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Les terres de glace / Re : Un oiseau sans plumage [Pv : Kamiyu Okane]
« le: lundi 07 mars 2016, 21:35:18 »Pour l'heure la priorité était de s'occuper de cette frêle humaine, malgré la guerre raciale dont Ophélia faisait malheureusement partie. Son maître, ou plutôt son tyran, le roi bouc... avait en horreur la race des hommes et ne vivaient que par sa volonté de se venger et de les asservir. Si Kamiyu avait la malchance de se faire voir et attraper, elle subirait probablement bien pire que la mort. Mais lui conseiller de s'enfuir par ce temps était du suicide... et quand bien même elle aurait été préparer à un froid si intense, les patrouilles du seigneur des lieux auraient tôt fait de la capturer.
C'était donc sans vrai espoir qu'elle la guida vers le campement, espérant parvenir à la cacher sous sa hutte... qui étaient rempli d'assez d'artefact magique et assez nimbé d'une aura magique pour effrayer les bêtes superstitieuses. Elle y sera à l'abri... pour un temps.
Et Ophélia n'avait pas que des ennemis dans les rangs du Roi bouc. Certain de ses seigneurs l'estimaient et la respectaient assez. Peut être même assez pour enfreindre les règles de leur très respecté suzerain absolu.
- Enchantée jeune Kamiyu, tu es tombée au mauvais endroit... au mauvais moment ! Je ne comprend pas trop ce qui a pu se passer, mais nous devons te mettre à l'abri. Fais moi confiance. Les miens ne te veulent pas que du bien, mais je vais m'occuper de toi, tu as ma parole.
Elle espérait vraiment croire en ce qu'elle disait, mais lorsqu'elle visualisait la situation dans son ensemble, elle ne pu s'empêcher de soupirer face à la fatalité de ce qui allait se produire. Puis elle sourit, secouant la tête... ses années de servitude lui avaient donc ôté toute combativité. Elle n'était pas une shaman de pacotille et sa puissance pouvait réserver bien des surprises. Elle trouverait un moyen... et il faudrait trouver rapidement, car après un instant à marcher dans la neige, elles arrivèrent en lisières du village.
Un campement militaire fait à l'arrache, où tout le monde n'avait pas le même confort de logement. Mais qu'importe, l'essentiel était de rejoindre sa hutte. Elle enfila l'étoffe de tissue sur la tête de Kamiyu frigorifier et la prit par la main. Se mettant à courir, profitant de l'état quasi zombifier de la pauvre petite qui devait être morte de froid. Elle aurait tout le temps de poser toute les questions qu'elle voudrait plus tard...
Comme deux petites souris, les femelles se glissèrent dans le campement à moitié endormi. Esquivant les quelques gardes ou homme bête en vadrouille... attendant derrière un amas de caisse pour repartir aussitôt.
Le coeur d'Ophelia semblait vouloir exploser dans sa petite poitrine. Et le soulagement fut indescriptible lorsqu'elles arrivèrent dans sa hutte... Elle ferma immédiatement la porte avec un verrou improvisé et guida la jeune humaine devant le feu, ou une grosse marmite faisait bouillir une sorte de bouillon au composition que nous garderont sous silence pour la sensibilité des enfants.... Elle était saine et sauve, pour le moment en tout cas.
Prélude / Re : Il était un Dieu Cornu [Valilouvée]
« le: jeudi 08 octobre 2015, 20:58:46 »Prélude / Re : Kahera, Terranide. [Validémonisée]
« le: samedi 07 février 2015, 07:06:32 »Tes cornes sont... magneufiques !
Prélude / Re : Un nouveau genre de métamorphe (fini)
« le: jeudi 29 janvier 2015, 18:29:29 »Mais je suis pas un mouton >< j'suis le roi bouc, putain...
(Super fiche )
Prélude / Re : Un nouveau genre de métamorphe (fini)
« le: jeudi 29 janvier 2015, 18:22:30 »Archives / Re : [Projet] Zone : furry contemporain
« le: samedi 20 septembre 2014, 21:15:19 »Faites donc jeune Terranide, faites !
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 18 juin 2014, 18:39:47 »18h40
Les terres de glace / Re : Garzaor le pillard ! [Pv Double-Lune]
« le: jeudi 12 juin 2014, 00:37:42 »Urk... froide comme un souffle sans vie...
Sinistre et silencieuse comme l'ombre de la mort...
Ici n'en ressort, ceux qui y entre sans être attendu...
Une forêt dense, faite de bois noueux et serrés. Ceux-ci s'entremêlent par endroit pour s'élargir ailleurs... la végétation est quasi inexistante au sol tant l'épaisseur des branchages et du feuillage bloque l'apport de lumière. Il faut des yeux perçants, des yeux de prédateur pour apercevoir ce qui se glisse entre les arbres.
Pas un bruit d'animaux ne vient indiquer une quelconque forme de vie. Seul le vent semble faire écho, s'engouffrant assez régulièrement dans les branches qu'il vient secouer, faisant doucement tanguer la cime des arbres. La forêt est malédiction, repaire du mal et d'une haine sauvage. La forêt est prison, dédale gargantuesque sans aucun moyen de s'y repérer pour celui qui ne la connait pas. La forêt est château, château du terrible roi bouc et de sa harde.
Il est difficile d'y progresser rapidement, du moins pour un pied lourd. Les racines sont autant de piège pour les sabots d'un cheval ou pour les bottes métalliques d'un chevalier. Rendant son exploration extrêmement difficile et périlleuse...
Ses occupants le savent, en sont rassurés, et ne sont que très peu sur leur garde. Certes, comme des bêtes, a l’afflux d'un bruit suspect. Mais pas comme des soldats, n'effectuant aucune ronde, aucun tour de garde... laissant glisser entre certaine des mailles de leur filet quelques petites âmes.
Certes les centaures excluent de la harde afin d’apaiser les tensions patrouilles discrètement en lisière de forêt, mais une fois passé cette ceinture légère et mobile, il pourrait se dérouler des jours voir des semaines avant de tomber sur âme qui vive.
Mais, toujours en restant dans cette logique... un bon chasseur, suivant la piste du village ne devrait avoir trop de mal à retrouver ce qu'il cherche. Même si les empruntes sont souvent effacés ou recouverte de neige, certaine pistes ne trompes pas. Branchage cassés, traces de sang, morceau de viande humaine abandonné ou arraché à la hâte... mais la piste est long, très longue même. Guidant au cœur de la forêt qui semble se refermer sur elle même, comme pour protéger avec plus de rigueur ses occupants.
Des cries s'élèvent... une troupe ripaille. Arrêté pour se reposer, se nourrir, ou s'amuser...
Le chasseur qui saurait se faire discret, parviendrait à s'approcher assez pour les apercevoir... les hommes-boucs, repoussant, grand et marqué par de rude affrontement.
Deux d'entre eux sont d'ailleurs actuellement en train de lutter, s'empoignant par les épaules, par les bras, poussant tête contre tête... et c'est à celui qui aura le plus de force et les cornes les plus solides. Les autres les entoures sans trop s'en préoccupé, certain affûte leur hache rudimentaire, d'autre se nourrissent... plantant leur croc pointu dans des cadavres encore reconnaissable. Des hommes et des femmes, souvent sectionné à la taille... pour une facilité de transport. Ou des enfants, toujours pour la même facilité.
Le groupe est néanmoins petit, juste une quinzaine... dont un plus gros. Beaucoup plus gros pour être exact... il porte une longue lame rouillé et le cadavre d'un jeune homme qui avait vu passé trop peu d'hiver.
Les terres de glace / Re : Un oiseau sans plumage [Pv : Kamiyu Okane]
« le: vendredi 06 juin 2014, 23:23:33 »La lumière finit par s’estomper, l’énergie des lieux disparu et le pauvre cadavre de l’oiseau n’était plus qu’une dépouille fumante et broyé par le nouvel hôte de la shamane. Elle n’osait voir de qui ou de quoi il s’agissait. Alors qu’elle était jeune, elle avait fait l’erreur d’invoquer un démon une fois et les conséquences auraient pu être terrible si sa mère, shamane de surcroit, n’avait pas été là pour réparer son erreur. La petite terranide n’était pas bien courageuse. C’était certes une dame forte et de conviction, apte à supporter sa vie assez lourde dans sa cage dorée mais malgré tout, elle savait pertinemment qu’il avait des choses à craindre plus que d’autre, et les démons étaient un peu une hantise chez cette dompteuse de magie occulte. Elle en servait d’ailleurs un et avait toutes les raisons de le craindre.
Une petite dague pendait à sa poitrine, elle s’en empara sans trop de conviction et passa sa tête discrètement. Oubliant le prolongement de son crâne par deux gigantesques et magnifique corne… autant dire que niveau discrétion c’était loin d’être ça. Heureusement pour elle, l’expérience désastreuse de sa jeunesse ne se reproduit pas. Aussitôt elle se jura de ne plus jamais recommencer sa seule, considérant que tout compte fait, sa crédibilité valait surement pas le prix d’une telle frayeur. C’est donc les jambes encore tremblante et sa dague rengainé dans son petit fourreau qu’elle s’approcha de ce qui ressemblait à une petite humaine. Elle ne la distinguait pas bien car à moitié enfouis dans un buisson. Ophelia se calma, sans trop comprendre ce qu’elle foutait là… la téléportation n’était pas trop le genre des sciences occultes. Et bien qu’elle n’avait pas une grande expérience avec les humains, elle ne se rappelait pas avoir vu pareil accoutrement. C’était… tellement léger, la pauvre humaine allait mourir de froid la dedans. La peau nue des humains n’était réellement pas faire pour pareil climat. La terranide était à présent derrière l’humaine, ses petits mains tendus vers elle, annonçant la nature de ses intentions bienveillante, comme quand l’on cherchait à rassurer un cheval un peu nerveux.
- Et alors toi… qu’est-ce que tu fais là ?
Le ton de sa voix était doux et mielleux à souhait, il s’agissait de ne pas l’effrayer. Et elle, contrairement à l’entièreté de la harde, elle ne haïssait pas les humains. Elle en avait peur bien sûr, et elle connaissait les atrocités dont ils étaient capables envers les siens. Mais ça ne leur donnait pas le droit selon elle, de faire la même chose en retour, ou de violenter femme et enfant. Aussi, décida-t-elle d’assumer cette pauvre petite. Elle l’avait fait venir dans ce triple enfer…
Enfer car elle était loin de toute civilisation humaine…
Enfer car elle était dans la forêt du terrifiant et sadique roi bouc…
Enfer car elle était avec une fine liquette sur le dos dans ce froid glacial…
La terranide posa doucement une main sur le dos de la jeune femme, pleine de compassion et d’empathie. Elle prit ensuite l’étoffe légère qui couvrait son buste, exposant une petite poitrine pointue aux mamelons rosés. La terranide posa ensuite se maigre tissu sur les épaules frêles de la jeune femme toujours en train de rendre dans son buisson. Peut-être un effet secondaire du maléfice qui c’était emparer d’elle.
La maigre couverture d’Ophelia ne suffirait pas à la réchauffer, elle devait l’emmener dans sa tente au plus vite… mais il y avait une série de garde à passer.
Elle y réfléchirait plus tard, pour l’heure il fallait dégager de là. Elle enroula ses mains autours des épaules de l’humaine et l’aida doucement à se relever, croisant enfin son regarde.
- N’aies pas peur… je vais t’aider, ne t’inquiète pas ! Mais ne cris pas, tu pourrais Les attirer. Je m'appel Ophélia... et toi ?
Les terres de glace / Garzaor le pillard ! [Pv Double-Lune]
« le: vendredi 06 juin 2014, 20:33:32 »Garzaor le terrible ! Un homme-bouc légèrement plus imposant que les autres, terrible fléaux des villages frontalier avec leur grand nord inhospitalier à la vie. Lui et son petit clan faisaient partis de la Harde du roi bouc, et il était tout naturellement sous les ordres direct de Gurzak.
Ce dernier avait depuis quelques mois lancé une tactique de harcèlement très agressive, comme le désirait son roi mégalomane aux désirs de conquête et de gloire.
Mais il était inutile de se leurrer et Gurzak comme son roi le savaient, leur armée n'avait pas la discipline et la maîtrise des armées humaines. Ils leur faillaient donc miser sur leur sauvagerie, leur bestialité et la peur qu'elle pourrait inspiré.
Garzaor, ainsi que bien beaucoup d'autre, avait donc reçu pour mission d'effectuer une série de razzia ultra violente et destructrice. Libérant le bétail, massacrant les hommes, violant à tour de rôle les femmes et les enfants, brûlant les maisons et les récoltes. Avec bien évidemment la fâcheuse tendance à laisser quelques survivants afin qu'ils racontent à l'horreur qu'il avait vu, et qui loue ses misérables dieux que ces monstres sans pitié ne l'ai pas vu alors qu'il se cachait dans la fange des porcs.
L'homme bouc avait rapidement démontré un certain savoir faire naturel, et son nom fut rapidement associé au cauchemar grandissant de l'homme bête violant les femmes et massacrant les hommes. On disait de lui qu'il faisait la taille de trois hommes, large comme deux, et que des flammes sortaient de sa bouche lorsqu'il hurlait. Des mythes bien entendu, mais la peur déforme souvent la réalité.
Son dernier raid avait été d'une rare violence, et de nombreuse femme et enfant... après avoir été bien évidemment violé à la chaine par tout les guerriers de Garzaor, furent enfermer dans l'église qui fut incendier. Leur cris résonnant dans l'immensité des plaines enneigées qui encerclaient le village.
Le maire du village fut miraculeusement parmi les survivants, et témoin de cette atrocité, avait immédiatement chargé un mercenaire de poursuivre et massacrer la horde de pillard.
On lui avait promis une somme très importante et toute la gratitude des seigneurs locaux. Mais la pauvre ne disposait que de très peu d'information... seulement d'un nom, afin de commencer sa traque : La forêt d'Urk
Un lieu sinistre, depuis longtemps en proie à des démons tout droit sorti des légendes urbaines locales. Un lieu où il ne fallait pas s'aventurer seul à ce qu'on disait... un lieu rempli d'arbre mort, torturé et sinueux donc le bois faisait de large nœud grisonnant.
Blabla / Re : Re : La plus grosse poitrine d'LGJ
« le: vendredi 06 juin 2014, 17:02:03 »Blabla / Re : Re : La plus grosse poitrine d'LGJ
« le: vendredi 06 juin 2014, 16:58:01 »Le roi bouc se souvient s'être enfilé une Rhox une fois... ça c'est de la femelle, nihéhéhéhé.