Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sangh-Len

Pages: [1] 2
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Les terres sauvages / Re : Réception digne d'une reine [Pv]
« le: lundi 11 novembre 2013, 21:50:54 »
Tout en continuant de montrer toue la splendeur de la salle  à la démone à son bras, Sangh-Len saluait les divers courtisans. Il offrait des compliments aux dames come aux hommes en présence, non humains, bien évidemment. Il s’agissait d’un jeu subtile que la politique de cour. Il s’agissait de mièvreries, de rumeurs, de pots de vins, de retours de service… et cela n’arrêtait jamais. Ce n’était pas pour cela qu’il état devenu le dirigeant de sa nation ! Il n’avait pas fait tout  cela pour ça. Il était presque dégouté, il était blasé, il n’avait qu’une envie, raser cette foule pour tout recommencer. A zéro, créer une nouvelle noblesse conforme à ses désirs… mais ce serait trop vain, car tout finirait par recommencer…

 Mais alors qu’il attendait une réponse, son employé vint le retrouver, aussi discrètement qu’uil était possible pour un majordome de se faufiler jusqu’à lui dans une foule e gens plus hauts placés que lui, et lui murmura quelques mots à l’oreille, d’une voix chevrotante. Elle n’était pas sur la liste des invités … tiens donc… c’était particulièrement intéressant, de son point de vue… non pas qu’il ait des intentions néfaste à son encontre, quoique, mais d’un seul coup, il n’avait plus  à se méfier de qui il risquait d’offenser et pouvait donc dire ce qu’il pensait vraiment, et non pas ce qu’il devait doire –dans une certaine mesure bien sur, il était chez lui tout de même !

Pas sur la liste des invités, tiens dont !  Mais voilà qui était intéressant… ainsi donc peu importait ce que valait la jeune femme, si jamais elle disparaissait mystérieusement dans les entrailles de la forteresse, personne ne s’en soucierait ! Non pas -  encore une fois -  qu’il ait de mauvaises intentions, mais les choses changent, et qu’elle lui déplaise, et tout cela changerait… comme toujours avec Sangh-Len

« Vous n’étiez pas là pour les feux d’artifice ? Ils étaient SOMPTUEUX §  Ils ont été tirés depuis le volcan et étaient joliment visibles depuis le balcon couvert ! Il était somptueux, mon maitre du feu s’est dépassé ! Un tel anniversaire se fête, non ? Quand au reste, l’orchetre aura la tête ôtée du corps à mains nues pour payer leur retard… je vous le promets, pour le reste… et disons que dans un banquet, je doute que la place soit à la danse, elle est prévue dans une autre salle, attenante à celle-ci ! Une magnifique salle de bal que j’ai fait redécorer pour l’occasion par ma maisonnée, et le résultat est agréable… mais qu’est-ce qu’une boule disco ?

Il semblait interrogateur, car si c’était incontournable, pourquoi n’y avait-on pas pensé avant que cette jeune femme n’en parle. Il ne savait pas de quoi il s’agissait exactement, tout ce qu’il savait, c’était que la jeune femme n’avait pas sa place ici normalement.. alors cette « boule disco » était-elle si importante si elle n’était mentionnée que par une intruse qui ne savait pas apprécié la somptuosité des lieux et de la fête qui était offerte en ces lieux ? Il eut un reniflement dédaigneux.

« Non, je pense que ce n’est pas la peine de faire installer quelque chose que personne ne connait rait et qui ne manque apparemment à personne. Je ne suis pas radin, mais ne serait-ce pas un peu surfait ? »

Il lui sourit et lui baisa la main.

« Je crains par contre qu’il ne faille nous entretenir en privé quelques instants, notamment concernant le fait que vous n’étiez pas invitée à cette petite sauterie… même si votre présence est tout à fait délicieuse ! »

Il eut un léger sourire carnassier, un sourire de démon, quoi…

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Les terres sauvages / Re : Réception digne d'une reine [Pv]
« le: mercredi 09 octobre 2013, 20:16:38 »
« Et bien ma chère Morgana, vous êtes en beauté ce soir ! C’est un réel plaisir de vous rencontrer, je suis charmé, positivement charmé. ! »

Il lui prit doucement la main et exécuta un baisemain, par politesse avant de lui sourire et l’inviter, d’un geste à faire quelques pas avec lui. C’était mieux que de rester stoïque. Il sourit et d’un geste à peine perceptible, il fit signe à un serviteur d’aller vérifier qui elle était dans les listes, il devrait bien y avoir une mention d’elle quelque part !  Il ne pensait pas les gardes assez incapables pour accepter de laisse rentrer le tout venant, même si ledit tout venant était une créature qu’il aurait volontiers pris dans son lit dès maintenant. Mais ces saletés de convenances, comme d’habitude, elles étaient, semblait-il, toujours être là pour éviter de s’amuser. Il n’avait pas le droit de se retirer de sa fête sans en gâcher le gout, quoique ce pourrait être d’autant plus amusant…

« Cette fête…. Et bien je ne sais pas trop, j’ai signé un papier et voilà ce à quoi cela a abouti…. Mon père n’était pas quelqu’un de très recommandable, même pour un démon, alors moi je suis content qu’il soit décédé, donc normal de faire une fête, mais j’aurai préféré une orgie que juste des complots et manigances de courtisans imbéciles… c’est d’un ennui… »

Il soupira, ce qui étaya ses propos  d’une manière plus qu’éloquente.

« Tout ça parce que j’ai arrêté de faire croire que je ne m’intéressais qu’aux hommes…. Pendant presque six mois ils y ont cru avant que cela ne recommence… on me propose une telle ou unetelle en mariage, mais cela veut dire que je perdrai le pouvoir, d’une certaine manière, car à partir du moment où j’aurai un fils, je risquerai de me faire assassiner en douce pour qu’une maison courtisane garde le pouvoir pour elle… tout cette politique m’ennuie… »

Il eut un petit signe de tête pour un courtisan qui le saluait et s’arrêta, plongeant son regard dans celui de la démone.

« Mais heureusement, il y a quelques personnes membres de la gente féminine qui sont parfaitement civilisées et à qui je puis parler sans que la cour ne se mette en émoi parce que j’aurai choisi une maison rivale…  et pour cela, j’en suis reconnaissant !  Et sinon,q ue pensez vous de cette fête ? Elle doit affreusement ressembler aux autres, non ? »

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Les terres sauvages / Réception digne d'une reine [Pv]
« le: samedi 28 septembre 2013, 02:45:49 »
La forteresse du songe et du vécu avait quelque chose de festif aujourd’hui… oui, les lumières scintillaient tant dans les lieux qu’en dehors et on voyait le feu d’artifice annonçant le début de la splendide réception à des milles à la ronde !  C’était vous dire la majesté de l’évènement !  Tout le gratin de Terra était lkà….. non, en fait pas exactement. Sur l’immense terrasse carrelée surélevée d’où l’on observait les feux d’artifice, il se trouvait Sangh-Len et ses courtisan, qui avaient décidé qu’aujourd’hui, jour den l’anniversaire de la mort de son père, c’est vous dire si c’était un évènement heureux ! Aussi, tout le monde était invité, tout le gratin démoniaque et même quelques autres personnes triées sur le volet. Et comme si le fait qu’un prince soit célibataire s’était répandu chez tous les invités, beaucoup avaient amené des parentes à marier, certaines belles, d’autres pas, certaines avec du charmes, d’autres pas, les intelligentes, et les autres, les jeunes, et les moins jeunes !

Le démon se sentait en même temps flatté par cette attention, et en même temps vexé que l’on ne le croie pas capable de se trouver une épouse à sa convenance. Il recherchait une perle rare, un sang correct, une personne qui lui donnerait un hériter, à la limite, une héritière, mais il ne prendrait pas n’importe qui ! Et il n’hésiterait pas, par orgueil, à offenser tous ses  invités sans la moindre vergogne. Il ne leur devait rien, à ces charognards, ces vautours comploteurs. Même si il était un maître comploteur, il trouvait sa cour trop pleine de faux semblants et envisageait une petite purge par les armes…. Ce pourrait être une bonne idée, oui, il la notait quelque part pour menacer ouvertement son peuple s’il faisait un pas en trop dans la mauvaise direction !

Il regarda le bouquet final du feu d’artifice avant de rentrer d’un pas lent dans la salle de réception. La pierre noire des murs lui aurait donné un aspect sinistre s’il n’y avait pas de partout de magnifiques tentures éclatantes allant d’un rouge princier et flamboyant à un bleu roi, en passant par un blanc virginal. Rajoutez les lustres en cristal, et d’un seul coup vous vous trouvez dans une pièce lumineuse au contraste magnifique. Le dallage en marbre de différentes couleurs était somptueux et très bien astiqué, très glissant aussi d’ailleurs. Un peu partout, sous des tables prévues pour les buffets, brulaient des brasero gardant une chaleur délectable au lieu qui pourtant aurait dû être froid comme le roc dont était issu la forteresse !

Il passait entre ses invités, accordant quelques mots polis à chacun. Pour le général, pour le général Sanghi Nol-Len un compliment sur sa dernière manœuvre, pour sa fille un compliment courtois, pour le prince héritier voisin, une remarque amusée sur sa dernière maitresse en date. Il était suivi comme son nombre par son intendant qui lui murmurait alors qu’il approchait de chaque convive, son nom, son grade, son rang, et le compliment choisi par avance. C’était le seul moyen de tout retenir :  laisser un sous fifre là pour ça, le faire.

Il s’approcha alors d’une jeune femme qui était d’une beauté particulièrement saisissante, et là, ce fut le drame. Personne ne ,put lui dire qui elle était, son intendant venait de perdre sa place, sa tête et celles de sa famille ! Il resta à distance pour l’observer pendant que son intendant tentait, ou espérait, sauver les têtes de sa famille :  il devait trouver qui elle était. En attendant, il la dévorait des yeux. Une inconnue chez lui, mais que faisait la sécurité ? Il soupira et finalement l’intendant finit par revenir avouer soin échec, et, les larmes aux yeux, et avec toute la dignité qu’il lui restait, il se dirigea vers la sortie.

« Vous m’intriguer milady. Vous êtes là chez moi, plus noble que bien des dames, mais sans que votre nom ne me revienne. Un oubli bien inexcusable de ma part, j’en suis mortifié. Auriez-vous la bonté d’éclairer ma lanterne ? »

Mais il était apparemment bien amusé, puisqu’il avait ce petit sourire en coin si caractéristique de cet état d’esprit.

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Les contrées du Chaos / Re : Entretient d'embauche [PV Sangh-Len]
« le: vendredi 05 juillet 2013, 16:34:17 »
Tout allait bien dans le camp, l’officier Yarg était content, son camp était propre et rangé, ordonné, discipliné, et surtout, pas la moindre prostituée dans l’enceinte !  La dernière fois qu’il en avait toléré une il avait eu droit à une  épidémie de chaude-pise dans tout le camp !  Une vraie saloperie ce truc !  Alors il avait décrété que désormais , en service, ça signifiait pas de putains dans le camp !  Oui, il avait été obligé d’en arriver là, édicter une règle !  Autant vous dire que si il en trouvait une dans une tente, tous les occupants de ladite tente seraient punis avec la plus extrême sévérité !  D’autant que le seigneur Sangh-Len était là !  Alors l fallait qu’il montre qu’il tenait son camp d’une main de fer ! Il arpentait le camp, tel un limier à l’affut du moindre délit !

Un peu plus loin, quatre hommes discutaient tranquillement, blasés par ces manœuvres, tout le monde devait être en grandes pompes et faire de son mieux car leur prince était là. Mais bon, répéter des manœuvres était gonflant ! Et puis, ils étaient blasés cra , surtout, trois sur quatre étaient mariés et le dernier le serait bientôt , adieu la liberté !  Donc ils étaient blasés parce qu’ils n’auraient pas le temps de ripailler comme des porcs avant la cérémonie, pas d’enterrement de vie de garçon dans les règles de l’artt. A la place, ils n’avaient droit qu’à des manœuvres…

Alors d’un d’eux, d’un seul coup sembla ailleurs, il fit signe aux autres alors qu’il se demandait d’où sortait cette fille avec un manteau  à eux… elle sortait de leur trente !  Mais comment était-elle arrivée là ? Pitié pourvu que Yarg ne voit pas ça… sinon ils auraient tous de très gros problèmes…

Elle voulait parler au seigneur Sangh-Len apparemment, qui d’autre qualifier de maître ? Mais voilà, si Yarg les chopaient ça allait très mal se terminer. Il était un expert au fouet. Il était capable de vous arracxher la chair jusqu’aux os avec cet instrument, alors autant éviter de le contrarier. Ils foncèrent sur la jeune femme pour la fporcer à rentrer dans la tente, lesy précédant !

« Non mais t’es pas folle donzelle ? Si Yarg te chope t’es morte et nous aussi !  Et rend moi monb manteau si jamais Yarg voi=t qe tu l’as je serai mort avant même d’avoir compris ce qui m’arrive ! Et puis d’abord qu’est-ce tu foutais à poil dans notre tente ? Ouyi, on sait, voir son maître, mais bon, tu penses quoi ? En te voyant comme ça il va croire qu’t’es quoi à ton avis à partn une putain ? »

Un des autres surenchérit :

« C’est vrai !  En plus les putains sont interdites dans le campement à cause de la derniè-re épidémie de chaude-pise, c’est Yarg qui l’a dit ! »

Soupir et finalement, l’un des deux autres le plus avisé lui lança :

« Je me fous de savoir ce que tu fais là, personnellement, tout ce que je sais c’est que tu nous fous fans la merde alors va voir où il y a une autre tente vide, te l’indiquer et tu te démerdes poury aller et y piquer ce que tu veux, mais certainement pas  avec son manteau sur le dos. Toi, va voir. »

« Pourquoi moi ? »

« Parce que t’es le bizut de service… »

L’autre sortit pour trouver une tente vde et revint vite.

« Celle d’en face est vide, et Yarg s’approche pour inspecter la tente. Putain, miss, magne toi de te barrer, il arrive ! »

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Les contrées du Chaos / Re : Entretient d'embauche [PV Sangh-Len]
« le: jeudi 04 juillet 2013, 11:55:33 »
La petite chose ignoble  qu’était le sous fifre semblait être prêt à se moquer encore d’elle, c’était bien la seule chose qu’il pouvait faire, parler. Il n’avait pas beaucoup de dons pour les mauvais coups. C’était bête et méchant mais incapable de  faire grand-chose de plus que d’agir verbalement ! Donc hormlis les mots elle n’avait rien à craindre, sauf quand ils étaient très nombreux biens sur, mais ici ils n’étaient que quelques centaines, et il en faudrait des milliers pour faire de sacrés dégâts !

Ainsi elle savait se téléporter… et encore plus, elle veut parler directement à son maitre ? Ben voyons ! Rioen que ça ? Soyons fous !  Il éclata d’un rire tout aussi strident de sa voix avant de finalement prendre la parole sur un ton amusé et joueur, difficile de rester sérieux avec  ces petites bébêtes !

« Oh, voir le maitre !  Mais bien sur tout de suite !  Dès qu’il reviendra de son expédition ! Dans dix jours ! »

Il éclata de rire de nouveau alors qu’il s’amusait à la décourager, mais bon, allez, il était généreux !  Il lui laissait une chance de s’en sortir indemne et avec les honneurs. Il la regarda, l’œil mauvais.

« Si tu es capable de te téléporter, tu devrai le rejoindre, il est près du volcan, juste derrière, sur le plateau, là-bas. Il y est en manœuvre avec l’armée. Mais attention où tu mets les pieds ! Là –bas, essaie de le rejoindre dans le camp fortifié, et si tu parviens à le rejoindre, tu pourras peut être lui parler ! »

Puis il s’éclipsa sans lui donner davantage de précisions sur le sujet, elle n’avait qu’à trouver un moyen d’y aller rapidement, car vu la distance, même si elle savait se téléporter, ça allait être dur de combler cette distance. Surtout qu’en plus, la bestiole ne voyait pas en qui la téléportation pouvait être utile au maitre !

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Les contrées du Chaos / Re : Entretient d'embauche [PV Sangh-Len]
« le: jeudi 13 juin 2013, 00:17:02 »
Forteresse du songe et du vécu, voilà un lieu qui évoquait nombre de frissons, tant d’horreur que de plaisirs. Réputée pour le service qu’elle offrait au plus offrant concernant un instant de rêve, redoutée pour son dirigeant, le prince Sangh-Len, un démon, et pas des plus agréables selon la rumeur, et même plutôt le contraire. Une jeune femme attendait devant les portes en fonte, elle attendait apparemment quelque chose, alors ils avaient tiré au sort entre les larbins. Et finalement Guz avait été choisi, et s’il n’était pas content, et bien tant pis pour lui !

Il s’agissait d’une petite chose verte à forme indéfinie. Particulièrement moche, il était intervenu pour savoir qui elle était, cette saleté rejoignit les guetteurs pour leur parler. Et surtout savoir ce qui les empêchait de guetter convenablement.

« Salut les poulets, vous faites quoi à part vous astiquer devant une inconnue ? »

Pour la peine, il prit un coup de pied. Oui, cette saleté était tellement florissante ici qu’en tuer un à coup de pied n’était pas g^penant, mais comme c’était incroyablement résistant, il ne fallait pas hésiter à y aller franco en échange. Il se releva et rigola après ce coup pour se tourner vers la jeune femme., et, un grand sourire en travers de sa tête difforme, il lança, imitant avec une voix de crécerelle la jeune femme.

« Je m’appelle Anastasia Lughinine, et je possède certains dons qui pourraient intéresser votre maitre ! J'aimerais lui proposer mes services ! »

Il eut un éclat de rire à la fois moqueur et innocent. Il se fichait clairement de sa figure ce qui lui fit prendre un nouveau coup de pied qui le fit voler par-dessus la muraille et le fit atterrir aux pieds de l’inconnue. Il la dévisagea comme si de rien n’était et rajouta d’une voix grinçante.

« Et tu fais quoi de spécial ma poulette pour que mon maitre pense à toi ? »

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Prélude / Re : Ar'Anka, duchesse, comtesse, reine...
« le: mardi 02 avril 2013, 23:42:05 »
Bonjour, souveraine, qui sait, une alliance entre nos Etats serait des plus profitables !

Rebienvenue !

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Les contrées du Chaos / Profits d'une rencontre ! [Pv]
« le: dimanche 24 mars 2013, 23:57:04 »
La journée était belle, douce, la chaleur était là juste assez pour que le soleil se révèle sous ses meilleurs atours. Quoi demander de plus ? Une lueur infernale provoquant chaos et désespoir peut être ? Oui, cela manquait alors il avait eu une idée et avait convoqué les quatre généraux de son armée :  une armée puissant, efficace, mais malheureusement parfois lente à rassembler… vous avez déjà essayé de convaincre un Dragon de magma ou un dragon de lave de se bouger le fion et de venir répondre à l’appel de son maître le prince Sangh-Len. Le général de la flamme avait essayé, aujourd’hui il avait la majorité du visage de brulé et un bras inutilisable…

Les quatre généraux commandaient chacun un corps d’armée qui, si elle n’était pas innombrable, comptait dix mille fantassins, sans compter la cavalerie, la charrerie et les créatures. La charrerie était la garde d’honneur, l’élite, tirée par des chevaux de cauchemar, ils étaient la garde personnelle du prince, environ sept cent chars, donc mille quatre cent hommes et autant de montures, ah elle avait fière allure quand elle défilait devant le palais. Et la cavalerie ! Que de merveille ! Les montures étaient une sorte de gros lézards rouges comme les braises, des Raevirs, qui étaient particulièrement véloces, bien que très bas, à peine plus haut que des poneys, mais bien plus longs avec une queue hérissée de points acérées…

Nous pourrions parler des heures de cette armée qui sans être colossale se révélait très efficaces. La majorité des fantassins étant des hommes bêtes, des jiamad, un croisement artificiel entre animaux (prédateurs bien évidemment) et humains. Mais trêve de bavardages inutiles !

Il avait convoqué ses généraux et avait ordonné le branle-bas ! Il voulait que tous ses sujets se rappellent de sa puissante et il avait même dépassé un peu son territoire, en théorie, car il y avait les marches de la principauté qui étaient très mal définies ! Mais en plein milieu de la manœuvre, peut être avait il envie de solitude, peut être était-ce un caprice, peut être était-ce parce qu’il se laissait du spectacle, il avait utilisé son propre char, avait détaché l’une des montures et s’était enfui à bride abattu pour se rendre à l’auberge la plus proche.

Il eut un sourire et entra avec fracas, réclamant ce qu’il avait de meilleur à boire s’asseyant sans même chercher à paraitre poli à la première table de libre où une jeune femme blonde était déjà, mais elle ne sentait pas l’humain… mais as de politesse pour autant !

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Les contrées du Chaos / Re : Bodyguard [Pv]
« le: vendredi 22 mars 2013, 14:29:59 »
Coude sur l’accoudoir du trône, Sangh-Len avait la tête calée sur son poing et regardait le tout avec amusement. C’était follement divertissant, et elle ne se rendait pas compte de la chance qu’elle avait cette petite. Elle était en audience privée ! En audience publique, sa tête aurait déjà fait le tour de la pièce sans le reste de son corps, mais bien évidemment, elle ne s’en rendait pas compte. Il n’avait rien exigé de plus que le minimum. Devant la reine de Sidarta ou devant l’empereur d’Ashnard, elle aurait léché la boue à leur pied si besoin avait été. Il ne demandait qu’une simple génuflexion, rien de plus, on appelait cela le respect. Pour certains, il était du et pour d’autres, ça se méritait. Par sa simple naissance, Sangh-Len avait mérité le plus grand respect de la part du pseudo mercenaire.

Il rit et applaudissement quand elle malmena l’intendant, l’intendant qui se laissa faire, le but n’était pas de tuer la mercenaire sinon, ce serait déjà fait. Mais si l’ordre venait, elle ne viendrait même pas la mort venir, elle n’était rien entre ses murs, juste un caprice de l’intendant, caprice auquel seule le maitre des lieux pouvait mettre fin, et plus le temps passait dans cette posture, plus l’intendant avait envie de se saisir de son arme et de la lui plonger dans les viscères.

Aux propos de la jeune femme par contre concernant la résistance, le démon se redressa et lui saisit le poignet pour le tordre jusqu’à lui faire lacher prise, si quelque chose ne plaisait pas à l’intendant Agrael, c’était la menace délibérée envers son maitre. Ses yeux étincelaient d’une fureur sans borne, alors qu’il la repoussait d’un coup dans le plexus.

« Ne crois pas que tu me vaux. J’ai posé ce contrat pour avoir un mercenaire compétent et professionnel pour protéger le maitre. Je ne suis pas dénué de capacités, mais je m’attendais à quelqu’un qui soit plus versé dans l’art de la guerre que dans l’impulsivité. Profère encore une menace et tu ne verras plus le jour se lever ! »

La menace était clair t Sangh-Len s’amusait follement de ce qui venait d’apparaitre, une forme de rivalité entre les deux parties. Il se leva et regarda Agrael avant de le congédier de la main. Le démon s’inclina bien bas et sortit par une porte dérobée à côté du trône. Et Sangh-Len se leva, il dépasssait la jeune femme d’une bonne tête. Il s’approchga d’elle et resta planté à l’observer, avant de finalement lui lancer :

« Soyons sérieux, ce n’est ps parce que l’on porte une épée connue que l’on vaut grand-chose ! Etherilian a déjà été tenue en échec ici, il y a longtemps, et ce qui fait la vraie capacité de quelqu’un c’est sa capacité à utiliser tous les outils à sa disposition, avoir une lame pareil sans savoir s’en servir convenablement n’est qu’arrogance c’est comme des feuilles d’or plaquées sur du plomb, ça à l’air joli, ça brille, c’est clinquant, mais au final, ça ne vaut pas tripette. Alors cessons ces jeux je te prie, mercenaire. »

Il s’éloigna en lui tournant le dos, preuve qu’elle n’était pas une menace pour lui à son avis. Ce n’était pas une insulte, juste un constat, il était titulaire d’une épée légendaire lui aussi, et surtout, il savait s’en servir.Il retourna s’asseoir sur son trône et lui sourit.

« Approche et réponds à ma question :  comment me protéger sans que personne ne puisse te remarquer ? Parce que désolé, mis tu ne passe pas inaperçu… »

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Les contrées du Chaos / Re : Bodyguard [Pv]
« le: jeudi 21 mars 2013, 11:47:15 »
Suivant le conseil de son second, Sangh-Len lui fit signe qu’elle pouvait parler. Elle se présenta en quelques mots. Au moins, elle ne l’assommerait par les bavardages, il n’était rien de plus désagréable que du bavardage intempestif ! Il la regaardait toujours avec ce regard méprisant qui commençait à le caractériser.

Elle lui donna son nom, hormis cela, rien ne lui permettait de juger ses compétences. Il soupira et regarda la jeune femme, toujours cet air dégouté sur le visage alors qu’elle parlait des compétences à juger…. Et bien il devrait sans doute oublier car sans garantie de survie, il y aurait un problème…. La seule manière de juger ses capacités et ses compétences…. Serait de rester vivant, s’il crevait un carreau en travers de la gorge, il serait fixé sur le fait qu’elle était aussi nulle qu’elle sentait mauvais.

« T’es bien gentille, mais je ne connais pas ton pedigree et encore moins ta réputation !  Alors je ne veux pas me retrouver avec un carreau dans la gorge pou un serpent dans mon lit au moment d’aller me coucher. »

Le démon la regarda et regarda son second, l’intendant qui frappa derrière les genoux de la jeune femme pour la faire ployer.

« Et si tu n’es pas capable de la moindre des politesses devant un prince, alors  tu peux t’en aller et je ferai en sorte que personne ne veuille plus t’engager nulle part. Mais si le maitre est aussi patient avec toi, c’est qu’il a déjà décidé de t’engager, seulement, la règles principales, c’est qu’ici, les métisses ne sont rien, aussi, nous ne voulons pas te voir te promener librement de partout, aussi, il attend une preuve de compétence en attendant une idée pour le protéger sans vous faire remarquer... »

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Les contrées du Chaos / Re : Bodyguard [Pv]
« le: jeudi 28 février 2013, 19:43:20 »
« NON, NON, ET NON ! »

Non, il ne voulait pas de garde du corps supplémentaire, non il refusait permettre à Agrael d’insister, et non, il ne voulait pas en entendre parler une fois détendu ! Avait-il été assez clair ou parlait-il Caverneux ? Il commençait à croire qu’il ne parlait pas la bonne langue vu que tout le monde semblait ne vouloir en faire qu’à sa tête ! Il avait même appris que sans lui demander son avis, Agrael avait fait appel à un mercenaire…

Devant tant de désobéissance, il s’était fait fouetté et il réservait un sort bien pire à la personne qui se présenterait pour le travail. Il bouillait tellement de rage que d’un mouvement il avait déchiré le bandage qu’il portait à l’épaule et les linges de soie durent être remplacés , et refixés )à l’aide de jolies broches en or massif.

Mais là, on ouvrait la porte de la salle d’audience pour laisser entrer la personne qui serait chargée de sa protection. Il avait bien l’intention de l’éconduire. Mais une odeur pestilentielle vint le déranger. Comme s’il avait besoin de cela. Cette odeur, il la connaissait. Cette odeur propre aux créatures souillées par leur propre existence.

« ça empeste l’humain ici ! »

Oui, ça empestait l’humain, ou l’humaine. Il se leva et « au pif » il commença à suivre l’odeur avant de se mettre un mouchoir sur le nez, un mouchoir parfumé à la lavande. Certes, il exagérait énormément. C’était désagréable, mais pas non plus à ce point. Ce n’était pas comme si elle était couverte d’immondices.

« C’est toi ? Qui es-tu et que fais-tu chez moi ? »

Agrael s’approcha et posa la main sur l’épaule de la mercenaire, on sentait qu’il devait encore saigner. Il serra doucement l’épaule de la jeune femme pour lui donner l’ordre de se taire.

« J’en assume l’entière responsabilité. Si vous n’en voulez pas, renvoyez la et punissez moi à nouveau. Mais laissez là au moins parler… »

Le prince ne répondit pas et retourna s’asseoir, venant de lui, on pouvait considérer cela comme un acquiessement. Dans un murmure, le démon qui tenait la mercenaire lui conseilla vivement de s’agenouiller.

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Prélude / Re : Re : 900 ans d'insouciance
« le: jeudi 28 février 2013, 11:57:53 »
Vas dire ça aux modos  ;D !

Les modos ne sont pas des imbéciles psychorigides.... donc oui, qu'elle leur dise, ils comprendront très bien j'en suis sur !

13
Prélude / Re : Bast, la déesse réveillée
« le: jeudi 28 février 2013, 00:14:18 »
Bienvenue

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Les contrées du Chaos / Bodyguard [Pv]
« le: mercredi 27 février 2013, 14:56:59 »
Du sang sur son épaule. On venait encore d’essayer. Maudits rebelles. Il se retrouvait à se tenir l’épaule, les mâchoires crispées de douleur. Il avait pris un carreau d’arbalète qui avait traversé le gras de l’épaule, aussi, il pissait le sang en couinant comme un goret qu’on saigne. Mais en même temps, ça faisait mal !  Vous avez déjà pris un carreau d’arbalète dans l’épaule ? C’est épais comme le pouce et ça vous traverse le corps comme si c’était du beurre laissé au soleil ! Il était planté plusieurs mètres de plusieurs pouces dans la pierre dorée du trône.

Le tireur était monté en douce à la fenêtre, et avait tiré. Le recul de l’arme l’avait fait basculer dans le vide et était mort de la chute. Le vitrail était brisé… quel gâchis, et quel gâchis que l’assassin en herbe soit mort, il l’aurait volontiers interrogé en personne pour passer ses nerfs sur lui. On aurait mit très longtemps à le faire mourir, en effet, le prince se complaisait dans la souffrance de ce genre de personnes. Et il l’aurait mérité. Mais non, il était morte et son Vécu était envolé, disparu. Une petite fortune et une belle vengeance en moins…

Il se tenait l’épaule quand son bras droit était arrivé… il avait tout de suite envoyé les soldats se placer aux bons endroits pour sécuriser le périmètre, mais avec le coupable de décédé, peu de chances qu’il y ait le moindre indice, surtout que les chiens s’étaient jetés dessus pour le dévorer, il n’en resterait pas grand-chose. Ils mangeaient tout et n’importe quoi ! Leur voracité excédait les limites imaginables ! Alors il ne resterait rien le temps que les soldats arrivent en bas…

« Espèce d’incapable, abruti fini !  Tu ne mériterais même pas de me ! Je devrai te faire étriper écarteler écorcher vif ! Incapable !  Triple buse !  Fiente de chameau ! Va chercher de quoi me soigner !  Imbécile heureux ! »

Oui, il restait poli. Raelag, son second, n’en prit pas ombrage et obéit sans poser de questions. Il s’en fut et le prince se redressa, il serra les dents et les poings pour tenter de résister à la douleur et retourna s’asseoir sur son trône.

*
*      *

Raelag était dans une taverne, réputée pour son tableau de petites annonces. Les mercenaires la fréquentaient beaucoup. Et donc il avait mis une affiche, et, content de lui, il était reparti.

Garde du corps demandé pour personne importante
Compétence et expérience requise.
URGENT.
Paye à négocier sur place.

Après à la personne qui acceptait, l’aubergiste devait transmettre les coordonnées et leur indiquer de l’audience qu’il faudrait demander à la Gardienne du Songe et du Vécu.

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Les contrées du Chaos / Alerte, intrus ! Dangereux, ou en danger ? [Pv]
« le: mardi 26 février 2013, 14:12:32 »
La Gardienne du Songe et du Vécu

Ah la douceur d’un bon bain bien brulant qui faisait bouillir le sang dans les veines, qui faisait rougir la peau et qui détendait tout les muscles tout en faisant transpirer abondamment, voilà de quoi se sentir bien. Le démon avait sa grande baignoire avec une eau particulièrement agréable qui était chaude naturellement. Les volcans et les créatures qu’il y puisait, ses dragons de lave et de magma,  fournissaient une chaleur importante à l’eau qui la rendait très agréable. Il s’y reposait bien, si bien, il aurait pu s’en dormir s’il n’y avait pas eu ce malaise.

Il avait beau être bien, il entendait quelque chose qui l’inquiétait, et même s’il tentait de s’y rendre sourd mais jamais il ne parvenait à occulter ce bruit… la Gardienne gémissait. Oui, elle gémissait comme s’il y avait un intrus dans ses salles de marbre, qu’ils soient blanc, noir, rose, vert, ou quoique ce soir de semblable, qu’elles soient pleines de livres, pleine de sphères de rêve, de sphère de vécu, ou même ses appartements, son trône et sa salle d’audience, les salles des domestiques, les multiples chambres d’amies occupées par les ambassadeurs ou par les personnes que le prince désirait rencontré ou avait eu la magnanimité d’héberger pour la nuit.

Il finit par sortir de son bain, agacé, se drapant d’un peignoir de fourrure cousu par des cheveux de femmes humaines. Celle qu’il avait fait lapider, flageller à mort, ou autre juste pour le plaisir de la souffrance et le rappel permanent de sa suprématie. Tins d’ailleurs les pavés de la cour, il le voyait d’ici, n’avaient pas été assez bien nettoyée après l e repas des chiens infernaux. Ça allait barder lors de la tenue d’audience, audiences accordées au commun comme exigées par lui. Mais pas maintenant, une collation dans la salle à manger, puis une tasse de thé noir bien fort dans le salon de musique avec une harpiste, sa musicienne préférée, qui jouerait pendant qu’il boirait.

Beau programme n’est-ce pas ? Mais voilà, la Gardienne gémissait et grognait aussi, comme si le vent s’était égaré dans les couloirs sans que cela soit possible. Il y avait quelque chose qui n’allait pas bien et qui lui noua l’estomac, non de trac, mais de mécontentement. Il finit par jeter sur la harpiste la tasse de thé brûlant et la congédia.

Il se porta à la fenêtre de sa forteresse et regarda en contrebas dans la vallée de feu, une vallée très volcanique où la lave atteignait la surface. Les dragons se repaissaient de ce liquide brulant qui arrivait à ébullition, et les chiens infernaux étaient couchés près des rives, aimant l’ardente chaleur des lieux.

C’était de cet endroit que venait le problème. Il fit tinter sa clochette et un larbin arriva. Il lui ordonna de préparer sa tenue d’apparat et de faire venir son escorte. Il allait sortir voir ce qu’il se passait… et c’est sur son magnifique étalon, qu’il venait de faire dresser, Dämenfeuer.

Accompagné d’une quarantaine de soldats en arme, le démon, rassuré par sa petite escorte, se mit en route pour les lieux où les dragons s’affolaient. S’il fallait les calmer, ça allait être assez compliqué, non pas qu’ils soient hors de contrôle, mais disons qu’ils étaient juste long et compliqué à rassurer…

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