Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Cyscek

Pages: [1] 2 3 ... 11
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Les alentours de la ville / Re : Une rencontre interessante en ville -Ft. Cyscek-
« le: mercredi 14 décembre 2022, 13:47:32 »
L'appât était lancé, et il semblait bien marcher. Il avait vu juste dans le jeu de la jeune femme, dans sa tentative de séduction. Il ne la laissait pas indifférente, et lui proposer un rapprochement charnel semblait être un bon compromis pour se faire pardonner. Parfait ! Il le sentit à la manière dont sa main, loin de le fuir, se mit à appuyer plus fort contre son membre, signe qu'elle le jaugeait à travers le pantalon et que ce qu'elle sentait semblait lui convenir.

Comme elle se pendait à son cou, il put sentir sa poitrine contre lui, ce qui n'arrangeait rien à son excitation et à son érection. Il gardait un air réservé, jouant le jeu comme s'il se plait aux demandes de la demoiselle.

Je ... D'accord ...

L'emmener dans un endroit où se faire pardonner ... Mais aucun des deux n'étaient dupes, ils savaient très bien ce qu'il y avait derrière. Cyscek frissonna quand la main fine de la jeune femme se glissa directement dans son pantalon pour le stimuler, mais aussi lui montrer que malgré la proximité, il allait falloir trouver un endroit tranquille pour aller plus avant. Il se mit alors à réfléchir vite. Que connaissait-il dans le quartier ? Il ne comptait pas l'emmener jusqu'à chez lui, trop loin. Et si elle avait voulu l'attirer chez elle, elle l'aurait proposé. Il passa mentalement en revue ses options dans le coin, les échoppes qu'il connaissait, les hôtels devant lesquels il avait pu passer.

Je sais !

Soudain, il eut une illumination. Son regard s'éclaira, et il attrapa le poignet de la jeune femme pour lui faire retirer sa main de son pantalon, et l'entraîner avec lui. Le pas rapide et décidé, il coupait dans le parc. Il aurait sans doute pu se contenter de trouver un coin tranquille derrière un arbre, mais tant qu'à profiter, autant avoir un peu de confort, non ? Ressortant par la sortie nord du parc, il faisait le chemin mentalement, cherchant à se repérer.
Il n'hésita pas, franchissant la route pour traverser la rue, s'engager dans une autre ... Le pas était toujours pressé quand enfin, ils débouchèrent dans une petite rue piétonne et passante. Des enseignes attiraient l'oeil sur les différents magasins disponibles, mais son attention à lui était focalisé sur une enseigne en particulier, qu'il pointa du doigt à l'intention de la jeune femme. "Plaisir partagé", disait la pancarte lumineuse, elle pouvait se douter qu'il s'agissait d'un love hotel. Il l'entraîna alors dans son sillage pour rallier l'entrée de l'établissement, où à l'accueil un homme attendait derrière un comptoir.

Cyscek l'avisa, lâchant la main de Wisteria pour parler avec l'employé. Ce dernier demanda pour combien de temps il voulait louer la chambre, et après une hésitation, Cyscek lâcha.

La nuit.

L'employé tiqua un peu, généralement les clients prenaient une ou deux heures, mais après tout tant qu'il payait, il n'allait pas poser de question. Cyscek sortit des billets pour régler, puis une fois en possession de la clé de la chambre, invita la jeune femme à le suivre vers le couloir menant aux chambres. Le porte-clé disait 7, et il s'arrêta devant la porte pour l'ouvrir rapidement. Dedans, une lumière feutrée les accueillait, tout ici était fait de manière pratique pour ... Baiser. Pas de fenêtre, mais un grand lit, une douche ouverte, et sur un petit meuble, des jouets sexuels mis à disposition. La décoration elle même était suggestive, et suspendu à un mur une télé diffusait un film hot, le son coupé. Cyscek se tourna vers la jeune femme tout en refermant la porte, l'interrogeant du regard.

Alors, qu'est-ce que tu attends de moi ?

La question semblait montrer une certaine passivité, mais Cyscek se savait maintenant en terrain favorable. Il ne faudrait pas grand chose pour qu'il prenne le dessus dès lors que les hostilités débuteraient.

2
Les alentours de la ville / Re : Une rencontre interessante en ville -Ft. Cyscek-
« le: vendredi 25 novembre 2022, 13:52:46 »
La jeune fille semblait ... Etrange, dans le référentiel de Cyscek. Il n'avait pas cotoyé des masses de filles depuis qu'il était ici, alors il n'allait pas se définir comme un expert sur le sujet. Il n'empêche, elle avait réagi avec véhémence, une colère qu'il n'avait jamais vu chez une femme de ce monde. Et ça le décontenançait. Agrippée à lui, elle le houspillait, comme si tout était de sa faute. En un sens oui, il était sur son téléphone. Il allait réitérer le mot pardon, mais il se retint. Après tout, c'était aussi sa faute à elle, non ?
Habitué à la bienséance, il ne comprenait pas qu'elle ne veuille pas partager les torts, et ça le rendait perplexe, ses sourcils froncés d'incompréhension. Une répération ? Il n'en croyait pas ses oreilles, ne comprenant pas où elle voulait en venir. Au moins, elle l'avait relâché. Allait-elle changer d'avis ? Elle semblait réfléchir, et Cyscek se dit qu'il pourrait simplement laisser filer. Ou bien s'enfuir ? Ca aurait été surprenant. Mais elle continua. Comment devait-il se faire pardonner ? Il n'en avait aucune idée.

La bouche entrouverte, aucun son ne sortait, alors qu'il essayait de faire du tri dans ses pensées et dans la situation. Sur Terra, il aurait su comment gérer ça, mais là, il avait peur de commettre un impair. Et en prime, il ne savait pas s'il comprenait réellement ce qu'elle voulait. Pourtant, le langage du corps était assez universel, et à la façon dont elle se mettait en valeur, il la trouvait aguichante et aurait juré qu'elle le draguait.

Bon très bien, j'imagine que tout est de ma faute oui. Ecoutez, je ...

Généralement, les femmes qu'il croisait étaient plutôt réservées, il n'avait pas vu de specimen comme elle, sûre d'elle et pleine d'assurance. Pourtant, il vit une opportunité dans tout ceci. Loin d'être un soumis, Cyscek pouvait bien laisser passer la tempête et reprendre les rennes par la suite, dans le feu de l'action. Oui, c'était cela, laisser croire à l'inconnue qu'elle avait le contrôle pour mieux en profiter ensuite.

Je suis sûr qu'on va trouver un arrangement ...

Sur ces mots, il vint saisir la main de la jeune femme, pour la plaquer contre sa propre entrejambe. De quoi lui faire sentir la bosse prometteuse de sa queue, encore cachée dans le pantalon. Puis tout proche, murmurant pour elle, il continua.

Je connais des tas de façon de me faire pardonner, alors tu n'as qu'à demander ...

Il lui laissait le choix, pour lui donner délibérement le contrôle. Ca n'allait pas durer, il voulait simplement voir comment elle allait réagir. En attendant, elle pouvait être sûre de n'avoir aucun doute quand à l'effet qu'elle faisait sur Cyscek, tant il bandait dans son pantalon, le barreau de chair toujours plus tendu à travers le tissu.

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Les alentours de la ville / Re : Une rencontre interessante en ville -Ft. Cyscek-
« le: mercredi 09 novembre 2022, 13:25:52 »
En cette fin d'après midi, Cyscek était satisfait. Tout se déroulait pour le mieux dans le meilleur des mondes, et il s'habituait à vivre ici, dans cette ville démesurée si loin des standards de son monde d'origine. Et surtout, ses affaires étaient florissantes depuis qu'il était ici : d'où il venait, l'esclavage était quelque chose de naturel et de courant, mais il restait encore à trouver les bons sujets à vendre. Ici, on l'avait tout de suite averti que cela était proscrit par la loi. Mais que, moyennant finance, tout s'achetait. Alors quand on l'avait mis en contact avec des personnes fortunées, et qu'il avait proposé des esclaves exotiques venant de son monde, ça avait de suite marché.

Depuis, les ventes s'enchaînaient, et avec l'argent gagné, il devenait tout aussi facile de trouver de nouvelles "recrues", que ce soit dans un monde ou dans l'autre. Il avait même dû prendre des employés pour gérer les esclaves et les former quand lui se déplaçait. Il passait dorénavant le plus clair de son temps à Seikusu, attiré par la rapidité où se faisait les affaires et tout ce que la technologie lui proposait contrairement à son monde d'origine.

Il était d'ailleurs en train de pianoter sur son téléphone pour régler une affaire. Un riche client aux désirs bien spécifiques, qui cherchait à obtenir une esclave exotique. Cyscek devait pouvoir trouver cela, mais il allait falloir du temps car certaines espèces n'étaient pas simples à trouver ni à mater. Qu'importe, le client était prêt à y mettre le prix, il ne dépendait que de Cyscek de réussir ou non.

Il n'eut pas le temps d'envoyer le sms qu'il avait tapé, car il entra en collision avec quelque chose, ou bien quelqu'un. Flânant dans un parc, il n'avait pas regardé où il allait, et releva les yeux de son téléphone pour les poser sur un petit bout de femme qui s'était raccroché à la doublure de son blouson. Ouvert, on devinait au dessous qu'il ne portait qu'un t-shirt près du corps, faisant saillir sa musculature au travers. Pour le bas, il portait un jean tout ce qu'il y avait de plus simple et passe partout.

Je ... Pardon ...

D'ordinaire, il n'aurait pas laissé quelqu'un lui parler sur ce ton, mais la soudaineté de la rencontre, et le fait qu'il soit en faute l'avait laissé pantois. Ce satané téléphone ... Il avait remarqué que depuis qu'il l'avait, il était moins à l'écoute de ce qui se passait autour de lui, et il en avait encore une fois la preuve. Il le fourra dans la poche de son blouson, toisant la jeune femme alors qu'il avait plus d'une tête de plus qu'elle.

J'aurai dû regarder où je mettais les pieds, je vous prie de m'excuser.

Cyscek avait une façon de s'exprimer qui trahissait ses origines, pour qui était au courant de l'existence de plusieurs mondes. Un style plus formel, et l'utilisation du vouvoiement était la norme quand on rencontrait une nouvelle personne. Pas du tout comme l'avait fait la jeune femme. Il laissa ensuite couler son regard sur elle, la détaillant un peu plus avant. Une belle jeune fille à n'en pas douter, mais peut-être un peu jeune non ? Il reconnaissait l'uniforme des lycées, mais il aurait bien été en peine de dire l'âge précis de la jeune femme.

4
Disons le franchement, cette hybride était une prise de luxe, et pas vraiment attendue par Cyscek. Alors qu'il rentrait vers Karan, la ville portuaire la plus proche, il avait repéré les traces de cette femme-chat. Ils leur restaient encore pas mal de trajet, entre la journée de marche, les deux jours de bateau et encore une journée de marche pour revenir à sa propriété. Mais passer une demi journée à traquer une proie comme celle-là pouvait lui rapporter gros.

La prise n'avait pas été difficile : s'approcher tout en discrétion, et BOUM. Pas très fin mais ça marchait à tous les coups. Dans une cage, et l'affaire était réglée.

Cela faisait déjà deux heures que la kyuubitsune avait été capturé, et elle revenait lentement à elle. Cyscek fit signe à Fynn, son acolyte, de faire stopper les mules. Fynn était plus jeune que Cyscek, cela se voyait, et bien moins imposant. Mais il accomplissait tout ce que l'esclavagiste lui demandait sans rechigner à la tâche, et c'était là tout ce que voulait Cyscek d'un employé. Il ne pensait pas un jour lui transmettre sa petite entreprise, ne serait-ce qu'avec sa carrure il aurait du mal à capturer des esclaves. Quand la cohorte fut arrêtée, Cyscek se dirigea vers la cage où il avait entreposé la nouvelle prise. Les deux hommes arboraient des vestes sans manche, ouvertes sur leurs torses nus. Avec la chaleur encore bien présente en journée, c'était un luxe de ne pas trop se couvrir, même s'ils devaient garder bottes et pantalons pour avancer dans les herbes hautes.


Tiens, elle parle, c'est déjà ça !

Fynn venait de parler, fanfaronnant un peu de sa position de supériorité vis à vis de la femme encagée. Nul doute qu'il devait souvent en profiter. Cyscek lui jeta un regard noir, pas pour le réprimander sur ses paroles, mais pour lui montrer qu'il dirigeait, et que c'était lui qui menaient les débats. Il ramena ensuite son regard sur la kyuubitsune, la jaugeant de haut en bas.

Donne moi ton nom, tes compétences et le nom de ton ancien maître.

Le ton était bien plus posé que celui de Fynn, malgré la carrure très imposante : c'était l'erreur généralement faite par ceux qui discutaient avec lui : ils prenaient Cyscek pour une brute sans cerveau, et cela causait leur perte. Avant qu'elle n'ait pu répondre, il ajouta.

Et je te conseille de ne pas me mentir, j'ai vu ta marque.

De l'index, il désigna l'un des poignets de la demoiselle. Un petit poinçon, à peine une tête d'épingle, mais lui en connaissait la signification : dans certaines contrées, cela suffisait à marquer l'appartenance d'un esclave. Une bonne technique au goût de Cyscek, qui n'aimait pas les signes trop ostentatoires comme les tatouages immenses ou les anneaux impossibles à ôter.


5
Les contrées du Chaos / Une différence de taille ... [Salama]
« le: lundi 21 septembre 2015, 10:25:02 »
Le soleil tappait fort, et Cyscek cherchait désespérement un endroit où se mettre à l'abris de la chaleur. Méconnaissant la ville et le royaume, il déambulait un peu au hasard dans les rues et les ruelles. Tout ce qu'il savait de ce coin, c'est que l'esclavagisme y était proscrit et même punit. Il avait du mentir sur son travail, se présentant comme un simple marchand. Il avait bien une carriole, mais vide. En effet, son but premier était de traverser la contrée pour en rejoindre une autre plus sauvage, plus à l'est. Il s'y disait que plusieurs tribus primitives y vivaient, et il comptait bien en capturer quelques spécimens.

Pour l'instant, sa seule préoccupation était de trouver un coin frais, de se reposer, pour reprendre sa route dans les jours à venir. A force de marcher, il remarqua que la plupart des passants convergeaient vers un même point. Poussé par la curiosité, il se mit à suivre certains, jusqu'à finir par demander à un homme d'âge mûr vers où tous se dirigeaient.


Au colisée pardi ! Il y a combat aujourd'hui.

Le sourire laissa Cyscek surpris. L'homme n'avait pas une attitude guerrière, mais bien plus ... Perverse. Continuant à suivre, il savoura la fraicheur à l'ombre de l'immense bâtiment, avant d'en gravir les marches pour débouler au milieu des travées. Et là ... Outre les clameurs du publics, on entendait clairement les cris d'une femme au prise avec deux hommes-lion dans l'arène. Vu la taille des sexes des deux monstres, les orifices de la demoiselle devaient être bien écartelés, et ses gémissements ressemblaient bien à du plaisir et non à de la souffrance. Autour, de multiples gens les harranguaient, les encourageaient. Cyscek n'eut aucun mal à voir certains couples s'adonnant à des pratiques sexuelles dans les travées, et la plupart des spectateurs étaient au moins à demi dénudé sinon plus.

Cyscek n'en revenait pas. S'il avait su, il se serait renseigné avant pour venir ici ... En prime, ces femmes assoiffées de sexe feraient pour la plupart de bonnes esclaves ... Mais il y avait l'interdiction. Difficile de ne pas y réfléchir quand on risquait d'y laisser sa tête. Il allait devoir mettre un peu de côté son travail, tant qu'à profiter de ce lieu. Mais d'abord, se mettre en tenue. Jusqu'ici, il arborait un maillot de corps et un pantalon, et il ôta le maillot d'un geste souple, dévoilant son torse musculeux. Il bandait déjà comme un âne, mais il garda son pantalon pour l'instant, c'était plus simple pour se déplacer dans les travées. Il dépassa plusieurs hommes pour avancer dans l'une des rangées, quand il fut surpris à nouveau par un spectacle incongru : il venait de dire pardon à un homme pour passer, quand il réalisa que ce dernier était occupée. Une petite créature, une fée ou une nymphe, il ne savait pas, se trémoussait sur les doigts de cet inconnu. L'index et le majeur de l'homme disparaissaient d'au moins une phalange en elle, distandant les orifices d'une manière perverse.

Cyscek resta quelques secondes à regarder le spectacle : c'était excitant, et naturellement il lui donnait envie d'essayer. En jaugeant l'homme au commande, il sut qu'il n'aurait pas trop de mal. Il était bien  plus fort et barraqué, alors il décida de tenter sa chance.


Voilà un petit jouet fort agréable, je peux l'avoir ?

Le regard était courtois, mais l'air pas vraiment amical. La verge de Cyscek se tendait d'autant plus, la forme se dessinant au travers du pantalon. Même s'il n'allait pas pouvoir faire grand chose de cette fée de part sa taille, elle était suffisamment excitante pour vouloir l'utiliser et s'amuser avec.

6
Le coin du chalant / Re : Venez, vous n'avez rien à craindre ...
« le: mercredi 14 janvier 2015, 13:48:30 »
Back to business ! Après cette longue période d'inactivité, je remonte mon topic pour rouvrir mes demandes de rps. Je suis ouvert à toutes propositions, ici ou par mps.

7
Fidèle à elle même ... C'est ce que pensait l'esclavagiste alors que Maelie sanglotait. Ce n'était pas la première fois qu'elle pleurait et prenait un air implorante, et probablement pas la dernière non plus. Tentait-elle de le ramollir ? Si elle croyait qu'il allait s'apitoyer sur son sort, elle se fourvoyait lourdement. La main calleuse de Cyscek se saisit de la tête de la jeune esclave, pour la forcer à poser la joue contre sa cuisse. D'un geste simple, il effaca la larme et le sillon humide qu'elle avait laissé sur la joue à l'aide de son pouce. Puis il caressa la joue lentement, gardant sous sa main la tête de Maelie.

Tu peux penser ce que tu veux. Le destin t'a mené ici. Comptes-tu t'apitoyer sur toi même longtemps ? La seule que tu affectes c'est toi même. Acceptes ta condition et vis heureuse, tu te sentiras bien mieux.

Le pouce continuait à dessiner des arabesques au hasard sur la peau douce de Maelie. Il aurait pu passer un long moment ainsi à la caliner, si cela avait une quelconque chance de la faire céder. Seulement, les évènements n'allaient pas dans ce sens. En même temps, il en était la cause puisque ce fut Cora qui rompit ce moment en revenant après avoir toquer, pour annoncer que le bain était prêt. Se levant, Cyscek passa sa main sous le bras de Maelie afin de lui intimer de se relever elle aussi. Il la tenait, mélange de fermeté et de douceur, pour la faire avancer dans la chambre. A la porte, l'autre esclave attendait, l'air fière et sûre d'elle. Elle provoquait clairement Maelie pour montrer qu'elle était forte et de ce fait plus à même d'être appréciée. Pourtant à la porte, Cyscek fit un signe à l'intention de Cora.

Tu peux rester dans ta chambre, je viendrai te chercher lorsque j'aurai besoin de toi, merci.

Dégoulinante d'obéissance, Cora opina de la tête en lachant un "oui Maître" des plus soumis. Sur ces mots, Cyscek referma la porte pour laisser l'esclave dans sa chambre, entrainant Maelie dans le couloir. Il savait où il voulait aller, pas besoin d'avoir Cora dans les pattes tout le temps. Il n'était pas dupe et avait vu le petit jeu des deux esclaves. Même si Maelie ne l'avouerait jamais, elles se sentaient en concurrence. Il ne souhaitait pas les voir se crêper le chignon sans arrêt : cela formerait la nouvelle esclave certes, mais il n'avait pas besoin d'assister à ça. A trois portes de là, un peu de vapeur s'échappait de la porte entrouverte. En la poussant, Cyscek dévoilait une pièce assez sobre, où tronait en son centre un baquet assez grand rempli d'eau chaude fumante. Un savon sur le bord, des serviettes, et sur un petit plan de travail une tenue qui devait être surement courte vu le peu de tissu présent. Cora n'avait pas choisi au hasard, et avait dû capter la gêne de Maelie quand à sa tenue. Il lâcha l'esclave, refermant la porte derrière lui pour ne pas laisser s'échapper la vapeur. Il faisait chaud dans la pièce, et la buée envahissait partiellement l'air.

Délaissant pour le moment Maelie, il entreprit de se défaire de ses vêtements. Ce fut vite fait, les pièces de vêtement tombant une par une au sol jusqu'à ce que l'esclavagiste se retrouve nu à côté du baquet. Il ne se cachait pas. Après tout, ça aurait été un comble que d'être gêné par sa nudité après ce qu'ils avaient déjà partagé. Enjambant le bord de la baignoire, il y entrait avant de s'y allonger, épousant le fond du baquet. Un soupir de bien être transperça ses lippes, et il s'autorisa même à fermer les yeux pendant un instant. Enfin il tourna sa tête vers Maelie, avec un sourire avenant.

Déshabille toi et rejoins moi, tu dois te laver. Et puis tu vas me montrer que tu veux rester à mon service.

L'eau s'agitait un peu. Le bras de Cyscek bougeait, ne laissant que l'imaginaire pour deviner ce qu'il faisait sous l'eau. Pourtant après quelques secondes, le gland du membre imposant apparaissait à la surface de l'eau. Il bandait et pas qu'un peu, lorgnant toujours la demoiselle. Il était patiente, car il savait qu'elle viendrait. Dans la situation, elle pouvait toujours courir, tenter de fuir. Dans le bain, il mettrait surement de longues secondes à se lancer à sa poursuite. Mais pour aller où ? Elle n'avait probablement aucune idée d'où elle était dans la demeure. C'était quitte ou double, mais la menace d'une punition si elle se faisait attraper au lieu de s'enfuir devait lui donner de quoi réfléchir.

8
Vous nous quittez déjà ? / Re : Louane Fox/Tala/Silas Toram
« le: mardi 17 décembre 2013, 11:50:17 »
Félicitations ! C'est un garçon ou un renard ?

9
La sensation était toujours aussi plaisante. Forcément, on parle là d'un orgasme, et Cyscek l'avait vécu avec une intensité rare. Etait-ce la présence des deux femmes qui l'avait rendu si sensible ? En tout cas, il avait bien arrosé les formes de Maelie, comme un objet que l'on marque de sa possession. Cora, bien loin de pouvoir s'opposer à lui, opina du chef pour accomplir la tâche donnée par le maître. Elle s'y appliquait avec une verve qui ne trompait pas : elle souhaitait regagner les faveurs de l'homme et ne pas tomber de son piedestal. Elle était prête à tout pour ne pas en arriver là. La main de Cyscek vint caresser la tête de Cora alors qu'elle nettoyait les fesses de Maelie. Chaque coup de langue était agrémenté d'un regard salace à l'encontre du maître. Elle avait peut-être fauté, mais elle pouvait se racheter, voilà tout ce qu'elle laissait transparaître dans ses gestes.

La nouvelle esclave gémissait à mesure que la langue glissait sur elle, titillant avec un peu trop d'ardeur la fente d'où s'écoulait cyprine et sperme mêlés. Pendant un cours instant, Cyscek songea à stopper Cora dans son mouvement. Faire jouir Maelie allait la plonger dans la torpeur, et il voulait la garder éveiller pour l'instant. Seulement l'entrain de Cora était communicatif, et il restait muet alors que les lèvres pulpeuses de l'esclave suscotaient le clitoris si sensible. A ce rythme, elle ne tarderait pas à exploser.
Bien plus rapide qu'escompté, l'orgasme emporta Maelie. C'était peut-être un bien, il allait pouvoir châtier Cora pendant que Maelie se reposerait, et il reprendrait la formation de cette dernière une fois qu'elle se réveillerait. Pourtant elle ne voulait pas s'affaisser comme auparavant. Les soubresauts et les gémissements ne pouvaient pas être faux, elle avait bien joui, et elle était encore consciente. Il ne fallut pas plus de trois secondes à Cyscek pour comprendre d'où venait ce résultat : le collier. S'il avait des doutes sur l'efficacité de ce dernier, ils étaient à présents effacés.

Cora se redressait, son oeuvre terminée. Du sperme luisait sur ses lèvres, et elle arborait un sourire satisfait. Cette petite pimbêche pouvait bien plaire à Cyscek, elle n'en restait pas moins devant. Avec une expression soumise, elle lorgnait le membre de l'homme dans une requête silencieuse. Ce dernier y accéda d'un léger hochement de tête et Cora se pencha afin de nettoyer également le membre poisseux. Dans des bruits de suscion obscènes, elle suçait le dard avec une ferveur qui laissait penser qu'elle voulait le faire jouir à nouveau, pas simplement ôter la semence déjà éparpillée. Dans la bouche gourmande, la queue palpitait, désireuse de rester pleine de vigueur autant qu'il le pourrait.

Tu n'apprécies pas mon cadeau ?

Si Maelie n'avait pas saisi l'allusion, Cyscek l'y aida en avançant une main pour effleurer le collier qui ceignait son cou. Elle devait être loin de se douter des capacités de l'objet. On trouvait de tout, quand on savait où chercher et y mettre le prix. Des potions changeant les formes d'une femme, un bracelet la rendant plus sensible, ou bien encore totalement obnubilée par le plaisir et l'envie d'en donner ... Ces objets étaient rares et chers, et Cyscek en possédait très peu, mais ce collier rendait un fier service quand on voyait le résultat.
D'une main, il fit stopper Cora qui s'enhardissait le long de sa tige. La faisant reculer, il la redressa, la gratifiant d'un baiser langoureux avant de la délaisser à nouveau et de s'installer devant Maelie.

Ce collier a quelques vertus, comme celle de bloquer la magie émanant d'une femme. Je n'étais pas sûr de son fonctionnement, mais il semblerait qu'il soit valide.

Il laissait à la jeune femme le temps de digérer l'information et de se l'approprier. Cora était venue s'installer à côté de Maelie, dardant sur la nouvelle esclave un sourire satisfait. L'annonce de ce collier, c'était une aubaine ! Il n'avait aucune confiance envers la petite, et il ne risquait pas de l'avoir avant un petit moment, Cora s'en assurerait. Il serait assez simple de manipuler Maelie afin de la garder sous la méfiance de l'esclavagiste. Mais pour l'heure, Cyscek fit un signe de main à l'intention de Cora, afin de la congédier.

Va préparer un bain, ainsi qu'une tenue propre.

Il allait de soi que tout ceci était pour Maelie. De bonne grâce, Cora se redressa afin de sortir de la pièce, en profitant pour dandiner et ainsi donner envie à l'esclavagiste. Elle ne se retourna qu'une fois à la porte, pour répondre d'un ton suave.

Il en sera fait selon votre désir maître, je viendrai vous chercher lorsque tout sera prêt.

Dans l'intervalle, Maelie essuya un regard condescendant de la part de l'esclave avisée. Puis la porte se referma sur elle, laissant seuls l'esclave et son nouveau maître. Cela devait lui faire bizarre d'être encore alerte et éveillée malgré l'orgasme passé juste auparavant. Tapottant sa jambe, Cyscek l'invitait à approcher de lui, bien moins autoritaire qu'avant, et surtout avec moins de sexualité dans ses mouvements.

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Du temps, du temps, du temps...
« le: vendredi 13 décembre 2013, 15:43:52 »
Je remonte ce topic d'entre les morts (enfin, pas si loin) pour faire un 3615 ma life :

Je vais être en vacances fin de semaine prochaine, et je n'aurai pas le temps d'écrire durant les fêtes. Du coup j'pense pas pouvoir taper de réponses avant le 5 ou le 6 janvier. Pour ceux que ça chante je répondrai quand même à mes mps, j'aurai probablement mon téléphone pas loin. Et de bonnes fêtes à tous !

11
L'établissement était devenu un capharnaüm, avec les corps gisants des clients, des assaillants, et tout ce qui avait été cassé. Il allait bien falloir un ou deux jours afin de tout remettre au propre. Mais cette partie ne concernait pas Cyscek, et donc il ne s'en préoccupait guère. Il avait lui même un peu mis le bordel, il fallait l'avouer. Comme Sayaka désignait la porte de la cave, l'esclavagiste s'approcha afin de jeter un oeil dans l'escalier. Pourtant il ne s'enfonça pas de suite dans les entrailles de la demeure, se retournant vers Sayaka.

Réunis tout le monde et ferme la porte d'entrée à clé. Si l'un des hommes bougent ...

Il ne finit pas sa phrase mais le regard qu'il jeta à l'arme de la demoiselle était sans équivoque. Il ne l'avait pas entendu tirer mais elle avait neutralisé un homme, c'est que cela devait marcher. Il tenait pour sa part le pistolet appartenant à un des malfaiteurs. Bien qu'il n'ait pas beaucoup d'expérience avec, il en avait déjà vu et manié deux fois. Cela devait suffir pour ce qu'il escomptait.
Disparaissant dans l'escalier, il laissa le rez de chaussée afin de descendre à pas de loup vers la cave. Ce n'était pas son terrain de jeu favori, mais il connaissait l'endroit et surtout les occupantes. Nodoka qui adorait se faire prendre et soumettre par l'esclavagiste, et sa soeur qui au contraire ne risquait pas d'être domptée de sitôt. Le genre de femme qu'il aurait relâché plutôt que de tenter de transformer en esclave s'il était sur Terra. Cependant elles avaient une complicité qui était agréable pour le client qui se retrouvait entre les deux, que ce soit pour participer à l'éducation de la première ou pour se faire dominer par la seconde.

La lumière tamisée de la salle aurait pu donner en temps normal une ambiance zen. Pourtant la fonction première de la pièce rendait l'effet totalement différent. Plus oppressant, les ombres des chevalets et des outils SM se découpaient dans des tons sombres et renforçaient le côté lugubre des lieux. Des gémissements montaient de la pièce. Les premiers, plaintifs, appartenaient à un homme. Les seconds plus étouffés devaient être ceux de Nodoka si Cyscek en croyait son jugement. Jetant un coup d'oeil en bas, il vit l'un des hommes en train de se tordre de douleur au sol, geignant comme un enfant. L'autre ne bougeait pas, tenu en respect par le fouet de Mako qui fendit à nouveau l'air pour l'empêcher d'approcher. La situation était sous contrôle et donc Cyscek fit les pas nécessaires pour descendre les dernières marches, apparaissant dans le champ de vision de Mako, dans le dos de l'étranger. Il arma le chien de son arme, pointant le canon sur l'arrière de la tête de ce dernier.

C'est fini. Vous avez voulu jouer et vous avez perdu. Tu vas prendre ton pote et vous allez déguerpir d'ici.

Etait-ce le cliquetis du pistolet, ou le ton de Cyscek qui fit trembler l'homme ? En tout cas, il lâcha son couteau afin de redresser les mains dans un signe de reddition. La situation était toujours tendue et pourtant c'est le moment que choisit Nodoka pour pousser un gémissement plus intensif. A voir la mouille qui coulait sur le gode qui lui limait l'abricot, elle venait de jouir. Coupée du monde, elle n'avait probablement même pas idée de ce qui venait de se passer. L'homme aidait son comparse à se redresser péniblement, et Cyscek s'écarta pour les faire remonter à l'étage. Il avait fait un signe à Mako si elle souhaitait suivre le mouvement, c'était à sa guise.

En haut, c'était bien plus calme qu'auparavant. Le cadavre gisait toujours dans le couloir, mais les lieux avaient retrouvés une partie de leur quiétude. Poussant les deux hommes vers la sortie, il se ravisa.

Vous allez sortir tous vos potes de là. Exécution.

La menace était réelle, et bien que l'idée de lui tenir tête avait traversé l'esprit du dernier valide, il s'abstint de le faire. Sous le regard inquisiteur et implacable de Cyscek, les deux hommes trainèrent péniblement chaque éclopés ou cadavres au dehors. Deux au moins étaient morts, pour les autres on ne pouvait être sûr, mais aucun n'avait repris conscience. Lorsque les cinq corps furent dehors, Cyscek réarma le pistolet et tira sans prévenir dans la jambe du seul qui jusqu'ici était resté indemne.

Pour que tu te souviennes. Si on vous revoit dans le coin, on vous bute.

Cyscek referma la porte du local à clé. Ils étaient dehors à présent et ne risquaient pas de vouloir retenter leur chance dedans. Il avait laissé l'homme se tordre de douleur en se tenant la jambe, l'autre gémissant encore alors qu'il saignait de l'entrejambe. Ils allaient surement abandonner leurs partenaires pour rejoindre l'hôpital, quand à ceux encore sur place quand Cyscek sortirait, il les balancerait à la benne, ça sera encore le plus simple et le plus discret. Se retournant vers le hall, il constata que le carrelage portait de nombreuses tâches de sang. La nuit était probablement compromise pour ce qui était de l'accueil des clients.

Vous pouvez sortir, je les ai reconduit à la sortie.


12
Parfois, Cyscek ne comprenait pas les réactions ni les motivations des gens. Il se pensait pourtant quelqu'un d'assez ouvert dans sa manière d'appréhender une situation, des choix. Tout un panel de possibilités qu'il pouvait comprendre. Mais le viol ? Comme ça, sans but ni raison ? Non, c'était clairement une idiotie. Il lui était arrivé de violer des femmes, lorsqu'il les capturait et compter les former pour en faire des esclaves. Mais ces hommes n'avaient pas ce genre de considération là. Un observateur extérieur aurait trouvé délirant le cheminement intellectuel de Cyscek, mais pour lui c'était convenable : ou comment se trouver des excuses quand on exploitait la misère humaine.

Enfin pour le moment, au lieu de l'exploiter, il l'aidait. L'homme à terre gémit un instant avant de sombrer dans l'inconscience. Dépassé par Sayaka, il eut le temps de voir quelque chose dans sa main. Un pistolet, mais de quel type ? Cyscek n'en avait jamais vu de tel. De toute façon il n'avait pas le temps de rester planter là à réfléchir ni à bailler aux corneilles, car les cris et les voix d'hommes continuaient à résonner dans le couloir. Yûna était confinée dans un coin de sa chambre par deux hommes du même accabit que les précédents. Mal habillés, sales, ce devaient être des junkies ou des punks errants dans le quartier malfamé. Le visage de Yûna traduisait de la panique mais elle ne prononçait aucun son du fait de la main crasseuse qui lui barrait la bouche. Celui qui la tenait ainsi lui maintenait également les bras alors que son comparse pénétrait la jeune femme. Un gémissement s'étouffait contre la main à chaque passage de cette queue non désirée en elle, et les ricanements des deux hommes n'aidaient pas à rendre la situation moins angoissante. Ici, nul client. Elle devait avoir fini avec le précédent et attendre le suivant. Cyscek se mit à courir dans la pièce. Le pas lourd de l'esclavagiste fit se retourner les deux hommes qui a priori n'était pas armés. D'ailleurs, le premier n'eut pas le temps de se protéger. Bien trop occupé à tenir Yûna, il tenta bien de bouger la tête mais Cyscek l'attrapa dans sa grande paume. Dans l'élan, la tête vint heurter le mur dans un "poc" sonore. Immédiatement l'indésirable chuta au sol, inerte. Mort ? Cyscek en jugerait après, il n'avait pas le temps de réfléchir car l'autre homme fouillait sa poche à la recherche d'un cran d'arrêt. Heureusement pour l'esclavagiste Yûna en profita pour se sortir de là, laissant l'individu à moitié nu. La jambe de Cyscek trouva son chemin, le formidable coup de pied s'abattant entre les jambes du junkie. Vu le bond qu'il fit et le cri qu'il poussa, la douleur devait être plus que vive. Il ne lui laissa pas le temps de se remettre et l'assoma alors qu'il était au sol.

Un bref coup d'oeil à la jeune Yûna lui apprit qu'elle n'avait rien. Bien sûr, le contact de ses hommes resteraient à son esprit un moment, mais ils ne l'avaient pas blessée physiquement. Déboulant hors de la chambre, Cyscek considéra que la jeunette pouvait bien rester seule pour l'instant. Pourquoi faisait-il cela ? Il aurait pu simplement fuir ou se cacher, et ne pas se mêler de cette affaire. Mais il se sentait concerné car il appréciait cet endroit et ne souhaitait pas que quelques idiots réduisent à néant ce lieu. Remontant le couloir, il se dirigeait vers l'entrée et le comptoir qui servait d'accueil. Des souffles en provenaient, mais ce n'était qu'une fois arrivé en vue du comptoir qu'il découvrit ce qui s'y tramait. Ako était agenouillée devant un inconnu, la queue de ce dernier dans la bouche. Des larmes coulaient sur son visage, et un canon de pistolet pointait le front de celle-ci. Comment la sortir de là ? Au moins, l'homme ne semblait pas l'avoir entendu venir. Obnubilé par ce qu'il forçait la belle Ako à faire, il avait probablement pris tout le remue ménage comme le résultat de ses comparses.

Le regard d'Ako accrocha celui de Cyscek. Elle l'avait vu et il lui fit un signe afin de se pousser d'un coup. Lorsqu'elle tourna la tête de côté, il donna en même temps un coup de pied dans le bras de l'homme. Le pistolet dirigé vers le haut lâcha une décharge assourdissante, agrémentant le plafond d'un trou précis. Le triste individu n'eut pas le temps de viser en ramenant le pistolet vers le bas car le front le Cyscek vint lui exploser le nez. En suivant, il lui maîtrisait le bras pour le lui tordre et lui arracher le pistolet. Tout ça n'avait pas pris plus de trois secondes et il força l'homme gémissant à se redresser en le tenant par le col, le canon pointé sur un de ses yeux.

Vous êtes combien ?! Parle !

Le ton était vindicatif et autoritaire, digne de l'esclavagiste. Etait-ce la peur ou le manque de lucidité qui faisait parler l'inconnu ? Difficile à dire, il essayait en tout cas de sortir vivant d'ici, c'était clair.

Se... Sept ! On est sept ! S'il vous plait ne me ...

La crosse du pistolet s'abattit sur le crâne de l'homme afin de l'assomer. Cyscek se tourna vers Ako afin de l'aider à se redresser.

Va rejoindre Yûna, fermez à clé et ne sortez pas de la chambre.

Il se tournait à ce moment là dans le couloir pour faire le compte. Deux sur Yûna. Un dans le couloir, un dans le hall, et un autre sur Megane que Sayaka avait maîtrisé. Reste deux, mais où ? Alors que Sayaka venait de débouler dans le couloir, Cyscek passait en revue les différentes portes. Les chambres étaient vides, enfin exemptes de malfrats. Ne restait que le sous sol, dont la porte entrouverte attirait l'attention. Généralement, elle était tout le temps fermée. Cyscek échangea un regard avec Sayaka.

Il en manque deux ...


13
Le grondement qui sortit de la bouche de l'esclavagiste ne pouvait tromper personne : il avait apprécié la façon dont Cora avait poussé la tête de Maelie. D'ailleurs, la verge s'était tendue, luttant contre la courbure de la gorge qui la forçait à s'orienter vers le bas alors qu'elle s'évertuait à forcer pour pointer vers le haut. La réaction de l'esclave lui faisait penser qu'elle ne s'attendait pas à se faire violenter de la sorte. Pourtant elle reprit ses esprits pour seulement reprendre sa pipe, avec plus de profondeur qu'auparavant. Chaque passage au fond de la gorge de Maelie était un délice et Cyscek était aux anges. En fait, la seule qui ne trouvait pas son compte là dedans était l'autre esclave, fulminante de rage et de jalousie. Son souffle chaud courrait sur la nuque de Maelie, qu'elle couvait de son regard inquisiteur.

Au dessus de tout ça, l'esclavagiste semblait ne rien voir de ce qui se tramait à ses pieds. Pourtant un mouvement de part de Cora l'alerta. Elle glissa sur le côté afin de se retrouver à côté de Maelie. Alors que cette dernière continuait ses vas et viens, la bouche de Cora vint s'en mêler. Une main ferme s'était emparée de la base de la queue, et Cora amenait ainsi le membre dans sa bouche, l'enfournant d'un mouvement rapide et disons le, vulgaire. Elle jetait un regard suppliant à Cyscek comme pour qu'il lui fasse subir le même sort qu'à l'autre esclave. La réaction de l'esclavagiste fut tout autre : haussant un sourcil, il donna une tappe sur la main de Cora pour la faire lâcher et recula, le membre luisant de salive sortant de sa bouche.

On dirait que le dressage n'est pas fini comme je le pensais ...

Elle allait répondre, rétorquer que si, elle voulait simplement son plaisir mais un index inquisiteur se leva. Le geste de Cyscek était équivoque : si elle parlait, elle le regretterait. Abandonnant son pantalon là où il était, Cyscek prit la main de Maelie pour l'obliger à se relever. Le mouvement ajouté lui intimait de se diriger vers le lit, alors qu'il toisait Cora d'un regard dur. Mais c'est à sa nouvelle esclave qu'il s'adressa.

Tu vois il faut savoir attendre. Je suis toujours bon avec les femmes qui se montrent sages et dociles. Mais pas avec les autres.

Un nouveau poignet aggripé, celui de Cora cette fois. Il l'entrainait également sur le lit et l'y jeta. Elle étouffa un cri bien qu'il ne se soit pas montré violent. Il prenait son temps pour la faire s'allonger sous le regard interdit de Maelie. Lorsque Cora fut sur le dos, au milieu du lit, il s'adressa à nouveau à la néophyte.

Installe toi au dessus d'elle.

Il avait une idée très précise de ce qu'il voulait et la fit mettre tête bêche. Ainsi positionnées, on aurait cru que les deux femmes allaient s'adonner à un 69, mis à part leurs robes encore présente. Passant derrière Maelie, il releva sa robe, dévoilant la fente lisse et humide suspendue au dessus du visage de Cora. Cette dernière ne pouvait rien louper de ce qui se tramait au dessus : le gland qui venait frotter contre la vulve, puis s'y enfonça lentement. La longueur complète du membre qui fouillait l'orifice de Maelie et la frustration de ne pouvoir bouger, et de ne pas être à sa place. Cyscek accélérait le rythme, baisant Maelie avec une force et une vigueur retrouvée. Il voulait la faire crier, qu'elle prenne du plaisir et que son autre esclave se sente frustrée mais surtout déçue d'avoir été inconvenante.

Regarde Cora, bientôt ce sera elle qui te donnera la leçon !

La main de l'esclavagiste s'abattit sur la fesse de Maelie pendant que le pal de chair fouillait en profondeur sa chatte humide et ruisselante. Pendant plusieurs minutes il la "maltraita" de la sorte, s'amusant à ressortir entièrement pour donner l'impression de vouloir gouter à la bouche de Cora, mais c'était dans la fente d'Anastasia qu'il revenait inlassablement. Ses mains puissantes enserraient la taille de cette dernière et se resserrèrent un peu plus quand le plaisir fondit sur lui. Il tenait le bassin de la belle pour l'empêcher de se sortir lorsque le foutre brûlant emplit sa fente. Un long gémissement trahit le plaisir qu'il avait et presque immédiatement il s'extirpa du fourreau pour arroser le postérieur rougi de Maelie. Sa chatte dégoulinait de la semence qu'il y avait déversé et des gouttes échouaient sur le visage impassible de Cora. Elle était tiraillée par ses sentiments mais ne souhaitait rien montrer. Les jets finissaient de se répandre sur le cul de la jeune esclave et Cyscek lui souleva la jambe afin d'obliger Cora à sortir de là dessous. D'une main, il désignait Maelie, toujours à quatre pattes et la croupe offerte.

Nettoie la maintenant.


14
Aucun bruit ne montait de la chambre numéro quatre. Lorsque l'on se tenait dans le couloir de l'établissement, on avait parfois droit à un gémissement ou un cri provenant d'une des chambres. Dans le cas présent, cette chambre était silencieuse. Dans la pièce décorée avec goût, Cyscek goûtait aux plaisirs offerts par Sayaka. En habitué des lieux, il était déjà venu de nombreuses fois et avait testé chacune des "pensionnaires" de l'établissement. En ce jour il avait jeté son dévolu sur la belle Sayaka, comme il aurait très bien pu choisir Yuna ou Ako. Chacune avait du charme et des atouts qui donnaient à chaque fois du mal à l'esclavagiste de choisir avec laquelle passer la nuit.

On pourrait d'ailleurs trouver ça étrange, un esclavagiste qui profite d'une maison de passe. Lui qui pouvait avoir toutes les femmes capturées pour lui, en faire ce qu'il voulait ... Cyscek n'était pas qu'un esclavagiste après tout. Il lui arrivait d'accoster des femmes, juste pour la séduction car parfois il souhaitait sortir de la routine de la situation de domination. Ca ne changeait pas son caractère, mais il y avait tout de même une différence pour lui. Bien plus permissif, il appréciait également les prises d'initiatives des prostitués de l'établissement, et également le fait qu'elles appréciaient ce qu'elles faisaient, chose qu'il adorait sentir dans le regard de ces femmes.

Il s'était retrouvé ici par hasard, il y avait plus de six mois de ça. A l'époque, il arpentait le quartier de la Toussaint à la recherche d'une proie. La nuit avait été infructueuse, et il avait terminé sa course dans un bar sordide, où les rebus de la société se retrouvaient. Loin de lui l'idée de s'éterniser, mais un homme saoûl avait parlé d'une maison de passe non loin. Si ses paroles pouvaient sembler être des élucubrations d'homme imbibé par l'alcool, Cyscek nota tout de même les détails. Si personne ne prêtait à attention, et bien lui irait vérifier. Il fallait l'avouer, son idée à ce moment là était de voir si ces prostitués étaient potentiellement capturables. La ruelle sombre qui donnait sur le bordel l'avait d'abord fait croire que l'homme avait bien raconté n'importe quoi. Mais non, la porte s'ouvrit sur un homme au sourire ravi, et derrière lui, une inconnue en tenue de latex minimaliste qui souhaitait une bonne nuit à l'inconnu. Cyscek s'était présenté à son tour, toisant Yuna du regard. Après quelques informations glanés sur les lieux, les filles disponibles et les tarifs, Cyscek avait changé son fusil d'épaule. L'intention et la façon dont était gérée ce bordel étaient louables, et il ne pouvait se résoudre à en arracher une ou deux d'ici. D'autant que briser une fratrie, ça aurait été un peu trop pour lui.

Il avait "abusé" de Yuna toute la nuit. Ou bien était-ce elle qui avait abusé de lui ? Ils n'avaient fait qu'un pendant plusieurs heures, et Cyscek aurait juré qu'elle avait plus qu'apprécié cette baise débridée. Il s'acquitta de son dû, puis repartit pour Terra. Deux semaines plus tard il revenait déjà. Avait-il pris goût ? Probablement. Cette fois, Yuna était déjà occupée avec un client, et il avait eu droit à Sayaka. Chacune a leur manière, elles trouvaient comment le faire se consummer de désir. Les semaines passèrent et l'esclavagiste revint souvent, testant chacune des demoiselles et finissant par devenir un habitué des lieux. Il aimait bien parler à l'une ou l'autre, prendre de leurs nouvelles et savoir comment se passait leur vie en dehors. Par contre, il ne parlait jamais de lui. Qui sait la réaction qu'elles auraient pu avoir en apprenant qu'il était un esclavagiste ? Probablement pas une bonne.

La bouche de Sayaka allait et venait lentement sur le pal de chair de l'esclavagiste. Aucun gémissement, juste le bruit humide des lèvres sur la peau sensible de sa hampe, voilà tout le bruit qui emplissait la pièce. Cyscek avait choisi Sayaka car elle lui avait fait sentir à son arrivée qu'elle avait envie d'être choisie. Bien sûr les autres faisaient de même, mais il lui avait semblé que cette dernière l'avait bien plus montrée, sans pouvoir dire pourquoi. Debout au milieu de la pièce, il s'était laissé faire pendant qu'elle se frottait à lui, qu'ils s'embrassaient, puis qu'elle avait débuté sa fellation. Il planait, littéralement ... Un bruit sourd en provenance d'un des murs se fit entendre, suivi d'un bruit de casse. On venait d'exploser un verre ou un vase. Une partie de jambes en l'air un peu musclé ? Cyscek sentit la bouche de Sayaka s'arrêter dans son mouvement. Elle avait de bonnes raisons car on venait d'entendre un cri monter de la chambre d'à côté. Non, vu la peur dans ce cri, ce n'était pas normal. Ôtant son membre de la bouche de la jeune femme, Cyscek eut tôt fait de remonter son pantalon. Elle se relevait aussi, mais il la retint par le bras.

Reste là, je vais voir.

Il avait plus de chance de réussir à maîtriser un importun que cette frêle jeune femme en tenue de latex. Passant la porte de la chambre, Cyscek déboula dans le couloir. Trois portes étaient ouvertes, et l'on entendait des cris montants de deux d'entre elles. Dans le couloir, nez à nez avec l'esclavagiste, un junkie tenait un couteau en regardant à l'intérieur d'une des chambres. Vêtu d'une veste de cuir et d'un pantalon sale, il arborait une sorte de crête qui n'avait pas du voir la couleur d'un shampooing depuis longtemps.

Servez vous, ces sales putes ne sont bonnes qu'à ça !

La voix de l'homme s'adressait probablement à des complices, mais Cyscek ne pouvait pas voir ce qui se passait dans la pièce. En tout cas, l'homme se tourna lentement en voyant l'esclavagiste débouler dans le couloir. Il ne s'attendait probablement pas à tomber face à une montagne de muscle comme celle là. Et probablement pas non plus à prendre un coup de poing en plein visage. On entendit craquer les os sous le poing, le nez explosant sous le choc, et l'homme de s'affaisser d'un coup. Un problème de résolu.


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Prélude / Re : Femmes en fleurs dans un écrin de latex
« le: samedi 07 décembre 2013, 23:50:32 »
Je m'en voudrai de les priver de leur argent surement gagné, je peux me contenter d'autre chose ... *mode faux innocent : off*

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