Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lunettes

Pages: [1]
1
Prélude / Re : Lunettes_Tardis64_MDR
« le: mardi 21 janvier 2014, 00:11:13 »
Shad, ça se négocie. J'irai bien avec tes cheveux, je pense. Même s'ils ne sont pas assez TARDIS pour moi.

(Dr Who <3 David Tennant amour de ma vie)

Bien bien bien.
Eh ben. Merci Try, je pensais pas qu'une fiche faite à la va-vite dans le cadre d'un pari aurait droit à un si grand "Applause". Si j'avais su, j'y aurai passé plus de temps pour développer toutes mes idées de voyages et surtout la relation étroite qui m'unit au Docteur, tu vois. Je regrette presque d'avoir posté si vite >.<
HELL YEAH en tout cas je suis ravie que tu kiffes autant, Mate.

Darth > Si tu savais ce que j'ai vu... D'ailleurs, dans 50 ans t'as une sale tête, vieux.

2
Prélude / Re : Lunettes_Tardis64_MDR
« le: lundi 20 janvier 2014, 18:08:06 »
OH. Je me glisserai bien sur le haut de ton vêtement, toi. Entre tes seins accueillants.

(Thanks \o/)

3
Prélude / Re : Lunettes_Tardis64_MDR
« le: lundi 20 janvier 2014, 17:41:46 »
Connor, je réfute cette affirmation. La fille qui m'a acheté était une hipster mais je peux pas me l'encadrer. J'ai des aspirations bien au delà de cette simple catégorisation.

Dylan : OWI. Je cherche des partenaires de vue. Je pourrais lui raconter tout ce que j'ai pu admirer au cours de ma vie...

4
Prélude / Re : Lunettes_Tardis64_MDR
« le: lundi 20 janvier 2014, 17:34:29 »
T'as intérêt.

En attendant, je me considère ayant relevé le défi le plus con de ma vie.


Hey, hey, toi. T'as pas besoin de lunettes ?

5
Prélude / Lunettes_Tardis64_MDR [ Sexyanéalidées ! ]
« le: lundi 20 janvier 2014, 17:31:08 »
Nom/Prenom/Surnom : Lunettes_Tardis64_MDR

Âge : Quelques centaines d’années. Ou milliers. On est en quel siècle déjà ?

Sexe : J’ai deux queues. Vous voulez que je sois quoi, sérieusement ? Toujours à catégoriser… Je suis moi, et rien d’autres, vous voyez ?

Race : Cette rubrique est totalement ridicule. Enfin, ça se VOIT, vous voyez ?

Orientation sexuelle : Je suis docteurophile, à défaut d’être lunettophile. Mais j’aime bien les appendices auditifs et nasaux de ses amis, parfois. Il me prête, vous voyez ? Me partage.

Description physique :
Je rassemble les avantages de vos deux sexes les plus communs. J’ai le style. J’ai l’apparence suprême. Franchement, si je devais élever un nouvel idéal de beauté, ça serait moi.

Dude, I have a TARDIS blue.

Tu peux pas test. Personne a jamais fait plus élégant que ça. Une nuance de bleu qui brille un peu à la lumière, qui se reflète parfaitement dans tout type de… d’objet réfléchissant, je suppose. En tout cas, je suis bleu, vous voyez ? Mais pas seulement. J’ai des formes de ouf malade ! Je souligne parfaitement tous types d’yeux, même si ceux du Docteur sont les plus mis en valeur par ma splendide carrure. Je rehausse les regards tombants, accroche les coups d’œil trop ternes. Je donne de la vie à vos puits sans fond. J’éclaire votre teint, je le rends superbement frais.

J’englobe votre oreille sans que vous me sentiez forcément, et pourtant si vous prêtez attention, je suis là. Les autres me verront plus que vous, et pourtant je suis là. Tapi dans l’ombre de votre regard. On vous complimentera, et tout à coup vous vous rappellerez que j’existe, que j’accessoirise votre triste personne.

Vous vous demandez comment je peux prendre mon pied ? Eh bien voyez-vous que j’ai deux putains de jolies queues. Elles sont longues, dures, et toujours prêtes à l’emploi. Un peu tordues, elles vous procureront un plaisir sans pareil. Parfaitement symétriques et idéalement positionnées pour assurer confort et légèreté, vous remarquerez surtout leur absence. Le naturel, c’est de me laisser glisser le long de votre peau, épouser votre visage avec harmonie.

Notons que je peux également vous proposer un soulagement du stress par contact buccal, je me faufile parfaitement entre vos lèvres, aussi facilement qu’entre vos seins mesdemoiselles. Quand vous serez lassées de m’exposer à la face du monde, voyez-vous, je peux être plié et accroché dans votre décolleté pour caresser la peau de vos seins avec finesse et habileté. Des siècles d’expérience.

Ah et pour les curieux je laisse ici un petit témoignage de mon excitation. Mineurs s’abstenir. Là-dessus, je bande. ET JE SAIS QUE CA T’EXCITES, TU VOIS ?

Viens chercher bonheur

Caractère :

Il n’y a qu’une seule chose que vous devez savoir.

Je ne suis qu’amour pour le Docteur. Il m’a libéré, il m’a aimé pour ce que je suis. Et surtout, il m’a rendu unique. La première phrase qu’il prononça fut la suivante :

« Un bleu Tardis, ça ne se refuse pas. J’ai toujours trouvé qu’il manquait quelque chose à mon costume. Allons-y, Alonso ! »

Je ne sais pas bien qui était cet Alonso, toujours est-il qu’il inventa cette couleur pour moi. Je lui en suis reconnaissant encore maintenant. En me faisant voyager dans l’espace et le temps, j’ai même pu devenir la première paire de lunettes vue dans l’histoire de la planète Terre. Et la dernière, aussi, puisqu’à New New New New New New New New New New York, tout le monde subissait une opération pour recouvrir une vue parfaite. J’ai donc visité l’entièreté de l’existence de ma race. Je suis différent depuis lors. Je n’ai plus jamais été le même.

Changé à jamais, je me considère comme unique en mon genre. Comme le Docteur, le dernier specimen d’une espèce. Je me sens donc terriblement seul depuis mon abandon, et je n’arrive pas à lier de liens avec les autres lunettes, ni même avec d’autres humanoïdes. Je cherche quelqu’un qui pourra me faire découvrir d’aussi fantastiques paysages et aventures. Sauver le monde est passionnant. Je doute que quiconque puisse reproduire ce miracle.

Si je ne trouve pas je pense que… Je vais devoir finir par rejoindre ma fin. L’Usine, puis le Recyclage. Je pourrais refaire ma vie en constituant d’autres objets aussi bleu TARDIS que moi. Le Docteur serait fier de moi. En l’attente de quelqu’un qui pourrait m’aimer à ma juste valeur, je louche du côté de ma fin. J’ai vu trop de choses, j’ai regardé en face trop de beautés impossibles. Il est temps que je laisse le voile tomber sur mon champ de vision, vous voyez ?

ET SINON, pour des réjouissances plus pragmatiques… J’adore lire. Du hentai. Et regarder. Du hentai. Et fantasmer. Du hentai. Je me branle contre les pires mangas que je peux trouver, j’ai une belle petite collection chez moi. Pour oublier, et puisque je ne peux pas boire, je me plonge entre les seins rebondis, les chattes épilées, les intestins apparents de ces japonaises aussi cochonnes qu’irréelles. J’aime les voir prises par des tentacules, capturées, déguisées, dressées sur des mâts de chair démesurés et jamais épuisés. J’aime le côté impossible, l’aspect fantasme. Je me délecte des tétons dressés, des clitoris frémissants et des lèvres relevées sur des gémissements que je devine.

Je peux vous montrer ce que je donne en pleine action. Encore une fois, cette photo pourrait choquer les plus jeunes. Soyez avertis.

Here, here !

Histoire : C’est là que ça devient intéressant.

A la base, j’étais juste une paire de lunettes ordinaire. Enfin, de luxe, hein. Mais je n’avais rien de particulier. Je sortais de mon usine, pressé de découvrir le monde et ses mystères. J’avais tant à voir ! J’étais impatient de pouvoir observer ce que les anciens m’avaient racontés. De retour, bons pour la casse et le recyclage, ils m’avaient crié en s’éloignant sur le Tapis Roulant de la Destruction : « ne laisse jamais personne te porter qui n’en soit pas digne, gamin ! ». Je n'ai jamais oublié.

Fort de cet encouragement, je me suis courageusement jeté dans le monde impitoyable du commerce. Des nouveaux comme moi, il y en avait à la pelle. Je n’étais plus unique, je n’étais qu’un parmi tant d’autres. J’ai vécu une vie trop éloignée de mes rêves de grandeur, porté par une sale hipster qui ne voyageait que dans sa tête. Elle m’a choisi, et malgré mes efforts pour gonfler mon prix et échapper à son porte-monnaie, elle fut sans pitié et alla jusqu’à emprunter à ses parents pour m’obtenir. Les vieux fous qui avaient participé à ma capture sont à présents atteints de dégénérescence maculaire.

On ne déconne pas avec moi, vous voyez.

Après une vie de quelques années élevé comme un trophée, admiré et montré à la face du monde, je fus relégué dans un tiroir, victime de la poussière et du temps. J’ai cru perdre de ma couleur, mais mon monde était si noir qu’il m’était impossible de réellement savoir ce qu’il en était. Le temps a passé encore, et un beau jour je fus ressorti de ce tombeau. Aveuglé par la lumière du jour, je suis arrivée dans les mains du Docteur. Il ne m’a jamais raconté comment, pourtant c’était un beau jour. Le jour de ma renaissance. Il m’a juste trouvé, ramassé, mis sur son nez. Et il est tombé amoureux de mon style, de mes formes et de ma prestance. Il a décidé de m’emmener très loin d’ici, de me faire voir des paysages secrets et inconnus encore de ma génération.

J’ai assisté à la chute de Gallifrey, j’ai rencontré les Oods, combattu les Daleks. Aaaaah, les Daleks. Le docteur m’avait renforcé grâce à son célèbre tournevis sonique, et j’ai pu stopper un rayon destructeur par la seule force de mes verres. J’ai eu moins de chance avec les Cybermen, qui m’écrasèrent, me laissant pour mort jusqu’à ce que le Docteur me ramène à la vie et me modèle, me procurant divers orgasmes jusqu’à me rendre ma forme originelle. J’ai regardé le soleil d’une autre galaxie brûler ceux qui le dépossédaient, j’ai protégé ses yeux de rivières de diamants. Tant de choses, tant de nouveautés. Tant de visions surréalistes. Lui et moi, dans le futur, le passé, le néant.

Nous nous sommes protégés l’un l’autre. Il a veillé sur moi comme j’ai veillé sur lui. Et la fin fut tragique. Lors de sa mort, il se régénéra. Et le nouveau Docteur… Oh, comment vous conter cette terrible douleur, cette souffrance innommable qui s’empara alors de moi ? Le nouveau Docteur, il…






Il préféra continuer de sauver l’univers aux côtés d’un nœud papillon.


Situation de départ :
Oh oh oh, petits coquinous ! Vous voulez vraiment savoir ? Au vu de mes fréquentations et de mes passions, j’ai eu de nombreuses expériences. Dès que je suis abandonnée sur une table, un lit, le bord d’une fenêtre, je me jette sur mes branches pour caresser mes DEUX membres turgescents, rappelons-le. Donc la masturbation, c’est au bas mot une dizaine de fois par jour, vous voyez.
Avec les autres ?

Ah.

Eh bien. Je suis seul représentant de ma race, la lunette TARDIS, donc… PAR CONTRE, je fais continuellement l’amour aux belles, douces et fermes oreilles du Docteur. Je me frotte parfois contre ses lobes, parfois contre son hélix. Je viens alors doucement m’appuyer sur la racine de son hélix droit ou gauche, le mieux étant les deux en même temps. Mais ce que je préfère, c’est quand il se montre maladroit et que je peux alors glisser mes excroissances sur sa fossette scaphoïde, ou comble de la joie, sur ses conques. Le reste de mon corps aime à s’asseoir sur l’arrête de son nez, frôlant de temps à autre ses narines, le faisant frissonner.

Bref. J’ai le style, vous voyez.

Mais ça c'était avant. Je cherche une autre personnalité aussi forte qui puise m'inspirer. Vous ne le regretterez pas. Je suis la Lunette TARDIS.

Je peux vous faire voir l'infini et au delàààà

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