Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Satsumy Kawashima

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1
Les suppliques de Satsumy n'eurent aucun effet, ou plutôt si, mais pas celui espéré par la jeune lycéenne. Au lieu d'attirer la pitié de la Senseï pour qu'elle retire son espèce de verge végétale, cette dernière n'avait au final fait qu'accentuer les mouvements de va et viens dans son cul serré. Satsumy n'eut alors vraiment plus la force de parler ou de lutter.
Les bras de la jeune lycéenne ne la portant plus, elle s'était retrouvée la tête au niveau du sol, l'une de ses joues plaquées contre ce carrelage froid, tandis que Miss Lilian avec ses mains la maintenait au niveau des hanches, et la perforait intensément.

Combien de temps ce manège dura, Satsumy n'en savait rien, dans sa position le temps était quelque chose de très approximatif et de subjectif, car tout cela lui semblait durer depuis une éternité. Elle sentit que Miss Lilian vint à plusieurs reprises en elle tout en ne la lâchant pas, mais hormis celà tut n'était qu'un océan de douleur. Son corps était couvert de bleux un peu partout, mais c'était ses entrailles qui lui faisaient le plus mal, ça la brûlait et elle avait pleurée et criée tout le temps qu'avait duré la présence de la Senseï dans cet endroit de son anatomie.
Quand enfin elle la relâcha, Satsumy s'effondra au sol, sentant le trop plein de semence dans son anus s'échapper en un mince filet. Elle était bien trop faible et martyrisée pour essayer de s'enfuir, de toutes manières elle avait trop mal partout pour pouvoir courir.

Au final elle ne s'était pas habillée quand la Senseï le lui avait ordonnée, et voilà qu'elle était traînée dans les couloirs du lycée, allant en un endroit qu'elle ne connaissait pas. Elle marchait difficilement et en étant courbée, ses fesses lui faisaient atrocement mal, on l'avait pourtant déjà sodomisée à de nombreuses reprises, mais la taille du "sexe" de la Senseï était bien plus massif que tout ce qu'elle avait pu endurer jusqu'à présent. Sans trop comprendre ce qui lui arrivait, Satsumy reprit vaguement ses esprits en se sentant tomber, cette sensation lui faisant l'effet d'un violent coup et elle hurla de peur avant d'arriver sur de l'herbe, et intacte.
Elle se dressa sur ses genoux tant bien que mal, pour constater qu'elle était dans un endroit desplus étranges, et d'autant plus en voyant Miss Lilian arriver en chevauchant une plante géante qui se mouvait. Trop effrayée pour parler, elle se contentait de parler tout en se disant, avec effroi, qu'elle était définitivement prisonnière sans espoir pour elle de s'échapper. C'est plus par peur que par désir qu'elle s'approcha doucement entre les cuisses de Miss Lilian, et qu'après une brève hésitation, elle posa ses lèvres au niveau de l'intimité de sa prof. Satsumy n'était pas dupe, même si elle ne comprenait pas grand chose à tout ce qui se passait, mais elle savait qu'elle ne pouvait pas échapper à cette femme terrible. Tout ce qu'elle pouvait espérer c'était qu'elle se montre plus douce.
Alors elle avança sa langue, et tout en sanglotant doucement de peur, elle lêcha du mieux qu'elle le pouvait l'intimité et la cyprine de sa prof.

2
Par tous les dieux, ces derniers devaient vraiment avoir une mine surprise en voyant dans quelle position Satsumy se trouvait, et ceci presque de son plein gré. Bien sur la jeune feille était encore en proie au doute et hésitait, c'était parfaitement normal, elle avait honte de ce qu'elle était en train de faire.
Satsumy éprouvait déjà ce sentiment en temps normal, quand elle se faisait violer avant de finalement apprécier ce qu'elle subissait. Mais là, c'était bien différent, elle allait d'elle même au devant de tout ça. Elle avait l'impression d'agir comme une vulgaire pute, mais d'un autre côté, n'était-il pas un peu temps qu'elle se rendre compte au final de la réalité ?
La réalité, cette chose qui fait bien souvent mal, l'amour propre de Satsumy avait pris énormément de poings dans la tronche depuis quelques mois, depuis que tout ça avait commencé, et il en prenait encore plus maintenant qu'elle était presque nue, assise sur cette femme qui allait lui faire subir plein de choses, et tout ça de son plein gré.

Le baiser d'Aoki lui fit l'effet d'une décharge éléctrique le long de sa colonne vertébrale, elle se retint de fermer sa bouche par instinct, ce qui aurait revenu à mordre la langue qui s'était infiltrée dans sa bouche. La jeune fille était passive, mais au fur et à mesure que le baiser se prolongea, elle commença également à faire jouer sa langue. Ce n'était pas désagréable...au contraire même, si on en croyait la légère humidité qui naissait entre les cuisses de la lycéenne.
Elle était bien trop gênée et désorientée pour parler, et se contentait finalement de se laisser faire, même si elle était paradoxalement dans la position traditionellement dominante, c'était tout le contraire qui se produisait. Ne sachant pas où poser ses mains, elle opta au bout d'un moment pour la solution de les poser sur les épaules d'Aoki, éprouvant de fait le contact de sa peau chaude et tremblante de désir.

Comment Satsumy faisait-elle pour créer un tel désir, cela était une réponse qu'elle n'aurait jamais, et ne savait donc pas quoi répondre. Elle hocha toutefois timidement la tête à la demande d'Aoki, et se releva donc, uniquement pour s'asseoir à nouveau sur elle, ses fesses se posèrent sur les cuisses d'Aoki, et son dos nu s'écrasa délicatement contre la poitrine de la manager. Dans une telle position, Satsumy se voyait effectivement dans les trois grands miroirs qui lui faisaient face. Elle se regardait, et regardait ces deux mains qui parcouraient son corps presque nu, l'une se glissant sous la barrière protectrice de son soutein-gorge, caressant l'un de ses seins fermes, tandis que l'autre plongea dans sa petite culotte blanche.

Satsumy était la délicieuse prisonnière d'une étreinte qui ne tarda pas à lui arracher des petits gémissements, très timides, mais néanmoins audibles pour Aoki qui était très proche d'elle. Ses caresses, ses mains étaient d'une parfaite dextérité, faisant durcir les seins de l'étudiante, et la faisant mouiller d'avantage, les doigts d'Aoki caressant l'intimité de Satsumy se couvrirent peu à peu de sa cyprine.

Ma...demoiselle...ah...

Son corps tremblait doucement sous les ondes de plaisir qui le parcouraient, elle s'allongea d'autant plus sur Aoki et commença à onduler son bassin sans s'en rendre compte, accompagnant ainsi les mouvements du doigt qui explorait son intimité.

Je...je...oh...

Ses rares mots se perdirent assez rapidement, car après quelques temps de ce traitement, le corps de Satsumy se tendit comme la corde d'un violon. Elle contracta un premier orgasme, gémissant toujours timidement, avant de reprendre son souffle.

Faites de moi votre petite chose...s'il vous plaît...

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Le parc et son sous-bois / Re : une forêt pas si paisible [PV Satsumy]
« le: lundi 05 mars 2012, 14:07:26 »
La pauvre jeune fille n'avait décidément pas de chance, encore que le terme de mauvais karma soit bien plus approprié en la situation présente. Tout ce qui lui restait de vêtements étaient sa mini jupe, ses chaussettes ainsi que ses petits souliers, le reste était étalé un peu partout autour d'elle, jonchant le sol et en lambeaux. Rentrer chez elle serait une vraie épreuve dans pareille tenue, mais pour le moment, ce n'était pas son problème le plus urgent.
Son agresseur refusait toujours de lâcher prise, la jeune fille se débattait pourtant assez fortement, mais il avait une telle poigne qu'il la maintenait très aisément. Satsumy sentit un frisson de panique la parcourir quand elle se rendit compte que l'homme avait retiré son pantalon, et frottait son membre dressé contre son intimité qui était bien malheureusement mouillée. Son corps la trahissait une nouvelle fois, elle n'avait as envie de se faire violenter à nouveau, mais une partie d'elle même dans son inconscient ne désirait que ça, le hic, c'était qu'elle refusait de l'admettre. On efface pas aussi facilement toute une vie d'éducation prônant la chasteté avec un simple coup de rein au bon endroit.

Elle se trouva par la suite retournée, faisant face à son agresseur. D'un point de vue tout à fait objectif il était beau, et musclé, le genre de mec dont pas mal de lycéenne pourrait rêver d'avoir comme petit ami. Seulement au vu de la situation, Satsumy n'avait bien entendu pas la même approche.
En temps normal, le coup de bassin censé l'empaler sur le membre de Mixiborh ne serait jamais venu, elle en aurait profitée pour se détacher de son agresseur et tenter de lui échapper. Par contre, ça ne se passe pas comme ça quand on a une malédiction divine sur soi, absolument pas comme ça.
Poussée par une force inconnue, et qui n'émanait nullement de sa volonté propre, le corps de Satsumy fit ce mouvement que Mixibnorh attendait. Satsumy fut si surprise qu'elle ouvrit grand la bouche sans toutefois laisser échapper le moindre son, les yeux grands ouverts alors que le sexe de l'homme s'enfonçait dans son vagin qui était chaud et humide à souhait.

De son côté Mixibnorh ne pouvait pas vraiment deviner ce qui se produisait, mais il avait ce qu'il attendait, et les ondes aphrodisiaques qui émannaient du corps de Satsumy se faisaient de plus en plus importantes.

4
Les alentours de la ville / Re : Un casting qui tourne mal (PV Aoki Kou)
« le: lundi 27 février 2012, 23:06:14 »
Dans une situation telle que celle-ci, seules deux choses pouvaient se passer. Soit Satsumy décidait de rester, soit elle tentait sa chance de s'en aller avant que les choses ne "dégénèrent". La jeune lycéenne frissonnait sous les caresses d'Aoki lorsque cette dernière se trouvait dans son dos, à toucher délicatement son ventre et sa poitrine, à embrasser le creux de son cou avec ses lèvres douces. Mais frissonnait-elle de peur, ou bien de plaisir ? C'était presque un fait unique, mais Satsumy se posait la question...et se la posait de plus en plus. Elle ignorait exactement ce qui pouvait bien lui arriver depuis maintenant de longs mois, où elle était très souvent violentée par des inconnus qui abusaient d'elle, et elle avait systématiquement fini par en éprouver du plaisir même si elle se refusait de l'admettre.
En revanche, c'était bien la première fois qu'on la prenait de façon aussi douce. Oui Satsumy se doutait, un peu du moins, que cette femme avait envie d'elle à présent. La jeune lycéenne était restée immobile près du bureau, tout en regardant Aoki placer une chaise en face, ainsi qu'une caméra dans cette direction. Puis la voir ôter sa chemise avec un sourire aiguicheur avait fini par lui faire rendre compte de la situation. Il ne semblait y avoir pas grand monde dans les environs, la porte était fermée à clef, et cette demoiselle lui révélait sa poitrine en soutien-gorge...

Elle hésita, bien sûr qu'elle hésita. Son instinct naturel lui hurlait de fuir, mais en y songeant de façon plus rationnelle, ce qui était difficile, Satsumy savait au fond qu'elle ne parviendrait pas à s'échapper. Jamais elle n'y était parvenue. Et tant de personnes lui disant qu'au fond elle n'est qu'une petite dépravée qui s'ignore...et si ...et si c'était vrai ?
Pas à l'aise pour un sou elle sortit alors de son immobilisme, et doucement, elle vint s'asseoir à califourchon sur Aoki. Ses jambes étaient collées contre les cuisses de la femme, et son entrejambe à peine protégée par sa fine culotte blanche entrait au contact du bas-ventre d'Aoki. Satsumy n'arrivait pas à croire qu'elle faisait ça, mais c'était la première fois que quelqu'un s'y prenait de façon douce avec elle. Alors...qui ne tente rien n'a rien, n'est-ce pas ?

Il...il va falloir que je fasse quoi mademoiselle ?

5
Le parc et son sous-bois / Re : une forêt pas si paisible [PV Satsumy]
« le: mardi 21 février 2012, 12:18:15 »
Satsumy n'aurait jamais du traîner aussi longtemps dans le parc, et en conséquence elle venait de tomber sur une personne qui avait tout l'air d'un détraqué sexuel. Elle avait beau tenter de se débattre, cet homme avait une force tout à fait capable de la maintenir contre son gré, et il commençait à être vraiment très insistant et direct dans ses caresses forcées. Autre problème, il n'y avait à cette heure probablement plus personnes dans cette zone éloignée du parc, aussi n'y aurait-il personne pour se porter au secours de la jeune lycéenne, qui était seule avec son agresseur.

Ce dernier glissa sa main au niveau de la culotte de Satsumy, qui poussa un cri en sentant cette main au niveau de son intimité. Elle se débatait autant qu'elle le pouvait tout en essayant de fermer ses cuisses, mais diable, il avait une force sur-humaine !

-Mais lâchez moi ! AU SECOURS !

C'était peine perdue, car il n'y eu aucune réponse à cet appel à l'aide. Au même moment, l'homme arracha d'un seul coup la petite culotte blanche que portait Satsumy, lui arrachant un nouveau cri de détresse, puis il glissa à nouveau sa main entre ses cuisses qu'elle fermait pourtant. L'index se son agresseur se mit à la caresser, détaillant le contour de ses lèvres intimes, ce qui lui envoya des ondes de plaisir involontaires au travers de son corps.
Puis l'homme lui arracha sa chemise ainsiq ue son soutien-gorge, laissant la plus grande partie de ses vêtements à l'état de lambeaux. Satsumy ne portait alors plus que sa jupe, ses longues chaussettes blanches et ses souliers, autant dire pas grand chose. Si Satsumy continuait à essayer de se libérer en se débattant fortement, son corps la trahissait malheureusement une nouvelle fois sous les caresses forcées de son agresseur. Elle commençait doucement à mouiller, et ses seins se durcissaient petit à petit, signe évident d'une excitation sexuelle qu'elle n'avouait pas.

6
Satsumy avait donc marchée à vive allure jusqu'à son studio, la personne qui l'avait fait chanter ne l'avait pas rappellée, et divers scénarios tous plus catastrophiques les uns que les autres se faisaient par son imagination malheureusement débordante. Elle était presque certaine que pour se venger, cette personne allait rendre publique ces photos et vidéos, et anticipait déjà le pire. Qu'est-ce qu'elle allait faire ?
L'esprit embrouillé par toutes ces questions et ces incertitudes, elle s'était dirigée de façon presque automatique vers son studio...d'où elle entendit des bruits, et la porte avait été de toute évidence forcée. Sans vraiment réfléchir, elle ouvrit la porte, et vit des choses qu'elle n'aurait jamais imaginée voir dans son studio. La première chose qui lui sauta aux yeux fut le nombre de personnes se trouvant ici, il y en avait bien une bonne dizaine, peut-être plus. Trois étaient en train de faire sauvagement l'amour sur son lit, tandis que les auutres regardaient quelque chose sur la télé, et elle réalisa vite avec effroi qu'il s'agissait de la fameuse vidéo de son viol.
Elle n'eu pas le temps de faire quoi que ce soit, car quelqu'un s'était glissé derrière elle et l'avait baillonée avec du tissu tout en la poussant de façon à ce qu'elle tombe sur le sol. Pour le coup, Satsumy eu cette fois-ci vraiment la peur de sa vie, qu'est-ce que tous ces gens faisaient elle ? Qu'allaient-ils lui faire ?

La réponse lui vint peu de temps après, quand elle entendit une voix malheureusement familière lui parler, elle tourna la tête en sa direction, et reconnu Mélinda. Elle n'avait jamais parlée à cette fille prétentieuse et arrogante, elle la connaissait uniquement parce qu'elles fréquentaient certains cours dans la même classe, mais cela s'arrêtait là. C'était elle qu'elle avait donc eu au bout du fil, elle qui l'avait fait chanter, et elle avait décidée de ne pas la laisser tranquille...voilà qui était bien sa veine.
Le seul aspect à peu près positif de cette rencontre, fût quand Mélinda déclara qu'elle n'avait pas l'intention de rendre public tout cela finalement, mais la brève sensation de soulagement ne suffisait pas à Satsumy pour se sentir rassurée pour autant. Il y avait plein de personnes dans son studio, toutes habillées de façon parfaitement obscène, et Satsumy avait malheureusement une assez bonne idée de quel genre de jeu Mélinda voulait parler.

Résister ? Cela lui traversa l'esprit, mais elle était en sous-nombre évident, et qui pouvait savoir ce que cette sale peste pouvait lui faire. Peut-être même changer d'avis et tout de même diffuser cette vidéo...cette seule idée avait suffit à Satsumy pour se résigner. Elle ne pouvait encore une fois rien faire, si ce n'est subir le moindre mal, elle ne le faisais pas de gaïeté de coeur...mais il fallait croire que servir de jouet à cette peste de Mélinda serait moins douloureux que la honte de voir tout cela rendu public, surtout à l'attention de ses parents.
Elle ne dit pas un mot quans l'homme la maintenant au sol la redressa, avant de défaire son baillon. Satsumy se trouait à genoux, sur le sol, et face au sexe tendu d'un homme qui l'exhibait face à elle. La jeune lycéenne hésita tout en regardant Satsumy d'un regard haineux et mouillé par les larmes qui commençaient à venir, avant que doucement, elle n'avance ses lèvres à hauteur de la verge à proximité d'elle. Elle la prit dans sa bouche, fermant ses lèvres autour et commença un va et viens, mais sans grande conviction.

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Les alentours de la ville / Re : Un casting qui tourne mal (PV Aoki Kou)
« le: mardi 21 février 2012, 11:31:38 »
Satsumy poussa un grand coup de respiration pour tenter de se calmer, et même si elle demeurait un peu stressée, elle parvint toutefois à faire cesser les tremblements de sa main. Elle se rassurait en se disant que tout cela était normal, en y songeant il fallait bien que la demoiselle s'occuppant actuellement d'elle puisse se faire une idée de ses formes, puisqu'elle postulait pour une offre de mannequinat.
Satsumy alla donc se placer à hauteur du mur qu'elle lui avait indiquée, et tâcha de faire de son mieux pour ne pas paraître trop stressée, chose qu'elle parvint à faire en se concentrant. Au final, à mesure que Aoki prenait des photos d'elle, de face puis de profil, Satsumy se sentait de moins en moins gênée, prenant conscience qu'il n'y avait là rien de pervers, mais juste une procédure standard pour l'évaluer.

La scéance de photos se termina au bout d'une petite poignée de minutes, et Satsumy cru alors que c'était fini, mais Aoki lui fit alors signe de venir vers elle. Ne comprenant pas trop, la jeune lycéenne vint toutefois, tandis que la manager plaça au centre de son bureau un triple miroir, qui reflétait la quasi totalité du corps de Satsumy. La jeune femme était définitivement une belle femme, mais cela n'aurait sans doute jamais été suffisant pour inciter Aoki à se laisser aller à ses pulsions. En revanche les énergies que la lycéenne émanait de façon tout à fait inconsciente faisaient parfaitement ce travail, augmentant les envies d'Aoki à l'encontre de Satsumy tout en lui faisant oublier tout le reste.
Satsumy se retrouva donc face à ce miroir, tandis que la manager se plaça dans son dos en posant ses mains sur ses épaules. Satsumy reçu alors une plétore de compliments sur son physique, chose à laquelle elle ne s'attendait nullement. Elle était belle elle le savait, bien que trop modeste pour en faire un usage quelconque, mais se l'entendre dire de la part de quelqu'un d'autre était toujours gratifiant.

-Oh...et bien...merci mademoiselle...

Elle se demandait toutefois si les légères caresses sur son corps étaient nécéssaires. A chaque fois que Aoki la complimentait sur une partie spécifique de son anatomie, cette dernière la touchait du bout de ses doigts, mais la jeune femme n'y voyait pour l'instant qu'un moyen pour la manager d'appuyer ses dires. Satsumy frissonait à chaque contact, surtout lorsque les doigts se posaient sur des zones un peu sensibles de son corps, comme ses lèvres ou ses fesses. Elle se crispa toutefois bien plus lorsque Aoki, pour parler de sa poitrine, n'avait pas hésitée à caresser l'un de ses seins d'une main, mais vu qu'elle n'était pas violente, Satsumy se contenta de rougir fortement tout en se demandant ce qu'il se passait.

-Et....et bien je...

Bafouilla-t-elle quand Aoki déclara que ses seins étaient "doux et moelleux". Satsumy sentit la respiration chaude d'Aoki atterir dans le creux de son cou, lui donnant des frissons, tandis que de son autre main elle s'était mise à caresser son ventre plat. Satsumy se demandait si il n'y avait pas quelque chose qui clochait, mais elle n'osait toutefois pas se défaire de cette étreinte. Elle était surprise bien sûr et ne savait pas quoi faire, mais aussi au fond, Satsumy trouvait ces caresses délicates...pas si désagréables que ça, ce qui était surprenant de sa part.
Les marionnetistes à l'origine de la malédiction de Satsumy l'étaient aussi, car c'était la première fois que l'ancienne incarnation de la déesse de la virginité ne se débattait pas tout de suite, et étaient curieux de voir jusqu'où cela pouvait aller. Ils modulèrent alors l'énergie que dégageait Satsumy de façon à juste augmenter encore le désir qu'Aoki ressentirait pour Satsumy, afin de voir si cette dernière, pour une fois, allait se laisser faire...

-Un...un ca...casting privé ?

Bien sûr elle ne voyait pas vraiment ce que Aoki pouvait sous-entendre par "casting privé", mais nul doute que cela ne durerait plus très longtemps, vu les ondes de désir que la jeune manager recevait.


8
Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: mardi 21 février 2012, 10:53:31 »
Satsumy était dans une situation sans issue, car il semblait tout simplement impossible pour elle d'échapper aux griffes de sa prof. Et ce n'était pas qu'une impression, mais bel et bien une réalité. Satsumy n'était guère plus qu'une humaine normale, tandis que Miss Lilian elle était beaucoup plus. Ces tentacules étaient très forts en plus d'être nombreux, et Satsumy était qui plus fortement épuisée et meurtrie par les multiples coups de fouets qui avaient lacérés l'arrière de son corps, d'où les marques d'impacts ressortaient sur sa peau rougie.
Le corps de Satsumy était fortement balloté au rythme imposé par sa prof, qui la pénétrait sauvagement. La jeune lycéenne était dans une sorte d'état étrange, n'ayant plus la force de lutter ou de parler, se contentant de subir et de pleurer, ses yeux commençaient par ailleurs à rougir.

Mais en parallèle, Satsumy ressentais également un intense plaisir sexuel, et c'était aussi en partie pour cela qu'elle ne se débattait plus. Elle en avait honte, terriblement honte, mais sentir cette verge végétale en elle, sa prof l'immobiliser et l'humilier ainsi, elle adorait cela, même si elle ne l'avouait pas...du moins pas encore. Elle avait été longtemps éduquée par des préceptes selon lesquels le sexe pour le simple plaisir était mal, sale, et ce depuis de nombreuses années, il était donc logique qu'elle éprouve une véritable honte à éprouver ce qu'on lui avait toujours dit comme étant malsain.
A vrai dire elle avait aussi peur, car sa prof et ses tentacules l'effrayaient, semblant tous droits sortis d'un cauchemard, et aussi parce qu'elle avait mal. Mais au fond, les aphrodisiaques qui étaient présents dans son organisme ne faisaient qu'accroître ce qu'elle aurait déjà ressenti en temps normal. Miss Lilian la pénétrait, la baisait sauvagement, sa verge végétale entrait jusque dans les profondeurs de son vagin et écartait ses parois internes qu'elle frottait ainsi. Il en allait de même pour le tentacule dans son cul, mais celui-ci était bien moins gros, et Satsumy avait été déjà à maintes fois forcée également par cet orifice, alors l'effet était moins perceptible pour la lycéenne en comparaison du sexe de sa prof.

Elle fût utilisée ainsi pendant de longues minutes, Satsumy pleurait de honte tandis que des gémissements de plaisir lui échappaient de plus en plus, sans qu'elle puisse vraiment les contrôler. Sa prof se mit à l'embrasser par ailleurs un peu partout sr son visage, libérant de nouvelles doses d'aphrodisiaques dans le corps de la la lycéenne, qui avait senti sa prof jouir dans ses orifices à quelques reprises déjà.
Puis elle se sentit tomber au sol, son corps heurta le sol froid et dur avant que à nouveau les tentacules ne viennent l'emprisonner, mais Satsumy aurait de toutes façons été bien incapable de s'échapper vu l'était dans lequel elle se trouvait. Elle se trouva immobilisée à quatres pattes, et sentit d'autres tentacules lui écartes ses jolies fesses tandis qu'elle sentit sa prof se positionner derrière elle...il ne fallait pas plus pour comprendre ce qui allait se passer.

-Non...non c'est trop gros, vous allez me...

Satsumu ne parvint à terminer sa phrase que par un cri de douleur, alors que la gigantesque verge de sa prof s'enfonçait sans aucune forme de pitié dans son anus étroit. Elle se sentit comme déchirée de l'intérieur, de puissantes ondes de douleur la parcoururent telles des brûlures au profond de son corps.
Elle ne pouvait rien faire, étant immobilisée, tandis que Miss Lilian était en train de littéralement lui défoncer le cul, sauvagement. Et le tentacule qui pénétrait son vagin ainsi que les aphrodisiaques étaient bien insuffisants pour faire disparaître cette douleur.

-P...pitié Senseï...

9
Le parc et son sous-bois / Re : une forêt pas si paisible [PV Satsumy]
« le: lundi 20 février 2012, 16:32:50 »
Satsumy continuait à chantonner et à marcher doucement, tout en ne prenant pas vraiment attention à ce qui se passait autour d'elle, car se regard se promenait dans les hauteurs, regardant les feuillages des arbres parsemant les côtés du sentier qu'elle empreintait.
C'est ainsi qu'elle passa juste à côté de Mixibnorh sans s'en rendre compte, et sans se rendre compte qu'avec ce chemin désert et la nuit tombante, elle était une proie extrêmement facile à prendre.

Elle entendit soudainement un bruissement dans un des fourrés qu'elle venait juste de dépasser en marchant, un bruit suffisament fort pour que cela la fasse sursauter de surprise, car on aurait dit quelque chose de suffisament gros qui venait tout juste d'en bondir, et elle avait la désagréable sensation que quelque chose ou quelqu'un se trouvait derrière elle.
Bien avant qu'elle n'aie même le temps d'amorcer de se retourner, elle sentit une paire de mains masculine la saisir au niveau des épaules, sous ses aiselles, et la soulever comme une poupée de chiffon.

-Hey ! Mais que...

Un peu trop naïve pour se douter sur le coup qu'elle avait à nouveau affaire à un violeur, cette réalité se fit toutefois rapidement une place dans son esprit lorsqu'elle sentit que l'homme qui la soulevait la palquait contre lui. Surtout, ses fesses se trouvaient plaquées contre l'entrejambe de cet homme, qui commença à bouger son bassin de façon à frotter son sexe contre la culotte blanche que portait Satsumy. Elle commença donc à se débattre.

-Non ! Lâchez moi !

Se débattre n'eu toutefois pas beaucoup d'effet, car la jeune femme était loin de disposer d'une force physique suffisante, le seule effet que cela eu vraiment fut de remuer d'avantage son corps contre celui de Mixibnorh. Celui-ci la posa au bout d'un court moment, mais ne la lâcha pas pour autant. Il portait un long pantalon en toile assez ample, ce qui laissait l'opportunité à son sexe dressé de se glisser entre les cuisses de Satsumy.
Par ailleurs, tout en continuant à maintenir la jeune femme contre lui d'une main, il glissa son autre main sous sa chemise, caressant sa peau jusqu'à arriver à hauteur d'un de ses seins, ce qui ne laissait aucun doute quand aux intentions de cet homme.
C'est par ailleurs à ce moment que la légère aura magique de Satsumy, que Mixibnorh avait pu sentir, commença à prendre de l'ampleur. Cela n'était nullement dangereux pour lui toutefois, tout juste cela allait augmenter de façon considérable sa libido.

-Arrêtez ! Lai...laissez moi partir !

10
Satsumy resta bouche-bée devant les remarques que faisait cette personne à l'autre bout de la ligne. Même si elle était effectivement dans la même classe que Mélinda pour certains de ses cours, Satsumy ne la reconnu toutefois pas, à la fois parce que sa voix était légèrement modifiée par la qualité douteuse de son téléphone, mais aussi parce que Satsumy n'était pas dans les meilleurs dispositions pour réfléchir à cela.
Ce qu'elle craignait se révéla donc vrai, elle était la joueuse forcée d'un jeu de piste pour retrouver ces preuves compromettantes. Ne répondant pas à Mélinda, car ne voulant pas faire durer ces conversations plus longtemps que nécéssaire, elle écouta jusqu'à ce que son interlocutrice ne raccroche.

Elle était choquée alors qu'elle restait avec le téléphone allumé contre son oreille, sentant progressivement un sentiment de panique s'emparer d'elle. Aller dans le dortoir des garçons pour récupérer cette photo ? La pauvre en était incapable ! Elle ne savait même pas dans quel lit pouvait bien dormir le garçon qui l'avait violée, et il étaient au moins plus de 200 dans ce dortoir !
Il lui fallu du temps, plusieurs minutes, avant de reprendre le contrôle d'elle même, et d'être capable de réfléchir enfin, avant de se relever. Elle se dépêcha d'aller en direction du dortoir des garçons, faisant attention à rester autant que possible dans l'obscurité. Fort heureusement pour elle, elle portait son manteau aux couleurs du lycée, et avec sa teine bleu foncé, elle était ainsi moins visible que si elle n'avaie eu que sa chemise, qui elle était blanche.
Elle rentra par une porte secondaire, et monta avec beaucoup de précautions les marches avant de se mettre à fouiller les différentes salles où de nombreux lits se trouvaient. Elle perdit beaucoup de temps à cherhcer là où il ne fallait pas, et lorsqu'elle arriva enfin vers la dernière salle, là où se trouvait enfin la photo qu'elle cherchait, les lumières du couloir s'allumèrent et des clameurs s'élevèrent. Les garçons arrivaient, paniquée et tétanisée, elle se glissa juste à temps sous l'un des lits et ne bougea alors plus, contrôlant sa respiration pour faire le moins de bruits possible.
Elle resta ainsi un long moment, stressée comme jamais si quelqu'un devait la voir, et en plus en possession de cette photo. Lorsque els lumières s'éteignirent, elle attendit encore un long moment avant d'espérer que les garçons soient tous endormis. Elle glissa alors pour sortir de dessous du lit, et avança à quatre pattes pour faire le moins de bruits et rester discrète. Elle parvint ainsi par miracle à sortir du dortoir, et à se retrouver en extérieur à nouveau, où elle couru pour s'éloigner rapidement de cet endroit.

Regardant sa montre, Satsumy constata qu'il était déjà presque minuit, son dos la faisait souffrir car elle était restée plus de trois heures allongée sur un sol froid et dur, et elle en avait marre...mais vraiment marre.
Combien de photos allait-elle encore devoir récupérer ? Se trouvaient-elles toutes dans un endroit où elle risquait de se faire prendre en flagrant délit ? Si les garçons l'avaient découvert en possession de cette photo...cela aurait été aussi pire que si la personne qui la faisait chanter rendait tout ça public.
Satsumy composa alors le numéro, et parla dès que la personne décrocha.

-Il est hors de question que je continue votre petit jeu, qui que vous soyez. Si vous voulez rendre tout ça public alors allez-y, mais vous n'aurez pas la satisfaction de me voir humiliée d'avantage même si vous faites ça...

Satsumy en subissait tellement ces derniers temps qu'elle avait déjà songée à l'option du suicide pour être honnête, mais ça, c'était la goutte d'eau qui faisait déborder un vase déjà hautement rempli. Elle avait failli se faire découvrir, et n'avait pas l'intention de continuer ce petit jeu, quoi que celle qui la faisait chanter pouvait lui dire.
Après avoir dit ces mots, elle avait raccorchée le téléphone, et s'était mise en route pour son studio...

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: lundi 20 février 2012, 14:58:44 »
Satsumy aurait tout donnée pour que ce qui était en train de lui arriver ne soit qu'un cauchemard, mais la douleur était bien trop intense pour que cet espoir soit seulement envisageable. Tout cela était bien réel, et la jeune lycéenne faisait tout ce qu'elle pouvait pour respirer au mieux tandis qu'un immensse tentacule était afféré à lui perforer sa vouche et sa gorge. Le tentacule avait encore pris du voulume, forçant Satsumy à garder sa mâchoire ouverte au maximum tout en le sentant râcler ses dents et les profondeurs de sa gorge. Cela lui faisait mal, mais elle ne pouvait lutter, les tentacules l'emprisonnaient fermement et elle avait perdue toute force de lutter, et tout espoir de s'échapper, sa seule option était désormais de subit en espérant s'en sortir indemne.
Avec sa résignation continuaient à venir des larmes, car elle avait peur, terriblement peur, tout ceci était absolument monstrueux, car elle était entre les griffes d'un monstre dont elle ignorait jusqu'où elle était capable d'aller. Ses bras et ses jambes lui faisaient mal car Miss Lilian utilisait ses tentacules pour tirer dessus fortement, et elle avait peur de l'éventualité où elle ne contrôlerait pas sa force...

Les yeux de Satsumy s'ouvrirent grand, et elle gémis de plus belle en sentant un liquide visqueux et chaud couleur en abondance dans sa gorge. Le tentacule "éjaculait" dans sa bouche, et la lycéenne n'avait d'autre choix, pour ne pas étouffer, d'avaler cette semence jusqu'à ce que le tentacule se retire enfin. Tandis qu'il glissait sur son cou et entre ses seins, laissant sur le corps de Satsumy une traînée de sperme, elle toussait et inspirait de grandes goulées d'air, car elle avait été à deux doigts de véritablement étouffer.
Quand elle reprit un peu ses esprits, elle vit le visage de sa prof face au sien, et cela lui faisait peur. Elle avait une sorte de lueur démoniaque dans ses yeux dont la couleur avait virée au vert. Satsumy était trop effrayée et meurtrie pour répondre, mais elle entendit par après des étranges bruits plus en bas, elle vit alors au niveau de l'entrejambe de sa prof, une sorte de gigantesque membre végétal qui était apparu, et elle se mit à frotter le bout contre sa culotte trempée par sa cyprine. Il ne fallait pas plus à Satsumy pour comprendre ce qui allait se passer, mais un sentiment de panique s'empara d'elle, lui faisant essayer de remuer.

-Non...non pas ça...VOUS APPROCHEZ PAS DE MOI MONSTRE !!!

Satsumy ignorait ce que Miss Lilian était exactement, mais elle était tout sauf une humaine, et qui pouvait savoir quelles conséquences ignobles auraient un accouplement avec ce genre de créature ? Sa prof lui énonçait plus ou moins ce qu'elle allait subir, tandis qu'un de ses tentacules arracha la culotte de Satsumy, et avec ses jambes écartées, l'intimité de la jeune lycéenne faisait face à cet espèce de verge végétale.
Tout jsute après, Miss Lilian s'enfonça en elle d'un grand coup de rein. Elle n'eut aucune difficulté à le faire, car le vagin de Satsumy était parfaitement lubrifié et acceuillant, même si cette dernière poussa un long cri de désespoir, puis de douleur en sentant un tentacule, puis deux se faufiler dans son cul serré. Satsumy détournait la tête et fermait les yeux, tandis que la longue langue de serpent de sa prof lui lêchait sa joue, elle était terrifiée par ce qui lui arrivait et ne pouvait s'empêcher de pleurer. Malgré tout son corps lui n'avait aucune difficulté à accepter le plaisir que cela lui prodiguait, elle mouillait abondament et ses seins pointaient, et elle avait délicieusement chaud...ce qui ne faisait que rajouter de la honte à tout ce qu'elle éprouvait déjà.

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Les alentours de la ville / Re : Un casting qui tourne mal (PV Aoki Kou)
« le: lundi 20 février 2012, 14:34:53 »
Tout ceci était définitivement absurde. Satsumy envisageant une carrière de manequin et posant pour des magazines ? C'était non seulement contraire à tout ce qu'on lui avait enseignée, mais aussi contraire à ses choix de carrière quand elle serait adulte, elle qui voulait faire chirurgienne. C'était là qu'il était possible d'appréhender toute la puissance de la malédiction qui frappait la pauvre Satsumy, les dieux en étant à l'origine allant même jusqu'à interférer avec sa propre conscience et son libre-arbitre. Assise sur le fauteuil en face de l'employée de cette agence, Satsumy écoutait plus qu'elle ne parlait, vu qu'on lui expliquait les trois diverses étapes de présélection pour les mannequins.
Elle hocha timidement la tête quand son interlocutrice lui précisa également que tout ne se ferait pas aujourd'hui, ce qui en un sens rassurait Satsumy, qui aurait eu peur de se retrouver toute de suite en face d'un photographe. Cela ne se passait bien sur jamais comme ça, mais la jeune femme n'était une grande connaisseuse de l'univers de la mode.

Mais là où elle sentit vraiment le rouge lui monter aux joues, ce fut quand la femme qui s'occupait d'elle lui annonça que pour les essais de clichés, elle allait devoir se mettre en sous-vêtements.

-Vous...vous êtes sûre que...

Mais elle n'eu pas le temps de finir, cette femme semblant visiblement pressée, et Satsumy était gênée. Mais contre toute attente, elle finit par obtempérer. Se faire prendre en photo gênait déjà Satsumy, mais en plus avec juste le strict minimum, c'était encore plus gênant.
Elle commença par ôter sa cravate rouge, puis défît uns à uns les boutons de sa chemise blanche, révélant un soutien-gorge de la même couleur qui supportait une belle poitrine. Ses seins n'étaient ni trop gros, ni trop petits, donnant à Satsumy une poitrine ferme et qui mettait en avant son corps. Elle ôta ensuite ses chaussettes, se retrouvant pieds nus, avant de défaire sa jupe d'écolière, révélant une petite culotte de couleur blanche. Satsumy déposa ses vêtements sur son fauteuil, puis resta debout, en toute beauté qu'elle était, mais très gênée.

-Voilà...et je...je dois faire quoi maintenant ?

Chose que la timide lycéenne ne pouvait pas sentir, mais sa malédiction commençait à passer au stade supérieur. Avec le bureau fermé à clef, et Satsumy en sous-vêtements, l'instant était parfait pour que des ondes s'échappent d'elle, ces ondes qui augmentaient progressivement la libido des personnes proches de Satsumy, au point de les rendre pareilles à des bêtes en chaleur voulant satisfaire leurs instincts et leurs pulsions sur Satsumy.

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Le parc et son sous-bois / Re : une forêt pas si paisible [PV Satsumy]
« le: lundi 20 février 2012, 14:13:51 »
Cette jeune femme qui s'approchait, et qui chantonnait doucement pour elle même, n'était nulle autre que Satsumy, qui prenait en ce début de soirée un chemin différent pour rentrer du lycée et aller chez elle. La jeune lycéenne était bien loins de se douter de ce qui allait lui tomber dessus prochainement, et étant un peu lasse de l'environnement urbain, elle avait décidée de s'accorder une petite promenade dans l'un des grands parcs se trouvant à l'extérieur de la ville.
Les arbres, les petits étangs, le sol couvert d'herbes, le tout sous un ciel dégagé et ensoleillé, tout cela avait contribué à rendre la jeune femme détendue et joyeuse, et elle songeait au fait qu'il lui faudrait s'accorder ce genre de pause un peu plus souvent.

Avec la nuit qui tombait, Satsumy mettait donc fin à son escapade en forêt, et suivait l'un des chemins pavés qui rammenaient en direction de la ville. Elle chantonnait, et regardait autour d'elle un peu distraite, contemplant encore un peu les arbres magnifiques qui prenaient encore une teinte différente avec le soleil qui se couchait. Elle serait bien restée plus longtemps, mais le parc en pleine nuit n'était pas aussi sûr qu'en plein jour, et devenait un univers dans lequel une jeune étudiante innocente comme elle n'avait rien à faire, pour son propre bien.
Sans qu'elle ne s'en rende compte, elle se rapprochait de Mixibnorh qui s'était habilement dissimulé dans un fourré, et Satsumy ne le voyait pas.

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Les alentours de la ville / Re : Un casting qui tourne mal (PV Aoki Kou)
« le: vendredi 17 février 2012, 12:25:24 »
L'hôtesse d’accueil à qui Satsumy s'était adressée lui avait souhaitée la bienvenue avant de prendre son téléphone, vérifiant si quelqu'un pouvait la prendre pour un court rendez-vous. Cela fut fait assez rapidement, et on lui indiqua où elle devait aller. Le bureau se trouvant tout de même au 23eme étage, la jeune lycéenne décida de prendre un ascenseur.
Tout juste sortie du lycée avant de tomber sur ce petit prospectus, Satsumy était donc vêtue de son uniforme de lycéenne, et faisait presque un peu tâche par rapport à d'autres filles qu'elle avait rapidement pu voir ici. En fait, Satsumy devait initialement rentrer à son studio pour travailler comme à son habitude, et le mannequinat n'était absolument pas l'un de ses choix de carrière à long terme. Alors que diable faisait-elle ici ? C'était une question que sa conscience semi endormie par volonté divine ne se posait pas, le marionnettiste jouait avec elle, et Satsumy n'avait ni la force ni les moyens d'y résister. Elle fonçait une fois de plus dans un piège.

L’ascenseur mit un certain temps avant d'arriver là où Satsumy devait se rendre, et elle du encore trouver le bureau parmi la myriade de ceux qui parsemaient ce long couloir, jusqu'à ce quelle trouve après quelques recherches. La porte avait beau être entrouverte, Satsumy toqua néanmoins à la porte afin d'être certaine qu'elle pouvait rentrer. Après les salutations de circonstances, la jeune lycéenne ferma la porte derrière elle avant de s'asseoir sur un fauteuil assez confortable, en face d'une belle femme qui allait s'occuper de cet entretien. Satsumy était légèrement nerveuse, comme à chaque entretien avec qui que ce soit, mais cela ne se discernait toutefois que peu.

-Et bien je m'appelle Satsumy Kawashima madame, j'ai dix-sept ans, et dans votre brochure il était marqué que vous cherchiez entre autres des...des mannequins, aussi je me demandais si j'avais donc le physique qui correspondait à vos attentes.

Au final c'était bien la seule chose qui pouvait amener une personne comme Satsumy à se trouver dans une telle agence. Elle faisait du tennis, mais plus pour se maintenir en forme que pour la compétition, et n'avait pas spécialement de talents artistiques vu qu'elle se dédiait à un métier plus scientifique. En revanche, elle était indéniablement belle, son corps était bien proportionné et son visage d'ange en séduisait plus d'un, malheureusement pour elle d'ailleurs.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Après les cours (PV Poison Ivy)
« le: jeudi 16 février 2012, 16:41:43 »
Les dernières supplications de Satsumy n'eurent absolument pas l'effet qu'elle aurait espéré, à savoir que sa prof reprenne ses esprits et la libère. Au lieu de ça, la jeune lycéenne sentit à nouveau l'emprise du tentacule autour de son cou se faire, et pour cause, sa Senseï s'en servit pour la soulever et la faire s'allonger dos au sol, le tout sans aucune forme de douceur.
Satsumy continuait à essayer de défaire cette emprise du tentacule autour de son cou, même si elle n'en avait pas la force, son instinct la poussait à au moins essayer, et à ne pas rester ainsi sans rien faire. Toutefois la jeune femme devait aussi faire face à un autre problème, celui de son corps qui la trahissait. Elle avait chaud, terriblement chaud depuis que Miss Lilian l'avait embrassée sur les lèvres, injectant en elle un aphrodisiaque effectivement très puissant, et qui faisait parfaitement son effet, car l'auréole humide sur la petite culotte de l'étudiante de cessait de s'aggrandir. Un autre tentacule vint à sa rencontre, se glissant entre ses cuisses.
D'instinct, Satsumy les referma, mais cela ne gêna nullement le tentacule qui se frottait contre sa culotte, envoyant des ondes de plaisir au corps de Satsumy sous l'effet de l'aphrodisiaque.

-AAAAAAAH ! N...NOOOOOOON !!!!

Malheureusement pour Satsumy, la plupart des élèves et du personnel avaient déjà quitté le lycée, et donc ses suppliques ne pouvaient être entendues. Le tentacule se frottait contre sa culotte, étalant encore pls sa cyprine qui coulait à flots de son intimité. Un autre se faufila sous sa chemise, et lui arracha sans vérogne son soutien gorge. Puis elle se sentit à nouveau soulevée, elle étouffa puisque le tentacule qui la maintenait au cou était celui qui la portait, avant de violemment la plaquer dos contre le bureau de sa prof qui allait la violer.

-Je...je vous en prie...non...

Dit-elle avant que Miss Lilian ne vienne l'embrasser tout en déboutonnant les boutons de sa chemise, forçant sa langue à l'intérieur de sa bouche, avant que cette dernière ne s'allonge de façon surnaturelle, et n'aille jusqu'à titiller le fond de sa gorge. Satsumy poussait des gémissements étouffés et pleurait, de ses mains elle tentait de donner des coups sur le corps de sa prof, mais elle n'avait plus assez de force pour que cela fasse mal.
Puis Miss Lilian se retira, et usant de son tentacule elle l'envoya voler avant de la faire s'écraser par terre. Satsumy n'avait absolument plus la force de lutter, et pleurait devant l'inévitable qui allait se produire. Un tentacule se remit à la fouetter, tandis qu'un autre lui arracha sa mini jupe d'écolière, ce qui risquerait de lui poser des problèmes si elle arvenait à s'en sortir.
Presque aussi inerte qu'une poupée, Satsumy sentit d'autres tentacules s'enrouler autour d'elle, la soulever dans les airs, les mains de sa Senseï lui ôtant sa jupe, elle était à présent presque nue. Soulevée dans les airs, ses poignets liés dans son dos et ses jambes restreintes, elle était pleinement à la merci de Miss Lilian. Elle pleurait de honte et de peur, mais son corps lui trahissait un profond désir bien en contradiction avec les pleurs de Satsumy. Sa culotte était complètement trempée sous l'effet de l'aphrodisiaque, et de la cyprine commençait à couler le long de l'intérieur de ses cuisses. Deux tentacules bizarres arrivèrent alors vers elle, et gobèrent dans des espèces de bouches ses têtons déjà pointus par l'aphrodisiaque, ces tentacules se mirent alors à sucer et à lécher la poitrine de Satsumy, qui en poussa un long gémissement.
Dans sa bouche ouverte, se glissa alors un autre tentacule, bien plus large, qui s'enfonça dans sa gorge, lui provoquant des hauts-le-coeur. Le tentacule la forçait à lui faire une fellation, et était tellement gros que Satsumy devait ouvrir sa machoire entièrement pour le prendre, il râclait contre ses dents et sa langue, et faisait des va et viens très rapides ce qui fasait couler de la salive des lèvres de Satsumy.

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