Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Amaluna Ékastra

Pages: [1] 2
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Le parc et son sous-bois / Re : État Crépusculaire [Amaluna Ékastra]
« le: jeudi 11 octobre 2012, 03:54:05 »
Amaluna descendit de son perchoir comme un oiseau domestiqué que l'on sortais de sa cage. Elle marchait comme si ses ballerines allaient se changer en braises ardentes sous ses pieds. Elle avait peur que des tentacules ne l'aggripent et ne l'amènent déjà dans sa tombe. Plus elle se rapprochait de l'homme qui clamait une amitiée sans défaillance pour une inconnue totale, plus son esprit envahis des milles et unes sensations dont aucun humain n'expérimentais à plein potentiel devenais un vide blanc. Non, pas totallement vide. Comme une renaissance. Il y avait de la vie, ce n'était qu'à l'artiste qui avançais vers un homme qu'elle venait à peine de rencontrer de créer cet espace vierge pour elle. Un espace si présent mais comme si personne n'y avais jamais mis les pieds. Aucune haine, aucune folie, aucune peur mais aussi aucune amitiée, aucun amour, aucune passion. Non, encore ici c'était faux. Un arc-en-ciel formais une mare et lorsque Amaluna se concentra sur cette mare, elle y entendis la mélodie anarchique et éfrénée qu'elle produisait lorsqu'elle s'abandonnais totalement. Une mélodie certe cahotique mais avec une certaine technique qui la rendais audible et endurable mais les paroles, bien que pures et racontant une vraie histoire, étaient dénudées de véritable passion. Puis, Amaluna pensa aux paroles qu'elle avais prononcer à Archie... En rangeant son violon et son archet dans l'étuit de cuir blanc qu'elle passa en bandouillère, la marcheuse qui, de ses petits pas, avançais inexorablement vers l'homme-bouc, cherchait dans sa brumeuse mémoire les paroles qu'elle avais prononcer à l'adolescent.

-C'est un bateau qui sombre dans l'océan des ombres où l'attendent déjà des milliers de mendiants, de fous et de putains, couteau entre les dents et seringue à la main. C'est le mauvais côté du rêve et du réel, un soleil barbelé sur qui le Diable veille

Comme une lytanie, les sourcis fronçés, Amaluna cherchait son esprit. Ces paroles-ci avaient une vie en soi. Un cresedo ci, un bémol là en passant par une clef de fa et un do dièse sur une portée imaginaire ajoutée à la pièce imaculée de son esprit. Lorsque la demoiselle leva son visage juvénille sur l'homme, elle y vit un roc, un pillier qui éloignerais les monstres. Un père, un frère, un oncle. Non, quelque chose de plus proche encore... Amaluna écarquilla soudainement les yeux, ancrant ses prunelles si uniques dans les flammes ardentes de l'homme mature. Était-ce comme cela qu'elle perderais ce qui lui reste de pureté ? Sacrifier sa virginité contre un esprit neuf ?

-C'est un chemin d'effroi où règne tous les vices qui nous mène tout droit au jardin des supplices. C'est l'horreur absolu qui conduit au néant où les anges sont nu et recouvert de sang

Amaluna se laissa aller contre l'homme, sa peau glaçée par son escapade nocturne tranquillement réchaufée par le corps ferme et chaud de l'homme qui devais avoir quarante ans mais dont l'âme devais être bien plus vielle. Amaluna chuchotais toujours son monologue de damnée puis, dans l'étreinte du satyre, leva son visage vers celui-ci, emplissant dans les phrases qu'elle allait prononcer une conviction à tout épreuve, passionnée.

-C'est un bateau qui sombre et sombre et sombrera dans l'océan des ombres où Dieu me tend les bras

Puis, Amaluna fourra son nez pointu dans le cou de l'homme, humant son parfum rustique qui transpirait la liberté, les bois et le musc discret mais présent de l'homme. La musicienne emplis son nez de cette odeur qui ne l'agressais en aucun cas mais enivrait ses sens. Puis, ses genoux se mirent à trembler puis, sans crier gare, cèdèrent sous la frêle artiste nocturne.

2
Le parc et son sous-bois / Re : État Crépusculaire [Amaluna Ékastra]
« le: jeudi 11 octobre 2012, 00:07:15 »
Alors que l'anarchie de la mélodie s'adoucissait, la dame blanche percant la nuit de son cruel arme né de douceur et de sensualité pris une longue inspiration tremblante puis sa voie claire, cristaline, déchira la pièce improvisait qui prenait des airs de chanson interprétée il y a des millénaires, caché soigneusement par les anges qui auraient déposer les notes contre le corps noueu du violon et les paroles si déroutantes sur les lèvres fines et pâles de la musicienne nocturne.

Il me semble que c'était hier
Tu faisais partie de moi
Je me tenais droite
J'étais forte
Tes bras serrés autour de moi
Tout semblait si bien
Invincible comme si rien de mal pouvait arriver

Maintenant je ne peux pas respirer
Non, je ne peux pas dormir
J'arrive a peine à survivre

Alors que le refrain s'entâmait avec une rage éclatante, donna l'illusion que la frêle demoiselle était une de ses grandes maîtresses de la guerre sur qui on se tromper que trop souvent. La mélodie anarchique, rapide, précise comme le coup fatal d'une épée maniée par un maître des plus expérimenté dans la fleur de la jeunesse.

Me voilà
Une fois de plus
Je suis réduite en miettes
Je ne peux pas le nier
Je ne peux pas faire semblant
Je pensais que tu était le bon
Détruite à l'intérieur
Mais tu ne verra pas les larmes que je verse
Derrière ces yeux noisettes

La douceur revint avec une courte transition. Les paroles pognardaient Amaluna au coeur, comme un de ses poisons qui nous font brûler avec une lenteur cruelle. Son coeur était encore déchiré entre sa maladie qui, encore une fois, se tenais au loin lorsqu'elle la possédait. Elle l'envahissait en entier au même moment ou qu'elle était absente. Le départ de sa mère était impregné dans sa conscience. Et cet évènement n'était pas un tatou qui partais au lavage mais une marque au fer rouge, brûlant sa peau de satin de l'intérieur.

Je te disais tout
M'ouvrir et te laisser entrer
Tu me rendais heureuse pour la première fois dans ma vie
Maintenant ce qui me reste
C'est ce que je prétend être
Ensemble mais cassés à l'intérieur

Parce que je ne peux pas respirer
Non, je ne peux pas dormir
J'arrive a peine à survivre

Étrangement, les paroles pouraient laisser penser à un homme qui aurais trahis la violoniste solitaire mais elles évoquaient le départ, sans remord, sans regard en arrière d'une beautée gitanne qui avait déserté la maison pour vivre de musique alors que sa seule progéniture mourrais de la sienne. Leurs histoire, même à des milliers de kilomètres, leurs destins étaient opposés. Alors que la douceur de la mélodie s'effasait du parc, l'anarchie revint, comme la promesse d'une autre nuit après le jour, la promesse que, même sous le soleil de minuit, il existe bien pire que des pédophiles ou des voleurs; les âmes en quête de rédemption populaient en masse chaque ville. Mais, ce soir, pour le concert nocturne de la voix de l'ange solitaire accompagné de son violon qui menaçait de se fendre sous sa poigne ferme et colérique, tout les âmes en peines ou en quête de sensations, de colère, de passion, de compagnie peuplaient le parc. Le peuple fantômatique s'était rassemblé avec un invité en chair bien ferme qui pourtant ne détonnais pas parmis les créatures sorties des pires cauchemards des enfants et des adultes.

Me voilà
Une fois de plus
Je suis réduite en miettes
Je ne peux pas le nier
Je ne peux pas faire semblant
Je pensais que tu était le bon
Détruite à l'intérieur
Mais tu ne verra pas les larmes que je verse
Derrière ces yeux noisettes

Avale-moi et crache moi après ça
Pour te detester, je me deteste
Rien que te regarder, ça me tue aujourd'hui
Non, je ne pleure plus
A l'extérieur
Plus jamais

Me voilà
Une fois de plus
Je suis réduite en miettes
Je ne peux pas le nier
Je ne peux pas faire semblant
Je pensais que tu était le bon
Détruite à l'intérieur
Mais tu ne verra pas les larmes que je verse
Derrière ces yeux noisettes

Le violon émis une dernière plainte mélodieuse puis, comme fatigué, s'éteignit, sonnant l'heure de la tombée du rideau et de la fin de se spectacle qui se donnais dans se petit paradis urbain. La demoiselle était figée comme décidée à ne pas bouger, tremblant de tout ses membres comme si une main géante la serrait de toute ses forces. Sous ses yeux paniqués luisant dans la nuit, les fantômes qui s'étaient tenus à carreau rampaient vers elle, grimpant sur la structure et attrapant ses chevilles. La maîtresse de cette nuit si noire et si étanche d'automne se bornait à ne pas regarder ses enfants, prise d'un dégoût d'un niveau des plus haut. Ses sens s'affollaient soudainement. Puis, quelque chose de solide lui toucha le bras du bout des doigts. Ses yeux verts qui, écarquillés, fixaient le vide de leurs luminosité dérangeante, sa prunelle plus claire vibrant au rythme d'une musique constante que seule Amaluna entendais la mélodie se fixant avant l'autre, d'un vert presque passable après la surprise de son oeil si unique, sur la personne faite de chair et d'os et non de peurs et d'imaginaire qui l'avais toucher, fessant sursauter et frisonner la colone vertébrale de la musicienne.

L'adolescente ancra ses prunelles dans celles de l'homme. Non, ce n'était pas un homme. Peut importe ce que cette créature était, elle n'avais rien d'humain et pourtant, cela n'effreya aucunement Amaluna. Elle était surprise mais elle avait déjà inventer pire créature qui ferrais reculer même les plus braves. Elle recula doucement, fuyant discrètement le contact physique et chaud des doigts de l'être et alors qu'elle s'efforçait d'ignorer les fantômes de son esprits qui tentaient tant bien que mal de se frayer un chemin autour de la créature pour atteindre la demoiselle sans y arriver. La chose qui se tenais devant la musicienne effreyait ses chimères et les empêchaient de l'atteindre. La seule personne qui avaient fait fuir ses visions était Archie. Cet adolescent avait besoin de la toucher pour couper ses excès constant de folie mais la créature qui se tenais devant Amaluna avait une portée bien plus loin. Aucun contact physique requis, les monstres reculaient sur un rayon de cinq mètres. Mais ils étaient encore présents, cognant comme des dérangés sur la paroie invisible du demi-globe dans lequel Amaluna était enfermé avec l'étrangé. Était-il conscient de son pouvoir ? La blanche incarnation du soleil de minuit frisonna, la peau dénudée de ses bras se recouvrant de minuscules bosses. La nuit avait beau avoir ses atoux, elle ne tenais pas au chaud la nuit...

-Qu'êtes-vous ?

3
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 09 octobre 2012, 21:51:45 »
2

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: mardi 09 octobre 2012, 21:50:09 »
Pour ma part, je trouve New York plus vivante de nuit xD

5
-C'est vrai, tu as raison, je ne suis pas vraiment normal. Tu penses que c'est grave ? On peut en parler, si tu veux.

Amaluna incina la tête comme si elle allais se retourner mais son coeur se serra. C'était impossible, personne ne pouvais l'aider, elle était destinée à mourir en condamné comme elle en était née. Soudainement, elle se retourna, prise d'un moment de lucidité. Son regard tulmuteux remplis d'horreur se posa dans ceux de son interlocuteur. Entre eux se dressait un mur de lumière qui fessait froncer les sourcils de la belle jeune femme dont la peau était presque translucide. Elle ouvris ses lèvres comme si elle allais parler, ses ombres quittant les méandres de son esprit puis sursauta en remarquant que Archie avait poser une main sur son épaule, comme pour l'encourager à s'ouvrir à elle. Était-il la clef qui dévérouillait la porte vers une vie normale ? Penchant la tête sur le côté, l'expression balançant entre l'incompréension totale et une trouvaille incroyable.

-C'est un chemin d'effroi ou mènne tout les vices qui nous mènent tout droit au jardin des supplices, soupira l'adolescente en appuyant sa tête sur la main de son interlocuteur.

Elle ferma ses yeux pour appercevoir son esprit si bien rangé. Était-ce ca être normal ? Voir la vie sans vie ? Voir un monde sans actions. Mais toutes ses sensations, la chaleur de la main de l'adolescent, la chaleur de la lumière sur sa peau... Minute, la lumière était froide et glaçiale. C'est le rôle des ombres de la réchauffer... Cela n'avais aucun sens... Amaluna faillit se détacher d'Archie mais se ravisa lorsque elle laissa la liberté à la paume de l'adolescent et que la lumière tourna au froid cardinial, aggripant la main de son interloccuteur déssespérément avant même qu'elle retombe sur les flancs de son possesseur.

-C'est le mauvais côté du rêve et du réel, un soleil barbelé sur qui le diable veille...

Amaluna ancra son regard lucide dans les prunelles bleues d'Archie, comprenant beaucoup de choses. Ce garçon n'avais rien d'humain et il était la clef vers une existence avec un équilibre saint et non précaire comme celui qu'elle avait depuis plus d'une douzaine d'années.

-C'est un bateau qui sombre dans l'océan des ombres ou l'attend déjà des milliers de mendiants, de fous et de putains... Couteau entre les dents et sereingue à la main..., murmura la demoiselle aux cheveux aussi fins que la soie et aussi pâle que la neige

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Le parc et son sous-bois / Re : État Crépusculaire [Amaluna Ékastra]
« le: mardi 09 octobre 2012, 02:42:20 »
( HRP : Je suis désolée pour le délais, j'était prise IRL )

Les feuilles tombaient avec l'automne, charriant dans leurs couleurs éclatantes la mélodie nocturne d'une musicienne solitaire. Au coeur d'un parc abandonné pour une courte durée se tenais, debout, fière et droite, l'enchanteresse qui, si belle sous le clair de lune, laissait échaper de son violon blanc des notes d'une précision chirugicales mais ô combien envoutantes. Les balançoires s'agitaient avec des grincements qui auraient fait fuir tout être sencé mais la musicienne n'avais rien de droit et de parfait. Dénudée de tout sens de réflexion profond, elle était perchée sur une structure de métal en un équilibre précaire, ses yeux fermés, laissant ses doigts virevoltés de la main gauche sur les cordes et ceux de la main droite faire glisser l'archet avec une vitesse acquise par l'expérience. On aurais pus croire que, s'abandonna à l'envoûtement de son propre violon, la muscienne aurais fermé ses yeux pour profiter des milles sensations nocturnes qu'apportait cette nuit chargée de silence. Car, malgré le délicieux vacarme, il semblait se fondre au silence si lourd et pesant du mois d'octobre. La beautée blanche fermais les yeux pour se soustraire à ses spectateurs imaginaires.

Lamies, gorgones, chimères, fantômes, morts-vivants, vampires et sorcières étaient au rendez-vous. Tous assis au sol ou dans les arbres qui tendaient violament leurs branches pour aggriper la longue robe blanche de la violoniste. Toutes ses illusions étaient étrangement calme car l'esprit qui leurs avaient donné la vie était spécialement concentrée sur son instrument, laissant tout ses sens à la merci de sa propre mélodie. La vue était bloquée à sa propre image jouant du violon dans un océan de ténèbres qui la maintenaient en place, l'odora était calmé non par l'odeur de pouriture qu'aurais pus dégager les cadavres animés mais par celle d'une tarte à la citrouille laissée sur le rebord d'une fenêtre. L'ouie était sous le charme du violon blanc comme les mains de sa propriétaire. Le toucher était trop occuper à princer, glisser et soutenir l'arme de cette symphonie nocturne qu'il ne pouvais sentir la peau de la fragile demoiselle se craqueler et se fendre avant de s'émétier dans l'air à grands morceaux, ne laissant qu'une carquasse animée. Le goûté était désorienter par l'afflu constant de sensations contradictoires qu'il n'avais pas le temps de créer des sensations éronnées.

Seule dans le noir comme un ange, la violoniste s'abandonnais à son art, ne remarquant pas spécialement le semi-homme semi-bouc qui venait de se joindre à la célébration, fessant doucement réagir tout les êtres dotés de gênes animals. Amaluna jeta un regard en coin de sa prunelle verte surnaturelle vibrant au rythme de sa musique au nouveau venu puis, avant que ce monstre ne l'attaque, le salua puis retourna à son abandon total à sa mélodie nocturne.

7
Blabla / Re : Trombinoscope
« le: samedi 06 octobre 2012, 16:19:04 »
Merci du compliment, je suis effectivement la seule fille du quatuor xD

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: samedi 06 octobre 2012, 03:44:02 »
Oki, je me risque à passer sous le trombinoscope xD Je vous laisse deviner je suis qui :P Ceux qui me connaisent d'une autre forum, interdit de jouer xD Je parle biensûr de RE et Zelda ;) Je vous aimes pareil :D





9
Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: samedi 06 octobre 2012, 03:30:22 »
Moi j'écoute un groupe bien de chez moi : http://www.youtube.com/watch?v=kNu6N7Wg4-8&feature=related

10
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: samedi 06 octobre 2012, 03:24:02 »
Wouah, les jeux de mots ici... xD

Ne vous inquiétez pas, ce n'est pas une critique méchante. À moi avec une blague déplacée trouvé sur le web il y a des lustres...

C'est un vieil homme de 80 ans qui va chez le docteur pour un examen annuel.
Ce dernier lui demande comment vont les choses.
- Je suis en pleine forme, je sors avec une jeune de 18 ans, et je l'ai mise enceinte. Qu'est-ce que vous pensez de çà, doc?
- Laissez-moi vous raconter 1histoire, dit le docteur. C'est une histoire vraie. - J'ai un ami qui est un passionné de chasse .Un jour, alors qu'il s'en allait chasser et qu'il était pressé il se trompa et au lieu de prendre son fusil, il prit son parapluie. Au coeur de la forêt, il aperçoit un grizzly qui fonce sur lui. Il saisit son parapluie, l'épaule et appuie sur la poignée. Savez-vous alors ce qu'il s'est passé?
- Non.
- Eh bien, le grizzly tomba raide mort à ses pieds
- C'est impossible, s'insurgea le vieillard. Quelqu'un a dû tirer à sa place!
- C'est là où je voulais en venir.

Je sais, pas rapport mais bon...

Oh, 5, en passant !

11
Comme une litanie constante au volume trop fort qui vrillais les tympans de l'adolescente assise au sol. Une main serrant avec force sa chevelure comme blanchie à la chaux avec tellement de ferveur que ses jointures, si délicates, étaient presques aussi blanches que sa crinière qui semblait si soyeuse. Puis soudainement, comme un mirage en plein désert, une main apparut dans le champ de vision des yeux vert déparaillés. Son oeil d'un vert qu'on ne retrouvais nul part, tellement vif qu'il en était incroyablement fascinant vibrait imperceptiblement. Il fallais vraiment focaliser sur cet oeil pour remarquer l'anomalie. L'autre oeil, d'un vert commun, était immobile, regardant avec désespoir la main qui, entourée de lumière, semblait ce qui se raprochait plus de la main d'un sauveur venu laver sa maladie de son corps.

-Amaluna, tout va bien. La lumière ne te veut aucun mal, elle ne veut de mal à personne. Le monde n'est pas contre toi. Mais essaye de te calmer, s'il te plaît

La voix venait de par-dessus cette main tendue. L'interpelée par la voix qui semblait faire attention à ses paroles leva son regard de la main baignée de lumière qui ne semblait aucunement affecter la main. Dans la lumière aveuglante se tenais un adolescent. Il semblait baigné dans la lumière et non en être noyé. Il connaissait le nom de la naufragée de cette mer de lumière dont l'ange qu'il était flotait alors qu'elle coulait depuis bien des années. Comme une noyée qui cherchait de l'air, Amaluna aggripa la main de son sauveur comme une bouée en pleine océan et affronta son regard bleu luisant, aussi surnaturaux que la prunelle verte vibrante de la jeune demoiselle. Lorsque leurs chairs entra en contact, la lumière se retira. Amaluna, la main dans celle d'Archie, debout sur ses deux jambes qui enfin avaient repris leurs fonctions, voyait le couloir sans ombres l'attaquand, sans cette mer sans fin de lumère, sans coulis d'aiguilles d'horloge. Son esprit, soudainement, c'était rangé correctement et fonctionnais normalement. Elle papillona des yeux et regarda , surprise, l'adolescent chétif qui lui fessait face.

-Je...Je te vois, dit-elle d'une voix chevrotante mal assurée, tellement émue par cette nouvelle expérience.

Les yeux d'Amaluna étaient remplies de larmes dont certaines se piégaient dans ses longs cils, prisonnières de ce duvet de cendres duveteux et d'autres, chanceuses, coulaient délicatement sur les joues pâles du visage boulversé de l'adolescente en laissant la paupière inférieure écarlate. Une de ses perles transparentes scintillait sur la lèvre supérieure de l'adolescente qui, du bout de la langue, goûta à ses perles salées qui, pour une fois, ne semblaient pas être de l'acide laissant derrière des scillons creux laissant apparaître les os de sa mâchoire dans la glace lorsque leurs propriétaire osait se regarder. Lorqu'elle tourna la tête vers la fenêtre, ses cheveux suivèrent le mouvement trop brusque et lui fouetta le visage. Mais ce n'était pas des lames extrêmement affutées mais une caresse soyeuse de la texture la plus douce et innofensive qu'elle n'avais jamais connue. Lâchant la main de son sauveur, elle fit un pas vers la baie vitrée et la lumière l'engloutis comme un cauchemard. Toute les bonnes choses avaient une fin. Amaluna sècha rapidement les globes d'acide qui coulaient sur ses joues creusées par leurs dommages du bout de la manche de son uniforme, le tissu râpant sa peau. Ses lèvres tremblotaient.

-Tu n'es pas humain... affirma Amaluna sans se retourner, pour ne pas faire face à un monstre ignoble, fixant sans vraiment les voirs ses chausures qui, comme des tentacules, esseyaient de s'enraciner au plancher, lui murmurant de ne plus jamais bouger.

12
Prélude / Re : Dreamland, le pays des Merveilles technologiques...
« le: jeudi 27 septembre 2012, 04:02:50 »
Je veut joueeeerrrrr avec toi *bienvenue ;)*

13
La journée avait été pénible et longue. Assise dans le fond de la pièce carrée aux murs blancs qu’on osait appeler une salle de classe, je regardais l’horloge, au-dessus du tableau, les aiguilles de l’horloge fondant dans un tourbillon de couleurs magnifiques. Dans mon cahier de calculs, chevauchant les équations compliqués, une reproduction de cette vision des plus pures était tracée de mon crayon à mine qui griffonnait contre le papier dans une mélodie que seule moi pouvais comprendre comme la musique des anges car mes compagnons de classe me regardaient tous et l’enseignant me dévisageait. Je compris alors. Je me levai, prenant mon cahier et alla le poser sur le bureau de l’homme qui nous apprenais les mathématiques. Elle posa son dos contre le tableau, droite comme un pic, regardant le mur du fond se colorée de couleurs magnifiques invisibles aux yeux des plus grands artistes. Des fleurs, des oiseaux s’animaient contre le mur qui, soudainement, explosa. Je criai et essaya d’agripper en vain quelques chose de solide.

Je m’accrochai à la seule chose de tangible sous mes mains, moi-même. Depuis le début de ma malédiction, j’étais devenue mon seul pilier, mon seul roc en pleine mer tumultueuse ou une prise pouvait être faite, le seul point d’appuis qui ne me laisseraient pas tomber. Les élèves éclatèrent de rire alors que j’éclatais en sanglots, arrachait mon cahier des mains tremblantes de l’enseignant qui trahissait sa peur envers moi alors que je me ruais hors de la salle sous les murmures moqueurs des adolescents qui me pointaient honteusement et me criait les pires atrocités. J’allai dans les toilettes et m’enferma dans une des cabines. Assise sur le siège rabaissée, je sentais à travers mon uniforme toutes les couleurs que j’avais tracés au crayon à mine traverser mes vêtements pour s’imprégner dans ma peau. Je serrais mon cahier contre mon cœur comme si c’était le plus grand trésor du monde. Les parois de la toilette étaient d’un gris délavé et les quelques courageux qui y avaient fait des graffitis avaient donnés vie à leurs création, des obscénités et des dessins peu religieux s’animant sous mes pauvres yeux qui manquaient d’exploser devant toutes se maelstrom de couleurs se fondant dans les autres pour former de nouvelles couleurs encore inexistantes. La lumière halogène du plafonnier aurait due être fermée. Dans le noir, toutes ses visions qui me donnaient du fil à retorde étaient invisibles. Peut-être étai-ce là la réponse; m’arracher les yeux pour ne plus voir ses horreurs. Peut-être aurait-il été aussi moins compliqué de juste disparaître de la circulation. Comme cela, plus besoin de rien affronter; aucune honte dans les yeux de mon père, aucun dégout dans  ceux des personnes qui croisent mon chemin, aucune hésitation permanente dans les agissements et les paroles des adultes. Oui, c’était là la solution, la Grande Ombre m’emportera dans ses caresses tellement douces mais cette fois-ci, la Grande Lumière ne m’arrachera pas à son étreinte au matin.

Je déverrouillai la porte du cabinet et n’eu même pas la force de regarder mon reflet, me concentrant à ne même pas porter attention aux ombres qui riaient, dansaient et m’invitaient à leurs bal organisé en l’honneur des dames d’or. J’ouvris la porte des toilettes et m’engouffra dans le couloir, le regard vide, l’esprit vacant, emplis de notes de musiques. Mon cahier avait détaché toutes les pages qui contenais mes dessins, c’est-à-dire toutes et les semaient derrière moi comme une version un peu plus morbide d’Hansel et Gretel. Je me concentrais à poser un pied devant l’autre, vérifiant constamment que les serpents qui me servaient de lacets ne me fassent pas buter contre le sol. L’école était terriblement silencieuse, pas âme qui vive normalement n’y était. Les cours étaient finis et je n’avait même aperçus la sonnerie pourtant agressante de la cloche et les pas des étudiants qui se ruaient pour retourner chez eux. Les couloirs déserts semblaient vouloir se refermer sur moi pour m’engloutir. Je pressai le pas, le talon de mes souliers d’école martelant le sol comme le marteau d’un forgeron sur de l’acier; un son mélodieux pour l’artiste qui le fais. Je courrais presque et, lorsque j’atteignis enfin les escaliers pour descendre à l’étage principal, mes jambes se dérobèrent sous moi, me refusant l’accès aux marches qui s’évasaient à quelques mètres de moi, celles pour monter me riait à la figure, postillonnant du gravier contre mon visage. Je hurla de frustration et utilisa mes mains pour m’adosser contre le mur extérieur, me cachant de la lumière crue des fenêtres qui semblait vouloirs m’agripper et me fondre en lui.

14
Prélude / Re : Amaluna Ékastra [Validragonnée]
« le: mardi 25 septembre 2012, 13:23:33 »
Merchiiiiiiiii !

15
Le coin du chalant / Re : Demande de Roleplay :D
« le: lundi 24 septembre 2012, 21:39:44 »
Ohhhhhhhhhhhhhhhh ! Désolé ! *Pas frapper*

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