Nom / Prénom / Surnom : Angela, et ça suffit bien comme ça.
Âge : 30 ans tout pile.
Sexe : Féminin.
Race : ESPer.
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle, et rien de plus.
Autre : Elle possède le don de la chaleur. C'est-à-dire qu'elle peut chauffer n'importe quelle surface jusqu'à une température vraiment très chaude. Elle n'a pas encore testé jusqu'à combien de degré elle pouvait aller, mais elle ne le testera jamais. Elle a eu tout le côté gauche du visage de brûlé à cause de ce pouvoir qu'elle ne maîtrisait pas. Elle porte ainsi de l'obsidienne sur elle, en permanence, la renouvelant lorsqu'elle s'épuise.
Description Physique : Une aura dangereuse émane d'
Angela. Une aura terriblement dangereuse. Inquiétante. Tout en elle sent la mort. Le sang. La sauvagerie. A commencer par ses longs cheveux aussi noirs que la nuit, et emmêlés. Crêpés, serait plus exacte. En fait, elle les a tressés au départ, mais à force du sang qui s'en mêle, du sable qui s'y colle, et d'autres substances (N'y voyez pas des trucs pervers èé), elle a décidé de ne plus y touche pour tenter de dompter sa crinière brune. Elle y passe à peine les doigts, le temps d'y accrocher quelques perles, ou biens des pendentifs en argent représentant des lames ou d'autres armes du genre.
L'aura de danger qui émane d'elle prend ensuite sa source dans le masque d'or qui couvre en permanence son
visage. Il est finement ciselé, et seuls ses yeux sont visibles. Malgré tout, on devine que le masque a été moulé à partir de son visage car il l'épouse parfaitement. De fines lanières de cuir de dragon le retiennent à l'arrière de sa tête. Elle ne l'ôte que le soir venu, lorsqu'elle se trouve seule, et s'observe longuement dans le miroir. Le côté droit de son visage est immaculé. Un teint pâle qui ne voit jamais le soleil contrairement au reste de son corps, une peau lisse et sans défauts, des lèvres pulpeuses et gourmandes. Mais le côté gauche diffère de celui-ci à cause des cicatrices laissées par la brûlure qu'elle s'est infligée sans le vouloir, ne maîtrisant pas son pouvoir. Elle l'a pourtant court d'onguent. De grands magiciens sont venus, sois-disant avec un remède miracle pour qu'elle retrouve son teint de pêche et parfait. Mais rien n'a jamais fonctionné. Elle garde ainsi la peau grossièrement cicatrisée. Elle qui était si belle avant, elle en était défigurée. Elle avait honte. Elle ne voulu plus montrer son visage et fit créer un masque ajusté à son visage. Mais quand elle est seule, elle fixe encore la partie brûlée de son visage. Pour ne pas oublier la dangerosité de son pouvoir qu'elle scellait avec des perles d'obsidiennes dans ses cheveux.
Mais outre son visage atypique, outre ses yeux qui semblent flamboyer en tout temps, elle possède aussi un corps de femme faite. Sa peau est tannée par le soleil des contrées du chaos. Elle combat presque toute la journée dans l'arène, s'entraînant ou tuant des adversaires réels. Elle possède une silhouette gracile, avec une poitrine superbe, ferme et haute, de taille raisonnable. Elle la couvre d'une fine armure faite sur mesure. Et là où se trouve normalement ses tétons, l'armure laisse ressortir une pointe. Longue de cinq centimètres à peu près, et aiguisée. Très pointue. Il vaut mieux éviter le corps à corps lorsqu'elle porte son armure. D'ailleurs, cette armure continue, enserrant son buste dans un carcan de métal aux dorures soignées, soulignant la finesse de sa taille et la courbure de ses hanches. Le bas de son corps est très peu couvert, si ce n'est par un string en cuir et en tissu sous une jupette de lamelles de cuir (lorsqu'elle combat), et par des protections de ce même cuir de dragon le long de ses jambes, partant du haut de ses cuisses, sous ses fesses fermes, rebondies et athlétiques, et descendant jusqu'à ses pieds. AU niveau du genou, une protubérance ressort, telle une pointe, en acier trempé. Il vaut donc mieux éviter les coups de genoux de sa part. Puis, derrière son mollet, un autre pique en ressort, tout aussi acéré que les deux autres. Enfin, la protection finit à ses chevilles, couvrant le haut de ses chaussures. Sur terre, on appellerais ça coquettement. Bottines à talon compensé. Ici, ce sont juste ses chaussures, avec un talon de treize centimètres. Mais pas un talon aiguille. Un talon qui est plein et renforcé. Néanmoins, il n'est pas tout à fait compensé. Il laisse la semelle suivre la forme de la plante de son pied, et la chaussure est à nouveau renforcée de plaque de métal à la pointe. A l'arrière, au-dessus de son talon, il y a un emplacement pour y adjoindre une autre pique pareille aux précédentes.
Au niveau de l'armement, elle masque aussi son bras droit d'un gantelet qui fait penser à une pince d'animale, avec deux piques vers l'avant, prêtes à transpercer l'adversaire et à faire du tricot avec ses entrailles. Et de l'autre côté, deux piques jumelles ressortent au niveau du coude. Son autre bras, le gauche, est couvert de neuf entailles. Une par tranche de dix adversaires vaincus et tués. Elle tient de ce bras ce qui ressemble à un trident, mais avec cinq pointes, et avec l'acier ciselé et plein en-dessous des piques. Toute entière en métal, cette arme est sa favorite.
Description Mentale : Si Angela inspire la crainte au premier abord, grâce à son apparence, elle n'en est pas moins dangereuse. Parce que, mentalement, ce n'est pas une petite poupée tendre qui sert de distraction aux gladiateurs mâles. Mentalement, elle est faite d'acier elle-aussi. Mentalement, elle est parfois pire qu'un gladiateur mâle. Elle adore faire couler le sang de ses adversaires. Elle adore combattre, et vaincre. Perdre ne lui procure aucune honte. C'est juste le signe qu'il faut qu'elle s'entraîne encore pour rester la plus forte. Mais, si perdre dans les règles ne lui cause aucun soucis, elle déteste perdre alors que l'autre triche. C'est quelque chose qu'elle ne tolère pas. La tricherie, l'hypocrisie et tutti quanti. La faiblesse, elle n'aime pas ça non plus, et fait tout son possible pour ne plus être faible comme ses comparses. Elle est la seule femme de l'arène qui combatte réellement. Les autres sont là pour la déco, et pour le bon plaisir des mâles. Elle, elle est là pour combattre. Pas pour se faire lutiner.
Oh bien sûr, elle ne dédaignerait pas se laisser aller une fois, entre les bras de celui qui l'aurait vaincue. Mais ce qu'elle redoute, même si elle s'en cache, ce serait de laisser voir la partie de son visage brûlée. Avec la peau flétrie et fondue, elle se trouve tout sauf attirante. Même lorsqu'elle porte le masque, elle ne se pense pas attirante. Elle s'immerge toute entière dans les combats. Elle n'a pas beaucoup d'autres distractions. Elle renouvelle aussi régulièrement son stock d'obsidienne. En plus des propriété de cette pierre, elle adore la couleur sombre qui s'harmonise avec ses cheveux.
Passé ces caractéristiques, on peut toutefois noter que, si on franchit l'armure d'impassibilité et de mépris qu'elle affiche, on tombe sur une femme qui est sensible en dedans. Elle reste la petite fille qui a très tôt dû se débrouiller toute seule et qui a besoin d'amour, de tendresse et de reconnaissance. Elle reste la fillette qui a vu ses parents tués, et sa grande soeur violée. Elle reste la fillette qui s'isolait souvent et faisait tout pour passer inaperçu et pour ne pas subir les foudres de ses ravisseurs. Elle fait toutefois tout pour ne pas le montrer. Personne ne connaît ses blessures secrètes. Et personne n'a encore vu son visage à demi brûlé.
Histoire : Trente ans plus tôt, Angela est venu au monde dans un petit village tranquille. Ses parents, un forgeron nommé Rory et une tisseuse appelée Sara, n'étaient pas très riches. Mais ils se débrouillaient pour vivre sans soucis. Leur seconde fille fut donc aussi choyée que la première, entourée d'amour et de tendresse. Mais ça n'a duré que le temps de ses cinq premières années. Le désordre est venu alors qu'Angela venait de fêter ses cinq ans. Ils avaient presque fini de manger le gâteau. Sa grande soeur, de treize ans, lui avait offert une statuette en forme de cheval, comme celui qu'elle allait admirer la journée dans le pré du voisin. Son père lui avait offert une épée miniature à sa taille. Forgée par ses soins, et ornée de deux perles sur le pommeau. Quant à sa mère, elle allait lui offrir une jolie robe tissée par ses soins.
Mais elle n'eut pas le temps de la prendre que déjà des cris de terreur et des hennissements retentissaient. Des armes qui s'entrechoquaient. Des grognements d'hommes. Des piétinements. Angela resta tétanisée. Des hommes tout vêtus de cuir débarquaient, et tranchaient les habitants. Son père tenta de les défendre, mais il fut décapité d'un simple coup d'une hache à double tranchant. Sa mère la poussa, elle et sa soeur, à rentrer se cacher. Sous les yeux horrifiés d'Angela, elle eut le coeur transpercé. La lame la coupa presque en deux en s'abaissant. Sa soeur la poussa, la faisant rentrer dans une armoire. Elle allait la rejoindre lorsqu'une main la saisit. Un rire gras marqua l'esprit d'Angela, tandis que sa soeur criait. Qu'elle se faisait violer par cette brute. Qu'elle se faisait trimbaler entre ses hommes en pleurant, à bout de force et avec la voix brisée. Et finalement, elle finit par être égorgée. Quant à Angela.. Elle pleurait silencieusement. Elle venait de perdre sa famille. L'homme qui la tira du placard d'un geste brusque était celui qui avait violé sa soeur en premier, et celui qui l'avait égorgée. Elle fut prise de rage alors, et le mordit férocement. Elle ressenti une bouffée de chaleur et l'homme fut brûlé. Entièrement. La main qu'elle avait posé sur son bras étaient pire qu'une braise.
Voyant ce qu'elle venait de faire, Angela -qui n'était qu'une petite fille- hurla. Elle se prit le visage entre les mains. Malheureusement, sa main était toujours bouillantes. Elle se brûla tout le côté gauche de son visage. Les autres hommes se chargèrent de la refroidir. Puis ils lui lièrent les poignets avec de l'obsidienne avant de l'emmener, inconsciente, chez un guérisseur.
Après sa visite chez le guérisseur, elle garda un bandage pendant des mois, tout en servant de "page" à ses ravisseurs. Elle était trop jeune pour être sexuellement attirante, mais elle était très habile et débrouillarde pour son âge. Elle resta trois ans à leur service, forcée de leur obéir. Et puis elle fugua. Elle s'était liée d'amitié avec un autre gamin, comme elle. Ensemble, ils assommèrent leur unique gardien, lui piquèrent ses armes, et disparurent du camps après avoir volé le meilleur cheval. Celui-là même qu'Angela observait souvent au village, et qui avait été emmené comme prise de guerre.
Ils laissèrent l'animal galoper pendant toute la nuit, puis se reposèrent. Ils étaient loin du camps. Ils repartirent la nuit d'après. Pendant six nuits, ils s'éloignèrent, encore et encore. Le garçon était débrouillard. Il brouillait leurs pistes. Et la journée, il apprenait à Angela à se servir des armes qu'ils avaient volé. Lui, il était fils d'un guerrier rival du groupe qui les avaient enlevés. Il lui apprit donc tout ce qu'il savait. Et ils s'entraînèrent tout les deux. Elle apprenait vite. Elle était douée. La petite fille, mûre avant l'heure, ne devait toutefois pas garder cet ami bien longtemps. Trois mois après, alors qu'ils volaient pour manger et qu'ils dormaient à la belle étoile avec leur monture, ils furent à nouveau capturés. Ils résistèrent, bien sûr. Le cheval fut tué, le poitrail transpercé par une lance. Son compagnon fut lui aussi tué, et ses entrailles répandues sur le sol. Quant à elle, elle fut assommée.
Quand elle se réveilla, elle était enchaînée avec d'autres enfants. Ceux qui venaient de la capturer avaient pu noter son adresse en maniant les armes. Ils avaient donc décider de la mettre avec les esclaves destinés à devenir gladiateurs.
Le temps passa. Les mois, d'abord, puis les années. Au début de son emprisonnement, elle se fit créer un masque pour couvrir son visage brûlé. Et elle s'entraîna, encore et encore. Si elle gagnait suffisamment de combat, elle serait libre lui avait-on dit. C'est ce qui la motivait, au départ. Ensuite, le temps passant, elle en est venu à apprécier ça. Se battre. Tuer. Blesser. Elle devint vite une des plus redoutée. Plus forte qu'une femme lambda. Elle pouvait même battre pas mal de ses compatriotes masculins. Angela, Reine de l'Arène. Elle était connue ainsi. Et redoutée par beaucoup.
Situation de départ : Vierge encore, pour l'instant.
Comment avez-vous connu le forum (et tutti quanti) : Par Google. Et puis je vois mal comment faire de la pub, parce que je ne suis pas sur beaucoup de forums.
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