Les alentours de la ville / Re : Do you like clowns ? [JigSex]
« le: lundi 08 mai 2017, 22:44:19 »14:38
Elle semble en avoir reçu davantage dans la bouche cette fois-ci. On dirait même qu’elle en a avalé une partie. Quelle dommage qu’elle se force à vomir pour le recracher, ça n’est pas toxique pourtant… Voilà qu’elle recommence à le gifler et l’insulter en français. Je souris en pensant à la suite. Si elle pense se défouler maintenant, elle risque de l’apprécier.
Je… J’veux sortir d’ici… Putain, laisse-moi sortir, SALOPE ! Je veux plus jouer à tes jeux pervers de dingue, J’VEUX SORTIR !!
Je laisse quelques secondes de silence s’installer, savourant sa victoire, avant de prendre le micro pour lui répondre :
C’était sublime, Amélie. Aujourd’hui tu as su te surpasser, et comme promis, je vais te rendre ta liberté. Mais avant ça, j’ai un cadeau à te faire.
Je presse le bouton que j’attendais de presser depuis qu’elle est rentrée ici. Un morceau du carrelage se replie sur lui même non loin du centre de la salle, pour laisser sortir du sol une grande table. Celle-ci était recouverte d’ustensiles en tout genres : cordes, chaînes, lames, pinces et pointes de toutes tailles se confondaient en son centre. Sur les côtés, quelques outils moins communs : des pinces électriques reliées à des batteries à intensité réglables, des fioles avec écrit dans toutes les langues et symboles possible dessus qu’il s’agissait d’acide, Ainsi qu’une petite pilule blanche posé sur un présentoir rose, dans un coin de la table.
Ateyu semble bouger la tête, comme pour chercher à comprendre ce qui se passe. Moi qui lui avait dit qu’il aurait de toutes façons le droit de la violer à la fin, peu importe la façon dont ça se terminait… Il semblerait que la fin soit moins douce pour lui que ce qu’il s’était imaginé.
Tu vois la petite pilule à droite ? C’est un somnifère. Je ne peux pas te laisser remonter jusqu’à moi, donc je vais te demander de le prendre pour pouvoir t’emmener dans un lieu sûr à l’extérieur. Mais avant cela, voici mon cadeau : tu vois l’homme attaché en face de toi, que tu as brillamment sucé à plusieurs reprises, et qui désirais te violer ? Et bien je te l’offre ma puce… Régale-toi autant que tu veux avec ce que tu as à ta disposition.
"Ma puce"... Ça m'est venu comme ça. Mais peu importe, ce qui va suivre sera probablement bien plus excitant que tout ce à quoi j'ai pu assister jusqu'à maintenant. Ateyu, qui a tout entendu, gémit et semble vouloir se tordre dans tous les sens. Inutile, tes liens sont solides. Et encore, il n'a pas pu assister à l'exhibition des outils qu'Amélie a maintenant à disposition. Elle peut toujours retirer ses bandeaux, cela dit... Mais à elle de voir si elle préfère ou non qu'il puisse la voir faire ou s'exprimer. C'est son moment. Je ne compte même pas l'encourager ou la conseiller.
Je lâche le micro, et attend. Je tremble d’excitation tellement j'ai attendu ce moment. J’espère qu'elle va expulser toute sa rage envers ce qui lui est arrivé ce soir, et peut-être même dans sa vie, sur ce pervers qu'est Ateyu. Et à voir comme elle a semblé avoir détesté ce qu'elle a subi juste avant, je ne m'attend pas à être déçue.