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Vous nous quittez déjà ? / Re : Départ du forum

« le: lundi 25 juin 2012, 16:09:10 »

Franchement, ce que tu peux penser Kyo, je m'en fous.
Et contrairement à ce que tu crois Sandji, c'est tout à fait le genre d'affaire dont s'occupe la CNIL puisque nos adresses mail sont conservées, ce qui relève des données personnelles. Si vous ne répondez pas favorablement à notre requête, vous vous exposez inutilement à des problèmes.

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Départ du forum

« le: lundi 25 juin 2012, 15:39:46 »

Et bien je contacterai la CNIL et nous verrons bien ce qu'il se passe.

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Départ du forum

« le: lundi 25 juin 2012, 15:34:47 »

Conformément à l'article 34 de la loi informatique et libertés du 6 janvier 1978, chaque membre d'un forum dispose d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui le concernent. C'est pourquoi l'administrateur ne peut pas refuser de supprimer un compte. Si tel est le cas, veuillez nous en aviser en nous apportant la preuve que vous avez bien contacté ledit administrateur et qu'il a refusé de supprimer votre compte. Si tel est le cas, nous le contacterons pour lui demander de le faire dans les plus brefs délais. En cas de refus de sa part, il s'exposera à la suppression pure et simple de son forum pour non respect de la loi "informatique et libertés"...

Si vous ne supprimez pas nos comptes alors qu'on vous le demande, je pense que vous risquez d'avoir quelques problèmes.

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Départ du forum

« le: lundi 25 juin 2012, 14:28:21 »

Oui, selon cette règle super claire (tirée du règlement) que j'ai eu le malheur de ne pas comprendre comme il le fallait :

Et dans un soucis d'égalité personne n'édite ses propre points pour en retirer ou s'en donner, assumez donc chacun de vos actes. Je n'édite pas mes propres points, et pourtant j'en ai le pouvoir.

Mais bref.


Je sais que j'ai donné des - 1, je l'assume puisque je-ne-sais-pas-trop-qui-même-si-je-me-doute ne s'est pas gêné pour m'en foutre des tas avec ses doublettes (je n'ai appris ça que hier, donc moi dans le doute, j'ai tapé sur qui je pensais être les "coupables", et je suis désolée de m'être trompée).

Enfin, ce qui m'énerve c'est que j'avais rien fait pour en arriver là, mais bon.

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Départ du forum

« le: lundi 25 juin 2012, 14:06:52 »

J’aimerais quand même expliquer pourquoi je pars, et tiens à m’excuser auprès de mes quelques partenaires de rp (et peut-être à la revoyure sur un nouveau forum ).

Pour moi, ça n’a pas juste été une histoire de harcèlement à base de -1, je tiens quand même à le dire. Déjà, quelqu’un (un modo qui se reconnaîtra sans doute) a trouvé le bon goût de dire que je n’étais que le double compte de Nigel. Ça fait plaisir de sentir qu’on n’existe pas vraiment dans la tête de certains. Ensuite, au départ, la querelle est partie entre Crony et Nigel, et que je sache, je n’avais rien demandé mais je me suis quand même pris tout un tas de -1 dans la gueule, et quoique vous en disiez, pour quelqu’un qui est nouveau sur le forum, ça fait pas trop plaisir de se prendre des points négatifs sans avoir rien fait, moi je m’en fous pas des -1. Et finalement, je me suis pris un avertissement parce que j’ai osé tenter de rétablir mon quota de + avec l’une de mes doublettes. C’est sûr que un + par jour, ça compense le - 6 par jour.
Je sais que j'ai des torts, mais rien de tout ça ne serait arrivé si on m'avait foutu la paix.

Alors je trouve que me prendre un avertissement alors qu’au départ je n’avais rien fait pour, c’est abusé. Voilà la vraie raison pour laquelle je me casse. Pensez-en ce que vous voulez, mais effectivement je trouve que c’est du harcèlement.

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: samedi 23 juin 2012, 15:38:55 »

15H38

J'irai rendre visite à SP en prison, tiens

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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?

« le: samedi 23 juin 2012, 15:32:51 »

We are young, we are strong, we're not looking for where we belong, we're not cool, we are freeeeeee \o/

Une chanson de la BO de Kick Ass ♥

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: samedi 23 juin 2012, 15:07:14 »

15H05

Oui, tout à fait Oriana, contente de croiser une connaisseuse ^^

Ah, ben j'ai une amie qui m'a parlé de l'épicerie, faudra vraiment que je teste o/

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: samedi 23 juin 2012, 15:03:22 »

15H02

Ah ben, si ça s'trouve on s'est déjà croisées à l'Imprimerie, Alraunya x)
*se prépare à stalker maintenant, hinhin*

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Les alentours de la ville / Re : Je fais rien que des bêtises ♪ [Nigel Barclay]

« le: samedi 23 juin 2012, 01:09:46 »

♫ Fallait pas m'parler comme ça,
Il est beau le résultat ~ ♫

Lolita ne put retenir un petit « oh ! » surpris lorsque Nigel Barclay lui ouvrit la porte. Jamais elle n’aurait imaginé que ce puisse être le jeune psychiatre derrière la porte. Etait-il l’employeur pervers qui avait exigé qu’elle fasse le ménage en tenue de soubrette ? Elle allait bientôt le savoir, mais elle devait avant tout fuir le regard inquisiteur de la voisine. Lolita s’engouffra à l’intérieur de l’appartement - qui était loin d’être une grande demeure - et laissa son regard errer un peu partout dans la pièce tout en évitant celui de l’intéressé. Elle balbutia un timide « Je ne savais pas que vous étiez mon employeur … » puis expliqua d’une voix hésitante qu’elle viendrait, comme convenu, tous les mercredis après-midi pour faire le ménage et la cuisine s’il le désirait. Et tandis qu’elle parlait, elle remarqua qu’il paraissait tout aussi surpris par sa présence. Sarah avait sans doute omis de lui dire que « Lolita » acceptait de travailler pour lui, ce qui à présent les mettait tous deux dans l’embarras ...
Quoique, tout bien réfléchi, la situation n’avait pas l’air de déranger Nigel Barclay qui reluquait, l’œil appréciateur et le sourire taquin. Lolita se sentit rougir de plus belle, appréciant le compliment et l’intérêt qu’il lui portait, tout en se maudissant d’avoir consenti à porter cet accoutrement. Pourtant, elle ne pouvait pas nier que malgré sa confusion, une part d’elle-même se plaisait à attiser le désir de cet homme plus mûr qu’elle.

Le Dr. Barclay passa aux instructions. Lolita écoutait d’une oreille distraite, occupée qu’elle était à tirer discrètement sur le bas de sa robe qui lui semblait décidément trop courte. Néanmoins, notre soubrette cessa bien vite de s’acharner car la robe descendait effectivement plus bas mais découvrait par la même occasion la moitié de sa poitrine. Lolita décida de se concentrer sur la conversation au moment où le psychiatre lui interdisait de fouiller dans son ordinateur. Aussitôt dans la tête de la jeune peste, l’interdiction se transforma en défi à relever. Qu’est-ce qu’un psy pouvait avoir à cacher ? Il lui intima également l’ordre de ne pas écouter à la porte, ce qu’elle ne comptait pas faire avant qu’il ne le lui interdise. Décidément, tous ces sous-entendus avaient de belles allures de piège, mais Lolita était suffisamment maligne pour ne pas tomber dedans. Ou pas aussi facilement que ne l’attendait Nigel Barclay.
Elle le regarda filer dans son bureau et lui adressa un sourire amusé avant se mettre au travail. Il n’avait pas fermé la porte du bureau, attendant sûrement sa prochaine patiente en terminant son repas. Elle se demandait par où commencer, et trouvait plutôt bizarre de faire le ménage dans une maison qu’elle ne connaissait pas.
D’abord, retirer tout ce qui traînait sur le sol et qui l’empêchait de passer le balai et la serpillère. A en juger par l’état de l’appartement, Nigel ne devait pas avoir de petite amie régulière. Des vêtements traînaient dans les coins, sous le canapé, et elle retrouva même un string en dentelle. Sûrement celui de l’une de ses conquêtes. Avec un petit sourire sadique, Lolita s’en saisit du bout des doigts et le jeta dans la poubelle. « Je fais rien que des bêtises, des bêtises ♪ » chantonna-t-elle à mi-voix une fois son méfait accompli.

La sonnette retentit quelques minutes plus tard, alors qu’à quatre pattes et les fesses en l’air, elle tentait d’extirper un résidu de sandwich collé sous le canapé. Le Dr. Barclay lui jeta un regard, sans doute pour savoir si elle faisait correctement son boulot - elle sentait déjà qu’elle allait mériter son salaire - et accueillit sa patiente. Ils se rendirent tous deux dans le bureau, et enfin, Lolita se dit qu’elle pouvait faire des bêtises à sa guise. En effet, il ne pouvait pas la surveiller pendant qu’il était en consultation. En tout cas, elle l’espérait.

Il avait sûrement laissé volontairement l’ordinateur allumé. Et bien, puisqu’il semblait vouloir qu’elle fouille, elle allait le faire. Elle prit place et se rendit dans les documents, à la recherche d’un fichier intéressant. Quelques vidéos pornographiques, un peu de hentaï, beaucoup de fichiers professionnels liés à ses patients, des images diverses et variées, rien de très original. Ah, à part peut-être ce dossier dont l’accès nécessitait un code. Lolita pesta contre le psychiatre. Elle n’était malheureusement pas suffisamment douée en informatique pour accéder à ce dossier sans connaître le mot de passe. Et bien tant pis, si l’occasion se présentait, elle lui demanderait de vive voix de lui expliquer ce qu’il en retournait. Lolita était une véritable petite fouineuse et son culot était tel qu’elle n’avait la plupart du temps pas conscience du danger et ne respectait pas les limites qu’on lui fixait. Les gens étaient souvent pris de cours face à cette gamine entêtée, et par conséquent ne trouvaient d’autre alternative que de répondre à ses caprices. Toutefois, ce comportement avait ses limites puisqu’il ne fonctionnait qu’avec les plus crédules.
Lolita se frotta les mains : maintenant, l’historique de navigation. Il n’avait pas été supprimé récemment, et tiens donc, Nigel s’intéressait apparemment à la même chose qu’elle. Lui aussi avait écumé les forums et sites Internet sur lesquels était évoquée cette étrange organisation criminelle. Elle allait enfin pouvoir partager son excitation avec quelqu’un ! 

La jeune fille ré-enfila ses gants, se remit au travail, tria le linge - qui avait l’air - propre, le plia et le rangea, et fourra le linge sale dans le panier de la salle-de-bain. Elle passa un coup de balai dans tout l’appartement puis entreprit de passer la serpillère. Elle n’avait sûrement pas tout rangé mais elle aurait l’occasion de le faire les mercredis suivants. Enfin, l’appartement du psychiatre avait l’air présentable. Lolita récupéra un petit plumeau pour se donner une contenance si jamais le psychiatre avait fini sa consultation et attendit environ cinq minutes sans rien faire.

Elle entendait encore des voix provenant du bureau, et la curiosité l’emporta sur la prudence et la politesse. Lolita s’approcha à pas de loup et tendit l’oreille tout contre la porte fermée. Elle saisit quelques mots qui lui semblèrent bizarrement déplacés dans le cadre d’une consultation chez un psychiatre, des termes tels que « mafia » ou encore « meurtre ». Lolita se concentrait, espérant attraper d’autres mots importants au vol afin de savoir de quoi il retournait, mais avant qu’elle ne puisse réagir, la porte s’ouvrit d’un coup.
Lolita manqua tomber à la renverse, et d’autant plus lorsqu’elle vit le visage surpris de Nigel se transformer en un masque de mécontentement. Elle agita le plumeau contre une étagère à proximité pour se donner une contenance mais renonça, se sentant plutôt ridicule. Lolita adressa un regard tout pantois aux deux protagonistes, et rougit comme une tomate trop mûre lorsqu’elle s’aperçut que la patiente était l’une de ses camarades de classe.

« Oh ! Pardon, pardon ! »

Lolita, honteuse et se sentant un poil humiliée d’être vue dans cette tenue par quelqu’un qui pourrait raconter cette scène dans tout le lycée, se confondait en excuses. Elle alla s’assoir sur le canapé en attendant que le Dr. Barclay congédie sa patiente. Il allait sûrement falloir qu’elle déploie des trésors d’ingéniosité pour parvenir à la faire taire le lendemain au lycée. La honte lui donnait chaud, Lolita aurait voulu disparaître et aussi faire disparaître cette fille.
Oh, et puis ce n’était pas sa faute, voilà tout !

Lolita, les joues rouges, fronça les sourcils et tira la langue au Dr. Nigel Barclay.

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Prélude / Re : Keith....voleur et vagabond

« le: samedi 23 juin 2012, 00:18:35 »

Keith....quoi que certain l'appellent " reviens ici toi !!" mais ça fait un peu long, on va garder Keith !

J'ai bien aimé, ça m'a fait rire !

Bienvenue !

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: vendredi 22 juin 2012, 18:07:17 »

18H06

*mate le dark beau-gosse du dessus* 

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Les alentours de la ville / Re : A la recherche d'un scoop ! [Sentinel Prime]

« le: jeudi 21 juin 2012, 23:41:41 »

☼ ☼ ☼

Un sourire amusé éclairait le visage de Lolita, sans doute le reflet de celui de son nouveau collègue. Ce jeune homme lui plaisait bien, il avait l’air drôle et symapthique, et elle se dit qu’il serait plaisant de travailler avec lui. Enfin, travailler n’était peut-être pas le terme approprié, en tout cas pas dans l’esprit de Lolita. S’amuser, jouer aux détectives, enquêter, voilà ce qu’ils allaient faire ! Lolita espérait que l’aventure se révèlerait aussi palpitante qu’elle l’imaginait. Elle se voyait parfaitement surprendre puis photographier Sentinel Prime se changeant au fond d’une ruelle. Ce serait un véritable scoop, d’autant plus qu’elle saurait enfin qui était ce super-héros. Ça ferait aussi voyeur, mais Lolita s’en fichait éperdument pour l’instant. Et puis elle n’était pas contre l’idée de regarder un homme musclé à moitié nu.

Quoiqu’il en soit, Sentinel Prime existait réellement. Lolita ne savait pas encore s’il s’agissait d’un héros dans le genre de Batman, c’est-à-dire sans pouvoirs mais avec beaucoup de gadgets, de courage et de sens moral, ou un héros comme Superman, avec des pouvoirs et un sens moral. Elle optait pour la première solution. De toute façon, les pouvoirs, ça n’existait pas et c’était bon pour les comics.

« - Bon, allons-y alors ! » s’exclama Lolita l’air ravi. Kyle l’enjoignit à le suivre afin de lui prêter l’un de ses t-shirts. Par chance, le jeune homme n’était pas trop gros ni trop grand, et avait des goûts assez classiques en matière de vêtement. Il sortit de son casier un t-shirt blanc. Lolita lui tourna le dos et entreprit de quitter veste et chemise tâchée. Elle enfila le haut un peu grand qu’elle rentra dans sa jupe afin de se donner un style à la garçonne plutôt qu’un style juste moche et débraillé. Veste et sac-à-main à nouveau sur les épaules, elle remercia son collègue pour son amabilité et lui expliqua qu’il fallait maintenant qu’elle récupère ce fichu appareil photo laissé dans le bureau de son patron.
Une mission très risquée, donc. Surtout qu’il valait mieux éviter Casey dans l’idéal.

« - Tu fais le guet pendant que je récupère l’appareil. Si le patron ou l’autre énergumène se pointent, retiens-les ! » chuchota Lolita d’un air conspirateur.

En effet, Kishida n’était actuellement pas dans son bureau, et un bref instant Lolita s’interrogea sur la vraisemblance du rencard dans les toilettes entre le patron et Casey. Hum, quelle horreur.
Le moment était propice à une intrusion en règle. Par chance, le bureau n’était pas fermé à clé, ce qui signifiait sûrement que Kishida n’en avait pas pour longtemps, quelque soit la chose à laquelle il était occupé. Lolita allait devoir fouiller un peu car l’appareil photo ne se trouvait pas à la place où elle l’avait vu auparavant. Elle ouvrit plusieurs tiroirs et posa de grands yeux étonnés puis dégoûtés sur leur contenu. Imaginer le patron utilisant de tels ustensiles ne suscitait pas des visions spécialement ragoutantes.

« - C’est cela que vous cherchez, mademoiselle ? »

Une jeune femme blonde à forte poitrine se tenait derrière elle, un appareil photo dans la main. Lolita ressentit une pointe de jalousie à la vue de cette bimbo blonde, et espéra qu’au moins son QI soit inversement proportionnel à la taille de ses gros seins. Elle avait envie de ricaner à cette pensée mais à la place récupéra l’appareil photo, partit sans une explication mais avec un remerciement. Lolita était mécontente d’avoir été surprise en fragrant délit. Elle sortit de la pièce les sourcils froncés, une moue contrariée sur le visage et fit signe à Kyle de la suivre. Elle voulait sortir rapidement, souhaitant que la bonasse ne raconterait rien et que Casey ne surgirait pas au détour d’un couloir.   

Enfin sortis des locaux de l’OVNI, Lolita poussa un profond soupir. Ce premier jour de travail n’était décidément pas de tout repos, et malheureusement empli de contrariété. Elle souhaitait que la suite se passe mieux, et que, par exemple, Sentinel Prime surgisse juste devant elle, et décide de l’embrasser fougueusement et plus si affinités. Sinon, réussir cet article, tout simplement, ce serait déjà très fort.

« - Hm, tu sais où le trouver toi, ce Sentinel Prime ? » demanda-t-elle à Kyle tout en réfléchissant à la suite des évènements. Il fallait trouver le moyen d’amener ce super-héros dans le coin. Lolita tenta une suggestion, espérant qu’elle ne soit pas totalement idiote :

« - Peut-être qu’on pourrait créer une situation qui amènerait Sentinel Prime à nous. Par exemple, tu pourrais faire semblant de me kidnapper ou quelque chose dans ce goût, non ? »

Elle adressa un petit sourire timide à Kyle, puis se reprit et son visage devint la volonté personnifiée. Lolita voulait de l’action.

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: jeudi 21 juin 2012, 22:03:07 »

22H01

Raah, j'suis pas allée du coté d'Emile Zola, mais y'avait quelques groupes de rock vers Grangier et la mairie. Ca cassait pas des briques, mais ça s'écoutait bien (surtout les reprises forcément). Après j'ai vu deux/trois rapeurs que j'ai fuis.

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: jeudi 21 juin 2012, 21:30:25 »

21H28

Tiens, je suis aussi à Dijon, mais j'avais pas fait gaffe que c'était organisé par quartiers ... Sinon y'avait un p'tit groupe sympa. Bon, y'avait aussi beaucoup de casseroles.