Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Carolina L. Lupin

Pages: [1]
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Les alentours de la ville / Re : Invités surprises [Carolina L. Lupin]
« le: jeudi 03 janvier 2013, 17:11:16 »
La vente aux enchères était vraiment un succès. Et pour une fois, Carolina dépensa son argent utilement. Elle venait d'acquérir un superbe ensemble de bijoux. Une parure de diamant, une de rubis, et divers pièces qui avaient autrefois fait partis de parures mais dont il ne restait qu'un collier, ou des boucles d'oreilles, ou encore une bague. Elle passa donc dans la salle d'à-côté pour aller signer un chèque. Elle profitait de la pause qu'ils faisaient. Elle ne resterait sans doute pas jusqu'à la fin de toute façon. Et elle avait déjà subtilisé bien des parures non mises aux enchères. De plus, elle pourrait jeter un oeil sur la protection d'une oeuvre de Kitagawa Utamaro : "Onna Daruma Zu".

Tout en sortant son porte-monnaie et en comptant la somme astronomique qu'elle avait dépensé pour cet ensemble de bijoux précieux, son oeil étudiait la pièce. Décidément, ce serait un jeu d'enfant, encore une fois. Pourtant, elle pensait que les Yakuzas étaient plus soucieux de leur sécurité que cela...

Tendant la main avec un sourire avenant, l'hmme qui lui faisait fasse récupéra la liasse de billets que lui tendait Carolina.

- C'est une très bonne affaire que vous venez de faire là, comtesse.

Elle sourit, sans pour autant cesser d'évaluer la sécurité des lieux.

- Oui, merci. je peux les emporter dès maintenant, n'est-ce pas ?

L'homme paru interloqué, mais une voix derrière elle répondit à sa place :

- Bien entendu, comtesse. Ravi que vous ayez pu vous déplacer d'ailleurs. J'aurais compris si vous n'étiez pas venue. Votre grossesse doit certainement vous causer une grande fatigue.

Guramu-San, lui-même, venait d'arriver près de la jeune femme.

- Je n'aurais manqué cette vente pour rien au monde, mon cher ami.

Elle esquissa une mini-révérence, amusée, et s'empara alors de la boîte à bijoux dans laquelle étaient conservés les parures et les pièces perdues. L'homme face à elle essaya de l'en empêcher, mais un geste du Yakuza l'empêcha de finir son geste.

- Laissez-moi vous offrir la boîte à bijoux ouvragée dans laquelle ils ont été conservés, comtesse.

Inclinant la tête avec respect, elle le remercia.

- Vous êtes d'humeur généreuse ce soir. Cette attitude vous honore. D'ailleurs, l'entretien de ce château est tout à votre honneur également. Je n'ai jamais vu un si beau monument aussi bien entretenu.

Elle papota encore quelques instants avec Guramu-San quand celui-ci fut appelé ailleurs. Il prit congé avec un sourire, et Carolina repartit dans l'autre pièce. Elle étouffa bien vite, avec tout ces hypocrites qui semblaient "sincèrement" vouloir aider à réparer les dégâts du séisme. Elle quitta donc la pièce, arpentant la terrasse d'un pas rapide. La boîte à bijoux, ancienne elle-aussi, était bien au chaud et en sécurité dans son sac. Mais elle allait la remettre à son majordome, qui attendait dans la voiture, pour qu'il la ramène directement chez elle.

En chemin, la pluie commença à tomber. Elle pesta, n'ayant pas emporté sa veste à capuche pour protéger sa chevelure et la soie de sa robe du soir aussi sombre que la nuit. Une ceinture de mousseline blanche soulignait sa poitrine enflée, sans trop marquer les lignes de son ventre qui s'arrondissait doucement. Elle eut un léger vertige, et s'appuya ainsi contre un pilier. Elle avait dépassé l'un des hommes qui veillaient à la sécurité des invités présents à la vente. Elle l'avait vu, tout à l'heure, quitter la salle alors qu'elle allait régler son achat. Elle resta un moment appuyée sur le pilier, tentant d'évacuer la sensation de vertige en respirant profondément. La nausée la prit soudain, dissipant le vertige.

- Bon sang... Ce que les hormones peuvent être chiantes !

Elle se précipita contre la rembarde, et rendit son dîner.

- Oh non...

Elle fouilla dans son sac retenant ses haut-le-coeur, et parvint à attraper sa bouteille d'eau avant de s'agenouiller et de laisser la nausée s'évacuer encore une fois.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 29 décembre 2012, 22:49:10 »
Bon sang. J'ai cru que ma connexion avait encore sauté en voyant que je n'accédais plus au forum. Mais non.

22h49.

Edit  : je dois avoir un truc qui va pas, ça fait deux fois que ma connexion a LGJ est interrompue alors que le reste marche.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)
« le: samedi 29 décembre 2012, 22:48:05 »
Le plus drôle dans cette histoire ? Ils pouvaient toujours fouiller l'appartement, avec des appareils super perfectionnés. Ils ne trouveraient rien de plus que les montres qu'elle n'avait pas eu le temps de ranger. Elle y avait veillé. Ses caches étaient indétectables. Ou peut-être avait-elle laissé, par mégarde, un collier volé dans sa boîte à bijoux. Mais rien qui puisse la relier directement aux autres vols. Après tout, Carolina voyait du monde. Un admirateur aurait bien pu lui offrir un collier... Volé, par exemple.

Elle fit la moue néanmoins, acceptant moyennement l'excuse bidon qu'il sortit pour ne pas l'avoir rappelée. Il devrait carrément dire qu'il l'avait oublié, ou bien qu'il n'avait pas eu envie de poursuivre. Plausible, et elle se ferait une raison. Enfin, si elle était aussi "éprise" de l'homme qu'elle le disait, ce dont on ne pouvait pas être sûr. En fait, réellement, elle avait apprécié cette nuit-là. Mais quant à tomber amoureuse d'un inconnu beurré...

- Pour un peu, je me sentirais presque vexée. Mais il est vrai qu'un facteur entre en compte en plus dans cette nuit-là. Ce petit.. Accident de protection, n'est-ce pas ? Peu d'homme sont prêt à assurer la paternité dans ces cas-là. J'imagine que vous ne faites pas exception.

Une idée lui venant en tête, elle posa une main sur son ventre. Lui faire croire qu'il était le père. Lui mettre le doute. De toute manière, elle-même n'était pas tout à fait sûre de l'identité du père. Peut-être était-ce cet homme, qu'elle avait réellement aimé le temps d'une nuit et à qui elle avait fait confiance pour lui laisser le soin de prendre sa vertu. Ou peut-être était-ce lui, Gabriel Valmy. Les dates concordaient pour les deux.

Portant soudain la main à son front, Carolina sentit un vertige la prendre. Elle se raccrocha au dossier du canapé, ressentant une soudaine bouffée de chaleur, puis s'assit pour ne pas vaciller. Et elle ne mimait même pas cet accès de faiblesse.

- Je.. J'ai besoin d'un verre d'eau...

Même sa voix était un faible filet, comparé à l'arrogance qu'elle avait tout à l'heure malgré son ton agréable.

- Les premiers mois de grossesse ne sont jamais très facile, vous savez...

Elle plaisantait, mais faiblement. Elle avait besoin de boire quelque chose, pour faire passer cette nausée qu'elle sentait venir. Pour faire passer ce vertige.

Mais, même si l'homme avait été à la cuisine chercher un verre d'eau, il reviendrait trop tard. Elle se leva d'un coup, ouvrit la porte qui se trouvait dans le couloir latéral non loin de l'entrée, et rejeta le peu qu'elle avait mangé dans la cuvette des toilettes.

Quand elle revint, après s'être rincé la bouche et lavé les dents, elle était toujours pâle, mais le vertige était passé.

- Pardonnez-moi. Je ne me sentais pas très bien.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)
« le: jeudi 06 décembre 2012, 21:45:59 »
Il rit. Elle l'observa sans ciller, le sourire aux lèvres, les mains en l'air. Elle baissa doucement les mains tandis qu'il cessait de rire. Un machin bipait. Il s'en saisit, et en avançant les bips s'accéléraient. Merde, un GPS. Elle se demanda s'il avait fait exprès de lui laisser piquer son porte-feuille. Sans doute. Son regard resta néanmoins fixé sans trahir son coeur qui battait de plus en plus vite à l'instar des bips du GPS. Elle soupira légèrement lorsqu'il écarta les coussins. Tant pis. Au moins, il n'avait aucune idée de toutes les autres cachettes qu'elle avait et où elle rangeait ses différentes sortes d'objets volés.

Elle croisa les bras sous sa poitrine, grimaçant alors qu'elle effleurait les bouts sensibles. Elle pencha doucement la tête sur le côté.

- Allons bon... Vous pensez que je les ai volé ?

Elle mima l'expression de la plus parfaite innocence, passant outre les menottes sorties et l'arme braquée sur elle.

- En fait... Je les ai trouvé. Et, je l'avoue, j'ai piqué le vôtre. J'espérais que ça me servirais d'excuse pour.. Vous appelez pour vous signaler la perte de votre bien. Et, peut-être, vous invitez à prendre un verre pour vous rendre votre porte-feuille que j'aurais retrouvé...

Carolina, où comment flirter en présence d'un flic décidé à vous arrêter.

- Je le confesse donc... Vous m'avez tapé dans l'oeil.

Elle sourit, charmeuse, et reprit.

- Je pensais qu'après cette nuit que nous avions partagé, vous me rappelleriez mais... J'ai été déçue de ne recevoir aucun coup de fil. Donc il fallait bien que je ruse pour parvenir à mes fins..

Rebondir en situation dangereuse, c'était le passe-temps favori de la belle. Elle minaudait légèrement.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)
« le: mardi 04 décembre 2012, 14:40:53 »
Doucement, avec précaution, elle rangea ses prises de la soirée dans des écrins de velours, puis les déposaient avec soin dans le coffre fort préalablement ouvert. Celui-ci, dans un soucis d'originalité, se trouvait derrière le téléphone filaire accroché au mur. Le téléphone qui, lui-même, était déjà très original. Accordé à la décoration intérieure, il était précieux. Pour le faire basculer, il fallait taper une série de 8 chiffres. Ensuite, c'était gagné. Le mécanisme se déclenchait, et le téléphone produisait un déclic qui indiquait qu'on pouvait l'écarter du mur, telle une porte ou une fenêtre.

Elle rangeait donc ses prises une à une dans ce coffre fort soigneusement dissimulé, lorsque quelqu'un toqua trois fois à la porte. Un geste vif lui fit refermer sa cache à bijoux, et dissimuler les portes-feuilles sous un coussin du canapé. Juste à temps, pour cette dernière manoeuvre, car la porte cédait sous le second assaut de l'individu qui venait de frapper. Elle s'assit précipitamment sur le canapé d'allure victorienne mais qui se mariait avec la décoration 15ème siècle, et offrit une expression délicieusement surprise à l'agent qui entra l'arme au poing.

- Monsi- Agent Valmy ! Que me vaut le.. Plaisir ?... De votre visite ?

Elle se leva, tout à fait naturellement, et leva les mains en l'air de façon tout à fait innocente.

- Ais-je fait quelque chose de mal ? J'espère que je n'ai pas traversé alors que le feu était rouge...

Ironique, vraiment ? Noooon, pensez-vous !

6
Le quartier de la Toussaint / Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)
« le: dimanche 23 septembre 2012, 18:56:45 »
La jeune femme passait de groupes en groupes, subtilisant aisément porte-feuilles, bijoux, montres, etc... Elle souriait, avait un mot aimable pour tous, et avait même réussi à chaparder des jetons de pokers qu'elle replaça dans le tas de son favori. Le meilleur bluff, à son avis. Mais elle ne jouait pas au poker.

Finalement, elle prit congé. Au moment où elle allait partir, un homme s'approcha. Il était bien habillé, pour une fois. Elle le connaissait de vue. C'était l'agent chargé d'enquêter sur ces "mystérieux" vols à Seïkusu. Dès qu'elle passait à proximité de lui, ou d'un autre homme des forces de l'ordre, elle aimait à les soulager du poids d'un portefeuille, ou d'une paire de menotte. Elle se souvenait aussi d'une soirée, alors qu'elle venait d'arriver à Seïkusu... Elle était allée se détendre dans un bar avec des connaissances. Et elle l'avait rencontré. Oh, il était brûlé ce soir-là. Mais ça n'avait pas empêché que ses performances soient agréables. Parce que oui, elle l'avait séduit. C'était amusant. Et elle ne l'avait pas regretté.

Elle lui sourit, et le salua à la manière française. C'est à dire qu'elle l'embrassa sur les deux jours, légèrement. Bien entendu, sa main filait vers les poches du smoking pour le délester de son porte-feuille. Quand elle se redressa, l'objet avait rejoint son sac, comme les autres. Son regard brillait de malice. Allait-il, lui, se souvenir d'elle ? A bien se remémorer cette soirée, elle portait ce soir le même parfum qu'alors.

- Il me semble... Oui, vous devez être le lieutenant Valmy, de la police de Seïkusu, n'est-il pas ? Je trouve que vous faites du très bon travail monsieur. Et je vous remercie de vos aimables paroles.

Elle parlait, comme à son habitude, avec une voix douce et un accent français bien perceptible. Son japonais est cependant parfait.

- Je dois malheureusement rentrer. Vous savez, j'ai eu une grosse journée. Mais j'ai été heureuse de faire enfin votre connaissance. Passez une bonne fin de soirée.

Elle lui offrit un ravissant sourire, et tourna les talons pour sortir avec élégance. Elle avait un doux balancement des hanches, inconscient, et finalement, elle passa la porte pour remonter.

Elle salua l'homme qui gardait l'entrée, et se dirigea à pieds vers la demeure qu'elle avait achetée pour passer ici une petite année. Elle n'avait pas longtemps à faire, étant donné que la demeure était à la limite du quartier de la Toussaint. Si elle avait choisit cet endroit-là, c'était pour que ça soit plus pratique de revendre ses larcins...

Elle rentra prestement et ferma la porte. De l'extérieur, elle avait l'air d'une maison délabrée. Mais à l'intérieur, elle avait tout refait à neuf, dans un style français du 15ème siècle. Elle déposa son sac sur la table et le vida méthodiquement après avoir ôté son manteau. Elle étala la quinzaine de portefeuille retrouvés, les six montres, les dix-huit colliers et les trois bagues qu'elle avait récoltées. Un sourire orna ses lèvres. Elle était décidément très douée !

7
Le quartier de la Toussaint / Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)
« le: dimanche 23 septembre 2012, 02:28:51 »
Minuit sonnait à l'Église quand une silhouette menue se glissait dans ce quartier mal famé qu'étais le quartier de la Toussaint. Elle était vêtue d'une très jolie robe de cocktail laissant apercevoir un décolleté vertigineux et un manteau de fourrure complétait la tenue. La robe tombait jusqu'au sol, ou presque, et était fendue à partir du haut de la cuisse droite jusqu'à la fin.

Elle avait ouïe dire qu'une soirée de la haute société avait lieu ce soir. Dans un tripot, parce qu'il y aurait des parties de poker illégales. Carolina n'allait certainement pas manquer l'occasion de dépouiller ses compatriotes.

Dépassant un coin de rue, elle frappa trois coups secs, comme convenu, à la porte d'une maison qui semblait délabrée. On lui ouvrit rapidement, et elle se glissa dans l'ouverture. On la mena à une trappe qui menait à une cave. Elle descendit, lestement, et trouva un bruit de conversation beaucoup plus fort. La cave devait être insonorisée. Des bribes de musiques aussi. Elle poussa la porte, et entra enfin dans le coeur du tripot. Au centre, une grande table avec dix participants qui jouaient au poker. Dans les coins on voyait l'arrière train d'un homme besogner une donzelle peu farouche. Une estrade avait été installée au fond. Une sorte de club de strip-tease, en quelques sortes. Une jeune femme tournait autour de la barre de pôle-dance, ôtant son mini soutien-gorge fermé par des pressions d'un simple mouvement du buste qui mit en avant ses attributs avantageux.

Machinalement, Carolina jeta un coup d'oeil à son propre décolleté. Sa poitrine devenait sensible, avec sa grossesse, et elle avait déjà prit un bonnet de soutien-gorge. C'est tout juste si sa poitrine ne distendait pas le tissu de sa robe. Heureusement, les bretelles de la robe étaient réglables et ça soulageait sa poitrine du frottement incessant avec le tissu.

Passant d'un groupe de personne à l'autre, sa main filait discrètement vers les poches bien remplies. A deux doigts, l'index et le majeur, elle attrapait un porte-feuille par-ci, une montre à gousset par là, etc.. Jamais plus que deux doigts, et jamais le pouce. Ainsi, elle ne se faisait jamais attraper sur le fait.

Une de ses connaissances, enfin vite fait, arriva vers elle.

- Ha, ma chère Carolina, vous voilà ! Ça n'a pas été trop dur à trouver ?
- Non, du tout. Merci de votre invitation.

Elle remarqua distraitement qu'il n'avait pas l'air dans son assiette, mais mit cela sur le compte de la crainte d'être découvert par une patrouille de flic.

- Et bien, les mises ce soir sont impressionnantes...

8
Prélude / Re : Lupin, un nom qui n'est pas inconnu. ( Validhéra ! )
« le: mardi 17 juillet 2012, 17:22:27 »
Merci beaucoup !

J'vais quand même relire ça. Faut dire que j'étais un poil fatiguée quand j'ai écris, donc j'ai pas relu ^^
EDIT : Fait (:

9
Prélude / Re : Lupin, un nom qui n'est pas inconnu.
« le: mardi 17 juillet 2012, 16:34:14 »
Merci à tous :D

Mélinda > *prend un pendule* Noooon, c'est pas graaaave que je soiiiis hétéroooo... x)

Shunya Yamashita, c'est la marque de confiance en matière d'avatars ^^

En effet, j'aime beaucoup ce que cet artiste fait :D

Sya > Mission perdue d'avance :p

10
Prélude / Lupin, un nom qui n'est pas inconnu. ( Validhéra ! )
« le: mardi 17 juillet 2012, 03:51:34 »
La nuit venait de tomber sur Seïkusu. Une silhouette s'avance dans l'ombre. Bien vêtue. Frêle, malgré l'ample robe. Elle passe sous un lampadaire dont la lumière blafarde faiblit par moment. Mais il éclaire juste assez pour que l'on remarque que l'imposante crinière dont dispose cette silhouette à la couleur du cuivre. Son teint, lui, est plus pâle, légèrement doré. Quant au regard, brièvement éclairé, c'est un disque de platine que l'on voit à travers les longs cils de biche. Un loup noir le couvre légèrement, et surligne son petit nez, légèrement retroussé, qui se fronce lorsque l'odeur des égouts de la ville parviennent à ses narines. Elle masque sa bouche aux lèvres sensuelles d'une main délicate, ornée d'une bague toute simple, en or.

Le reste de son corps est couvert par une robe cintrée à la taille, soulignant la finesse de celle-ci, qui s'évase vers ses hanches et gonfle autour de ses jambes. Une robe à la mode à la cour de Marie-Antoinette. De couleur grenat, celle-ci possède un décolleté presque indécent, mettant en avant sa poitrine généreuse. Le col, orné de dentelle, masque tout juste les tétons de la demoiselle, remonte sur ses épaules à la manière d'un V et descend dans son dos, formant une lettre identique. La pointe du V s'arrête à la naissance de ses fesses, hautes et fermes, et l'on devine un tatouage en forme de loup sur son omoplate droite, sous la chevelure qui mousse joyeusement en de belles anglaises.

Le bruit des talons de la demoiselle, qui claquent sur le pavé, résonne dans la ruelle étroite. Un vrombissement non loin lui indique une voiture qui avance dans sa direction, et bientôt, deux phares l'aveuglent. Elle ne bouge plus, attendant de pied ferme les deux hommes qui sortent de l'arrière du véhicule.

- Si Madame veut bien monter...

Le premier s'adresse à elle d'un ton soumis et délicat. Le second lui ouvre une portière à l'arrière de la limousine.

- Vous êtes en retard.

Son ton n'est cependant pas réprobateur. C'est une simple constatation, faite par une voix cristalline. En japonais, avec un élégant accent anglais. Le ton musical de sa voix résonne alors à nouveau.

- Allons-y, ne faisons pas attendre Lady Rosens plus que cela...

Elle se glisse dans la voiture, et disparaît, aspirée par l'obscurité de l'habitacle.

Peu après, une fois que les deux hommes aient regagné leur place, le véhicule démarre. Le vrombissement s'éloigne et la limousine se fond dans les rues de la ville, jusqu'à arriver à un petit manoir en bordure de la campagne de Seïkusu. Là, autour d'un rond-point, le véhicule s'arrête face à un portique. De nouveau, les deux hommes en sortent et ouvrent la portière à l'occupante principale.

- Madame est arrivée. As-t-elle des consignes pour la suite de la soirée ?
- Effectivement. Je ne serais pas très longue. Deux heures, tout au plus. Soyez-là quand je sortirais. Sinon, je ferais le chemin à pieds, une fois encore.

Elle se détourne, ignorant la voiture qui prend la direction d'un parking non-loin, et elle s'avance vers le majordome qui garde la porte.

- Votre nom, s'il vous plaît.
- Lady Lupin de Dreux-Soubise, Comtesse de Cagliostro.
- Il était temps que vous arriviez Comtesse. Lady Rosens s'impatientait de ne pas voir l'une des invitées d'honneur de son bal masqué. Veuillez me suivre.

Lui remettant la capeline qui la protégeait de la brise fraîche de la nuit, la demoiselle Lupin suivit le majordome d'un pas vif. Il s'arrêta sur le seuil de la salle de réception, et murmura quelques mots à l'oreille du valet qui se tenait posté debout devant. Puis, il fit la révérence à la Comtesse et retourna à son poste après avoir déposé la capeline dans le meuble des vêtements. Le valet, après avoir fait sa révérence, annonça au reste de la salle :

- Lady Carolina Lisbeth Lupin de Dreux-Soubise, Comtesse de Cagliostro.

Des applaudissement saluèrent l'apparition de la demoiselle écarlate. Elle fit un discret signe de la main, et descendit les marches du petit escalier avec grâce, rejoignant la grande perche dans une robe longue et droite de teinte saumon, qui jurait affreusement avec ses cheveux d'un roux écarlate.

- Carolina ! Tu es en retard ma chérie, la fête a déjà commencé ! Mr De Sazeraie s'impatientait, se languissant du magnétisme de ta présence.
- Mes domestiques avaient du retard. Tu sais comment c'est maintenant. Trouver du bon personnel devient dur.

Sans continuer plus avant la discussion, coupant l'élan de la maîtresse de maison, Carolina Lupin se tourna vers la piste, et alla emprunter l'époux d'une dame le temps d'une danse.

La soirée avançait. Méthodiquement, caressant les nuques des femmes de l'assistance, les torses des hommes mûrs ou les fesses des jeunes hommes, la Comtesse de Cagliostro délestait ses victimes de leurs bijoux, de leur argent et du reste de leurs objets de valeurs. Elle était adroite. Si agile que ses victimes ne s'en rendraient pas compte avant qu'elles ne repartent. Et finalement, après une heure et demi, la demoiselle dansa une dernière fois avec un jeune homme bien fait de sa personne, sûr de lui mais charmant. Elle était non seulement une voleuse de premier ordre, mais une séductrice hors pair. Pas un homme ne résistait à ses yeux de biche ou à son corps sculpté comme celui d'une déesse. Elle le savait. Elle en jouait. Elle n'était pas arrogante, mais consciente de son avantage.

Malgré tout, elle savait être modeste. Cela arrivait toutefois rarement en public inconnu. Et, comme elle tient plus de la mule que de la jument de trait, ce n'est pas une mince affaire d'essayer de la changer. Elle préfère son impulsivité, sa témérité, à la crainte d'avancer. Impétueuse, comme un torrent, nul ne savait ce qu'elle avait en tête avant qu'elle ne l'exécute. Mais, rancunière, elle ne pardonne pas la moindre erreur et préfère juger sur sa première impression.

Gratifiant son partenaire d'un baiser chaste, elle lui subtilisa son porte-feuille discrètement avant de fendre la foule pour gagner le buffet où l'hôtesse babillait toujours de sa voix de dinde agaçante.

- Je me sens fatiguée Hilda. Je vais rentrer.
- Ne t'en fais pas ma chérie. C'est le petit bout qui t'épuise. Il faut que tu te reposes. Je suis ravie que tu aies pu venir. Au plaisir de te revoir Carolina. Rentres bien !

Sans un mot de plus, la Comtesse salua d'un signe de la main distrait les amies d'Hilda Rosens et marcha d'un pas résolu vers le hall d'entrée. Elle reprit sa capeline, et laissa quelques pièces en or au majordome avant de sortir dans le froid glacial de la nuit. La lune, haute et pleine, éclairait la cour où une limousine noire s'avançait. Descendant les marches du perron, Carolina se glissa dans l'ouverture que venait de lui faire un de ses domestiques, et la voiture repartit.

Lady Lupin venait de France. Du côté de son père, elle était Anglaise. Du côté de sa mère, elle était espagnole. Mais elle, elle était née en France, à Paris. Toutefois, elle maniait avec aisance l'anglais, le français, l'espagnol, l'italien, le japonais et le russe. Elle a grandi pendant une dizaine d'année à Paris, avant de migrer vers l'Italie où elle passa son adolescence. Après avoir eu son baccalauréat, elle passa deux ans en Russie, avec son père. Pas une fois, en vingt ans d'existence de la jeune femme, ils ne s'étaient séparés. Il lui avait tout appris, de cette discipline hors du commun. Gentleman cambrioleur, comme son père avant lui, Jean Lupin lui avait enseigné les moindres ficelles du métier. Mais, tout à une fin. Et, deux ans après que sa femme soit morte, il décéda à son tour. Après avoir perdu sa mère à dix-huit ans, Carolina perdit son père à vingt ans.

Héritant de la fortune familiale, elle décida de faire le tour du monde de l'aristocratie. Elle dépouillait les plus riches avec une aisance effrayante. Bientôt, sa fortune fructifia de manière exponentielle. A vingt-et-un an, elle rencontra un jeune homme fort attirant. Son apparence ténébreuse, son caractère affirmé, tout en lui séduisit l'agile voleuse. Et pour une fois, c'est elle qui se fit voler. Malgré toute sa séduction, sa virginité était intacte. Mais l'attirance magnétique de cet homme la fit craquer, et elle le laissa la lui voler. Le temps d'une nuit d'amour, brutale et tendre, sauvage, passionnée et délicate. Une nuit de plaisir, qu'elle n'échangerait pour rien au monde.

Au matin, il était parti. Elle n'en fut pas triste, mais légèrement déçue. Toutefois, elle fit rapidement un trait sur lui et continua ses frasques, s'invitant aux soirées mondaines grâce à son titre et délestant les poches les plus lourdes. Cependant, deux mois après cette nuit magique, elle constata qu'elle était enceinte. Carolina était alors à Tokyo, et envisageait d'aller à Seïkusu rendre visite à l'une de ses tantes du côté maternel. Elle prit la chose comme elle venait. Ni bien ni mal. Elle ne voulait pas d'enfant, mais il fallait faire avec. Elle trouverait à son enfant une bonne famille qui l'adopterait et le rendrait heureux.

Approchant de ses vingt-deux ans, elle en est à peine à trois mois de grossesse. Son activité n'a pas cessé, même si elle s'est ralentie selon les moments. Pour l'instant à Seïkusu, elle a décidé que ce serait là que naîtrait son enfant. Aujourd'hui, dans tout les journaux, elle fait les gros titres de manière anonyme. Des aristocrates repartent des soirées mondaines moins riches que lorsqu'ils sont arrivés ! Un voleur mystère opère. titrait le quotidien basique de Seïkusu. Et pour l'instant, Carolina n'a absolument pas été inquiétée.

Citer
Résumé.

Nom, prénoms, surnoms : Carolina Lisbeth Lupin de Dreux-Soubise, Comtesse de Cagliostro.

Âge : Presque 22 ans.

Sexe : Féminin.

Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle.

Situation de départ : Pas vierge, et à trois mois de grossesse.

Race : Humaine.

Capacités : Agilité, vivacité, et tout ce qui fait une bonne voleuse. Ainsi qu'une extraordinaire mémoire et capacité pour les langues étrangères.

Physique :

La nuit venait de tomber sur Seïkusu. Une silhouette s'avance dans l'ombre. Bien vêtue. Frêle, malgré l'ample robe. Elle passe sous un lampadaire dont la lumière blafarde faiblit par moment. Mais il éclaire juste assez pour que l'on remarque que l'imposante crinière dont dispose cette silhouette à la couleur du cuivre. Son teint, lui, est plus pâle, légèrement doré. Quant au regard, brièvement éclairé, c'est un disque de platine que l'on voit à travers les longs cils de biche. Un loup noir le couvre légèrement, et surligne son petit nez, légèrement retroussé, qui se fronce lorsque l'odeur des égouts de la ville parviennent à ses narines. Elle masque sa bouche aux lèvres sensuelles d'une main délicate, ornée d'une bague toute simple, en or.

Le reste de son corps est couvert par une robe cintrée à la taille, soulignant la finesse de celle-ci, qui s'évase vers ses hanches et gonfle autour de ses jambes. Une robe à la mode à la cour de Marie-Antoinette. De couleur grenat, celle-ci possède un décolleté presque indécent, mettant en avant sa poitrine généreuse. Le col, orné de dentelle, masque tout juste les tétons de la demoiselle, remonte sur ses épaules à la manière d'un V et descend dans son dos, formant une lettre identique. La pointe du V s'arrête à la naissance de ses fesses, hautes et fermes, et l'on devine un tatouage en forme de loup sur son omoplate droite, sous la chevelure qui mousse joyeusement en de belles anglaises.

Mental :

La soirée avançait. Méthodiquement, caressant les nuques des femmes de l'assistance, les torses des hommes mûrs ou les fesses des jeunes hommes, la Comtesse de Cagliostro délestait ses victimes de leurs bijoux, de leur argent et du reste de leurs objets de valeurs. Elle était adroite. Si agile que ses victimes ne s'en rendraient pas compte avant qu'elles ne repartent. Et finalement, après une heure et demi, la demoiselle dansa une dernière fois avec un jeune homme bien fait de sa personne, sûr de lui mais charmant. Elle était non seulement une voleuse de premier ordre, mais une séductrice hors pair. Pas un homme ne résistait à ses yeux de biche ou à son corps sculpté comme celui d'une déesse. Elle le savait. Elle en jouait. Elle n'était pas arrogante, mais consciente de son avantage.

Malgré tout, elle savait être modeste. Cela arrivait toutefois rarement en public inconnu. Et, comme elle tient plus de la mule que de la jument de trait, ce n'est pas une mince affaire d'essayer de la changer. Elle préfère son impulsivité, sa témérité, à la crainte d'avancer. Impétueuse, comme un torrent, nul ne savait ce qu'elle avait en tête avant qu'elle ne l'exécute. Mais, rancunière, elle ne pardonne pas la moindre erreur et préfère juger sur sa première impression.

Histoire :

Lady Lupin venait de France. Du côté de son père, elle était Anglaise. Du côté de sa mère, elle était espagnole. Mais elle, elle était née en France, à Paris. Toutefois, elle maniait avec aisance l'anglais, le français, l'espagnol, l'italien, le japonais et le russe. Elle a grandi pendant une dizaine d'année à Paris, avant de migrer vers l'Italie où elle passa son adolescence. Après avoir eu son baccalauréat, elle passa deux ans en Russie, avec son père. Pas une fois, en vingt ans d'existence de la jeune femme, ils ne s'étaient séparés. Il lui avait tout appris, de cette discipline hors du commun. Gentleman cambrioleur, comme son père avant lui, Jean Lupin lui avait enseigné les moindres ficelles du métier. Mais, tout à une fin. Et, deux ans après que sa femme soit morte, il décéda à son tour. Après avoir perdu sa mère à dix-huit ans, Carolina perdit son père à vingt ans.

Héritant de la fortune familiale, elle décida de faire le tour du monde de l'aristocratie. Elle dépouillait les plus riches avec une aisance effrayante. Bientôt, sa fortune fructifia de manière exponentielle. A vingt-et-un an, elle rencontra un jeune homme fort attirant. Son apparence ténébreuse, son caractère affirmé, tout en lui séduisit l'agile voleuse. Et pour une fois, c'est elle qui se fit voler. Malgré toute sa séduction, sa virginité était intacte. Mais l'attirance magnétique de cet homme la fit craquer, et elle le laissa la lui voler. Le temps d'une nuit d'amour, brutale et tendre, sauvage, passionnée et délicate. Une nuit de plaisir, qu'elle n'échangerait pour rien au monde.

Au matin, il était parti. Elle n'en fut pas triste, mais légèrement déçue. Toutefois, elle fit rapidement un trait sur lui et continua ses frasques, s'invitant aux soirées mondaines grâce à son titre et délestant les poches les plus lourdes. Cependant, deux mois après cette nuit magique, elle constata qu'elle était enceinte. Carolina était alors à Tokyo, et envisageait d'aller à Seïkusu rendre visite à l'une de ses tantes du côté maternel. Elle prit la chose comme elle venait. Ni bien ni mal. Elle ne voulait pas d'enfant, mais il fallait faire avec. Elle trouverait à son enfant une bonne famille qui l'adopterait et le rendrait heureux.

Approchant de ses vingt-deux ans, elle en est à peine à trois mois de grossesse. Son activité n'a pas cessé, même si elle s'est ralentie selon les moments. Pour l'instant à Seïkusu, elle a décidé que ce serait là que naîtrait son enfant. Aujourd'hui, dans tout les journaux, elle fait les gros titres de manière anonyme. Des aristocrates repartent des soirées mondaines moins riches que lorsqu'ils sont arrivés ! Un voleur mystère opère. titrait le quotidien basique de Seïkusu. Et pour l'instant, Carolina n'a absolument pas été inquiétée.

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