Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Byakuren

Pages: [1] 2 3
1
Prélude / Re : Mia Solenski [Marie ]
« le: vendredi 18 octobre 2013, 23:22:00 »
Bienvenue très joli vava :D

2
Byakuren gémit de plaisir sous les tendres caresses expertes de la succubes jouant avec son bouton d'amour. Hijiri cria, serrant contre sa poitrine -devenue pierre par le délicieux plaisir que lui offrait la succube- celle-ci, alors que ces doigts pianotant son rubis et ses lèvres vaginales jusqu'à lors vierge de toutes explorations. La langue de la magicienne se livrait à une douce valse passionnée avec celle de Kyöki dans un baiser des plus torrides. Bya posa une main sur la cuisse de la succube la remontant lentement, doigts de velours, elle prolongea sa caresse sur les fesses sublimes d’Émilie ses ongles les griffant. En 1 800 ans, Byakuren n'avait même pas pris de s'intéresser à son propre corps dans un plaisir solitaire. Cette toute nouvelle sensation faisant d'elle une FEMME l'emplissait de bonheur. Un bonheur d'autant plus accentué qu'elle avait pour première amante une personne chère à ses yeux ; son âme héroïque, cette personne qu'elle savait aimer à son premier regard et qui se prénommait Émilie. Malheureusement, toutes les meilleures choses ont une fin. Lorsque le filet de salive les liant encore l'une à l'autre se brisa, Byakuren soupira se languissant déjà de la bouche d’Émilie et des caresses de sa langue si exquise.


Tu apprends vite.... Et pour une première fois.... Tu embrasses très bien Bya'.... Mais sache.... Que je compte te faire perdre la tête ma douce amie.... Et que j'emploierais pour cela tout mon savoir...

Les mains de la magicienne remontèrent lentement le long des reins de la magnifique succube découvrant sous la ceinture de soie son appendice. Sa main droite l'effleura alors que la gauche continua de masser le dos de son amante. A mesure où la succube lui tétait les seins et que son bas ventre brûlait de plaisir, sa poitrine devenait de plus en plus dure et douloureuse. Jouissant à nouveau, elle libéra l'appendice de la Succube de sa prison de soie. Se laissant choir sur le lit, elle s'étira ronronnante de plaisir écartant grandes les cuisses, sa main caressant tendrement l'appendice de la succube. Byakuren ne souhaitait qu'une seule chose, que le feu incendiant son corps ne s'éteigne jamais.

"- 'Milie. T'aime" balbutia t elle dans un moment de lucidité malgré l'ensorcelant plaisir enivrant qu'elle était en train de vivre.

3
Prélude / Re : Mélisandre Cairn [Validée]
« le: vendredi 18 octobre 2013, 18:55:18 »
Bienvenue :D et Joli vava :P

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Prélude / Re : Edouard Blason : lycéen et enquêteur. [Validé]
« le: vendredi 18 octobre 2013, 18:53:58 »
Bienvenue :D

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Byakuren, la magicienne immortelle, se laisse envahir par un plaisir encore inconnu. Les douces caresses d'Emilie la faisant chavirer. Ses longs cheveux doux tombant comme une cascade rosâtre sur le visage délicieux et oh combien merveilleux de la succube lui caressant les joues, le cou chatouillant Kyöki un brin. Bya soupira sous les tendres caresses de la succube ; elle pouvait, pour son plus grand plaisir sentir ces doigts fins parcourir son dos si sensible. La magicienne gémit lorsqu'elle sentit les ongles ravageurs de la succube lui lacérer délicieusement le dos le long de sa colonne vertébral. Ronronnante, Byakuren aurait bien aimer arracher la moindre parcelle de tissu couvrant son corps bouillonnant. Comme un signe du ciel, se fut Kyöki qui s'en chargea. Frêle, Hijiri se retrouva rapidement nue et sur le dos à la merci des délicieuses mains délicates de Kuraï. Bien qu'allongée, la poitrine de la magicienne durcie, ne perdit pas de sa superbe ; dressés par son orgasme récent et la tendresse insolente dont faisait preuve la succube, ses tétons étaient au garde à vous, érigés tel un chapiteau. La respiration lente et saccadée, Byakuren regardait la délicieuse et oh combien magnifique Kyöki de ses yeux de biche devenus ivoires. L'esprit encore embrumé par le délice des baiser de la belle succube découvrant son corps, la magicienne ondula frénétiquement aux rythmes délicieux du courant électrique faisant vibrer son corps dont Emilie était l'instigatrice. Hoquetant, dévorant timidement du regard la belle, Hijiri commença à frotter ses jambes l'une contre l'autre. Jamais elle n'avait connu telle douceur, se demandant encore quel était ce nectar chaud qui coulait le long de ses cuisses. C'est alors que la délicieuse et oh combien charmeuse voix de la succube résonna dans sa tête.

Tu sens divinement bon.... Je vais me régaler.... Et je l'espère, toi apprendre que l'amour physique peut être agréable belle enfant.

Emilie venait-elle de lui dire qu'elle était belle ? La chaleur enivrant le corps de la magicienne remonta comme un bouillon exquis sur son visage donnant à ses joues une douce couleur pivoine qui la fit frémir gémissante. Elle pouvait sentir sur ses lèvres la douce caresse de l'air évacuait par la délicate respiration de la succube. Malgré 1 800 ans de vie, ou plutôt de non vie, la magicienne qui croyait tout connaître se lovait entre les cuisses de son âme héroïque sans comprendre le pourquoi du comment d'une telle réaction de son corps, frissonnant sous les tendres caresses enivrantes des doigts de fée d'Emilie. Un râle de plaisir vint briser ce silence, ce délicieux silence, lorsque les fins doigt de la belle succube vinrent pianoter son délicat petit bourgeon rose. Soumise au plaisir créé de toute pièce par Kyöki, Byakuren se laissa dérivée dans un nuage de plaisir, tous ses sens en éveils se nourrissant pleinement de l'instant présent. Pour la première fois, Hijiri vivait... Oui, son corps vibrait de plaisir se laissant dériver au grès du courant parcourant son corps. Jamais celui-ci n'avait été si vivant, si réceptif qu'aujourd'hui. Entre les mains et la langue tellement délicieuse, Byakuren pour la première fois en 1 800 ans vivait. La magicienne alla cueillir les délicats lèvres buccales d'Emilie. Un baiser timide, gauche, cherchant de sa langue à découvrir délicieux le contact de la langue de la ravissante succube.

6
Prélude / Re : Iinuki Hanazono - { Validée }
« le: mardi 15 octobre 2013, 11:06:51 »
Elle fait peur ta soeur  :D

7
Byakuren rêva d'embrasser la belle succube. Elle étala délicatement la crème sur la peau délicate de celle-ci les yeux dévorant ces lèvres si tentatrices. Jamais elle n'avait eu pareil envie avant. Émoustillée, chaude comme la braise, elle ressentit un léger picotement au niveau de son bas ventre. Elle ferma les yeux comptant dans sa tête espérant ainsi chasser ses pensées perverses dans lesquels Emilie lui faisait tendrement l'amour. Pourquoi pensait elle à ça ? Ce n'était nullement le moment. La magicienne trembla comme une feuille, hoquetant. Elle se mordit la lèvre inférieure sous la douleur qu’exerçait sa poitrine durcie sur son être. Comme une caresse enivrante, le souffle de Kyöki venait chatouiller son visage. Les mots de l'étrangère venaient se bousculer dans son esprit. La jeune Bya avait perdu tout notion du temps, le délicieux chant de la succube la nourrissant d'envies pour le moins déplacées. Elle rougit sentant un liquide chaud couler sur son entre jambe. Une sensation pour le moins étrange et AU combien délicieuse.

Byakuren gémit fermant les yeux lorsqu'elle sentit la main assurée de son âme héroïque se poser sur sa hanche. Ses cheveux devenant gris argenté se dégradant vers le rose à ce délicieux contact. Une douce mélopée résonna dans sa tête lorsque la succube lui susurra quelques mots à l'oreille. Des mots chers, tendres et enivrant. C'est alors qu'elle sentit des doigts fins et délicats lui effleurer la cuisse. Jeune et sans réel expérience, elle ne comprit pas ce qui lui arrivait. Elle hoqueta de nouveau allant trouver le cou d'Emilie pour le mordre alors qu'elle vivait son premier orgasme. Frissonnante, elle se blottit tremblante dans les bras de la succube, ses mains caressant machinalement les fesses divines et parfaites d'Emilie avant d'en prendre pleine possession les serrant à pleines mains. Byakuren, s'arrêtant de mordiller le cou de la succube commença à le léchouiller avant de l'embrasser et de finalement, tout en la guidant vers le lit où elles tombèrent ensembles, lui fit un merveilleux et non discret suçon. Allongée sur la succube, elle redressa la tête la regardant droit dans les yeux, la respiration lourde.

8
La magicienne regarda la succube tristement malgré ces douces paroles. Elle voyait que celle-ci avait pris cher à cause de la morsure du soleil. Et cela, par sa faute. Byakuren s'était rapprochée de Kurai. Elle leva la main tremblante vers elle dans l'idée de lui caresser affectueusement la joue mais, elle s'arrêta. Elle ne voulait pas que cette douce attention fasse du mal à son âme chevaleresque.

Oui, cela fait mal... Mais ça guérira... Le repas, si répugnant qu'il fut, offert par le vigile réparera tout ça... Ne t'inquiète pas, tu n'y es pour rien... Tu ne m'as pas forcée à rester si longtemps, j'ai fait ce choix moi même...

Les paroles de la succubes rassurèrent la magicienne ; celle-ci ne semblait pas la tenir pour responsable. Le petit cœur de Bya s'accéléra dans sa poitrine. Elle rougit étant sure que ses battements étaient audibles. Le cœur de la sorcière s’accéléra encore, déraillant même, lorsque kyöki lui caressa les joues avec tendresse. Byakuren devint pivoine, ses cheveux et ses yeux prenant une magnifique couleur rose en dégradé vers la racine pour ses cheveux et, de doux éclairs plus rose dans ses yeux. Elle frémit légèrement. Son chemisier déchiré, offrant une magnifique vue sur sa poitrine généreuse et comprimée dans son soutien gorge rose en fine dentelles. Elle soupira de plaisir ressentant une sensation nouvelle ; à mesure des caresses de Kyöki sur ses joues brûlantes, elle sentait ses seins se durcir.

Cependant jolie môme, tu ferais bien de te rajuster... Je suis succube, et le spectacle que tu m'offres est alléchant... Tu dois de plus avoir besoin de repos et de te laver, histoire de te soulager un peu... Si tu le veux bien, je resterais ici jusqu'à la nuit tombée, ensuite, je rentrerais chez moi, pour ne pas trop déranger, je pense que ta vie à un rythme bien à elle n'est ce pas?

Des propos d'Emilie, 'Milie comme elle la nommait secrètement dans son cœur, Byakuren ne retenu qu'une chose qui la tétanisa sur place. Les battements de son cœur arrachant sa poitrine dansante aux rythmes saccadés de sa respiration. Hijiri ferma les yeux criant :

« -NAN... »

A sa voix, les ampoules explosèrent faisant des arcs électriques. Cela la faisant réagir, elle rougit encore plus et d'une voix murmurante, timide et suppliante elle reprit.

« - Non... Dehors... C'est le jour... Reste veux tu. Nullement ta présence ne me dérange. »

Byakuren alla vers son lit, elle se pencha un peu, oubliant qu'elle ne portait plus de culotte. Et même si, cela fut discret et bref, ce simple geste dévoila pour un instant fugace son intimité et ses fesses parfaitement modelées en harmonie avec ses hanches divines. La magicienne se redressa un carton dans les bras avec tout le nécessaire pour la plage, ballon, serviette, raquettes en bois, bouée pour enfant ne sachant pas nager et crème contre les brûlures du soleil. Byakuren jeta le tout sur le lit et prit la crème. Elle se retourna et s'approcha de la Succube.

« - Pardon si ça fait mal. »

Elle pulvérisa un peu de crème sur sa main droite étalant avec douceur et une immense tendresse sur le visage blessé d'Emilie. Caresses douces, elle prit son temps pour que la crème pénètre bien la peau. La magicienne n'oublia aucunes particules de la peau douce de la succube ayant été agressées
par les rayons du soleil.

« - Faut pas que tu ressortes tout de suite dehors... Je ne veux pas que ta peau soit à nouveau blessée. »

Dit elle timidement et sans vraiment réfléchir. Ses yeux regardant envoûtés les tendres lèvres d’Émilie si proche qu'elle pouvait sentir son souffle sur son visage.

9
Byakuren se sentait bien. Était ce la présence rassurante de Dame la Lune qui l’apaisait, ou, plutôt le contact fugace avec cette charmante personne venue dont on ne sait où et qui, comme une âme héroïque était venue à son aide. La magicienne, pourtant méfiante et renfermée envers l'espèce humaine, était plus ouverte avec ces êtres magiques qu'elle nommait avec gentillesse Yokai ; et que les hommes s'empressaient, eux, d'appeler monstres ou créatures maléfiques. En 1 800 ans, la magicienne avait apprit à les connaître et à les comprendre. Dans certains cas, elle en avait eu pitié. Bien sur, par les Yokai, ils y avaient des créatures maléfiques, terrifiantes, mais rien de comparable avec les êtres humains. Ils étaient viles, perfides et n'hésitaient pas à mentir, trahir et tuer leurs semblables. Hijiri machinalement se laissa guider par Kyôki vers l'échelle de secours. Là, comme toujours dans le rôle du chevalier servant, la succube ouvrit la route descendant lentement l'échelle. Bien vite, Bya lui avait emboîté le pas, les premiers rayons de soleil faisant lentement leurs apparitions, se levant après une longue sieste. Sans aucune malice de sa part et sans en avoir conscience, l'immortelle descendit à l'échelle laissant pour la personne en dessous d'elle une vue magnifique sur son intimité, mise à nue depuis que le vigile lui avait arraché sa petite culotte d'en l'espoir d'abuser d'elle. Emilie, comme elle se nommait de son vivant d'humaine, avait repris la main de Byakuren non sans avoir pris des couleurs rosâtres aux niveaux des pommettes. Pour la magicienne, cela ne pu s'expliquer que par une seule raison logique ; Kyöki devait être une femme timide et te sa main la gênait un peu.

La magicienne qui avait expliqué à sa princesse charmante où elle vivait se surpris de ce retrouver si vite devant la dite demeure. La succube connaissait vraiment parfaitement cette ville et le moindre de recoins. La maison n'avait pas le moindre vis à vis, un haut mur entourant la propriété. Là, deux entrées s'y offrait ; l'une, par la porte principale, un immense portail en bois et, sur l'aile ouest, une petite porte elle aussi en bois. Byakuren guida son sauveur qui semblait ne pas vouloir s'attarder dehors à mesure que le soleil se réveillait la conduisit vers la petite porte. Celle-ci donnait directement sur un petit jardin japonais parfaitement entretenu. Passant sur un petit pont de bois, les deux jeunes femmes se retrouvèrent alors devant la maison d'ami. Il était clair qu'elle n'avait que le nom. En effet, une famille entière pouvait vivre aisément dans cette maison de plein pied dans le style japonais traditionnel.

Cherchant sa clef, Byakuren commença à paniquer au son de la voix d'Emilie présente avec une intonation paniquée.

Vite.... Je ne peux pas mourir... Mais le soleil peut me torturer à loisir...!

Cela stressant la magicienne qui gauche cherchait avec agitation la bonne clef pour entrer.

« - Je peux t'aider ? Je... Merde... c'est laquelle de clef. »


Byakuren, retira la veste pour la placer sur la tête et les épaules de Kuraï Kyöki avait que la lueur du jour ne la blesse pas trop. Cela permettant à la magicienne de se calmer un peu et donc de finalement trouver la bonne clef. Ouvrant la porte en grand, elle invita son amie à entrer.

« - Fait comme chez toi. Je suis désolée ? Tu es blessée ? Tout ceci est ma faute. »

La maisonnette était constituée d'un petit hall d'entrée où l'on pouvait voir parapluies et chaussures. Une petite marche faisait passer du carrelage à un parquet de bonne qualité. Long de trois mètre environ, le couloir se divisait en deux formant un T. La première pièce en face devant surement être la cuisine, sur la gauche facile d'imaginer une chambre et les commodités (comme les wc et la douche) sur la droite, la chambre principale qui devait surement donner sur une salle de bain, une pièce de jeu et buanderie devaient finir de meubler cette seconde aile.

Byakuren, inquiète reporta son attention sur la jeune Kyöki. Elle lui retira la veste pour s'assurer qu'elle n'avait pas de brûlures trop importante. La prenant par la main, elle la conduisit au pas de course dans sa chambre.

« - Pardon... Tu as mal ? Tout ceci est ma faute... Si tu ne m'avais pas aidé, rien de tout ceci ne te serait arrivé. »

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Le visage de Byakuren tourna pivoine lorsque la divine succube releva son lapsus  un petit sourire amusé aux lèvres. Du coin de l’œil, la magicienne pouvait voir le regard malicieux de la jeune femme posé sur elle. Bizarrement, ce regard ne la mettait pas mal à l'aise bien au contraire. L'immortelle pouvait sentir son cœur s’accélérer comme ci elle venait de courir un marathon. Elle qui avait vécu 1800 ans n'avait jamais connu pareil sensation. Les questions fusèrent dans l'esprit de la magicienne ; était elle sous l'emprise d'un sort quelconque de contrôle ? Non, pas elle, la grande magicienne, elle le sentirait...

Lorsque le regard insistant de Kyöki se fit plus insistant telle une caresse, Byakuren détourna les yeux de la succube bloquant sa respiration. Pourquoi réagissait elle de la sorte ? Il n'y avait rien de rationnel dans ses réactions... Son cœur s'emballa à nouveau déraillant un peu alors qu'elle pouvait sentir les yeux de la succube sur son visage. Apeurée par cette réaction incontrôlable, Byakuren frissonna laissant échapper un gémissement à peine étouffé sous la douce caresse de Kyöki sur sa joue.

Garde le pour toi, mais mon nom du temps ou j'étais une simple humaine, c'était Emilie...

Alors Kuraï Kyöki avait elle aussi été une simple humaine jadis ?! Et Emilie était son prénom à l'époque... Quel nom magnifique. 'Milie... Bya reporta son regard d'or sur la succube, celui-ci l'ayant quitté bien trop longtemps à son goût.


On ferait mieux de partir si ça te convient, je n'aime pas avoir de voyeurs quand je salue ma vieille amie la lune.

Hijiri avait presque oublié son agresseur... Non, elle l'avait complètement oublié. Lui jetant un regard glacial, elle se redressa avec rapidité. Une sensation étrange l’interpella. Lentement, elle détourna la tête ses yeux allant se poser sur sa main. Ses cheveux devinrent rose pâles se dégradant vers un rose plus foncé au niveau des racines. Ses yeux, quant à eux étaient maintenant d'un magnifique bleu azur sans pupilles. Dans sa main, elle serrait celle d'Emilie ; l'ayant prise machinalement lorsqu'elle c'était levée. Elle resta un moment bouche bais avant de balbutier.

« -Oui... Partons. »

11
Byakuren posa les main légèrement derrière elle sur le sol et bascula la tête pour regarder dans la même direction que la dénommée Kuraï Kyöki. Ses cheveux tombèrent comme une cascade, ce qui eut pour effet de mettre son cou nu, en valeur. Byakuren sourit en direction de la Lune oubliant ses peurs. La présence de Kyöki était si rassurante pour la magicienne.

« - Oh... Pardon. Un Yokai est un terme général que les Japonais utilisent pour parler des Démons, Fantômes, Spectres ou toutes autres créatures surnaturelles. Je ne voulais pas être blessante ou te rabaisser. Je me nomme Byakuren Hijiri. Byakuren signifie Pure ou Lotus Blanc. Et Hijiri, moine vertueux. Mais tu peux m'appeler Bya. »

La magicienne murmura le nom de Kyöki Kuraï en rougissant sans en avoir conscience. Puis, légèrement plus fort.

"-Kyöki... Très joli" chuchota t elle.

Byakuren soupire... Jadis, il eut un temps où elle était très fière de ce nom, d'être humaine. Mais c'était avant son Immortalité et que les hommes la punissent en la sceller un demi siècle.

Byakuren commença à raconter son histoire, enfin ce qui l'avait conduit ici.

« - Pendant la pause du déjeuner, j'ai ressenti comme la présence d'un Yokai. Et... Enfin, pour faire simple, je les préfère aux êtres humains qui me terrifient. J'avais donc prévu de venir à sa rencontre cette nuit... Mais au lieu d'un Yokai et un possible ami... Je suis tombée sur ce gros dégueulasse... »

La magicienne soupira, laissant ainsi deviner une poitrine généreuse qui se dressa un bref instant avant de ne bouger que fébrilement au rythme de sa respiration lente.

« - J'habite dans une petite maison d'ami non loin d'ici. Le couple âgé qui me l'a loue est vraiment adorable. Ils sont rarement sur mon dos, vivant dans leur grande maison à côté. »

La magicienne reporta son regard vers Kyöki. Elle la fixa un long moment, fermant de temps en temps les yeux avant de les rouvrir. Comme si, elle cherchait à mémoriser son visage, la texture de son grain de peau, la moindre mèche de ces cheveux flamboyants. Elle ne voulait surtout pas l'oublier si elle ne devait plus la revoir... Oui, Bya voulait graver pour toujours le visage angélique de son âme héroïque, son prince charmant ou plutôt, sa princesse charmante.

« - Cela serait vraiment très gentil de ta part de me raccompagner... Tu... Enfin... C'est pas un château comme demeure.. Mais c'est grand pour d***... Une personne. Mais... Il ne faut pas que cela te dérange. »

12
Byakuren regarda timidement l'inconnue. Elle était jolie, très jolie même avec de magnifiques cheveux de feu rougeoyant. Pour une raison obscure, elle se sentait en sécurité. Le fait que l'inconnue soit une Yokai et non une humaine ? Peut être... Ou pas... La magicienne reporta son regard vers Dame la Lune lui souriant. De ce sourire, elle la remercia. La magicienne se calmant petit à petit sursauta, se recroquevillant de nouveau sur elle même. Cachant son visage sur ses genoux, les bras croisés dessus, elle trembla. Ses yeux se fermèrent et à mesure que les bruits de pas se rapprochaient de la porte donnant sur le toit Byakuren tremblait de plus en plus. Elle étouffa un cri lorsque la porte s'ouvrit dans un grincement strident.

La magicienne savait éperdument de qui il s'agissait ; le vigile, son bourreau... Bizarrement, ses sanglots s'arrêtèrent, son regard se fit sang parsemé d'éclairs azur. Du corps de Bya, un crépitement se fit entendre à mesure que des éclairs se formaient autour d'elle. D'abord un murmure dans sa tête, SA voix devint de plus en plus audible pour la magicienne ; SON DEMON revenait la harceler.

« - Non... Je ne te dois rien. »
Dit elle comme si elle se parlait à elle même.

Une voix moqueuse lui répondit, une voix qu'elle seule pouvait entendre. Une voix glaciale, terrifiante venue tout droit des Enfers.

« - Pauvre idiote... N'oublie pas mon cadeau... Ce qui a fait de toi une personne immortelle. Te souviens tu ? Ton emprisonnement ? 50 ans prisonnière de ton corps, incapable de bouger, de dormir... Juste le temps qui passe... Lentement... lentement... »


Byakuren se bouffa les oreilles les mains sur celles ci.

« - Je te somme de te taire. Tu ne peux plus rien. »

« - Te souviens tu ? Qu'as tu fait ? AHHH... OUI... Compter... Compter le temps qui passe pour ne pas devenir folle... AHAHAH... Tu aurais pu tous les tuer... Je t'en avais offert le pouvoir... Mais non, tu les as laissé nous sceller. Ces insectes... PATHETIQUES HUMAINS ! TUE LE ! TUE LE ! Souvient toi, comment tu avais aimer retirer la vie... Elle t'avais pourtant sauver cette petite idiote d'humaine... Raaaahhh comment elle était délicieuse. Souviens toi ! »

Byakuren, tel un zombie, se redresse les yeux rivés sur le sol.

« - OUI... C'est ça... Souvient toi. Son regard te suppliant de l’épargner, ces pupilles se rétrécir alors qu'elle t'offrait son dernier souffle. »

La magicienne tituba jusqu'à l'homme, un sourire carnassier se dessinant sur son visage d'apparence angélique. Redressant lentement son regard pour voir son bourreau, Byakuren se figea, une larme coulant sur son visage alors qu'en face d'elle, elle pouvait admirer la magnifique silhouette de l'étrangère. Hijiri ferma les yeux et serra la veste aux reflets pourpre contre elle humant son doux parfum.

« - NOOOONNN... Que fais tu ? »


La voix dans sa tête disparue. Pendant ce temps, Byakuren commença à retrouver ses esprits, calme presque apaisée. La voix démoniaque dans son esprit ayant laissée la place au chant d'un ange.

« - ... Cesse de pleurer, toi seule te souviendra... Mais nul autre que toi. »

Byakuren ouvrit les yeux lentement, elle regarda l'inconnue à la voix chaude et réconfortante qui s'étirait avant de s'allongeait pour admirer la Lune.

Son bourreau, lui, allongé non loin, était si pathétique que la magicienne éclata de rire, le voyant renifler sa culotte tout en s'astiquant. Byakuren s'approcha alors de l'inconnue et s’essaya à ces cotés. Rougissante, elle lui murmura, lui offrant son plus beau regard d'or.

« - Merci Yokai... »


Byakuren s'enveloppa dans la veste, chérissant ce doux présent.

13
Byakuren pleurait toutes les larmes de son corps. Elle voulait être une souris, une toute petite souris pour se cacher. Elle voulait être une particule d'air pour ne pas être vue. Bien sur rien de tout ceci n'était possible, alors elle ne pouvait que pleurer et trembler de chagrin, de peur de terreur. Ses longs cheveux étaient d'ébène et prenant une teinte plus rouge au niveau de la racine. Ses yeux, bien que sang par l'irritation des larmes, étaient laiteux. Comme toujours, cheveux et yeux reflétaient son humeur. Faiblement éclairée par la douce lumière de la Lune, elle pleurait, pleurait toutes les larmes de son corps faisant saigner son tout petit cœur oh combien fragile. A la voir, il était impossible de voir en elle une femme âgée de 1 800 ans ; juste une petite fille. La magicienne n'avait pas senti la présence de l'étrangère trop préoccupée à se dire qu'on allait de nouveau la sceller. Le gardien était sûrement mort, une enquête aller être ouverte, elle sera expulsée de l'école et forcément jugé coupable. Jadis, déjà elle avait connu pareil châtiment ; le verdict, coupable sans le moindre jugement car elle préférait aider les Yokais plutôt que de les détruire comme elle aurait du le faire.

Une caresse de velours la fit hoqueter, d'un coup, elle avait plus chaud. Relevant timidement la tête, elle remarqua entre ses poings une veste qu'elle était entrain de serrer. Elle prit un moment pour sentir l'odeur de fleurs émanant de la veste aux reflets pourpre qui couvrait maintenant ses petits épaules. Une odeur calme, apaisante. Bientôt, les sanglots devinrent que de simples larmes. Tournant légèrement la tête au ralenti, elle aperçu une silhouette chevaleresque. Non, les princes charmants n'existent pas. Elle devait rêver Madame la Lune lui jouait un mauvais tour. Une voix mélodieuse résonna alors dans sa tête. Une voix qu'elle n'oubliera jamais... Chaude, sensuelle et toute toute douce...


Pourquoi pleures tu jeune fille? Est ce donc dame lune qui t'as joué un vilain tour? Où...

Bya se frotta les yeux pour voir cette âme héroïque. Rêvait elle ? Non, il y avait bien quelqu'un à ses côtés en ce moment. Une personne douce venant à son secours. Un cadeau de Dame la Lune ? Les cheveux de la magicienne reprirent leurs couleurs habituelles châtain tirant sur le violet vers la racine. Ses yeux aussi d'ailleurs ; redevenant lentement d'or avec des veines sang causées par ses pleures. La silhouette était comme Byakuren de taille moyenne. Ses courbes généreuses ne trahissaient pas son sexe ; devant elle, une femme à la chevelure de feu et à la grâce féline. La Sainte chasseuse le sentit ; l'inconnue n'était point une humaine ce qui la rassura un peu plus. La suivant du regard, elle l'a vis s’asseoir  non loin d'elle. Elle avait de magnifiques jambes fines que son pantalon moulant mettait en valeurs. Byakuren rougit sans s'en rendre compte.

Je vois... Tu fuis quelqu'un.... Un homme ou une créature qui a voulu abuser de toi....

Byakuren bougea les lèvres après un long silence. Au départ, aucun son ne sortit de sa bouche... Puis... Balbutiante la magicienne s'adressa à l'inconnue le visage illuminé par la lumière de la Lune.

« -Merci »

Bya se tue avant de reprendre la voix tremblante.

« - Ils vont me sceller à nouveau... Je l'ai peut être même tué. J'aurais pas du me défendre... »

La mage se remit aussitôt à pleurer.

14
Complexe d'études secondaires et supérieures / Au secours ( Kuraï Kyöki )
« le: mercredi 09 octobre 2013, 22:00:33 »
La jeune Byakuren s'était réveillée à l'aube. Elle avait très mal dormi appréhendant sa première journée de cours au lycée. La magicienne fraichement libérée de sa prison angoissée à l'idée de se mêler aux humains ; ses anciens bourreaux. La peur au ventre, elle n'avait pu rien avaler au petit déjeuner. Elle vérifia encore une fois ses affaires. Trousse ok... Stylo noir, ciseaux, colle, crayon à papier et gomme ok. Les cahiers? Oui, un pour chaque cours. Elle sourit mettant le tout dans son cartable. Un cartable rose Winx... Oui, dur de s'habituer sans faire d'erreur. La mage vivait dans une petite maison d'amis de style japonaise. Elle l'avait trouvé en lisant les petites annonces ; un vieux couple sans enfant et avec une immense demeure avaient décidé d'égailler leur quotidien en louant la maisonnette à un ou une étudiante. Le courant était plutôt bien passé avec le couple. Ils n'étaient pas trop envahissant et Byakuren avait tout le confort nécessaire d'un appartement.

Byakuren regarda l'heure ; elle avait le temps pour prendre une douche. Celle-ci prise, elle s'habilla avec l'uniforme scolaire. Un blazer, une chemise blanche et, une juppe qu'elle trouva plutôt courte lui arrivant à mi cuisse. Elle brossa ses cheveux qu'elle adorait par dessus tout. Prête, elle alla enfin en cours.

La journée fut longue et des plus ennuyeuse. Elle avait été bousculée et moquée à cause de son sac. Il lui avait fallu une grande force pour ne pas pleurer. Mais, à l'heure du repas, Hijiri avait ressenti comme un frisson parcourir son dos. Elle fronça les sourcils... Peut être un Yokai pensa t elle? Curieuse et seule, elle décida d'en avoir le coeur net ; elle ne se sentait bien qu'en présence des Yokais. Les humains la terrifiant peut être encore plus qu'avant. Pour cela, elle décida qu'elle reviendra au lycée cette nuit quand l'école sera fermée.

A la nuit tombée, Byakuren s'infiltra dans le lycée. Elle était entrain de fouiller le premier étage du lycée quand elle entendit du bruit. Quelqu'un venait dans sa direction. Cherchant une classe ouverte, la jeune magicienne commence à paniquer. Que lui arrivera t il si quelqu'un la trouvait ici. Eclairée parune lampe, elle soupira. Elle s'était fait prendre ; elle sera surement expulsée de l'école.

Une voix grave résonna, celle du gardien de nuit un vil individu bien connu pour être un gros dégueulasse.

"- Yo. Il est interdit d'être dans l'école la nuit. Oh... Mais qu'avons nous là? Une voleuse... Viens là."

Dit il en la serrant par le bras.

Byakuren cria sous la douleur. Il était sur qu'elle aura sur sa peau la marque de ces doigts. L'homme, sans ménagement la conduit jusqu'à sa loge. Une petite pièce avec une table, une télé et... Un lit. Il poussa la jeune femme aux cheveux étranges sur le lit.

"- tu vas être expulsée du lycée." Dit il sadique en reconnaissant le blason du lycée sur la veste de l'enfant.

"- A moins. T'es plutôt pas mal... Retire tes vêtements."

Byakuren ferma les yeux et dit non de la tête. Le vigile devant se refus giffla Byakuren du revers de la main avant de la secouer et lui arracher les boutons de son chemisier. Il l'agrippa et glisse la main sous sa jupe pour lui enlever sa petite culotte. Se débattant, il lui arracha. Byakuren cria et finit par envoyer une décharge électrique à son bourreau violeur ; équivalent à la décharge d'un tazer. Elle en profita en larmes, pour fuir... Fuir vers les toits de l'école. En sanglots, elle se recroqueville sur elle même. Elle détestait les humains, ils étaient toujours si malveillants.

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Le coin du chalant / Peut être pas si PURE le LOTUS BLANC
« le: mercredi 09 octobre 2013, 14:58:22 »
Voici quelques trames qui pourrait m'intéresser.
Mais, bien sur, je reste à l'écoute de toute idée :D

Trame n°1 (réservée) : Byakuren décide de se fondre dans la population et pour cela, comme toutes les filles de son âge, elle s'est inscrite au lycée.
Pendant son premier jour, elle resent une étrange sensation, comme la présence d'un Yokai. Voulant voir cela de plus près, elle décide d'aller enquêter la nuit. Mais, pour la petite sainte pure, pas de bol, elle tombe sur l'agent de sécurité un brin pervers et grave vicieux. Evitant de justesse d'être violée, elle tente de fuir. Serez vous une âme chevaleresque ou profiterez vous de la situation.

Trame n°2 : Byakuren de part son long emprisonnement à vraiment beaucoup de mal à s'adapter. Bien sur, elle n'a aucun problème en sport où elle excelle ni en histoire ; 1 800 ans au compteur, cela aidant... Non, c'est tout ce qui touche à l'informatique, les téléphones portables, les ordinateurs etc... En sa présence, ils ont tendance à cramer ; et oui, c'est qu'elle est très électrique la petite mage. Allez vous lui proposer des cours de soutien? Ou lui demander de repayer l'ordinateur qu'elle vient de vous fusiller?

(Rp social, peut être hentai)

(Pour 1 personne, on va commencer modestement garçon, fille, ou autre. <Sachant que Bya a peur des êtres humains contrairement aux autres créatures qu'elle appelle Yokai)

Trame n°3 : Libre :p

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