Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Väria

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Väria

Pages: [1] 2
1
Les alentours de la ville / Re : Awkward situation | PV : Axis |
« le: lundi 09 février 2015, 13:21:49 »
Mes doigts sur cette touche.  J’ouvre, je ferme… Ce processus ce répète encore et encore, mais c’était quoi ce bordel, c’est un mécaniste, une chose que je n’avais jamais vue! C’est étrange, perturbant et surtout impensable pour moi que sa puisse exister! Cette boite à image montre diverse scène, elle varie à chaque fois que j’ouvre et je ferme, les personnages change d’endroit ou d’expression ou même change de personnage totalement. J’étais déroutée, dans qu’elle village j’étais? Était-je vraiment dans un village ou simplement tombée dans l’inconscience et je vivais un de ses rêves complètement loufoque?

Je devais être rendue folle et divaguée, cela ne pouvait être que cela… Ou bien j’étais tombée dans un portail interdimentionatruc chose… Non mais ça, ça serait trop fou pour être vrai! Arriver dans un autre monde, il faut vraiment être idiot pour croire à de telle bêtise. Mais en même temps pour être là où je suis-je devais être coupé de mon corps et devait être dans un sacré coma… Ou bien j’étais morte enfaite et je me suis retrouver dans une sorte de monde qu’on surnomme le paradis… Non, je ne devais pas être dans le paradis. Je dois être en enfer sans doute, oué l’enfer c’est plus classe pour moi,  ça me représente.

Mais je crois que je divague, je ne peux être morte.

Mon regard reste fixe sur cette boîte à image, je cligne les yeux, j’entends un léger son, mais je continue à agir comme je le faisais. Je ne sentais pas cette forme menaçante et semblait relativement faible, donc aucun danger.  Je regardais vers la boîte, mon doigts continuant à toucher la touche à répétition, je restais tout de même émerveiller de voir cela, sa serait classe que sa existe vraiment, je crois que j’aurais sa à mon chez moi, mais c’est que mon imagination trop fertile qui imagine de tel chose.

Alors la personne qui venait d’entrer était un homme, humain… Environ près des 30 ans, bien qu’il est l’air d’un gamin en fait… Je regardai légèrement derrière moi du coin de l’œil, ne laissant rien présager que j’avais vue ou sentit sa présence et je retournai mon regard sur la boite à Image, me demandant alors comment la magie pouvait fonctionner en cet objet, c’était sans doute de la magie qui traversait cette boite, sa devait être que cela! Lentement je sentis l’homme se placer un peu plus près, je me demandais si je ne devais pas lui envoyer simplement un poignard droit vers le front…

À réfléchir…

« T’AS DÉCHIRÉ MON CHANDAIL! »

Je confirme dès à présent que celui dans mon dos est le pire des idiots et des incompétents que ce monde est donné vie. Il voulait m’attaquer en tentant de me faire sursauter, mais je l’avais déjà remarqué, je savais que dès je tournerais le visage il essayerait de me frapper de son petit poing droit dans mon visage, hélas je ne crois pas que ça se dérouleras comme cela se déroule dans sa petite tête, loin de là l’idée de vouloir l’assassiner, mais j’allais lui remettre les idées en place, ce chandail comme il dit, miteux à mon avis, faisait un bon bandage.

Lentement son poing fonça vers mon visage, ce ne serait pas un coup puissant, je savais, mais je leva mon poing pour intercepter sa main, j’agrippa rapidement sa main, la douleur amplifiant à mon épaule, mais il allait voir ce qu’il méritait, je lui fis une passe pour le faire écraser au sol, mon genou contre son ventre, son poing lever, mon autre jambe contre son autre bas pour le bloquer, je le fixais avec colère. Mon œil unique observait chaque détail du visage de l’homme, mon visage montrait malgré la colère dans mon regard, aucune émotion. Je poussa un peu plus mon genou contre son ventre et son torse, ma main serrant un peu plus la main d’Axis.

« Cela vous arrive souvent de vous attaquer aux gens blessé pour un minable bout de tissu? »

J’étais sérieuse, je le fixais et trouver ses vêtements trop étrange. Il y avait des choses qui ne fonctionnait pas dans ma tête, je regardais l’homme que je tenais au sol avec force, malgré mon corps qui bien qu’il semblait fragile, j’avais une grande force physique, surement dû à mes runes sur mes épaules qui augmentait cette force. Je serrais un peu plus les dents et je le fixais encore avec frustration et visage neutre.

« Maintenant dit moi où je suis! Et ne me ment pas! »

2
Les alentours de la ville / Awkward situation | PV : Axis |
« le: dimanche 18 janvier 2015, 05:09:12 »

Je soupirai doucement, ma main passa à travers ma chevelure à la teinte du brun. Mon œil unique vint d’un côté et de l’autre, je serais les dents, je sentais cet homme-là, il me chassait. Hier j’étais la chasseuse, aujourd’hui j’étais la chassée. Il me fallait un plan, je n’avais pas mes arbalète. Laissez à ma cache, j’avais bien mes dagues, je pouvais tracer mes runes, mais j’étais en terre trop peu connu pour que je puisse prévoir un de mes plans. Mais il me fallait agir, car le dieu de la mort ne m’aurait pas. Je ne laisserais pas la mort me saisir.

Pas aujourd’hui.

Ni demain.

Ni aucun autre jour d’ailleurs…


J’étais en ce moment dans les terres d’Ashnard, il fallait que je me dirige vers les terres neutres pour retrouver ma cache, mon chez-moi. Il me fallait donc emprunter diverse chemin pour semer cet assassin. Pour ne pas me faire avoir à mon propre jeu, il fallait que je pense comme lui, il fallait que je rentre dans la peau de l’assassin qui m’en voulait ou qui s’était fait payer pour m’avoir. Rapidement j’effaçais le plan que j’avais tracé dans le sol, je regardais vers la droite puis vers la gauche et je partis rapidement.

Dans l’ombre des ténèbres je voyageais pour couvrir ma fuite…

Mais combien de temps est-ce que je serais rattrapé? Si ce tueur était habile, cela ne prendrais pas de temps…  Même une assassin peut être rattrapée, même la plus habille, mais ce qui me différent-ci du reste est l’habileté que j’ai à me sortir de ces situations. Je suis une personne qui va se trouver un plan parfait à la dernière minute, cela est fort étonnant et je remercie ma personne tous les jours pour cette habileté que je possède. J’ai peut-être une personnalité que peu ne peuvent trouver agréable, mais au moins, j’ai un esprit d’intelligence et je suis pas une docile petite personne qui écoute les ordres, si j’ai de quoi à dire…

Vous le saurez…

Mais aujourd’hui ce n’étais pas le temps de montré cet état d’âme.

Tel la gazelle, je fuis le prédateur, à pas de course, discret et rapide. Mais je reste tranquille, je n’ai pas peur du chasseur. Mais des conséquences que cela peut apporter, oui cela peut emporter des problèmes dans tous les cases de ma vie, la mort est le terminus que je ne voudrais pas atteindre, enfin… pas pour le moment. Je prends une grande respirations et je m’enfonçai alors dans une forêt, je courrai pour finalement atteindre le piège que l’assassin m’avait tendu.

Le poignard entra dans la chair de mon épaule droite, je lâchai un grondement de colère, pour répliquer d’un poignard volant vers lui, mais je ne pris pas la peine de vérifier si je l’avais atteint ou non, je courrais, arrachant le poignard de mon épaule pour le garder dans ma main au cas où.

Mais je fus surprise alors que mon regard vagabonda de gauche à droite, que je prit le chemin entre deux imposantes pierres et que je me retrouva quelque part…

De différent…

Où suis-je?

Je regardai vers l’arrière, mais c’était comme si la place que je venais, avais disparue! Le fourbe! Cela devait être un poison que le poignard étais recouvert… Je serai les dents sous la douleur. Ce n’était pas le temps de m’arrêter, hallucination ou pas, je devais continuer! Je râlai fortement et je partis à courir entre les rues de cet endroit si… étrange… Puis j’entendis des voix qui parlais vers ma direction, me demandant de m’arrêter, mais je n’écoutais pas… Je courrais, encore et encore…

Je m’arrêta en voyant que j’étais dans un endroit sans issue, je leva ma tête vers le ciel et vit une fenêtre, je serra les dents et je me résolue à devoir monter ce mur vers cette fenêtre légèrement ouverte. La montée fut… dangereuse et idiote, mais j’atteints cette endroit que je forçai l’ouverture pour entrer dans cette demeure… Je pris une grande respiration et regarda mon épaule en sang, je tremblai un peu et ferma mon œil et puis le rouvris pour regarder où j’étais… Cela ressemblait à une demeure…

Je m’avançai lentement, regardant partout sans voir personne… Heureusement, je regarda dans une direction… Je devais me faire un bandage…  J’aperçus un tissu qui devais être un chandail et je le saisis et sans aucun remord je le déchirai et retira ma veste pour dévoiler mes épaules remplie de rune et je me fis un bandage de survie avec le pauvre chandail que je vins de déchirer pour faire arrêter le sang de couler, mon regard se tourna alors vers un objet…  C’était étrange… Je n’avais jamais vue cela, d’un geste lent, j’approcha, me pencha et j’appuya sur une touche et j’ai presque tombée en voyant une image avec des sons apparaitre, je retouchais la même touche rapidement pour la fermer.

« Qu’est-ce… que ce bordel… »

Je retoucha la touche pour rouvrir la télévision, mon attention tournée vers cette chose inconnue, alors que je rappliquais le même stratagème. Cliquer pour ouvrir, cliquer pour fermer… Presque hypnotisé par cette boîte à image.

3
Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps du rédempteur
« le: mercredi 05 novembre 2014, 15:18:00 »
Le regard figé, j’observais. Attendant une quelquonc réponse, une réaction, quelque chose de ses humains avares de pouvoirs et de biens. Une chose que je déteste des humains, mais qui pourtant me fait mon commerce, mes biens, c’est grâce au avare que les assassins existes, pour détruire les autres avares pour que l’avare principale puisse devenir encore plus avare de ses bien, ainsi va le monde des hommes. Meurtre, trahisons et conflit, la véritable nature des hommes, n’est que route vers le chaos immortel et infinie. Qu’elle désolation, cela me répugne souvent, mais je suis une assassin, rien ne me répugne alors je reste de glace face à tout ce monde.

Le petit chauve, ce flawo, celui qui m’avait fait venir ici sautillait presque sous l’euphorie, qu’elle ennuie. Il ressemblait presque à un moustique coincé dans une petite boite de verre. Généralement je les écrase quand il bouge trop.

Crouch

Et plus rien… Mais j’allais tout de même me résonner pour ne pas faire cela, je veux mon argent, au pire je le ferais à la fin du contrat, après le contrat plus rien ne me lieras à ce petit trapu gigotant comme un vers… Il faut que j’arrête d’y penser… Cela me déconcentre trop à ce que je dois faire. Je soupira silencieusement en restant figée tel une bonne assassin. Neutre, glacial, silencieuse.  J’attendais ordre pour agir rapidement par la suite. Comme un chien devant son maître, mais je ne suis point aussi docile qu’un tel animal. Je ne me laisserais jamais être docile.

« La meilleure à ce qu'on dit ! Une elfe runique... une elfe assassine mon bon seigneur. Elle sera aussi discrète qu'une ombre et nous organiserons tout pour que vous soyez le héros de l'histoire. Déguisé en milicien, vos meilleurs chevaliers vous accompagneront, arrivant après que notre assassine aura tuer la bête... imaginez d'ici ! Sir Nolan le tueur d'engeance. »

Je me força pour ne pas rire, les humains si amusant avec leurs envies de pouvoirs, s’en était même ridicule, mais je me calma rapidement pour  ne pas que cela se fasse voir. C’était si ridicule, si ennuyant, mais une si bonne bourse d’argent m’attendait, il ne fallait pas que je l’oubli. L’argent guide mes pas en permanence, c’est mon bonheur, mon envie, ma passion, l’argent et le plaisir de faire couler le sang de mes proies à mes pieds. Qu’elle stratégie allais-je user cette fois-ci, je me devais d’être adéquate, parfaite et rapidement. Car je sais que je serais à terrain découvert, plus dangereux que lorsque je suis dans un terrain plus petit. Mais au combien est-ce amusant d’avoir un grand espace pour jouer.

J’aime jouer avec mes proies…

C’est amusant, fantastique…

Les voir grouiller comme des animaux effrayés qui cherche à fuir le chasseur.


Le baron semblait penser à cela, son sourire final terminer de me dire qu’il aimait le plan du petit sans cheveux. Évidemment, il aurait été fou d’avoir refusé cela, j’eus un très léger sourire mais qui disparu aussi très rapidement, la neutralité gardant mes traits légèrement tendu, ma respiration lente et calme, je dégageais la confiance, la sérénité et en même temps la mort, je n’es même plus le décompte de mes victimes… J’en ai trop as mon actif… Le baron qui marcha un peu se retourna pour me regarder, mais je ne parla pas, je me devais d’être patiente.

« - Tueuse de démon, vous faites cela aussi j'espère ? Je serais prêt à vous offrir beaucoup, si vous me débarrasser de cette créature. On dit qu'ils sont deux... Silhouette macabre enveloppé sous un capuchon, ne laissant aucun survivant. De la magie noir sans doute... enfin peu m'importe. Tuer cette bête pour moi, et je ferais de vous ce que voulez être. »

Je me leva lentement alors qu’un page vint après un tapement dans ses mains. Mon regard sérieux alors que je replaça mes choses adéquatement. Deux bêtes à tuer, intéressant, personne ne peux résister à  mes runes, je suis une habille manipulatrice, puissante. Je suis une elfe de rune, les runes et moi sommes qu’un. Je suis leurs maitresses, ils vont m’obéir.

«- Qu'on apporte provision et or pour Dame Väria. Ainsi qu'une carte, il lui sera plus facile d'établir un point d'embuscade pour la créature.  »

Le page partant, je savais que ma mission devras vite ce faire, je n’avais que peu de temps. Mais je savais quoi faire, j’avais examinée l’endroit en venant à ce petit royaume.

« Je suis  une assassin Baron… Je suis capable de tuer tous ceux qu’on m’ordonne d’assassiner… Démon, ange, homme, roi, baron, elfe comme Terranide, je suis capable de tout. »

Je vis le page arriver et se saisit de tout le matériels nécessaire, prenant la bourse offerte pour la ranger rapidement dans mes choses, j’ouvris la carte un instant et la referma pour regarder le baron d’un air sérieux.  Je passa ma main dans mes cheveux bruns et sourit légèrement à cet instant, j’avais un air confiant sur le visage.

« Cette bête seras morte… Elle n’existera plus du tout quand je l’aurais coincée… Je ferais un signe précis dans le ciel pour avertir lors de venir me rejoindre, je n’ai que faire des pions qui traîne dans mes pattes et qui est aussi nuisible que des cafards… Et vous pourrez être bien mieux d’être à l’abris… On ne sait ce qui peut arriver… »

Je m’inclinai légèrement et d’un coup je me retournai, mon long manteau flottant légèrement alors que je me retourna pour sortir, un sourire bien inquiétant flottant ses mes lèvres alors qu’après quelque minute je sortie de la ville…

Que la chasse commence. ..

4
Les contrées du Chaos / Re : Le duo Runique PV : Amser
« le: mardi 07 octobre 2014, 03:53:28 »
Pourquoi vouloir l’assassiner? L’embarras, l’inquiétude? L’envie de commettre un meurtre? Je ne sais pas vraiment, peut-être est-ce juste un geste naturel que j’ai. Sans doute, le meurtre pour moi est presque un moyen pour détendre mon corps lorsque je suis triste ou stresser… C’est naturel, c’est vrai… C’est reposant. Sentir la personne mourir sous ma lame ou sous le plan que j’ai confectionné, cela est si plaisant. Cela à dû être la même chose, l’homme géant m’avait tant stressé que j’avais décidée d’user de mon calmant naturel et peu ordinaire, le meurtre. Je ne pensais pas un jour tant regretté ce choix, le regret d’avoir voulue assassiner, sans analyser plus.

La dague que je lâchai lentement en sentant le géant cracher du sang. J’eus un sourire, levant un petit sourcil de façon victorieuse, je me sentie bien rapidement malgré cette petite tristesse d’avoir tué une personne généralement correct. Mais je ne fais pas la différence entre le bien et le mal. Je suis un assassin après tout, je peux tuer n’importe qui sans que j’ai la moindre peine, même ma propre famille. Cela ne me faisait ni chaud ni froid, tant que je ressens ce sentiment de paix à la fin de cette pratique, si je ne la ressent pas, je pars chercher une nouvelle victime pour mieux me sentir.

J’observai ses jambes tremblantes, j’eus un sourire, cela me rappelais ma première victime. Un jeune garçon, il devait avoir 10 ans, je venais de le voir voler un objet à un marchant. Je me souviens l’avoir suivis, lentement, silencieusement, attendant que le petit emprunte une petite ruelle… Je me souviens de l’avoir saisi à la nuque, d’avoir glissé mes doigts contre son crâne et de violement l’écraser contre le mur. Je me souviendrais toujours de se sombre craquement et du sang qui ont coulé sur mes mains, c’était magique, le jour du premier sang sur mes mains après celui de ma mère à ma naissance, enfin elle n’est pas morte, mais c’est le sang causer par naissance que j’avais sur moi, mais là n’est pas les détails.

Ses mains griffant légèrement l’arbre au côté alors que ses jambes pliaient, je ne pouvais m’empêcher de sourire en l’observant. J’aimais voir les gens qui se battait pour vivre, qui ne comprenait pas ce qui venait de se passer, c’est si amusant de voir la vie leurs quittées, leurs chère et lamentable petite vie. Je l’observai, devant moi, dos à moi. Il tomba à genoux, ses bras laissés trainant sur le côté, comme un mort, il est résistant, mais là où je l’ai frappée, son cœur feras vite en sorte d’arrêter de battre. Je n’attendais que cela, voir la fin de ce gentil et dérangeant géant.

Mais cette fois, tout n’alla pas comme prévue, ce n’est pas la mort qui vint. Ce fut plutôt sa main qui vint ce saisir de l’arme planter dans son dos pour l’arracher et la planter dans cet arbre, mon regard fut à ce moment étonner, j’eus un moment de stupéfaction et d’incompréhension. Pourquoi n’est-il pas mort? Ce bref moment d’inattention eut le mérite de me faire brutalement saisir à la gorge, j’en lâchai un grondement de désagrément. Mes pieds ne touchèrent plus alors le sol, je compris alors la situation grave que je venais de me retrouver. Maintenant je n’avais pu le temps de rire il fallait que je me sorte de ce problème infernal.

« ... J'espère que quelqu'un va vite arriver ici, pour sauver votre cul. »

Mon corps fut alors plaquer contre le sol, nouveau grondement qui sortit de ma gorge étouffer, cette misère à respirer, ce contrôle que cet Amser usait sur ma gorge, c’était désagréable, trop désagréable, je peinais à respirer. Je commençai tout de même à m’agiter, alors qu’il glissait cette main contre mon pantalon, tirant, le déchirant, le brisant pour dénuder le bas de mon corps complètement, même de cette culotte sombre.  Il n’allait tout de même pas me violer pour se venger?  NON! Je ne lui permettrais pas de toucher à mon corps! Je ne lui permettrais aucunement.

Je serrais mes dents, mes sourcils se fronçaient de plus en plus alors que je m’agitai de plus en plus. Bon sang, j’étais tombée sur une mauvaise personne! En plus il n’était pas mort! Comment ce faisait-il qu’il n’était pas mort! Je lui avais pourtant planté cette dague droit dans cette endroit qui était son cœur! Il était censé être mort! Pas vivant en train de contempler mon cul! Je râlai fortement à ce moment-là. Je grondai, serrant les poings, me disant que j’allais souffrir que ma petite pureté partirait aujourd’hui, puis je fronçai les sourcils, NON! Cela n’allait pas m’arriver.

Je le regardais du coin de mon œil parfaitement valide, puis j’analysai rapidement la scène, j’esquissai un sourire alors que j’éveillai une rune tatouer sur ma main, une rune qui augmenter de manière impressionnante ma force, puis de mon autre main une autre rune fit son apparition, une rune de feu. Je dû m’inventer acrobate pour m’agiter et je me retournai légèrement pour bouger ma jambe et frapper le géant droit dans cette partie intime, sans même me retenir, j’avais frappé de toute mes forces. Puis alors que le géant se pliait légèrement je serrai ma main qui s’enflamma et j’augmentai la force de mon poing et frappa le visage du géant d’une force assez impressionnante pour une personne de ma taille, je voulais l’assommer avant que je parte à m’enfuir rapidement. . 

Mon coup fais, je pris mes jambes à mon cou et je partis, je courrais rapidement, partant dans le bois, écorchant un peu de mon corps sous le stresse que subissait mon corps, j’étais perdue, peu habitué à cet environnement. Je courrais et courrais alors que mon corps avait tant de misère à éviter branches et arbre. Je faisais attention là où je marchais et pourtant ma jambe se retrouva coincer dans une de ses branches mal placer qui me fit tomber à plat ventre au sol, me faisant échapper un grondement de douleur,  j’avais mal à la jambe, bon sang, je m’avais fouler la cheville.

5
Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps du rédempteur
« le: mardi 07 octobre 2014, 03:52:15 »

Les territoires d’Ashnard, j’y vais de temps en temps, vue mes voyages qui sont de plus en plus fréquent. Je voyage souvent de Nexus jusqu’à Ashnad ou jusqu’à qu’à Tehkos. Qu’importe les guerres, un assassin n’a pas d’honneur, ni de lois ou même de partis pris, enfin… Oui j’ai un partie pris… Celui de l’argent. L’argent mène le monde dit-on? Oui, cela est vrai, l’argent mène les gens et surtout les assassins qui se déplacent pour ce métal si précieux aux yeux des gens. Je suis de ce genre, donner moi de l’argent et je me déplacerais pour répondre à ce sordide travail que vous m’offrirez, car je sais que ceux qui demande un assassina ne désire pas avoir du sang sur les mains comme moi cela ne me pose aucun problème.

Un contrat fut signé à la guilde assassine, on m’avait réclamé en les terres d’Ashnard, voilà donc pourquoi j’étais ici. Je marchais, lentement, cacher sous cette sombre cape qui recouvrait mon corps. Je me dirigeais à pas lent vers cette citadelle du nom d’Edea. Connus, réputée et souvent c’est dans ses cas là qu’ils se passent le plus d’évènement qui nécessitais les assassins. On me disait que c’était une personne dans l’entourage du baron même qui me faisait quérir, voilà qui est intéressant, une bonne part d’argent m’était même offerte, voilà qui était encore mieux, mes runes en frémissait sous le désir que j’avais face à cette choses si humaine.

Après quelques heures me voilà face à Edea. J’observai la citadelle et lentement j’y entrai telle une ombre subtile en passant entre les gardes comme si je n’étais effectivement qu’une ombre solitaire. Lentement je progressai dans cette ville avec aise, facilité et surtout connaissance, je visitais la ville, posant de petite runes à quelque croisement pour être sure que s’il se passait qu’elle que chose je pourrais aisément m’échapper, ne sait-on jamais, les humains sont des êtres avares et parfois bien surprenant. Voilà pourquoi à présent je ne prends aucune chance, je ne veux pas me faire surprendre, je n’aime pas les surprises et surtout quand mes plans vont mal ou pas comme je l’espérais, généralement sa m’agresse au plus haut point et je deviens fort rapidement colérique.

Gare à ne pas mettre l’assassin en colère, sinon le matin vous vous réveillerez avec la gorge qui rit.

Voilà qu’après deux heures de marche et de runes apposés je fis un rapide brin de toilette pour  me mettre prête à rencontrer le baron. J’arrangeai mes cheveux que je fis bien installer ce nœud pour tenir en place mes longs cheveux bruns.  Je plaçai mon bandeau aux symboles runique sur mon œil vidés éternellement d’existence, un trou sans fond de vie. Je soupirai, observant mon corps à travers cette glace puis je regardai par la fenêtre, puis je plaçai mes diverses dagues sur mon corps, puis terminer de m’habiller.  Mon reflet se fit et je pus acceptée mon apparence.

Je tournai les talons, partant vers l’extérieur de cette taverne pour aller vers cette demeure qu’on m’avait demandée de me rendre, j’y allais rapidement, sans presse, j’avais tout mon temps devant moi, là n’est pas mon problème vue que je peux vivre encore des centaines d’années face à moi, contrairement à ses humains, cela est une chose que j’aime, leurs petites âges face à moi qui peut vivre si longtemps et voir des choses bien plus qu’eux.  Je soupira seulement une nouvelle fois alors que je me fis arrêter par des gardes surveillant la porte que je devais entrée.

« Halte, qui va-là? »

J’enlevai légèrement mon capuchon pour observer l’un des gardes.

« On m’a réclamée ici… Je viens sous la demande d’un certain Flawo… »

Les gardes la regardèrent puis ce regardèrent, ils semblèrent hésiter, puis se murmurèrent entre eux, c’était si ennuyant, car je pouvais les entendrent, mes oreilles pointues, bougeant légèrement à chaque murmures, c’était ennuyant. L’un des gardes me regarda et il dit de sa voix grondant et qui cherchait à se faire autoritaires, ce que je dut me faire violence pour ne pas lui rire en plein face.

« Venez elfe, on vous conduit à la salle d’audience. »

Ils se retournèrent, je suivis alors calmement les gardes, observant chaque détail de la demeure de ce noble. Les nobles, tous pareils… Oui effectivement tous pareils à chaque détails de leurs demeures. On s’arrêta devant une porte, je gardais mon visage camoufler sous cette capuche, l’ennuie dans mon visage aurait pu se lire s’il aurait été dévoilé au grand jour… Mais il ne le fut pas, pas pour l’instant.

J’attendis… encore… et encore… Une chance que j’ai une certaine petite patience.

Puis le moment arriva…

« Faites entrez Dame Väria…! »

Je ne pus qu’avoir un léger rire, moi une dame! Pfft! Ses humains tous des êtres particuliers avec leurs titres! Les portes s’ouvrirent alors que je fis mes pas dans cette grande pièce, je ne regarda personne d’autre que le baron, j’avançais, encore et encore jusqu’à être à quelque mètres du baron et je posa un genou au sol, faisant tomber cette capuche de mon visage pour dévoiler ma tête, mes oreilles légèrement pencher. Avant d’entrer on m’avait bien dépourvu de mes deux armes, bien que j’en avais plusieurs autres sur le corps.     

« J’ai entendu dire que vous aviez besoin d’un assassin, un contrat fut signer pour que je me rende ici… À votre domaine où je pourrais avoir de plus vaste explication sur ce que vous désirerez que je commette et surtout la récompense promise. »

Je gardais la tête basse, j’avais tout de même un minimum de respect envers les personnes haut-gradé, voyons! Je m’étais tu, levant mon œil unique vers le baron, le calme restant sur mon visage alors que mon œil analysait de la tête au pied cet humain.

6
Les contrées du Chaos / Re : Le duo Runique PV : Amser
« le: lundi 18 août 2014, 01:06:54 »
Les runes, magiques petites choses qui aux yeux de beaucoup cela ne serait que de ridicule petit dessin, mais pour nous les elfes runiques et certaines autres personnes, ils s’agies de plus que cela. Un fonctionnement particulièrement intéressant à développer où à apprendre, pour savoir les utiliser nous devons être en harmonie avec eux. Si l’harmonie n’est pas là, les runes agiront d’elle-même et ne feront pas l’effet escompté. Qu’elle vilaine runes, propres volontés, propre intelligence, quand elles ne sont pas heureuse, cela peut compliquer les choses et elles n’agiront pas de la force désirer et pourrait ce revirer contre vous.

Revenons au sujet… Vous aimez entendre parler des runes, mais là n’est pas le sujet de telle parole en cette journée… mouillé, mais pas trop volontaire.

Le problème dans tout cela est pourquoi j’ai encore dû tomber sur cet idiot de géant à cet endroit si calme? Bien sûre, je devrais m’excuser du geste que j’ai commis de le frapper de mon pied, mais il n’avait juste à pas y être! S’il n’y était pas, il n’aurait pas été frappé! C’est bien mériter! Quand on est géant, il est normal qu’on le frappe par inadvertance! Surtout quand on se tient dans l’eau. Enfin bon, mon œil unique observait ce géant particulier, mes cheveux coller contre mon visage, ce que je n’aimais pas sentir mes vêtements mouiller sur mon corps, c’est désagréable.

« – Les runes inspirent la Nature et l'inverse est également vrai. Vous devez avoir des conversations intimes que vous ne jugez pas utile de percevoir. Percevoir certains plans et pas d'autres, c'est naturel mais avec un peu d'entrainement, nous pouvons briser cette règle… »

Dit comme cela, c’est simple, mais pour moi elfe runique, c’est un peu plus complexe, je n’avais jamais trouvé utile de devoir avoir d’intimes conversations avec la nature, comme de vieille amies. C’est un détail qui m’échappera surement pour toujours, mais je voulais en apprendre d’avantage, pour être plus forte et exploité peut-être un peu plus de la nature à mon propre avantage. Ma main vint caresser ma joue, sous mon bandeau qui cachait cet œil éternellement fermé. Et pourtant quand je portais ce bandeau, je pouvais voir… Comme si j’avais un œil, enfin presque là est la particularité de ce bandeau et pourquoi j’y tiens tant, un mélange de 3 types de runes, tous des runes qui se déteste et pourtant elle semble s’accorder sur ce bandeau, heureusement.

L’imbécile heureux souriait en me regardant… À quoi pouvait-il penser… J’avais juste le goût de lui envoyer une dague entre les deux yeux pour lui enlever cet air d’idiot de son visage, c’était ennuyeux. Elle détestait ce faire observer ainsi, elle avait que le goût de faire un meurtre.

« - Laissez-moi vous aider. »

Qu’il est idiot, il sortait de l’eau, lent il avançait vers moi. Je restais de marbre, il ne me fera aucun mal, je le savais, il rodait pourtant autour de moi, le tour de mon corps, s’approchant de plus en plus pour voir ma réaction, ma réaction était déjà toute analyser dans ma tête, il fallait attendre que le moment pour le faire, le bon moment. Mais le bon moment n’est souvent pas près tout de suite, il faut du temps, un peu de temps, je savais qu’elle temps il fallait pour exécuter ce que je désirais faire. Comme à mon habitude, je ne réagissais pas à ce géant malgré qu’il soit bien plus grand que moi. Je n’étais même pas effrayer, pourquoi être effrayer? L’effraie est un geste de faiblesse, je ne suis pas faible.

Il fut dans mon dos, je sentis ses grandes mains se poser sur mes frêles épaules d’apparence qui se montrait pourtant avec une certaines musculature, je soupirai légèrement, je n’aime pas qu’on me touche. Je n’aime pas non plus cette proximité, mais mon plan était bientôt arrivé, il fallait de la patience. Lentement il enleva ma veste, montrant un peu plus mes frêles épaules dont dans mon dos on pouvait voir des symboles légèrement apparents, je grommelai légèrement, mais je tournai mon visage pour voir qu’il semblait détourner le regard, bien.

« - Je vais faire sécher ça dans un coin visible. Je ne regarde pas, je suis aveugle tant que vous le demanderez. »

« Bien… J’enlève le reste, ne regarder pas… »

Je m’avançai une fois ma veste enlevé. Mes formes élégantes encore mieux détailler, mais dans mon dos une sorte de malformation semblait y être, je le regardais lentement s’éloigner avec ma veste puis je débuta à enlever ce morceau de tissu qui cachait un peu plus mon corps, dévoilant mon tissu de mon sous-vêtement du haut, un bout de tissu très normal, blanc, légèrement dentelle sur le bord, je voulais que ça soit esthétique quand on le voit au travers de mon chandail. Je serra se tissu de ma main droite et j’allongea mon bras gauche dans mon dos pour glisser ma main sur un manche, je tira doucement dessus pour faire sortir la lame de ma petite dague, la lame longue et affutée, je fixa l’homme, cachant un peu la lame.

« J’approche un peu, je veux placer mon chandail et mon pantalon près de ma veste… »

Je soupirai légèrement, mais je n’enlevai pas mon pantalon, mais j’avançai lentement vers cet homme qui allait être ma cible, pour être prêt de son dos, car le diction célèbre est que la route vers le cœur d’un homme la plus simple est par la voix du dos. Je serrai le manche de ma dague, puis mes pas ce firent plus rapide et avec grâce je sauta pour prendre un élan et enfoncer ma dague dans la chair de l’homme, je connaissais l’emplacement la plus tendre du dos pour enfoncer une dague et me rendre avec aise au cœur. La dague dans sa chair, j’atteignis quelque chose et je souris et lentement je tourna la dague pour blesser et tuer plus vite, mais ce que je ne savais pas est la surprise que j’allais avoir par la suite.

7
Les contrées du Chaos / Re : Le duo Runique PV : Amser
« le: mardi 07 janvier 2014, 03:40:12 »
Vous savez, quand nous passons toutes notre enfance à apprendre sur un domaine en particulier, souvent le reste nous échappe. Malgré mes nombreux voyages, j’ai plus appris sur les runes que sur la nature, malgré ma descendance elfique. J’aime la nature, mais je suis si maladroite avec elle, qu’elle ne semble pas m’apprécier en retour. Je devrais me pencher un peu plus sur mes origines elfiques, oui… Réapprendre un peu plus les origines de la branche elfique pour vivre en harmonie avec elle et la nature, peut-être… Peut-être me sentirais-je mieux par la suite? Je ne sais pas, je ne suis sure de rien, peut-être même demain je ne vivrais plu, on ne sait jamais ce que la vie nous réserve…

Mais là n’était pas une chose que je me préoccupais, je cherchais plutôt mon bandeau, mon cher bandeau! Si important, si précieux! Sans lui je perdais mes repères, je perdais mon autre vue et presque une part de moi-même, je ne m’occupais plu du reste, sauf peut-être quand je vis cette chose user de ses mains comme bol et comme son sang comme liquide pour que trois poissons y flottent, dont deux semblèrent revenir presque en vie, se remirent à bouger et retournèrent à l’eau, étrangement fais à présent ses poissons, ayant une chose étrange sur eux… Lui qui ne bougea plus… se fit manger.

« - Les runes manipulent la réalité, ce n'est pas une chose facile à cacher, vous savez ? »

J’étais légèrement choquer de son geste. Ses paroles étaient juste, mais mon attention revint sur la rivière, tentant de percevoir mon cache-œil, échappant un détail sous la panique qui aurait pu faire que  l’aurais trouvée facilement en portant attention aux runes qui se faisait entendre de loin, mais le stress et la peur de l’avoir perdu avais passer au-dessus de ma raison et comme une débutante je le cherchais, avant que mon attention revienne sur ce Amser et qu’une étrange scène ce déroula sous ses yeux.

Tous les poissons fixant le géant, leurs bouches semblaient ouvertes, presque en discussion avec l’idiot… Ils se parlaient? Une telle compréhension de la nature, presque tel un elfe. Les poissons partir alors, mon œil fixant Amser, je tentais de comprendre comment il faisait cela… Une curiosité m’envahis mais je tentais de l’étouffer. Puis je me rappelai de la sensation des runes m’appelant, je les sentais loin et lentement elle revenait vers moi. Mon bandeau, trainer par des poissons se fit voir, tel un conte pour enfant cette scène. L’homme se saisit de mon bandeau, je fronçai les sourcils, redoutant le fais qu’il regarde mes runes et j’allais pour intervenir lorsqu’il me tendit le bandeau au bout de deux de ses doigts, je m’en saisis sèchement, serrant un peu le bandeau pour faire sortir l’eau et le replaça sur mon œil, cachant les marques de ma paupière fermer à jamais.

« - Je pensais que les sylvains et leurs cousins parlaient aux bêtes. »

Mon œil vagabonda vers la gauche et vers la droite, je m’assis alors au bord de la rivière, mes vêtements collé contre mon corps qui se montrait gracieux et en même temps bien définie sans démontrer de fragilité comme beaucoup de ma race affichaient. Je croisai mes jambes, fixant cet Amser. Sans rien dire avant de soupirer doucement, fermant mon œil un instant.

« Malheureusement… et honteusement… j’ai jamais vraiment portée attention à la chère nature… ou aux bêtes… toujours trop concentrer aux runes… La nature semble me détester pour ses raisons. »

J’eus un léger soupire qui revint sortir de mes lèvres affichant rien que la neutralité à nouveau, mon œil s’ouvrant pour regarder la rivière et pour une rare fois je vins prononcer ses mots :

« Merci d’avoir rapporté mon bandeau et de ne pas avoir regardé»

Puis je reculai lentement avant de me relever, débutant à enlever mon manteau, mais j’arrêtai net, non. Je ne l’enlèverai pas, je ne veux pas dévoiler mes tatouages runiques sur mon corps. J’étais curieuse, j’aurais désirée en apprendre un peu plus sur sa vision de la nature, mais vous savez, ce n’est pas mon genre de demander apprentissage aux autres, même quand je désire en apprendre.

(Et finalement ma réponse, désoler du retard et du manque de contenu)

8
Le coin du chalant / Re : Activation de comptes!
« le: samedi 04 janvier 2014, 23:09:02 »
Bonsoir, pourriez-vous activer le compte : Caleb. 

Merci!

9
Le coin du chalant / Re : Je demande...
« le: dimanche 22 décembre 2013, 18:59:10 »
Un Léger UP pour signifier que je suis maintenant disponible pour un autre RP!

10
Les contrées du Chaos / Re : Le duo Runique PV : Amser
« le: dimanche 22 décembre 2013, 15:30:00 »
À peine j’eus fermé mon œil que je le rouvris calmement. Regarda de gauche à droite, vérifiant ainsi qu’il n’y avait personne qui pourrait me regarder ou bien me déranger, mais heureusement personne ne semblaient être présent dans les environs, toutes personnes qui devait être le plus proche, devait être à plusieurs mètre plus loin et même peut-être plus loin. Le calme absolu, le repos s’annonçait réparateur, enfin. Je reculai alors, sortant mes jambes hors de cet eau si douce en ce doux matin, puis sortie une lame placer sous le tissu de mon chandail, plus précisément sous mon poignet de gauche et je vins débutée à graver un cercle de rune au sol. Il s’agissait des runes très simples, un quart était des runes elfiques, un autre quart élémentaire et les deux autres angélique et démoniaque, quatre principales branches de runes, ceux les plus connues et souvent les plus ignorées qui pourtant étaient des runes de grande puissance si bien utilisé. Moi je ne les oubliais pas, il ne faut surtout pas oublier les bases, principe de toutes créations, car souvent elles peuvent nous sauver la vie dans les moments les plus cruciaux! Pour les connaisseurs de runes, ils pouvaient voir que les runes montraient tous la base pour enchanter un objet, mais l’objet aujourd’hui c’était moi! Un regain d’énergie grâce à l’enchantement des runes, voilà ma manière de me reposer et reprendre toute mon énergie!

Je m’assis donc au centre de ses runes qui brillèrent à ma présence, ferma mon œil encore présent, repliant mes jambes sur moi-même, prenant une grande respiration et lentement j’entrai dans un état de méditation, tout mon corps se détendant rapidement au contact du repos et des runes, tous mes soucis pour le moment furent oubliés, seul la paix régna pour le moment dans tout mon corps. Un léger sourire sur le coin de mes lèvres s’afficha, mes oreilles pointues bougeant légèrement, analysant le bruit des alentours, le bruit de la nature… toujours aussi reposant. Cette journée allait être parfaite si tout se passait bien, mais je le sais que cela irait bien, personne oserait me déranger, j’en suis certaine… Car qui voudrais aller dans ce coin aussi perdue qu’elle était située?

Le cercle du temps passe doucement… Trop doucement, mais il avance pour laisser l’aventure et les évènements arriver à elle…Qu’elle douce ironie d’avoir seulement penser qu’elle serait tranquille.

Je ne sais pas combien de temps ce fut écrouler depuis ma courte transe dans le monde des runes et du néant, mais assez pour que je me sente légèrement perdue. J’observai de gauche à droite, brisant le cercle de runes pour faire disparaître ceux-ci dans la terre pour que personne ne puisse réutiliser ce cercle. Lentement je retournai poser mes pieds dans cette eau coulant si délicatement, légèrement froide, mais au combien confortable. Le vent était tranquille aussi, frappant délicatement sur mon visage rendu paisible, sans aucune tension, toujours ce léger sourire qui abordait mon visage me donnant ainsi un aspect de gentillesse. Ah la paix, si réconfortant quand tu nous arrive.

Je croyais enfin pouvoir obtenir cette paix pour la journée, mais elle en fut si courte… Lorsque mes pieds qui bougeaient doucement au rythme des ondulations de l’eau frappèrent alors qu’elle que chose dans l’eau, une masse forte. J’ouvris rapidement mon œil unique et j’aperçus cette chose! Ce malheur! Ce dérangeur! Cet intrus! CET AMSER! J’eus un léger grognement de frustration en l’apercevant, mais tout de même stupéfaite de voir tous ses poissons autour de lui qui fuyait mes pieds, mais pas cet homme! Sans excuse et rapidement, mes pieds revinrent hors de l’eau et je me levai peut-être un peu trop rapidement. Parce qu’après repos de transe, lorsqu’on se lève rapidement, cela cause de léger engourdissement aux jambes et à la tête. Et malheureusement, au comble du malheur, car on dirait que le malheur aime venir me dire un grand bonjour, mes jambes cédèrent et je tombai, deviner où? Bien sûre, dans l’eau!

Mon dos frappa le fond de cette rivière et je bougeai mes bras pour faire en sorte de revenir à la surface, mes bras attrapant le rebord de la rivière, toussant qu’elle que peu pour recracher l’eau que j’avais avalée, tremblant un peu en sentant tous mes vêtements coller sur mon corps, la honte! Je remarquai rapidement que je n’avais plus mon bandeau que j’avais sur mon œil! Ah non! Pas ça!

Rapidement je regardai de gauche à droite, cachant mon œil aveugle de ma main, cherchant mon bandeau, où était-il? Il ne fallait pas que je le perde!

11
Les landes dévastées / Re : L'échec |PV Silas Toram|
« le: dimanche 22 décembre 2013, 15:18:41 »
Je les sentais, ils étaient là. Le sol venait de trembler, montrant le signe des dragons ayant atterrit en se sol poussiéreux, non loin de  ma cachette. Je fermai mon œil unique, mordillant ma lèvre sous le stress de l’évènement qui allait se produire. Je demandais que de la chance dans l’évènement à venir, sinon la mort me happera trop vite, une amie que je ne désire point rencontrer. Car malgré mes compétences au combat, je ne pouvais me battre contre des dragons, ce sont des créatures trop forte et trop imprévisible. Toujours assise au sol, je me concentrai sur les sons à l’extérieur de la grotte, mes oreilles pointues bougeant légèrement aux sons des voix que je tentais d’entendre du mieux que je pouvais, malgré le fait que je sois emprisonnée dans cette caverne.

« Louka ?»

Je me concentrai alors et je sentis un être de magie, bon… Un être magique en plus dans le groupe que je ne savais pas combien ils étaient. Il faut vraiment que je me prépare encore plus, j’eus un léger rire nerveux, j’avais une rune tatouer sur moi qui pourrait me sauver au cas où je me ferais lancer un sort. Une rune de riposte magique, si on me lançait un sort, il se ferait renvoyer sur le lanceur. Je me concentrai sur mon dos, une rune cacher par mes vêtements brilla légèrement, un picotement se jouant sur mon corps, démontrant ainsi son activation. Je ne pouvais garder toute mes runes tatoués activer, cela m’épuiserais beaucoup trop rapidement et l’épuisement à un moment aussi important ne devait pas ce faire!

« Oui, il est là-dedans ça ne fait aucun doute. Mais je sens autre chose... de la magie runique. Notre assassin a des atouts cachés.
Il est puissant ?
Le signal est faible. Je ne pense pas qu'il soit une réelle menace.»

J’eus un rire à l’écoute des paroles de ce Louka. Moi pas une menace? S’il n’y aurait pas de dragon, je pourrais très bien user de mes dons runiques pour rendre cet endroit un véritable piège à mort et tous les détruire! J’étais une véritable menace, puissante et redoutable, mais pas dans ses conditions. Je ne devais pas jouer les idiotes, car c’était un plan trop dangereux. Alors j’allais m’en tenir à mon premier plan qui était tout d’abord de me faire faire prisonnière et emporter au camp. Je me levai lentement, mes arbalètes bien accrocher dans mon dos, prenant une grand inspiration avant d’expirer pour enlever ce stress qui me ravageais.

J’essuyai un peu de mon sang, dû à mon marquage sur mes mains, à l’intérieur de mon manteau. J’eus un léger tremblement en voyant le mur l’amas de pierre qui cachait ma cachette devenir alors qu’un amas de poussière. La poussière cachant ma vision de mon œil, mais ne cacha point une autre vision. Je vis cinq personnes armés ainsi que cinq dragons plus loin, je confirme que je ne dois faire aucune idiotie. Lentement la vision redevint claire et je pus voir que les cinq personnes étaient des hommes, dont celui que je devais assassiner. Les quatre personnes me tenaient en joue, tandis que le chef s’approchait de moi, arme à la main, mais restait à une distance qui pouvait être dit sécuritaire. Je restais sur place, mon œil rivé sur lui, petit sourire sur le coin de mes lèvres.

« Alors c'est toi qui a tenté de me tuer, hein ? Je ne sais pas encore qui est ton commanditaire, mais il s'est bien foutu de toi on dirait, tu étais très mal informée. Si tu te rend sans résistance, il se pourrait que je sois assez magnanime pour négocier ta remise en liberté. Dans le cas contraire, je me verrai contraint de te tuer. Ne te fais pas d'illusion. Ici à Ashnard, nous n'avons pas pour habitude de garder nos prisonniers en vie très longtemps. Sois tu nous suit et tu parles, soit on te tue. C'est aussi simple que ça.»

J’eus un rire, croisant alors mes bras, prenant un air arrogant, alors que mon œil fixait l’homme droit dans les yeux. Je n’étais pas impressionnée par cet être au haut rang.

« Et bien pour vous répondre, oui c’est moi celle qui a voulue vous assassiner! Oui, il s’est bien foutu moi la personne qui m’a donner ce contrat, mais vous savez quand je vais le revoir il va savoir ma façon de penser… » J’eus un petit rire, je savais exactement ce que je ferais à celui m’ayant donné le contrat… Une amie indésirable lui rendra visite. « Je connais assez bien Ashnard pour connaître leurs principales oh grand et redoutables Silas Toram! »

Je me mordis la lèvre pour éviter ce rire qui désirait sortir. Je continuais de le regarder de ce petit air arrogant qui était bien le miens, je ne laissais pas ma crainte se faire voir, je tentais de rester le plus naturelle possible et pour moi le naturel, c’est l’arrogance!  Lentement je levai mes mains par-dessus ma tête, montrant mes mains et montrer que je n’avais rien dans ceux-ci, mais je tentais de cacher mes symboles runiques ruisselant de mon sang carmin, au moins le sang cachait un peu des symboles runiques, même si le mage qu’ils avaient ne pourrait pas les déchiffrer. 

« Aller! Je me rends! Sans grabuge en plus, je me sens gentille en cette nuit Silas! »

Toujours cet air remplie d’arrogance, autant dans mon regard que dans ma voix, mon œil continuant de le regarder fixement, attendant qu’une réaction, je montrais aucun signe de vouloir tenter quoi que ce soit, je me rends à ses Ashnardiens comme une docile prisonnière, mais le saurais-je pour longtemps? Ils vont surement enlever les armes que j’ai sur moi, c’était sure. Tout d’abord ils vont surement prendre mes chères arbalètes, puis chercher sur moi si j’ai d’autres armes. S’ils cherchaient bien, ils trouveront mes cinq fines dagues. Une cachée à chaque poignets, Une autre, cacher sous mon pantalon sur le coté de ma hanche gauche, l’avant dernière sur mon mollet de droite et la dernière placée entre mes omoplates.

Gardant mes bras levés dans les airs, je continuais de fusiller le commandant de mon œil unique. Alors Silas Toram que feras-tu?

12
Les contrées du Chaos / Re : Le duo Runique PV : Amser
« le: dimanche 08 décembre 2013, 18:11:38 »
Dormir, qu’elle douce évènement d’une journée, l’une des choses que j’aime encore plus après le meurtre. Enfin, il y a aussi la nourriture… Donc j’aime Manger, dormir, tuer… Autre chose? Nah pas vraiment… Ah oui! J’ai presque oubliée la plus importante chose que j’aime : les Runes! Les runes font partie de moi, qu’importe le nombre de rune, même ceux que je n’ai jamais vue et dont je doutais de l’existence sont une partie importante de moi, je réagis à la présence de ceux-ci, je réussie à les comprendre, les manipuler, les contrôler… Tout faire d’un simple tour de main et pourtant elles restent si secrète en même temps. 

Les secondes s’écroulent pour faire place aux minutes… Puis lentement aux heures qui laissèrent place au soleil levant…

J’ouvris doucement les yeux, j’avais eu conscience durant la nuit d’un léger mouvement de mes runes, enfin plutôt celle sur la porte, on avait essayé d’entrer pendant mon sommeil, mais elle avait réussie à éloigner la personne que je savais exactement de qui il s’agissait.  Lentement je m’assis sur le lit, m’étira légèrement et aperçut sur l’oreiller des runes tracer en sang. Je regardai ma main et aperçut le bout de mon doigt en sang… Encore? Cela m’arrivait beaucoup trop souvent ses temps-ci, surement le stress et le manque de sommeil qui me provoquait ce genre de choses, je devrais me reposer un peu avant d’aller chercher ma récompense, même mes runes me le disaient. Peut-être rester deux ou trois jours, le temps de bien reprendre du repos et du calme dans mon esprit.

Oui, je ferais bien cela, mais je vais devoir envoyer un corbeau à mon client, qu’il n’oublie pas ma récompense… Car certains de ceux qui me donnent mes contrats semblent penser que si je ne viens pas le jour même chercher la récompense, c’est que c’est gratuit ou que je me suis fait attraper. Grave erreur de jugement, car si j’arrive et qu’ils ne me payent pas, dans les jours qui suivent, la mort leurs rendra visite, mais pas pour une visite de courtoisie.

Pour aujourd’hui ce que j’allais faire… Tout d’abord manger, mon ventre gronde et quand il gronde cela n’est pas bon signe! Après avoir mangée, j’envoie un corbeau à mon cher monsieur, après cela je dois aller voir le forgeron pour une amélioration sur mon arbalète et une petite retouche et ensuite… On verra, peut-être aller méditer à la rivière près de là, c’est toujours bien revenir à nos sources, car malgré que je sois un être runique, je reste un elfe et la nature restera toujours l’un des endroits que je me sens le mieux.

Je m’habillai lentement sans presse, il y en avait pas à avoir, je me suis accordée une pause pour la journée minimum et si je me sentais parfaitement bien physiquement et mentalement, je partirais demain à l’aube comme j’étais supposée le faire ce matin. Après avoir installé mon long manteau noir, j’installai mon bandeau et me sentie à nouveau mieux. Puis au final j’attachai mes longs cheveux bruns à mon dos. Écrivit une nouvelle rune sur la porte qui parut invisible, mais elle était belle et bien là et je sortie enfin de la pièce. Cette rune annule temporairement la rune précédente, mais permet de l’activer à nouveau la prochaine fois qu’elle entrera dans la chambre.

Accrocher à mon dos mes arbalètes, cacher sur tout mon corps mes cinq dagues que personne ne voyait, trop bien caché, j’arriva dans la partie manger de l’auberge et fit signe à l’aubergiste à manger, posant l’assiette de la veille sur la table, voyant dans le coin de la pièce, cet Amser qui dormait à point fermé, je ne fis point de cas, même si l’aubergiste semblait vouloir de son regard que j’aille voir, j’hochai négativement la tête, voyons! Pourquoi j’irais voir un tel homme, je n’ai plus rien à lui dire, j’en ai déjà trop dit. L’aubergiste hocha la tête, décourager, je laissa sortir un soupire de découragement et je croisa mes bras et il partit me chercher ma nourriture, je fermai mon œil qu’elle que minute, lorsque j’ouvris mon œil je pus voir l’homme revenir avec mon assiette, œuf, pain grillé, pomme de terre et un peu de fruit. Léger sourire à mes lèvres, lentement je pris l’ustensile qu’on me tendit et je commençai à manger silencieusement.

À la fin je donnas qu’elle que pièce à l’aubergiste et je lui demandas où était celui qui s’occupait des oiseaux messagers, il m’indiqua la place et je lui redonnai qu’elle que pièce pour les renseignements –Car tout renseignement mérite une récompense- et je sortis de l’auberge toujours aussi silencieusement. Et je partis vers celui qui s’occupait des oiseaux messagers, arriver à destination, je fis cela rapidement, j’écrivis une note à l’homme s’occupant de mon paiement, l’attacha à la patte de l’un des oiseaux et écrivit à l’encre sur les deux ailles une rune et je la fis s’envoler et elle partit dans la direction souhaiter, un problème de régler, je sortis en payant l’homme, lui promettant que son oiseau reviendra correctement.

Je partis vers le forgeron et lui donna mes arbalètes en signifiant ce que je désirais comme amélioration et je lui donnai de l’argent et même un peu plus d’argent pour qu’il fasse mes arbalètes avant toute chose, car si je devais partir dès le lendemain, mieux valais que cela soit terminé au plus vite. Je lui demandai la rivière la plus près elle était située où et je partie par la suite en sa direction qu’il m’avait donné. Lentement je mis rendis et après une dizaine de minute à pied, je la trouva rapidement et m’y chercha un coin tranquille, caché par de haut buisson et des arbres. Rendue à cet endroit j’enleva doucement mes bottes et me mit pieds nus en les plongeant dans l’eau et m’assit au bord de la rivière en remontant le bas de mon pantalon pour que mes jambes soient dans l’eau, sans que j’ai à mouiller mes vêtements, lentement je fermas mon œil pour me mettre à penser…

13
Les landes dévastées / L'échec |PV Silas Toram|
« le: dimanche 01 décembre 2013, 22:36:38 »


Dans la vie il y a des jours qui va bien et d’autre qui va mal. Surtout quand notre profession est celui d’être un assassin, on est jamais stable, toujours en mouvement et donc toujours dans l’incertitude. Le plus gros problème est que mes jours ont toujours été beaux, mes missions toujours réussies à la perfection, jamais une fois j’ai échoué à tuer une personne, jamais! Je suis une personne de talent qui a toujours travaillée proprement et subtilement, réussissant à entrer dans les camps les plus lourdement gardés pour commettre mes crimes les plus odieux. Le métier d’assassin est un emploi très payant, surtout en temps de guerre ou de préparation de guerre ou bien pour déclencher des guerres! Hélas, pour la première fois de ma vie, j’ai échouée à l’une de mes missions et me voilà pourchasser par des gardes en plein territoire trop ouvert à mon goût et pas assez d’endroit à me cacher, les landes dévastées.

Mes contrats je les accepte peu importe la personne que je dois tuer, haut dirigeant à simple paysan, j’accepte tout, tant que j’ai un paiement, sinon je tue celui qui m’a donné le contrat, on ne joue pas avec la mort d’autrui sans payer sa mort, sinon elle prend son âme pour payer sa dette. J’avais un lourd contrat qui m’attendait je ne devais surtout pas échouée, la première étape était de tuer un commandant d’armée de Nexus, tué avec facilité, une simple infiltration, une rune de poison dans son verre et le tour fut joué, il mourut à la fin de sa boisson et la cause de sa mort reste inexpliqué, car la rune disparaît une fois la première gorgée prie, mais on accusa Ashnard de l’avoir tué d’un soi-disant maléfice. La deuxième partie de mon contrat était de tuer un commandant d’Ashnard, Silas Toram.  Pourquoi tuer deux commandants et non pas seulement un? Eh bien, pour déclencher une guerre plus rapidement! Si j’avais honte de faire cela? Non pas du tout, je me fou assez des guerres entre Ashnard et Nexus, la seule voie que je suis est celle de l’argent et de la  mort.

Ainsi donc revenons au sujet principal, pour la première fois, j’avais échouée, je ne sais comment l’expliquer, mais on m’a vue, ils ont compris, maintenant je fuis. Je fuis le plus vite que je peux, je tente de les semer en faisant disparaître mes traces, mais ils ont une chose que j’aurais vraiment mais VRAIMENT voulue savoir avant de venir, ils ont des foutues dragons! Si je l’aurais sue avant et bien je me serais préparée au pire ou j’aurais simplement demandée si une autre personne importante dans le monde d’Ashnard ferais l’affaire, mais là eh bien trop tard! Les dragons sont des créatures horribles, tenter pas de les tuer sans préparation, car sinon vous serez leurs prochains goûter et pour tout vous dire je n’ai pas envie d’être leurs goûter nocturnes, car voyez-vous c’est la nuit sur les landes.

Mes vêtements en cette nuit sombre? Mon long manteau noir cachant tout mon corps, un bandeau cachant mon nez et ma bouche, ainsi que mon fidèle cache-œil runique. Mais bon, ce n’est pas si important que cela, le plus important à vous décrire est la cachette que j’ai finalement réussie à me faire. C’était une caverne sombre, j’avais réussie à faire exploser l’entrée pour m’enfermer à l’intérieur. Suis-je folle de m’enfermer alors qu’on me poursuit? Un peu, mais ne jamais douter d’un elfe quand on a un plan derrière la tête. Je pouvais me reposer un peu avant qu’ils réussissent à dégager l’entrer, je sais qu’on ne me tuera pas, ils veulent surement me poser bien des questions et surement me torturer pour avoir les réponses car je suis muette quand on me questionne sur ceux qui me donnent des missions, alors il fallait que je me prépare au pire. Je sortie une dague de mon poignet et commença à rapidement à me graver des runes dans mes paumes de mains, pour finalement fermer mes yeux qu’elle que secondes, priant les runes qu’elles ne me laissent pas tomber, car si mon plan ne marchait pas, j’étais morte et peut-être même je réussirais la mission si tout va encore mieux que je le croyais, mais fallait que je me fasse emporter au campement en tant que prisonnière, oh... faites que je fasse le bon choix, je n'aime point ce qui m'arrive et je craint le pire…

14
Les contrées du Chaos / Re : Le duo Runique PV : Amser
« le: dimanche 01 décembre 2013, 22:27:09 »
Moi ce que je déteste le plus dans la vie ce sont les personnes qui aiment rire des autres, qui regarde la personne d’un air idiot avec un grand sourire (Généralement idiot aussi) sur les lèvres… Enfin, comme cet homme! Il m’agaçait, m’épuisais juste à le regarder et j’avais seulement hâte de le voir disparaître de ma vue! Moi qui n’était pas si fatiguée que cela avant, je le devenais de plus en plus à devoir que le regarder agir, j’avais le goût que de lui mettre une rune de mutisme et avoir le bon repos de sa voix ou de ses légers rires qui m’agaçais et mon visage démontrait très bien cet état d’âme.

Amser parti, mais pas dans la direction que je souhaitais ardemment, il alla plus vers le coin et pris les armes souillées que j’avais lancée et commençai à s’en saisir… Aller prends les tous et ne laisse aucune trace et disparait de ma vue avant que la colère me gagne plus qu’elle ne l’ai déjà! Lentement il se retourna vers moi et partie vers la sortie et d’un coup rapide m’ébouriffa les cheveux, l’impoli, si j’aurais vue cela venir, son bras n’existerait même plus!

« - Fermez bien la porte et ne dormez pas trop tard, dame Väria. D'accord ? »
« C’est ça c’est ça, allez partez et ne revenez plus. »

Il m’observa de la tête au pied, son regard qui semblait m’analysais et me lancer des remarques comme quoi il me surveillait, j’eus un léger grognement d’énervement et lever mon pied pour le pousser complètement en dehors de ma chambre et referma ma porte d’un geste colérique et je la barras pour être sûre qu’elle soit barrée, lâchant un long soupir de découragement, au moins s’était fini! Je ne le reverrais plus! Enfin, j’espère.

Je retournas à mon lit et je m’y assis, pris qu’elle que fruit dans ma main et les mangea tranquillement, relaxant légèrement, puis doucement j’enleva cette pince qui attachait mes longs cheveux, glissa mes doigts derrière ma tête pour retirer mon cache-œil graver de rune, découvrant ainsi une paupière complètement refermer et attacher à son bas par des fils noirs pour interdire l’ouverture de ce vide absolu. Je caressa doucement les runes sur mon cache-œil qui s’illumina légèrement, ce sont les runes qui sont le plus en accord sur tout mon corps, ceux que j’ai le moins à craindre d’un effet secondaire, car elles sont si unis tous ensemble dans le plus merveilleux des accords, malgré toutes leurs différences. Puis je le posa sur la table de chevet.

Je retira mon long manteau noir, découvrant ainsi mon corps à l’allure si fragile, pour un chandail à la style corset noir. Je portais mon pantalon noir, serrant légèrement mes jambes. Je soupira à nouveau, caressant doucement mes épaules tatoués de rune comme l’était tout mon dos. Je fronça alors des sourcils et me dirigea vers la porte, mordit mon doigt au sang et commença à dessiner une rune sur la porte. Si une personne touchait la porte, il ressentira un puissant choc électrique traverser tout son corps et qui continuera tant qu’il touche la porte, petite protection au cas où qu’une personne voudrait rentrer.

Je partis vers le lit et fit doucement glisser le restant de mes vêtements au sol, pliant ceux-ci pour les poser à côté du lit, à côté de mon arbalète et de mes cinq couteaux que je gardais toujours sur moi, mais je pensa à qu’elle que chose et je plaça deux de mes couteaux à des endroits précises, protection de plus.  Et lentement je vins m’étendre sous les draps, posa ma tête sur l’oreiller, ferma mes yeux et je m’assoupis comme si je n’avais pas dormis depuis des jours, ce qui était presque le cas. 

15
Les contrées du Chaos / Re : Le duo Runique PV : Amser
« le: jeudi 28 novembre 2013, 11:19:17 »
Mes yeux fermés, ma bouche légèrement ouverte, la manche de mon chandail relevé pour vous laisser voir toutes ses runes gravés à même la chair. Tant de signification pour de si simple rune, certaines elfiques, certaines humaines, d’autre provenait même de tribus sauvages de Terranide, j’avais que sur mon avant-bras 10 sortes différentes de runes qui provenaient de peuples différents, mais chaque rune était à sa place, organiser dans une parfaite harmonie, les runes se montrent souvent gentilles, mais ce n’est qu’une simple facette. Utilisez les trop quand elles ne sont pas aux bons ordres et un jour elles se vengeront, comment? Tout dépends des runes, certaines vont user de leurs pouvoirs contre leurs utilisateurs, d’autre ne fonctionneras juste plus, tant de manière de se venger pour seulement une faute qui pourtant était si simple à corriger… Quand on ne connait pas tout, on n’utilise pas plusieurs types de runes sur la même surface!

Je repensais à ce qu’il m’avait dit avant que je parte, son arme était fait de ses os et de son sang, malgré cette fabuleuse arme à la composition si unique, malgré qu’il écoute les runes, elles pourraient mentir et mener son possesseurs dans le pire des tourments. Ils vaudraient mieux qu’ils reprennent son apprentissage de certaines runes, car certaines runes doivent complètement éviter de se retrouver à coté et sur son arme il avait ses runes trop près.

Mes doigts caressaient mes runes qui brillaient sous une délicieuse teinte rougeâtre, les runes nous parlent à nous les elfes des runes, elles nous disent leurs problèmes, leurs impressions, leurs caprices et comment bien les utilisez, elles sont malignes, car elles sont d’habilles manipulatrices, parfois elle change d’avis, un jour elle dit une chose et le lendemain sera l’inverse, alors je prenais garde à ce qu’elle disait et ressentait chaque changement dans les runes que j’avais sur tout mon corps, cacher sous tous mes vêtements se retrouvaient plus qu’une centaine de tatouage ou même de lacération de rune différente, chacune ayant une caractéristique précise et qui somnolait en attendant que je les actives.

« BASTOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON! »

Quoi!? Ce bruit heurta mes tympans alors qu’une bagarre arriva dans l’auberge… Pauvre aubergiste, je compatissais pour lui et son auberge qui risque de se détruire à cause de tous ses soulons et de tous ses bagarreurs qui avaient éclatés en combat généralement dans l’auberge. Je soupirai de découragement, ne peut ont jamais avoir la paix dans une auberge? Cela en est désespérant. Ma main revint caresser ma chevelure brune et je me remis à penser lentement à ce que j’avais à faire, me reposer cette nuit, pour que le lendemain je puisse partir lorsque le soleil se lèvera pour aller réclamer mon payement.

Lentement, j’entendis des bruits dans le passage, une personne arrivait et s’amuser à regarder dans chaque pièce, je saisis mon arbalète à côté de moi et la pointa vers la porte, puis elle s’ouvrit, laissant place à l’entrée de ce géant d’Amser… qui avait des couteaux de planter sur lui…  Mon regard se fit dure et il tenta de se saisir des armes plantées en lui, mais n’en fus point apte à s’en saisir. Un nouveau soupire quitta mes lèvres,  quel idiot que voilà face à moi! Mais voyons donc le ciel m’en veux-t-il d’avoir à rencontrer un tel idiot? Rapidement je cachai les symboles sur mon poignet à l’aide de mon chandail.

« Vous pouvez juste me retirer ça ? Et je retourne en bas ! »

Nouveau soupire qui quitta mes lèvres et je tira, le carreau allant dans la direction de sa tête, frôlant de qu’elle que vulgaire centimètre sa tête, je ne voulais pas le tuer, seulement l’avertir qu’il n’avait pas vraiment frappé à la bonne porte, mais lentement je me leva et m’approcha de lui, fixant chacun de ses mouvements.

« Ne bouge pas, sinon je te les enfonce plus profondément. »

Ma voix était dure, ne voulant aucune riposte, j’étais ennuyée qu’on me dérange surtout quand j’étais en plein état de repos. Lentement je sortie une dague de mon poignet et me grava un symbole dans la paume, avant de la repositionner sous ma manche, rune de l’anesthésie sous sa version elfique, voilà la rune graver dans ma peau. Je posa alors cette main sur l’une des lames de plantée dans son dos et Amser put sentir sa peau engourdir à l’endroit où la lame était plantée et elle arracha la lame d’un coup, il ne devait pas avoir ressentie grand-chose, j’avais anesthésier la zone de la lame. Je refis ceci à chacune des autres lames d’arme planter dans sa peau, lançant les armes souiller plus loin dans la pièce, légèrement décourager.

« Heureux? Maintenant sortez de ma chambre, j’ai besoin de me reposer. »

J’ouvris alors la porte, faisant un signe de ma main pour l’inciter à sortir plus vite. Mon visage démontrant la gamme d’émotion d’une personne qui semblait ennuyer par la situation et aussi fortement fatiguer. Je n’avais point envie de me battre pour faire sortir cet homme de ma chambre. J’avais en ce moment que le goût de m’étendre sur le lit et dormir un peu.

Pages: [1] 2