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Messages - Fiona Belli

Pages: [1]
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Les alentours de la ville / Re : Bienvenue à Haunting Ground ! :Slade:
« le: samedi 21 décembre 2013, 20:31:13 »
C'était de la pure folie tout cela ! Encore plus que les gens qui la suivaient partout, telle cette folle qui était bel et bien jalouse d'elle puisque Demento l'avait créée en tant que femme " parfaite " malgré le fait qu'elle ne pouvait ni ressentir aucune douleur, goûter ou sentir du plaisir. Et cette autre sorte de monstre incapable de parler, à part son nom qui la prenait pour une poupée avec qui jouer. Je voulais tellement sortir de ce manoir ! Au plus vite ! Mais c'était si grand ! La sortie était introuvable ! Comme chercher un grain de sucre dans un bol de sel. En plus de ses maniaques et du surnommé Demento, un autre avait rejoint la partie ! Un dénommé Slade, très sadique ! Je venais de le rencontrer, mais je le détestais déjà ! Mais le ciel m'avait amené une bouée de sauvetage, mon toujours très loyaux chiens, Hewie, qui n'avait pas hésité deux fois avant d'entourer la cheville de l'homme par sa mâchoire. Donc, sans hésitation à mon tour, je me mets à courir, la belle bête blanche me suivant de ses quatre pattes.

Je cours maintenant depuis une vingtaine de minutes, je suis essoufflé, mais je garde tête haute puis enfin, je trébuche au sol, me foulant la cheville. Je crie puis je m'écrase au sol, telle une poupée de chiffon. Je respire, je gémis de douleur regardant ma cheville, au moins, elle n'était pas cassée ! C'était la moindre des choses. Mais j'entends des pas venant des escaliers d'où je venais de monter, mon chien se met à japper, je le prends vers moi, caressant son pelage. Je le félicitais de m'avoir aidé, sentant ma gorge se resserrer lorsqu'il arrive enfin au bout des escaliers, me toisant de haut. Je retiens à peine un sanglot, ne reculant plus, tenant toujours mon soutien dans les bras, cela me réconfortait, du moins, quelque peu ! Et enfin, il arrive devant moi. Je lui supplie déjà.


«S'il ... S'il-vous-plaît, ne nous faites pas de mal. Pitié ... »

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Les alentours de la ville / Re : Bienvenue à Haunting Ground ! :Slade:
« le: dimanche 28 juillet 2013, 19:24:33 »
Après que Demento est lâché ma chevelure dorée, je m'enfuie dans un coin de la pièce, recroquevillé contre moi-même. Je me force, je dois me réveiller de ses cauchemars. Je clos les yeux et me bouche les oreilles. Vite, vite, vite ... Je ne peux plus endurer tout cela. Mes parents ... Venez me chercher vite ! Poursuivons ses fous en cours ! Qu'il se fasse inculpé ! Par pitié ! Mais rien de tout cela arrive. Je suis encore dans cette pièce et encore plus pire, Slade s'est approché de moi pour me ramener au milieu de la pièce, m'agrippant par le bras. Moi, je commence déjà à supplier de me laisser partir. Il me jette au sol et me force à le regarder montant mon menton grâce à sa cravache. Il me regarde, je le regarde aussi puis je finis par crier de mal et de rage lorsque je reçois un coup dans l'estomac. J'hyperventilais, je n'avais plus de souffle ! Quelle bande de fou ... Demento riait, me regardant chercher mon souffle au sol, couché en cuillère, rejoignant mes genoux à ma poitrine. Je geins déjà, pleurant à chaudes larmes ... Quel cauchemars !


« Si vous voulez bien m'excuser, seigneur Demento... auriez-vous un serviteur capable de me montrer l'emplacement des geôles... à moins qu'elle n'en soit capable... »
« Oh mais quelle bonne idée ! Fiona, tu mènerais le monsieur vers la gêole la plus proche ? Après tout, tu dois connaître assez bien notre manoir ! Si ? »

Notre manoir ? Ahah ... Notre manoir ?! Jamais je ne serais à Demento ... Au plus grand jamais ! Il faut croire qu'il rêve en couleur, je regarde Slade ... Non mais sal con ... Il ne peut pas m'aider, il est aussi fou que l'autre ! Il me regarde toujours, j'évite le sien qui me donne tellement froid dans le dos qu'on aurait pu croire que la pièce n'était qu'un grand congélateur ! Il ouvre la bouche à nouveau, m'adressant un sourire " chaleureux ". Je renifle, essuyant mes larmes qui continuait malgré moi de coulé.

« Alors ? »
« Non ! Jamais je ne ... Je vous en supplie ... Laissez-moi partir ! Je veux revoir ma maman ... et mon papa... »

Demento pouffe de rire. Je le regarde. Mais il est con ou quoi ? Il m'adresse la parole, essuyant ses larmes causé par hilarité.

« Ah, mais tiens, je les avais presque oublié ceux-là ! Tiens, je te les donne ! »

Sur ce, il lançait deux têtes à mes pieds. Je me lève, outrée. Merde ! Je hurle au meurtre, c'est vraiment horrible ! Mes parents ... Ils ont été décapité ! Ça y est, en plus, je vomis au sol. Quel horrible personnage ils sont ... Il a tué mes parents, et Slade sourit toujours regardant le spectacle. Je me mets à hurler de plus belle, mais je hurle de tristesse. Je tombe au sol, la tête entre mes bras, serrant la tête de mon père entre mes mains. C'est vraiment impossible ... C'est hideux, monstrueux. Pourquoi ont-ils fait ça ? Je suis détruite, faible, fatigué ... Je veux rentrer chez moi. Mais ce n'est pas finit, je n'arrêterais pas de lutter dans ce cas-là !

« Ahah ... Mais quel beau spectacle ma Fiona n'est-ce pas ? Maintenant ... Conduit-le ! Au plus vite ! »

Je hoche la tête pour une fois, peut-être allait-il m'arriver un miracle ! Non ? En tout cas, je l'espèrais. Je me dirige en rampant vers la porte et rendu là, je me lève sur pattes et ouvre la porte qui est maintenant plus verrouillé. Je sors de la pièce, priant en murmurant pour qu'il ne m'arrive rien de pire ou de mal. Je fais la prière de la sainte vierge Marie et ainsi de suite jusqu'à temps que l'on arrive devant une porte, la porte de la gêole la plus proche. Et j'entends un cri de douleur, me retournant, j'aperçois Hewie qui mord la jambe de Slade jusqu'aux sangs comme un gros os. Bien joué !
 
« Bon chien Hewie ! Vite ! Partons ! »

Je me mets à courir à pleine jambe avec mon chien à mes côtés. Peut-être me sortirais-je de ses cauchemars monstrueux et impossible.




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Les alentours de la ville / Re : Bienvenue à Haunting Ground ! :Slade:
« le: lundi 29 avril 2013, 00:41:13 »
Il souriait, pas moi, je n'étais pas fière de mon coup. Je regardais sa main, ma morsure disparaissait déjà. Quoi ? Mais il n'était pas humain lui non plus ! Mais il y avait-il quelqu'un de bien sensé et de normal dans ce manoir à la con sauf moi et mon brave chien, Hewie ?! Je croyais bien que non. Un attardé mental fan des poupées capables de couper un corps en deux en le serrant et s'occupant du jardin d'Haunting Ground. Une cuisinière qui n'aime pas les miroirs et qui m'adore essayant tout de même de couper mon corps en morceaux et enfin un seigneur qui me prend pour son esclave quoique nous nous sommes vu que deux fois et maintenant, cet homme qui me regardait comme si j'étais une antiquité, à un grand prix !

Lorsque Demento allait frapper un autre coup, Slade l'arrêtait. J'allais le remercier, le remercier de tout mon cœur, me jeter dans ses bras et lui donner la bise pour le remercier ! Mais je pensais trop vite, mes yeux allaient presque sortir de leurs orbites lorsqu'il ouvrait la bouche pour dire ceci.

« Votre Seigneurie, je puis me proposer pour cette tâche ingrate, elle a tenté e me blesser, il est normal que je m'en occupe... non ? »
« Souate jeune homme, à votre guise ... Mais appelez-moi Demento je vous prie. Nous sommes entre amis non ? »
« Non mais ... vous êtes fou ! Aaaah ! »

Pourquoi ce crie ? Demento venait de me redresser par ma petite queue-de-cheval. Je grimaçais de nouveau de douleur, surtout lorsque Slade leva le bras pour venir cingler ma joue de cette cravache. Je gémis de douleur. Il recommença au même endroit ... Putain que ça faisait mal, je voulais partir, j'essayais de me défaire mais Demento me rapprochait encore par la queue-de-cheval.

« Tu n'oserais pas partir maintenant, ma belle Fiona . Il serait dommage de laisser ton maître seul ... »
 « Vous êtes fou ! Nous nous sommes jamais rencontré plus de deux fois ! »
« Si votre seigneurie disposait à me laisser utiliser une geôle et l'instrument adéquats, je puis promettre que non contente de vous rejoindre au moindre sifflement après mon passage, elle viendra même se coucher à vos pieds. Considérez ça comme un cadeau de la part de ma maitresse. Ai-je votre accord ? »
 « Vraiment ? Elle se coucherait à mes pieds ! Humm, ce pourrait être intéressant ... N'est-ce pas ma chère Fiona ? »
« Non ! Vous êtes aussi fou les uns les autres ! » Sur ce, la cravache de Slade frappait encore, me faisant crier une autre fois.
« Fou ? Allez mon cher Slade, je te la prête ... Prends en bien soin ! »

 Il lâchait son emprise sur ses cheveux, allant s'asseoir dans le sofa, verre de scotch à la main. Moi, je regardais Slade, apeuré.



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Les alentours de la ville / Re : Bienvenue à Haunting Ground ! :Slade:
« le: dimanche 28 avril 2013, 21:09:07 »
Mon chien, Hewie, mon fidèle compagnon se mit à aboyer lorsque le dénommer Slade s'approchait de moi, Demento regardait cette bête comme si c'était la peste. Moi, j'avais peur pour mon beau chien au pelage de neige. J'avais deux fois plus peur lorsque Demento sortit son fusil de chasse, un fusil à pompe. J'allais me jeter sur Demento, mais l'homme aux cheveux blancs m'en empêchait. Je me mis à hurler après Demento qui se retournait vers moi, un sourire carnassier aux lèvres.

« N-non ! Il ne faut pas tirer ! Il ne vous a rien fait ! Hewie ! »

Hewie dressait les oreilles, comme s'il me comprenait ce que je voulais dire, voyant mon regard en détresse. Il aboyait une dernière fois, avant de sortir de la pièce. Je ne savais pas comment il avait fait pour sortir, mais il reviendrait surement me chercher, cherchant une issus à cette pièce. Moi, je pensais, il y avait une fenêtre. Mais nous étions au quatrième étage après tout !

Je fus déconcentré lorsque le dénommé Slade prit ma mâchoire pour ramener mon regard vers le mien. Il regardait ma dentition, minutieusement comme si j'étais un chien. Non mais, il n'avait pas le droit de faire ça ! De son autre main, il tâtait mes biceps, qui n'était pas si musclé que ça, mais pas si molle que cela. Mes cuisses bien entrainées tout de même et mes fesses. Lorsque je sentis sa main sur cette partie privée de mon corps, je mordis à pleine dent dans sa main. C'était du fer ou quoi . Ça me fit si mal aux dents par la suite, que je grimaçais de douleur. Demento arrivait derrière moi, tenant quelque chose en main ... Mais c'était ... Une cravache ?! Il produisait des coups de langue, secouant la tête de gauche à droite.

« Fiona, Fiona ... Ma belle plante ... Est-ce une façon de traiter les invités ? »

Il caressait mes cheveux blonds en même temps. Je tremblais lorsqu'il levait cette cravache vers moi, il me fouettait en plein dos, m'arrachant un cri. Il déchirait un peu mon chandail ou le sang commençait à couler. Il ne se faisait pas prié pour recommencer. Impuissante, je me lançais vers la fenêtre, cherchant à l'ouvrir puisqu'il y avait le toit qui venait avec, je pourrais me faufiler ! Mais il était trop tard, Demento revenu, me pris sauvagement par les cheveux et me jetait plus loin sur le sol, m'arrachant un autre cri de stupeur. Je me relevais, mais Demento appuyait sur mon dos de son pied, me recouchant sur le sol. Ma poitrine s'écrasait contre le plancher, me faisant de nouveau grimacer, je regardais Slade avec un regard suppliant. Mais ça m'étonnerait bien qu'il vienne m'aider après que je l'aie mordu ... Mais pourquoi mes actes avaient tous de mauvais impact sur moi ?!

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Les alentours de la ville / Bienvenue à Haunting Ground ! :Slade:
« le: dimanche 28 avril 2013, 19:08:13 »
Je cours encore, je suis essoufflé, je halète, je suis pantelante ... Tout ce que vous voudrez, je suis tout simplement épuisée de courir à longueur de journée. Je pourrais bientôt avoir des abdominaux de fers si je le pouvais ! Mais non, je suis trop paniqué pour penser à tout cela.Cette follene me lâcherait jamais. Elle a toujours son grand morceau de miroir en main, prête à me le rentrer dans la tête ou bien dans le ventre. Je suis sûre qu'un jour, elle m'aurait. Je cherche une sortie, une cachette, un moyen de ne pas me faire trancher la tête par ce morceau de miroir bien tranchant. La violette, elle, rit me disant de ne pas partir, comme si elle était déçue que je m'enfuie d'elle ! Enfin, j'arrive dans cette pièce où un homme est calé dans un sofa, un homme est devant le feu aussi. La folle arrive dans la chambre, salut son maître et s'en va comme si rien n'était, elle ferme et clos la porte derrière elle, verrouillant celle-ci.

Moi ? Ce que je fais . Je vais voir si je peux bien sûr déverrouiller cette porte jusqu'à temps que je sois interpellé :

« Aaaah, Fiona ! Je croyais qu'elle ne te mènerait jamais ici ... Tu es coriace tu le sais ? »
« De... Demento ! »

Je commençais à avoir la frousse, ce Demento était fou à lier. La dernière fois que je l'avais vu, c'était quand il voulait me démontrer sa collection ... Sa collection de femme empaillée oui. Il disait sans cesse que je serais à lui, mais moi, je ne voulais surtout pas finir comme une des femmes enceintes empaillées dans sa chambre ou dans sa commode. Il esquissait un sourire à présent, s'approchant vers moi. J'étais sur le mur en ce moment, puisque je regardais si la porte était verrouillée il y avait quelques instants. Il était à deux pouces de moi, moi, je tremblais comme une feuille. Il prit mon poignet si fortement que je l'entendus craquer, comme s'il me l'avait brisé ou simplement foulé.

« Tu me ferais plaisir si tu viendrais, j'ai des gens à te présenter ... »
« N.... Non ! Mais lâche-moi ! »
« J'ai dit : Ça me ferait plaisir ! Amènes-toi ma belle ... »

Il caressait les cheveux comme s'il voulait me calmer, me répliquant des " chuts " à répétition. Mais enfin, c'était fou comme il me foutait la chair de poule ! Il me gardait contre lui, caressant mes hanches, moi, je geignais de sa poigne. Enfin, nous arrivions au sofa ou un homme aux cheveux blancs était assis.

« Slade, voici Fiona ... Une pièce de collection que je voudrais ajouter à ma collection ... Allez, Fiona, dis bonjour au monsieur ! » Dit-il comme si j'étais sa fille, comme si je devais être poli. Je ne disais rien, je déglutis, le coeur battant à tout rompre.

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Prélude / Re : Tonight, we dine ... In haunting ground ! - { Validée }
« le: dimanche 28 avril 2013, 15:08:23 »
Merci à tous :3 Et Friedpourtavalidation :D

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Prélude / Re : Tonight, we dine ... In haunting ground !
« le: samedi 27 avril 2013, 19:50:01 »
Merci à tout le monde =3 ... Demento ... *frissonne*

8
Prélude / Re : Tonight, we dine ... In haunting ground !
« le: samedi 27 avril 2013, 18:12:16 »
Merci à vous deux ^^.

En fait, il s'agit du jeu Haunting ground sur PS2 par capcom x) ...

9
Prélude / Tonight, we dine ... In haunting ground ! - { Validée }
« le: samedi 27 avril 2013, 18:04:12 »
COURAGE À CEUX QUI LIRONS MA FICHE



Je respire, chose de faite, chose qui me rassure puisque c'est la chose qu'il te faut pour vivre, un rythme cardiaque ! Je me réveille soudainement, sursautant à un bruit. Je regarde autour de moi et je m’aperçois qu'un magnifique chien me dévisage, la langue sortie et la queue qui s'agite de droite à gauche. Je m'approche de lui pour le caresser mais je m'aperçois maintenant que mes bras ne vont pas assez loin. Je suis dans une cage, une cage miteuse, petite, renfermé. Je haïs cela puisque je suis claustrophobe. J'essaie de me calmer alors, le chien s'approche pour que je puisse caresser son pelage blanc et doux. De quoi me rassurer un peu. Il colle sa tête contre mon bras et me léchouille le bras. Soudainement, il redresse les oreilles, se tourne vers la porte et grogne. Lorsque la porte s’entrouvre, il saute sur la silhouette géante et disparaît. Je regarde dans ma main, le collier du chien est dans celle-ci. Je l'observe, je peux y apercevoir son nom gravé en italique "' Hewie " . Je devrais lui rapporter, je lève les yeux et me mets à crier d'épouvante. Ça est devant moi, me regarde, me dévisage, il sourit. Il sans vien pour m'approcher, pour me touche une cuisse, mais je me recule et retourne la tête à sa table.

Je regarde les alentours. Dieu que c'est mal entretenu et malpropre. Une odeur nauséabonde envahit la pièce. Je me dis que ça sent comme l'odeur décrite des rues de Paris d'antan. Je crois que je vais vomir sur le plancher de ma cage, je suis étourdie mais je me raidis lorsque j'entends un hachoir s’abat sur une chèvre qui crit … Je regarde la scène. Elle est encore fraîche cette chère! Il lance le membre qu'il a découpé dans le chaudron entreposé à côté de lui. La chèvre crie, j'ai presque l'impression qu'elle pleure et moi comme une sotte ne peux m'empêcher de détourner le regard. Je regarde le verrou, le cadenas en fait qui verrouille ma cage. Je joue avec un peu puis un " clic " se fait entendre. Ce cadenas … Il est fait simplement de bois ou quoi? Il l'avait mal attaché, je parle de cette bête qui vient de couper la tête de la chèvre qui à présent ne lance plus un cri, ne gigote plus de douleur. Il range son hachoir avec ses autres couteaux, il doit bien en avoir une dizaine, vingtaine je dirais même sur le comptoir.

Maintenant, il s'en va, après avoir entendu une cloche. Pourquoi? Je l'ignore complètement, il est si étrange. Maintenant, il referme la porte derrière lui. Je pousse le cadenas de là. Faut que je sorte! J'ouvre la grille et en ressort. Je me lance vers la porte d'entrée, je la force cette poignée de toutes mes forces mais en vain, elle est verrouillée de l'extérieur. Flûte de zut! Je cherche un conduit d’aération, puis m'aperçois qu'il y a une fenêtre! Chouette. J'arrive près d'elle, tente de l'ouvrir. Elle est petite, mais avec la taille svelte que j'ai, je peux très bien m'y glisser. Un cri retentit, je regarde derrière moi. Oh putain, oh putain! Le monstre court vers moi! Je saute à travers la fenêtre. Le haut de mon corps y passe certes, mais une main aussi grosse que ma tête m'agrippe à la cheville. Je crie, une sorte de petit "' Non! '" qui sort plutôt comme un " honnn! ''. Merci la panique, tu me donnes vraiment l'air d'une folle! Je pioche du pied sur mon assaillant et finalement, après mûre réflexion et plein de pleins, j'entends un craquement et un cri de terreur. Je lui ai cassé le poignet peut-être? Peu importe … Le plus important, c'est que j'ai réussi à sortir de ce trou à rat. L'air frais me parcourt les cheveux, je souris. Je suis à l'extérieur! Je suis libre! Le vent parcourt mon cou et je reçois un vase à fleur sur la tête. Résultat : je tombe dans les pommes. Puis plus rien.

FLASHBACK


Je regarde par la fenêtre, il fait beau puis il fait chaud. Je suis toute souriante à l'idée que je vais passer mon premier été en camping avec mes parents. Non, je n'ai jamais été à la pêche, oui bien sûr nous avions les moyens puisque mon père avait une grande entreprise mais bien sûr pas assez le temps, le travail monopolise toujours tout après tout. Si? Sinon, nous n'étions pas riches, mais ni pauvre, mais mon père avait trouvé le moyen d'accomplir mon rêve. Trois mois de camping, pêche et rigolade avec mes parents que je ne voyais absolument jamais. Maintenant, nous aurions le temps en masse de rigoler, batifoler, parler … Enfin!

Ma mère commence à rire comme une vraie folle lorsque je me trompe dans les paroles d'une chanson, il faut croire que c'est contagieux car aussi, je me mets à rire. Un rire doux, mignon … Mon père rit à son tour, un rire rauque mais tout de même sympathique. Ne faut pas lui en vouloir puisque ça mutation avait fait effet! À nous regarder, comme ça, une belle famille heureuse rigolote, on pourrait croire que nous étions en fait tirés d'un conte de fées, d'un film Disney. Mais ce qu'allait se passer ce soir, n'avait rien d'un conte de fées.

Il fait nuit à présent, mon père à fermer la radio pour parler à ma mère qui le réprimande. '' Tu aurais dû m'écouter, pas la carte, tu vois bien que nous sommes perdues! "' mon père qui répond qu'il croyait que c'était un raccourci. D'habitude, mon père est un as en raccourcir. Mais pour le moment, il n'a pas assuré. J'ai les yeux mis clos, on peut encore voir un peu de bleu dans mes yeux. Je sombrerais bientôt dans le sommeil. Le véhicule s'arrête, ma mère est éjectée de la vitre avant, elle passe le pare-brise et attirés sur le sol. Mon père arrête de bouger. Je suis étourdie, du sang coule de ma tête et on me traîne en dehors de la voiture. On me traîne jusqu'à une calèche. La dernière chose que je vois, c'est ma mère sur le sol, tous ses membres sont cassés, passe l'un par-dessus l'autre. Elle n'a plus de tête. Mon père lui, à encore sa tête pour le moment, je le vois, suppliant du regard. Mais non, il ne me supplie pas du regard, il est mort. Du sang lui sort de la bouche, de la bave aussi. Il a un morceau de vitre planté dans le crâne. Quelqu'un coupe la tête de mon père et je sombre dans le coma.


FIN DU FLASHBACK


Je respire, chose de faite, chose qui me rassure puisque c'est la chose qu'il te faut pour vivre, un rythme cardiaque ! Je me réveille soudainement, sursautant à un regard qui me dévisage. Une femme se tient devant moi, de marbre. Je suis si étourdie et chamboulée qu'à présent, grâce à une nausée, vomit sur le sol. Je m'étouffe, je tousse, je m’essuie la bouche avec le revers de la main (si vous voulez savoir, oui c'était dégoûtant) et j'ai besoin de m'hydrater. Mais il ne semble pas avoir de l'eau à quelque part en tout cas... Je me regarde, j'aperçois ma poitrine volumineuse devant moi, mon sexe qui contient peu de poil pubien et mes grandes lèvres toute rose. Je comprends donc … Je suis nue. Mais, pourquoi? Je sens le savon, mes cheveux blonds/blancs sont propres et sec. Ok, je comprennent mieux, ils m'ont lavé les cheveux et le corps! Ils ou elle seule m'avait nettoyé … En parlant de cette femme, je retourne mon regard vers elle.

Elle a les cheveux mauves, violet. Elle est toujours de marbre et habillée bizarrement. D'une manière médiévale. Elle pointe le banc, ne regardant que mon visage qui affichait une expression "' je comprends plus rien, à l'aide! ''. Elle ouvrit sa bouche pâle, elle avait les lèvres sèches et était presque grise. Peut-être allait-elle me vomir dessus, m'annoncer qu'elle était en fait un cadavre qui avait vut mes parents … Mais non, elle répliquait seulement : "' J'ai des vêtements … pour vous … Elle lance un regard plus haut que ma tête, je me retourne et vois qu'elle ne dévisage qu'un cadre. Le cadre d'un chasseur, je m'approche de celui-ci. La légende dit : "' Demento " . La femme parle maintenant d'une langue étrangère, je ne comprends plus rien, je tombe au sol. Lorsque je regarde autour de moi. La femme a disparu en un rire fou.

C'est si étrange cet endroit. Je suis dans une chambre en ce moment, seulement le bruit de mon cœur et de l'horloge retentit dans la pièce créant un écho. Je dois sortir d'ici, allez dire aux gens que mes parents ont disparu! Enfin, leurs têtes ont été séparées de leur cadavre. Je n'aurais peut-être pas le courage à cause de ma peur du sang et de ma craintivité… Mais peut-être bien que si! Mais il faut que je m'habille pour sortir de cet endroit. Justement, des vêtements sont disposés à l'endroit qu'avait pointé la folle. Bon …

Je m'approche de cette chaise, les vêtements y sont tous bien pliés … Je regarde le chandail d'une vanille hivernal. Il semble médiéval aussi, il y a un médaillon disposé en haut au milieu. Un beau médaillon bleu qui brille de mille-feux. Lorsque je l'enfile, je remarque qu'elle me fait une poitrine si grande que j'en suis presque gêné que quelqu'un me voie ainsi. Je regarde autour, il y a personne. En tout cas, la jupe fait moins médiévale, lorsque je l'enfile elle m'arrive presque en haut des fesses! Elle cache seulement bien mon entrejambe dénudé puisqu'il ne m'avait pas donné de sous-vêtement … Il avait pensé à tous ceux-là (vive l'ironie)! Je mets les bas noirs qui m'arrive aux genoux et les bottes brunes. Je zippe la dernière fermeture éclair et je peux y aller. J'ouvre la porte de sortie, regarde la chambre une dernière fois et c'est partie! L'émission d'aujourd'hui : comment sortir de Demento? Un manoir si grand! En autres mots, un château!

Premier conseil


Trouvez-vous un compagnon! Prenez exemple sur Fiona, celle-ci à opter pour Hewie, sa fidèle bête de poil! Mais surtout, si vous prenez un chien, assurez-vous de prendre bien soin de lui. C'est vivant une magnifique bête comme celle-ci. Il empêche les ennemis quelques fois de vous approchez.

Deuxième conseil


Éviter à tout prix les deux brutes du château! Débilitas et Daniella.
Débilitas, caché vous de lui! Vu que c'est un attardé mental, il est loin d'être intelligent et il est comme un grand enfant. Caché vous sous les lits, derrière les portes et attendez qu'il parte! La cloche du manoir est votre ami.
Daniella, courra d'elle, fuyez d'elle! Elle est bien plus dangereuse que Débilitas. Essayez de la déjouer en courant partout. Mais attention à son bout de miroir assez tranchant. Les miroirs sont vos amis, lorsque vous l'amenez devant un miroir, elle se met à crier comme une folle, complètement paralysée.

N'essayez surtout pas de les avoir au corps-à-corps. Vous finirez amochés comme Fiona lorsqu'elle a tenté de le faire !

Dernier conseil

Restez en vie!

'' Fiona est si belle! C'est une belle plante ... très belle plante. J'aime la voir en détresse, elle est si belle lorsqu'elle a peur! Je l'observe toujours pendant son sommeil … Elle est si douce, je peux avoir l'honneur de toucher sa peau pendant qu'elle dort profondément. J'aime sentir la vie lorsque je m'approche de son cœur. Elle a une jolie poitrine d'après Demento et un cul bien rebondi. C'est ce qu'il dit. Elle a des cheveux blonds presque blancs magnifique et doux aux touchés. Elle a une peau si pâle … Je trouve dommage de ne pas pouvoir voir ses yeux bleus/vert durant son sommeil. Ils sont pétillants, pleins d'étoile dans les yeux. Elle est svelte, Débilitas a peur de briser cette poupée en la serrant dans ses bras. Elle a des cuisses de rêve et des hanches qui font signe qu'elle est prête d'enfanter! Je l'adore mais moi … je ne suis pas complète ... "' Admet Daniella.

'' Blruruglu … Grah haha! '' Raconte Débilitas.

'' J'ai si peur, je suis si perdue dans ce château. Il y a tellement de pièce que quelquefois je peux retourner sur mes pas. C'est trop grand! Oui je le sais que c'est supposé être le paradis pour les personnes claustrophobes comme moi, mais tout ça, ça m'effraie! Imaginez vous-même qu'il y a un carrousel … Mais qui m'effraie autant! On ne sait pas quand on tombera sur un de ses monstres … Lorsque je vois du sang, je m'affole, quand on s'approche trop de moi, je crie, je trébuche, je fonce dans les murs et je panique carrément. Je crois bien qu'un jour je tomberais dans les pommes, je mourrais d'une crise cardiaque même! Je suis très craintive, j'ai du mal à faire confiance. Mais si elle se montre gentille, je la crois. Je suis naïve tout de même mais pas au point d'être une vraie blonde! Je veux sortir … Aidé moi! '' S'empresse de dire Fiona Belli.

'' Fiona, un jour, je te volerais ta fleur, tu seras à moi, à JAMAIS! '' Dit Demento.

Ce qui est bon à savoir

Fiona est vierge et cache un certain intérêt pour le masochiste. Le sexe doux, elle ne " trippe " pas!
Elle est Américaine, à dix-sept ans et ne possède aucun pouvoir.


MERCI DE M'AVOIR LUE !


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