Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Circé

Pages: [1] 2 3 ... 5
1
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 02 janvier 2013, 14:13:06 »
Hop réponses aux rp's à faire. Vu que ça n'a que trop tardé.
Mais je garantis pas de les finir aujourd'hui.

14:13

2
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 24 novembre 2012, 02:39:53 »
-le kidnappe-

Hop, ni vu ni connu :D

2h40

3
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 24 novembre 2012, 02:28:20 »
Il est l'heure d'aller dormir !

2h28

4
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 23 novembre 2012, 22:28:18 »
Bonsoir demoiselle Voodoo :)

22h28

5
Blabla / Horloge parlante
« le: vendredi 23 novembre 2012, 22:15:02 »
Bon, et bien je suis à jour :D

22h15

6
Place publique / Re : Jouer avec le feu...
« le: vendredi 23 novembre 2012, 22:12:37 »
« Des bijoux qui pourraient servir d'amulette. Avec une base en bronze, des ornements en or, un remplissage en ivoire et une pierre incrustée au centre. Une pierre, genre rubis. »

Elle sortit un médaillon de sa poche pour le lui montrer.

« J'aimerais cette forme là. Que le métal soit le bronze, et que l'image soit de l'ivoire avec une pierre au centre. Peu m'importe la taille de la pierre, il faut juste qu'elle soit le plus pure possible. »

Elle déposa le médaillon, qui avait peu de valeur marchande, et observa l'atelier du forgeron.

« Combien vous demandez en paiement ? »

Elle passa son doigt sur quelques tranchants d'armes présentées, sans se couper. Son regard notait les ciselures exécutées avec précision. Elle soupesa une épée, appréciant l'équilibre qu'elle sentait dans l'arme, la pureté du métal et le savoir-faire déployé pour lui donner cette forme effrayante et utile, pour prendre l'air un minimum et s'abattre avec plus de force.

Circé n'était pas une guerrière. Ou pas une as du combat en tout cas. Mais, repensant à son séjour dans les Landes Dévastées, elle se souvenait des qualités des armes que les guerriers vantaient.

« Si jamais ça peut vous intéresser, je suis magicienne. Au lieu de payer en espèces sonnantes et trébuchantes, je peux ensorceler certaines de vos meilleures armes ici présentes pour que vous en tiriez un meilleur prix. »

A vrai dire, elle préférait cette solution. Elle n'avait pas des masses d'or sur elle. Quelques pièces qui traînaient au fond de la bourse en cuir cachée entre ses seins. Elle n'avait pas besoin d'avoir ds sous sur elle en général.

7
Les landes dévastées / Re : Bienvenue dans le monde (presque) perdu.
« le: vendredi 23 novembre 2012, 21:42:34 »
Elle était contente qu'il l'écoute sans l'interrompre. La magicienne avait horreur qu'on la coupe lorsqu'elle était partie. Et quand elle eut fini, qu'elle commençait à se montrer entreprenante, elle apprécia qu'il ne la rejette pas, qu'il l'encourage même d'un simple geste. Ses doigts se firent plus insistants, plus caressants. Elle s'attarda sur les contours des abdominaux, remonta le long du sternum et venant faire des cercle autour des mamelons. Elle écoutait, en même temps, le barbare qui lui répondait. Sa voix grave résonnait dans sa cage thoracique. Elle sentait son torse puissant vibrer au rythme des mots qu'il laissait s'échapper.

Elle sourit. Le regard levé vers Zord, Circé fut surprise de ses paroles. Une guerrière, elle ? Elle était douée en duels magiques, oui. Mais outre la magie, elle n'avait jamais apprit à se battre. Elle considérait comme normal de s'expliquer quant à ses réactions. Elle ferait une bonne barbare ? Elle-même en doutait. Elle n'arriverait pas à lever la moindre des armes que possédait cet homme. Même celles de Trahor devraient être trop lourdes pour elle.

Malgré tout, les mots du colosse faisaient leur chemin au travers des méandres de son esprit. Et, tout en se laissant remonter légèrement contre le roi barbare, tout en répondant avec ferveur au baiser qu'il lui prodigua, elle y réfléchissait dans une partie de son cerveau qui n'était pas en train de frémir doucement sous ses doigts. Elle ondula légèrement du bassin contre lui, frottant sa peau bronzée couverte de l'étoffe fine contre celle du guerrier, laissant son aine imberbe caresser la cuisse de Zord à travers le tissu fluide.

Bien installée sur lui, elle rompit l'étreinte de leurs lèvres pour plonger son regard dans le sien.

« Je.. Je veux bien que tu m'apprenne... Et... Je veux autre chose aussi... »

La dernière partie de sa phrase avait été prononcée sur un ton taquin. La carrure de Zord l'impressionnait, mais pas que. Elle était aussi émoustillée. A vrai dire, peu d'hommes avait ainsi suscité son excitation sans trop rien faire.

Elle se jucha de meilleure manière sur lui, toujours allongée, mais ses jambes clairement de chaque côté. Ses mains revinrent flatter ses flancs, retraçant les lignes de ses côtes, remontant vers ses pectoraux, redescendant se frayer un passage entre sa poitrine qu'elle venait coller contre lui et sa peau chaude pour aller dessiner des motifs abstraits.

« J'aimerais... Te sentir en moi. Sur moi. Tout autour de moi. »

Elle pencha la tête et goûta à nouveau à ses lèvres, mutine mais passionnée. Même sans magie, il restait clair qu'elle n'était pas une débutante pour les jeux intimes.

8
Le holster d'épaule et le Beretta qu'elle avait s'étaient retrouvés par terre, au même titre que la chemise. Elle adorait aussi l'effet qu'elle lui faisait en se déshabillant ainsi, sans trop d'efforts. Elle avait hâte de passer à la suite, oh oui. Elle soupira doucement quand il s'occupa de sa poitrine. Elle appuya plus fermement sa main sur le service trois-pièces de Stephen. Elle claqua à nouveau des mâchoires, l'air féline, et se laissa porter jusqu'à l'étage en le couvant d'un regard enflammé. Une fois prise dans la tourmente du désir, Circé ne s'arrêtait plus. Sauf si quelque chose lui déplaisait. Que ce soit un trop plein de domination de son partenaire, ou une trop grande soumission, que ce soit trop brutal, trop hard ou bien trop doux.

Pour l'instant, c'était parfait. A nouveau debout sur ses jambes, elle ferma à demi les yeux en laissant le démon s'occuper de sa poitrine, un soupire s'échappant d'entre ses lèvres.

La main posée sur la protubérance qui déformait le boxer de son vis-à-vis, Circé sourit.

« Je suis une professionnelle dans ce domaine... »

Elle lui lança un regard brûlant, et saisit l'homme par les épaules pour le faire se tourner dos au lit. Puis elle le poussa encore, et le fit s'asseoir. Mimant un strip-tease, elle dansa lascivement devant lui en s'accroupissant doucement, puis finit par s'agenouiller. Loin d'être une position de faiblesse, elle considérait la fellation comme le pouvoir suprême d'une femme sur un homme. Elle le tenait par les couilles, littéralement. Ses lèvres gourmandes embrassèrent d'abord l'aine, à la base de la verge, tandis que ses doigts faisaient disparaître le boxer du démon.

Quand le sous-vêtement eut disparu, la rousse s'empara de son gros calibre d'une main ferme et chaleureuse. Elle le masturba doucement, lançant un autre regard enflammé tout en se passant la langue sur les lèvres. Langue qui alla d'ailleurs s'enrouler autour de la verge, évitant soigneusement le gland, s'amusant à humidifier la hampe gorgée de sang.

Quand enfin elle se décida à suçoter le point sensible de son jouet, elle leva les yeux pour observer sa réaction. Elle laissa l'instrument pénétrer entre ses lèvres jusqu'à la garde. Et jusqu'à ce qu'il bute contre sa gorge. Sa langue palpa la peau douce de l'organe lorsqu'elle remonta, et qu'elle commença à effectuer des aller et retour à un rythme qui allait croissant. Elle se bloquait parfois, avec l'entièreté de son puissant membre entre ses lèvres, ses doigts massant les bourses pleines, puis remontait et lâchait complètement sa proie pour le masturber avec sa main libre. Elle effectua plusieurs fois son manège érotique, laissant sa main flatter ses courbes lorsque sa bouche était occupée.

9
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 21 novembre 2012, 23:15:38 »
Bon, il est 23h15, et je n'ai pas le temps de finir mes réponses aux rp's. Ce sera donc pour demain.

Bonne nuit LGJ (et à bas le café) :)

10
Les landes dévastées / Re : Bienvenue dans le monde (presque) perdu.
« le: mercredi 21 novembre 2012, 20:47:50 »
Une preuve de respect chez les guerriers. Mais elle n'était pas guerrière ! Elle était magicienne. Elle transformait les hommes en porc ou autre animal peu flatteur. Elle gardait Ulysse prisonnier de son île, elle.. N'était qu'une poupée de chiffon entre les mains du barbare. Elle écarquilla les yeux, surprise. Jamais encore on ne l'avait traitée ainsi. Circé loucha à moitié sur ce membre viril qu'elle venait de laver. Si proche. Et oui, menaçant. Elle ne dit rien. Elle écouta.

Quand le guerrier l'eut relâché, elle s'était frotté le menton machinalement avant de reprendre. Maintenant qu'elle avait fini, elle y repensait encore. Plus encore que le coup de poing de Trahor à l'entrée du village (qui laissait d'ailleurs une marque encore rouge sur son abdomen), cet acte lui avait fait réaliser à quel point elle était vulnérable. Même si Zord prenait ça pour des marques de respect. Elle se demanda alors ce que ce serait s'il ne la respectait pas. Et elle en frissonna.

Elle ne comprenait décidément pas les hommes. Et encore moins ce Zord. Elle ne prononça pas un mot jusqu'à ce qu'il sorte de la pièce. Elle n'en prononça d'ailleurs pas d'autre quand il fut sorti. Elle resta un long moment debout dans le baquet. Pourquoi ? Parce qu'elle était plus troublée qu'elle ne voulait l'admettre. Elle, la grande Circé, était troublée. Elle finit par secouer la tête et sortir du baquet. Elle se dirigea vers la malle et se saisit du linge pour se sécher doucement, encore songeuse. Elle ouvrit ensuite la malle pour observer les divers vêtements féminins qui s'y trouvaient. Et elle repensait toujours à ce qu'avait dit le roi barbare.

Machinalement, elle opta pour une robe échancrée qui flattait ses formes. La matière était fluide, mais aussi opacifiée. Sans rien au-dessous. Elle remettrait sa tunique pour partir. Et arrivée aux frontières de ces landes, elle se volatiliserait pour ne plus jamais y revenir.

Mais pour l'instant, elle posa le linge humide sur le dessus de la malle et se dirigea vers la peau qu'avait soulevée le colosse. Elle marqua un instant d'arrêt, inspira profondément, et souleva à son tour la peau pour retrouver le roi Zord. Elle passait ses doigts dans sa chevelure pour éviter les noeuds le lendemain, et rejoignit l'homme qui était couché déjà. Couché mais pas endormi. Et peu couvert aussi. Elle se sentait nerveuse. Pourtant, ce n'était pas la première fois qu'elle allait dormir avec un homme. Ni la première fois qu'elle voyait quelqu'un dormir nu, ou qu'elle voyait une verge à moitié durcie. Alors pourquoi se sentait-elle si troublée ?

Masquant sa légère hésitation, elle se glissa sur la couche de peau. Machinalement, elle colla son dos contre le guerrière et replia ses jambes contre son ventre. Un bras sous sa tête, elle garda les yeux ouvert. Puis les mots coulèrent d'entre ses lèvres sans qu'elle ne les retiennent.

« Je ne suis pas une guerrière, c'est vrai. J'ignore tout de vos coutumes, de vos croyances ou de.. De tout en fait. Je m'emporte facilement. Je me vexe facilement. Et je ne sais pas me battre. Je suis née magicienne. Je suis née avec ces connaissances dans ma tête, et cette magie dans mon sang. Je n'ai même ni père, ni mère, si ce n'est une tripotée de dieux. »

Elle s'arrêta le temps de reprendre son souffle et de déglutir rapidement. Elle parlait sans réfléchir.

« Je te remercie de m'héberger pour la nuit. De me considérer avec respect. J'admet que je juge vite aussi. Et je n'aime pas avoir tort. Je n'aime pas non plus être troublée comme en cet instant. J'aime maîtriser les choses, le cours des évènements, ce genre de trucs. Être vulnérable, c'est nouveau pour moi. »

Elle se retourna alors, plongeant son regard dans celui du barbare.

« Je suis frileuse aussi... »

Elle se colla contre lui.

« Et curieuse. Joueuse. »

Une main sous sa tête, elle laissa l'autre errer sur le torse puissant de Zord en le frôlant à peine.

11
Les landes dévastées / Re : Bienvenue dans le monde (presque) perdu.
« le: mercredi 21 novembre 2012, 19:00:59 »
Comme il ne prenait pas le savon, elle le tint dans sa main, mais ça ne l'empêcha pas de se remettre sous l'eau. Elle haussa un sourcil quand le surnom changea. Mais il était plus flatteur que le précédent, et elle ne dit rien.

« C'est bien de là d'où je viens. Même si, à mon époque, il y avait plus de guerriers de ta trempe, susceptible de te tenir tête. Maintenant... C'est le monde moderne. »

Moderne, destructeur et pollué. Elle joua avec le savon sous l'eau, appréciant le clapotis provoqué par ses mouvements. Elle qui n'avait pas l'habitude de s'excuser, qui était toujours dans son bon droit, il lui avait fallu abaisser la barrière qu'elle érigeait en tout temps. Mais ce n'était que provisoire. Elle hocha la tête, un peu frustrée de n'être considérée que comme une femme ordinaire. Elle préférait, en toute honnêteté, la crainte ou l'adoration. Elle était magicienne que diable ! Elle pouvait transformer ce colosse en chiot si elle le voulait. Et si elle pouvait faire usage de ses pouvoirs. Evidemment.

C'est l'absence de liberté pour sa magie qui la forçait à adopter une attitude différente. Oui, elle était vulnérable. Elle s'en rendait bien compte. Elle leva les yeux du savon lorsqu'il expliqua la raison de la haine de la magie qui régnait ici. Et elle pinça les lèvres quand il lui donna un ordre. Sérieusement ? Il y croyait vraiment puisqu'il se levait pour la laisser faire son office.

L'ensorceleuse ferma les yeux en se répétant qu'elle était vulnérable. Puis elle regarda le savon dans sa main. Elle soupira, et s'exécuta à contre-coeur. Comme elle était encore repliée dans le baquet, elle frotta le savon contre les mollets du guerrier. Puissants, à l'instar du reste de sa personne. Mais la rousse trouvait malgré tout dégradant d'être réduite à faire la toilette de quelqu'un. Pourquoi n'avait-elle pas eu d'enfants, durant toutes ces années ? Elle n'était absolument pas stérile. Elle était même très fertile. Mais elle détestait l'idée d'avoir un enfant. Elle n'aimait pas non plus des masses les enfants. Elle tenait à son indépendance.

Elle tenta de mettre son égo en colère de côté pour continuer sa besogne. Elle remonta sur les cuisses, en ayant devant les yeux son impressionnante virilité. Dans d'autres circonstances, si elle n'était pas aussi démunie, ça ne lui aurait pas déplu. Mais être obligée, ça lui déplaisait forcément.

« Je ne crois pas que les guerriers comme toi ou ton peuple soient attardés. C'est juste ce.. Celui qui m'a accueillie qui n'est pas représentatif de la majorité. »

Elle s'arrêta un instant, avant de reprendre en se répétant toujours qu'elle le faisait uniquement parce qu'elle était vulnérable. Elle frôla d'abord le membre presque au repos. Puis elle prit plus d'assurance, et c'est avec fermeté qu'elle le savonna, qu'elle s'occupa de ses bijoux, et qu'elle remonta encore. A présent debout, elle passa le savon sur le torse musclé du guerrier en frottant doucement. Le savon ne méritait pas qu'elle passe ses nerfs dessus.

« Les sorciers qui s'en sont prit à vous ne sont que des monstres. Utiliser la magie à des fins mortelles... Tssk. Sans provocation préalable, c'est juste de la cruauté gratuite. Et même s'il y avait eu provocation, décimer des tribus ne sert à rien. »

Circé préférait nettement les métamorphoses ingrates plutôt que le meurtre. De toute sa vie, elle n'avait tué que son violeur. Elle s'était par contre régalée à transformer des générations d'hommes trop gourmand en porcs.

Repenser à ces années de quiétudes où elle était isolée sur son île ralentit un peu ses gestes. Peut-être même était-elle plus tendre. Elle le faisait mécaniquement. Ses mains passèrent sur les épaules du barbare, avant de se glisser dans son dos. Elle repensa aussi aux mots de Zord. Elle devrait partager sa couche, soit. Mais il avait mentionné qu'elle n'était digne d'être prise que par un roi. Devait-elle en tirer des conclusions ?

En y pensant, cette idée n'était pas si désagréable que ça. En fait, ça serait même plutôt intéressant. Restait à espérer qu'il ne soit pas de ceux qui prennent leur dû sans se soucier de leur partenaire...

Elle secoua finalement la tête. A quoi pensait-elle ? Elle s'imaginait... Avec... Non mais vraiment.. Elle se mordit les lèvres et frotta un peu plus vivement le dos de Zord. Quand elle eut fini, elle rinça le savon pour le débarrasser de la mousse avant de le poser dans le coffret qu'elle avait reposé par terre. Elle devait se pencher, pour se faire, et se retenait au bord du baquet. Puis elle s'assit à nouveau dans l'eau.

« Était-ce à ta convenance, ta Seigneurie ? »

De l'ironie ? Si peu. Mais il faut avouer que se faire donner des ordres, ce n'était pas sa tasse de thé.

12
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 21 novembre 2012, 17:47:39 »
J'approuve !

17h48

13
Petite brindille voluptueuse face à un colosse sculpté avec soin. Telle était la scène. Mais même si la petite brindille voluptueuse se laissait faire pour le moment, elle n'avait pas dit son dernier mot. Elle répondit au baiser avec la même ardeur que le démon y mettait. Elle lui mordilla même la langue, joueuse. Les doigts de sa main libre agrippaient les hanches de son désormais partenaire comme pour se coller encore plus à lui.

Circé n'était pas du genre dominatrice. Mais elle n'aimait pas non plus se soumettre. Elle préférait sentir la passion. La vivre et la faire vivre. Ses partenaires en étaient toujours quitte pour des griffures ou des morsures diverses, commises sous le feu du désir. Elle ne dédaignait pas la sauvagerie.

« Heureusement qu'ils ne te mettent pas tous en appétit. Beaucoup sont des hommes et hétéro. Quoique.. Un de mes collègues serait ravi de cette situation lui aussi... »

Elle sourit à nouveau alors que le pantalon finissait sa course sur le sol. Pantalon et artillerie. Elle jeta un oeil curieux à l'arme qu'il détenait. Joli. Elle haussa le sourcil d'un air évocateur en souriant, gourmande. Elle rit légèrement lorsqu'il affirma avoir toujours un autre calibre sur lui.

« Ah oui ? Aussi impressionnant, j'espère. »

Quant à sa poitrine, elle allait prendre son temps. Même sans soutien-gorge -vil impatient- Circé savait faire languir. Circé aimait faire languir. Le sous-vêtement glissait sur le devant, et le corset tombé à terre ne cachait plus la transparence de la chemise. Mais elle n'était pas vaincue. Elle se frottait contre lui lascivement. Sa poitrine plaquée contre le torse puissant d'Helel, la magicienne rematérialisa une porte pour couper court aux courants d'air. Et pour leur laisser plus d'intimité.

Elle utilisa ensuite sa main libre pour déboutonner adroitement sa chemise ample. En commençant par le bas. Ses doigts s'égarèrent d'ailleurs souvent sur le sous-vêtement du démon. Puis elle remonta, doucement. Langoureusement. Peu à peu, ses doigts atteignirent le point juste au-dessus de son nombril. Le soutien-gorge tomba à terre, libéré avec une touche de magie des lanières qui le retenaient autour des bras de la rousse. Elle l'écarta du bout du pied avant de se reconcentrer sur les boutons de nacre. Ses lèvres allèrent chatouiller les tétons du démon en même temps.

Elle s'amusait. Elle sentait monter le désir aussi. Lorsque le dernier bouton fut ôté, elle laissa les pans de la chemise glisser de chaque côté de son buste. Une nouvelle fois, les pouvoirs de l'ensorceleuse permirent à la chemise de tomber au sol sans accroc.

« Fais-moi voir un lieu plus confortable chaton... A moins que tu ne souhaites te retrouver le dos dans la poussière et les gravats... »

Elle plongea son regard dans le sien. Ses lèvres vinrent taquiner les siennes tandis qu'elle agrippait sa nuque avec fermeté pour le rapprocher d'elle. Elle était plaquée contre lui. Son bassin donnant des petits coups pour aiguiser encore son désir à lui.

14
Place publique / Jouer avec le feu...
« le: mercredi 21 novembre 2012, 16:38:10 »
Des bijoux. De somptueux bijoux.

Depuis quelques jours, Circé en rêvait. Mais elle ne voulait pas les faire elle-même. Ce n'était pas drôle. Il n'y aurait pas l'amour des choses faites à la main. Il n'y aurait pas cette sensation de "vrai".

Elle arpentait le marché de Nexus de bon matin, cherchant celui qui pourrit lui faire ces merveilles dont elle rêvait. Elle pourrait même les ensorceler après, pour diverses choses. Protection permanente, sublimation de beauté, réservoir d'énergie... Qu'importait le sort.

Elle rencontra plusieurs joailliers. Mais aucun n'était assez doué à son goût. Et le prix qu'ils demandaient était exorbitant. Elle voulait bien ensorceler des objets pour eux, mais surtout pas payer des milliers de pièces d'or pour ça. Non merci.

L'heure de déjeuner approchait. Elle soupira. Manger un bout ne lui ferait pas de mal. L'auberge la plus proche proposait des poulets rôtis depuis le matin à la broche. Elle en commanda un, et s'installa à une table, seule, pour le manger. Elle prit une heure. Elle le dégusta, avec des patates douces et un pichet de vin. Délicieux.

Lorsqu'elle eut fini, et qu'elle paya le tavernier avec quelques pièces d'argent, elle reprit son tour du marché. Elle essaya divers bijoutiers, joailliers ou forgerons. Mais rien ne lui convenait.

Avant de partir, elle tenta une dernière fois :

« Bonjour. Vous sauriez créer des bijoux par hasard ? »

15
Quelle idiote. Mais quelle idiote. Comment avait-elle fait son compte pour réussir à se menotter elle-même au démon ? Non mais vraiment... Même l'idée que cette situation faisait naître dans son esprit ne parvint pas à effacer le profond sentiment d’imbécillité qu'elle avait éprouvé.

Non, en fait, la seule chose qui parvint à effacer ce sentiment, ce fut de voir son prisonnier ôter sa chemise sans aucune précaution. Bien fait. Il était même très bien fait. Elle esquissa un sourire amusé, et releva le regard vers le brun qui émit à cet instant un semblant de grognement de cochon. Oh, il pouvait se moquer... Ce qu'elle avait en tête ne lui donnerait pas la satisfaction de la dominer. Elle se complaisait à palper la peau chaude du démon, à tâter les muscles puissants qu'elle sentait contractés sous ses doigts.

Elle apprécia l'engouement qu'il mit à accepter le marché.

« Être proie ne me gêne pas. Une proie n'est pas toujours dominée mon grand. Elle peut même échapper au prédateur... Parfois. »

Elle se mordilla la lèvre inférieure quand il se colla à elle. Oui, une proie pouvait parfaitement échapper au chasseur. Mais pour l'instant, elle appréciait. Elle aussi soupira doucement elle-aussi, quand les lèvres d'Helel frôlèrent son oreille. Elle garda sa main libre plaquée contre le torse du démon, dessinant des arabesques invisibles, le griffant légèrement par la même occasion. Elle passa outre le manteau qu'il déchira en enlevant, et fit jouer ses dons pour ôter la manche qui restait et la recoller.

« Disons que je suis une exception parmi mes collègues. Mais comme je suis l'une des meilleures, ils passent outre. »

Elle ricana brièvement avant de rajouter :

« Je ne suis pas toujours aussi clémente. Tu as de la chance, je suis dans un bon jour mon chaton.. »

Sa main avait glissé le long du bras du brun jusqu'à venir délacer doucement le bas de son corset. Helel la reposa sur son torse qu'elle caressa avec une lueur gourmande au fond des yeux.

Se passant la langue sur la lèvre inférieure, elle haussa un sourcil, et son corset se délaça tout seul sous les yeux du démon. Elle claqua des mâchoires, mimant un fauve prêt à bondir sur sa proie, et c'est le pantalon de son adversaire qui se dénoua tout seul, comme si des mains invisibles s'en occupait. Elle fit aussi s'allonger légèrement la chaîne qui maintenait les deux cercles d'acier. Pour laisser un peu plus de liberté de mouvement. Mais elle n'allait certainement pas laisser filer son criminel maintenant. Il ne faut pas rêver.

« Et tous les inspecteurs ne sont pas aussi... Arrangeant que moi. »

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