Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Archangel

Pages: [1] 2 3 ... 6
1
Les terres sauvages / Re : A la claire fontaine [Archangel]
« le: mercredi 24 juillet 2013, 20:06:54 »
Une naïade. Une sirène. Les mots lui manquent pour désigner cette apparition. Belle, si belle, comme portée par l’onde. Nue, d’une fraîcheur à peine croyable, d’une silhouette si élancée, d’une féminité si unique. Il ne se souvient pas d’avoir déjà vu une telle beauté. Mais l’homme, où est-il ? Aurait-il laissé sa belle séduire le regard du voyeur, qu’il se prépare désormais à trucider de quelque lame ? Archangel est sur la défensive ; revenant vers les habits, il décide de les déplacer, de les dissimuler sous des branchages. Quel que soit le piège, la personne qui les a posés ne pourra s’enfuir facilement.
Du poste où il est, il aperçoit la beauté sortir de l’eau, telle Vénus émergeant des flots. Plus belle même dans sa nudité naturelle, avec ces cheveux encore mouillés, cette poitrine fièrement dressée, ces hanches qui roulent fières et étroites, ces fesses au glbe parfaitement dessiné. Seule ombre à cette silhouette altière, il n’en vit pas le sexe tout juste sorti de l’eau fraîche.

« - Je sais que vous êtes là... montrez-vous ! »


Maudite soit-elle ! Elle l’a repéré, il n’a mêem pas su être discret. Mais il a caché des habits, dont les siens forcément. Si elle veut les récupérer, il y mettra les conditions !

« Je suis là, gente dame. » lance-t-il en se relevant de son poste à distance respectable, impatient qu’elle se tourne vers lui, nue et offerte à son regard, tout en gardant la main sur sa dague, car nul ennemi n’est à exclure.

« J’ai pris en otage vos habits, mais vous savez fort bien vous en passer. » continue-t-il, narquois et sûr de son avantage. « J’avoue que, sans eux, votre silhouette est un vrai bonheur. »

Il a toutes les cartes en mains, les habits et l’armure, et sa fidèle dague qui porte encore les traces sanguinolentes de ses précédentes victimes. Alors, autant jouer avec cette inconsciente…

« Mais vous pourriez peut-être les récupérer… »

2
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: mercredi 24 juillet 2013, 00:29:29 »
La VDD de la VDD de mon VDD ne peut se défiler, c'est une question d'honneur.

3
Les alentours de la ville / L'indiscrétion (Etsuyama Sachiko)
« le: lundi 22 juillet 2013, 10:34:42 »
Le soleil darde, et les terrasses de Seikusu se remplissent peu à peu. Archangel, de son antique prénom Gabriel, aime cette ambiance insouciante, où l'on peut se poser et profiter de l'instant. Assis à la terrasse du Kyoto coffee, il savoure doucement le effluves du thé. Un mets délicat, qui l'apaise, et lui permet d'envisager la suite avec philosophie. Il n'est que de passage dans cette vie, mais il pense déjà à la suite, tout en n'omettant pas de profiter des plaisirs de l'instant.
Des plaisirs qui pourraient se concrétiser par les regards en coin que lui lancent parfois des étudiantes assises aux tables voisines. Les jupes sont courtes et les poitrines sont arrogantes, le défi est permanent et l'incitation est manifeste. Mais non, pas de ça ! Lui, il fait dans la gamme au dessus, plus mure et moins ostentatoire. D'ailleurs, celle qu'il attend n'est pas une inconnue pour lui, loin s'en faut.
Stéphanie Letellier, puisque c'est d'elle qu'il s'agit, n'est rien moins que la femme du chargé de cabinet à l'ambassade du Luxembourg. Une très belle plante aux cheveux bruns parfaitement coupés au carré, et aux yeux qui en disent long que ce soit en prenant un café ou en prenant son pied. Car oui, Madame l'épouse élégante, aime se vautrer dans le stupre avec son amant. Sans doute lasse de la morne vie de l'ambassade, elle a trouvé un complice prêt à explorer tous les jeux sexuels et meubler ses journées désormais sans plus aucun ennui, voire ses nuits parfois. Son sot de mari est bien trop occupé, entre déplacements et réceptions, pour s'en rendre compte, surtout que, depuis qu'elle mène cette double vie, elle est rayonnante comme jamais.
Le Kyoto coffee est devenu le lieu où les deux amants se retrouvent. Pas d'effusions en public, car un regard indiscret pourrait traîner. Juste un baiser comme pour un rendez-vous d'affaires. Mais les deux amants se souviennent encore de certains jours où, impatients, ils s'étaient retrouvés dans les toilettes de l'établissement, notamment la fois où Stéphanie avait découvert la sodomie et avait eu toutes les peines du monde à ne pas crier. Mais il y aura bien d'autres fois encore...
Toujours avec quelques minutes de retard, elle arrive enfin. Toujours aussi élégante, avec sa jupe noire à mi-cuisses et son chemiser blanc issu d'un grand couturier. Toujours aussi troublante, avec ses talons cambrant la courbe de ses fesses, et sa poitrine savamment mise en avant. Ca va encore être bouillant, et bien davantage que le thé qui l'attend !
Tout en embrassant sobrement son amant, elle lui murmure :

« Cette fois, je n'ai pas mis de culotte. A toi de voir où et quand tu veux le vérifier... »

Aussi avisé qu'il soit, Gabriel a néanmoins eu un coup au cœur. En s'asseyant, il ne peut ignorer que, sous sa table, s'écartent deux cuisses offrant la vision d'un sexe nu et épilé qu'il ne peut pas encore voir. Mais, sous la table aussi, il n'ignore pas davantage que son pantalon a pris la forme de son sexe dressé, presque gêné par le tissu.

4
Les alentours de la ville / Re : Comme on se retrouve... [Archangel]
« le: lundi 22 juillet 2013, 10:28:03 »
« - Compris. Alors fais-moi crier si tu en es capable. »

Le défi est de taille, et les yeux de Kassie sont très explicites. Retirant son doigt du sexe de la jeune femme aux cheveux si clairs, il le porte à sa bouche :

« Hum, délicat fumet, ça doit s'apprécier sous la langue, ça... »

Et, comme si elle avait ruisselé de désir, il se met à lécher son doigt avec avidité, avant de le replonger dans sa culotte. Au moins les choses sont claires ! Mais le doigt frôle à peine les lèvres et, d'un coup plus sec encore qu'avant, s'enfonce sans le moindre ménagement entre ses fesses, raide et vigoureux comme s'il voulait la soulever empalée dessus.
Guettant sa réaction, son cri même, il lui sourit étrangement :

« Ne t'en fais pas, j'ai bien des façons de te faire crier. Chaque chose en son temps... »

Et, retirant son doigt avec autant d'indélicatesse qu'il l'avait entré, il dirige la main vers sa poche, sortant cette fis une liasse de yens.

« Tiens, voilà un acompte. Le reste, ce sera si tu es à la hauteur. »

Elle le tient par le sexe, il la tient par le fric. Il est sur son terrain de jeu, et elle mène déjà 1 à 0 par le vol qu'elle a proféré. Mais il ne s'agit pas qu'elle croie qu'il vient se venger ; ce n'est pas sa priorité, mais ce n'est pas exclus. Tout comme, si elle se montre à la hauteur, elle pourrait lui servir de partenaire professionnelle ; nul doute qu'elle écarterait volontiers les cuisses pour lui ramener quelque client... à condition qu'elle ne prenne ps une commission trop gourmande en passant.
Ce sera à voir selon le déroulement de la nuit. Vu comme elle effleure déjà le membre viril, elle n'a rien perdu de ses talents, et ses effets sont immédiats !

5
Le quartier de la Toussaint / Re : Une succube... Qu'est-ce ? (Maelie)
« le: lundi 22 juillet 2013, 10:24:58 »
Il se sent étrange, désormais qu'il n'a plus sa dague sur lui. Certes plus exposé au danger car il n'a plus d'arme pour se défendre, mais aussi comme sil est nu et offert à il ne sait quelle succube. Mais cette jeune femme n'a rien des guerriers qu'il a affrontés, et ne semble pas impatiente de se jeter sur lui pour quelques étreintes. Et, tout bien réfléchi, ce serait presque dommage...

« Bon, nous allons prendre le prochain bus alors... tenez vous tranquille cette fois... »

En plus, elle lui donne des ordres ! Ca doit être la dague qui lui donne cette audace, comme si son pouvoir lui avait été transféré. Le bus, c'est cette infâme boîte sur roues, où l'on est secoué, et où l'on vous regarde bizarrement.

« D'accord, mais si nous n'y restons pas trop longtemps. D'ailleurs, où m'emmenez-vous ? »

Voilà la première fois qu'il pose cette question. Il aurait déjà dû s'en inquiéter ! Ce n'est pas parce qu'une jolie guide, au profil très troublant, lui propose de lui montrer le chemin, qu'il ne doit pas savoir quelle chemin elle veut emprunter.

« Et si ce n'est pas indiscret... vous m'avez parlé de passer dans l'au delà ?... enfin vous m'avez dit que vous n'y arriviez pas ? Je ne comprend pas bien ce que vous voulez dire... »

Il n'y a pas à dire, la dague lui confère bien des audaces ! Mais, après tout, il a une histoire digne des plus belles légendes arthuriennes ; alors, autant l'exposer avec fierté...

« Eh bien voilà. A la fin du quinzième siècle, ma mère, de sang royal, a fauté avec le descendant de l'un des pires criminels, dont vous avez d'ailleurs la dague dans votre sac."

Il guette sa primo réaction, car il y est allé franco !

«  J'ai donc en moi le bien et le mal, et parfois ça se déséquilibre. Alors, à chaque fois que je meurs, le Paradis ne me veut pas car je suis trop mauvais, et l'Enfer ne me veut pas car il reste trop de pureté en moi. »

Là, normalement, ses jolis yeux devraient s'arrondir davantage...

« Donc, même si je viole une femme ou si je tue un ennemi, je ne connaîtrai pas le Diable. Et, même si je fais œuvre de pauvreté et de charité, ou si je sauve une femme du danger, je n'irai pas voir Saint-Pierre. »

Elle devrait s'enfuir, si elle a peur. Mais pas question, elle a sa dague !

« Quand vous m'avez trouvé, la seule chose dont je me souvenais, c'était une femme aux longs cheveux blonds, dans une sublime robe de soirée, qui m'avait offert un verre. Mais, après, le néant, le trou noir, jusqu'à ce banc, là où tout le monde semble fou, à part vous peut-être. »

Reste à espérer qu'elle le reçoive comme un compliment...

7
Ville-Etat de Nexus / Re : De la chair à l'esprit... (Grace)
« le: samedi 20 juillet 2013, 07:38:28 »
Le compliment semble avoir fait son effet, vu comme les joues de la maîtresse de maison rosissent, presque à en prendre un rouge délicat. Il est désormais si rare qu'une femme apprécie un compliment « objectif » et « courtois que Archangel en est même un peu surpris. Cette femme a de l'éducation, du savoir-vivre, de la culture. Juste un instant, il songe que « quand elle est dans un lit, elle fait comme les autres, elle écarte les cuisses ». Mais là n'est pas le sujet ; il ne sait à qui il a vraiment affaire, si ce n'est à une femme aux pouvoirs sensoriels a priori très développés ; autant éviter qu'elle ne puisse lire dans ses pensées.
Déjà qu'elle réagit au moindre mot, et que chaque syllabe modifie l'expression de son visage, selon qu'elle y ressent plaisir ou peine. Il songe que, jamais, ou alors très rarement, il a pris le temps de se poser auprès d'une femme, de mêle guetter la moindre réaction, et surtout d'en prendre grand soin. Combien de femelles n'a-t-il croisées, qui n'étaient que des exutoires, qu'il laissait ou égorgeait une fois son petit besoin satisfait ? Mais là, pas question de se précipiter... même s'il sent soudain une folle chaleur s'emparer de lui. C'est comme si la sage qui lui fait face lui murmurait « Prenons le temps de nous connaître, cher ami », tandis que la succube l'appelle sans détour « Allez, assez de simagrées, viens me baiser ! ».
La belle hôtesse porte une tunique délicate et raffinée, la succube est vautrée nue sur le divan les cuisses écartées. Le visage de l'une est doux, le visage de l'autre est un appel à la prendre sauvagement, sur le champ, sans se soucier ni des protestations de la prude, ni de ceux qui discutent plus loin. Il sent ses mains moites et des vibrations parcourent son corps en lui injectant de violentes décharges, il croise ses jambes pour tenter de dissimuler l'érection qui se manifeste de plus en plus mais le râpement du tissu lui fait vite reprendre la pose initiale.

« Con... Continuez ! Je vous en... Je vous en prie... Poursuivez, voulez-vous ! »

Continuer ? Est-ce la succube qui lui dit de ne plus dissimuler cette érection incontrôlable ? Est-ce la prude qui lui donne une dernière chance de reprendre pied dans une réalité posée et sans ambiguïté ? Il sent sa t^te qui tente de le maintenir en arrière comme pour le lier au divan ; mais son bas-ventre est en proie à une chaleur incontrôlable. Il n'a jamais ressenti cela, ce n'est pas de l'amour mais du désir charnel pur. Elle l'excite, oui c'est ça ; elle n'est plus maîtresse de maison qui reçoit un hôte avec éducation, elle est femelle offerte et n'attendant que le mâle. Le fil qui retient son ultime courtoisie est tendu à l'extrême ; il est si ténu désormais que, à tout moment, il peut rompre et que, toute distinguée que soit cette femme, cela le précipiterait sur elle pour la trousser comme la plus outrancière des catins...

8
Les alentours de la ville / Re : Comme on se retrouve... [Archangel]
« le: samedi 20 juillet 2013, 07:15:10 »
« - Je marche. Tant que vous aurez de l'argent en jeu mon cher je serais toute à vous et vous pourrez disposez de moi quand et comme il vous semblera. »

Hum, il adore ça ; la voilà à ses pieds, juste parce qu'elle a vu du fric. (Pauvre cruche, si tu crois que tu vas me rouler, tu te fourres le doigt dans le cul et à sec, ni plaisir ni résultat !) Le contact des lèvres de Kassie, sa langue brûlante et inquisitrices, sont de véritables électrochocs, et font encore gonfler la bosse sous son pantalon. Tandis qu'elle lui roule un de ces patins digne de Hollywood, il vérifie de ses mains que la mallette est fermée à clef, et l'attache par une chaînette au pied de table. Quoi qu'ils fassent, même s'il la baise dans toutes les pièces, il devra toujours avoir l'oeil sur ce fric !
Comme elle le laisse faire ce qu'il veut, autant commencer par voir si elle ne joue pas la comédie. Ses mains descendent alors à la taille, bien moulée dans cette tenue noire vraiment sexy. Pas à redire, il y a de la rondeur, les fesses sont généreuses ; d'ailleurs, vu le fric mis sur la table, elles auront aussi droit à leur visite, n'en déplaise à la jeune femme ! Continuant son exploration, Archangel arrive très vite aux cuisses, au ras de la jupe. Gainées de noir, ces jambes sont bien galbées ; il se rappelle qu'elles se sont écartées pour lui et que, franchement, il avait pris son pied.
Tandis que sa main gauche poursuit l'exploration, remontant entre les cuisses de Kassie, oubliant vite les bas pour arriver sur la peau nue, sa main droit met fin au baiser, écartant son visage.
Et, la regardant les yeux dans les yeux, son index gauche écarte sa culotte avant de s'enfoncer sans délicatesse dans son sexe :

« Je dois m'assurer, ma belle, que tu mouilles vraiment pour moi ! Que tu te fasses baiser parce que j'ai du fric, je m'en fous, c'est ton problème. Mais que tu fasses semblant et que tes cris soient du chiqué, pas question. Quitte à payer, je veux vraiment avoir une salope... »

Finis la courtoisie et le vouvoiement, place aux mots crus et au tutoiement direct. Archangel se surprend lui-même, mais il a bien l'intention d'en profiter à sa guise, et d'en tirer un max avant de ne rien lui laisser... si ce n'est la gorge tranchée au cas où elle ne comprendrait pas qu'il l'a bernée. Mais, pour le moment, place au show...

9
Le quartier de la Toussaint / Re : Une succube... Qu'est-ce ? (Maelie)
« le: samedi 20 juillet 2013, 06:42:59 »
Elle croisa les bras et se tourna de profil, comme si elle était prête à partir à tout instant. Intérieurement, la colère avait fait place à la nervosité ; elle n'avait pas l'habitude de parler d'une manière autoritaire, étant plutôt de nature douce et conciliante, et elle se demandait vraiment dans quoi elle s'embarquait. Qu'est-ce qu'elle allait bien pouvoir faire de ce bonhomme ? Si il cédait, il faudrait ensuite qu'elle arrive à déterminer d'où il venait vraiment, mais elle ignorait encore comment elle pourrait faire ça.

« Écoutez je veux bien vous aider, mais seulement si je suis sûre que vous ne ferez de mal à personne... autrement dit, soit vos me confiez votre arme pour l'instant, soit je m'en vais ! »

Alors qu'elle répond, celle qui lui a dit se nommer Anastasia prend une pose de profil absolument délicieuse, offrant à la fois la silhouette de sa poitrine et l'arrondi de ses fesses à Archangel, qui n'en demandait pas tant. Est-ce une invitation à peine déguisée ? Ou, plus basiquement, se prépare-t-elle à faire demi-tour pour le planter là ? Mais, après avoir gesticulé, après avoir tempêté, elle semble vraiment prête même à ça. Il ne peut se séparer de la seule qui le guide à travers cet ams d'individus étranges, et peut-être dangereux, surtout vu comment certains l'ont déjà regardé.
Alors, à contre-coeur, comme s'il se mettait à nu :

« Bon, la voici. Mais je vous fais confiance, vous n'allez pas vous en servir contre moi, ni aller me dénoncer  la maréchaussée. Il faut me le promettre, car je me sens tout nu comme ça... »

Mais, plus que d'être nu, il est surtout sans défense, et son sort ne repose que sur cette femme aux cheveux rouges, et à la silhouette avenante. Si c'est un piège, il vient de tomber dedans, s'en remettant à elle pieds et poings liés. Une fois de plus, il vient de céder au charme d'une femme qu'il ne connaît qu'à peine et, si elle peut sembler gentille mais surtout désirable, il ne sait vraiment ce qu'elle a réellement en tête...

10
Les terres sauvages / Re : A la claire fontaine [Archangel]
« le: samedi 20 juillet 2013, 06:32:00 »
Entre combats et voyages, la marche de l'Archange, au gré des siècles, n'a guère connu de répit. Il a désormais à son actif plus de morts que son illustre aïeul, mais il est parfois bon de se reposer. Reposer le corps meurtri malgré les victoires, reposer l'âme qui a connu bien des vicissitudes entre le bien et le mal. Et, accessoirement, reprendre quelque visage humain par un bain rafraîchissant, voire redonner aux habits quotidien quelque lustre tout en ôtant les relents de sang et de sueur. L'Archange de son surnom, Gabriel de son prénom, est un solitaire, si ce ne sont les femmes que, comme par mimétisme avec son sinistre aïeul, il met dans son lit le temps d'une nuit, les laissant soit sauves soit trucidées après qu'il en ait tiré son bon plaisir.
Mais ces crimes ont leur contrecoup ! C'est d'avoir toutes les maréchaussées aux trousses, et de vivre plus encore sa solitude. C'est ainsi que Gabriel a appris à apprivoiser la nature, à s'en faire une alliée, à s'y bâtir un abri sécurisé. Avec les années, il maîtrise les lieux et les chemins. Il ne saurait dire combien d'hères il a ainsi croisés au fil de ses pas, mais il y a toute une faune humaine qui vit hors du temps et de la civilisation, ce qui facilite d'autant plus sa vie secrète, tant les uns et les autres se gardent bien de se trahir.
Cette fois, il a laissé derrière lui trois cadavres, deux hommes qui s'étaient mis en travers de son chemin, et précisément la femme qu'ils convoitaient. Les deux malandrins avaient fini l'un la carotide sectionnée d'un coup du tranchant de sa dague, l'autre le cœur perforé de la pointe de sa dague. Cette alliée fidèle qui avait, avec lui, traversé les siècles, gardant à chaque fois quelque trace sanguinolente. Quant à la femme, effrayée d'avoir vu ses amis trucidés, elle avait très vite compris où était sa survie, et Archangel en avait abusé, avant de la réduire au silence elle aussi. Mais il conserve encore quelques traces de sang sur ses habits, et il vaut mieux les faire disparaître, ne serait-ce que par élégance.
Le calme de la forêt est un apaisement, par rapport aux cris qu'elle poussait, quand il la violait. L'eau qui coule est si paisible, par rapport aux braillements que faisaient les deux hommes. Il va pouvoir se déshabiller entièrement, faire même une sieste nu près de la rivière. Il a trouvé un endroit ; comme s'il n'attendait que lui. Juste une trouée du soleil au creux des arbres pour lui apporter quelque lumière, juste une anse de la rivière pour lui apporter quelque fraîcheur, juste un agrandissement de la berge où il pourra déposer ses affaires tout en gardant sa dague à proximité.
Sac jeté à terre, il ôte avec rapidité sa chemise blanche, offrant son torse nu au souffle très léger qui court en ce havre de paix. La balafre qui traverse de part en part ne partira donc jamais, et rougit toujours au moindre changement de température ! Souvenir d'un duel passé, elle impressionne toujours autant les femmes ; certaines en ont peur, d'autres sont fascinées. Et, de ça, il sait jouer ! Sa chemise de lin promptement lavée dans l'eau si pure, il remonte sur la berge pour l'accrocher, et manque trébucher sur ce qu'il identifie très vite comme étant deux bottes. Nul ne se sépare de cet habit essentiel, le propriétaire n'est pas loin... Et le reflet d'un rai de soleil achève de le convaincre. Instinctivement, Archangel porte la main à sa dague. Une armure ! Il y a quelqu'un dans les parages, quelqu'un de trop discret pour être rassurant ; il sort sa lame de l'étui, se tapit pour observer. Sous sa main, il devine alors des habits, des tissus d'une douceur anormale, pas grossiers comme son propre slip en toile de jute. Un homme a posé son armure et ses bottes, une femme a posé ses habits ; inutile de se demander ce qu'ils font...
Et, alors qu'il est plongé dans ses réflexions, c'est comme si une apparition passait presque au dessus d lui. Oui, une apparition, comme venue de nulle part, aérienne et diaphane. Une sirène aux longs cheveux blonds comme sortie de l'eau en s'envolant, à moins que ce ne soit une fée comme celles des légendes arthuriennes. Une vision presque irréelle, qui retourne à l'onde avec la même grâce. Voilà qui le change des paysannes qu'il trousse et égorge ; celle-là prend soin d'elle, a une silhouette de rêve, mérite qu'on en prenne soin même si elle doit finir égorgée comme les autres. Etrange toutefois qu'aucune arme ne soit visible, ni que ne se soit montré le propriétaire de l'armure.

11
Le parc et son sous-bois / Re : La bonne auberge (Arashi)
« le: vendredi 19 juillet 2013, 05:56:45 »
C'est franchement mal engagé ! Ca ne ressemble pas du tout à un rêve même si les seins de cette femme lui offrent un délicieux spectacle, ses griffes qui viennent d'apparaître sont autant de nouveaux dangers.

« (…) je vais m'amuser comme je le souhaite (...) »

C'aurait pu être très agréable, même s'il ne se souvient pas avoir été ainsi soumis au bon vouloir sexuel d'une femme. Mais celle-ci est plus qu'une femme, comme si un démon avait pris une apparence féminine pour le séduire et en faire son jouet. Et elle y parvient, en le rassurant même, car il se sent rebander comme il ne l'espérait plus. Elle le regarde tout en ondulant des fesses ; il rêvait de lui prendre aussi son pucelage anal, ça devient intéressant.

« (…) si tu me déçoit cela va aller mal! (...)» 

Ce n'est pas le moment de bander mou ! Regarde ses seins comme ils sont beaux... Sens la raie de son cul qui ne demande qu'à s'ouvrir... Pense à sa chatte où tu seras le premier à entrer... N'oublie pas qu'elle t'a dit qu'elle allait se défoncer sur toi...
Archangel sent son sexe grossir encore, comme si l'excitation du moment lui donne une forme et une force nouvelle. La défoncer, elle a trouvé l'expression ; et, s'il avait mains et poignets libres, il la retournerait sur le lit et la prendrait en levrette sans aucun ménagement ni préliminaire, qu'elle en hurle ou pas. Mais là c'est lui qui pousse un cri, sentant son menton déchiré comme une simple feuille de papier. Un cri d'effroi, vite étouffé par une main ; elle lèche son sang, horreur, une folle ou une vampire ?

« Pas de cri, je te rappelle !» 

Il le sait ! Mais ça fait mal, la douleur est fulgurante... mais n'a pas perturbé son érection qui devient  de plus en plus raide.

« (…) tu veux que je te fasse quoi en premier? Je te conseil de choisir (...) »

L'esprit d'Archangel gamberge vite. Elle lui demande ce qu'il aime, autant en profiter, même si elle n'en fera qu'à sa tête. Si elle frotte ses fesses contre son sexe, ce n'est pas que pour le faire durcir ou parce qu'elle rêve de se faire dépuceler par là ? Lui reviennent en mémoire celles qu'il sodomisa sans délicatesse, et même de l'une qui lui jura que, si elle le retrouvait, elle lui ferait subir le même sort. Et ses lèvres, oui, juste pour commencer, une douce fellation avec ses lèvres bien arrondies et la pointe de sa langue toute chaude. Mais ses crocs ? Et les griffes qui viennent d'apparaître. S'il lui prend une folie, elle lui transperce le sexe voire lui tranche, quelle horreur ! Reste son pucelage, ce doux antre inexploré, cet hymen qu'il sera le premier à prendre, voir l'expression de son visage tandis qu'elle sent le mâle pour la première fois. Mais, laisser jaillir sa semence en elle, courir le moindre risque d'être complice de ce qu'elle enfanterait, non il ne doit pas faire ça pour la survie de l'humanité ! Il a toutes les envies, toutes les peurs aussi, et une fraction de seconde pour décider comment... elle veut le baiser, car c'est ça la réalité !
Autant donc revenir à son instinct initial... Prenant une voix la plus mesurée possible, pour ne pas déclencher quelque nouvelle griffure ou morsure :

« J'ai envie, enfin si vous le voulez bien, que vous m'offriez votre virginité ; quand vous me l'avez dit, ça m'a rendu comme fou, et c'est pour ça que j'ai fait ça. »

Comme si la violer et la dépuceler étaient associés ! En espérant qu'elle ne juge pas cette excuse de travers, en espérant que sa virginité n'ait pas été qu'un leurre, en espérant qu'il bande toute la nuit pour ne pas la mettre en colère...
Joignant le geste à la parole, il bouge un peu le bassin. Elle est si légère, mais elle a une force incroyable à ainsi l'enserrer sans qu'il ne puisse vraiment bouger à sa guise ; elle le maîtrise, elle a toutes les cartes en mains ! Dans les mouvements qu'il a esquissés, il perçoit néanmoins que son sexe est bien raide, et que la posture allongée de son corps le fait dresser. Ca devrait la satisfaire, elle qui veut se défoncer sur lui !

12
Les alentours de la ville / Re : Comme on se retrouve... [Archangel]
« le: jeudi 18 juillet 2013, 23:17:08 »
« -Oh bah merde alors ! Laissa t-elle échapper en se penchant sur le sujet. »

Eh eh, l'Archange a réussi son coup ! Vu la tête de Kassie, ça promet déjà une chaude nuit. Mais l'échange sexe contre fric ne se passera peut-être pas comme elle le souhaite. La vengeance est un plat qui se mange froid. L'idée n'était pas préméditée, mais elle se dessine tout naturellement.

« - Quoi... tout ça ?! C'est sérieux ? Mince alors d'où est-ce que vous tenez tout ce fric ? Vous êtes un mafieux, un milliardaire, vous avez gagné au loto ? »

Encore plus fort ! Voyons, la version « gagnant au loto » ça fait kitsch, la version « milliardaire » ça fait quiche, la version « mafieux » ça fait un peu à enjoliver. Reste à l'améliorer un peu, à la mettre version « col blanc ».

« On ne dit plus mafieux, c'est l'ancienne école, ça ! Maintenant, on n'utilise plus ces méthodes là. Et les sommes sont d'ailleurs beaucoup plus conséquentes, encore que cette mallette ne soit qu'une mince contribution. »

Ca y est, il est lancé ; l'histoire est en route malgré lui, mais le poisson pourrait mordre à l'hameçon. Quoi de plus excitant pour une michetonneuse que de se croire l'égérie d'un gros bonnet de la pègre, d'être à sa merci pour espérer en retirer quelque profit. Vu comme elle a le feu au cul, nul doute qu'elle n'hésitera pas à payer de sa personne. Reste à lui donner le change pour qu'elle se croie vraiment dans l'action.

« Mais bon, je vous fais confiance ; alors n'allez pas le répéter. Allez, je vais même faire un effort, et oublier votre comportement d'autrefois. Mais n'oubliez pas que vous m'en serez redevable. »

Drôle de discussion, comme d'affaires, entre un mafieux qui n'en a qu'à peine l'allure, et une aventurière prête à tout pour gagner du fric, le tout avec les fesses de l'une ondulant sur le sexe de l'autre. Fric et sexe, ou fric contre sexe, mais surtout jeu de dupes entre les deux ; aucune franchise entre deux êtres prêts à tout, avec tous les moyens à disposition...

13
Les alentours de la ville / Re : Comme on se retrouve... [Archangel]
« le: jeudi 18 juillet 2013, 12:23:54 »
« Juste un nuage de lait, s’il vous plaît »

Hum, il goûterait bien un autre lait, lui ; le sien devait avoir de sacrés pouvoirs aphrodisiaques, pour qu'il passe une nuit entière au septième ciel ! N’empêche que, au petit matin, il s’était écroulé, et qu’elle en avait bien profité…

« Moi aussi, j’ai un faible pour tout ce qui est chaud, tout ce qui fait monter ma température corporelle, ou autre d’ailleurs. »

Inutile de tourner autour du pot ! S'il a l’opportunité, il se la fait. Mais de là à penser qu’elle va encore partir avec tout le fric qu'il trimballe, il ne faut pas qu’elle rêve. Passe encore qu'il lui laisse une partie des yen de sa prime de placement, mais inutile qu’elle lorgne vers le paquet de dollars. D’ailleurs, elle ne saurait même pas quoi en faire ici… Et qu’elle n’oublie pas qu'il ne donne pas d’acompte sans avoir estimé la marchandise ; le trading parallèle a ses règles, même si, justement, il est parallèle. Et l’autre, là-bas, au bar, il se barre quand ? Pas envie d’un plan à trois, même si Kassie est très gourmande…

« (…) je vous apporterai des fraises succulentes napées d'une montagne de chantilly... vous aimez les fraises ? »

Ah ouais, vu les yeux qu’il vient de rouler, il doit penser à ses tétons comme à des fraises, et la voir gober la chantilly sur son sexe ! Tous comptes faits, elle soit se le taper aussi. Mais ce soir, mec, ceinture, l'Archange a bien l’intention de se la faire, et même de prendre une petite vengeance.
Et ça se présente bien, Dom Juan s’est tiré, et ira se branler en pensant à sa gâterie du lendemain. Kassie fait le tour de la salle et vérifie que tout est fermé. (Rassure-toi, ma belle, je ne vais pas me sauver ; mais sois prudente, car tu m’as eu une fois, et rien ne te garantit que tu me baisera de nouveau, enfin pas dans ce sens-là !).
C’est un incendie ambulant, cette femme, un de ces déhanchés quand elle tortille du cul pour aller fermer portes et fenêtres, un de ces roulements de poitrine quand elle revient vers lui. Et là, s’asseyant sur l’un de ses genoux, elle ne peut même pas ignorer que, rien que ses postures, ça le fait déjà bander…

« - A nous deux maintenant. Je n'ai pas été très gentille la dernière fois que nous nous sommes vu, n'est-ce pas ? Je m'excuse sincèrement. Cette fois-ci je vais faire ça dans le respect et dans les règles. Combien seriez vous prêt à donner cette nuit ? En sachant que... le plaisir sera proportionnel au montant offert... »

(Hum, ma cocotte, tu ne crois pas si bien dire ; il te faudra sortir plus que le grand jeu…)

« C’est vrai que je vous en ai voulu, l’autre fois, car vous avez pris toutes mes économies. J’ai eu envie de vous le faire payer très cher, autrement dit exiger une autre nuit mais sans un centime, pour ne pas vous dénoncer pour raccolage. Mais je n’ai pas voulu vous faire du mal, alors j’y ai renoncé… »

(De toutes façons, aller dire qu’une michetonneuse vous a fait les poches, ç’aurait été le sujet de rigolade de tout le commissariat ! »

« Et, comme vous m’avez laissé un merveilleux souvenir, pour ma première nuit avec une vraie femme, je suis revenu ici… sans un seul instant espérer vous voir. Maintenant que le hasard me l’a permis, je ne vais pas dire non… et j’ai de quoi négocier. »

Il ouvre alors la mallette emplie des liasses à placer pour Monsieur Sakuro, guettant sa réaction :

« J’espère que les dollars ne vous posent aucun souci… »

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Le quartier de la Toussaint / Re : Une succube... Qu'est-ce ? (Maelie)
« le: jeudi 18 juillet 2013, 07:16:03 »
« Donnez moi cette dague pour l'instant, vous allez blesser quelqu'un dans ce monde où vous êtes perdu. »

Et puis quoi encore ? C'est vrai que je suis perdu... mais si je n'ai plus cette dague. Et là, au milieu de ces gens, c'est trop dangereux de se retrouver ainsi faillible ; je dois d'abord me mettre en sécurité.

« Euh, ici ? Je ne pense pas que ce soit raisonnable. Mais, si vous pensez qu'il y a un endroit calme et sécurisant où je pourrai la poser, pourquoi pas. Je pourrai même vous la confier, mais il faudra faire attention ; elle me vient d'un lointain aïeul, et elle a beaucoup de valeur. »

Beaucoup de sang aussi, mais je ne saurais lui dire ! Déjà qu'elle semble affolée... Elle est si particulière, avec des cheveux rouges comme je n'en avais jamais vus, et sa peau si blanche qui rosit si vite. Oh là, reprends-toi ! Tu es en train de délirer sur une femme que tu ne connais pas, qui pourrait prendre ta dague juste pour te trucider, qui achète plein de trucs pour remplacer les habits qu'elle oublie partout. Quoique, vu comment ses fesses roulaient tout à l'heure, quand elle marchait devant moi dans le centre commercial, ça me dirait bien de... Non ! Je sens une bosse qui se forme sous mon pantalon ; la toile en est trop grossière, il ne faut pas qu'elle s'en rende compte. C'est la seule qui a bien voulu m'aider, il ne s'agit pas de la faire fuir... Et pourtant, ses seins aussi ; ils doivent être superbes, vu comme ils semblent vouloir s'échapper du tissu. Arrête ça ! Elle va voir que tu as des idées lubriques, et tu vas devoir te débrouiller tout seul au milieu de ces fous !... Ah, ne pas oublier ses lèvres, arrondies juste comme il doit être plaisant. Hum, mettre les mains dans ses cheveux rouges, et guider sa tête vers mon sexe, le bonheur. Bon, ne rêve pas ! Essaie déjà de la rassurer et de ne pas la faire fuir...

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Le parc et son sous-bois / Re : La bonne auberge (Arashi)
« le: jeudi 18 juillet 2013, 06:30:59 »
Le bruit déchire l'air et ma tête part vers la droite sous l'effet d'une gifle à laquelle, même si peu lucide, je ne m'attendais pas. Comment une femme si fluette et si fragile a-t-elle une telle force ? Un démon, ou je ne sais quoi ; voilà qui explique...

« -T'ai-je ordonné de tombé dans l'inconscience mon choux? Non! »


La deuxième gifle, en sens inverse, a remis ma tête en place, physiquement comme mentalement. Ne ps sombrer, surtout pas, car ce serait me condamner moi-même à mort ! Comment peut-on être si belle, et si désirable même car j'ai encore un peu de virilité pour réagir à ses tétons (et ils me paraissent même durs, comme si la situation l'excitait vraiment), et si diabolique a passer sa langue sur ma nuque où j'ai si mal ? J'ai peur, mais je ne dois pas lui montrer. J'ai mal, mais j'ai peine à lui cacher. Mon cou me brûle, et j'ai l'impression que de grosses aiguilles l'ont traversé de part en part. Mon sexe me fait mal, et je songe avec effroi qu'il pourrait ne plus jamais bander.

« -Oh la vilaine que je suis, je t'ai causé tant de douleur à ton petit membre, je suis tellement désoler, mais il fallait bien que je fasse quelque chose pour que je soit capable de boire un peu de ton sang, mon pauvre choux. »

Sa main dessus, justement. Je me débats, tirant en vain sur mes liens. Elle ne va pas y planter ses crocs aussi ! Ce n'est pas possible, je ne supporterai pas, plutôt mourir... Sa langue ! Non, ce n'est pas vrai, elle ne va pas me faire une fellation, elle se prépare à le sacrifier à ses délires ! Elle te tient dans sa main... Non, pas ça ; mais elle a tant serré les liens que mon bassin, comme tétanisé, ne peut même pas bouger ! Je sens deux pointes frôler le gland … Pas ça, pas là, c'est si sensible ! Ses lèvres, celles qu'elle refusait d'ouvrir tout à l'heure, je les sens descendre. Mon sexe, je le sens réagir, je devine les veines qui gonflent, elle ne l'a pas détruit... Non, ce n'est pas vrai, ne rêve pas ! Elle ne t'a pas fait des trous dans le cou pour te sucer ensuite...

« -Si je te libère la bouche, tu éviteras de crier ou de faire tout insulte qu'il soit envers moi, sinon... je te tuerait pas, mais je peut te promettre que ton membre ne banderas plus jamais, devant des vierges comme moi, et même devant n'importe quoi! Si tu me promets que tu ne feras rien, cligne deux fois des yeux, sinon tu resteras avec cela dans bouche! »

C'est quoi cette nouvelle folie ? Au moins, je sais que j'ai de fortes de chances de rester en vie. Enfin, je ne sais même plus si ça vaut mieux ou pas. Avec les crocs qu'elle m'a plantés dans la nuque, qu'ai je attrapé ? Un virus ? Un truc à vouloir faire moi aussi la même chose ? Et puis, à quoi bon vivre si je ne peux plus bander ?
Alors, je cligne des yeux deux fois, comme elle le veut, en regardant ses yeux rouges, une couleur que j'avais donc bien vue auparavant. Mais je ne sais ce qui se cache vraiment dans ce regard, entre la lubricité et la perversité. Une horrible vision me traverse l'esprit, songer qu'elle pourrait me faire une délicieuse fellation et me planter un croc dans le gland juste au moment où je libère enfin le jet de plaisir. Quelle horreur ! Mais elle m'a dit qu'elle préservera mon sexe si je suis sage. Donc, pas d'acte inconsidéré, surtout vu comme elle me tient à sa merci. Si l'occasion se présente, je la saisirai...

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