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Prélude / Re : Talking corpse
« le: lundi 17 août 2015, 15:26:14 »
C'est une refonte, les copains !
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Enseignante et ses assistants occupés
« le: lundi 17 août 2015, 12:21:39 »
La vraie vie, cette ennemie mortelle du rôliste. Bon courage !
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 21 juillet 2015, 20:50:05 »
Mais je vous en prie ! Je pourrais vous assaisonner un petit bout d'intestin grêle, c'est fameux avec du Bordeaux !
20:50
20:50
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 21 juillet 2015, 19:43:38 »
Mademoiselle Liddell !
Je suis rein-vi de vous revoir !
19:43
* Grigori sourit et s'arrache un rein qu'il lui tend
Je suis rein-vi de vous revoir !
19:43
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 21 juillet 2015, 10:44:22 »* Grigori tousse puis ramasse un de ses vieux poumons, tombé de sa cage thoracique.
Toute cette poussière, Queue du Diable, toute cette poussière ! *s'époussette en veillant à ne pas se décrocher l'épaule* Pardonnez moi, aimable vivants. Sortant de ma tombe en passant ici, je vois qu'un membre a demandé l'avis pour une refonte. Et j'aimerai l'imiter, trouvant que Grigori pousse certains traits qui ne me plaisent plus. Ainsi, si vous en avez la patience et le temps, pourriez vous me donner votre avis également ? J'aimerai faire de Grigori un mort un peu plus "classique", peut-être un peu plus déjanté mais moins malsain. Qu'en pensez vous ?
Oh, et à la montre que je n'ai pas, il est 10h44 !
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Prélude / Re : ainsi font... font... font... [Nora]
« le: mardi 06 août 2013, 16:05:18 »
Oh un petit joujou tout mignon !
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Les landes dévastées / Re : Red & Black Pv: Grigori
« le: jeudi 25 juillet 2013, 12:52:33 »
Grigori s'amusait comme un petit fou, aujourd'hui. Déjà, les nouvelles arrivées dans la Trezième Nuit étaient extrêmement rares et coupaient souvent court sous la féroces des immondices qui parcouraient les rues de cette dimension de cauchemar. Aussi paradoxal que cela pouvait paraître au regard de ce qu'elle avait vécu depuis qu'elle avait débarqué dans cette terrible Nuit, Valiance s'en était en fait bien tirée. La jolie elfe-vampire avait évité le viol collectif par les gobelins qui l'auraient souillée et des heures durant sans aucun état d'esprit ni remord, couvrant sa peau et emplissant ses orifices de leur foutre bouillant tout en la passant parfois à tabac pour le simple plaisir de l'entendre gémir de douleur tant qu'ils la ravageaient, comme une meute affamée de ses pleurs de honte.
Et elle aurait finit comme d'autres, les entrailles lentement dévorées par quelques monstres rampants qui auraient patiemment la fin de son supplice avec les gobelins et la perte de toutes ses forces pour se repaître de chair fraîche.
Au lieu de ça, Valiance était parvenue à échapper aux gobelins puis à tenir tête à Pyramide avant de même fausser compagnie au seigneur de la Treizième Nuit dans son propre royaume. Une fuite illusoire qui avait achevé d'abattre les dernières forces de la belle hybride, mais une fuite quand même. Elle plaisait à Grigori, incontestablement. Tout le monde n'était pas gardé en vie aussi longtemps entre les mains du macchabée, bien que les caresses qu'il réservait à son nouveau jouet n'étaient pas enviables. Grigori comptait la transformer. Littéralement. Faire d'elle une redoutable et mortelle petite poupée complètement soumise à ses seuls désirs comme l'était Anastasia, qui jalousait de plus en plus Valiance pour l’intérêt que son cher maître lui portait. C'était pour cela que la plantureuse humaine avait éprouvé un plaisir sadique à enfoncer dans la peau tendre de leur proie si remuante chaque crochet qui la retenait prisonnière. Oh, Anya savait bien que Grigori transformerait en elle chaque information de douleur en esquisse de jouissance, oui. Elle demanderait à être torturée et mouillerait abondamment à chaque mauvais traitement que le Maître lui infligerait, elle finirait par réclamer à se faire baiser comme si sa survie en dépendait.
Mais en attendant, tout ne serait pour elle que souffrances et peine.
Grigori avait affiché un très large sourire quand Valiance avait semblé enfin céder. De ses lèvres aux comissures depuis longtemps déchirées par ses rires de dément, le cadavre animé tira un rictus immonde et dérangeant qui dévoilait tant une petite partie de ses gencives que ses dents de sagesse. La fête, pour lui, venait de débuter. Sous l'excitation de sa petite victoire, il donna de petits coups de bassins et son sexe déjà tendu râpa obscènement contre la peau du ventre de Valiance tandis que ses mains posées sur ses jolis seins se refermaient avec plus de force, les doigts crispés sur la chair tendre alors que le cadavre faisait remuer en tous sens et avec violence les deux monts fermes. La peau commença à se déchirer sous les ongles de Grigori, qui s'enfonçait pour de bon dans ces masses graisseuses. Lentement, sous les actions brutales et sans charme ni tendresse, l'épiderme de Valiance se déchirait au passage des ongles de son bourreau. D'abord, ce ne furent que de petites griffures presque anodines. Puis au fil des passages successifs où la kératine râclait la peau, cela devint de véritables plaies de plus en plus à vif. La sensation du sang sur ses mains n'en excita que davantage le monstre, qui remuait à présent sur Valiance comme d'autres sur une machine de foire.
Sans cesser la torture qui continuait à s'amplifier et à scarifier les seins de sa victime, Grigori se pencha tout près de son visage en relevant le bassin qui continuait à balancer sous ses coups de reins furieux donnés dans le vide. A présent, son gland tapait contre le ventre de l'elfe, presque bêtement.
- Tu es àMOI ! HIHIHIHIHIHIHI ! A MOIMOIMOIMOIMOI....oui...je vais bienm'occuper de toi, tu vasvoir ! Tu vadevenir monchef d'oeuvre !
Sa langue glissa sur la joue de Valiance, y laissant un long sillon baveux en remontant vers sa bouche qu'il força alors à s'ouvrir, son appendice bleuâtre s'y enfonçant. Grigori envahit littéralement la bouche de l'elfe d'une langue démesurée qui allât jusque dans sa gorge en une parodie abjecte de baiser qui dura quelques secondes avant que le cadavre ne se retire et qu'Anya fasse goûter à nouveau un peu de son sang dans la bouche restée ouverte.
Grigori, très excité, ne tenait plus. Il se déplaça sur le lit et vint caler son bassin contre celui de Valiance en se plaçant entre ses cuisses ouvertes, la longueur de son sexe frottant contre les lèvres intimes de la belle.
- Tu n'as jamaisbaisé pas vrai ? Nonnonononon ! Je sens la chattefraîche, miammiam ! A MOI !
Il ne donna aucun avertissement, ne se donna aucune peine de vérifier si le vagin de l'hybride était prêt à être pénétré. Son membre turgescent s'enfonça d'un coup unique et douloureux au fond de la matrice charnelle de la pauvre elfe, faisant râler de plaisir Grigori qui avait senti céder l'hymen de Valiance avant de sentir sur sa peau décharnée le sang accompagner cette cruelle enfilade brusque. Et le cadavre commença ses va et viens, donnant de tels assauts excités que la peau de Valiance toujours soumise aux crochets se déchirait lentement.
Et elle aurait finit comme d'autres, les entrailles lentement dévorées par quelques monstres rampants qui auraient patiemment la fin de son supplice avec les gobelins et la perte de toutes ses forces pour se repaître de chair fraîche.
Au lieu de ça, Valiance était parvenue à échapper aux gobelins puis à tenir tête à Pyramide avant de même fausser compagnie au seigneur de la Treizième Nuit dans son propre royaume. Une fuite illusoire qui avait achevé d'abattre les dernières forces de la belle hybride, mais une fuite quand même. Elle plaisait à Grigori, incontestablement. Tout le monde n'était pas gardé en vie aussi longtemps entre les mains du macchabée, bien que les caresses qu'il réservait à son nouveau jouet n'étaient pas enviables. Grigori comptait la transformer. Littéralement. Faire d'elle une redoutable et mortelle petite poupée complètement soumise à ses seuls désirs comme l'était Anastasia, qui jalousait de plus en plus Valiance pour l’intérêt que son cher maître lui portait. C'était pour cela que la plantureuse humaine avait éprouvé un plaisir sadique à enfoncer dans la peau tendre de leur proie si remuante chaque crochet qui la retenait prisonnière. Oh, Anya savait bien que Grigori transformerait en elle chaque information de douleur en esquisse de jouissance, oui. Elle demanderait à être torturée et mouillerait abondamment à chaque mauvais traitement que le Maître lui infligerait, elle finirait par réclamer à se faire baiser comme si sa survie en dépendait.
Mais en attendant, tout ne serait pour elle que souffrances et peine.
Grigori avait affiché un très large sourire quand Valiance avait semblé enfin céder. De ses lèvres aux comissures depuis longtemps déchirées par ses rires de dément, le cadavre animé tira un rictus immonde et dérangeant qui dévoilait tant une petite partie de ses gencives que ses dents de sagesse. La fête, pour lui, venait de débuter. Sous l'excitation de sa petite victoire, il donna de petits coups de bassins et son sexe déjà tendu râpa obscènement contre la peau du ventre de Valiance tandis que ses mains posées sur ses jolis seins se refermaient avec plus de force, les doigts crispés sur la chair tendre alors que le cadavre faisait remuer en tous sens et avec violence les deux monts fermes. La peau commença à se déchirer sous les ongles de Grigori, qui s'enfonçait pour de bon dans ces masses graisseuses. Lentement, sous les actions brutales et sans charme ni tendresse, l'épiderme de Valiance se déchirait au passage des ongles de son bourreau. D'abord, ce ne furent que de petites griffures presque anodines. Puis au fil des passages successifs où la kératine râclait la peau, cela devint de véritables plaies de plus en plus à vif. La sensation du sang sur ses mains n'en excita que davantage le monstre, qui remuait à présent sur Valiance comme d'autres sur une machine de foire.
Sans cesser la torture qui continuait à s'amplifier et à scarifier les seins de sa victime, Grigori se pencha tout près de son visage en relevant le bassin qui continuait à balancer sous ses coups de reins furieux donnés dans le vide. A présent, son gland tapait contre le ventre de l'elfe, presque bêtement.
- Tu es àMOI ! HIHIHIHIHIHIHI ! A MOIMOIMOIMOIMOI....oui...je vais bienm'occuper de toi, tu vasvoir ! Tu vadevenir monchef d'oeuvre !
Sa langue glissa sur la joue de Valiance, y laissant un long sillon baveux en remontant vers sa bouche qu'il força alors à s'ouvrir, son appendice bleuâtre s'y enfonçant. Grigori envahit littéralement la bouche de l'elfe d'une langue démesurée qui allât jusque dans sa gorge en une parodie abjecte de baiser qui dura quelques secondes avant que le cadavre ne se retire et qu'Anya fasse goûter à nouveau un peu de son sang dans la bouche restée ouverte.
Grigori, très excité, ne tenait plus. Il se déplaça sur le lit et vint caler son bassin contre celui de Valiance en se plaçant entre ses cuisses ouvertes, la longueur de son sexe frottant contre les lèvres intimes de la belle.
- Tu n'as jamaisbaisé pas vrai ? Nonnonononon ! Je sens la chattefraîche, miammiam ! A MOI !
Il ne donna aucun avertissement, ne se donna aucune peine de vérifier si le vagin de l'hybride était prêt à être pénétré. Son membre turgescent s'enfonça d'un coup unique et douloureux au fond de la matrice charnelle de la pauvre elfe, faisant râler de plaisir Grigori qui avait senti céder l'hymen de Valiance avant de sentir sur sa peau décharnée le sang accompagner cette cruelle enfilade brusque. Et le cadavre commença ses va et viens, donnant de tels assauts excités que la peau de Valiance toujours soumise aux crochets se déchirait lentement.
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Les landes dévastées / Re : Red & Black Pv: Grigori
« le: mercredi 17 juillet 2013, 11:10:10 »
Le tentacule sectionné ne fit pas grand'mal à Dvorak, qui ne poussa qu'un petit grognement pour signifier son mécontentement avant de simplement le faire repousser. Débarrasser le monstre de ses appendices gluants et gesticulants n'était pas la solution à adopter pour le combattre ou seulement le chasser mais de toute façon, Valiance avait d'autres soucis. Elle retomba évanouie et cela -contre toute attente- la sauva pour un temps. Car l'ignoble créature décharnée n'appréciait rien de plus que de maltraiter ses victimes au point de les entendre hurler, supplier de leur laisser la vie sauve et un peu de répit. Ainsi inconsciente la belle hybride contrariait donc les plans de son monstrueux violeur en puissance. Ce fut à son tour de pousser un hurlement pour témoigner de sa frustration, avant qu'il ne resserre ses tentacules sur les membres et les seins de l'elfe pour l'emmener avec lui en direction du repaire du maître. Toutefois, Dvorak s'accorda une petite compensation. Un tentacule supplémentaire sorti de sa poitrine, se faufilant entre les jolies fesses de Valiance en se frayant là un chemin laissé gluant. L'extrémité buta contre le petit trou de l'anus de la belle avant de s'y infiltrer très lentement pour l'envahir, lui prendre cet orifice étroit. Ainsi fiché en elle, Dvorak ricana de satisfaction et emmena une Valiance très solidement entravée vers Grigori.
On avait allongé l'hybride sur un semblant de lit, dont les draps n'étaient rien de moins que de la peau humaine tannée. Ses mains ainsi que ses pieds avaient été littéralement cloués sur les montants de la couche et par endroit, Anastasia lui avait passé des crochets dans la peau, qui était à présent tirée. Si Valiance, en se réveillant, faisait un geste trop brusque... Elle s'arracherait elle-même une bonne partie de l'épiderme. Il était à parier que vampire avec des capacités magiques ou pas, elle souffrirait sûrement de ce traitement. Valait mieux pour elle qu'elle se tienne tranquille, assurément. Tête de Pyramide, dans un coin de la pièce, servait de sentinelle. Quant à Grigori, il avait été recousu et remit en ordre et se tenait assis à califourchon sur sa prisonnière dont il pétrissait les seins avec envie. Le macchabée ne lui avait rien fait, pas encore.
- Vas-y Anya ! Donnelui un peu desang ! Pastropastropastroppastrop !
Anastasia hocha la tête et obtempéra. Son sang -parfaitement humain- serait sûrement un délice pour une petite suceuse d'hémoglobine en manque. Mais elle ne lui donnerait qu'une petite quantité, de quoi la réveiller pour qu'elle puisse profiter de la suite. La belle s'entailla légèrement le poignet à l'aide d'une petite dague, faisant goûter son sang dans la bouche de Valiance que Grigori maintenait ouverte.
- Tu nepeux pas fuir, elfevampire. Nonnononononon. La Treizième Nuit nes'ouvre que sur monordre. Mon mien, ouiouioui ! Et tu ne peuxtuer personne, ici. Alors tu devraisplutôt être gentille si tu veux repartirchez toi. Quoitu décide ?
On avait allongé l'hybride sur un semblant de lit, dont les draps n'étaient rien de moins que de la peau humaine tannée. Ses mains ainsi que ses pieds avaient été littéralement cloués sur les montants de la couche et par endroit, Anastasia lui avait passé des crochets dans la peau, qui était à présent tirée. Si Valiance, en se réveillant, faisait un geste trop brusque... Elle s'arracherait elle-même une bonne partie de l'épiderme. Il était à parier que vampire avec des capacités magiques ou pas, elle souffrirait sûrement de ce traitement. Valait mieux pour elle qu'elle se tienne tranquille, assurément. Tête de Pyramide, dans un coin de la pièce, servait de sentinelle. Quant à Grigori, il avait été recousu et remit en ordre et se tenait assis à califourchon sur sa prisonnière dont il pétrissait les seins avec envie. Le macchabée ne lui avait rien fait, pas encore.
- Vas-y Anya ! Donnelui un peu desang ! Pastropastropastroppastrop !
Anastasia hocha la tête et obtempéra. Son sang -parfaitement humain- serait sûrement un délice pour une petite suceuse d'hémoglobine en manque. Mais elle ne lui donnerait qu'une petite quantité, de quoi la réveiller pour qu'elle puisse profiter de la suite. La belle s'entailla légèrement le poignet à l'aide d'une petite dague, faisant goûter son sang dans la bouche de Valiance que Grigori maintenait ouverte.
- Tu nepeux pas fuir, elfevampire. Nonnononononon. La Treizième Nuit nes'ouvre que sur monordre. Mon mien, ouiouioui ! Et tu ne peuxtuer personne, ici. Alors tu devraisplutôt être gentille si tu veux repartirchez toi. Quoitu décide ?
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Les landes dévastées / Re : Red & Black Pv: Grigori
« le: mardi 16 juillet 2013, 12:29:34 »
- Agacant c'est. Beaucoupbeaucoupbeaucoup.
- Je sais, Maître. Mais vous ne vous interessez qu'à ce genre de femme, ces derniers temps. Les fortes têtes... Quelle idée, vraiment...
Il fallait l'avouer, ni Grigori ni Anastasia n'auraient pensé que Valiance puisse dans son état tenter une nouvelle échappée. En soi, c'était tout de même un exploit à souligner ! Elle avait les deux chevilles broyées, quelques blessures ouvertes ça et là et une épaule déboîtée mais elle était parvenu tant bien que mal à sauter de l'épaule de tête de pyramide pour se laisser flotter dans la cage de l'escalier en colimaçon et ce à la surprise générale. Toutefois, le Maître de la Treizième Nuit n'avait rien fait si ce n'était la regarder s'échapper, un petit sourire plus que satisfait se dessinant sur ses lèvres moribondes. Grigori aimait les femmes de caractère, celles qui devaient se faire soumettre. Grâce à elle, le cadavre pouvait se laisser aller à quelques plaisirs indécents qui passaient du viol à la torture et cela le comblait de joie. Pour l'amour consenti, le nécromancien plus mort que ses créatures avait les corps des Cadavres Exquis et d'Anastasia, qui jamais ne se refusaient à lui. Un des gobelins avait ramassé le sexe de Grigori pour le tendre à l'humaine, qui n'avait d'ailleurs rien trouvé de mieux pour le saisir que de le coincer entre ses seins.
- Elle n'estpas loin, la Nuit meledit. Pasloinpasloinpasloin ! Envoie lui Dvorak, Dvorak ! Il laramène àmoi.
Anastasia hocha simplement la tête avant d'incanter un petit sortilège de communication qui lui permettait de parler à n'importe quelle créature de la Treizième Nuit. Mentalement, elle contacta donc le puissant Dvorak, situé non loin de l'endroit où se trouvait Valiance. Il se mit en marche sans hésiter, faisant fuir devant lui les créatures moins imposantes qui prenaient peur à la vue du corps déformé de Dvorak et des tentacules de chair qui s'extirpaient ça et là de son corps. Ainsi, la pauvre hybride pensait pouvoir se cacher ? C'était là une grossière erreur. Grigori savait absolument tout ce qui pouvait se passer dans la Treizième Nuit.
Ainsi, le monstre ne tarda pas à entrer dans la bonne bâtisse, faisant trembler le sol alors qu'il arrachait la porte pour avancer de son pas lourd vers le placard ou Valiance s'était évanouie. Ses tentacules défoncèrent les battants pour s'enrouler aux chevilles et aux poignets de l'elfe, la soulevant tout en la maintenant fermement.
Sa proie ainsi ficelée, Dvorak aurait put directement rentrer vers son maître, mais à l'instar des gobelins, le colosse avait lui aussi envie de jouer. Une nouvelle tentacule poussa alors depuis son torse pour arracher les vêtements de Valiance et se glisser sur ses seins, qu'il enserra avec force jusqu'à les faire rougir, imprimant une pression ferme sur ces jolis globes de chair. Un appendice supplémentaire, un peu plus épais celui là, vint s'infiltrer dans sa bouche. Quant à ses jambes, elles furent forcées de s'ouvrir sous la force des tentacules qui les retenaient et l'un d'eux vint rapidement passer sur ses lèvres intimes pour les solliciter, les humidifier.
La pénétrer ? Dvorak allait le faire, bien sûr. Mais quand elle serait éveillée, pas avant. Le monstre voulait l'entendre gémir et crier pendant qu'il en ferait son jouet.
- Je sais, Maître. Mais vous ne vous interessez qu'à ce genre de femme, ces derniers temps. Les fortes têtes... Quelle idée, vraiment...
Il fallait l'avouer, ni Grigori ni Anastasia n'auraient pensé que Valiance puisse dans son état tenter une nouvelle échappée. En soi, c'était tout de même un exploit à souligner ! Elle avait les deux chevilles broyées, quelques blessures ouvertes ça et là et une épaule déboîtée mais elle était parvenu tant bien que mal à sauter de l'épaule de tête de pyramide pour se laisser flotter dans la cage de l'escalier en colimaçon et ce à la surprise générale. Toutefois, le Maître de la Treizième Nuit n'avait rien fait si ce n'était la regarder s'échapper, un petit sourire plus que satisfait se dessinant sur ses lèvres moribondes. Grigori aimait les femmes de caractère, celles qui devaient se faire soumettre. Grâce à elle, le cadavre pouvait se laisser aller à quelques plaisirs indécents qui passaient du viol à la torture et cela le comblait de joie. Pour l'amour consenti, le nécromancien plus mort que ses créatures avait les corps des Cadavres Exquis et d'Anastasia, qui jamais ne se refusaient à lui. Un des gobelins avait ramassé le sexe de Grigori pour le tendre à l'humaine, qui n'avait d'ailleurs rien trouvé de mieux pour le saisir que de le coincer entre ses seins.
- Elle n'estpas loin, la Nuit meledit. Pasloinpasloinpasloin ! Envoie lui Dvorak, Dvorak ! Il laramène àmoi.
Anastasia hocha simplement la tête avant d'incanter un petit sortilège de communication qui lui permettait de parler à n'importe quelle créature de la Treizième Nuit. Mentalement, elle contacta donc le puissant Dvorak, situé non loin de l'endroit où se trouvait Valiance. Il se mit en marche sans hésiter, faisant fuir devant lui les créatures moins imposantes qui prenaient peur à la vue du corps déformé de Dvorak et des tentacules de chair qui s'extirpaient ça et là de son corps. Ainsi, la pauvre hybride pensait pouvoir se cacher ? C'était là une grossière erreur. Grigori savait absolument tout ce qui pouvait se passer dans la Treizième Nuit.
Ainsi, le monstre ne tarda pas à entrer dans la bonne bâtisse, faisant trembler le sol alors qu'il arrachait la porte pour avancer de son pas lourd vers le placard ou Valiance s'était évanouie. Ses tentacules défoncèrent les battants pour s'enrouler aux chevilles et aux poignets de l'elfe, la soulevant tout en la maintenant fermement.
Sa proie ainsi ficelée, Dvorak aurait put directement rentrer vers son maître, mais à l'instar des gobelins, le colosse avait lui aussi envie de jouer. Une nouvelle tentacule poussa alors depuis son torse pour arracher les vêtements de Valiance et se glisser sur ses seins, qu'il enserra avec force jusqu'à les faire rougir, imprimant une pression ferme sur ces jolis globes de chair. Un appendice supplémentaire, un peu plus épais celui là, vint s'infiltrer dans sa bouche. Quant à ses jambes, elles furent forcées de s'ouvrir sous la force des tentacules qui les retenaient et l'un d'eux vint rapidement passer sur ses lèvres intimes pour les solliciter, les humidifier.
La pénétrer ? Dvorak allait le faire, bien sûr. Mais quand elle serait éveillée, pas avant. Le monstre voulait l'entendre gémir et crier pendant qu'il en ferait son jouet.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 12 juillet 2013, 23:43:27 »
Ceeeeertes, mais là j'ai besoin d'assigner les L2 R2 pour jouer et ça ne veut pas fonctionner ;___;
23h39
23h39
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 12 juillet 2013, 23:33:25 »
Rejouer aux hits PS1 sur PSVita, c'est bien.
Mais je ne me souvenais pas que Tomb Raider II avait un sacré problème de caméra D: D'ailleurs, si quelqu'un sait m'expliquer pourquoi je n'arrive pas à assigner le pavé tactile arrière à des touches, je lui serai reconnaissant. Jouer à TR sans les fusées rouges bien pratiques, ça risque de ne pas être gai ;___;
23h29
Mais je ne me souvenais pas que Tomb Raider II avait un sacré problème de caméra D: D'ailleurs, si quelqu'un sait m'expliquer pourquoi je n'arrive pas à assigner le pavé tactile arrière à des touches, je lui serai reconnaissant. Jouer à TR sans les fusées rouges bien pratiques, ça risque de ne pas être gai ;___;
23h29
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Les landes dévastées / Re : Red & Black Pv: Grigori
« le: vendredi 12 juillet 2013, 22:45:02 »
Grigori ne s'était pas attendu à ce qu'elle puisse se dégager, non. Et le fait qu'elle lui coupe la main l'agaça, car cela fit rouler l'oeil qu'elle tenait dans un coin de la pièce. Néanmoins, le cadavre hurla de douleur et agita vivement son moignon sanguinolent dans l'air, laissant une sorte de liquide épais et foncé s'échapper de sa plaie pour se répandre sur le parquet sale et craquelé. Et Grigori roula à terre en se tenant le bras, perdant son autre globe oculaire tandis qu'il se débattait.
C'était à prévoir, les gobelins ne firent pas long feu contre la furie métissée qui se débattait pour sa pauvre vie. Rapidement débarassée de ses agresseurs, Valiance put fuir sur les premiers mètres sans jamais être inquiétée par de quelconques poursuivants. Mais on ne s'échappait jamais vraiment des griffes de la Treizième Nuit, jamais.
Au mieux parvenait t'on simplement à gagner un peu de temps.
Tête de Pyramide était là, gardien vaillant mais silencieux de l'antre du cadavre animé qu'était Grigori. Tourné face à elle, Pyramide tenait son imposante épée légèrement écartée de son corps, décidé à n'en faire usage qu'au dernier moment. Cette créature en fuite était le jouet du Maître et ne devait pas être tué. Pas encore, pas tant qu'il ne l'aurait pas autorisé ou qu'il n'aurait pas lui-même éteint sa vie de sa poigne mortelle. Alors Pyramide se bornerait à la stopper et à l'empêcher de fuir, prêt pour cela à au moins lui couper les pieds. Et la vampire sauta sur lui, l'entraînant dans sa chute malgré sa masse conséquente. Bravo, du moins pour un temps.
Car Pyramide fut plus prompte qu'elle à se relever et parvint sans effort à la maîtriser. Ses doigts puissants et froids lui attrapèrent le bras avec une force peu commune et, d'un mouvement d'une violence effrayante, tira dessus pour envoyer Valiance s'écraser contre les escaliers des quels elle avait bondit. Elle pouvait toujours espérer se relever : ses espoirs furent brisés en même temps que ses chevilles que Pyramide broya sous ses pieds d'une pression infernale. Les os craquèrent comme du bois mort, le bruit semblant presque résonner dans la cage d'escalier.
Et les gobelins rièrent. Aux éclats, aussi sinistrement qu'ils l'avaient toujours fait.
} Ce n'est pastrès gentil d'être partie commeça ! Mon oeil estperdu quelque part, maintenant ! Perduperduperdu !
Grigori faisait la moue, allongé sur le sol crasseux sur lequel il avait été contraint de ramper. Trop d'os brisés, trop de morceaux de son corps laissé un peu partout. Même la suture qui maintenait sa tête sur son cou avait commencé à lâcher, laissant sur le côté une ouverture béante qui laissait parfois voir l'intérieur de sa gorge. Pourtant, il souriait.
Derrière Pyramide, des bruits de talons aiguille résonnèrent et le massif démon s'écarta finalement pour laisser passer le corps sculptural d'Anastasia, qui lança un regard de dédain à l'elfe avant de remonter vers son maître, qu'elle releva de son mieux. Grigori passa son bras autour du cou de sa disciple, qui aboya quelques ordres aux gobelins avant d'amener le cadavre animé au niveau de Valiance.
} Vampirevampirevampire, alors ? Je comprends mieux, ohouiiiii ! Je la veux, Anya. Jelaveuxjelaveuxjelaveux !
- Oui, Maître. Mais vous ne pourrez rien faire sans être recousu.
} Sisisisisisi. Mets mon membre danssabouche.
Anastasia soupira, venant de sa main libre chercher non sans plaisir le sexe du macchabée qu'elle commença à masturber tandis que Grigori fixait de son seul oeil remit en place le corps de Valiance, la dévorant d'un regard obscène alors que sa verge se raidissait entre les doigts de l'humaine. Lorsque l'érection fut complète, elle... l'arracha. Littéralement, elle tira sur la verge pour en déchirer la peau qui la retenait au reste du corps. Étrangement d'ailleurs, le sexe resta raidit. Anastasia fit un signe à Pyramide, qui se pencha pour faire ouvrir la bouche de Valiance de force. Et rapidement, la queue durcie fut enfoncée dans la cavité dévoilée alors que Grigori poussait un couinement de satisfaction, son moignon calé entre les seins imposant d'Anastasia.
- Nous allons te monter chez le maître, Jouet. Je te conseille de prendre soin de sa verge jusqu'à notre arrivée, sinon je t'éplucherai la peau. Tu as compris ? Elle se tourna vers Pyramide et s'adressa à lui. Emmène là en haut. Que les gobelins retrouvent les morceaux du Maître et nous suivent !
Pyramide chargea Valiance sur une de ses épaules comme si elle avait été un vulgaire sac et emboîta le pas d'Anastasia vers la cabine d’ascenseur. Les portes grincèrent sinistrement mais s'ouvrirent, accueillant le petit groupe pour une montée vers les plus hauts étages de l'hôtel. Là-haut, l'elfe n'aurait plus aucune échappatoire...
C'était à prévoir, les gobelins ne firent pas long feu contre la furie métissée qui se débattait pour sa pauvre vie. Rapidement débarassée de ses agresseurs, Valiance put fuir sur les premiers mètres sans jamais être inquiétée par de quelconques poursuivants. Mais on ne s'échappait jamais vraiment des griffes de la Treizième Nuit, jamais.
Au mieux parvenait t'on simplement à gagner un peu de temps.
Tête de Pyramide était là, gardien vaillant mais silencieux de l'antre du cadavre animé qu'était Grigori. Tourné face à elle, Pyramide tenait son imposante épée légèrement écartée de son corps, décidé à n'en faire usage qu'au dernier moment. Cette créature en fuite était le jouet du Maître et ne devait pas être tué. Pas encore, pas tant qu'il ne l'aurait pas autorisé ou qu'il n'aurait pas lui-même éteint sa vie de sa poigne mortelle. Alors Pyramide se bornerait à la stopper et à l'empêcher de fuir, prêt pour cela à au moins lui couper les pieds. Et la vampire sauta sur lui, l'entraînant dans sa chute malgré sa masse conséquente. Bravo, du moins pour un temps.
Car Pyramide fut plus prompte qu'elle à se relever et parvint sans effort à la maîtriser. Ses doigts puissants et froids lui attrapèrent le bras avec une force peu commune et, d'un mouvement d'une violence effrayante, tira dessus pour envoyer Valiance s'écraser contre les escaliers des quels elle avait bondit. Elle pouvait toujours espérer se relever : ses espoirs furent brisés en même temps que ses chevilles que Pyramide broya sous ses pieds d'une pression infernale. Les os craquèrent comme du bois mort, le bruit semblant presque résonner dans la cage d'escalier.
Et les gobelins rièrent. Aux éclats, aussi sinistrement qu'ils l'avaient toujours fait.
} Ce n'est pastrès gentil d'être partie commeça ! Mon oeil estperdu quelque part, maintenant ! Perduperduperdu !
Grigori faisait la moue, allongé sur le sol crasseux sur lequel il avait été contraint de ramper. Trop d'os brisés, trop de morceaux de son corps laissé un peu partout. Même la suture qui maintenait sa tête sur son cou avait commencé à lâcher, laissant sur le côté une ouverture béante qui laissait parfois voir l'intérieur de sa gorge. Pourtant, il souriait.
Derrière Pyramide, des bruits de talons aiguille résonnèrent et le massif démon s'écarta finalement pour laisser passer le corps sculptural d'Anastasia, qui lança un regard de dédain à l'elfe avant de remonter vers son maître, qu'elle releva de son mieux. Grigori passa son bras autour du cou de sa disciple, qui aboya quelques ordres aux gobelins avant d'amener le cadavre animé au niveau de Valiance.
} Vampirevampirevampire, alors ? Je comprends mieux, ohouiiiii ! Je la veux, Anya. Jelaveuxjelaveuxjelaveux !
- Oui, Maître. Mais vous ne pourrez rien faire sans être recousu.
} Sisisisisisi. Mets mon membre danssabouche.
Anastasia soupira, venant de sa main libre chercher non sans plaisir le sexe du macchabée qu'elle commença à masturber tandis que Grigori fixait de son seul oeil remit en place le corps de Valiance, la dévorant d'un regard obscène alors que sa verge se raidissait entre les doigts de l'humaine. Lorsque l'érection fut complète, elle... l'arracha. Littéralement, elle tira sur la verge pour en déchirer la peau qui la retenait au reste du corps. Étrangement d'ailleurs, le sexe resta raidit. Anastasia fit un signe à Pyramide, qui se pencha pour faire ouvrir la bouche de Valiance de force. Et rapidement, la queue durcie fut enfoncée dans la cavité dévoilée alors que Grigori poussait un couinement de satisfaction, son moignon calé entre les seins imposant d'Anastasia.
- Nous allons te monter chez le maître, Jouet. Je te conseille de prendre soin de sa verge jusqu'à notre arrivée, sinon je t'éplucherai la peau. Tu as compris ? Elle se tourna vers Pyramide et s'adressa à lui. Emmène là en haut. Que les gobelins retrouvent les morceaux du Maître et nous suivent !
Pyramide chargea Valiance sur une de ses épaules comme si elle avait été un vulgaire sac et emboîta le pas d'Anastasia vers la cabine d’ascenseur. Les portes grincèrent sinistrement mais s'ouvrirent, accueillant le petit groupe pour une montée vers les plus hauts étages de l'hôtel. Là-haut, l'elfe n'aurait plus aucune échappatoire...
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Les alentours de la ville / Re : Ce rêve bleu ~ Grigori
« le: vendredi 12 juillet 2013, 21:56:46 »
Il la désirait depuis quelques temps déjà, bien qu'il n'aurait pas su expliquer pourquoi. Son corps ? Assurément, la demoiselle avait de charmants atouts qui passaient par sa ferme poitrine à son fessier rebondi, sans oublier les traits fins de son visage et ses lèvres pulpeuses. De quoi rendre fous bien des hommes, oui... Combien avaient succombé à ses charmes ? Combien pleuraient leur malchance de ne pas pouvoir poser plus qu'un regard sur sa désirable silhouette ? Ils étaient nombreux, cela était chose certaine.
Mais lui n'en voulait pas uniquement à son corps, non. D'ailleurs, sa chair ne serait qu'un bonus supplémentaire. Plus tard. Un jour. Lui en voulait à son esprit affûté, à sa solide raison et son dur caractère. Son désir était de la mettre à nu, de la pousser à se dévoiler, à s'abîmer dans des contrées mentales qu'elle n'aurait jamais pensé explorer avant leur rencontre.
Un viol.
Voilà ce qu'il s'apprêtait à commettre. Une brusque pénétration en elle, impérieuse et indésirable, avec pour finalité un souvenir aussi poisseux qu'une traînée de fluide séminal glissant sur une peau perlée de sueur. Peut-être ferait-il germer de cet acte immonde un enfant, une présence ancrée en elle qui ne demanderait plus qu'à s'extraire pour hurler à plein poumons ? Voilà qui serait un fruit inespéré.
Jusqu'où pouvait-on faire chavirer une âme ? Grigori voulait le découvrir. Visiteur onirique occasionnel, il n'envahissait jamais très longtemps les rêves d'une personne. Il se contentait d'observer, de profiter, de corrompre parfois. Le jeu l'amusait et il savait y faire : combien de femmes s'étaient elles trouvées éveillées par leurs propres cris de jouissance alors qu'elles avaient inconsciemment fait jouer leurs doigts à la surface de leurs lèvres intimes ? Plusieurs. Mues par le plaisir procuré par un rêve, un assemblage de sensations.
Pauvres petites marionnettes gémissantes entre ses doigts décomposés.
Grigori avait jeté son dévolu sur Eleanor depuis un temps, attiré par la présence qu'elle traînait dans son sillage. Et il s'était plus à se plonger dans ses songes sans jamais y intervenir, préférant la sonder, la fouiller. Lui offrir de délicats préliminaires semblables à des caresses amoureuses.
Et l'envie l'avait saisie, violente. Celle de la faire basculer dans ses rêves pour qu'elle chavire dans l'éveil et qu'elle ne désire plus que le rejoindre.
Alors cette nuit, il avait tout préparé. Juste pour elle. Son sommeil serait lourd et profond, jamais dérangé. Elle garderait son libre-arbitre de bout en bout, Grigori ne ferait jamais que lui opposer ses démons, ses embûches et ses déboires.
Dors, petite Eleanor. Cette nuit est tienne et peut-être qu'à l'aube, tu ne t'appartiendras plus.
Dors, rêve, tourne et tourne encore...
~~~~
Les mains se posèrent sur les hanches ceintes de noir, puissantes et fermes, mais douces. Le corps musculeux se colla à son dos avec délicatesse, couvrant la demoiselle au loup de dentelle de sa force et de sa protection. Son bassin écrasa doucement le volume de ses fesses et les doigts caressèrent ses flancs tout en remontant tranquillement, se place juste sous la démarcation de ses seins pleins et lourds, comme s'apprêtant à les soupeser.
Pourtant, il n'en fit rien. Comme si ce geste était un appel, une façon de lui signifier ce qu'il espérait qu'elle lui offre un peu plus tard. Pour l'heure, l'homme serait chaste et attentionné.
Elle le connaissait. Eleanor avait ce sentiment réconfortant de savoir à qui appartenait la présence et bien qu'elle ne puisse nullement voir son visage, elle savait qui il était. Le Prince Charmant, celui qu'elle attendait sans peut-être se l'avouer. Ses traits ? Assurément ceux qui lui plairaient, quels que soient ses goûts. Sa voix aurait l'intonation rassurant qu'Eleanor était en droit d'attendre et ses mouvements seraient ceux qui lui prouveraient qu'il était taillé pour elle. L'homme de ses rêves, le rêve de son homme.
Et les danseurs tournaient toujours sur de fantômatiques notes dansant dans l'air lourd d'un léger brouillard. Quand s'était il levé ? Avait-il toujours été là ? Peu importait.
} Tu es superbe.
Un baiser dans le creux de son cou, porté par des lèvres froides comme la mort. A moins qu'elle n'ait senti que l'émail de ses dents ? La sensation resterait sur sa peau un moment, tandis que le virvoltement des couples se rapprochait d'eux. Le voile d'une robe l'effleura d'ailleurs.
} Tu sais qui ils sont, n'est-ce pas ?
Oui, elle savait. Parce qu'enfin elle pouvait leur apercevoir un visage. Celui de défunts qu'elle avait connu et pleuré au fil de sa vie, comme tout à chacun. Avait-elle remarqué avant cela que ces gens ne présentaient aucune couleur ? Ils se paraient de gris, de noir, d'un blanc livide et sali. Mais d'aucune couleur. Et leurs regards ne voyaient rien, pas plus que leurs traits n'esquissaient d'émotion.
Ils les entouraient tout deux, à présent. Et lui avait remonté ses mains sur ses seins, les prenant comme pour les soutenir. Le geste était encore empreint de chasteté, mais la froideur qui s'insinuait sur sa peau n'évoquait que le malaise.
} Tu connais la destination de ce vol, n'est-ce pas ? C'est là que se rendent les âmes chagrines.
La poigne sur sa poitrine s'affirma, portée par des mains qui n'avaient plus de vie, par des mains crispées sur la mort. Ses dents claquèrent sèchement, à répétition, alors que sa tête basculait en arrière comme si elle avait été soudainement désarticulée. "Claclaclaclaclaclac !" Les danseurs imitèrent le Prince Charmant et le son de leurs mâchoires s'entrechoquant couvrit bientôt la musique. Obsédant, entêtant, effrayant.
Claclaclaclaclaclac.
Surtout pas. Cours, Eleanor. Cours vers cette forme que tu aperçois au-delà des danseurs désarticulés, éloigne toi de ce Prince qui étreint tes courbes alors qu'il ne cesse de ricaner de concert avec la mort. Cours, Eleanor. Rejoins ce jeune homme tout de blanc vêtu, au visage indistinct. Parce qu'avec lui tu seras en sécurité.
Pour un temps.
Enfonce toi dans le rêve, Eleanor, avec pour compagne une sinistre mélodie.
Claclaclaclaclaclac.
Mais lui n'en voulait pas uniquement à son corps, non. D'ailleurs, sa chair ne serait qu'un bonus supplémentaire. Plus tard. Un jour. Lui en voulait à son esprit affûté, à sa solide raison et son dur caractère. Son désir était de la mettre à nu, de la pousser à se dévoiler, à s'abîmer dans des contrées mentales qu'elle n'aurait jamais pensé explorer avant leur rencontre.
Un viol.
Voilà ce qu'il s'apprêtait à commettre. Une brusque pénétration en elle, impérieuse et indésirable, avec pour finalité un souvenir aussi poisseux qu'une traînée de fluide séminal glissant sur une peau perlée de sueur. Peut-être ferait-il germer de cet acte immonde un enfant, une présence ancrée en elle qui ne demanderait plus qu'à s'extraire pour hurler à plein poumons ? Voilà qui serait un fruit inespéré.
Jusqu'où pouvait-on faire chavirer une âme ? Grigori voulait le découvrir. Visiteur onirique occasionnel, il n'envahissait jamais très longtemps les rêves d'une personne. Il se contentait d'observer, de profiter, de corrompre parfois. Le jeu l'amusait et il savait y faire : combien de femmes s'étaient elles trouvées éveillées par leurs propres cris de jouissance alors qu'elles avaient inconsciemment fait jouer leurs doigts à la surface de leurs lèvres intimes ? Plusieurs. Mues par le plaisir procuré par un rêve, un assemblage de sensations.
Pauvres petites marionnettes gémissantes entre ses doigts décomposés.
Grigori avait jeté son dévolu sur Eleanor depuis un temps, attiré par la présence qu'elle traînait dans son sillage. Et il s'était plus à se plonger dans ses songes sans jamais y intervenir, préférant la sonder, la fouiller. Lui offrir de délicats préliminaires semblables à des caresses amoureuses.
Et l'envie l'avait saisie, violente. Celle de la faire basculer dans ses rêves pour qu'elle chavire dans l'éveil et qu'elle ne désire plus que le rejoindre.
Alors cette nuit, il avait tout préparé. Juste pour elle. Son sommeil serait lourd et profond, jamais dérangé. Elle garderait son libre-arbitre de bout en bout, Grigori ne ferait jamais que lui opposer ses démons, ses embûches et ses déboires.
Dors, petite Eleanor. Cette nuit est tienne et peut-être qu'à l'aube, tu ne t'appartiendras plus.
Dors, rêve, tourne et tourne encore...
~~~~
Les mains se posèrent sur les hanches ceintes de noir, puissantes et fermes, mais douces. Le corps musculeux se colla à son dos avec délicatesse, couvrant la demoiselle au loup de dentelle de sa force et de sa protection. Son bassin écrasa doucement le volume de ses fesses et les doigts caressèrent ses flancs tout en remontant tranquillement, se place juste sous la démarcation de ses seins pleins et lourds, comme s'apprêtant à les soupeser.
Pourtant, il n'en fit rien. Comme si ce geste était un appel, une façon de lui signifier ce qu'il espérait qu'elle lui offre un peu plus tard. Pour l'heure, l'homme serait chaste et attentionné.
Elle le connaissait. Eleanor avait ce sentiment réconfortant de savoir à qui appartenait la présence et bien qu'elle ne puisse nullement voir son visage, elle savait qui il était. Le Prince Charmant, celui qu'elle attendait sans peut-être se l'avouer. Ses traits ? Assurément ceux qui lui plairaient, quels que soient ses goûts. Sa voix aurait l'intonation rassurant qu'Eleanor était en droit d'attendre et ses mouvements seraient ceux qui lui prouveraient qu'il était taillé pour elle. L'homme de ses rêves, le rêve de son homme.
Et les danseurs tournaient toujours sur de fantômatiques notes dansant dans l'air lourd d'un léger brouillard. Quand s'était il levé ? Avait-il toujours été là ? Peu importait.
} Tu es superbe.
Un baiser dans le creux de son cou, porté par des lèvres froides comme la mort. A moins qu'elle n'ait senti que l'émail de ses dents ? La sensation resterait sur sa peau un moment, tandis que le virvoltement des couples se rapprochait d'eux. Le voile d'une robe l'effleura d'ailleurs.
} Tu sais qui ils sont, n'est-ce pas ?
Oui, elle savait. Parce qu'enfin elle pouvait leur apercevoir un visage. Celui de défunts qu'elle avait connu et pleuré au fil de sa vie, comme tout à chacun. Avait-elle remarqué avant cela que ces gens ne présentaient aucune couleur ? Ils se paraient de gris, de noir, d'un blanc livide et sali. Mais d'aucune couleur. Et leurs regards ne voyaient rien, pas plus que leurs traits n'esquissaient d'émotion.
Ils les entouraient tout deux, à présent. Et lui avait remonté ses mains sur ses seins, les prenant comme pour les soutenir. Le geste était encore empreint de chasteté, mais la froideur qui s'insinuait sur sa peau n'évoquait que le malaise.
} Tu connais la destination de ce vol, n'est-ce pas ? C'est là que se rendent les âmes chagrines.
La poigne sur sa poitrine s'affirma, portée par des mains qui n'avaient plus de vie, par des mains crispées sur la mort. Ses dents claquèrent sèchement, à répétition, alors que sa tête basculait en arrière comme si elle avait été soudainement désarticulée. "Claclaclaclaclaclac !" Les danseurs imitèrent le Prince Charmant et le son de leurs mâchoires s'entrechoquant couvrit bientôt la musique. Obsédant, entêtant, effrayant.
Claclaclaclaclaclac.
"Tu ne dois pas arriver à destination, Eleanor !"
Surtout pas. Cours, Eleanor. Cours vers cette forme que tu aperçois au-delà des danseurs désarticulés, éloigne toi de ce Prince qui étreint tes courbes alors qu'il ne cesse de ricaner de concert avec la mort. Cours, Eleanor. Rejoins ce jeune homme tout de blanc vêtu, au visage indistinct. Parce qu'avec lui tu seras en sécurité.
Pour un temps.
Enfonce toi dans le rêve, Eleanor, avec pour compagne une sinistre mélodie.
Claclaclaclaclaclac.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 12 juillet 2013, 20:21:00 »
Fichtre, jouer la folie -enfin, une certaine idée de celle-çi- ne va pas être facile. Ça promet d'être intéressant !
Et bonsoir !
20h17
Et bonsoir !
20h17
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