Carol avait pensé à Slimia toute cette semaine, et à leur étonnante séance de sexe. Qui aurait cru qu’elle puisse trouver ça si... Excitant ? Du sexe avec une Slime... Elle s’était même demandée, après coup, si Slimia n’avait pas laissé en elle une sorte de drogue, d’injection qui l’amènerait à retourner vers elle. Les tests réalisés sur son corps avaient toutefois conclu à l’absence de produits de ce type. C’était... C’était juste dans sa tête. Elle en rêvait la nuit, se réveillait en y repensant... Et là, face à Slimia, elle savait que les choses allaient être intenses. La Slime allait être à la hauteur de sa réputation, et ne tarda pas à lui sauter dessus. Le reste fut un peu confus pour Carol, qui vit le corps de Slimia se tendre et se détendre. Elle la recouvrit d’une sorte de couverture aquatique, et, tout en l’embrassant, généra d’autres Slimia, des clones aquatiques d’elle-même. Elle avait commencé par déshabiller sa partenaire à l’aide de plusieurs tentacules, qui ôtèrent, l’un après l’autre, tous ses vêtements.
Sous ce contact, Carol frémissait. Les tentacules aqueux étaient frais, tendres, à la fois agréables et troublants, provoquant en elle des sentiments confus, contradictoires, mais non moins excitants.
« Sli... Slimia... »
L’un des clones de Slimia lécha son intimité, Slimia le générant sous elle. Créature entièrement liquide, elle pouvait volontiers changer d’apparence, et généra un autre clone. Les tentacules caressaient le corps de Carol, glissant sur sa peau, titillant ses seins, ses hanches, et elle répondit à son baiser avec envie, sentant la langue de Slimia s’enfoncer en elle, tournoyant autour de sa langue, la saisissant, maintenant Carol dans un état second. Délicieusement prisonnière de sa partenaire, Carol ne pouvait que la laisser faire, gémissant longuement, tout en sentant une bosse se former contre ses cuisses. Slimia avait regroupé quatre tentacules phalliques, et, quand Carol les vit, elle assista à une bien curieuse scène.
Entre eux, les tentacules se mirent à remuer, se mélangeant, s’entortillant entre eux, fusionnant ainsi, jusqu’à former une énorme verge. Carol écarquilla les yeux en rougissant, et comprit que Slimia n’avait fait que la préparer jusqu’à ce moment. Carol s’en pinça les lèvres, incrédule, se demandant bien comment un tel engin allait bien pouvoir rentrer en elle. Elle rougit donc, et observa Slimia, indécise... Mais Slimia n’était plus en mesure de s’arrêter. La belle Slime s’était dotée d’une belle queue, sur laquelle des espèces de picots se formèrent. Son clone ayant bien léché Carol, humidifiant ses parois intimes, la super-héroïne était prête.
Pour autant, nerveuse, celle-ci tenta, bien vainement, de signaler à Slimia que cette dernière commençait peut-être trop fort :
« Euh... Slimia, tu ne devrais pas y aller... Plus calmement... ? »
Mais, pour seule réponse, Slimia ricana, expliquant qu’elle pouvait faire encore plus gros, puis la pénétra d’un coup sec. En sentant cette verge s’enfoncer violemment en elle, Carol écarquilla les yeux, un cri silencieux mourant dans sa gorge, tous ses muscles se contractant sous la présence de ce membre colossal. Cette séance était tellement intensive, cette queue tellement monstrueuse, que Carol n’avait même plus la force de hurler ! Elle accusait le coup, tout simplement.
Le membre força le passage, et Carol, en grognant encore, sentit également de fins tentacules aqueux sortir de cette queue massive pour se glisser en elle, la faisant trembler. Elle sentit l’eau l’entourer, perdant l’usage de ses membres, et vit la deuxième Slimia s’élever au-dessus d’elle, son sexe proche de son visage. Carol cligna encore des yeux, et soupira encore.
« S-Sli... Sliii... Haaaaaaaa... !! »
Ses mains se relevèrent, et saisirent les hanches du clone, puis elle s’en servit pour abaisser son bassin, et ouvrit sa bouche, enfonçant sa langue en elle, sentant son visage s’humidifier au contact des cuisses du clone aqueux. Elle aurait voulu en faire plus, bien entendu, mais elle n’était clairement pas en état de pouvoir en faire davantage. Slimia la mettait dans un état impensable, tout simplement !
Mais, bien évidemment, Carol adorait ça !