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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 28 décembre 2013, 18:26:39 »
18:27
C'est une des rare fois ou je n'ai plus aucun RP a répondre...
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Les terres sauvages / Re : Au bon désir de la reine [Opala]
« le: samedi 28 décembre 2013, 15:52:14 »
Alors que la reine prenait place, elle pris le temps de mieux jauger l'attitude du peintre, pendant que les serviteurs s'affairaient a l'éventer la pièce de leur éventails scandaleusement grands. La reine resta parfaitement immobile, fixant devant elle, visiblement ayant déjà eu de l'expérience dans la pose - plus que ce que Kelsier pouvait probablement s'imaginer - car si la Reine n'en faisait pas l'étalage, elle était en effet friande de portraits, et refusait rarement une peinture ou une sculpture d'elle ou un membre de la famille royale, ses préférés étant bien sûr les représentations de son animal de compagnie, qu'elle trouvait trop souvent oublié malgré sa présence cruciale dans sa vie de tous les jours.
Elle se demanda, lorsqu'il parla de ses esquisses, alors pourquoi ses peintures, a part la dernière, donnait des émotions aussi négatives? Le but de la peinture n'était-elle pas pour être appréciée sereinement? Ceci dit, elle se douta qu'il s'agissait d'une question peut-être totalement subjective, et qu'elle ferait mieux de s'abstenir de soulever cette question sous peine de se retrouver avec un peintre froissé sur les bras...
Elle se douta néanmoins que si la peinture de la noble de plus tôt donnait des sentiment bien distinct, elle était fort curieuse de voir ce que donneraient ses propre peintures... Sans nul doute, ce serait très probablement spectaculaire, et l'impatience lui fit dresser un fin sourire au coin des lèvres.
Après de longue minutes, elle put enfin se détendre pour apercevoir le début de l'oeuvre, et sursauta a sa question. La colorer? Pourquoi l'avait-elle fait venir de si loin, si c'était pour finir avec un simple croquis? Elle garda son sang froid néanmoins a cette question, et répondit avec toute la douceur accordée à son rang:
" Eh bien, oui bien sûr ! Je suis impatiente de voir ce que cela donnera. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je vous en prie, des serviteurs seront à vos côtés pour vous soutenir. "
Un ronronnement curieux provint de dessous du peintre, alors que la panthère avait encore serpenté furtivement derrière lui pour calmement se placer devant le dessin, et l'observer, comme si l'animal lui-même était sensible à l'art, et pencha sa tête sur le côté avec un air curieux. Cette attitude quasi-humaine fit glousser Opala, qui gratifia l'animal d'une caresse sur la tête.
Elle se demanda, lorsqu'il parla de ses esquisses, alors pourquoi ses peintures, a part la dernière, donnait des émotions aussi négatives? Le but de la peinture n'était-elle pas pour être appréciée sereinement? Ceci dit, elle se douta qu'il s'agissait d'une question peut-être totalement subjective, et qu'elle ferait mieux de s'abstenir de soulever cette question sous peine de se retrouver avec un peintre froissé sur les bras...
Elle se douta néanmoins que si la peinture de la noble de plus tôt donnait des sentiment bien distinct, elle était fort curieuse de voir ce que donneraient ses propre peintures... Sans nul doute, ce serait très probablement spectaculaire, et l'impatience lui fit dresser un fin sourire au coin des lèvres.
Après de longue minutes, elle put enfin se détendre pour apercevoir le début de l'oeuvre, et sursauta a sa question. La colorer? Pourquoi l'avait-elle fait venir de si loin, si c'était pour finir avec un simple croquis? Elle garda son sang froid néanmoins a cette question, et répondit avec toute la douceur accordée à son rang:
" Eh bien, oui bien sûr ! Je suis impatiente de voir ce que cela donnera. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je vous en prie, des serviteurs seront à vos côtés pour vous soutenir. "
Un ronronnement curieux provint de dessous du peintre, alors que la panthère avait encore serpenté furtivement derrière lui pour calmement se placer devant le dessin, et l'observer, comme si l'animal lui-même était sensible à l'art, et pencha sa tête sur le côté avec un air curieux. Cette attitude quasi-humaine fit glousser Opala, qui gratifia l'animal d'une caresse sur la tête.
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Les landes dévastées / Re : Un cours sexuel pour une déesse [PV Opala]
« le: lundi 02 décembre 2013, 09:11:37 »
Il est vrai que pour la Reine, une telle relation avec une déesse aurait été la première fois. Bien sûr il n'est pas rare qu'elle doive servir les dieux en personne, mais elle n'avait jamais eu de membre du panthéon de sexe féminin dans son lit, ce qui la rendait légèrement troublée sur la marche à suivre. Heureusement que cette dernière lui rappella une chose toute simple qui lui permettrait d'arrêter de se caler sur cette nouveauté: il suffisait de la considérer comme n'importe quelle autre vierge. Si c'était aussi simple, après tout...
Opala s'allongea sur le lit en compagnie de la déesse, vérifiant une petite commode disposée a coté du lit, jetant un coup d'oeil bref dans un tiroir avant de le refermer, probablement les futures surprises réservées à sa partenaire d'aujourd'hui... Et en parlant de surprise, la reine ne put s'empêcher de pousser un couinement lorsqu'elle sentit la tête douce de Sebastillion se presser contre son dos, visiblement réclamant aussi quelques attentions. Au vu de la situation, Opala se doutait que Bastet aurait préféré n'être qu'à deux, et donc demanda à sa panthère de l'attendre au pied du lit... Si il ne pouvait pas participer, il aurait au moins le loisir d'observer: elle s'occuperait de lui plus tard.
Elle s'approcha doucement de Bastet, rampant au-dessus d'elle, avant de se placer au dessus, avec un genou entre les jambes de la déesse pour presser contre son sexe doucement. Au même moment, ses mains s'emparèrent de sa poitrine, et ses lèvres entrèrent en contact avec celle de la déesse. Elle resta ainsi un petit moment, avant de risquer sa langue plus loin... Essayant de mettre la déesse la plus à l'aise possible, essayant de pousser les bons boutons afin de lui laisser prendre les initiatives comme elle le désire. Il n'y avait, après tout, rien de plus gratifiant que déclencher les envies chez l'autre et le laisser "s'exprimer"...
Opala s'allongea sur le lit en compagnie de la déesse, vérifiant une petite commode disposée a coté du lit, jetant un coup d'oeil bref dans un tiroir avant de le refermer, probablement les futures surprises réservées à sa partenaire d'aujourd'hui... Et en parlant de surprise, la reine ne put s'empêcher de pousser un couinement lorsqu'elle sentit la tête douce de Sebastillion se presser contre son dos, visiblement réclamant aussi quelques attentions. Au vu de la situation, Opala se doutait que Bastet aurait préféré n'être qu'à deux, et donc demanda à sa panthère de l'attendre au pied du lit... Si il ne pouvait pas participer, il aurait au moins le loisir d'observer: elle s'occuperait de lui plus tard.
Elle s'approcha doucement de Bastet, rampant au-dessus d'elle, avant de se placer au dessus, avec un genou entre les jambes de la déesse pour presser contre son sexe doucement. Au même moment, ses mains s'emparèrent de sa poitrine, et ses lèvres entrèrent en contact avec celle de la déesse. Elle resta ainsi un petit moment, avant de risquer sa langue plus loin... Essayant de mettre la déesse la plus à l'aise possible, essayant de pousser les bons boutons afin de lui laisser prendre les initiatives comme elle le désire. Il n'y avait, après tout, rien de plus gratifiant que déclencher les envies chez l'autre et le laisser "s'exprimer"...
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Les landes dévastées / Re : Un cours sexuel pour une déesse [PV Opala]
« le: vendredi 29 novembre 2013, 09:58:39 »
Opala avait un peu de mal à suivre Bastet, qui contredisait certaines chose dont les grand prêtres n'avaient suffi de raconter lorsqu'elle était encore enfant, la bercant de leurs histoires a propos des déboires, aventures et relations des dieux. Mais après tout, la parole d'une divinité n'est-elle pas la plus authentique des preuves? Opala regarda un peu plus bas, sans remarquer que son regard était grossièrement plongé sur la poitrine de la déesse, alors qu'elle était perdue dans ses pensées et n'avait pas remarqué.
Ce ne fut que lorsqu'Opala baissa un peu les mains dans le creux des reins de la Déesse qu'elle sentit le frisson la parcourant, la ramenant un peu a la réalité, avant de constater deux petites pointes, néamoins de taille respectable, se former sous les vêtements de Bastet. Elle souris, amusée de voir ce genre de réaction, comme si elle était prisonnière de son corps comme tous les mortels, forcées à souffir de ses besoins et ses envies sans contrôle sur eux. Au bout du compte, peut-être qu'être de lignée divine ne l'écartait pas tant que ça de l'humanité la plus banale.
" Je comprends. Je ferai au mieux de moi-même pour vous aider, déesse. "
Elle s'approcha alors de son lit, tirant un peu les draps de couleur or du corps de la servante endormie, qui se réveilla brusquement. Opala la calma de quelques mots en tamoul, avant que celle-ci ne s'occupe que de sécher la souveraine de manière rapide, après que celle-ci ait invité Bastet à se mettre à l'aise. Confuse, la servante s'empressa de partir, visiblement très perturbée par l'apparition d'un personnage aussi étrange, dont elle n'osait croire qu'il s'agissait d'un être divin. Peut-être n'étais-ce qu'un reflet de soleil qui l'avait trop éblouie...
Une fois seules, Opala se coucha de moitié sur le lit, alors que Sebastillion resta couché à les observer, ne bougeant pas de son endroit et s'étendit sur le sol dans un baîllement, montrant les rangées de crocs de sa gueule à la machoire puissante, avant de nicher son museau sous une patte. La reine, elle, observait plutôt la déesse, se demandant bien par où commencer... Seulement sa mère dispensait ce genre d'éducation, mais pas elle !
Ce ne fut que lorsqu'Opala baissa un peu les mains dans le creux des reins de la Déesse qu'elle sentit le frisson la parcourant, la ramenant un peu a la réalité, avant de constater deux petites pointes, néamoins de taille respectable, se former sous les vêtements de Bastet. Elle souris, amusée de voir ce genre de réaction, comme si elle était prisonnière de son corps comme tous les mortels, forcées à souffir de ses besoins et ses envies sans contrôle sur eux. Au bout du compte, peut-être qu'être de lignée divine ne l'écartait pas tant que ça de l'humanité la plus banale.
" Je comprends. Je ferai au mieux de moi-même pour vous aider, déesse. "
Elle s'approcha alors de son lit, tirant un peu les draps de couleur or du corps de la servante endormie, qui se réveilla brusquement. Opala la calma de quelques mots en tamoul, avant que celle-ci ne s'occupe que de sécher la souveraine de manière rapide, après que celle-ci ait invité Bastet à se mettre à l'aise. Confuse, la servante s'empressa de partir, visiblement très perturbée par l'apparition d'un personnage aussi étrange, dont elle n'osait croire qu'il s'agissait d'un être divin. Peut-être n'étais-ce qu'un reflet de soleil qui l'avait trop éblouie...
Une fois seules, Opala se coucha de moitié sur le lit, alors que Sebastillion resta couché à les observer, ne bougeant pas de son endroit et s'étendit sur le sol dans un baîllement, montrant les rangées de crocs de sa gueule à la machoire puissante, avant de nicher son museau sous une patte. La reine, elle, observait plutôt la déesse, se demandant bien par où commencer... Seulement sa mère dispensait ce genre d'éducation, mais pas elle !
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Les terres sauvages / Re : Au bon désir de la reine [Opala]
« le: vendredi 29 novembre 2013, 09:38:49 »
Elle ne put s'empêcher d'arquer un sourcil. Ne connaissant que le côté très technique des artistes de Curiyan, Opala ne voyait que les artistes les plus "créatifs" (loufoques diront certains) que depuis récemment, avec l'arrivée des artistes étranger et autres mécènes venus faire la promotion de leur art auprès des nobles Curiyans, ainsi que les galeries. L'expression de soi était fort nouvelle dans leur royaume, car l'art ne se résumait, en général, qu'à commémorer des évènements, représenter des personnes importantes, ect. La question des émotions était largement laissée de côté, au profit de la précision technique. Même si les plus conservateurs n'y voyait là que fantaisie, les plus ouvert accueillaient cette nouvelle notion avec joie...
Quant à Opala, elle se demandait juste si il était présomptueux ou juste maladroit, même si elle songea plutôt à la seconde proposition.
Elle regarda rapidement le carnet, sans vraiment comprendre. Il s'agissait de représentations, un peu brouillonnes dans leur réalisations mais précise dans leur constructions, faite de papier différent du leur, et surtout dessiné par une matière qu'elle ne connaissait pas: ce n'était pas de l'encre...
Dans sa confusion, elle préféra poliment rendre la chemise en carton, avant de reprendre:
" Bon, comme vous préférez... Pouvons nous nous y mettre maintenant alors? "
Ce fut avec une sorte de moue que Sebastillion s'écarta, jetant un regard vers le peintre alors que le large animal alla s'affaler plus loin dans la pièce, tel un paresseux félin. Mais Sebastillion, loin de partager les attitude de ses plus petits congénères: il gardait toujours un oeil attentif.
Durant ce temps, Opala avait fait venir quelques serviteurs - pour la plupart, des esclaves n'ayant pas voulu quitter leur service - déposèrent des tabourets, et notamment des gigantesques éventails fabriqué a partir de plumes d'un large oiseau Curiyan, une sorte d'autruche l'attitude bien plus noble que son original congénère, et notamment démarqué par ses plumes gigantesques semblables à celle d'un paon.
Quant à Opala, elle se demandait juste si il était présomptueux ou juste maladroit, même si elle songea plutôt à la seconde proposition.
Elle regarda rapidement le carnet, sans vraiment comprendre. Il s'agissait de représentations, un peu brouillonnes dans leur réalisations mais précise dans leur constructions, faite de papier différent du leur, et surtout dessiné par une matière qu'elle ne connaissait pas: ce n'était pas de l'encre...
Dans sa confusion, elle préféra poliment rendre la chemise en carton, avant de reprendre:
" Bon, comme vous préférez... Pouvons nous nous y mettre maintenant alors? "
Ce fut avec une sorte de moue que Sebastillion s'écarta, jetant un regard vers le peintre alors que le large animal alla s'affaler plus loin dans la pièce, tel un paresseux félin. Mais Sebastillion, loin de partager les attitude de ses plus petits congénères: il gardait toujours un oeil attentif.
Durant ce temps, Opala avait fait venir quelques serviteurs - pour la plupart, des esclaves n'ayant pas voulu quitter leur service - déposèrent des tabourets, et notamment des gigantesques éventails fabriqué a partir de plumes d'un large oiseau Curiyan, une sorte d'autruche l'attitude bien plus noble que son original congénère, et notamment démarqué par ses plumes gigantesques semblables à celle d'un paon.
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Les landes dévastées / Re : Un cours sexuel pour une déesse [PV Opala]
« le: mercredi 27 novembre 2013, 21:44:07 »
Pour Opala non plus, la présence de la déesse ne lui avait pas provoqué un certain tilt, ne ressentant aucune aura, rien. Encore fallait-il pour Opala d'être capable de les ressentir, ne connaissant pas la magie comme sa soeur, et donc incapable de près ou de loin à une quelconque sensibilité aux auras. Elle regarda donc l'étrange femme-chacal, assise sur son lit, alors que la servante est toujours assoupie du sommeil du juste.
" Elle est... Pratique en tant que diversion. "
Avoua-t-elle. Il est vrai que au vu de la menace que représentait sa soeur Osira, il était de mise à mettre en place des "poupées" sensée personnifier la Reine si elle devait se présenter a un évènement qui la mettrait particulièrement vulnérable, notamment si sa soeur viendrait pour tendre un piège. Néanmoins, elle ne servait a rien ici, sinon amuser la monarque d'une toute autre manière.
" Bastet...? "
Répéta-t-elle, apparement incrédule. Bastet, la déesse ? Avec un peu de réflexion, c'était en effet a quoi elle ressemblait, et voilà pourquoi elle lui rappelait quelque chose: elle lui offrait souvent des prières, notamment au vu de sa relation avec Sebastillion, mais aussi pour ses protections envers les enfants.
" Une forme adulte, déesse ? Mais vous avez toujours été adulte depuis votre création, non ? "
Opala avait déjà dû avoir affaire aux envies charnelles des dieux: ce n'était pas étonnant lorsqu'on était une héritière de la déité de la fertilité, et les êtres divins aimant tant se chamailler parfois ne s'embarassent pas des relations afin de s'assurer une descendance, utilisant les reines comme "solution de secours". Ou bien comme vide-couille.
" Ce n'est pas nouveau parmi les cieux, Déesse. Bien d'autres êtres divins sont venus visiter notre famille... Mais comment se fait-il que cela ne se manifeste que maintenant ? Vous avez toujours veillé sur notre cité depuis qu'elle existe... "
Mais si ce n'est pas le but de la visite de Bastet, bien plus étonnant était le pourquoi: une éducation sexuelle. Elle se laissa enlacer, sa peau hâlée luisant sous l'eau.
" Moi...? Vous enseigner l'art de la chair ?... Déesse... Au risque de vous offenser, êtes vous sûre de ce que vous dites? Je serai très honorée de vous enseigner ce que ma mère m'as appris, mais j'ai du mal a concevoir qu'une déesse vienne me demander conseil, et non l'inverse... "
" Elle est... Pratique en tant que diversion. "
Avoua-t-elle. Il est vrai que au vu de la menace que représentait sa soeur Osira, il était de mise à mettre en place des "poupées" sensée personnifier la Reine si elle devait se présenter a un évènement qui la mettrait particulièrement vulnérable, notamment si sa soeur viendrait pour tendre un piège. Néanmoins, elle ne servait a rien ici, sinon amuser la monarque d'une toute autre manière.
" Bastet...? "
Répéta-t-elle, apparement incrédule. Bastet, la déesse ? Avec un peu de réflexion, c'était en effet a quoi elle ressemblait, et voilà pourquoi elle lui rappelait quelque chose: elle lui offrait souvent des prières, notamment au vu de sa relation avec Sebastillion, mais aussi pour ses protections envers les enfants.
" Une forme adulte, déesse ? Mais vous avez toujours été adulte depuis votre création, non ? "
Opala avait déjà dû avoir affaire aux envies charnelles des dieux: ce n'était pas étonnant lorsqu'on était une héritière de la déité de la fertilité, et les êtres divins aimant tant se chamailler parfois ne s'embarassent pas des relations afin de s'assurer une descendance, utilisant les reines comme "solution de secours". Ou bien comme vide-couille.
" Ce n'est pas nouveau parmi les cieux, Déesse. Bien d'autres êtres divins sont venus visiter notre famille... Mais comment se fait-il que cela ne se manifeste que maintenant ? Vous avez toujours veillé sur notre cité depuis qu'elle existe... "
Mais si ce n'est pas le but de la visite de Bastet, bien plus étonnant était le pourquoi: une éducation sexuelle. Elle se laissa enlacer, sa peau hâlée luisant sous l'eau.
" Moi...? Vous enseigner l'art de la chair ?... Déesse... Au risque de vous offenser, êtes vous sûre de ce que vous dites? Je serai très honorée de vous enseigner ce que ma mère m'as appris, mais j'ai du mal a concevoir qu'une déesse vienne me demander conseil, et non l'inverse... "
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Les landes dévastées / Re : Un cours sexuel pour une déesse [PV Opala]
« le: mercredi 27 novembre 2013, 20:30:35 »
Durant ce temps, la Reine s'était accordée un petit moment seul dans les bains royaux. Perdue au milieu d'une montagne de mousse grâce au fameux "savon", importé de Nexus, plus besoin des produit parfois assez désagréable a sentir des apothicaires pour prendre soin d'elle-même: non seulement c'était doux, parfumé, et c'était fort amusant d'ennuyer sa panthère avec la mousse de son bain.
Un plaisir qui, a sa grande surprise, ne serait pas le sien vu l'absence notable du dit félin, qui d'habitude se trouve toujours proche d'elle, même - et surtout - lorsqu'elle prends son bain, s'occupant souvent du passage de "nettoyage"...
" Sebastillion ? Sebastillion, où es-tu ? "
Inquiète de l'étrange absence de son animal de compagnie, Opala se força donc à sortir de l'eau, totalement nue, et ne pris même pas la peine de se rhabiller, juste se sécher de manière rapide pour éviter de laisser une traînée d'eau après elle. Dans sa chambre, quelle ne fut pas sa surprise de trouver une bien étrange personne, assise sur son lit, a regarder une de ses servantes dormir. La pauvre était passée sous les désirs de sa Reine, probablement dû a leur forte ressemblance physique au niveau du visage, faisant d'elle une sorte de sosie. Etais-ce l'unique raison pour laquelle Opala l'avait finie dans son lit? Peut-être pas, mais sans nul doute un important facteur.
Mais le pire pour la beauté a la peau luisante, c'était que Sebastillion contrairement à d'habitude ne montrait absolument aucun signe de méfiance ou d'agressivité, au contraire se complaisant a se coller dans sa main pour se faire caresser la tête. Etrangement pour Opala, cette personne lui rappellait quelqu'un... Elle était certaine avoir vu cette figure plus d'une fois, mais où?
" Qui êtes-vous ? Que faites-vous dans ma chambre ?! "
Un plaisir qui, a sa grande surprise, ne serait pas le sien vu l'absence notable du dit félin, qui d'habitude se trouve toujours proche d'elle, même - et surtout - lorsqu'elle prends son bain, s'occupant souvent du passage de "nettoyage"...
" Sebastillion ? Sebastillion, où es-tu ? "
Inquiète de l'étrange absence de son animal de compagnie, Opala se força donc à sortir de l'eau, totalement nue, et ne pris même pas la peine de se rhabiller, juste se sécher de manière rapide pour éviter de laisser une traînée d'eau après elle. Dans sa chambre, quelle ne fut pas sa surprise de trouver une bien étrange personne, assise sur son lit, a regarder une de ses servantes dormir. La pauvre était passée sous les désirs de sa Reine, probablement dû a leur forte ressemblance physique au niveau du visage, faisant d'elle une sorte de sosie. Etais-ce l'unique raison pour laquelle Opala l'avait finie dans son lit? Peut-être pas, mais sans nul doute un important facteur.
Mais le pire pour la beauté a la peau luisante, c'était que Sebastillion contrairement à d'habitude ne montrait absolument aucun signe de méfiance ou d'agressivité, au contraire se complaisant a se coller dans sa main pour se faire caresser la tête. Etrangement pour Opala, cette personne lui rappellait quelqu'un... Elle était certaine avoir vu cette figure plus d'une fois, mais où?
" Qui êtes-vous ? Que faites-vous dans ma chambre ?! "
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Les terres sauvages / Re : Au bon désir de la reine [Opala]
« le: mercredi 27 novembre 2013, 18:19:41 »
Son attente ne fut pas aussi longue que prévue. Si les intendants et autres étaient des bureaucrates chevronnés et faisaient passer l'administration du pays comme un cauchemar Kafkaien, il était soulageant de constater que les principaux intéressés, eux, étaient bien moins froids. Du bout du couloir, le son distinctif du tintement d'une masse de bracelets se faisait entendre, et se rapprochait, avec des bruit de pas sur du carrelage. Accompagné de cela, des voix, une masculine et féminine.
" என் சகோதரி எந்த செய்தி ? "
" சமீபத்திய நடவடிக்கைகள் குறிப்பிட்டார், மற்றும் எங்கள் ஆதாரங்கள் அவரது திசையில் சுட்டி தெரிகிறது ... "
" பிடி. "
Alors que les portes s'ouvrirent, se fut la figure de la monarche elle-même, vêtue de sa typique robe blanche couvrant avec peine ses formes, remontées sur des talons haut nexusiens importé dont elle ne se sépare plus, qui l'accueillit. Derrière se tenait un homme de grande stature, qui revêtait une tenue typique des gardes aperçu a l'entrée mais avec de nombreuses différences, notamment au niveau de la sophistication, indiquant très probablement son grade. Sa présence juste a côté de la reine pour cet aparté ne faisait que renforcer cet idée, étant effectivement le capitaine des gardes venu confier ses craintes avec la souveraine quant aux dernières nouvelles venant des poste-frontières. La reine, en revanche, s'exprima en Commun de manière très claire, sans accent.
" Maître Kelsier ? "
Elle sourit et s'approcha, suivi du tintement caractéristique des multitude de bracelets et bijoux sur ses bras et autour de sa taille.
" Je suppose que vous devez vous demander ce que vous faites là? Je suis désolée d'avoir omis ajouter un motif a ma demande... J'ai entendu dire que vous étiez un très illustre peintre des contrées extérieures, et je meurs d'envie de voir l'art étranger a l'oeuvre ! J'aimerai que vous fassiez un portrait pour moi... "
Alors qu'un grognement sourd parvint de derrière le peintre, une énorme panthère noire s'était faufilée derrière lui et tourna derrière sa maîtresse, avant de s'assoir et le dévisager avec comme un air de défi et de méfiance de la par du félin, que la reine se mit a caresser les oreilles.
" Je vous présente Sebastillion, mon garde du corps et ami. Je vous laisse choisir votre sujet entre nous deux, je suis impatiente de voir le résultat! "
Dit-elle avec un sourire, alors que l'animal semblait se calmer rapidement sous les gratouille de sa maîtresse.
" என் சகோதரி எந்த செய்தி ? "
" சமீபத்திய நடவடிக்கைகள் குறிப்பிட்டார், மற்றும் எங்கள் ஆதாரங்கள் அவரது திசையில் சுட்டி தெரிகிறது ... "
" பிடி. "
Alors que les portes s'ouvrirent, se fut la figure de la monarche elle-même, vêtue de sa typique robe blanche couvrant avec peine ses formes, remontées sur des talons haut nexusiens importé dont elle ne se sépare plus, qui l'accueillit. Derrière se tenait un homme de grande stature, qui revêtait une tenue typique des gardes aperçu a l'entrée mais avec de nombreuses différences, notamment au niveau de la sophistication, indiquant très probablement son grade. Sa présence juste a côté de la reine pour cet aparté ne faisait que renforcer cet idée, étant effectivement le capitaine des gardes venu confier ses craintes avec la souveraine quant aux dernières nouvelles venant des poste-frontières. La reine, en revanche, s'exprima en Commun de manière très claire, sans accent.
" Maître Kelsier ? "
Elle sourit et s'approcha, suivi du tintement caractéristique des multitude de bracelets et bijoux sur ses bras et autour de sa taille.
" Je suppose que vous devez vous demander ce que vous faites là? Je suis désolée d'avoir omis ajouter un motif a ma demande... J'ai entendu dire que vous étiez un très illustre peintre des contrées extérieures, et je meurs d'envie de voir l'art étranger a l'oeuvre ! J'aimerai que vous fassiez un portrait pour moi... "
Alors qu'un grognement sourd parvint de derrière le peintre, une énorme panthère noire s'était faufilée derrière lui et tourna derrière sa maîtresse, avant de s'assoir et le dévisager avec comme un air de défi et de méfiance de la par du félin, que la reine se mit a caresser les oreilles.
" Je vous présente Sebastillion, mon garde du corps et ami. Je vous laisse choisir votre sujet entre nous deux, je suis impatiente de voir le résultat! "
Dit-elle avec un sourire, alors que l'animal semblait se calmer rapidement sous les gratouille de sa maîtresse.
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Prélude / Re : Opala - la Reine (Valiprimée !)
« le: mardi 26 novembre 2013, 10:43:04 »
Le désert est effectivement sur Terra, sur les landes dévastées (le plus proche d'un désert selon moi)
Quand a la fécondité, c'est un trait unique a la famille royale, "prouvant" leur origines divines. Voilà!
Quand a la fécondité, c'est un trait unique a la famille royale, "prouvant" leur origines divines. Voilà!
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Prélude / Re : Opala - la Reine (Valiprimée !)
« le: lundi 25 novembre 2013, 22:56:17 »
Malgré tout elle reste de sang royal...Même si elle mérite des plus franches fessées.
Je suis désolée pour cet oubli Déesse, je suis parfois distraite! Sebastillion tiens toi tranquille quand on as de la visite...
Amser > Merci ^^
Je suis désolée pour cet oubli Déesse, je suis parfois distraite! Sebastillion tiens toi tranquille quand on as de la visite...
Amser > Merci ^^
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Prélude / Re : Opala - la Reine (Valiprimée !)
« le: lundi 25 novembre 2013, 20:28:31 »
Merci bien !
Prisma > Les beautés egyptiennes sont intemporelles et ne discriminent aucun endroit!
Serenos > Tant qu'on peut éviter un concours de blague, alors oui...
Tryzox > Je doute que Sebastillion soit d'accord, mais je te remercie.
Sentinel > Les deux faces d'une même pièce on va dire... Merci!
Keeshanic > Même Sebastillion n'est pas aussi joyeux de me voir...Merci ^^
Prisma > Les beautés egyptiennes sont intemporelles et ne discriminent aucun endroit!
Serenos > Tant qu'on peut éviter un concours de blague, alors oui...
Tryzox > Je doute que Sebastillion soit d'accord, mais je te remercie.
Sentinel > Les deux faces d'une même pièce on va dire... Merci!
Keeshanic > Même Sebastillion n'est pas aussi joyeux de me voir...Merci ^^
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Prélude / Opala - la Reine (Valiprimée !)
« le: dimanche 24 novembre 2013, 22:54:56 »Opala, Farah, Osira and the Legend of Queen Opala lore are owned by Gabriel Logan.
Opala, Farah, Osira et l'univers de Legend of Queen Opala sont la propriété de Gabriel Logan.
Swegabe HF Profile - Swegabe's blog
Opala, Farah, Osira et l'univers de Legend of Queen Opala sont la propriété de Gabriel Logan.
Swegabe HF Profile - Swegabe's blog
Nom: Curiyan
Prénom: Opala
Surnom: Reine, Altesse, Majesté,...
Age: 23
Sexe: Femme
Orientation Sexuelle: Pansexuelle
Description physique: Haute d'un mètre septante, Opala est pour son pays autant une dirigeante qu'un sex symbol. Elle semble incarner une sorte d'idéal féminin, renforcant encore plus son autorité sur le pays grâce à son charme, mais aussi a ses diverses...Talents. Si la reine prends ses responsabilités très au sérieux, il n'est pas rare de la voir assouvir sa libido bien plus active que la normale à peu près a n'importe quelle occasions, et faire bonne utilisation de son élasticité surnaturelle.
Elle est reconnue notamment par la couronne royale qu'elle porte en permanence, une humble tiare qui as toutefois énormément de valeur, autant symbolique que monétaire, étant faite avec les matériau les plus précieux disponibles dans le royaume. Elle porte la coupe typique de la famille royale, très géométrique, se constituant d'une frange et de cheveux coupé au carré de manière très précise, entourant son visage fin aux yeux marrons. Sa peau bronzée est aussi prise très au sérieux, utilisant les produits de soin les plus adaptés et conçus par les apothicaires Curiyan les plus renommés.
Mais son accoutrement royal, en revanche, est des plus humble, dû au désir de la reine de savoir montrer une esthétique dans la simplicité: une robe blanche qui entoure simplement son corps, cachant sa poitrine massive et ses fesses amples, ainsi que le collier de la monarchie autour de son cou faisant une autre preuve d'esthétique mais aussi de son rang. Elle est souvent aperçue pied nu, mais la Reine ne se prive pas de parfois porter des sandales à talons haut, grande nouveauté depuis le début du tourisme, et dont la Reine s'est immédiatement prise d'amour. Si elle semble beaucoup aimer ce genre de chaussure mais aussi les bijoux, elle évite les sous-vêtement et les couches de vêtements comme la peste, la chaleur étouffante du pays forçant cette mode, et ce n'est que la nuit que les habitants s'embarassent de plus de vêtements, dû aux brusques changements de température du désert.
Psychologie: Opala, contrairement à sa soeur, as toujours vécu avec la main sur le coeur, et l'autre prête à donner. Généreuse et pleine de bonté, la souveraine fait toujours le mieux qu'elle peux pour contenter le peuple et promettre à son pays un meilleur futur.
Mais à côté de ça, la reine aussi as ses vices, notamment celui de la chair. Il n'est pas rare de surprendre la souveraine avec sa panthère, Sebastillion, qu'elle aime plus que tout ou bien avec quelconque autre créature sur laquelle la Reine se serait éprise d'empathie...Ou d'insouciance. Il est encore moins rare qu'elle se retrouve avec un quelconque mâle sur lequel elle désire étancher ses envies, ou toute chose possédant un sexe masculin, ou n'importe quoi lui permettant d'assouvir ses envies. Elle n'as que peu, voire strictement aucune limite dû aux moeurs qu'elle a pas mal aidé à maintenir au sein de Curiyan Iracciyam.
Contrairement à sa soeur, Opala n'est pas distincte sur sa façon de dominer ou être dominée: elle n'as que peu de préférence, tant qu'elle y prends du plaisir, et tends même à plutôt éviter les relations trop marquée "maître-esclave", lui rappelant bien trop les petit jeux de sa triste soeur, dont elle a été maintes fois victime. Elle ne se cache pas, toutefois, avoir un penchant masochiste caché, mais bien présent. Elle ne le révèlera pas ouvertement, mais quiconque d'assez habile pourra facilement mettre la Reine sur ses genoux, et en demander plus.
Histoire: சூரியன் இராச்சியம் (Curiyan Iracciyam, prononcé Souriyann Rachiyam), une contrée chaude, désertique, coupée du reste de Terra. La légende veux que les déités egyptienne, ou les Curiyan dans le langage local, furent épris de la terre où le royaume fut né, et les cités furent construites. A leur tête serait une enfant de descendance divine, qui porterait le même nom que les dieux, et serait l'héritière de la Fertilité, bénie des cieux. Au départ, le territoire était divisé en plusieurs petits états, dont leur économie s'était bâtie sur l'échange et le partage des ressources divisé sur le territoire, qui furent après tous réunis sous l'autorité de la Reine dite une demi-déesse. Dès lors, les générations se succédèrent et la souveraineté des sables demeura entre les mains des femmes de la famille royale. Curiyan Iracciyam, dû à sa localisation isolée des autres civilisations et leur panthéon plutôt libertin, les cités adoptèrent fort vite des moeurs légère, où la sexualité est traitée de la façon la plus banale possible, et parfois même une sorte de "centre d'intérêt" primaire a certains endroits. La nudité n'y était pas quelque chose d'anormale, car la chaleur étouffante de cette contrée désertique favorise le port de peu de vêtements, et la société tolérait énormément de choses considérées tabous ailleurs, comme par exemple l'homosexualité qui est on ne peut plus banale. Curiyan Iracciyam put ainsi se démarquer des autres, de part sa culture et son mode de fonctionnement.
En effet, de par son extrême étendue et son côté désertique, il était bien difficile pour les explorateurs extérieurs de trouver une quelconque trace de civilisation dans ces dunes. La faim et la soif étaient des adversaires redoutables et, comme si ça ne suffisait pas, tout le territoire était envahis de monstres qui compliquaient encore davantage les choses. Chaque cité du Royaume du Soleil possédait ainsi ses propres traits culturels, car la découverte de leurs voisines, puis la formation de la nation ne se firent pas rapidement. Ce danger constant, malgré le pacifisme global de Curiyan Iracciyam, poussa le royaume à former une armée compétente, qui patrouillait régulièrement sur la plupart des routes commerciales. Ensuite vint le couronnement de la reine Farah, la mettant a la tête du royaume peu après la disparition de l'ancienne monarque. C'était une reine aimante et aimée de son peuple, qui n'hésitait pas à donner de sa personne pour satisfaire ses sujets. Comme la plupart de ses ancêtres, elle disposait d'une libido plutôt excessive et il n'était pas rare qu'elle épuise ses partenaires au lit. Les esclaves du palais, même lorsqu'ils se voyaient offrir leur liberté, refusaient de quitter leur fonction, tant ils aimaient leur souveraine... Mais un beau jour, à force de faire la bête à deux dos, Farah tomba enceinte.
De cette grossesse naquirent deux fausses jumelles, Opala et Osira. Opala fut désignée ainée, destinée à succéder à sa mère au trône de la famille Curyian. Toutes deux furent bien éduquées, comme le voulait la tradition, avec toute la gentillesse dont Farah pouvait faire preuve. Opala, une enfant des plus prodigue et probablement des plus gentille qui soit, se fit reconnaître par sa générosité et la bonté dont elle faisait preuve à un jeune âge, comme par exemple l'adoption d'un bébé panthère après une attaque désespérée de ces animaux sur un convoi de marchand les bêtes furent abattues, laissant le petit seul. Ce fut la future reine qui le recueillit, et le nomma Sebastillion, l'animal devenant rapidement un des symboles de la monarchie, veillant sur sa maîtresse tel un garde du corps vif, payant sa dette avec sa loyauté....Et lorsque la reine avait ses envies, Sebastillion fut un des premiers à en profiter.
Mais une de ses plus grande tristesse fut l'évolution de sa soeur, qui semblait devenir de plus en plus amère, refusait de parler à sa mère ou a sa soeur, et semblait se séquestrer seule durant des journées entières, lisant des livres obscurs... Quelle fut sa surprise quand elle réalisa que durant tout ce temps, elle complotait de l'éliminer et prendre sa place sur le trône. Ce ne fut qu'au beau milieu d'une nuit qu'un cri déchirant la réveilla, voyant Sebastillion toute griffes dehors et sa soeur le visage en sang, alors qu'elle était sur le point de l'abattre froidement. Après cette tentative, Osira fut enfermée et jugée: même si la peine de mort était encore d'actualité, les Reines s'accordaient à dire que peu importe le crime, tuer ne sera jamais une solution sans compter qu'il s'agissait là d'un membre de la famille royale. Elle fut alors bannie, condamnée à errer hors du territoire, une fin peut-être pire que la mort dans le désert aride, mais elles n'avaient pas d'autre choix...
Quelques années plus tard, des rumeurs couraient comme quoi des bandes organisées de monstres menacaient les bordures des villages et les convois de marchand, mettant à mal l'économie et la sûreté des habitants. N'ayant jamais vu les monstres faire preuve d'autant d'intelligence, des compagnies furent envoyées pour découvrir que c'était Osira qui les dirigeait, et comptait bien reprendre le trône de force. L'armée Curiyanne fut immédiatement envoyée pour étouffer la menace dans l'oeuf, et l'armée d'Osira fut dispersée. Afin de s'assurer que le retour d'Osira n'aie pas lieu, des avant-postes furent construits afin d'étendre les frontières et protéger le royaume, causant ainsi une conséquence plutôt inattendue: la venue du tourisme.
Si les frontières étaient au départ là pour protéger le royaume des attaques, elle furent vite transformée en poste de douane lorsque les caravanes de Nexus passaient pour faire le voyage vers les contrées les plus reculées, et y virent là un point d'arrêt bien utile pour se restocker en eau et en nourriture. Après la découverte d'une telle cité, la nouvelle se répandit comme un baril de poudre, et l'afflux d'étrangers augmenta mois après mois, faisant de Curiyan Iracciyam une cité extrêmement prisée pour les vacances, et fit soudainement apparaître toute sorte de commerces: artisans pour les boutiques de souvenirs, auberges... L'économie fit un bond en avant, et la Reine au pouvoir, devenu Opala, fut la première à avoir à traiter avec des étrangers. La monarque pris ces nouveaux venu avec beaucoup d'hospitalité, les nouveautés qu'ils apportèrent sur tous les plans étant bénéfiques au royaume malgré l'avis des plus conservateur, notamment en guise d'habillement Opala sembla s'éprendre d'un certain amour pour la mode Nexusienne, malgré qu'elle dût plus d'une fois "adapter" beaucoup de robe pour les rendre portables dans le pays.
Depuis, Opala garde un oeil bien ouvert quant à ce changement encore jamais arrivé autrefois, mais surtout se demande ce qu'Osira peut bien prévoir entretemps, sachant sa soeur toujours vivante et trop obstinée pour laisser sa course au pouvoir s'arrêter si vite...
Situation de départ: Très expérimentée
Pouvoirs et capacités:
Fécondité Absolue : Toutes les femmes de la famille royale de Curiyan sont capables d'être fécondées par toute personne, animal ou créature existant. L'enfant qui nait d'une telle union sera toujours de l'espèce du père.
Compétences martiales : De ses origines royales, Opala a bénéficié de l'entraînement des meilleurs maître d'armes du royaume. Même si elle n'est pas une guerrière née, elle se prouve compétente dans le maniement de diverses armes blanches et à distance: tel que l'arc, la lance, ou l'épée.
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