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« le: mardi 24 juillet 2018, 22:41:19 »
Ingleria, une forêt mystique, regorgeant de dangers, de trésor et de mystère, où on pouvait croiser des espèces n'existant nul part ailleurs. Un lieu parfait pour l'aventure, faire des découvertes et devenir riche, pour peux qu'on en est les moyens. C'est ainsi qu'un groupe d'esclavagiste et de braconnier, soit une cinquantaine d’individus, bien équiper et plutôt experts en leur domaine, s'aventurèrent dans Ingleria. Ils avaient choisit de remonter une des rivières les plus importante, assez large et profonde pour laisser passer des petits bateaux, afin de faciliter le transport du matériel, des provisions et surtout pour ramener de la marchandises. Il y avait 5 petits bateaux, dont deux exclusivement remplit de cage de toute taille.
Le premier ennuie fut de remonter la rivière à contre courant, bien que leger contre courant, et en évitant les racines, puis vint afin l'heure d'accoster quelque part, une fois bien loin dans la jungle, la nuit commençant à tomber, l'idée étant d'établir une base. Ils avaient trouver une petite clairière, occuper que par des buissons et des plantes, sans arbres. Dégager la zone fut rapide, mais n’empêcha pas la première victime, qui en débroussaillant tomba sur une bosse de terre, une plante carnivore qui se cache dans la terre, qui happa et arracha une de ses jambes entre ses mâchoires. Ses camarades ne purent le sauver, ce dernier perdit trop vite son sang, et de toute façon infecter mortellement par la morsure du monstre. Néanmoins, la bête fut tuer en représailles et sa dépouille arracher de terre, car son cadavre aurait assurément de la valeur auprès d’apothicaire ou chercheur en tout genre. La zone fut prête, un camps fut dresser et les groupes installèrent plusieurs pièges, système d'alarme et des tours de gardes furent instauré.
Leur première nuit fut terrible, les bruits de la jungle oppressant, car rien ne rappelant une faune normale d'une jungle, les moustiques, la sensation d'être observer, les créatures rodant autour du camps, si bien qu'un braconnier fut emporter dans les entrailles de la jungle et de plusieurs créatures, en allant soulager ses entrailles et que des singes eurent la bonne idée de fouiller les caisses. La mâtiné fut dur, après une nuit horrible, mais ça n’empêcha pas Borus, esclavagiste depuis 10 ans et instigateur de ce voyage, de sortir d'une assez bonne nuit de sommeil. C'est un homme de stature moyenne, au physique svelte et fortifier, pas excellent bretteur, mais qui jouit d'une bonne habilité au fouet et à la masse. Certain de ses hommes étaient déjà debout, dont un le visage complètement enfler après s'être fais dévorer par des moustiques.
-B'jour boss. Lancèrent quelque personne.
-B'jour les gars. Répliqua t-il. Rassemblez tout le monde. On vas définir la marche à suivre pour aujourd'hui.
Après 2-3 heurs, les 48 membres de l'équipe ce regroupèrent. On constata la disparition d'un des leurs pendant la nuit, mais on ne s'en formalisa pas, cela fessant parte des risques du métier, surtout vue l'endroit où ils étaient. Le chef, au centre du groupe, étala sur une caisse une carte réaliser avec tout les témoignages et informations qu'ils avaient trouver.
-Bien. Bertrand, toi et ton groupe vous remontez la rivière jusqu'au plus près de cette montagne, c'est là bas qu'il y aurai des tigres blanc géant. George, tu vas dans cette zone, il y a la plus grande concentrations d'eau apparemment, il devrait y avoir des créatures intéressant aux alentours. Il y aurait des hommes lézards, mais on verra plus tard. On se retrouve dans 3 jours ici, comprit ?
-Comprit. Répondirent les autres d'une même voix
-Alors en avant ! La fortune nous attend. Lâcha Borus d'une voix forte.
Confiant, appâter par le gain et l'avidité, ils sous-estimaient Ingleria, en plus de ne pas se rendre compte de la dangerosité de cet dernière. Il se séparèrent donc en deux groupes de 18, le reste restant avec Borus pour protéger le camps et les navires. Le groupe de Borus resta sur place, alors que le reste allait dans leur zone d'action. Sans le savoir, depuis le début, outre des oiseaux, des licortues et des singes, une humaine les observer, Zerbeth. Elle avait vue leur bateau remonter la rivière et les avait suivit, curieuse. Ce n'est pas la première fois que des humains venaient, mais c'était toujours une découverte de les voir, bien que très peu, pour ne pas dire tous, avaient de mauvaise intention. Mais Zerbeth, curieuse de nature et consciente de ce fait, ne pouvait s’empêcher d'aller les voir et de les observer, malgré les avertissement de Holia.
Cacher en hauteur parmi les branches, Zerbeth espionna le groupe, essayant de comprendre ce qu'ils essayaient de faire avec ces drôle de structure pleine de troue et faite avec des bambous bizarre. Zerbeth fut si concentrer qu'elle ne fit pas attention à un singe qui la rejoignit, et qui trouva bon de regarder sou ses habits. Zerbeth sursauta brusquement, fessant fuir le singe et perdit l'équilibre, tombant dans le vide, parvenant de justesse à ce rattraper à une liane, évitant de se casser une jambe et plus en touchant le sol, bien qu'elle manqua de se déboîté l'épaule. Malheureusement tout ceci n'échappa aux 12 esclavagistes et braconniers présent, qui en apercevant Zerbeth accrocher à une liane sur un arbre juste à côté d'une de leurs tentes. Ils réagirent au quart de tour à l'initiative de Borus, qui avait saisit une perche équiper d'un lasso avant de courir vers elle. Zerbeth, qui se remettait de sa chute, réagit trop tard en voyant les hommes foncer vers elle, se fessant attraper à la cheville par un lasso en conséquence.
Elle lutta férocement, poussant des cries de colère et de peur, imitant même quelque animaux, alors qu'on s’activer à tirer sur sa jambe. Une fléche manqua de peu sa tête, avant qu'une autre n'érafle une de ses mains, la fessant lâcher prise, ne tenant plus que par une mains, et qui ne put rester plus longtemps accrocher à cette liane, tombant dans les bras des hommes. Même à 4, ils eurent du mal à la maîtriser, ce débattant comme une tigresse, briser un nez, fendant une lèvre et tordant un poignet, avant qu'un cinquième larron ne la frappe violemment à la tête, l'étourdissant un moment, assez pour être ligoter et enfermer dans une cage, et de retrouver ses esprits, un long moment après. Elle se fracassa contre les barreaux de la cage, hurla de manière animal et appela à l'aide, que ce soit par des plaintes rappelant ceux d'un tigre, des ultrasons ou en appelant ses sœurs, ce qui surprit ses ravisseurs.
-Sa parle en plus ! Lâcha un homme. Sa rehausse le prix non ?
-Des clous. Répondit Borus. Ça brise le côté sauvage et loin de toute civilisation. Sans compter qu'elle doit avoir des maladies. Un humain c'est entre 1000 et 3000 pièces d'or. En tenant compte de son origine, 3000 de base, ça c'est sur. Enchaîna t-il. Si elle est vierge, 4500 pièce d'or. Faut voir de quoi elle est capable, on pourrait monté à 6000 si elle à des capacités intéressante. Mais on retombe à 4500 si elle est pas vierge, et à 3000 si elle n'a rien d'extraordinaire. Termina t-il, en griffonnant sur un papier.
-Une petite prise en somme. Résuma un autre.
-Au vue de la prise, les adaptes des esclaves sauvages, des chercheurs ou des collectionneurs, on peut espérer atteindre les 8000, ça par vite généralement, ça couvrirait les frais pour la rendre vendable ou on la vendra à un centre de dressage, mais ça rapportera rien. Sinon faut vraiment trouver quelque chose qui rapporte gros pour compenser. Conclue Borus.
À peine qu'il finit ses mots, qu'une lance ce figea dans l'épaule d'un des hommes, avant que deux autres sauvageonnes jaillirent des arbres, tombant chacune sur un homme, Katial sur celui ayant reçu sa lance, l'égorgeant avec un couteau grossier. Holia ne s'attarda pas sur l'homme qui était encore étourdie et fonça sur la cage de sa sœur et frappa les barreaux comme une forcené avec un caillou, cherchant à les briser. Katial retira sa lance et se plaça devant ses sœurs, fessant face aux hommes, sa lance le long du bras droit, jambes écarté, cul relever, sa main gauche sur le sol devant elle, tenant son couteau.
-Hoho ! Voyez vous ça ! Clama Borus. 3 sauvageonnes d'Ingleria, on peut espère une bonne somme !
-ELLE A TUÉ DANIEL ! Brailla un homme, agenouiller sur le corps de son camarade. J'vais buté salope ! Rajouta t-il, la voix tremblant de rage en se relevant et en dégainant une épée courte.
-On touche pas à la marchandise ! Répliqua Borus en frappant son subordonné dans le dos avec une masse. C'est les risque de la chasse le nouveau, fallait mieux lire le contrat. Vous autre capturez les, sans trop les blesser.
Katail émit un grognement en voyant les hommes s'approcher, avec des filets dans les mains et des perches, ainsi que des boucliers et des masses. Katial fonça sur un homme, dans l'idée de l'embrocher, mais sa lance heurta le bouclier de l'homme, avec assez de force pour que le choc fragilise cette dernière. Katial recula vivement, évitant de peu un coup de masse, tandis que les hommes se rapprochèrent des deux sœurs encore libre. Holia du stopper son acharnement pour faire face aux hommes, se retrouvant dos à dos avec sa sœur Katial. Agissant d’instinct, les deux foncèrent sur un des hommes, seulement équiper d'une perche, qui ne put que reculer, alléchant le choc de la lance de Katial dans son avant bras. Il trébucha emportant la lance qui se brisa sous la tension, déstabilisant Katial, assez pour recevoir dans le dos une masse lancer par un des hommes, la fessant hurler et tomber à terre, alors que les autre se rapprocher d'elle. Holia esquiva habilement une homme qui avait tenter de lui lancer un filet, passa dans la brèche faite par Katial et faillit réussir à s'échapper, avant de tomber sur un des pièges préalablement installer, un troue et ne due sa survit que par l'absence de pique, mais se retrouva empêtré dans un filet collant.
-Et voilà ! Clamât Borus. Amenez les sur le bateau. La journée commence bien ! August, occupe toi rapidement du blesser, sa blessure vas le tuer sinon. Vous autre essayer d'élargir le camps.
Même ainsi, Katial et Holia donnèrent du fils à retordre, parvenant à donnez des coups, à mordre et presque réussir à s'extirper de leur ravisseurs, avant de rejoindre leur sœurs qui avaient compliqué la tache en essayant de fuir. Mais les hommes en surnombre et plus fort, parvinrent à mettre les trois sœurs dans une cage et de les transporter dans un des navires, non sans avoir essayer de les faire taire et de leur mettre un bâillon, mais abandonnèrent après que l'un d'eux faillit perdre un doigts entre les dents de Katial. Leur tapage pouvaient s'entendre à des lieux à la ronde, avant d'être enfermer dans une des cales, mais qui ne fit qu'étouffer un peu leur plaintes et leur crie.