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Messages - Madame Mirage

Pages: [1]
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Les alentours de la ville / Association meurtrière et autres tracas. [PV]
« le: mardi 12 novembre 2013, 17:11:10 »
De source sûre, Mirage savait que l’Écorcheur était revenu à Seïkusu. Elle n’avait plus qu’à vérifier quelques détails, et elle aurait l’adresse de sa planque. Peut-être même l’arrêterait-elle avant qu’il n’ait fait une autre victime. Elle était si proche… La nuit, elle dormait mal. Elle attribuait ça à l’excitation de la fin de la traque. Elle avait l’impression de faire des cauchemars la nuit, mais ne se souvenait de rien au matin, si ce n’est un nom qui hantait son esprit. « Flagg ». Elle ne se souvenait pas du reste, mais le nom flottait dans sa tête comme une litanie sans fin. Agaçante.

Elle se réveillait avec des cernes sous les yeux, preuve qu’elle dormait mal. Mais ça ne l’empêchait pas de se concentrer sur son boulot. La journée durant, elle la passa à éplucher de nombreux dossier, revoyant ses indices sur l’Écorcheur. Elle était parvenu à l’identifier, il ne restait plus qu’à confirmer que ses déductions étaient bonnes.

Mais pour elle, l’Écorcheur s’appelait en réalité Samuel Gotô, et était originaire de Seïkusu. Ce qui expliquerait pourquoi il revenait sans cesse dans cette ville pour y commettre de nouveaux crimes alors qu’il ne passait jamais deux fois dans la même ville autrement. Il avait quarante-trois ans, mais il en paraissait plus. Usé avant l’âge. Il était dans l’immobilier, et possédait des propriétés foncières un peu partout dans le monde, lui offrant une source de revenus confortable. Il était aussi adepte de ce que les gens appellent « La Magie Noire ». Il croyait fermement en l’existence de cette magie, et s’adonnait à des rites barbares pour honorer une espèce de dieu sombre inconnu, en échange de faveurs.

D’après ce qu’elle avait réuni, Mirage savait que le père de Samuel avait écorché sa femme pour cette raison, devant les yeux de son gamin. Il tirait sans doute son inspiration de là. La détective ne comprenait pas comme les flics avaient pu passer à côté de ça depuis tout ce temps.

Il était dix-neuf heures quand elle sortit de son bureau. Elle avait revêtit la tenue qui faisait connaître maintenant comme Mirage dans les bas quartiers, par les criminels. Sa longue robe blanche fendue, immaculée, et son petit boléro de cuir noir qui gonflait ses épaules. Elle n’avait pas oublié les cuissardes, ni l’arme glissé dans sa jarretelle ivoire. Le chapeau à voilette couvrait sa tête et son regard pur tandis qu’elle arpentait les trottoirs de la ville. Elle passa par le quartier de la Toussaint pour rejoindre le centre ville et ainsi retrouver le luxueux appartement de Samuel Gotô. Non, ce n’était pas un appartement. C’était un penthouse, en duplex, situé au sommet de l’un des plus luxueux immeubles du centre. Là où la sécurité est au top, et où une mouche ne peut se poser sans déclencher d’alarmes.

Mais tout ça n’inquiétait pas Mirage. Ses capacités lui permettaient d’être comme un fantôme, aussi laisserait-elle tout juste un flou sur les caméras de sécurité, et pas une trace.

Quand elle arriva, la lumière brillait au dernier étage. Elle se concentra, et ses molécules devinrent vite intangible, comme la lumière. Elle n’était plus qu’un hologramme parfaitement réussi et conscient. Mais elle ne s’arrêta pas là. Scannant les alentours, elle se fondit dans le décor. Invisible.

Ainsi équipée, elle entreprit de passer les sécurités, et de monter jusqu’au dernier étage. Elle se faufila dans l’appartement, allant directement à l’étage où la lumière brillait. Elle aperçut alors l’homme qu’elle traquait depuis des semaines. Samuel Gotô, dit l’Écorcheur. Il semblait en pleine transe, armé de son scalpel et était occupé à faire une incision au sommet du crâne de sa victime étendue, nue, sur la table d’opération qu’il avait. D’après ce que Mirage voyait, il avait déjà entaillé sa victime de l’incisure jugulaire du sternum, situé entre les deux clavicules et sur la partie supérieure du sternum, jusqu’au pelvis. Il semblait aussi à la détective que la jeune femme avait été abusée sexuellement. Mais à présent, l’Écorcheur au regard brillant d’un fanatisme morbide, entamait le travail proprement dit qui lui valait son surnom dans la presse et écartait les deux bords du cuir chevelu de sa victime pour tirer, décrochant la peau des tendons et des muscles sous les hurlements de la femme.

Mais Mirage ne le laissa pas faire. Même si son penthouse était insonorisé, et qu’il était -de fait- tranquille, elle était là. Brusquement, elle reparu. Et elle se jeta sur Gotô avec toute la rage qu’elle éprouvait. Il leva son arme en défense, et le scalpel sembla traverser le corps de Mirage au niveau de sa poitrine, sans rien lui faire.

« Tu vas mourir, Samuel Gotô, et de la main de Madame Mirage… Tu ne feras plus de mal aux gens de ce monde… »

L’homme ne se laissa pas faire si facilement cependant. Le regard fou, il repoussa la jeune femme loin de lui et l’observa en ricanant.

« Randall Flagg is coming… »

Et il termina sa tirade par un coup de théâtre, s’enfonçant le scalpel dans l’œil, traversant le globe oculaire pour le planter dans son cerveau, atteignant les centres nerveux responsables du maintien en vie de son corps. Il se suicida, le sourire aux lèvres.

Retenant un cri, Mirage allait pour libérer la femme quand un second coup de théâtre se produit et que la porte d’entrée, à l’étage, explosa en même temps que les baies vitrées et que la porte menant au toit-terrasse, libérant une armée -selon les impressions de la jeune détective- d’hommes habillés de noirs, armés jusqu’aux dents, et qui hurlaient ce qui ressemblait à « Police ! » dans une cacophonie infernale.

Surprise, choquée, elle leva machinalement les bras, se laissant submerger par la marée humaine.

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Les alentours de la ville / Re : Welcome on board ! [PV]
« le: mardi 12 novembre 2013, 15:00:00 »
L’individu ne se montra pas menaçant, levant les mains comme pour montrer qu’il était innocent. Mirage ne sourcilla pas cependant, certaine qu’il était là pour la piéger. Elle ne semblait pas gober l’histoire de l’hôtesse qui l’avait emmené ici lui aussi. Même si une petite voix lui soufflait que c’était peut-être la vérité. Après tout, vu le nombre de passagers, des erreurs pouvaient être commises. Bien sûr, la détective n’était pas déraisonnable. Mais la paranoïa l’emportait parfois sur son sens logique, aussi continua-t-elle de braquer l’inconnu. Enfin, Kyle Macross.

Elle réfléchissait rapidement, tandis qu’il lui jetait un œil dessus à travers les miroirs de la pièce. Devait-elle lui faire confiance, ou lui exploser la tête ? Elle en était à se dire qu’il n’avait pas l’air franchement dangereux, observant distraitement la scène devant elle et regardant sans le voir l’excitation visible de sa cible, quand il rabattit brusquement les mains pour couvrir ce mât de chair qui venait d’émerger. Ce faisant, une gerbe d’eau se souleva et arrosa copieusement Mirage, qui baissa alors son arme dans un réflexe de protection idiot puisque l’eau la trempa complètement.

Et l’imbécile qui se lève, pour faire elle-ne-savait-quoi, se rétame en glissant de la baignoire, venant tenter de se rattraper à elle mais n’empoigna que le haut de son ensemble, et se cassa quand même la figure sur le sol carrelé de la salle de bain.

Mirage l’observa, son bras armé pointant désormais le sol et son doigt n’étant plus sur la détente. Elle était songeuse. Elle aurait dû être en colère, et vouloir se venger sur l’homme, mais une seule vengeance à la fois s’était-elle dit. Rhodes d’abord, le reste était accessoire. Elle soupira alors, entendant pour la première fois le bruit musical délivré par le Smartphone de l’homme étalé à ses pieds.

Il devait paisiblement profiter de son bain avant qu’elle n’arrive, et n’était sans doute pas en train de l’attendre pour la descendre. Ses soupçons s’apaisèrent un peu, et c’est avec un air presque enjoué qu’elle secoua la tête. La petite mésaventure qu’elle vivait devenait drôle tout à coup. Réenclenchant la sécurité de l’arme, elle la posa sur le rebord des lavabos avant de venir tendre la main pour aider le Kyle Macross à se relever, tout à fait inconsciente de ses charmes dévoilés. Elle n’était pas des plus pudiques, ayant hérité du tempérament séducteur d’Angela, et se plaisait à voir l’effet qu’elle faisait aux hommes.

En parlant de ça, ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas profité des charmes virils d’un homme. Elle n’était pas assurée, à chaque fois, et le type n’était pas le bon. Ce corps-ci étant vierge, elle aimerait une bonne expérience à se rappeler, pour oublier la sinistre première fois d’Angela.

« Et si on reprenait à zéro ? »

Son ton était agréable, amical. Il changeait du ton froid précédemment employé.

« Je crois qu’il y a eut une erreur dans l’attribution des cabines, et il est bien possible que nous soyons forcés de cohabiter. »

Plus elle l’observait, plus elle se disait qu’il était tout à fait le genre d’homme qu’elle voulait pour déflorer ce corps vierge et remplacer le souvenir de la première fois dans son esprit.

« Je m’appelle Angela. Je suis désolée d’être arrivée si cavalièrement dans la salle de bain. »

Elle ne lui avait pas lâché la main tandis qu’elle l’avait aidé à se relever. Se rapprochant un peu plus, elle le fixa dans les yeux en murmurant :

« Rien de cassé ? Je m’en voudrais sinon. »

3
Prélude / Re : Projet Ellison | Madame Mirage - { Validée }
« le: mardi 12 novembre 2013, 12:44:38 »
Ellison... T'es pas la première :D

Ah bon ?

En tout cas, merci à tous !

4
Les alentours de la ville / Re : Welcome on board ! [PV]
« le: mardi 12 novembre 2013, 12:40:10 »
« L’Écorcheur », un individu sombre, peu recommandable, qui faisait des siennes à travers toute l’archipel japonais. Il avait écorché pas moins de vingt-cinq péquins en une année seulement. C’était le nouveau tueur en série dont les médias n’arrêtaient pas de parler. Surnommé ainsi par les médias, en dépit des insistances de la police pour ne le nommer que « le meurtrier », il gagnait en popularité auprès de psychopathes aussi atteints que lui. Foule d’hommes avaient essayé de l’imiter, mais il manquait toujours un détail crucial. Néanmoins, ça surchargeait la police criminelle. En deux mois de temps, le nombre de crimes avait augmenté de 10%. Et parmi ces crimes en plus, tous étaient des copies de ceux de l’Écorcheur. La plupart des meurtres étaient bâclés. Des individus sans expériences qui s’initiaient au meurtre, ce n’était pas une sinécure. Beaucoup d’imitateurs avaient pu être arrêtés, mais la popularité de l’Écorcheur grimpait en flèche, surtout due à son habileté à échapper aux contrôles de police.

Mirage, tout en faisant justice la nuit, s’était plus ou moins installée en tant que détective privée à Seïkusu. Depuis quelques semaines qu’elle était là, elle avait déjà résolu quelques petites enquêtes de vol, mené des filatures pour des couples jaloux, ce genre de chose. Et, la nuit, elle avait fait mettre en cellule pas moins de treize violeurs et voleurs en tout genre. Forte des connaissances léguées par les sœurs Temple, elle n’avait eu aucun mal à se forger une identité civile irréprochable, et à investir le peu qu’elle avait gagné dans des actions de petites sociétés d’électroniques ou ce genre de choses. Elle souhaitait faire fructifier ses gains pour pouvoir acheter un local de taille honnête afin d’y installer le siège social de son entreprise. Être détective nécessitait des frais, et un lieu où entreposer les dossiers. Elle ne pouvait pas tout laisser dans le petit studio de 20m² qu’elle louait pour l’instant. Elle n’avait même pas de garage !

Quand elle avait entendu parler de l’Écorcheur pour la première fois, Mirage s’était aussitôt intéressée à l’affaire. Ce criminel lui rappelait quelque chose, comme un souvenir caché. Peut-être un tel homme existait-il aussi dans le monde d’où elle venait, et les sœur Temple avaient sûrement entendu parler de ça, d’où la réminiscence. Mais ça ne changeait rien au fait que la jeune détective décida de se lancer sur l’affaire. Elle avait suivi les meurtres à travers tout le japon, s’arrêtant brièvement sur chaque scène de crime -sans pouvoir l’étudier à sa convenance à cause des policiers qui ne reconnaissaient pas les détectives comme étant des collaborateurs- et avait constitué un bon dossier sur le criminel.

S’étant arrêtée brièvement à Tokyo, elle avait profité d’un cybercafé pour mener quelques recherches en boostant discrètement l’ordinateur. Piratant les sites du gouvernement avec ingéniosité, elle avait alors découvert un fait que les enquêteurs gardaient secret. L’Écorcheur n’agissait pas qu’au Japon. Il avait déjà un passif aux États-Unis, ainsi que dans divers pays européens. Et pour finir, il s’étendait aussi au-delà du Japon, sur le continent asiatique. S’envoyant toutes ces données sur un serveur secret, Mirage remit l’ordinateur du cybercafé à son état d’origine, effaça toutes ses traces, et fila à l’aéroport pour réserver un billet pour le dernier endroit où un crime de nature à être celui de l’Écorcheur avait été trouvé.

Elle y fut en moins de trois heures. Elle rôda autour de la scène de crime, glanant de précieux renseignements, et fut dépitée de constater que le crime datait d’une semaine déjà. Les enquêteurs n’avaient aucune piste sérieuse.

En soupirant, elle avait alors décidé de rentrer à Seïkusu faire le point sur ce qu’elle savait. Elle avait donc reprit un billet d’avion, le surlendemain, et attendait à présent à l’aéroport surpeuplé que son vol parte.

« L’avion du vol 179 d’America Airlines, à destination de Seïkusu, ne pourra repartir suite à des problèmes techniques importants. Les passagers de ce vol peuvent se rendre à l’accueil de l’aéroport pour se faire rembourser le prix de leur voyage, ou bien pour échanger leur billet d’avion contre un billet en suite de luxe pour une croisière jusqu’à destination. Merci de votre attention, et bonne journée à vous. »

Et voilà. Pile le vol qu’avait réservé la belle détective. Elle hésita un moment entre le remboursement ou la croisière, mais en voyant que le prochain vol pour Seïkusu n’était pas prévu avant trois jours, elle décida d’opter pour le trajet maritime.

Et la voilà donc, à suivre une hôtesse au travers du luxueux paquebot nommé L’Argonautica jusqu’à la suite 1818 qui lui avait été attribuée. Aux portes de la cabine, l’hôtesse lui remit la carte magnétique nécessaire pour entrer et lui souhaita une bonne traversée, répétant qu’elle était à sa disposition pour le moindre de ses désirs.

Sans attendre, la brune passa la carte dans le lecteur, et entra dans la suite. Elle n’avait pas de bagages, si ce n’est un grand sac à main avec le nécessaire pour se changer, se laver, et être belle. Elle avait aussi un ordinateur portable et un Smartphone, ainsi que tous ses papiers et un peu de liquide. Elle déposa son sac sur le canapé de la luxueuse suite, et trouva rapidement les branchements réseaux qui permettraient d’avoir accès à l’internet. Elle brancha son ordinateur, pirata quelques services de sécurité, et eut accès à la base de donnée des enquêteurs sur l’affaire de l’Écorcheur.

Décidant qu’elle visiterait la suite plus tard, elle préféra noter toutes ses impressions et ses observations dans son dossier sur l’affaire, réunissant ce qu’elle savait, et ce que les enquêteurs savaient. Elle sauvegarda le tout, rapidement, et songea qu’une bonne douche lui ferait du bien avant de tenter de retracer tout le parcours du criminel dans le monde.

Quittant son jean et son débardeur dans le salon, près de son sac, elle se dirigea vers la salle de bain en sous-vêtements (une petite culotte en dentelle assorti à un top de même matière, d’un vert presque fluo qui, étrangement, rendait l’ensemble séduisant) avec son nécessaire à douche.

Quelle ne fut pas sa surprise quand, en entrant, elle trouva quelqu’un qui barbotait dans l’élégante baignoire de la suite. Silencieuse et choquée, elle resta un instant sur le pas de la porte, ne s’étant pas encore fait remarquer de l’inconnu. Plusieurs idées lui passèrent par la tête, en voyant l’individu de dos. L’Écorcheur est ici !, ou bien On dirait Rhodes…, ou encore C’est un tueur à gage, il est là pour me tuer !, bref, que des pensées un peu paranoïaques. C’est pour ça que, silencieusement, elle dégaina l’arme qui était coincée dans sa jarretelle, et la braqua sur le crâne de l’inconnu. Elle avance, sans bruit, et plaque brusquement le canon doré sur la nuque de l’inconnu.

« Qui êtes-vous, et qui vous a envoyé ? »

Pas paranoïaque du tout.

5
Prélude / Re : Projet Ellison | Madame Mirage - { Validée }
« le: lundi 11 novembre 2013, 19:34:51 »
Merci héhé :D

6
Prélude / Re : Projet Ellison | Madame Mirage - { Validée }
« le: lundi 11 novembre 2013, 17:51:51 »
Un grand merci !

7
Prélude / Re : Projet Ellison | Madame Mirage
« le: lundi 11 novembre 2013, 17:30:06 »
Merci beaucoup.

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Prélude / Re : Projet Ellison | Madame Mirage
« le: lundi 11 novembre 2013, 16:24:03 »
Merci également.

9
Prélude / Re : Projet Ellison | Madame Mirage
« le: lundi 11 novembre 2013, 16:13:44 »
Merci.

10
Prélude / Projet Ellison | Madame Mirage - { Validée }
« le: lundi 11 novembre 2013, 16:09:45 »
Partie I - Les sœurs Temple et le projet Ellison.

Angela et Harper Temple sont deux soeurs qui vivent dans une réalité parallèle et dans un futur proche.

Elles vivent dans une société où les scientifiques et les grands inventeurs ont développés ce qu'ils appellent "Mega-Tech". Il s'agit de technologies tellement avancées qu'elle offrent aux humains qui les testent des capacités surhumaines. On appelle ces personnes des méta-humains. Cet afflux de technologie possède deux conséquences : L'une d'elle, c'est l'apparition de super-héros que les gens peuvent admirer et saluer. L'autre, c'est l'apparition de leurs opposants, des super-vilains. Cette nouvelle criminalité, plus dangereuse, pousse les gouvernements à interdire Mega-Tech et de faire cesser toute production en rapport avec cela. Les super-héros et les super-vilains furent arrêtés, et bouclés en prison.

Mais les sœurs Temple, quelques années plus tard quand elles eurent passés leurs diplômes, montèrent une société appelée "Templetech". Autant Harper était le cerveau de la société, autant Angela était le visage. Associée toutes les deux, elles développèrent une technologie sur la réflexion spectrale, en rapport avec la lumière, ce qui était assez éloigné de Mega-Tech pour pousser les gouvernements à les autoriser à continuer leurs recherches. Ce projet pourrait, à terme, rendre son utilisateur invisible. Elle baptisèrent le projet "Ellison", sans doute en référence au créateur d'Invisible Man, Ralph Ellison.

Angela, le visage de la société, trouvait des donateurs généreux pour leur permettre de continuer leurs recherches. Elle était intelligente, très intelligente. Mais moins que sa sœur, qui était un véritable génie. Un jour, un homme se proposa en tant qu'acquéreur de la technologie qu'elles mettaient au point. Un homme qui s'appelait Robert Rhodes.

Partie II - La mort d'Angela, et Madame Mirage.

Avec l'accord d'Harper, Angela lui fit visiter leur atelier. Lui et ses associés, une fois qu'ils eurent vu ce qu'ils désiraient, firent une proposition aux deux sœurs. Malgré l'enthousiasme d'Angela, Harper refusa tout net. Vexé, avide et furieux, Rhodes n'hésita pas. Il tua Angela sur le champ, ainsi qu'Harper qui voulu réagir pour venger sa sœur.

La laissant pour morte, Rhodes et ses associés dépouillèrent l'atelier des sœurs Temple de tout ce qu'elles avaient créé, et se l'approprièrent pour leur société "Agressive Solution International". Avant de partir, ils brûlèrent l'atelier de Templetech, et les cadavres des deux sœurs.

Mais Harper avait survécu, et utilisa le dernier dispositif Ellison qu'elle possédait. C'était le tout dernier prototype, pas encore testé, qui était caché dans leur coffre. Elle généra une illusion d'elle-même pour éviter d'avoir trop de dégâts, la lumière absorbant une grande partie de ceux-ci. Puis, après s'être s'échappée de l'entrepôt qui brûlait, elle téléchargea les dernières impulsions électriques du cerveau d'Angela dans un dispositif appelé M-Band. Elle s'est ensuite entraînée pendant des années, tant physiquement que moralement, et à améliorer sa création, en faisant un dispositif sûr et efficace. Et surtout, le projet Ellison allait lui servir à se venger de A.S.I.

Non seulement c'était un appareil de dissimulation très efficace, mais en plus, il pouvait projeter des illusions tangible et très réalistes, faites de lumière pure. Elle a ensuite télécharger les dernières ondes cérébrales de sa sœur, c'est-à-dire ses souvenirs et sa personnalité, dans le dispositif Ellison. Elle a ainsi, en quelque sorte, ressuscité Angela.

Elle utilisa le projet Ellison avec l'apparence d'Angela pour mener à bien sa vengeance envers A.S.I. Non seulement l'hologramme était un déguisement très réussi, mais ça la protégeait aussi des attaques, la lumière tangibles réfléchissant ou absorbant les dégâts. A partir de là, elle appela son alter ego "Mirage".

Partie III - La vengeance et l'exil.

Madame Mirage est un dispositif qui peut camoufler une personne, mais étant l'exacte réplique d'Angela, il peut aussi avoir une conscience propre. Une fois enclenché, si personne ne le porte, l'hologramme tangible peut mener la vie qu'elle veut.

Harper continua sa vengeance envers A.S.I, poursuivant les assassins de sa sœur sans répit. Bientôt, tous les associés de Robert Rhodes furent tués ou arrêtés. Et traquant inlassablement, Harper finit par coincer Rhodes. Elle allait utiliser les pouvoirs qu'avait développé l'hologramme (créations d'illusions, faites de lumière pure, tangibles et pouvant réduire significativement les dégâts ; oblitération visuelle complètes du porteur du dispositif ; polymorphie, c'est-à-dire que tout ce qui est scanné -en quelques secondes à peine- peut être la forme qu'adoptera Mirage ; projection holographique de Mirage sur n'importe qui, lorsqu'elle est une entité à part) pour projeter l'illusion d'une hache venant décapiter Rhodes quand une éruption solaire eut lieu. L'énergie dégagée parasité le dispositif Ellison et créa une réponse inattendue :

Mirage prit vie, réellement. Mais pas dans la réalité où vivait les sœurs Temple. Mirage fut projetée à travers le rideau dimensionnel pour se retrouver exilée à Seïkusu. Ici, ni les sœurs Temple, ni Robert Rhodes n'avait vécu. Ou du moins, pas sous ce nom-là. Ou alors, elle ne les a pas encore trouvé. A.S.I n'était pas non plus une société de ce monde.

Déboussolée, elle survit quand même. Elle s'adapta, en parfait caméléon, à la vie à Seïkusu. Elle devant Angela H. Temple pour l'état civil, le H voulant dire Harper, et Madame Mirage pour les criminels. Elle était une justicière avant tout, et même si A.S.I n'était pas là, il y avait bien d'autres criminels à arrêter...

Partie IV - Quelques précisions.

Nom/Prénoms/Surnom : Temple / Angela Harper / Madame Mirage ou Mirage uniquement.
Âge : 23 ans, comme Angela au moment de sa mort.
Sexe : Féminin.
Race : Créature (étant un dispositif de camouflage et d'offensive devenu vivant, je pense que ça convient).
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle.
Situation de départ : Angela était un peu expérimentée, mais le corps de Madame Mirage est vierge, lui.

Description physique (principale) :

Angela était une femme magnifique. Pulpeuse à souhait, sa haute (grâce aux talons) silhouette alliait grâce, féminité, force et agilité. Elle possédait une taille fine qui s'évasait en des hanches plus épanouies, des longues jambes fuselées et un déhanché d'enfer mettant en valeur son postérieur rebondi. Elle possédait également deux belles rondeurs bustières, d'une taille respectable, qu'elle était fière d'arborer et qu'elle ne se privait pas pour valoriser avec des tenues près du corps et séduisantes.

La tenue qu'arbore principalement Madame Mirage est une longue robe de soirée blanche et près du corps, mettant en valeur sa chute de rein divine et arborant un noeud noir juste à l'endroit où elle est fendue au niveau du haut de la cuisse gauche (pour mieux attraper son arme planquée dans la jarretière), laissant apercevoir ses cuisses fermes et ses jambes délicatement galbées. Les talons hauts souvent privilégiés permettaient d'allonger encore ses jambes parfaites. Le haut de la robe de soirée est un bustier, et non content de soutenir sa paire de sein généreux, le haut moulant les mettaient en valeur et attirait l'attention dessus. De plus, le petit boléro de cuir noir, laissait apercevoir le dos-nu de la robe tout en couvrant ses épaules et en resserrant le carcan de tissus qui soutient sa poitrine.

Sa chevelure d'un noir de jais est souvent lâchée libre sur ses épaules, ou bien retenue en un chignon lâche avec des pinces discrètes. Elle préfère, quand elle sort, porter un chapeau à bords larges, penchant vers la gauche et avec une petite voilette pour couvrir le haut de son visage. Ses traits fins sont souvent malicieux et aguicheurs, ou bien féroces et implacables. Mais son regard bleu, pur et clair, domine au centre de l'attention, virant parfois au gris acier lorsqu'elle est en colère ou selon la luminosité.

Description mentale :

Mirage est quelqu'un de très instable psychologiquement, du fait de son histoire. Elle est capable de beaucoup de tendresse, bien entendu, mais peut parfois sombrer dans une mélancolie dont rien ne l'en sort avant qu'elle ne le décide, ou encore, elle peut succomber à une rage intense et meurtrière. Elle peut regretter, après, mais en général elle n'a aucun remords. Car malgré cette instabilité émotionnelle, elle reste fidèle à ses principes. Elle chasse le mal et l'injustice, et fait sa propre justice selon ses propres opinions. Elle tue, lorsque c'est nécessaire, et torture aussi. Mais elle le fait pour le bien d'une cause. Elle n'a pas d'opinion tranchée sur les grands événements de ce monde, parce qu'elle ne les a pas vécus. Elle préfère se faire sa propre idée d'une chose avant d'annoncer son verdict.

Côté coeur, elle a beau être très belle et très aguicheuse, elle se croit incapable d'aimer sincèrement puisqu'elle était une machine avant. Elle aimerait bien sûr trouver l'âme qui s'assemble parfaitement à la sienne, mais en a-t-elle seulement une, d'âme ? Elle n'en est pas sûre. Alors elle désire compenser par le sexe. Mais elle ne parvient pas à se résoudre à sauter le pas pour le moment. Il lui faut un homme, un vrai, qui n'a pas peur d'elle ou d'être un dur. Elle semble très attirée par les mauvais garçons et ça l'effraie, parce qu'elle lutte contre le crime, et qu'ils le représentent. Elle se voit mal coucher avec l'un d'eux, puis le tuer après. En serait-elle seulement capable, de le supprimer ?

Si elle ne s'attache guère, il y a en effet une raison. Elle ne pourrait pas juger et tuer quelqu'un dont elle serait proche à ce point. Elle ne veut pas souffrir sentimentalement, et ne veut surtout pas porter le deuil et les regrets.

Pouvoirs et aptitudes :

- Devenir tangible ou intangible, selon le degré de solidité de la lumière;
- Projeter des illusions et autres hologrammes qui peuvent être très réels ou intangible.
- Scanner et reproduire, en quelques secondes, un être vivant ou un objet.
- Être belle (8)).
- S'échapper de n'importe quelle situation.
- Intelligence boostée.
- Maîtrise tout type de combats à mains nues.
- Possède une connaissance parfaite de toutes les armes existantes (uniquement sur Terre, elle ne connaît pas Terra).
- Polymorphie (après avoir scanné sa cible).

(Je me suis permis d'enlever les deux dernières questions, sur la provenance, mais s'il le faut, je les remettrait).

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