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« le: samedi 21 février 2015, 08:01:26 »
Marcus est heureux. Néanmoins des ressentis négatifs tels que de l'impatience, de la contrariété, et voire même de la détresse, sont venus s'insinuer et polluer ce moment d'intense plaisir. Il voulait ardemment prendre cette femme. Mais débordé par le florilège de nouvelles sensations qui l'assaillent, à l'instant crucial de la pénétration, le novice ne maîtrisait pas encore suffisamment ses gestes. Malgré sa grande motivation, il ne pouvait trouver l'entrée du paradis. Il doit encore apprendre à se contrôler et à savoir utiliser son corps pour en jouir au mieux.
Son chibre gonflé et tendu à l'extrême est bien trop écrasé et relevé contre le bas ventre de sa partenaire. Sa respiration trahis ce désagrément. Asceltys le compris. Avec une sensualité hypnotique, elle lui montre lentement les bons gestes. Tel un élève attentif, Marcus l'observe sagement prendre les choses en main. C'est le moins que l'on puisse dire. S'aidant d'une main, avec grâce et volupté, d'un savant mouvement de hanche le professeur vient d'elle même s'empaler sur son sexe.
A peine a t-elle amorcé son geste, que le jeune homme est pétrifié par cette sensation inconnue. Marcus découvre enfin le plaisir à l'état pure. Les deux sexes mouillés d'excitation coulissent lentement l'un dans l'autre. Son long membre s'impose petit à petit aux juteuses parois vaginales. Plus emboîté ils sont et plus il ressent l'extase tant recherchée.
Cet instant qu'il n'oubliera jamais est véritablement magique. Comme pour le punir d'oser lui donner du plaisir, Asceltys accompagne la fusion de leurs corps d'un profond gémissement qui ne fit alors qu'aggraver l'état d'excitation du jeune homme pourtant déjà au bord de l'explosion. Marcus respire fort. Il doit supporter cette jouissive épreuve et se dépasser pour que cet instant ne soit pas trop éphémère. Masqué par le puissant cri féminin, l'homme libère également un râle de plaisir.
OOOHHH
Ses yeux grands ouvert n'ont rien raté de l’événement. Le sublime corps féminin est maintenant parfaitement emboîté sur lui. Asceltys ouvre la bouche, se cambre en arrière et gémit encore de toute ses forces. De son côté, lui, au contraire, serre les dents et se contracte. Tous ses muscles sont tendus. Très bien ainsi, il en serait sagement resté là a ne plus bouger le temps que ses trop forts ressentis se calment. Mais c'était sans compter la gourmandise de sa partenaire. Celle ci profite alors de la force musculaire de son viril compagnon de jeu pour grimper sur ses hanches, le ceinturer de ses cuisses et se suspendre à sa verge.
Immédiatement, la pénétration s'accentue à l'extrême. La vulve et le clitoris vont jusqu'à embrasser et s'écraser contre l'aine masculine. Ce qui électrise d'avantage les deux amants. Marcus a tellement chaud que le haut des joues rougeoie. Sa verge bien plantée en elle ne peut plus bouger, elle occupe tout l'espace disponible. Il est heureusement surpris de la légèreté de celle qui le monte. Serait ce dû a l'adrénaline qui l'exalte ou à la faible masse osseuse de la belle colombe. La conjonction des deux très probablement.
Ses bras autour de ses épaules, elle se serre tout contre lui. Pour garder l'équilibre, Marcus se saisit des fesses rebondies. Ses doigts bien ouvert sont plantés dans la chair du postérieur féminin. La poitrine généreuse de sa cavalière manque de place et s'écrase sur son torse. Il doit à nouveau gérer une délicieuse contrariée. Depuis le premier instant de leur rencontre, le jeune homme avait rêvé de palper, de jouer et surtout de dévorer ces gros seins prétentieux. Ses bras étant sévèrement réquisitionnés et son visage trop éloigné, il ne lui restait que ses yeux pour mirer. Ceux-ci sont rivés sur ces deux appétissantes collines. Il répète désespérément.
Que j'ai soif de ton corps, si parfait.
L'affamé décide alors d'aller se venger plus bas. Revigorer par ces représailles, serrant les dents, il entame enfin le mouvement de vas et vient tant espéré par sa compagne. L'attente en a valut la peine. Elle ne sera pas déçue. La rude verge coulisse d'abord par de petits à coups maladroits. Mais très vite, l'élève trouve la bonne cadence et synchronise ses coups de bassins avec les appels féminins.
Les deux amants ont perdus la notion du temps. Ils se concentrent sur le rythme des obscènes bruits de succion mouillés que leurs sexes emboîtés font à chacun des allers et des retours.
Seulement le porteur a préjugé de son endurance. A chacun de ses allers, il se demande si le retour ne sera pas le dernier. Il lutte éperdument pour prolonger leurs plaisir. Repoussant encore et encore, l'extase qui le menace d'une fin prématurée.
Il se délecte de voir Asceltys faire danser ses seins devant lui, ceux-ci ballottent de haut en bas. Ses tétons hérissés griffent l'air. Quelle sublime vision. Par réflexe, Marcus entrouvre légèrement la bouche. Il désire tant s'y abreuver. Cette image fatale fini par le faire chavirer.
Une première explosion prenant naissance dans ses bourses bien accrochées, se propage le long de son chibre qui se contracte, pour autant que cela soit encore possible. L'éruption de sperme jaillit au sein même des entrailles de sa compagne. Il défaille et se vide en elle sans retenue. De nombreux jets chauds et généreux viennent la remplir. Marcus qui n'a enfin plus le statut de puceau lâche un puissant cri de jouissance et de remerciement à l'adresse des dieux.
RAAAAAAAHHHHHHH