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Messages - Jessica Rabbit

Pages: [1] 2 3 ... 6
1
Le coin du chalant / Re : Are you my new rabbit ? || Jessica
« le: lundi 27 janvier 2025, 21:03:33 »
Mise à jour ici aussi ~

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Are you a genie ? [Jessica Rabbit]
« le: mardi 21 janvier 2025, 00:44:14 »
Brian ne se rendait compte de rien. Idiot comme il était. Brian se frottait d’ailleurs les mains d’avance, se disant que cela n’avait pas été vain finalement, de pousser cette porte. Il allait tirer son coup et probablement soutirer des informations à cette petite demoiselle qui ne savait pas où elle venait de mettre les pieds. Il se sentait comme le grand méchant loup, alors qu’il n’était qu’un agneau partant pour l’abattoir. S’il savait. Il se sentait puissant, alors qu’il était juste pathétique et si petit. Ivre comme il l’avait rarement été, sa haine qui le bouffait de ne pas avoir la rousse à ses côtés pour se lâcher le rendait plus crétin que d’habitude.

- Tu es pressée on dirait !

Et ce rire sale qui accompagnait ses propose pâteux. Il se laissait traîner et entraîner vers une mort certaine, pensant que c’était lui qui contrôlait. Ses mains baladeuses, il glissait ses doigts où il pouvait, sans se rendre compte que la demoiselle n’en était pas une et que d’humaine, il n’y avait rien. Il aurait dû se méfier, mais il n’en était pas là. Le sang de son cerveau avait migré totalement ailleurs et cela se voyait et se sentait. Mais bien vite, il sentit que quelque chose clochait dans les manières de Em.

- Oh...put…

Sans souffle, la côte se brisa et il hurla. Il se pensait si fort, que la surprise mêlé à la douleur lui coupèrent le souffle bien avant qu’il ne put répliquer ou tenter de repousser Em, qui revenait contre lui. La douleur était telle qu’il eu plusieurs fois l’impression de partir. De s’évanouir. Peut-être que cela aurait été mieux pour lui, car il sentit tout le reste. Lorsque ses chaires furent arrachées, son sang qui giclait, ses os broyés. Il sentit tout, absolument tout. Et Jessica pendant ce temps, elle, sentait la détresse et la douleur de Brian, mais luttait, parce qu’elle se fichait totalement de savoir ce qui était en train d’arriver. S’il mourrait, cela lui rendrait service. Mais elle tremblait et était si pâle, quasiment transparente, que son amie qui était revenue lui toucha le visage sans qu’elle ne s’en rendit compte.

- Jessi ! Je vais appeler une ambulance. Tu as l’air au plus mal.
- N...non. Je. Je dois avoir mes règles qui arrivent. Tu veux bien...me…

La toon tenta de se lever, mais elle retomba lourdement, ce qui inquiéta d’autant plus sa compagne. Elle entendait une voix dans sa tête. Une voix cruelle, qui demandait «Mérites-tu ton existence ?» Puis elle s’évanouit.

---

Lorsqu’elle revint à elle, Jessica n’était plus dans la ruelle. Elle s’attendit presque à se réveiller dans une chambre blanche, mais ce ne fut pas le cas. L’endroit était sombre. Semblait abandonné. L’odeur de sang et de poussière était plus forte que la senteur de moisi qui émanait des murs. Elle se redressa, lentement. Quelque chose, dans les désirs de son possesseurs avaient changé. C’était masculin, mais pas totalement. La fragrance qui supplantait celle de Brian aussi...était différente. Tellement différente. Se tenant à une poutre, elle se mit sur ses jambes. Ses pieds n’étaient plus chaussés de Talons hauts, mais de Dr.Martens. Sa tenue même avait pris une teinte sombre, noire. Elle avait mal partout et voyait ses mains tremblantes, qui apparaissaient de plus en plus clairement. Ses ongles étaient peint de noir. Lorsqu’elle put enfin reprendre totalement ses esprits et de possesseur en possesseur, cela prenait de moins en moins de temps, elle se sentit attirée vers le bas. Jessica se rua alors par les mêmes endroits que Em et Brian avaient empruntés avant que son ancien propriétaire ne rejoigne son tombeau. Elle arriva en courant presque dans la pièce où Em était assise sur un vieux fauteuil. Brian baignait dans son sang, parfaitement méconnaissable. Mais Jessica savait parfaitement que c’était lui. Elle n’eut pas besoin de s’approcher du corps, ni même de le toucher. Heureusement, la toon frissonna rien que d’y penser. Le calvaire était terminé pour lui, mais elle ne ressentit pas une once de tristesse. C’est maîtresse d’elle-même qu’elle se tourna vers la gothique et s’approcha d’elle, s’arrêtant à quelques pas seulement.

- C’est vous désormais ?

Et elle comprit pourquoi elle portait un perfecto de cuir, des Dr.Martens ainsi que ce pantalon en cuir et ce corsage noir. Comme si elle était en deuil, mais en réalité, elle épousait le style de sa propriétaire. Évidemment, ce n’était pas quelque chose qui allait rester et perdurer, mais la première rencontre se faisait toujours ainsi.

- Em ? 

Jessica sentait venir en elle différentes informations sur les goûts, les habitudes, les désirs de sa nouvelle propriétaire. Son prénom, sa nature. Rien de tout cela ne la choqua, ni ne la perturba. Ce qui lui faisait étrange, c’était cette odeur. Ni masculine, mais pas vraiment féminine pour autant. C’était un subtil mélange. Elle huma l’air et sortit une cigarette de sa poche, qu’elle glissa dans un porte cigarette. Jessica fumait. Pour couvrir l’odeur d’hémoglobine. Peut-être aurait elle dû faire semblant d’être triste, fâchée ou effrayée, mais elle était surtout lasse. La souffrance de Brian faisait encore partie de son corps malgré qu’il soit en train de refroidir déjà.

- Voulez-vous que l’on se débarasse de...ça ? 

Elle pointa de sa cigarette Brian et haussa un sourcil, sans pour autant cesser de détailler Em, qui était toujours là, assise dans son fauteuil. Jessica était apparue si vite, n’était pour autant pas essoufflée. Elle était comme une apparition soudaine alors que personne ne l’avait appelée et qu’elle était censée être sur ce morceau de trottoir aux côtés de sa compagne en train d’attendre les urgences. Mais elle était là, à savourer une cigarette comme après une bonne partie de jambe en l’air. Là, comme s’il n’y avait pas un cadavre à côté d’elles et là, enfin, heureuse de voir un de ses soucis disparaître. Mais pouvait elle se réjouir d’être passée dans une autre main à nouveau ? Après tout, elle ne connaissait pas la nature exacte de sa nouvelle propriétaire. Perturbante au possible par ses odeurs contraires. La Toon restait pourtant bien maîtresse d’elle-même, attendant qu’Em ne lui dise quelque chose, ne lui donne un ordre à exécuter. Elle était comme une actrice qui attendait qu’on lui donne le script de ce nouveau chapitre.

3
Le coin du chalant / Re : Are you my new rabbit ? || Jessica
« le: vendredi 17 janvier 2025, 00:40:44 »
Bienvenue ! Voyons ~

Alors...oui, ce sont de vieilles trames, mais elles sont toujours d'actualités. Pour la 1 du moins, mais la 3...comment dire. Actuellement, j'ai changé de propriétaire, encore. Mais on peut baser notre rencontre avant que Brian (le précédent propriétaire tué par Em) ne disparaisse et cède sa place, voir, avant même Brian, avec le propriétaire qui était d'autant plus envahissant. C'est assez égal. Jessica aurait pu trouver de de la sécurité auprès de Randal et travailler pour lui ensuite...

Il y a de nombreuses possibilités. Elle pourrait aussi être venu quand elle était sous la coupe de Brian et continuer de travailler en étant sous celle de Em (qui est très gentille, ne comprend pas forcément ce que inclus d'être le propriétaire de Jessica, ce qui rend leur relation bien moins conflictuel.) Il faut de toute manière un pied à terre à Jessica pour le travail. Elle va de cabaret en cabaret et de bar en bar, mais pourrait très bien prendre Randal comme manager ? En quelque sorte...je ne sais pas ce que tu en penses ^ ^

4
Blabla / Re : Les phrases qu'on ne veut pas entendre
« le: lundi 13 janvier 2025, 11:14:11 »
"OUPS"

...

Dans le train

5
Jessica était toujours en tournée. Ces temps, elle n’arrêtait plus et plus encore d’ailleurs, depuis la mort de Brian. Tué par une petite vampire adorable, Em. Il fallait avouer que cette dernière n’était pas du genre de ces deux précédents possesseurs. Elle était adorable, avait, certes, ses addictions et autres petites préférences, mais au moins, elle n’était pas une sorte de porc aux mains baladeuses qui ne rêvaient que d’assouvir leurs pulsions et d’asservir la toon. On pouvait même avouer que Em était du genre à laisser beaucoup de latitude à Jessica, semblant encore ne pas trop comprendre ce dont elle avait hérité en prenant la vie de Brian Wilkins. Pauvre Brian...pauvre...non en réalité, Jessica n’avait pas versé une seule larme d’encre lorsqu’elle avait eu connaissance de sa fin. Il avait été utile au moins une fois dans son existence, en nourrissant l’appétit de la petite vampire qu’était Em et ce n’était vraiment pas pour déplaire à la rousse sulfureuse.

- Mrs. Rabbit, vous êtes prête ?
- Oh darling...depuis toujours.

La toon était vêtue d’une robe bleue, ce qui n’était pas coutumier, mais elle aimait parfois laisser au placard son éternelle robe rose et ses gants violets. Elle avait eu envie, de plus, de se mettre dans le thème spatiale de cet endroit dont elle n’était coutumière que depuis peu. C’était un endroit perdu dans l’espace, où tout l’univers semblait venir se perdre pour quelques heures de plaisir, de jeu ou de jouissance. Jessica en avait foulé des scènes. De la plus petite, perdue dans un bouge sombre enfumé aux odeurs d’after-shave et de cigare, aux grandes scènes de cabaret. Elle ne faisait pas la fine bouche. Aussi, lorsqu’un contrat lui avait été proposé dans ce lieu, elle n’avait pu refuser. Et puis c’était l’occasion pour elle de voir l’espace, endroit qu’elle n’avait pas eu l’occasion de connaître malgré ses «nombreuses» vie de Toon. Elle n’avait pas besoin de faire beaucoup d’effort pour se déplacer, au vu de sa nature et ainsi, ne coûtait pas grand-chose à ses employeurs. Pas besoin de billet de train, d’avion, de fusée. Nul besoin non plus de mettre de l’argent dans des gardes-robes hors de prix...il n’y avait même à s’inquiéter de la nourrir ou lui offrir le confort d’une loge immense. Malgré sa petite notoriété, Jessica était certes sulfureuse, mais n’était pas une diva pour autant. Les gens pensaient souvent, à tort, en la voyant, qu’elle devait être telle que son apparence l’affichait, une croqueuse de diamant qui devait coûter cher...très cher. Seulement, comme elle aimait à le dire elle-même «I’m not bad...I’m just drawn that way...».

Certains artistes vous parleraient de la sensation d’excitation et de trac mêlé, le fait de monter sur scène, devant des gens qui étaient là pour eux. Mais Jessi ? Elle, ne sait pas ce que sont toutes ces sensations. En vérité, elle n’avait jamais le trac et ne se sentait que rarement nerveuse. Bien que de plus en plus proche d’un humain au niveau de ses émotions et éloignée de la toon, Jessica affrontait la scène avec le plaisir de celle qui s’avance en terrain conquis. Celle qui sait pertinemment que c’est sa place. Elle était faite pour ça. Le chant, la danse...charmer, envoûter, attraper. Certes, elle ne plaisait probablement pas à tout le monde, mais elle ne laissait certainement pas indifférent. On se souvenait longtemps des formes irréalistes, de la rousseur flamboyante ou de cette voix inimitable, car inhumaine. C’était simple, et quelque peu de la triche. Dessinée pour le plaisir de son créateur, elle était capable de répandre un parfum qui vous enivrait autant qu’un bon bourbon ou de vous donner une sensation que vous chercheriez sans parvenir à la retrouver, tant elle vous a plu. Une envie d’abandon le plus total. Et une fois qu’elle vous avait heurté de son charisme toonesque, alors il était difficile de l’effacer complètement de votre mémoire. Demandez donc aux personnes ayant regardé «Qui veut la peau de Roger Rabbit».

- C’est à vous Mrs.Rabbit.
- Oh...darling. Call me Jessica.

Elle fit un clin d’oeil à la personne chargée du passage des artistes sur scène et s’éloigna de son pas chaloupé pour s’approcher du rideau. Elle n’avait pas besoin de se concentrer pour se souvenir des paroles ou des gestes pour sa fameuse chanson, aussi elle se lança dés que la musique commença. La jambe qui passe entre le rideau tandis que la voix de velours monte. Nul besoin de micro, chaque note se baladait dans la salle et semblait vous cibler vous, personnellement. Comme si chaque individu, chaque créature présentes, était unique. Et se trouvait seule avec la toon. Le jeu de lumière faisait briller sa peau comme si une légère couche de moiteur la couvrait. Lorsqu’elle se déplaçait sur la scène, ses vêtements épousaient parfaitement ses formes, totalement fait sur mesure. Et c’était le cas. Car une toon ne se vêt pas comme vous et moi...c’est au-delà.

- Why don’t you do right, like some other men do…

Parfois, elle s’arrêtait à une table, attrapait une rose pour la déposer sur les jambes de la voisine de tablée, puis s’échappait sans arrêter de chanter, pour s’asseoir sur les genoux ici ou se laisser effleurer là. Personne n’était en mesure de réellement la toucher si elle ne le désirait pas, capable de s’esquiver avant que la main baladeuse ne l’atteigne. Puis elle s’arrêta pour ses quelques dernières phrases à la table d’un homme seul. Sans savoir pourquoi, Jessica y resta plus longtemps. Pour le final, alors que normalement elle remontait sur scène pour les dernières notes, ou sur le piano du musicien, tout dépendait. Mais elle évitait de se retrouver avec un client à ce moment. Seulement, ce soir, elle resta en bas de la scène, approchant son visage de celui de Jack, sa main lui caressant le menton avec légèreté. Se penchant au point d’avoir ses lèvres proches des siennes, laissant le dernier mot de la chanson se perdre contre la bouche de l’homme. Mais avant de risquer un quelconque baiser, Jessica se redressa et reparti sur scène, professionnelle, avant de saluer le public d’un clin d’oeil. Elle s’enfuit derrière les rideaux, gardant sur sa paume, la sensation de la barbe naissante de ce client avec qui elle avait changé le scripte de son spectacle pourtant rodé depuis des années maintenant.

6
Centre-ville de Seikusu / Re : Are you a genie ? [Jessica Rabbit]
« le: dimanche 12 janvier 2025, 01:35:17 »
Brian ne prêta qu’une vague attention imbibée aux allusions de la ghotique. Il n’aimais pas trop ce genre de femme. Il les trouvait perturbante et probablement perturbée. Mais en même temps, il sentait sa virilité se dresser, ce qui était preuve que là, tout de suite, il se foutait qu’elle soit gothique ou bobo ou encore, une autruche en goguette. Il voulait sa rousse par contre. Mais qui le jugerait s’il acceptait l’offre alléchante de la demoiselle ? En plus elle avait de beaux seins, une peau pâle...et lui avait perdu assez de son temps à chercher la rousse. Il cogitait. On pouvait presque entendre fumer les deux neurones survivant de la noyade éthylique. Aussi, son visage, d’impassible ivrogne, devint lubrique, bien que toujours ivre. Il manqua d’ailleurs se vautrer en tentant de se redresser. Cette presque chute le colla à Em et sans un regard pour la barmaid à qui pourtant il s’était adressé en arrivant, il colla sa main au cul de la demoiselle qui lui parlait dans une langue qu’il connaissait.

- J’aime bien comment tu m’parles poulette. Ouais. J’aime bien.

Il fourra les billets de manière presque brutale qui se voulait chaude et cochonne, mais comme il ne contrôlait plus grand-chose...dans le haut de Em et continua de palper de son autre main, sans gêne, les fesses rebondies. Il lui soufflait son haleine avinée dans le visage et dans le cou, tandis qu’il lui soufflait sans une once de sex-appeal, bien qu’il était persuadé du contraire.

- Montre moi de quoi t’es capable alors. Et on verra si j’ai pas d’autres billets pour toi.

Il fallait dire que Brian était friqué et avait son porte-monnaie bien garni. Ce qu’il avait tendu aux deux femmes en arrivant n’était qu’un aperçu de ce qu’il avait sur lui. Cet abruti était bien trop pressé de se vider pour se dire qu’on ne dévoilait jamais tous ses as dans une partie de Poker. Pauvre imbécile.

- Jess ? Tu devrais rentrer. Tu es quand même pâle tu sais ?
- Non...ça va aller. Laisse moi juste reprendre mes esprits. J’ai du manger quelque chose qui ne passe pas…

En réalité, Jessica sentait qu’elle était attirée vers Brian. Parce qu’il se mettait en danger et qu’en tant que sa toon, elle ressentait les choses. Mais en elle luttait la femme qu’elle devenait et qui n’avait plus envie de jouer ou d’être un jouet. Sa pâleur n’était pas dû à un met avarié ou quelque maladie, n’étant pas sensible à ces inquiétudes humaines, mais bel et bien parce que si Brian y parvenait et que la toon prenait le dessus, la rousse allait disparaître pour apparaître auprès de son nouveau propriétaire. Et plus elle luttait, plus cela lui faisait du mal. Mais elle préférait souffrir un peu, plutôt que se retrouver entre les mains sales de ce porc.

- Viens, on va prendre l’air…

Au bar, en attendant, Brian était totalement à son affaire. Il pensait qu’il avait tiré le gros lot avec cette fille qui avait l’air vachement attirée par lui. Le fait qu’elle soit potentiellement une prostituée et probablement plus intéressée par son fric que par son physique n’existait plus dans son imagination fébrile. Pour lui, il était déjà ailleurs, entre les cuisses pâles de Em, à se vider à défaut de pouvoir retrouver sa rousse. Il se disait, naïf en plus d’être con, qu’il pourrait toujours la menacer une fois l’acte accompli, pour qu’elle lui crache le morceau sur où se trouvait sa toon. Et il ferait regretter à Jessica Rabbit le jour de sa création. Ce qu’il ne pensait pas, c’est que c’était lui, qui allait rejoindre et son créateur et l’ancien de la rouquine, à qui il avait ôté la vie quelques temps plus tôt.

-Viens...on sort. Y a bien un coin où qu’on s’ra tranquille pour...tu vois.

Il chuchotait, du moins en était sûr. Il termina le verre que la barmaid avait servit d’un trait et dû s’appuyer lourdement sur Em en essayant de quitter le bar. Il avait un bras sur son épaule, sa main allant déjà sans aucune honte, sans aucune gêne, chercher son sein. Ce n’était pas quelqu’un de délicat sobre, alors ivre, il l’était encore moins. Il la tripotait comme on tripote un jambon pour l’attendrir et cela lui donnait une érection qui était visible à travers la toile de son pantalon. C’était à se demander d’ailleurs si tout le sang qui irriguait ce qui lui tenait lieu de matière grise, n’était pas là en bas. Et sans un adieu pour les âmes encore présentent dans le bar dont il avait troublé la quiétude, il se laissa emporter à l’extérieur, suivant comme un pantin lubrique, la gothique qui allait lui offrir sa dernière nuit et pas forcément la plus plaisante. Du moins pour lui…

- Jess ! JESS !
- Pardon. Je…
- Non vraiment. Je vais appeler quelqu’un. Attends moi là, assieds-toi. Je vais te chercher de l’eau. Garde mon manteau, comme ça tu n’attrapera pas froid.

Jessica n’avait pas froid, malgré ses tremblements.
Elle n’avait pas envie de vomir ou le risque de s’évanouir malgré sa pâleur. Mais elle accepta le manteau pour cacher ses mains qui commençaient déjà à s’effacer. Il valait mieux que sa jeune amie ne le remarque pas. La plupart des gens, hormis les créatures, ne savaient qu’elle était une toon. Et il valait mieux que les humains ne l’apprennent pas. C’était irréel. Comme la sensation qu’elle ressentait, d’être présente sans l’être. Attirée par son devoir de toon, qu’elle repoussait par dégoût pour Brian.

7
Vous nous quittez déjà ? / Re : Ohlala
« le: jeudi 14 novembre 2024, 02:01:45 »
Juste un passage pour dire que je n'ai pas disparu dans la nature. Juste besoin de me retrouver. Perdue. Quelque part.

Je vous embrasse. Vous me manquez, mais ma muse m'a quittée depuis quelques mois maintenant et je peine à la retrouver.

J'espère retrouver mes partenaires ou certain.es en tout cas.

Avec amour, sincèrement,
Votre dévouée.

8
Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« le: samedi 29 juin 2024, 23:24:08 »
Ce n'est pas hygiénique...j'évite de me toucher le visage après avoir toucher des choses souvent usité en extérieur alors...non. non je ne ferai pas ca.

Embrasserais tu l'oreille de Dobby ?

9
Vous nous quittez déjà ? / Re : Ohlala
« le: mardi 25 juin 2024, 07:52:10 »
Vois êtes adorables merci beaucoup  :-*

(Randal vu ton gabarit ça va piquer...)

A très vite j'espère  :-* j'ai hâte de reprendre les écrits.

10
Vous nous quittez déjà ? / Re : Ohlala
« le: lundi 24 juin 2024, 23:26:26 »
Em...tu sais bien que je suis championne dans l'épluchage de bananes !

 :-* merci. Tu me manques beaucoup sache le.

11
Vous nous quittez déjà ? / Re : Ohlala
« le: lundi 24 juin 2024, 23:18:14 »
Bonsoir ! Navrée de mon absence qui se prolonge. J'ai des soucis personnels qui me sont tombés dessus depuis quelques temps et ça me prend de l'énergie. Heureusement, je suis bientôt en vacance.

J'espère que mes partenaires me pardonneront. Je reviendrai en force et avec de jolis textes...je vais essayer en tout cas de faire au mieux.

Kiss Kiss de votre rousse et toute la clique.

12
Vous nous quittez déjà ? / Re : Ohlala
« le: lundi 17 juin 2024, 01:28:02 »
Merciiii  :-* :-* :-*

Je devrais reprendre mes rps mercredi, petit contre temps qui limite mon inspiration !

Du love sur vos crânes !

De Olympe, Mona, et les autres  :-*

13
Centre-ville de Seikusu / Re : Are you a genie ? [Jessica Rabbit]
« le: dimanche 02 juin 2024, 22:24:26 »
Il ne le sait pas encore, mais il vivait là ses dernières heures. Brian Williams, un homme qui pensait que la vie lui souriait enfin depuis sa rencontre avec la sulfureuse Jessica Rabbit. Il faut dire aussi qu’il avait tout fait pour entrer en sa possession. Ce qu’il ne savait pas par contre, c’était à quel point elle devenait insaisissable avec le temps. La rousse voyageait et déménageait désormais au gré de ses envies et de ses contrats de danse. Elle ne supportait pas de rester en place, ne supportait plus depuis la mort de son créateur et ancien propriétaire, d’appartenir à quelqu’un, de devoir se plier en quatre, d’être maltraitée, tout cela sous couvert de son statut de Toon. Autant dire que si elle ne vieillissait pas en apparence, elle changeait significativement d’année en année depuis sa création. Désormais, Jessica était presque une femme libre, qui osait désobéir à Brian et parfois, n’en faisait qu’à sa tête. Sa dernière lubie ? Disparaître sans laisser d’adresse. Mais c’était sans compter sur les moyens que possédait Brian, qui finissait toujours par la retrouver.

- JESSICA !!!!

Seikusu, Japon. Brian était de mauvais poil et légèrement éméché. Il avait prit un avion depuis New-York dans l’espoir de la retrouver et on lui avait donné son adresse. Ce n’était guère compliqué après tout, une rousse pareille dans les rues japonaise, ne passait pas vraiment innaperçue.

- JESSICA !!!!! Viens quand on t’appelle sale…

Brian trébucha sur une poubelle et l’envoya valser d’un coup de pied qui fit sursauter les passants. Débraillé dans son costume gris, il titubait entre le trottoir et la route, trébuchant parfois, sans jamais se départir de sa voix débraillée. Il hurlait des Jessica et des insanités, des insultes, le tout en anglais, ne connaissant pas d’autres langues, contrairement à la Toon, qui, par sa nature, pouvait parler n’importe quel dialecte avec facilité quasiment sans accent.

- Tu vas te montrer SALOPE ?!

Brian se planta devant un bâtiment. Il y avait un bar qui lui faisait de l’oeil, mais c’était surtout les fenêtres au-dessus qui l’intéressaient. Jessica devait être ici. Il le sentait dans son ventre et probablement dans son bas-ventre aussi. L’américain se baissa et ramassa une canette vide qui avait roulé jusque là et la jeta aussi fort que possible. Elle alla s’écraser contre le mur près d’une des vitres. Dans un bruit désagréable, le morceau d’aluminium retomba près de l’ivrogne, mais il ne fit pas un geste, si ce n’est reculer un peu.

- JESSICA tu me dois de l’obéissance. TU LE SAIS ! Sale...Pute !

Les gens parfois s’arrêtaient pour observer ce fou qui hurlait comme un damné dans une langue que certains ne connaissaient pas. Après avoir gueulé un moment, Brian fini par se fatiguer. Il passa une main tremblante sur son visage, le gosier sec. Il renifla avec dépit et dirigea son pas chancelant jusqu’au petit bar au-dessus duquel sa rousse était censée vivre. Il bascula contre la porte qui s’ouvrit, plus qu’il ne l’ouvrit lui et tomba de tout son long dans le lieu, les quelques personnes présentes le regardant s’affaler sans un geste. Lorsqu’il se releva, Brian épousseta son pantalon et sorti une liasse de billet en se dirigeant vers le bar, sans vraiment prêter attention à la noiraude, mais portant son intérêt directement sur la personne qui avait l’air d’être la barmaid.

- Soir’...z’avez un truc à boire ? J’ai de quoi payer. Et j’aimerais des informations aussi. Je paierai. Cher.

Brian n’attendit pas de réaction de la part de qui que ce soit, il lâcha les sous sur le comptoir et poussa les billets dans la direction de la barmaid. Il n’attendit pas non plus d’assentiment ou de refus. Il se contenta de continuer, comme un ivrogne qui soliloque par nécessité plus que par envie.

- Je cherche quelqu’un. Une rousse. Grande. Avec des seins comme ça.

Il mima une plantureuse silhouette et une grosse poitrine, trouvant son équilibre en prenant appui de son coude sur le comptoir. Il parlait plus doucement que précédemment, comme s’il se rendait compte que s’il continuait de vociférer, il risquait de se faire arrêter ou...allez savoir avec ses japonais. Il ne savait même pas si la personne à qui il venait de s’adresser parlait anglais et, ou, le comprenait et sa diction était passablement altérée par l’alcool ingurgité depuis le début de la soirée. Brian regarda sa montra, loucha dessus plutôt et secoua la tête en voyant qu’il était déjà une heure du matin.

- C’est ma… - Il dut réfléchir un moment. - C’est ma femme et elle était… - il cherchait un mensonge plausible. - Elle était censée me retrouver à l’aéroport, mais elle m’a posé un lapin.

Il rit. Private Joke avec lui-même, car la toon s’appelait Rabbit et cela le fit rire de se dire qu’elle lui avait poser un lapin. En réalité, elle le fuyait et il le savait et ça l’énervait. En acquérant Jessica, il pensait pouvoir de temps à autre, il n’en demandait pas autant que son prédécesseur, pouvoir passer la nuit entre ses cuisses. Mais elle s’était toujours envolée avant son arrivée. Et lorsqu’il la chopait enfin, c’était pour se confronter à des excuses bidons. Bidon...elles ne l’étaient pas, mais Brian pensait que oui. Jessica était simplement occupée par ses spectacles qu’elle commençait à faire un peu partout désormais, plus uniquement dans des bars américains. Les gens semblaient apprécier sa plastique irréelle, surtout ici, sur Terre. Et cela faisait désormais quelques semaines qu’elle était à Seikusu, au Japon. Elle offrait ses courbes pour un spectacle dans un cabaret du coin, aussi, elle n’était pas dans son appartement ce soir, mais plus loin.

- Jessica ? Est-ce que ça va ? Tu as été super ce soir !
- Thank you darling…
- Tu n’es pas contente de ta prestation ?
- Mmm ? Oh. Yes...si. Oui oui, bien sûr. Je suis simplement fatiguée.
- Tu veux que je te ramène ?
- Cela ne te fais rien si nous restons encore un peu ici ?
- Non...bien sûr...mais…
- Please. Juste le temps de reposer mes jambes.

C’était un mensonge. Installée élégamment dans un fauteuil de sa loge, Jessica sentait qu’il se passait quelque chose. Brian était dans le coin. C’était difficile de dire comment elle le savait, mais elle le savait. C’était une sensation particulière qui la faisait frissonner. Mais ce n’était pas les mêmes frissons que le froid ou la peur. C’était autre chose. Et elle aurait été bien incapable de dire à quoi cela ressemblait, car les sensations humaines, elle ne les connaissait pas depuis longtemps. La Toon se leva et saisit son peignoir qu’elle passa sur ses épaules, sans un regard pour sa petite assistante japonaise qui lui servait de guide et d’assistante durant son séjour.

- Je suis navrée Natsu, je ne sais pas ce que j’ai ce soir. Je dois être fatiguée.
- Ne t’en fais pas Jess’, cela prouve simplement que tu es humaine ! Je commençais à me poser des questions…

Au visage que fit  Jessica, Natsuko se mordit la lèvre inférieure. Avait-elle dit une bêtise, elle se confondit en excuse, mais Jessica lui fit signe de ne pas s’en faire et lui demanda d’aller chercher des cafés. Une fois seule, elle se concentra pour ne pas céder à la pulsion de la Toon en elle, qui lui disait de rejoindre Brian et d’exécuter les ordres de son propriétaire.

Toujours au bar, Brian continuait son mensonge, s’enfonçant dans des explications qui ne semblaient pas toujours avoir de sens. Mais il était prêt à payer cher si on lui disait où était la rouquine et encore plus cher si quelqu’un acceptait de le mener à elle.

- Je vous assure, j’ai assez d’argent pour vous offrir le Lune. Alors il y a bien quelqu’un ici, qui sera d’accord de me dire où est cette...cette femme ? Je m’inquiète vous comprenez ? Et j’ai un avion à prendre dans deux jours. Je ne peux pas partir sans elle.

Il tapota sur le bar, fixant son regard d’ivrogne sur la noiraude, comme s’il la voyait pour la première fois depuis son entrée.

- Vous peut-être ? Je suis sûre que vous savez où elle est !

Rien ne lui disait que c’était le cas, mais dans sa tête d’alcoolique en manque de cul, il était prêt à parier que tout le monde savait où se cachait la belle et personne pour le lui dire. Comme s’ils la protégeaient. Peut-être que tout le monde la voulait pour lui après tout et c’était tout à fait légitime. Lui-même se sentait en veine de la posséder, même si Jessica avait tendance à disparaître et que Brian n’avait que rarement pu profiter de son corps et de son esprit soumis de toon.

- Et je suis sûr aussi que vous avez besoin de thune !

Il ramassa les billets, en laissant quelques uns pour les consommations et les secoua sous le nez de la gothique qu’il pensait être une prostituée. Il le sentait, comme tout mec ivre qui prend toute femme sexy pour une créature de la nuit qui se fait payer pour quelques instants de plaisir.

- Allez...je vous donne tout ça si vous m’amenez à Jessica. Vous pouvez pas ne pas la connaître. Regardez !

Comme si son cerveau embrumé se mettait enfin à fonctionner, il sortit son portable et lui montra une photo de la toon, dans sa fameuse robe rouge.

- Elle chante et fait des spectacles. Vous l’avez sûrement croisée dans le coin. On m’a dit qu’elle habita ici. Enfin. Là.

Brian pointa du doigt le plafond et se remit ensuite à secouer l’argent sous le nez de Em.

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Le coin du chalant / Re : Are you my new rabbit ? || Jessica
« le: jeudi 23 mai 2024, 21:03:16 »
Bonsoir belle créature nocturne.
As-tu une envie particulière ? Je sens que nous pourrons nous amuser...toi et moi ~

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Le coin du chalant / Re : Are you my new rabbit ? || Jessica
« le: mercredi 22 mai 2024, 12:49:22 »
Update there  :-*

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