? Je me dois de la rassurer :

Ta récompense sera facultative ma chérie, si tu n'en veux pas, je ne te forcerai pas... Mais crois-moi, je suis certaine que tu vas l'adorer... Maintenant reprends ton souffle et finis-en avec lui.

Je recoupe le micro et me réinstalle confortablement dans mon siège. Elle va réussir... Elle doit réussir.

4
Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: mercredi 12 novembre 2014, 23:18:03 »
Elle l'a fait. Je la voix bondir en arrière de surprise. Bien que le gros de l'éjaculation ne coule sur la verge d'Ateyu, Amélie en recrache une petite quantité, preuve qu'elle a tout de même honoré ma demande jusqu'au bout.

Elle se met à frapper le sexe ramollit d'Ateyu, en hurlant je ne sais quoi en français. Souriante, je réactive le micro, m'apprêtant à reprendre la dictée de ses devoirs. Mais je veux la laisser parler la première. Elle va forcément me demander de la faire sortir à présent. C'est précisément ce qu'elle fait, après avoir expulsé une partie de sa colère, en parlant à la pièce :

Hey ! J’ai fait jouir ce fils de pute, j’ai réussi votre petit jeu ! Laissez-moi me barrer, maintenant !

La laisser partir... J'y songe un instant. C'est vrai qu'elle le mériterait. Mais j'avais prévu autre chose pour elle. Et je dois m'y tenir.
J'en ai presque de la peine pour elle lorsque je vois ses yeux larmoyants alors que je reprends la parole pour lui annoncer la suite :

Tu t'es très bien débrouillée Amélie. Aujourd'hui tu t'es prouvée à toi-même que tu étais capable de lutter contre tes pulsions. C'est une excellente chose.

J'avale ma salive avant de lui annoncer les règles de la seconde épreuve :

Malheureusement, ce n'était que la première étape de ta libération. Tu vas maintenant devoir passer la deuxième. Rassure-toi, c'est la dernière, et elle est très proche de celle que tu viens de subir.
Ton rôle sera simplement de recommencer exactement la même chose. La difficulté en plus sera bien évidemment de l'exciter suffisamment, puisqu'il vient de se vider. Mais pour cela, tu as le droit si tu veux de lui enlever ses baillons. Le laisser te voir ou te parler peut l'aider à s'exciter, à toi de voir.

Je règle la minuterie, et la lance à nouveau.

30:00

Selon moi, ça devrait être suffisant pour lui laisser le temps de l'exciter, de le faire jouir... Mais surtout d'encaisser la nouvelle.

Courage Amélie... N'oublie pas ce qui arrivera si tu échoue. Oh, et n'oublie pas non plus que tu pourras prendre ta revanche avec ta récompense.

Je rebascule en avant pour mieux observer sa réaction sur les écrans. De toutes façons, je suis sûre au fond de moi qu'elle réussira.

5
Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: mardi 04 novembre 2014, 21:06:56 »
Je coupe le micro et approche mon visage des écrans, attentive à ses moindres mouvements. Elle se relève lentement. Elle semble terrorisée... Et pourtant elle marche d'un pas hésitant vers Ateyu. Brave petite, elle tente de dominer sa peur... La plus grande des formes de courages. J'aimerais réactiver le micro pour lui dire que je suis fière d'elle, mais j'ai peur de la déconcentrer... Autant la laisser faire.

4:30

Elle fixe maintenant le sexe d'Ateyu. Celui-ci est on ne peut plus banal, d'une taille commune, et salement poilu. Pourtant elle en est réellement effrayée. Je le vois dans son expression, dans ses tremblements, et même dans les paroles qu'elle laisse malgré elle échapper :

Putain, putain, putain...

Les secondes défilent. Elle semble paralysée. Je ne veux pas qu'elle perde... Au fond de moi, je sais qu'elle réussira, elle en a forcément les capacités... Elle doit juste le réaliser. Je meurs d'envie de l'encourager, mais je dois me l'interdire. Je chuchote donc seule dans ma salle de contrôle, les yeux rivés sur son visage :

Allez ma puce... Fais-le... Ce sera rapide...

Elle ne bougeait plus, comme si le temps s'était arrêté pour elle. Mais il ne l'était pas du tout. Il filait rapidement. Alors que son visage est maintenant immobile depuis presque une minute, elle murmure d'une voix à peine audible :

Non...

Elle vient de dire ça comme si elle répondait à quelqu'un... Ou à une idée. Je souris, pensant savoir à quoi elle pense. Elle sait pertinemment ce qui l'attend si elle échoue, et c'est à cela qu'elle répond "non". A la façon dont elle pose enfin ses mains sur les jambes de sa cible, elle a repris un minimum de confiance en elle.

3:00

Les battements de mon cœur s'accélèrent et ceux de mes paupières s'arrêtent lorsque ses doigts effleurent enfin la verge. Ateyu semble se crisper. J'ai déjà constaté par moi-même qu'il est du genre à jouir très vite, mais j'espère quand même qu'il va tenir plus que ça. A force de s'agiter, il heurte le nez de la pauvre fille, ce qui nous fait grimacer toutes les deux.

2:30

Elle crie quelque chose en français, avant de reprendre en main ce sexe qui l'a énervée. Enfin le moment tant attendu... Elle ferme les yeux et pose ses lèvres sur le gland dressé vers elle, l'air écœurée.

Courage ma puce... Ce ne sera pas long...

2:00

Ateyu ne bouge pas. Sans doute qu'il souhaite au fond de lui qu'elle échoue. En plus il n'a jamais été du type soumis, préférant être celui qui tient les menottes que celui qui les porte. Mais je n'y prête que peu d'importance ; ce que je regarde, c'est Amélie et rien d'autre. L'idée qu'il s'agit peut-être de sa toute première fellation me fait frissonner.

Sans m'en rendre compte, j'étais en train de lui parler comme si j'étais juste à côté :

C'est bien... Comme ça... Il va bientôt craquer... Je suis fière de ton courage... Tu progresses à vue d'œil Amélie...

1:30

Je le vois se crisper davantage. Sa tête semble s'agiter. Comprenant en souriant à pleines dents ce qui va maintenant inévitablement arriver, je presse le bouton d'arrêt du compteur, déclarant la victoire d'Amélie.

1:18

Il jouit !

6
Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: mardi 14 octobre 2014, 19:15:53 »
Alors que je lui décrivais ce qui l'attendait, elle semblait s'être lentement calmée. Lorsqu'elle reprend la parole, sa voix s'est abaissée, presque calmée :

Tu poses une question, mais je ne crois pas avoir le choix... Sauf si je veux crever de froid en étant attachée comme une saucisse dans cet entrepôt glauque... Dis-moi ce que tu veux de moi, qui que tu sois !


Un temps de silence s'écoule, pendant lequel je reste stupéfaite. Cette gamine me plait de plus en plus. Je craignais d'avoir affaire à une enfant peureuse et pleurnicharde, redoutant par-dessus tout qu'elle ne souhaite même pas essayer mon épreuve, et voilà qu'elle me fait face avec courage et détermination ! Quelle chance j'ai de l'avoir comme première victime !

Bien Amélie... Très bien... Garde cet état d'esprit et tout ira très bien...

Je me lèche les babines avant de reprendre la parole. Ateyu bande comme un âne à l'idée de commencer, et je dois avouer que mon corps semble réclamer la suite aussi. Doucement, mes mains se posent sur mes cuisses, et je pose enfin les règles de mon jeu :

Pour l'instant tu ne peux pas le voir, mais il y a un homme attaché de la même sorte que toi juste en face de toi. La différence est qu'il est entièrement nu, hormis un bandeau sur ses yeux et un sur sa bouche. Lorsque la partie commencera, tes entraves s'ouvriront, te laissant te relever, mais pas les siennes.

Le grand bouton rouge qui allait déclencher le mécanisme est juste en face de moi, situé au centre de mon panneau de contrôle. J'éprouve un immense besoin de le presser, mais je parviens à résister 30 secondes de plus.

Voici ta tâche : lorsque tu seras libérée, un compteur démarrera. Il est réglé sur 5 minutes. Si pendant ces 5 minutes, tu ne seras pas parvenu à faire jouir cet homme avec ta délicate bouche, un gaz soporifique se répandra dans la pièce, et tu te réveilleras pour être offerte en tant que jouet sexuel. Tu es libre de t'y prendre comme tu veux pour lui plaire, même lui retirer ses bandeaux si tu veux, mais il doit absolument jouir dans ta bouche.

N'y tenant plus, je frappe le bouton, ouvrant ses liens et faisant apparaitre sur un écran visible en hauteur dans sa salle un compteur de 5 minutes en chiffres digitaux qui commence à défiler.

Je m'affale sur mon fauteuil, les yeux rivés sur mes écrans, et hurle à plein poumons :

Que la partie commence !

7
Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: mercredi 08 octobre 2014, 19:56:17 »
Elle tire sur ses chaines, dans tous les sens. Pauvre petite chose... J'espère sincèrement qu'elle ne va pas se faire mal à force de tirer. Tiens, elle regarde directement le plafond... C'est certes là où je suis, mais j'aurais préféré qu'elle se tourne vers l'une des caméras, que je puisse la regarder droit dans ls yeux...

Si tu comptes faire de moi une esclave, salope, tu te goures méchamment ! Je m’laisserai pas faire, j’serais pas une pute au service de types gras et gros !

Ses cris me font éclater de rire. Ma voix doit résonner dans sa salle à présent. Je tente de cesser de rire, mais la simple pensée qu'elle croie que je tente d'en faire une esclave est si hilarante... Après une longue minute passée à me tordre sur mon fauteuil, je finis par reprendre ma respiration, reprenant en m'essuyant une larme :

Non Amélie, tu n'y es pas du tout ! C'est tout le contraire ! C'est à présent que tu es une esclave ! L'esclave de toi-même pour être exacte ! Tu te fixes des limites et des barrières dans ta vie, je suis là pour t'aider à te libérer !

Il parait évident que je ne la résonnerais pas. Pas qu'avec des mots en tout cas. Je tente de reprendre une voix plus grave et plus sérieuse en lui disant :

Ecoute. On va jouer à un jeu. Je sais que te l'idée de te servir de ton corps pour parvenir à tes fins t'horrifierais, mais je sais aussi que la seule chose qui t'horrifierais encore plus, c'est que quelqu'un s'en serve sans ton accord, n'est-ce pas ?

Alors voilà ce que je te propose : tu vas affronter une épreuve. Si tu réussis, je te laisse repartir, et je t'offrirais même un petit cadeau. Si tu échoues, et bien... Tu te réveilleras à nouveau dans cette position, mais cette fois nue, et en présence d'un homme qui se fera un plaisir d'utiliser tes superbes atouts pour son plaisir, puis... Oh, peu importe, je suis sûre que tu réussiras !

Je remarque qu'Ateyu, qui ne voit rien mais ne perd pas une miette de mes paroles, commence à bander à l'idée qu'elle échoue. C'est ce qu'il espère de tout cœur, puisque ce serait alors lui, l'homme qui en profiterait.

Alors, es-tu prête à commencer la partie ?

Je sens mon cœur s'emballer à l'idée que son épreuve est enfin sur le point de commencer.

8
Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: dimanche 28 septembre 2014, 20:03:12 »
Ses paupières remuent. Elle se réveille !

Je m'approche de l'écran filmant son visage, observant sa réaction de plus près. Elle ne se fait pas attendre, la panique s'empare d'elle dès son réveil pour la faire hurler :

Y a quelqu’un ? Hey ho ! Au secours !!

J'ai envie de lui répondre, mais je préfère attendre encore un peu, observer son évolution.

Je... Je vous préviens, mes amis sont à ma recherche ! Détachez-moi, ou vous allez avoir affaire à eux !!

Je souris. Le temps qu'ils trouvent mon repaire et parviennent à en déjouer les défenses extérieures, j'en aurais fini avec elle.

Elle se mit à gesticuler, tentant de tirer sur ses liens. Elle avait l'air de vraiment se faire mal en essayant, ce qui n'était pas du tout mon intention. Sa panique plus le nouveau "Au secours !!!" qu'elle vient de crier me font stopper mon observation pour prendre le micro en main, en anglais :

Calme-toi Amélie. Tu es en sécurité ici.

A travers ce micro, ma voix était déformée, synthétisée. Mais on pouvait toujours distinguer que c'était une voix de femme. Et c'était bien là la seule information que je souhaitais lui donner.

Je t'observe depuis un moment ma petite. Tu peux te vanter d’avoir une histoire qui m’a attiré, ce qui n’est pas rien. Sache que je sais beaucoup de choses sur toi. J’ai étudié ton parcours. Les informations et les renseignements vont vite à Seikusu quand on connait les bonnes personnes.

Aussi, je ne peux rester sans rien faire. Certes, tu as eu un parcours difficile. A la façon dont tu repoussais les gens, parfois pas si mal intentionnés que ça, qui souhaitaient partager du plaisir avec toi, j'ai d'abord cru que tu étais vierge... Mais j'ai personnellement vérifié pendant que tu étais inconsciente. Et puisque ça n'est pas ça, je présume que ta première expérience t'a été arrachée de force. Au moins, tu as eu la chance d’avoir un dépucelage hors du commun… Et même si ça te semble étrange de le penser ainsi, un jour, tu comprendras. Et c’est d’ailleurs pour ça que je t’ai amené ici, pour te le faire comprendre.

Vois-tu, tu es réellement en train de gâcher ta vie. Avec le corps que tu as, tu pourrais sans problème avoir une vie sexuelle de rêve, mais au lieu de ça tu continues de te morfondre sur une seule mauvaise expérience. Si tu t’acharnes ainsi, ça ne vaut même pas la peine de vivre, autant en finir avec ta vie tout de suite.

Je marque une pause, qu’elle comprenne bien que ma phrase était à prendre au sens propre. Puis, n’y tenant plus, voulant absolument savoir, je lui demande :

Avant de t’expliquer ta thérapie… Je veux savoir… As-tu une idée ? Ou une suggestion ? Ou n’importe quoi dont tu souhaiterais me faire part ?


9
Le parc et son sous-bois / Re : Un autographe s'il vous plait ! [PV Yahiko Yuki]
« le: dimanche 28 septembre 2014, 16:50:58 »
S'il est vraiment à moi, nul doute que ce soir et cette nuit, je compte en profiter et pas qu'une seule fois, c'est promit Jigsex.

Cette phrase et ses doigts s'aventurant maintenant à la surface de mes fesses provoquent un nouveau sourire sur mon visage. Je ne retourne surtout pas ma tête, ne voulant surtout pas qu'il comprenne à quel point je suis pressée de passer à la suite.
L'un de ses doigts qui caressaient mes fesses rentre dedans, faisant de petits mouvements sans aucune difficulté, d'autres organes et objets bien plus larges ayant eu l'habitude de glisser là où il est. Son autre main glisse dessous, caresse mon sexe et finit par rentrer à l'intérieur de même, aidée par la cyprine qui y abonde depuis plusieurs minutes. Mes deux orifices ont un doigt ou deux en leurs intérieurs, ce qui est loin de me satisfaire.

Je ne vais pas m'occuper que de ton cher cul Jigsex. Je te l'ai dit, je compte m'occuper de tout tes orifices et pas qu'une seule fois. Pas qu'ici, pas que dans cette position, mais je ne vais pas te dire ce que je vais faire, je vais plutôt te le montrer, me pardonnera-tu de ne pas t'offrir cette fameuse réponse par les mots ?


A ces mots, je l'entends sortir quelque chose de son sac. Puis un bruit de gorge qui déglutit. Il doit être en train d'avaler sa seconde potion. J'ai très envie de me retourner pour voir les effets en direct, mais je me retiens, préférant laisser les futures sensations de mon corps me décrire la scène.

Un frisson me parcourt alors que je sens son gland se poser contre mon entrée féminine. Il n'y reste pas longtemps et rentre d'un coup jusqu'au bout, m'arrachant un petit cri de surprise et de plaisir. A la vitesse ou celui-ci est allé buter contre mon utérus, je devine que c'est le géant qui s'y est introduit. L'autre ne se fait pas attendre non plus, rentrant entre mes fesses pour accompagner son homologue.

J'avais déjà l'habitude de très peu stimuler devant les caméras. Je n'ai pas l'intention de rajouter ne serait-ce qu'un gémissement de trop aujourd'hui. Mais malgré-moi, je ne peux m'empêcher de lâcher des petits cris aigus à chaque coup de reins. Néanmoins, je suis frustrée de constater que la grande verge est limitée par la taille de mon vagin, ne pouvant s'y enfoncer complétement, et que son blocage bloque par la même occasion l'autre sexe qui arrive à peine à s'enfoncer entre mes fesses.

Par contre Jigsex, j'aime jouir pleinement d'une fellation, alors après...

Je ne prête que peu d'attention à ses paroles, de toutes façons prête à le laisser finir où il veut. En revanche, je ne peux supporter l'idée de ne pouvoir profiter de ses sexes au maximum de leurs potentiels, la position actuelle n'étant pas du tout optimale. Je tente donc de dire, entre mes halètements :

Après, ce que tu veux... Pour l'instant, je veux plus... ouhhh... Dans mon cul... Je veux me faire défoncer le cul... Alors Ouhhh... Sors de moi...

Je me cambre légèrement, et lâche le tronc d'arbre pour poser étirer mes bras derrière moi, et le repousser vers l'arrière. Suite à quoi je me retourne pour être face à lui.

Allonge-toi sur le dos, je vais m'empaler sur toi... Je retire mon haut pour illustrer mon envie, laissant mon corps maintenant entièrement nu, et révélant mes seins, alourdis par le temps mais toujours généreux. Tu ne seras pas déçu. Laisse-moi prendre les choses en main juste quelques minutes.

10
Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: dimanche 21 septembre 2014, 17:11:16 »
Je sens une montée de plaisir en moi rien en la tenant contre le sol, en mon pouvoir. Dans sa panique, elle hurle quelque chose en français. Je n'y comprends pas un mot, mais que c'est bon de l'entendre !

Beaucoup de comportements humains m’ont toujours fascinée. L’un d’entre eux est sans doute la montée d’énergie et de force que pouvait occasionner une montée de peur et de désespoir. J’ai directement assistée à bien des exemples, mais celui-ci en est peut-être le meilleur. Alors que je la pensais trop effrayée et trop faible pour s’échapper de mon étreinte, La voilà qui crache dans mon œil, frappe dans mon entrejambe et mord mon doigt… Coriace la gamine !

Tout ça suffit à me faire perdre l’équilibre et à me repousser. Elle aurait même peut-être réussi à reprendre sa course… SI Ateyu ne s’était pas déjà relevé et remonté à sa hauteur, pour la remettre au tapis d’un coup de poing empli de rage. Une fois celle-ci au sol, il lui enfonce son pied dans le ventre, toujours sous l’effet de la colère.

Putain, tu m’as fait mal, salope ! Elle m’a à moitié explosé les couilles, cette pétasse !

Bien que j’aurais préféré qu’il l’endorme comme convenu, avec le somnifère, je peux tolérer cet écart de conduite, les hommes ayant toujours beaucoup moins bien gérés la colère que moi. En revanche, je ne peux pas laisser passer le second coup de pied, qui en plus de ne pas être nécessaire fait cracher du sang à ma jeune victime. Aussi, lorsqu’il lève sa jambe une troisième fois pour frapper encore, je lui attrape avant qu’elle ne se lance sur sa cible, le faisant trébucher lui aussi.

Imbécile ! Je t’ai demandé de l’endormir, pas de l’assommer !

Je me jette sur elle, prenant délicatement sa tête entre mes mains. Elle est parfaitement inconsciente. Elle a l’air si fragile ainsi, un petit filet de sang coulant de ses lèvres. Je la caresse d’une main, chuchotant sans m’en rendre compte "Chhh... Pleure pas... C'est fini... Je vais prendre soin de toi maintenant..."

Ateyu, qui vient de m'entendre, rajoute, une main soutenant sa bourse douloureuse :

Ouais, ben en attendant, tu vas prendre soin de moi ! Je l'ai bien mérité, pour avoir attrapé cette pétasse !
Il regarde autour de lui, à la recherche de quelque chose. Son regard s'arrête sur une petite caravane dont les peintures de cirques sur les côtés s'étaient effrités avec le temps. Là-dedans ça sera parfait. Tu vas m'accompagner et payer ta part du marché. Ton acompte m'a laissé l'eau à la bouche.

C'est plutôt moi qui avais eu quelque chose à la bouche à la fin. Néanmoins, même si c'est effectivement ce que je lui avais promis, je n'ai aucune envie de tenir ma parole après l'incompétence dont il a fait preuve, et j'ai encore besoin de lui pour la suite, même si il ne le sait pas encore.

Pas tout de suite... J'ai une dernière chose à te demander avant. Ne fais pas cette tête, ça sera sans risque et ça devrait te plaire... Regarde !
Je retourne la jeune fille sur le ventre, pour baisser le haut de sa jupe et exhiber ses fesses à la vue de mon acolyte. Regarde ce cul, et ose me dire qu'il ne te fait pas envie... Tu n'aimerais pas l'avoir à ta disposition ?

Il regarde d'un œil intéressé pendant quelques secondes, avant de finalement admettre en ouvrant sa braguette :

C'est vrai que défoncer le cul d'une jeune française, c'est tentant... Allez, écarte-toi.


Pas si vite !
Je remonte sa jupe dans un sourire narquois. Pas ici, pas comme ça. Passe-moi le somnifère, je vais commencer par l'endormir pour de bon, aide moi à la transporter à mon repère et je vais t'expliquer ton rôle...



Je m’assois finalement sur mon siège, derrière mon poste de contrôle, muni de 8 écrans reliés à différentes caméras du sous-sol. Tout est enfin prêt.
Je regarde calmement la scène. Amélie est couchée sur le dos, bras et jambes en étoile de mer, des anneaux de métal fixant ses poignées et ses chevilles à la plaque de métal sur laquelle elle est couchée. Toutefois, je lui ai laissé ses vêtements, ça ne devrait pas changer grand-chose pour la suite.

En face d’elle, Ateyu est dans la même situation, hormis que les seules choses qui recouvrent son corps sont les bandeaux sur son visage : l’un sur les yeux l’empêchant de voir la scène, et un sur la bouche l’empêchant de parler.

Hormis eux, rien n’est présent dans la salle pour l’instant, hormis des petits trous sur le bas des murs et les caméras accrochées au plafond, fixant divers endroits de la scène. Certains font des plans d’ensembles, d’autres sont fixées sur des parties du corps des deux protagonistes, notamment les visages et les entrejambes. Celle fixée sur celui d’Amélie ne voit pas grand-chose à cause de sa jupe, en revanche celui d’Ateyu permet de distinguer en détails l’érection qu’il a en connaissance de la suite.

Le moment que je prépare depuis des années est sur le point de commencer. Je suis excitée comme jamais. Néanmoins, avant de lancer le début du jeu, je tiens à voir la réaction de la jeune fille lorsqu’elle va se réveiller. Elle n’a rien sur la bouche, elle, elle pourra donc crier autant qu’elle veut. J’espère juste que ce ne sera pas en français, je souhaiterai comprendre.
La voilà qui ouvre doucement les yeux d’ailleurs. Les miens dévorent les écrans, impatients de sa réaction.


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Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: mardi 09 septembre 2014, 00:21:36 »
Je ne sais absolument pas si elle a ses papiers sur elle. Ce que je suis sûr, en revanche, c'est qu'elle possède quelque chose de beaucoup moins légal. Ateyu pourra en profiter pour prétendre vouloir faire un test de dépistage de stupéfiants et pourra lui administrer son somnifère. Encore fallait-il qu'elle se laisse faire, ce qui, heureusement pour moi, semble être le cas.

Je... Je suis juste sortie voir une amie, c’est un crime ?!

Sa voix est tremblante, hésitante... Elle est nerveuse. Non, mieux, elle a peur ! C'est encore mieux ! Je me lèche les babines d'extase de la voir ainsi tremblante en cherchant quelque chose dans son sac.

Je les sors, okay ? Ils sont dans ma veste...

Quelque chose cloche... Je me rends compte de la supercherie trop tard pour prévenir mon complice : c'est une bombe au poivre qu'elle vient de sortir. Je supposais qu'Ateyu la verrai venir, au lieu de ça il se prend le jet dans les yeux comme un bleu. Je me mords la lèvre, cette petite va peut-être m'échapper à cause de l'incompétence de ce type !

Je sais qu'elle fuira en ma direction : je m'apprête à bondir sur elle alors qu'elle passera près de moi. Et pourtant, au lieu de fuir directement, elle immobilise son agresseur en l'insultant au passage. Sexy, peureuse et maligne... Je commence à l'adorer, cette gamine. Et voilà maintenant qu'elle coure avec l'énergie du désespoir dans ma direction... Elle est tout de même terrorisée, c'est tout à mon avantage.

J'attends qu'elle passe près de moi, cachée derrière une voiture du carrousel. Des sens de chasseuse s'éveillent en moi alors qu'elle se rapproche... Jusqu'à ce que le moment vienne, que je ne laisse pas échapper : d'un bond, je jette l'une de mes jambes dans les siennes, sa vitesse se retournant alors contre elle pour la faire se vautrer au sol.

Je ne peux me retenir de rire lorsque je la vois ainsi s'effondrer au sol. Mon rire de sadisme s'intensifie lorsque je me jette de tout mon poids sur elle, tenant fermement d'une main le bras qui tenait sa bombe. Elle s'agite et se débat alors que mon corps est sur elle, la situation est divinement d'extase, mais je n'ai pas le temps de savourer la chose : il me faut la maitriser, et vite. Je me penche un peu pour lui chuchoter à l'oreille :

Chhh... Chhh... Calme-toi... Je t'en prie, je n'ai aucune intention de te faire mal en ce lieu.

C'est la vérité après tout. Je tourne à présent la tête derrière moi, pour rapeler mon balourd de complice :

Ramène-toi, larve ! Elle ne va pas s'endormir toute seule !

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Mes lèvres pourtant déformée par l'énorme gourdin les traversant parviennent quand même à se dresser en sourire au bruit des soupirs qu'il pousse. Il remue le bassin, faisant glisser son membre à l'intérieur de ma gorge, la salive qui s'y accumule aidant. Je ne tente aucun mouvement, le laissant faire, me concentrant sur la longue chose que je sens avancer et reculer dans ma gorge, et sur l'ignorance des nausées qui montaient en moi malgré mon expérience.

Mais toute professionnelle que je suis, ce membre qui progresse en moi à un stade encore jamais atteint couplé à l'envie grandissante d'en profiter d'une autre façon ne va pas m'aider à me faire tenir éternellement. Mais je sens qu'il adore réellement cet instant que je lui offre, surtout lorsqu'il me dit :

J'aime vraiment ce que tu fais Jigsex. Je peux te l'assurer, tu es la première à me donner tant de plaisir et pourtant, je suis sûr que tu as bien des tours dans ton sacs, au moins autant que j'en ai pour toi et que je compte bien te démonter... Te démontrer pardon pour l'erreur.

C'est la phrase de trop qui suffit à me convaincre que je me suis suffisamment offerte à lui, et que je mérite ma part. Je rouvre les yeux et place mes mains sur ses reins, poussant légèrement dessus, tentant de lui faire comprendre que je souhaite me retirer. La technique fonctionne visiblement : il ralentit son mouvement, et cesse de pousser sur mon crâne, laissant sa virilité quitter lentement mon corps. Quand le dernier bout en sort, je tombe au sol à quatre pattes, crachant un épais filet de salive et toussant fortement, légèrement secouée par l'épreuve. Néanmoins, le sourire pervers qui habite mon visage depuis le début de la fellation ne me quitte pas.

Je redresse ma tête, regardant avec envie le long membre luisant de salive dressé fièrement. Combien de fois me suis-je touchée dans mon lit en m'imaginant jouer avec un sexe d'une telle taille ?

Je pose une main sur son gland, la faisant glisser sur ma propre salive jusqu'à sa bourse, puis lentement revenir à son point de départ, pour recommencer, le masturbant ainsi doucement, tout en lui chuchotant :

Des tours... Je pense que si tu as vu mes films, tu dois déjà les avoir vu... Moi par contre j'ignore tout de ce que tu peux m'offrir. Et ne me démontre rien... Reste sur ta première idée.


Il est vrai que j'ai adoré son lapsus. Lorsque j'ai fini ma suggestion, je retire ma main pour la poser sur ma ceinture et détacher ma jupe, révélant en me relevant mon sexe tant visité, toujours entièrement rasé, je n'ai jamais perdu cette habitude d'actrice. Je me retourne ensuite, lui offrant une vue parfaitement dégagée sur mon fessier, que je remue exagérément en me dirigeant vers un autre arbre, posant mes mains dessus en me courbant, bombant mes fesses en signe d'offrande.

Tu as vu ce cul dans tant d'angles différents... Il est à toi à présent. Je retire une de mes mains de l'arbre pour me claquer une fesse, pestant intérieurement qu'elle ne soit plus aussi ferme que dans mes beaux jours. Je la repose à sa place, m'accrochant un peu, prête à encaisser ce que je pourrais. Dis-moi... Qu'est-ce que quelqu'un comme toi, avec un sexe si imposant, et surtout des accessoires à volonté, va infliger à ce pauvre cul sans défense qu'est le mien ?

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Il s'était mis en caleçon tandis que j'astiquai une branche. Et le relief de celui-ci m'indique clairement la réponse à ma suggestion. Mon effet a réussi : il est jaloux d'un arbre !

Il prend l'une de ses potions en main. Avant que je puisse me demander laquelle, il caresse mes lèvres avec son autre main, m'arrachant un sourire lubrique, avant de compléter :

De plus organique, et de plus dur, raide et long j'imagine ? Je crois avoir ce qu'il faut pour toi alors Jigsex. Que dirais-tu de voir les effets de la première potion ? Et je te promets qu'ensuite, je te comblerais avec la seconde potion.

Je ne peux nier mourir d'envie de voir les effets de la première, voulant savoir jusqu'où elle pouvait s'étendre, mais également si ses effets se couplaient avec l'autre potion. Sans attendre ma réponse, il avale le contenu de sa fiole, mes yeux étant alors irrésistiblement attirés par son entrejambe. Il n'était déjà pas mal équipé de base, mais la bosse de son caleçon est maintenant en train d'enfler à vue d'œil... Sans s'arrêter... Ma bouche s'ouvre de surprise au même rythme que le tissu de son sous-vêtement s'étire. Il finit tout de même par s'arrêter de grandir.

Je ne peux plus attendre. Violement, je lui descends son caleçon, laissant sa verge apparaitre et se dresser fièrement vers mon visage. J'ai vu peut-être plus de verges que toutes les toilettes de Seikusu dans ma vie... Et pourtant, celle-ci est peut-être la plus grande que j'ai connue de ma vie !

Jubilant intérieurement à l'idée qu'elle est pour moi, je la prends entre mes mains... Entre mes deux mains, l'une au-dessus de l'autre. Et pourtant, la moitié reste encore à l'air libre. Je me jette dessus, lui procurant de nerveux coups de langues sur l'ensemble de la paroi. Une fois que la majorité en est recouvert de la salive, je place mes mains sur la base et le gland juste en face de mes lèvres. Je pense à voix haute "Rahhh... Je la veux..." Sans m'en rendre compte avant de laisser le gland entrer dans ma bouche, et de téter son bout, d'abord tendrement, puis de plus en plus fermement.

Je laisse une plus grande partie glisser en moi. Ma bouche fait des va et viens le long de la tige, tentant d'aller un peu plus loin à chaque fois, augmentant l'ondulation d'un demi-centimètre à chaque mouvement. Lorsque j’eus atteint la moitié, un faux mouvement me fit ressortir et tousser, rompant son plaisir. Mais je veux parvenir à l'avaler entièrement. Il m'offrait avec ses potions quelque chose que lui seul pouvait m'offrir : à mon tour de l'épater.

Je quitte ma position à genoux pour me placer à quatre pattes, la gorge bien alignée avec le dos. Je prends ses mains pour les caller derrière ma tête. En un regard, il semble avoir compris ce que j'attendais de lui. Je lui attrape la verge démesurée avec mes mains, et vient la faire glisser doucement entre mes lèvres. J'avance alors prudemment, laissant son sexe me rentrer dedans, engloutissant centimètre par centimètre sa virilité.

Une fois la moitié atteinte, je commence ce que seule une actrice expérimentée peut espérer entreprendre. J'attrape ses fesses avec mes mains, les tirant vers moi et forçant l'entrée de ma bouche. Lui fait de même, enfonçant ma tête vers son entrejambe. La force marche. Ma bouche finit par se coller à son pubis.

J'ai en ma gorge la plus grande verge que j'ai jamais avalée. Nul besoin de bouger, je suis callée contre lui, mes mains et les siennes me bloquant dans cette position. Les contractions de ma gorge sur son sexe doivent lui procurer suffisamment de plaisir pour en rajouter avec du mouvement. La salive accumulée dans ma bouche finit par sortir toute seule de mes lèvres par une petite coulée. Je respire doucement par le nez malgré la sensation pesante d'étouffement, la situation est stable.

Je ferme les yeux, le laissant apprécier ma gorge aussi longtemps qu'il le souhaite.

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Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: vendredi 29 août 2014, 15:50:30 »
Elle semble faire quelques pas de recul. Je préfère faire le tour discrètement, au cas où elle s'enfuie, pouvoir l'attraper par surprise. Je garde un œil sur eux, profitant du silence ambiant pour pouvoir entendre en détails leur conversation.

Euh... Je vous comprends, Monsieur l’agent, mais j’allais justement sortir... Je me dirige vers la sortie, là ! J’ai préféré passer par là pour retourner chez moi... Les rues ne sont pas sûres dans le coin, alors je me disais que ce serait plus... Plus prudent par ici.

Elle ne veut définitivement pas du contrôle. Pas étonnant après tout, avec la drogue qu'elle vient d'acheter. Mais ça fait partie du plan d'Ateyu. Celui-ci est jeune et assez athlétique... En cas de poursuite, il devrait avoir l'avantage. A chaque pas qu'elle fait en arrière, lui en fait un en avant, ne laissant aucune distance augmenter entre eux.

Mademoiselle, merci de rester calme et de ne pas vous éloigner... Je ne vous ai accusé de rien, je veux juste voir vos papiers. Si vous n'avez rien à vous reproché de plus que d'être ici par effraction, je ne vais pas vous emprisonner pour ça, je vous raccompagnerai juste à la sortie la plus proche et vous oublierai. En revanche si vous commencez à tenter un délit de fuite...

Il prenait un ton menaçant à présent. C'était volontaire. Quoique si il espérait faire craquer la jeune fille, ça allait être dur... Entre sa certaine expérience avec la police liée à sa toxicomanie et le viol par sa propre famille, elle avait à présent une force mentale bien supérieure à n'importe quelle jeune lycéenne effarouchée comme on pouvait en trouver à la pelle.

Ecoutez... Réglons ça rapidement, d'accord ? Montrez-moi juste vos papiers, qu'on en finisse.

Je me tiens de l'autre côté à présent. J'ai la jeunette de dos, le visage d'Ateyu bien en visu. Je lui fais un léger signe de la main, qu'il comprenne que j'ai fait le tour et que je suis prête à intervenir.
Quant à elle... Je suis assez prêt d'elle, je la vois relativement bien malgré la pénombre ambiante. Une belle vue sur son derrière moulé par sa minijupe... Putain... Quel cul... J'en suis presque jalouse. Le mien était très similaire, avant que l'usure des scènes pornographiques extrêmes et celle du temps ne l’assouplisse et fasse de lui ce qu'il est à présent. Elle pourrait réellement faire ce qu'elle veut si elle osait s'en servir !

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Il me caresse doucement la joue. Je sais à quel point les hommes adorent cette position de domination… Sa façon de regarder mes seins et ma bouche trahissent ses intentions.

Jigsex est une grande curieuse ?
me demande-il. Plutôt que de tout te dire, ne voudrais-tu pas simplement que nous les testions ensembles ? Je suis certain que tu y prendrais ton plaisir, mais je suis gentil, alors je vais t'expliquer les effets de deux de mes potions. La première est une classique dans le genre, elle permet au pénis d’être en érection presque instantanément et bien entendu, avec une dimension plus que correcte, sinon ça ne serait pas amusant. La seconde par contre, quand je repense à certaines scènes de tes films... Si je te parles d'une double-pénétration, ou d'une pénétration et d'une sodomie à la fois, tu vois ou il faut que je précise que cette fameuse seconde potion permet de faire pousser de façon provisoire un second phallus ?

Ces trois derniers mots résonnent dans ma tête : un second phallus… J’avais avoué dans une interview que pour qu’un homme me satisfasse seul, il faudrait qu’il ait plusieurs queues. J’avais alors dit ça pour plaisanter, je n’aurais jamais cru pouvoir réaliser ce fantasme un jour.

Dit moi ou montre-moi, nous avons tout le temps après tout, car je suis curieux aussi, qu'aurait-tu fais à notre ami l'arbre si je n'étais venu vers toi JigSex.

Cette fois c’est certain : il m’a vexée. Je suis là, à genoux devant lui, lui offrant mon corps à sa vue, prête à accepter l’expérimentation de n’importe laquelle de ses potions… Et il continue de penser à cette stupide branche que j’avais moi-même oubliée ?

Je me redresse d’un coup sec, et lui fait un signe de la main pour qu’il s’écarte de l’arbre. Il se place sur le côté, les yeux attentifs à la scène. Tu n’as pas voulu de moi ? Je compte bien lui faire regretter ce choix.

Je m’agenouille à nouveau, devant la branche cette fois. D’une main, j’en attrape la base, et colle ma bouche contre son extrémité, mimant un baiser langoureux contre cette fausse verge. Puis je roule son extrémité de ma langue, humectant au possible la branche, passant ensuite ma langue sur chaque paroi, la recouvrant de ma salive.

Elle est maintenant entièrement mouillée. L’humidité la rend plus sombre, elle a maintenant la couleur de la peau d’un africain, ce qui m’excite encore plus. Je lance un regard au terranien, avant de lui cracher : Regarde ce que tu viens de manquer !

A ces mots, je jette ma tête sur la fausse verge, et en engloutit la moitié. Je remue ma tête rapidement, laissant mes lèvres glisser sur ma propre salive. Heureusement, cette branche est parfaitement lisse, ce qui me laisse m’y enfoncer de plus en plus. Je ressort pour cracher la salive qui commençait déjà à s’accumuler, avant d’ajouter : Ahhh… Dure et raide ! Comme je les aime !

Et je replonge aussitôt, mais en ayant cette fois au préalable retiré ma main, pour la coller avec sa sœur de l’autre côté de l’arbre, serrant celui-ci contre moi afin de mieux caller la branche au fond de ma gorge, l’avalant entièrement et restant la bouche immobile contre l’arbre. Je reste immobile ainsi un moment, laissant ma gorge s’habituer à la présence du bois, respirant doucement par le nez. Vue de l’extérieur, mon cou doit sembler légèrement enflé.

Je me retire enfin, crachant une importante quantité de salive et, toujours à genoux, me tourne vers l’humain, préférant m’en remettre à lui pour la suite. Il doit être suffisamment excité à présent.

Ahhh… Alors… Ahhh… Le spectacle t’as plu ?
Dis-je d’un ton haletant.Tu vas rire mais… Ahhh… Je crois que je préfèrerait quelque chose d’organique pour la suite…


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