Dictature d'Ashnard / Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]
« le: dimanche 03 février 2019, 12:13:31 »Toujours est-il qu’elle se retrouvait avec une cravache, et, face à son hésitation, sa Maîtresse la rejoignit, puis lui montra comment faire. Juliette rougit à chaque coup de cravache venant s’abattre sur le postérieur de Nylla, qui gémit doucement, et se retrouva de nouveau seule, se mordillant les lèvres. Décatis se rapprocha ensuite d’Izaël, et Juliette releva la cravache, puis l’abaissa... Très lentement, ce qui fit glousser Nylla.
« Allons, Juliette, tu me caresses, là... Tu veux que je meure d’ennui ? »
Juliette rougit plus furieusement, tandis qu’Izaël la regardait lentement, et répondait aussi à Décatis :
« Je ne saurai te dire, Décatis, Juliette est par nature très discrète... Elle n’aime guère s’impliquer dans les histoires du clan, mais... Ce qui est sûr, c’est qu’elle ne pleure plus depuis qu’elle t’a rencontré. En revanche, elle dort toujours seule, et refuse nos courtisans pour l’accompagner pendant la nuit. »
La cravache s’abattit plus violemment sur la croupe de Nylla, qui serra les poings en se pinçant les lèvres. Pour s’exercer, Nylla était un cobaye parfait, car elle était très perverse. Elle n’était clairement pas une esclave timide, mais avait un franc-parler et une assurance d’elle-même qui pouvait agacer, mais qui, en l’occurrence, rassurait Juliette.
« Plus fort, Juliette, je sais que tu peux le faire ! »
Juliette se pinça les lèvres, et la frappa encore avec la cravache, poussant un petit couinement. Elle entendit Nylla soupirer de plaisir, et donna un nouveau coup, la cravache venant mordre ses fesses, encore... Puis Nylla lui demanda d’y aller encore plus fort, et Juliette la frappa encore, faisant remuer le corps de Nylla. L’esclave poussa un soupir de plaisir.
« J’adore vraiment ça, Juliette... Hmmmm, vas-y, frappe-moi encore ! Pour que tout soit parfait, tu devrais aussi m’insulter, mais... Ne franchissons pas toutes les étapes d’un coup, hein ? »
L’insulter... C’était bien une chose dont Juliette se sentait clairement incapable en l’état !
« Elle vous aime, n’est-ce pas, Décatis ? Il ne m’a pas fallu longtemps pour le remarquer. Vous l’avez aidé à oublier ses déceptions amoureuses... Mais Juliette est du genre à aimer passionément. J’imagine que, ça aussi, vous avez dû le remarquer, non ? »