Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Yukio Onoki

Pages: [1] 2 3 ... 17
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Vous nous quittez déjà ? / Grand ménage & changements
« le: lundi 25 novembre 2013, 17:26:38 »
ça vient, ça revient...

Ces derniers temps, le RP était devenu plus une contrainte qu'un plaisir pour moi : trop de  persos, de RPs, pas assez de temps... Au point de m'en dégoûter. Mais on ne se refait pas, roliste un jour, roliste toujours.

J'ai donc décidé de faire un grand ménage dans mes persos et ma manière de faire. Une partie de mes comptes sera donc clôturée (sauf si quelqu'un souhaite les reprendre), l'autre subira une refonte plus ou moins importante.
Tout ça pour dire que je reviendrai très prochainement, quand je serais prêt et mes persos également. Je voulais prévenir ceux avec qui je joue depuis longtemps, et les autres, de mon retour.

À très bientôt donc !

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Les alentours de la ville / Re : Arrivée a Seikusus ( PV Yukio Onoki )
« le: mardi 15 octobre 2013, 07:34:05 »
Si je m'étais attendue à ça... Un loup parlant comme un humain le ferait. La surprise passée, je souris. Voilà qui allait grandement me faciliter la tache.

" Ce que je te propose ? Rester ici, avec moi. À moins de vouloir chercher les ennuis, sous la forme d'un fusil braqué sur ta tempe, ça reste l'option la plus intéressante pour toi, d'un point de vue logique. D'autant plus que tu ne seras pas obligé de faire les poubelles pour trouver ta nourriture. Qu'en dis-tu ? "

Jusque là, je n'avais pas exposé les raisons qui me poussaient à lui faire cette proposition. Il y en avait pourtant trois. La première, par orgueil. Dominer et soumettre une telle créature avait de quoi m'exciter. Deuxièmement, ce loup pourrait éventuellement me servir. Troisièmement, et ça rejoignait le deuxième point, j'aimerai bien voir une esclave se faire violer par ce loup. Sa sauvagerie naturelle doit certainement transparaitre dans l'acte sexuel, je se serais prête à parier qu'un tel spectacle doit valoir son pesant d'or...

3
Je savourais le contact de l'eau, et le contact de Mélinda. Ma belle vampire avait le trajet nue, et voir son corps ainsi avait réveillé mon désir pour elle, qu'elle avait portant satisfait il y a peu. Si mon propre corps n'avait pas été aussi fatigué par nos ébats, je pense que j'aurais déjà été me lover contre elle pour qu'elle me viole à nouveau.
Allongée dans l'eau chaude, j'écoutais la question de Malinda, tout en laissant Maya faire son office. La jeune neko été allée récupérer le nécessaire de toilette et commençait à me frotter le corps avec du savon. Je regardais son petit corps bouger, et envisagea la possibilité de m'amuser un peu avec cette nuit... Puis reporta mon attention sur Mélinda.

Sa question m'avait légèrement surprise. Savoir ce que je pensais des vampires... Il s'agissait en premier lieu d'un montre purement issu du folklore occidental, et qui avait donné lieu à de multiples adaptations... Je pense à cette superproduction hollywoodienne d'amour à l'eau de rose (et terriblement rasoir) entre un vampire et une humaine : je ne suis pas sûre que Mélinda aimerait être comparée à cela.


" Je ne sais pas trop quoi répondre... Selon les folklores, il existe des dizaines de versions de ce que sont les vampires... Mais les points qui reviennent le plus souvent sont e fait qu'ils se nourrissent de sang, qu'ils craignent la lumière du jour, qu'ils ont des capacités surhumaines et celle de transformer un humain en leurs semblables... Et qu'ils sont très beaux. "

Jusque là, la description correspondait à Mélinda, à cela près que je n'avais jamais vu la vampire souffrir d'une quelconque gêne en étant exposée à la lumière solaire. En revache, c'était une bonne chose que cette vampire m'ait posée cette question, car je ne pouvait nier nourrir une certaine curiosité à l'égard de sa nature...

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Les alentours de la ville / Re : Arrivée a Seikusus ( PV Yukio Onoki )
« le: mardi 08 octobre 2013, 09:02:54 »
Comme on pouvait si attendre de la part d'un loup sauvage, il ne capitulait pas si facilement. Il en donna d'ailleurs la preuve, grognant et bandant les muscles. Même enchainé comme il l'était, une telle démonstration restait impressionnante... Et renforçait mon envie de posséder cette créature. Faisait fi de cette démonstration d'agressivité, je m'approche et m'accroupit juste devant sa gueule. Je suis tellement près que je sens son souffle chaud, et s'il n'avait pas été attaché, il aurait pu m'arracher la gorge d'un claquement de mâchoire.

" Des telles démonstrations de force sont inutiles, loup. Ces chaînes sont trop solides pour toi. Pourquoi ne pas te calmer et écouter, plutôt ? "

Ça pourrait sembler bizarre que je parle à un animal comme s'il me comprenait, mais quand je le regardais dans les yeux, j'avais l'impression d'y voir briller une étincelle d'intelligence... À moins que je me fasse des idées.

" Je veux faire de toi un animal de compagnie. Tu devrais bien réfléchir à ce choix, loup. Je ne te tuerai pas, même si tu refusais ma proposition, car je trouve regrettable de mettre à mort une splendide bête comme toi. Mais les autres humains ne sont pas aussi consiliants... "

Un euphémisme... Si un loup de cette taille était vu en ville, l'état d'urgence serait décrété, la police barricaderait tout le quartier, puis le traquerait, fusil en main. L'alternative proposée est largement plus profitable pour lui : un espace protégé, repas fournis... Je me demande si ce loup comprend...

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Prélude / Re : Ensorcelle-moi de ta voix...
« le: lundi 07 octobre 2013, 12:14:40 »
Bienvenue, belle damoiselle.

Mon manoir est toujours ouvert à qui ose passer son portait, viens me voir à l'occasion.

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Les alentours de la ville / Re : Arrivée a Seikusus ( PV Yukio Onoki )
« le: samedi 05 octobre 2013, 14:31:40 »
Ça alors. Si je m'attendais à voir un loup en pleine banlieue. Depuis la fenêtre, je vois l'animal traverser le parc, un sac dans la gueule. Sûrement un sac de courses, et il a l'intention d'en dévorer le contenu. Je dois avouer que cet animal provoque en moi un certain émois. La beauté sauvage de cet immense loup noir semble agir sur moi, et je me mets à envisager les options possibles pour le garder ici. Je doute en faire un animal de compagnie docile comme pourrait l'être un chien domestique, mais je veux tenter de l'apprivoiser, même un peu. Éventuellement, je pourrais m'en servir pour punir quelques personnes, sexuellement ou non... J'appelle donc Wolfgang, et lui donne l'ordre de capturer ce loup. Il m'annonce alors que le service chargé de la sécurité avait prévu de justement l'abattre, donc qu'ils étaient sur le point d'intervenir. Un appel pour leur dire de changer leurs munitions standards contre des balles tranquilisantes, et les voilà partis.

C'est vraiment une bête splendide. Maintenant que le loup est à quelques pas de moi, solidement enchainné, je me rends vraiment compte de sa taille. Et cela me donne encore plus envie d'en faire ma possession. L'idée même de posséder cette bête suffit à me rendre toute chose. Après tout, le loup n'est-il pas le symbole du prédateur ? Quelle satsifaction ce serait de dominer le prédateur ! Et quel impact cela aurait, lors de face à face futurs. Oui, il me faut ce loup.
Loup qui grogne, d'ailleurs. Immédiatement, mes hommes vérifient les chaînes qui le maintiennent au sol. En théorie, il ne devrait pas pouvoir bouger ou mordre, sanglé comme il est, mais faire preuve d'un maximum de prudence face à une telle bête relève du sens commun. Ce qui ne m'empêche pas de m'approcher un peu de de m'accoupir pour le regarder dans les yeux.


" Enchantée, loup. Tu te demandes ce qu'il se passe ? Tu as été capturé par mes hommes, maintenant tu m'appartient. Sois-en reconnaissant, si je n'avais pas voulu ça, tu serais déjà mort. "

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Les alentours de la ville / Re : Pire que le Diable ? (avec Yukio Onoki)
« le: samedi 05 octobre 2013, 13:44:06 »
Plus le débat avance, plus j'ai l'impression que nous nous dirigions vers une discussion théologique entre le point de vue du Père Yves et le mien. Il avait laissé tomber ses accusations à mon encontre, mais je doutais qu'il ait vraiment abandonné la partie. Il a été trop véhément jusque maintenant pour rendre les armes aussi facilement, surtout face au spectacle que je lui proposais. En revanche, j'étais confiante sur mes positions. Initialement, c'était lui qui menait le débat, j'avais repris la main et dictait désormais les règles.
Là où j'étais moins sûre de moi, c'était sur le sort à réserver à Yves. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, je n'aime pas condamner à mort. On peut trouver une utilité à une loque vivante, pas à un cadavre. Et dans le cas présent, le religieux n'avait rien fait qui pourrait honnêtement me pousser à le voir mourir. De même, je ne voyais pour l'instant pas trop quelle utilité il pourrait avoir, raison pour laquelle je n'avais pas encore commencé à le manipuler et l'acheter. Utiliser ses tendances pour m'en faire une source d'approvisionnement ? J'en ai déjà de multiples au lycée, et sa paroisse est plus fréquentée par de vieilles personnes... Pour le moment, je vais plutôt me placer en retrait et laisser le Père Yves reprendre la main, voir comment il va agir.


" Si le malentendu est dissipé, Mon Père, avez-vous quelque-chose à ajouter ? Ou souhaitez-vous revoir vos doléances et me les représenter ? "

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Le parc et son sous-bois / Re : Un contrat exclusif (Yukio Onoki)
« le: jeudi 03 octobre 2013, 19:10:47 »
" La connaissance des plantes de Madame Wo est aussi grande que sa réputation. J'ai toute confiance en son thé. "

L'échange de banalités, rien de mieux pour installer un climat paisible et détendre l'atmosphère. Car Lynn Minmey, malgré son air serein, ne parvient pas à me dissimuler une légère nervosité. C'est vrai que pour elle, cet entretien pourrait être le tournant majeur de sa vie. Je m'assieds sur un fauteil, face à elle, et lui sourit paisiblement. Je ne veux pas l'impressionner ou l'oppresser, je veux au contraire la mettre en confiance. Je prends ma tasse et savoure l'arôme, avant d'en boire une gorgée.

" Si simple en apparence, en realité si complexe et plein de subtilités... L'art du thé est une vraie alchimie, ainsi qu'un enchantement pour les sens. Je doute avoir eu l'opportunité de gouter un thé aussi délicat que celui-ci, Miss Minmey. "

On pourrait croire que je flatte, pourtant je suis sincère. En toute honnêteté, face à Lynn Minmey, je n'avais pas le même sentiment que face à un dirigeant d'entreprise. Nous étions presque du même âge, et sa simplicité contribuait au charme qui se dégageait d'elle. De plus, je voyais dans ses yeux qu'elle ne me considérait pas juste comme le symbole de l'empire Onoki. Elle me voyait comme Yukio, avant de voir l'héritière. Et pour cette unique raison, je me sentais plus disposée à son égard.

" J'espère que je n'abuse pas de votre temps... Mais je suis ravie de pouvoir savourer ce thé en votre charmante compagnie. À moins que vous n'ayez d'autres engagements à honorer, je souhaiterai que nous prenions le temps de faire connaissance. "

9
Allongée sur le sol, je récupérais lentement de mes ébats endiablés avec Mélinda. La vampire m'avait baisée sans relâche, en différents orifices, dans différentes positions. L'excitation et l'adrénaline m'avaient aidée à tenir, mais maintenant qu'elles étaient retombées, j'étais complètement vidée. Mélinda n'avait pas ce problème, sûrement sa nature la rendait plus résistante et endurante que l'humaine que j'étais. Sa verge masculine avait disparu, elle devait l'avoir repliée au fond de son intimité. Elle semblait pensive, aussi décidais-je de la laisser tranquille.

Du coin de l'oeil, je vis Maya, la neko que Mélinda m'avait offerte. Elle me fixait docilement, avec une petite pointe de crainte. Mais sur son visage, je lisais aussi autre-chose : du plaisir. Ses joues roses et sa respiration lourde ne me trompaient pas. Et en descendant le regard, je vis la confirmation de ce que je soupçonnais : de la mouille coulait encore entre ses cuisses, et les poils de sa queue étaient trempés. La coquine s'était masturbée en nous voyant faire l'amour, Mélinda et moi.
Cela étant, c'est une belle petite chose, cette Maya. Son visage de poupée transpirait l'innocence, alors que son corps avait tout les charmes possibles. Menue, les seins semblables à deux petites pommes qu'on aurait envie de croquer, une taille fine soulignée par une splendide chute de reins et des fesses bien rebondies. J'avais hâte de l'emmener dans ma chambre et découvrir toute l'étendue des possibilités qu'elle m'offrait. Mais pour l'heure, j'étais à Mélinda, qui parla justement de quitter la pièce.


" Je propose dans ce cas que nous allions prendre un bain. Cela nous fera du bien après tout cela. Oh, et Maya, tu nous laveras. "

Il faut dire que nous étions couvertes de sang et de sueur, sans parler de nos entrejambes où se mêlaient nos fluides sexuels. Et pour ma part, je me sentais sale. Sans compter qu'un bon bain m'aidera à me relaxer et récupérer. Je renfile ma robe, mais suis contrainte de laisser mes sous-vêtements de coté sous peine de les ruiner définitivement. Puis je guide Mélinda et Maya jusqu'à la sortie. La neko semble ravie que je fasse appel à elle, alors que Mélinda semble soucieuse. Je me demande bien à quoi elle peut penser, mais je suis trop respectueuse pour lui demander.

Toutes ces interrogations cessent quand nous atteignons enfin la salle de bain. La pièce spacieuse était en fait divisée en deux parties : un petit vestiaire, et la salle de bain à proprement parler.
Le vestiaire se composait de divers ameublements destinés à accueillir les visiteurs : casiers pour les vêtements, paniers à linge et à serviettes, on trouvait également un miroir et un banc. L'endroit était carrelé dans les tons bruns, ce que ce mariait avec le mobilier en bois. Sans cérémonie, je me déshabille et entraine Mélinda vers le bain.
Cette partie de la salle, bien plus grande que le vestiaire, a été agencée pour simuler un Onsen naturel. On y retrouve donc un pavage irrégulier émulant un sol rocheux, et plusieurs blocs grossiers sont disposés tout le long du bassin. Comble du raffinement, une ample baie vitrée, traitée pour éviter la condensation de l'eau, permet d'avoir une vue sur le parc et le ciel, tout en profitant de l'eau chaude du bain. J'ai d'ailleurs tôt fait de m'y glisser, invitant Mélinda à me rejoindre.

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Happy new year... or not
« le: dimanche 29 septembre 2013, 13:01:26 »
Ouf, enfin un peu de temps libre pour poster !

Bien le bonjour, tout le monde !
Après ce premier mois d'études, j'ai plus ou moins trouvé mon rythme de croisière, n'annoncent donc mon retour sur LGJ. Retour effectif pour les personnes suivantes :
- Yukio Onoki
- Kimuko
- Shlylayll
- Aya Chitsuki
- Vincente Valentyne
- Irys Flyvia
- Shacionne Sanatarionn
- Sakura Hanekawa (non validée)
Comme je n'ai plus beaucoup de certitudes de mes partenaires qui attendaient une réponse, je les invite à m'envoyer un petit MP, histoire que je puisse me rafraichir la mémoire ^^

À très bientôt !

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Vous nous quittez déjà ? / Happy new year... or not
« le: mardi 10 septembre 2013, 10:14:41 »
Bonjour tout le monde !

Nouvelle année, nouvelles études... Et nouvelles études, moins de temps libre...
En un mot plutôt qu'en cent, je vais devoir baisser mon activité de roliste au profit de mon activité universitaire. Je n'abandonne pas LGJ, mais mes réponses tomberont moins régulièrement. Cela s'applique bien sur à ce compte et tout les DC rattachés.
À mes partenaires, j'ajoute que s'ils veulent prendre leur temps entre deux réponses, il peuvent ;) ça m'aidera à y voir clair.

Bonne journée, et bonne chance dans vos projets !

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Les alentours de la ville / Re : Une bonne soirée [Voodoo]
« le: vendredi 06 septembre 2013, 22:36:44 »
Après avoir eu son soutien-gorge détaché, Voodoo recommença ses pas de danse. Elle gardait ses mains posées sur ses seins, cachant l'élément principal de cette partie de son anatomie. Tout comme lors de sa danse, elle me lança sa pièce de lingerie, mais du fait qu'elle le fit de dos cette fois, elle atterrit à coté, et non sur moi. Et à dire vrai, ce détail n'avait pas beaucoup d'importance, puisque ce qui m'intéressait vraiment était ce qui était caché par ce vêtement. Voodoo s'approchât, les mains cachant toujours le sommet de ses seins, puis se posa à nouveau sur mes genoux.
Les bras de la danseuse s'ouvrirent brusquement, révélant enfin ses auréoles et ses tétons. Ceux-ci sont d'ailleurs tendus, surement en raison de la fraicheur de son corps. Est-ce là une technique pour exciter d'avantage un mâle, lui faire croire qu'elle est excitée ? Surement... Voodoo commence alors à balancer son torse de gauche à droite, et ses seins frôlent mon visage. Elle continue son manège, se rapprochant de plus en plus, jusqu'à que ce soit ses seins qui me giflent au rythme de ses balancements.


" Et bien et bien, voilà le genre de chose à laquelle je n'ai pas le droit tout les jours. Tu as été bénie à la naissance, ou il y a un régime alimentaire spécial derrière ?
Oh, qu'importe, en revanche, une fille sculptée comme toi est rare, dans cette contrée. Rare, et précieuse... "

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Les alentours de la ville / Re : Pire que le Diable ? (avec Yukio Onoki)
« le: vendredi 06 septembre 2013, 22:34:46 »
Je reconnais bien là le prêtre enseignant de théologie qu'il est censé être. Dans le même temps, j'ai toujours trouvé la façon de voir les choses du catholicisme quelque peu décalée. Le Bien, le Mal, sauvons les gens du démon, tout ça m'apparait comme étant absurde. L'idée d'éradiquer le Mal au nom du Bien est en soi un paradoxe, puisque c'est l'existence du Mal qui justifie l'existence du Bien, et vice-versa. De plus, la notion de Bien, ou de Mal, n'a pas de sens, puisque ce qui est bien ou mal dépend de l'état d'esprit de la personne concernée.

" Et bien, Mon Père, il semblerait que en dépit de quelques différents, nous soyons l'un comme l'autre assez semblables. Peu être ai-je mal interprété votre façon de respecter votre ministère, comme vous vous êtes surement fourvoyé sur mes intentions vis-à-vis de mes camarades de classe. L'un comme l'autre, nous cherchons à offrir une sérénité de l'esprit à ceux à qui nous venons. "

L'art de jouer avec les mots. Yves semblait rompu à ce genre de jeu, et je lui montrais que moi aussi, je savais tordre le sens d'une phrase. Après l'assaut frontal, nous étions rentrés dans une nouvelle phase, faite de sous-entendus et demi-vérités. Et à ce jeu comme au précédent, j'étais loin d'être une novice.

" À la lumière de ce que nous nous disons, il m'apparait que nous nous soyons mutuellement trompés sur ce que nous pensions chacun de l'autre, comme nous interprétions les signes selon notre propre façon de voir les choses. "

Question hypocrisie, avec ça je pense être au niveau de ses remarques de tantôt. Je ne sais pas trop jusqu'où va aller ce petit jeu, mais une chose est sure : je ne compte pas laisser repartir Yves complétement indemne...

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Mélinda me sodomisait sans merci. Son pénis entrait et sortait de mon fondement, vif et puissant. Entre moi et la vampire, il n'était plus question de plaisir partagé : le sexe était revenu à sa forme primale. Un plaisir égoïste, au détriment du partenaire. On ne peut pas parler de viol, puisque ça implique un non-consentement, or j'étais pleinement consentante, justement. J'étais consentante pour me faire prendre par Mélinda. C'était ma punition, et je l'avais bien cherchée. Et en même temps, je savourais cette violente sodomie.
Mélinda est une vampire, une femme puissante. Et cette puissance était une partie du charme et de l'emprise qu'elle avait sur moi. Tout comme un esclave soumis est au paradis quand son maitre s'occupe de lui, j'étais contente d'être avec Mélinda. J'étais contente de savoir qu'elle prenait du plaisir entre mes fesses, et ce en dépit de la douleur. En fait, Nietzche disait que l'esprit n'était qu'un jouet pour le corps, mais dans ma situation, c'était l'inverse : mon corps n'était qu'un jouet pour mon esprit. Cette verge dans mon anus était douloureuse, et pourtant j'y prenais du plaisir, en témoigne l'état de ma vulve, dégoulinante de mouille.


" Aah... Mmmh... Mh... Aaanh... "

Mélinda continuait, infatigable. Pour ma part, je sentais que mes limites approchaient. La douleur ne se sentait plus, surpassée par le plaisir que j'avais à sentir ce sexe dans mon anus. En revanche, la vampire ne donnait pas de signe de jouissance proche. Je faisais de mon mieux pour tenir, pour ne pas jouir avant elle, mais chaque coup de bassin de sa part compliquait ma résolution, la rendant plus dure à tenir.
Alors que je sentais que j'allais céder, Mélinda eut enfin son orgasme, qui pour moi fut libérateur. Les brides, que je tenais tant bien que mal, furent lâchées, et je jouis dans un long râle. De mon intimité jaillit un jet de mouille, une véritable éjaculation vaginale, alors que mes intestins étaient inondés de sperme chaud. La vampire déchargea toute sa semence, puis se retira lentement. Je sentis un courant d'air à l'intérieur, mon anus étant dilaté par les bons soins de Méinda.


" Ooh... Mmh... Mélinda... Bien aimé ? "

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Le parc et son sous-bois / Re : Un contrat exclusif (Yukio Onoki)
« le: vendredi 06 septembre 2013, 22:25:20 »
Aujourd'hui, pas de rendez-vous barbants avec tel ou tel entrepreneur. Non, aujourd'hui, je changeais de registre, j'allais voir une idole montante pour discuter d'un possible contrat. En toute franchise, j'en avais marre de traiter toujours avec les mêmes. Et puis, comme j'ai déjà une bonne assise ailleurs, pour le moment je vais laisser les choses en état et m'intéresser à d'autres secteurs. Parmi les différentes sociétés qui constituaient l'empire Onoki, il y avait une maison de disques, qui il faut l'avouer tourne au ralenti. J'avais donc décidé de me pencher là-dessus, en commençant par renouveler un peu les artistes produits.
Mes cibles pour ça, les idoles. Ces jeunes qui cherchent tous et toutes le producteur qui les propulsera sur le devant de la scène. Il ne manquait pas de candidats, mais la sélection fut facile : après avoir éliminé ceux qui n'avaient pas de potentiel, ceux qui n'avaient pas de talent, ceux dont la musique ne méritait pas cette appellation, la liste s'est vite réduite. Au final, il ne me reste plus grand monde comme candidat potentiel. Après un dernier regard je porte mon choix sur Lynn Minmey, une jeune idole dont la carrière semblait stagner un peu. Trouver des informations à son sujet fut un jeu d'enfant pour mes chasseurs de têtes, et c'est ainsi que j'eus un entretien téléphonique avec la demoiselle.

Le jour du rendez-vous, soit aujourd'hui, je devais retrouver Lynn dans un salon de thé, le Jasmin au Mille Senteurs. Un endroit réputé pour sa grande discrétion : ce qui se passait à l'intérieur restait à l'intérieur. En guise de tenue, j'avais passé une robe couleur nuit, sans manches ni bretelles, maintenue par un corset et descendant jusqu'aux genoux. Je complétais ma tenue avec des bas et des mitaines assortis. Pas de soutien-gorge, juste une petite culotte noire en dentelle fine, comme je les aime. J'aurais pu jouer d'artifices pour paraître plus impressionnante, mais je préfère ne pas trop en faire. Le rendez-vous étant fixé à 16 heures, j'ai le temps de bien me préparer.
À l'heure prévue, Wolfgang me conduit au salon de thé. L'horaire est bien anticipée, j'arrive avec un peu d'avance, que je passe dans la voiture à consulter quelques éléments de ce que je sais sur Lynn. Après tout, avant l'heure, ce n'est pas l'heure, comme dit le dicton. Je dois y être à 16 heures, pas avant. Enfin, Wolfgang me prévient que l'heure est proche. Je sors et viens m'annoncer à la réception. Je suis alors conduite dans un petit salon privé.
Lynn Minmey m'attendait, dans une belle robe moulante. C'était plutôt une belle femme, fraiche et charmante. Dès que je la vois, je l'imagine sans problèmes sur une scène, où effectivement elle doit faire de l'effet.


" Bonjour, Mademoiselle Minmey. Je suis Onoki Yukio, enchantée.
Je m'excuse de la manière un peu cavalière dont j'ai pris contact avec vous. Je voulais vous contacter directement, et ainsi vous voir en toute quiétude. "

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